Retour de l’Essonne vers Fontainebleau
L’étape 15 terminait notre itinéraire
officiel sur le GR 111. Mes pérégrinations autour de cette demie boucle
entre Milly et Saint Michel sur Orge mon fait découvrir une partie du département
de l'Essonne que je ne connaissais pas. L’Essonne se résumait à
mes yeux, aux grands ensembles de Massy-Palaiseau-Evry-Corbeil, ou à
d’hideux
pavillons de banlieues. J’ai découvert des champs, des parcs et des
balisages locaux bien entretenus, bien balisés dont la Seine et Marne pourrait
prendre exemple, et ce qui est rare, nous retrouvons le tracés
des balisages locaux sur la carte.
Ma
première idée était de revenir sur Fontainebleau en ligne direct, d’où
cette balade de Saint Michel sur Orge à d'Etrechy. Je ne voulais pas
utiliser, ou le moins possible
les GR 1 - 11 & 32 que nous avions déjà fait et en empruntant un maximum de sentiers locaux.
Au fur et a mesure de mes pérégrinations, je me suis rendu compte que je ne rentrais pas en ligne direct sur Fontainebleau mais que je faisais des boucles remplissant le demi cercle constitué par le GR 111. Ce qui devait avoir pour titre Retour vers Fontainebleau et comporter des numéros de 16 à 20 se transforme en Randonnée en Essonne.
En Bleu le GR 111Au fur et a mesure de mes pérégrinations, je me suis rendu compte que je ne rentrais pas en ligne direct sur Fontainebleau mais que je faisais des boucles remplissant le demi cercle constitué par le GR 111. Ce qui devait avoir pour titre Retour vers Fontainebleau et comporter des numéros de 16 à 20 se transforme en Randonnée en Essonne.
En Rouge touchant le bleu les branches du GR 111 A,B,C & D et celui que j'ai appelé pompeusement "E" afin de relier la gare de Fontainebleau à Milly
Les circuits en autre couleur sont mes randonnées en Essonne.
Carte, Randonnée N°6 : Soisy sur Ecole – Courances - Dannemois
Carte IGN Trace GPX & Topo sans Commentaires Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b311192
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Promenade en Essonne 6
Le départ se fait dde Soisy sur
Ecole sur la D 83, On trouve de la place sur la route de Melun face à la
résidence des Réaux.
KM Temps
Arret V/d V/g
Dénivelé
35 5h43 0h28 6,1
5,7 174 +
[Construite dans les années 1970,
cette résidence, érigée en copropriété privée, avait tout pour plaire :
cinq immeubles de standing de 4 étages, comprenant chacun une soixantaine
d'appartements aménagés pour les personnes âgées, qui pouvaient bénéficier de
services (ménage, soins...), un restaurant de standing dans le château situé au
milieu des cinq résidences et du parc de 18 ha, une piscine couverte, des
tennis... ] Nous prenons le chemin de
droite et longeons
toujours le mur d’enceinte du château (c’est le chemin du fief du sault.) Nous débouchons à Saint germain sur école dans la rue de Dannemois que nous prenons à gauche puis nous prenons à droite la rue de la mairie. A cette dernière nous rencontrons le GR 32, nous prenons à droite le chemin des Portes, chemin balisé en rouge et blanc. Nous débouchons rue du moulin des Noues avec son parking permettant de ce rendre à la verrerie d’art [La verrerie d'art est l'attrait culturel de Soisy-sur-École. Maîtres verriers et autres souffleurs de verre y effectuent un travail d'orfèvre. Wikipedia]
Nous entrons dans les champs et arrivons à l’autoroute par le chemin de la garenne nous longeons la voie express sur quelques centaines de mètres. Le chemin tourne à angle droit et l’on s’éloigne perpendiculairement à l'autoroute par le chemin de la Noirolle, nous sommes toujours sur le GR 32. Remarquez les rochers éparses dans les champs ...Est-ce d'anciennes dunes de sable soufflées par le vent ayant laissées leur formations de grès ? Ou comme je l'ai lu dans un ancien ouvrage sur la formation des
grès à fontainebleau ou il était écrit que durant les dernières glaciations des langues de glace auraient transportées les rochers sur de longue distance et les auraient déposés à l'endroit ou il auraient fondu ? Je ne fais que de m’interroger sans donner de réponses. Nous débouchons sur un chemin formant Té quittons le GR et prenons à gauche passons un bois avec quelques rochers (propriété privée), nous débouchons sur la D 372 que nous prenons sur quelques mètres à droite puis le
chemin de gauche. Un chemin pas facile en lisière de bois et champs, le chemin n’est pas entretenu et certain passage sont difficiles, orties et ronces nous barrent le passage. Un bon bâton nous permet le passage sans trop de problèmes. Traversons le bois, le chemin fait fourche nous prenons à droite et grimpons un peu, le chemin devient très encaissé. Le chemin est très broussailleux, avec des affûts de chasse, nous arrivons à une clôture. J’avais prévu d’emprunter l’un des
nombreux chemins du bois des Turelles, mais ce dernier et clôturé. Il nous reste à traverser le champ longer de nouveau l’autoroute (de l’autre coté nous apercevons une tourelle d’angle du mur d’enceinte du château de Fleurie en Bierre. Prochaine rando.) Nous débouchons sur la route goudronnée du Rebais (menant de Fleury à Courances) Une longue marche sur le bitume nous attend, tout les chemins sur la droite menant dans la propriétés privée. Nous arrivons à une patte d’oie inversée dont la route de gauche mène au village de Chalmont, nous poursuivons tout droit à la seconde patte d’oie la route de gauche nous amène à Arbonne en longeant une partie du Coquibus, nous continuons par
la droite. Si vous avez fait les petites promenades en foret de Fontainebleau vous arrivez à vous situer sans voir la carte. Poursuivons notre route et arrivons a l’aqueduc de la Vanne [Grand aqueduc du bassin de la Seine, amenant à Paris des eaux prises à 110 km en moyenne, au Sud-Est de la capitale, en Bourgogne, dans le département de l'Yonne (et, subsidiairement, en Seine-et-Marne) ; eaux qui arrivent à leur destination par quatre départements (Yonne, Seine-et-Marne, Seine-et-Oise et Seine) [Depuis 1964 : Yonne, Seine-et-Marne, Essonne, Val-de-Marne, Paris]. Abstraction faite des sources de Cochepies (Yonne) et de celles des environs de Nemours (Seine-et-Marne), notamment de la superbe fontaine de Chaintreauville, l'aqueduc s'approvisionne à des niveaux très différents du sien. « Une moitié à peu près du débit, dit l'ingénieur Couche (Les Eaux
de Paris), est fournie par trois sources hautes qui pénètrent directement dans l'aqueduc, et l'autre moitié par une douzaine de sources basses, dont il est nécessaire de relever les eaux par machines ; la dérivation forme donc un ensemble plus compliquée que celle de la Dhuis. Elle comprend :
toujours le mur d’enceinte du château (c’est le chemin du fief du sault.) Nous débouchons à Saint germain sur école dans la rue de Dannemois que nous prenons à gauche puis nous prenons à droite la rue de la mairie. A cette dernière nous rencontrons le GR 32, nous prenons à droite le chemin des Portes, chemin balisé en rouge et blanc. Nous débouchons rue du moulin des Noues avec son parking permettant de ce rendre à la verrerie d’art [La verrerie d'art est l'attrait culturel de Soisy-sur-École. Maîtres verriers et autres souffleurs de verre y effectuent un travail d'orfèvre. Wikipedia]
Nous entrons dans les champs et arrivons à l’autoroute par le chemin de la garenne nous longeons la voie express sur quelques centaines de mètres. Le chemin tourne à angle droit et l’on s’éloigne perpendiculairement à l'autoroute par le chemin de la Noirolle, nous sommes toujours sur le GR 32. Remarquez les rochers éparses dans les champs ...Est-ce d'anciennes dunes de sable soufflées par le vent ayant laissées leur formations de grès ? Ou comme je l'ai lu dans un ancien ouvrage sur la formation des
grès à fontainebleau ou il était écrit que durant les dernières glaciations des langues de glace auraient transportées les rochers sur de longue distance et les auraient déposés à l'endroit ou il auraient fondu ? Je ne fais que de m’interroger sans donner de réponses. Nous débouchons sur un chemin formant Té quittons le GR et prenons à gauche passons un bois avec quelques rochers (propriété privée), nous débouchons sur la D 372 que nous prenons sur quelques mètres à droite puis le
chemin de gauche. Un chemin pas facile en lisière de bois et champs, le chemin n’est pas entretenu et certain passage sont difficiles, orties et ronces nous barrent le passage. Un bon bâton nous permet le passage sans trop de problèmes. Traversons le bois, le chemin fait fourche nous prenons à droite et grimpons un peu, le chemin devient très encaissé. Le chemin est très broussailleux, avec des affûts de chasse, nous arrivons à une clôture. J’avais prévu d’emprunter l’un des
nombreux chemins du bois des Turelles, mais ce dernier et clôturé. Il nous reste à traverser le champ longer de nouveau l’autoroute (de l’autre coté nous apercevons une tourelle d’angle du mur d’enceinte du château de Fleurie en Bierre. Prochaine rando.) Nous débouchons sur la route goudronnée du Rebais (menant de Fleury à Courances) Une longue marche sur le bitume nous attend, tout les chemins sur la droite menant dans la propriétés privée. Nous arrivons à une patte d’oie inversée dont la route de gauche mène au village de Chalmont, nous poursuivons tout droit à la seconde patte d’oie la route de gauche nous amène à Arbonne en longeant une partie du Coquibus, nous continuons par
la droite. Si vous avez fait les petites promenades en foret de Fontainebleau vous arrivez à vous situer sans voir la carte. Poursuivons notre route et arrivons a l’aqueduc de la Vanne [Grand aqueduc du bassin de la Seine, amenant à Paris des eaux prises à 110 km en moyenne, au Sud-Est de la capitale, en Bourgogne, dans le département de l'Yonne (et, subsidiairement, en Seine-et-Marne) ; eaux qui arrivent à leur destination par quatre départements (Yonne, Seine-et-Marne, Seine-et-Oise et Seine) [Depuis 1964 : Yonne, Seine-et-Marne, Essonne, Val-de-Marne, Paris]. Abstraction faite des sources de Cochepies (Yonne) et de celles des environs de Nemours (Seine-et-Marne), notamment de la superbe fontaine de Chaintreauville, l'aqueduc s'approvisionne à des niveaux très différents du sien. « Une moitié à peu près du débit, dit l'ingénieur Couche (Les Eaux
de Paris), est fournie par trois sources hautes qui pénètrent directement dans l'aqueduc, et l'autre moitié par une douzaine de sources basses, dont il est nécessaire de relever les eaux par machines ; la dérivation forme donc un ensemble plus compliquée que celle de la Dhuis. Elle comprend :
- un aqueduc collecteur de plus de 20 km, qui par l'intermédiaire d'aqueducs secondaires et de 5 usines hydrauliques , récemment renforcées d'une usine à vapeur, recueille le débit de toutes les sources et celui de nombreux drains ;
- un aqueduc de 136 km de développement, qui amène à Paris, à 80 m d'altitude, les eaux ainsi rassemblées, et qui, rencontrant sur son parcours des vallées profondes et de longues dépressions du sol, présente 14,5 km d'arcades et 17 km de siphons.
« L'aqueduc collecteur a pour point de départ la grande source
d'Armentières (formée de trois jaillissements distincts), dont le niveau
(111 m) a déterminé le sien. Cette source, qui est la principale de la
vallée, et dont le débit a encore été augmenté par un drainage pratiqué
souterrainement dans la craie, donne à l'étiage environ 20 000 m3
par jour, soit à peu près 230 litres par seconde. Elle est recueillie dans un
grand bassin voûté qui, avec les galeries de captation, forme un ensemble
auquel l'abondance et l'extrême limpidité des eaux donnent un aspect
caractéristique. À la source d'Armentières vient se réunir une source moins
importante, qu'une ramification secondaire va chercher à 1 500 m en
amont, et qui forme la tête de la dérivation : c'est la source de la
Bouillarde.
« Muni de cette première
alimentation, l'aqueduc se dirige vers l'aval avec une pente très inférieure à
celle de la rivière. À 4 km de distance, il est déjà notablement au-dessus
du thalweg, et par conséquent les sources qu'il rencontre à partir de ce point
dans la vallée de la Vanne
doivent être relevées. Mais, en même temps, il passe devant un vallon secondaire vers l'extrémité duquel vient sourdre la plus élevée des sources captées, la source de Cérilly, qui, par son importance, est la seconde de la dérivation. Le débit de cette grande source (72 à 311 l/s) lui est amené par conduite forcée avec 22 m de charge. Cette chute représente en temps ordinaire une force motrice suffisante pour relever les deux premières sources basses, au moyen de deux usines élévatoires... Les autres sources basses sont réparties, par des aqueducs secondaires, entre trois usines mues par les eaux de la Vanne, dont Paris a acheté les chutes. Ces rois usines, espacées sur 8 km, représentent ensemble une force effective de 150 chevaux et envoient leurs eaux à l'aqueduc par des conduites spéciales de refoulement, à des hauteurs respectives de 15, 19 et 21 m. Enfin, comme à certaines époques elles deviennent trop faibles, on y a ajouté en 1882, comme renfort et comme rechange, une usine à vapeur qui, au moyen d'un aqueduc spécial, peut aider ou suppléer l'une quelconque d'entre elles. Après avoir reçu la conduite de refoulement de la dernière usine, le réseau collecteur, ayant terminé son rôle, verse dans l'aqueduc d'amenée, à l'altitude de 105,70 m, les eaux qu'il a recueillies, soit 110 000 m3 par jour.
doivent être relevées. Mais, en même temps, il passe devant un vallon secondaire vers l'extrémité duquel vient sourdre la plus élevée des sources captées, la source de Cérilly, qui, par son importance, est la seconde de la dérivation. Le débit de cette grande source (72 à 311 l/s) lui est amené par conduite forcée avec 22 m de charge. Cette chute représente en temps ordinaire une force motrice suffisante pour relever les deux premières sources basses, au moyen de deux usines élévatoires... Les autres sources basses sont réparties, par des aqueducs secondaires, entre trois usines mues par les eaux de la Vanne, dont Paris a acheté les chutes. Ces rois usines, espacées sur 8 km, représentent ensemble une force effective de 150 chevaux et envoient leurs eaux à l'aqueduc par des conduites spéciales de refoulement, à des hauteurs respectives de 15, 19 et 21 m. Enfin, comme à certaines époques elles deviennent trop faibles, on y a ajouté en 1882, comme renfort et comme rechange, une usine à vapeur qui, au moyen d'un aqueduc spécial, peut aider ou suppléer l'une quelconque d'entre elles. Après avoir reçu la conduite de refoulement de la dernière usine, le réseau collecteur, ayant terminé son rôle, verse dans l'aqueduc d'amenée, à l'altitude de 105,70 m, les eaux qu'il a recueillies, soit 110 000 m3 par jour.
« Ainsi, l'ensemble des ouvrages
uniquement consacrés à réunir les sources qui fournissent ce total comprend en
résumé : une douzaine de bassins de captation, et tout un réseau de
drains ; 5 usines hydrauliques et une usine à vapeur ; enfin, près de
45 km d'aqueducs, dont un collecteur principal présentant sur son parcours
25 souterrains, 800 m d'arcades et 1 400 m de grand siphon. Les
eaux ainsi rassemblées, reste à leur faire parcourir, avec les 25,70 m de
pente dont on dispose pour les amener à la cote 80, les 136 km qui les
séparent de Paris. »
Les sources recueillies par l'aqueduc
dans le bassin de la Vanne sont ainsi nommées, de l'amont à l'aval : source
de la Bouillarde, les 3 sources d'Armentières, les 2 sources
Gaudin (à Flacy), la source de Chigy, la source du Maroy, la source
de Saint-Philbert, les 5 sources de Theil (2 à Malhortie, 3 à
Theil, dont une dite Miroir de Theil, une autre Caprais-Roy, la
troisième fontaine du Chapeau), la source de Noé ; de plus,
en un vallon latéral, et plus haut qu'aucune autre, la source de Cérilly
dite la Bime (corruption d'Abime) ; en tout 16 sources.
« Les
travaux de captation, entrepris à partir de 1868, ont augmenté le débit de
toutes ces sources en abaissant leur niveau. En outre, comme l'a fait remarquer
Belgrand, l'altitude exerce une influence sur leur régime. Ainsi, en
considérant seulement les grandes sources, Armentières, Saint-Philbert, le
Miroir de Theil et Noé, la première, située à 23 m environ au-dessus des
trois autres, a varié du printemps à l'automne, pendant les années 1866 et
1867, dans les rapports de 666 à 332 et de 907 à 399. Les rapports des débits
de la plus variable des trois autres sources, le Miroir de Theil, sont
notablement plus petits : ils sont, pour ces mêmes années, de 186 à 135 et
de 203 à 145. » (Daubrée, Les Eaux souterraines)
En partant des sources d'Armentières,
l'aqueduc longe à distances variables la rive gauche de la rivière ; il
passe à côté des sources Gaudin, voisines du village de Flacy, laisse
sur la rive droite Bagneaux, la ville de Villeneuve-l'Archevêque, Molinons,
Foissy ; puis au moment d'arriver à la source de Chigy, il franchit
en siphon la vallée de la Vanne et reçoit peu après, en face du village de
Chigy, la conduite secondaire dite aqueduc du Maroy, qui apporte les
eaux de plusieurs sources inférieures. Il passe ensuite à Pont-sur-Vanne, à
Malay-le-Roi où un siphon le fait communiquer avec l'aqueduc de Theil et de
Chigy, qui est l'artère de la plupart des sources basses de la vallée
acquises par la ville de Paris. À Mâlay-le-Vicomte, autre siphon de
communication avec l'aqueduc susnommé ; et peu après aqueduc de dérivation
des sources de Cochepies, grandes fontaines jaillissant à 10 km en
droite ligne au sud, non dans la vallée de la Vanne, mais dans un vallon
latéral de la rive droite de l'Yonne, le vallon de Saint-Ange, près
Villeneuve-sur-Yonne ; elles fournissent en moyenne 315 l/s ;
tel mois sec n'en a donné que 190, mais tel mois humide en a versé 458.
Ici la conduite s'éloigne définitivement de la Vanne, pour se rapprocher de la rive droite de l'Yonne à partir du village de Soucy. Elle ne peut rester de ce côté de la rivière jusqu'à son confluent avec la seine, car il lui faut éviter la traversée de la large plaine de Montereau ; tournant donc brusquement à l'Ouest, elle franchit la rivière Yonne à Villeperrot , à 2,5 km en amont de Pont-sur-Yonne, sur un pont-aqueduc de 1 500 m, qui offre un caractère frappant de légèreté, puis elle se développe sinueusement sur les collines de la rive gauche, en s'écartant lentement de l'Yonne, par ou près Pont-sur-Yonne, Villemanoche, Champigny-sur-Yonne, Chaumont, Villeblevin, La Brosse-Montceaux, Montmachoux, Noisy-le-Sec [aujourd'hui Noisy-Rudignon], Ville-Saint-Jacques ; après quoi, descendant dans la vallée du Loing, l'aqueduc franchit cette rivière et le canal de navigation qui en longe la rive droite sur un pont de moindres dimensions que celui de l'Yonne, mais qui, à part cela, lui ressemble fort ; puis il passe à une assez grande hauteur au dessus du chemin de fer de Paris à Clermont.
Ici la conduite s'éloigne définitivement de la Vanne, pour se rapprocher de la rive droite de l'Yonne à partir du village de Soucy. Elle ne peut rester de ce côté de la rivière jusqu'à son confluent avec la seine, car il lui faut éviter la traversée de la large plaine de Montereau ; tournant donc brusquement à l'Ouest, elle franchit la rivière Yonne à Villeperrot , à 2,5 km en amont de Pont-sur-Yonne, sur un pont-aqueduc de 1 500 m, qui offre un caractère frappant de légèreté, puis elle se développe sinueusement sur les collines de la rive gauche, en s'écartant lentement de l'Yonne, par ou près Pont-sur-Yonne, Villemanoche, Champigny-sur-Yonne, Chaumont, Villeblevin, La Brosse-Montceaux, Montmachoux, Noisy-le-Sec [aujourd'hui Noisy-Rudignon], Ville-Saint-Jacques ; après quoi, descendant dans la vallée du Loing, l'aqueduc franchit cette rivière et le canal de navigation qui en longe la rive droite sur un pont de moindres dimensions que celui de l'Yonne, mais qui, à part cela, lui ressemble fort ; puis il passe à une assez grande hauteur au dessus du chemin de fer de Paris à Clermont.
Il serpente ensuite dans la forêt de
Fontainebleau, « où plus de 5 km de grandes arcades alternent avec
6 km de souterrains : ceux-ci ont été très difficiles à creuser, à
cause de la nature du sol, qui est sable pur et grès ». L'aqueduc de la
Vanne traverse les sables de Fontainebleau pendant 31 km, à partir de la
vallée du Loing. Ce terrain est tellement perméable que le tracé n'y rencontre
aucun ruisseau ; il franchit cependant plusieurs dépressions, celles des Sablons,
de la Croix du Grand-Maître, du Vert-Galant, ou même des vallées assez
profondes, telles que celles de la route d'Orléans, des Rochers de la Goulotte,
d'Arbonne, de Montrouget.
Au quartier de la Croix du
Grand-Maître, il est rejoint par l'aqueduc du Loing et du Lunain, qui
lui amène des eux hissées jusqu'à lui par l'usine élévatoire de Sorques,
laquelle est animée par une chute dudit Loing : ces eaux, montées à la
cote 92 m, sont celles des sources de Chaintreauville (236 à
248 l/s) et de la Joie à Saint-Pierre-lès-Nemours, de Villemer
(33 à 76 l/s), de Saint-Thomas (60 l/s), des Bignons et
du Sel à Bourron : toutes fontaines qui donnent en moyenne, par 24
h, 51 000 m3, soit 390 l/s.
L'aqueduc du Loing et du Lunain est
tout du long établi suivant le système des conduites forcées ou siphon, sans
une seule arcade : « ses sections en relief sont couvertes d'un
manteau protecteur de terres gazonnées ».
L'aqueduc de la Vanne passe à
1,5 km au sud de la ville de Fontainebleau, et à un peu plus de 2 km
au sud du village d'Arbonne ; puis, laissant le bourg de Milly à 3 km
sur la gauche, il franchit le vallon de l'École à Dannemois, et laisse à droite
Soisy-sur-École, Champcueil et Chevannes, à gauche Mennecy. La traversée de la
vallée de l'Essonne près de Mennecy, à Ormoy, à 5 km au sud-ouest de
Corbeil, ne lui a pas été facile : il a fallu beaucoup de peine pour
asseoir le siphon de passage sur les terrains mous et tourbeux des deux
versants de cette rivière limpide.
Suivant maintenant, tantôt d'assez
près, jamais de bien loin, la rive gauche de la Seine, l'aqueduc de la Vanne
rencontre Lisses, Courcouronnes, Grigny, Viry, puis franchit en siphon le val
de l'Orge à Savigny, et court sur le plateau entre l'Orge et la Bièvre.
Morangis, Paray, Rungis, l'avoisinent : il passe ensuite au bas du fort
des Hautes-Bruyères, et se porte, de colline à colline, au-dessus de la Bièvre
par 77 arcades, supportées en partie par les arcades monumentales du vieil aqueduc d'Arcueil.
Arcueil,
c'est déjà Paris. L'eau de la Vanne s'arrête à Paris dans le réservoir de
Montrouge ou réservoir de Montsouris,
à côté du parc de Montsouris : on l'y emmagasine dans des bassins ayant
ensemble 3 ha de surface et près de 250 000 m3 de
capacité ; et, de là, sa pression naturelle la verse dans une grande
partie de Paris, à
tous les étages des maisons. Le réservoir est quadrangulaire ; « il est couvert, complètement édifié en maçonnerie de meulière et ciment, et composé de deux étages superposés, divisés chacun en deux parties égales, ce qui forme 4 bassins indépendants. Il a coûté 7 millions de francs, dont 2 millions pour l'acquisition des terrains et la consolidation des carrières » qui gercent ici le sous-sol de la capitale.
tous les étages des maisons. Le réservoir est quadrangulaire ; « il est couvert, complètement édifié en maçonnerie de meulière et ciment, et composé de deux étages superposés, divisés chacun en deux parties égales, ce qui forme 4 bassins indépendants. Il a coûté 7 millions de francs, dont 2 millions pour l'acquisition des terrains et la consolidation des carrières » qui gercent ici le sous-sol de la capitale.
En somme : des eaux « d'une
limpidité parfaite, d'une température constante de 11° à 12°, gardées à l'abri
de toute altération », prises à diverses altitudes, la plus grande étant
de 133 m ; une section permettant le passage de 130 000 m3
par jour ou 1 500 l/s, 136 km sans les canaux d'amenée, les drains,
la conduite de Cochepies et celle des eaux de Chaintreauville près Nemours, de
Villemer et de Saint-Thomas près Moret ; 17 km de siphons,
14 500 m d'arcades : tel est ce grand ouvrage, décrété le 19 décembre
1866, sur les plans de l'illustre ingénieur Belgrand, achevé en 1875 et
constamment perfectionné à partir de 1879. Il a coûté, ces améliorations non
comprises, et sans le réservoir et les conduites d'eau dans Paris, une somme
d'environ 40 millions de francs.
[Dictionnaire géographique et administratif de la France, Paul Joanne, Hachette, Paris, 1906]
Que nous prenons à droite. Le chemin est balisé en jaune. Il monte légèrement vers les constructions de surveillance de l’aqueduc, le sentier longe la clôture du bois privé puis nous devons difficilement pousser une barrière en grillage frottant au sol. Nous sommes entre deux grillages celui de la propriété privée et celui empêchant les animaux de ce rendre dans les cultures entourant le bois. Le sentier et le balisage se poursuivent au dessus de l’aqueduc enterré. Nous grimpons dans le bois de la Faisanderie (certain chemin sont notés propriétés privées) laissons un premier chemin sur la
gauche et dans un vallon étroit ressemblant plus à
un très large fossé nous abandonnons le balisage jaune et prenons le chemin de gauche, nous descendons, laissons un premier chemin avec une pancarte ‘’chemin privé’’. Dans le bas nous trouvons un carrefour avec deux chemins sur la gauche. La pancarte ‘’privée’’ étant dans l’angle j’ai estimé que c’était le chemin le plus à gauche qui était privé. J’ai donc pris l’autre, large chemin débouchant dans les champs, puis sur la route bitumée que nous prenons à gauche et le premier chemin à droite. Nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à droite c’est un chemin balisé mais j’ai cherché les balises (peut être un rouge N°6). Nous coupons la D 372 et prenons la route en face (nous retrouvons un balisage soit rouge ou orange.) Au carrefour nous poursuivons tout droit la route sans issus en direction de Moigny. Nous arrivons au moulin Grenat. Passons l’école à gué (je plaisante il y a un pont) et poursuivons par la rue des bornes
gravées ou nous y trouvons tout un alignement de bornes [on trouve des bornes armoriées sur le bord de la route.
Que sont-elles et d’où viennent-elles ?
Aux dires d’une riveraine, il s’agirait de bornes apportées vers 1970 par un carrier local. Le propriétaire du Moulin Grenat (de l’époque) lui aurait donné le type de blason à sculpter. http://randowill.over-blog.com/article-le-chemin-des-bornes-55846169.html
Le moulin fortifié de grenat est construit sur un gué entre Courance et Moigny sur Ecole .
Propriété au XIII siècle des templiers de Beaudelu, le moulin à été incendié en 1422 et reconstruit sous louis XI, il a u différents propriétaires avant d’être racheté par le dernier meunier Mr Prévot.
Mr Prévot collectionne tableau, bornes, vestiges archéologiques, raconte la légende selon laquelle Jeanne d’Arc de retour de Sully sur Loire se serai séjournée au moulin en mars 1430
http://gazette.gege.over-blog.fr/article-moulin-de-grenat-moigny-sur-ecole-66012244.html]
Dommage les nouveaux propriétaires n’entretiennent pas ce patrimoine ou cette curiositée. On y trouve même une haute borne cylindrique avec une fleur de lys à l’intérieur. Il est rare de trouver cette gravure intacte ayant été détruite à la révolution. J’ai lu que c’était une borne militaire, sur un autre site j’y trouve [Cette borne royale est située au pied de la Tour de Gal, ou de Ganne. Comme suggéré par son père Louis VII le Jeune, Philippe Auguste choisit la fleur de lys pour emblème de la royauté au début de son règne vers 1180, époque où il séjourna à Grez-sur-Loing.
Les bornes royales ornées de la fleur de lys jalonnent plusieurs grandes voies historiques espacées d'une demie lieue de poste.
Cette borne porte le numéro 36 et provient du relais de poste de l'Auberge à Grez-sur-Loing.
1/2 lieue de poste = 1000 toises = 1949 mètres. Poursuivons la rue du Moulin http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=77216_2]
Vous me direz que cela concerne que ce village du sud de la Seine et Marne mais l’on en trouve encore sur certaine route lorsqu’elles non pas disparues suite à un élargissement de la voie bitumée. (j'en est trouvé également dans le nord du département.) Nous sommes sur le GR 11-32 passons devant le lavoir et nous avons une vue sur la belle église de Moigny. Poursuivons en prenant la rue grande sur la gauche, puis juste avant la Mairie à droite la rue de
Verdun en direction de boutigny, au cimetière et le monument au morts à droite la rue du souvenir (balisage jaune) en direction de Corbeil ou nous quittons le GR 32. Nous arrivons à une fourche et prenons la rue de gauche (la rue du souvenir) ou nous trouvons un balisage jaune. A l'intersection des rues des Rochettes et de la Croix Blanche nous prenons sur la gauche chemin de la chapelle Sainte-Anne. Au carrefour (côte 74) quittons le balisage en prenant chemin sur la gauche puis le
premier sur la droite. Dans le bois un rocher au raz du sol avec de grands traits ou sillons. Les sillons dateraient du néolithique.
I
Le polissoir est un bloc rocheux apparenté aux mégalithes portant les traces laissées par l'activité industrieuse des hommes préhistoriques : le polissage d'outils en pierre. Toutefois, la différence entre un menhir ou un dolmen et un polissoir est que ce dernier ne semble pas être associé à la pratique d'un culte. Des croyances populaires ultérieures à leur fonctionnement peuvent être liées à ces monuments. Les stries souvent parallèles observées à la surface de ces monuments sont les résultats du polissage répété de bords d'outils. Les cuvettes souvent ovales, sont quant à elles, le fruit de l'affûtage des tranchants.
Le polissage rend les tranchants plus résistants. Avant cette opération, l'objet à polir est d'abord taillé. L'ébauche est ensuite soumise à une action d'abrasion sur un bloc de pierre humidifié. Une pression de plusieurs dizaines de kilos est nécessaire pour être efficace et le polissage d'une pièce exigeait de nombreuses heures d'un travail pénible. Wikipédia] Sans le savoir nous passons devant sans s’arrêter prenant ses sillons pour des défauts du rocher. Il faut les croire car me semble t’il ; il est répertorié sur les fiches Mérimées (bases de données documentaires mises en œuvre par la direction de l'Architecture et du Patrimoine.) La photo provient d'internet
image « Tor 19 https://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Moigny-sur-%C3%89cole_polissoir_01.jpg
En novembre 1921, y fut réalisé la première retransmission radiophonique française. Par la suite, le site a été un centre d'expérimentation pour la télévision.
Réquisitionné par la Kriegsmarine en 1941 pour permettre les communications entre Berlin et les U-Boots. Paradoxalement, Sainte-Assise n'a pas souffert des bombardements alliés et toutes les antennes ont survécu.
Le 1er janvier 1954, les PTT reprirent ces installations.
En 1991, une partie de la station est vendue par France Télécom à la Marine nationale, Centre de transmissions marine (CTM) de Sainte-Assise, pour les communications non-confidentielles avec les sous-marins. Le site, inauguré en 1998, est devenu un terrain militaire surveillé par une compagnie de fusiliers-marins.
Un mat de 250 mètres non relié à l'antenne reste la propriété de Globecast, filiale de France Telecom qui est désormais le propriétaire du téléport de Sainte-Assise. Il sert de support à de multiples antennes et émetteurs (GSM, satellites...). De plus une partie du site héberge station de liaison vidéo/audio avec les satellites de France-Telecom.
En décembre 2000, 3 mats inutilisés de 180 mètres ont été détruits.] Longeons la départementale sur
la gauche sur quelques dizaines de mètres, prenons le chemin (bitumé dans sa première partie) sur la droite à la fourche à trois dents nous prenons le chemin du milieu qui n’existe pas sur la carte (ne pas prendre les chemins se dirigeant vers l’orée des bois.) Nous débouchons sur un carrefour prenons à gauche on a toujours la tour de télécom sur la gauche puis le chemin de droite et enfin le chemin débouche sur un autre formant Té nous prenons la branche de gauche ou nous retrouvons le balisage jaune. Nous butons sur une pièce de terre le chemin forme Té prenons à droite (chemin de Valfoirolle) traversons le bois, les chemins ont été un peu déplacés par rapport à la carte. Nous débouchons dans les champs, quittons le balisage (Il ne ma pas semblé possible de prendre le chemin de gauche aboutissant sur le Mont Montmoyen. Il menait à un affût pour la chasse et je n’ai pas vu le sentier continuer. Je n’ai pas exploré non plus un chasseur étant en poste sur mon chemin, je n'ai pas voulu me retrouver en difficulté dans un taillis. Quittons le balisage jaune (sur la carte) pour continuer tout droit, notre chemin devient bitumé. Au carrefour nous prenons le chemin de gauche que nous voyons au dernier moment. Coupons un chemin ou l’on retrouve le balisage provenant de gauche (le chemin existe donc bien) Longeons la corne du bois nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à droite, coupons la D 948 prenons la rue en face de la sablière et nous pénétrons dans Danemois. [Ce petit village du sud du département à la frontière avec la Seine-et-Marne, situé au cœur du parc naturel régional du Gâtinais français dans la vallée de l’École fut au XIXe siècle un site important d’extraction du grès. Dans les années 1960, il connaît son heure de gloire lorsque Claude François décide de faire de la propriété comportant le moulin communal sa résidence secondaire. Le petit cimetière du village accueille aujourd’hui entre autres la tombe du chanteur. Deux origines
s’opposent pour expliquer le nom du village. La première, une altération du mot latin Dominus (seigneur) ou la seconde, une altération du mot Dannemonia une sainte nonne originaire de l’Yonne proche en 1144. La première mention du nom date du seigneur du lieu Thierry de Dannemois.
Le nom a évolué, passant de Dampnemois au XVIe siècle à Dapnemois au XVIIe siècle puis Dannemoys avant de devenir le Dannemois actuel. Une Commanderie de l’Ordre du Temple dont subsistent le logis et la chapelle était installée à Dannemois, c’est aujourd’hui le château de la Louvetière. Wikipédia.] Puis la rue de la messe à gauche, toujours le balisage jaune. Face à l’église, nous prenons à droite la rue des francs Tireurs, puis la gauche la rue de l’église et encore à gauche la rue du moulin (direction Melun & Perthes) GR 11&32 la D901 en direction de Soisy. Quittons la départementale et le GR 32 au carrefour avec la rue de la Croix de la Loutre poursuivons tout droit la rue du Moulin. Nous passons devant le Moulin de Danemois (résidence du chanteur Claude François. [Claude François, surnommé « Cloclo », né le 1er février 1939 à Ismaïlia en Égypte et mort accidentellement le 11 mars 1978 à l'âge de 39 ans à Paris, est un chanteur populaire et producteur français des années 1960 et 1970. Nombre de ses chansons sont restées dans les cœurs et les mémoires, comme Belles ! Belles ! Belles !, Cette année-là, Le Lundi au soleil, Le téléphone pleure, Magnolias for Ever, Alexandrie Alexandra ou encore Comme d'habitude (My Way en version anglaise). Parallèlement à ses activités de chanteur, Claude François, éternel touche à tout, s'est investi dans diverses activités. C'est ainsi, qu'en 1972, il reprend le magazine Podium, qui devient rapidement la plus grosse publication pour les jeunes, supplantant même le célèbre Salut les copains. La même année, il crée une agence de mannequins, Girls Models.
Son attirance pour les jolies femmes le pousse, au printemps 1974, à racheter une revue de charme, Absolu. Il se transforme, pour l'occasion, en photographe, signant ses photos du pseudonyme de François Dumoulin. Les clichés sont tous pris au Moulin. Lire la suite dans wikipédia] poursuivons la rue quittons le GR 11 (nous retrouvons un passage familier si vous avez fait la promenade
précédente. La rue change de nom et devient « de Danemois » nous longeons l'école, passons devant le Moulin neuf et prenons le chemin en biais sur la gauche, montant vers la grosse ferme de Montaquoy [Soisy-sur-École est bordé de petites fermes. Montaquoi est situé sur une butte c'est un petit hameau dans le village même. Composé d'un grand corps de ferme et de maisons adjacentes, il représente un espace hors du temps sauvegardé et apprécié des productions télévisuelles qui l'ont déjà choisi comme toile de fond. La ferme de Montaquoy, (était un Fief avant le XVIIIe siècle,) semble être la ferme la plus importante de la région. Les fermiers en possédaient La charge de père en fils. La famille legendre, propriétaire des lieux, avait souvent un de ses membres élu comme maire à la tête de la Commune de Soisy-sur-École. Monsieur Loste, qui fut également maire, reprit la ferme entre 1918 et 1939 et y fit faire d'importants travaux. Dont un porche-château d'eau imposant.] Contournons la ferme par la droite coupons la rue des Saules prenons en face la rue de l’église nous passons devant l’ancien presbytère dont la bâtisse est remarquable [Le presbytère est une bâtisse aux couleurs chatoyantes que l'on a du mal a dater. La façade d'inspiration baroque s'orne de jaune, de bleu, d'ocre et des moulages de coquillage accompagnent les montants des fenêtres et des portes. https://fr.geneawiki.com/index.php/91599_-_Soisy-sur-%C3%89cole] Passons devant l’église [Saint-Aignan est datée du Xe siècle. Elle a été restaurée dans les années 1980. Ses vitraux aux couleurs chaudes rendent le lieu spirituel et chaleureux. https://fr.geneawiki.com/index.php/91599_-_Soisy-sur-%C3%89cole] Poursuivons par la rue de la Croix Bussière au rond point nous prenons à droite la rue de Melun
Vous trouverez la carte de mes randos de la journée à l'adresse suivante.
Toute mes randos de la journée
Beaucoup de couleur et pas très clair en foret de Fontainebleau. Je n'ai pas voulu surcharger les traces lorsque je passe plusieurs fois au même endroit.
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