samedi 2 juin 2018

Promenade en Essonne 7 - Chailly - Cély

Retour de lEssonne vers Fontainebleau

L’étape 15 terminait notre itinéraire officiel sur le GR 111. Mes pérégrinations autour de cette demie boucle entre Milly et Saint Michel sur Orge mon fait découvrir une partie du département de l'Essonne que je ne connaissais pas. LEssonne se résumait à mes yeux, aux grands ensembles de Massy-Palaiseau-Evry-Corbeil, ou à dhideux pavillons de banlieues. Jai découvert des champs, des parcs et des balisages locaux bien entretenus, bien balisés dont la Seine et Marne pourrait prendre exemple, et ce qui est rare, nous retrouvons le tracés des balisages locaux sur la carte.
Ma première idée était de revenir sur Fontainebleau en ligne direct, d’où cette balade de Saint Michel sur Orge à d'Etrechy. Je ne voulais pas utiliser, ou le moins possible les GR 1 -  11 & 32 que nous avions déjà fait et en empruntant un maximum de sentiers locaux.
Au fur et a mesure de mes pérégrinations, je me suis rendu compte que je ne rentrais pas en ligne direct sur Fontainebleau mais que je faisais des boucles remplissant le demi cercle constitué par le GR 111. Ce qui devait avoir pour titre Retour vers Fontainebleau et comporter des numéros de 16 à 20 se transforme en Randonnée en Essonne.
  
En Bleu le GR 111
En Rouge touchant le bleu les branches du GR 111 A,B,C & D  et celui que j'ai appelé pompeusement "E" afin de relier la gare de Fontainebleau à Milly
Les circuits en autre couleur sont mes randonnées en Essonne.

Carte, Randonnée N°7 : Chailly - Cély



Carte IGN    Trace GPX & Topo sans Commentaires      Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b311195
 Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Promenade en Essonne 7 et Retour en Seine & Marne : Chailly en Biere – Cély – Chailly en Biere

Départ carrefour de l’épine situé sur la N°7

KM     Temps     Arret     V/d     V/g     Dénivelé
31        5h12       0h43      6,0      5,3      189 +

Nous partons sur la droite par la route Mory de Neuflieux ou l’on y trouve un balisage bleu. Attention le parking du carrefour de l'épine est divisé en deux par la D 607 la route Mory de Neuflieux se trouve parcelles 883-888 coté droit du parking en direction de Chailly il y a un tunnel pour traverser la route. Après une longue marche dans le sable au pied des rochers, nous prenons à gauche la route du Cuvier Chatillon (toujours balisage bleu) nous passons un énorme rocher sur la droite poursuivons notre chemin en laissant sur la droite les deux branches du sentier bleu N°5. A la rencontre du GR nous prenons à droite c’est toujours la route du cuvier chatillon. Nous passons devant les rochers silico calcaire que l’on a du mal remarquer tellement que la végétation à poussée, on y trouve une marque de l’ancien GR aujourd’hui impossible de traverser le taillis. [Les sables stampiens on été surmonté par le calcaire de Beauce. On peut expliquer les trous par la dissolution des nodules de calcaire, incrusté dans le grès.] Nous arrivons au carrefour entre les routes du Cuvier Chatillon la route tournante du même nom et de la mare à Piat. Nous prenons à gauche la route Tournante du Cuvier Chatillon. Nous rencontrons le GR et le TMF en provenance de la droite (Rocher Canon) et nous l’abandonnons lorsqu’il part à gauche (vers le Cuvier Chatillon). Poursuivons notre route
tournante, nous arrivons au point de vue du Camp de Chailly [ [Le camp établi en 1840 fut levé au bout de peu de jours ; le carrefour fut disposé à cette époque.
 « Une nouvelle station de l'Age de la Pierre en forêt de Fontainebleau » .
La société de préhistoire nous informe.
Situation. — Le Point de vue du Camp de Chailly, se compose d'une plate-forme elliptique d'environ 100 mètres de long sur 50 mètres de large, reliée au plateau principal par un isthme étroit, long de 40 mètres. Les dimensions de cette plate-forme étaient autrefois plus considérables et sa largeur devait atteindre près de 115 mètres, avant que les carriers aient converti en pavés une partie du banc de grès sous-jacent.
Des fouilles minutieuses nous ont permis de délimiter ce qui reste de la station, dont la majeure partie a été détruite par l'exploitation des grès ; Au point de vue géologique, le Camp de Chailly appartient au système oligocène (Sables et grès dits de Fontainebleau).
Dans sa partie inférieure, la couche archéologique renferme de nombreux foyers contenant des charbons et généralement délimités par des blocs de grès.

Nous remarquerons, qu'à l'exception de nuclei ou de gros éclats de silex craquelés par le feu.Matière première. — Le silex de la craie semble avoir été seul employé par les préhistoriques pour confectionner leur outillage. Il provient de galets ramassés dans la forêt même, notamment vers la Glandée, au Carrefour de la Table du Roi et dans les parties basses avoisinant la Seine.
Nuclei. — Le silex a été taillé sur place, aussi avons-nous recueilli un grand nombre de nuclei et de déchets divers.
Dans le coin il existe également quelques gravures rupestres. Vous pourrez lire en détail l’age de pierre en foret de Fontainebleau dans :
Nous avons une bel vue sur la plaine de la Biere  et le début du Gatinais [La forêt de Fontainebleau, autrefois appelée forêt de Bière (dérivé de bruyère). Le Pays de Bière est une aire géographique au Sud-Ouest du département de Seine-et-Marne, constitué par la partie nord-est de la région naturelle du Gâtinais, est délimitée au nord et à l'ouest par la rivière l'École ; à l'est, par la Seine et au sud par la forêt de Fontainebleau.
Des villages se formèrent autour de la forêt, le centre de celle-ci manquant d'eau ne fut pas habité. À l'époque gauloise, les Ligures et les Celtes établirent d'autres bourgades mais toujours autour de la forêt : à Avon, à Larchant.
Vers l'an 1000, la forêt était formée d'une série d'enclaves que se partageaient de petits seigneurs et de riches propriétaires terriens.
En 1067, le capétien Philippe Ier acquiert le comté du Gâtinais, ce qui permet au pouvoir royal de maîtriser l'ensemble du territoire de l'actuelle forêt. En 1167, on atteste l'existence d'une demeure royale. Pour les rois de France, la forêt avait en effet plusieurs usages dont la chasse mais aussi un intérêt militaire. Elle fournissait ainsi le bois qui servait à la construction et au chauffage. 
 Fontainebleau représentait également une place stratégique sur la route de Sens et de la Bourgogne. wikipédia]. Revenons un peu sur nos pas et poursuivons sur la gauche la route tournante qui descend rapidement vers la plaine boisée. Coupons la route du Briquet, puis le chemin de Barbizon, nous apercevons les bornes délimitant la foret domaniale de la foret communale. Nous longeons une ancienne carrière devenue une jachère (en 2017). Nous sortons du bois et entrons dans la plaine par le chemin ou la route des Thibault. Nous commençons notre traversée (pas du désert) mais des derniers maraîchers producteurs de salades. Nous arrivons à chailly en bière [Ce village de plaine au bord de la forêt de Fontainebleau est connu pour avoir accueilli les peintres faisant partie de l'École de Barbizon, Barbizon étant à l'époque, un hameau de Chailly.  Le premier seigneur connu de Chailly-en-Bière est Adam de Chailly, chevalier banier du roi Philippe Auguste. Il fonde la maison de Chailly au début du 
XIIe siècle. Les seigneurs de Chailly s'illustrent dans des batailles de la guerre de Cent Ans. Les seigneurs de Chailly-en-Bière disposent des droits féodaux en vigueur au Moyen Âge : la justice, la banalité, les dîmes et les censives. C'est au cours du XIXe siècle que les peintres de l'École de Barbizon séjournent au village de Barbizon qui était à cette époque un petit hameau de Chailly-en-bière situé au sud de la commune en lisière de la forêt de Fontainebleau. Les peintres Jean-Baptiste Corot, Alexandre-Gabriel Decamps, Charles-François Daubigny, Jean-François Millet, Théodore Rousseau, Théodore Caruelle d'Aligny et Lazare Bruandet sont considérés comme les fondateurs de cette école. (Ils sont enterrés dans le cimetière de la commune) De nombreux artistes peintres paysagistes désirant travailler « d’après nature » affluent à Chailly et Barbizon pendant près de cinquante ans entre 1825 et 1875. De 1899 à 1938, la commune de Chailly-en-Bière est desservie par le Tramway Sud de Seine-et-Marne (TSM). Cette ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique, surnommée le « Tacot » de Barbizon, relie Melun à Barbizon via Chailly-en-Bière 
 et Milly-la-Forêt à Chailly-en-Bière. le « Tacot » assure aussi le transport des marchandises et les produits agricoles des maraîchers de la commune tels que carottes, les asperges ou les cerises à destination du marché de Melun ou des Halles de Paris (aujourd’hui ce serait Ringis)
L'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire). Les sols de toute la partie ouest et centrale de la commune, correspondant à la plaine de la Bière, ainsi que les parties nord et nord-est, datent du Quaternaire. Ces sols sont formés d'un complexe de limon des plateaux constitués de limon,
d'argiles et de sables sur une épaisseur estimée à 1,5 m ou plus. Les limons des plateaux pouvant se trouver sur un substrat de calcaire et de meulière de Brie datant du Stampien (Oligocène). Une petite bande constituée de formations alluviales résiduelles ou colluvionnées, elle aussi sur un substrat de calcaire et de meulière de Brie, est présente aussi au nord-est du territoire. Les sols de la partie orientale de la commune, en lisière de la forêt de Fontainebleau, datent aussi du Quaternaire. Ces sols sont composés de « grèves » (formés de cailloutis calcaires et de sables) ou de formations sableuses dérivant pour l'essentiel des « sables de Fontainebleau ». Quelques bandes de sables et de grès de Fontainebleau datant du Stampien moyen et supérieur, sont présentes à l'est et au nord-est du territoire. Le ru de la Mare aux Evées, un affluent gauche de la Seine qui traverse le territoire de la commune au nord-est sur quelques centaines de mètres, est le seul cours d'eau notable de Chailly-en-Bière wikipédia]
[Un petit mot sur J.F. Millet : L'intérêt de Jean-François Millet (1814-1875)
pour les thèmes ruraux est tout naturel. Il est né dans une famille de paysans aisés du Cotentin et travaille à la ferme jusqu'à l'âge de vingt ans. Ses dons pour le dessin conduiront son père à l'inscrire en 1835 à Cherbourg dans l'atelier du peintre Du Mouchel. Millet est surtout connu pour ses scènes paysannes, mais cette thématique n'apparaît dans son œuvre qu'à partir de 1849, date à laquelle il s'installe à Barbizon. Il a peint auparavant, dans le style académique, des scènes pastorales, historiques ou mythologiques et des portraits.
Le glanage : Le glanage consiste à ramasser sur le sol ce qui reste après la récolte (paille, épis, grains, pommes de terre). Il s'agit d'un droit coutumier qui apparaît au Moyen Âge et subsiste au fil des siècles. Le glanage est donc licite et tout à fait distinct du maraudage qui est un vol de récoltes non détachées du sol. Les glaneurs sont en général à cette époque des paysans pauvres de la localité qui obtiennent ainsi un complément alimentaire gratuit. e courant réaliste, auquel se rattache Millet, remet en cause les conventions académiques formalisées au 17e siècle. Celles-ci hiérarchisent les genres en plaçant au sommet la peinture historique, religieuse ou mythologique. Le paysage et la scène de genre sont des genres secondaires. Par ailleurs, la composition du tableau repose sur une approche intellectuelle : la raison doit dominer l'émotion selon Nicolas Poussin (1594-1665), grand maître du classicisme français et peintre de génie. Il en résulte que la composition est réalisée en atelier puisqu'il ne s'agit pas de reproduire avec exactitude la nature mais de la discipliner pour qu'elle satisfasse à un idéal de beauté. Les peintres réalistes veulent bouleverser la hiérarchie des genres en peignant des paysages et des scènes de genre, parfois de grandes dimensions, ce qui était réservé à la peinture d'histoire. Ils veulent aussi reproduire la réalité observée et non l'idéaliser, ce qui n'exclut pas des choix esthétiques. A partir de la fin du 18e siècle, certains peintres avaient pris l'habitude de réaliser des esquisses à l'huile en plein air avant de composer l'œuvre définitive en atelier. John Constable (1776-1837), le grand paysagiste anglais, précurseur du réalisme, procédait ainsi. En France Théodore Rousseau (1812-1867) utilisait cette méthode pour créer des paysages très réalistes en opposition complète avec les critères de l'art académique. Il partit alors s'installer à Barbizon, petite commune de Seine-et-Marne, proche de la forêt de Fontainebleau. D'autres peintres vinrent le rejoindre et Barbizon devint ainsi le lieu où les peintres réalistes trouvaient leur inspiration. Certains y vécurent plusieurs années, mais d'autres n'y faisaient que des apparitions. Le terme École de Barbizon n'apparut qu'en 1890. Il ne s'agit pas d'une école où les artistes viennent apprendre la technique mais d'une communauté d'orientation artistique. Seul Jean-François Millet conserve le 

modèle classique de composition en l'appliquant à des scènes de genre paysannes. (Vous trouverez plus de détails sur le site) http://www.rivagedeboheme.fr/pages/arts/oeuvres/millet-des-glaneuses-1857.html#yYkvWl05CK1xjic8.99 ]  Nous débouchons sur une route formant Té proche de la place Chamaillard, nous prenons à droite la rue du Fours à Chaud et sur la place à gauche la rue Chamaillard sur la place du Générale Leclerc nous montons les escaliers sur la droite pour passer devant l’église [en 1763 où un incendie ravagea le clocher et une partie de la nef. Ce clocher se situait à côté de la sacristie qui était alors une chapelle. Il s’agissait d’une grosse tour ronde surplombant le village et en haut de laquelle on avait installé une cloche. Il fut reconstruit en 1765 grâce aux libéralités de Louis XV, qui fit remettre 15 000 livres à l’abbé Guignard, curé de l’époque, pour sa reconstruction car les Chaillotins ne pouvaient supporter une telle dépense. Pour remercier le roi, un jour qu’il passait pour aller à Fontainebleau, il se porta à sa rencontre suivi de ses paroissiens et, en lui présentant le plan du clocher. Depuis sa création, l’église de Chailly-en-Bière posséda de nombreuses cloches, brisées bien souvent durant les invasions. J’en dénombre SEPT jusqu’à nos jours. Voici le texte du reçu du fondeur pour une cloche livrée à Chailly-en-Bière : « le 6 juin 1588, Claude Carmer, fondeur de cloche à Pont-sur-Yonne, reconnais avoir reçu de Clément Bouchore, marguillier en l’église Saint-Paul de Chailly-en-Bière, la somme de 30 écus d’or soleil pour le prix d’une cloche fabriquée et fournie à l’église de Chailly. Devant Maître David, notaire à Melun. http://www.mairie-chailly-en-biere.fr/?page_id=1367] descendons par la petite allée en plan incliné et prenons à gauche la rue de l’église encore à gauche. Une fois que nous sommes arrivé sur la rue principale route de fontainebleau D607 (ex N°7) que nous traversons au feu tricolore et prenons en face la rue des tilleuls direction Perthes, à la fourche nous poursuivons tout droit par la rue de la fromagerie, nous sortons du village et entrons dans la plaine maraîchère. Voila ce que nous dit le Buletin Municipal [(B.M. n° 37 – Novembre 1994.)  C’est l’activité principale de Chailly, puisque l’ensemble des 10 maraîchers, auxquels il convient d’ajouter deux horticulteurs, représente environ 200 à 250 personnes en pleine saison, et que Chailly-en-Bière est la principale commune de l’Ile de France pour la culture de la salade. Si aujourd’hui le peintre Jean-François Millet se proposait de peindre les activités agricoles dans la Plaine de Chailly, nul doute qu’il représentait des maraîchers.
Il convient d’ailleurs de souligner, au regard du tableau « les Glaneuses » que depuis la mécanisation de l’agriculture, seul le maraîchage pourrait permettre de trouver les attitudes se rapprochant de ces femmes courbées vers le sol. Le maraîchage est une activité rude, qui remonte à la nuit des temps, et qui s’est toujours concentrée autour des grandes métropoles urbaines afin d’assurer un bon acheminement des produits frais. Ainsi, rue des Maraîchers à Paris, on trouvait déjà certainement les ancêtres des familles de maraîchers exploitant maintenant à Chailly et à Faÿ. Avant la guerre de 14/18, les activités maraîchères étaient concentrées dans la petite couronne de Paris. Puis, au fur et à mesure de l’urbanisation de la banlieue, les maraîchers on été contraints de s’expatrier et de s’implanter de plus en plus loin du centre de Paris, où se trouvaient encore récemment les halles. C’est ainsi, par exemple, qu’une famille de maraîcher, tout d’abord implantée dans la petite couronne à Montreuil, puis dans la grande couronne à Bobigny, est venue en 1972 à Chailly-en-Bière. A cette époque, bon nombre d’agriculteurs cultivaient encore les 900 hectares environ de terres cultivables de la commune, alors qu’aujourd’hui seuls trois agriculteurs subsistent, pour 2 horticulteurs et 10 maraîchers, lesquels cultivent une surface de l’ordre de 700 hectares de terres, 400 environ de cultures maraîchères.
Chailly-en-Bière, jadis commune exclusivement agricole, est devenue, depuis une vingtaine d’années, l’une des premières communes maraîchères de France, à tel point que ces jours derniers, dans une publicité pour les magasins se prenant pour les mousquetaires de la distribution, les maraîchers de Chailly ont été cités en exemple.
Les salades et les herbes produites à Chailly, sont exportées pour une partie vers l’Union Européenne et pour une autre partie vers le Moyen-Orient (Koweït et Arabie Saoudite) et également en Afrique. C’est ainsi qu’un maraîcher, lors d’un voyage, a retrouvé les salades qu’il produit, sur un marché de Libreville au Gabon où le prix de vente était alors de 30 francs ; il faut dire que le coût du transport est important. Les maraîchers de Chailly-en-Bière, après (C’était peut être des Francs CFA).
Certes, des esprits chagrins trouveront à redire sur la nature de cette nouvelle renommée, mais il en est ainsi et il n’y a pas lieu de s’en étonner même si de temps à autre l’attitude de certains de certains qui par des arrosages intempestifs et un encrassement immodéré de certaines routes et chemins communaux.
De plus, il convient de rappeler ici que les maraîchers contribuent chaque année à l’entretien des chemins ruraux (35 000 F en 1994), ce qui n’est pas négligeable. En conclusion, je vous indiquerai que pour « prolonger au maximum leur longévité », certains des anciens maraîchers ont institué le rite sacro-saint de la sieste journalière, en précisant que cette dernière est naturellement proscrite aux jeunes qui doivent, eux, continuer à faire fonctionner les exploitations. http://www.mairie-chailly-en-biere.fr/?page_id=1703] (Ce texte provient du bulletin municipale de la commune de Chailly. J’y ai apporté quelques modifications notamment la suppression des noms de familles des maraîchers qui n’apportaient rien à mon idée de vous faire découvrir un lieu coincé entre la foret, et l’urbaniste, ainsi que le nom du supermarché. J’espère que l’auteur de ses lignes ne m’en voudra pas.) (Attention sur la carte subsiste le musée du Père Noël.)  [Créé par un Finlandais en 1996 qui vient de fêter ses 75 ans. Une passion importée de leur pays d'origine : la Finlande. « Mon père est venu s'installer ici car il travaillait avec les correspondants de la télévision finlandaise en France. La Finlande c'est le pays du Père Noël ; une figure importante qui remonte aux dieux païens, aux Vikings... Un village entier lui est même dédié en Laponie. »
Au fil du temps, la collection s'est enrichie d'objets glanés dans des brocantes ou auprès d'autres aficionados du bedonnant barbu. « On exposait des automates, des tableaux peints par des artistes finlandais, des affiches du magazine « La vie des collectionneurs », même la brosse à dent du Père Noël », relate la fille du propriétaire qui avait pris en charge la gestion du musée, fréquenté par un public fidèle de scolaires, de passionnés et de simples curieux. « Ce musée était une idée assez intéressante et il attirait du monde, juge l'ancien maire de Chailly, qui est aussi le voisin des propriétaires. C'est dommage qu'il ait dû fermer. Je sais que la famille a traîné avant de baisser le rideau, ils y étaient très attachés. » « Nous sommes déçus que le musée n'ait pas pu continuer à vivre 


ailleurs. La ville était intéressée par la collection, mais disait n'avoir pas d'espace pour créer une structure. » En attendant, une partie de la collection est repartie en Finlande. Le reste est soigneusement emballé dans des cartons, dans l'attente d'un passionné qui pourrait lui donner une seconde vie. Le Parisien (extraie de décembre 2014 (j’ai supprimé les noms de familles cité dans l’article.) http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-et-marne-77/qui-veut-prendre-les-renes-du-musee-du-pere-noel-25-12-2014-4398773.php] Dans un virage nous abandonnons la route conduisant à Perthes pour prendre un très large chemin entre les champs de salades verte et rouge. Nous arrivons à une fourche j’ai pris à gauche mais je n’ai pas vu la fourche suivante je suis donc arrivée à la D 637 que j’ai suivi à droite. C’est une voie de grande circulation menant à l’autoroute, ce n’est pas trop agréable on y trouve beaucoup de voitures. (A la fourche il vaut peut être mieux prendre à droite vers le bois jusqu'à la D 50 que l’on suis sur la gauche.) Nous arrivons à la passerelle ou nous trouvons le chemin de Saint jacques, que nous abandonnerons tout de suite après la passerelle traversant la départementale. Nous devons traverser le bois des vieilles Gannes qui se trouve derrière un grillage afin de protéger la route des animaux. Ce bois n’est pas facile à traverser il n’y a plus de chemin. Passons le poteau et le grillage nous trouvons un sentier qui en son début est bien marqué au sol mais qui disparaît assez vite, le bois n’étant pas entretenu ma marche se détourne de ma trace et du trait noir présent sur la carte pour éviter ici un tronc barrant la route, là un bouquet de ronces ou d’orties.  

J’arrive malgré tout dans une parcelle de culture que je longe par la gauche et retrouve le chemin qui se trouve également sur la carte que je prends à droite. Ce chemin est bien entretenu il dessert les champs que nous avons entre les bois. Seul la partie du chemin dans le bois proche de la route à disparu. Nous débouchons sur la route que nous prenons sur la droite et à l’entrée du village de Fleury en Bière, nous prenons à droite le chemin derrière la barrière et traversant le Bois du Motet. Nous arrivons à Cély le chemin devient bitumeux, nous traversons le village. Au carrefour nous prenons la rue de fleury, puis la rue de la Salle direction St. Germain sur Ecole. Nous débouchons sur une rue formant Té (chemin de Boigny) nous prenons à gauche sur quelques mètres pour voir le lavoir en bordure du Rebais [Le Rebais est un affluent de l’école ; le Ru de Rebais, d'une longueur de 9,3 km, qui prend sa source dans les marais d'Arbonne-la-Forêt et rejoint l'École au lieu-dit du Petit-Moulin à Perthes.] Revenons sur nos pas et grimpons la rue (chemin de Boigny) traversons la départementale 372 (rue de Melun) et poursuivons en face par le chemin des Glaizes. Nous arrivons dans l’allée du parc que nous prenons à gauche nous longeons le parc du château de Cély ; parc devenu golf. [La construction du château de Cely remonte aux années 1430 sur l’initiative de Jacques Cœur, un marchand français connu pour être l'un des premiers français à établir des relations commerciales avec les pays du Levant.
En 1899, le Tramway Sud de Seine-et-Marne (TSM) est inauguré et relie Melun à Barbizon. À partir de 1910, la ligne Chailly - Milly lui est adjoint et permet alors aux Célysiens de bénéficier des services du « Tacot ». Cinq locomotives tirant 2 à 5 voitures « vert wagon » assurent chaque jour 3 voyages dans les deux sens. Il en coûte alors un franc pour aller jusqu’à Melun en 2e classe. L’histoire du « Tacot », dont la ligne fut fermée en 1938, est émaillée de nombreuses anecdotes, de plusieurs incidents et même de quelques accidents. Wikipédia.
Le nom de Cély s’est écrit Celly du XIV e au XV e  siècle, quoique le latin de l’époque fût Céliacus. On a écrit aussi Céli ; mais la terminaison y a fini par prévaloir. Des vestiges très curieux du séjour des tribus celtiques sur le territoire de Cély ont été retrouvés en 1856-57 et constatés par Monsieur
J.J. Champollion-Figeac, bibliothécaire au château de Fontainebleau. A gauche de la grande route de Melun à Milly, à peu de distance du poteau qui marque la séparation du département de Seine et Marne et de Seine et Oise, existait un champ de sépultures gauloises très probablement antérieures à la conquête romaine. Des haches en silex poli, trouvées sur plusieurs parties du territoire attestent également la présence des tribus gauloises. Seigneurie de Cély. La seigneurie de Cély était du ressort du bailliage de Melun, elle relevait féodalement de Dannemois (Seine et Oise). Le territoire ne paraît avoir comporter que cinq fiefs principaux ; leurs propriétaires appartenaient à la plus infime noblesse de la contrée : quelques uns même, faisant partie du Tiers-Etat, tenaient leurs fiefs en roture. Les principaux de ces fiefs étaient : 1°- Bois Baudoin , le plus important de tous et consistant au XV è siècle en une maison séant à Celly , les fossez , les jardins , le coulombier. C’est le château actuel.
Il a appartenu à deux des plus grandes familles nobles de France : les Harlay et les Thou.
2°- le fief des Granches, avec terres, droits féodaux, justice.
3°- Trois autres fiefs relevant des deux premiers,
Les de Harlay et de Eon se plurent à embellir leur résidence de Cély. Le parc qui n’était autrefois
 qu’un bois percé de quelques allées fut embelli, planté à l’anglaise, orné de statues de plantes rares et d’arbres exotiques. Le rû de Rebais, qui le traverse, servit à l’alimentation de ruisseaux, de cascades et de pièces d’eau qui concouraient à l’agrément du lieu. Ce parc a été dépouillé, vers 1850,
de ses arbres séculaires qui en faisaient la plus grande beauté.
Le château de Cély est une construction du XVè siècle formant un parallélogramme flanqué d’une tourelle aux quatre angles ; les murs sont solidement construits en pierre de taille ou grès. La façade principale est tournée au levant ; il n’y a point d’ornementation. Jadis, il était entouré de fossés remplis d’eau-vive ; en avant se trouvait un gros pavillon, servant de porte d’entrée avec tourelles
couvertes en ardoise. Dans la façade du château, côté de l’ouest, il y avait une petite chapelle formant saillie construite on ne sait à quelle époque et supprimée vers 1860. On attribue à Jacques Cœur la 
construction du château ; mais c’est contre toute vraisemblance. Jacques Cœur n’a jamais
été seigneur de Cély. C’est d’ailleurs faire peu d’honneur au célèbre argentier de Charles VII qui laissa partout, dans les édifices qu’il érigea, des traces de son goût et de sa magnificence, que de lui attribué la construction de Cély.
·  http://cely.fr/wp-content/uploads/2015/10/monographie-de-la-commune-de-cly-en-bire4.pdf] Face au château nous prenons à gauche la rue du Bois Beaudouin. Dans le virage nous trouvons un 

espace herbeux bien tondu entre les maisons c’est le chemin de la fontaine Saint –Marc que nous prenons vers la rue (chemin des carrières) nous trouvons quelques marches et la fontaine au pied. Dommage que l’aménagement de ce lieu n’a pas été fait, on a l’impression d’un tuyau d’égout à l’aire libre. Prenons sur la gauche durant quelques mètres la rue des carrières puis à droite le chemin de la Noirolle. Coupons la D 372 et poursuivons en face le chemin des Rochettes bitumé en son départ. Nous grimpons vers l’autoroute que nous longeons un instant puis l’on prend le chemin perpendiculaire à l’autoroute le chemin des granges. Nous passons les terrains de sport retrouvons le bitume et au carrefour nous poursuivons à droite le chemin des Rochettes (Route) Nous sommes dans les champs à 
quelques encablures de l’autoroute. Nous approchons du mur d’enceinte du château de Fleury et nous reconnaissons la tour que nous avons vu lors de la rando précédente. Prenons la rue de Rebais sur la gauche et longeons le mur d’enceinte du château nous passons devant une porte monumentale puis le lavoir nous entrons dans Fleury. Nous débouchons rue du Cardinal de Richelieu [Armand Jean du Plessis de Richelieu, dit le cardinal de Richelieu, cardinal-duc de Richelieu et duc de Fronsac, est un ecclésiastique et homme d'État, né le 9 septembre 1585 à Paris et mort le 4 décembre
1642 dans cette même ville. Pair de France, il a été le principal ministre du roi Louis XIII. Wikipédia] que nous prenons à droite, puis la route de l’église [L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, d'architecture romane, date du XIIe siècle. Elle est en 1926 inscrite à l'inventaire du patrimoine culturel de la France. Elle comporte des pierres tombales des XIIIe et XIVe siècles, un tableau attribué au peintre espagnol Francisco de Zurbarán (1598-1664), un autel privilégié dédié au prince de Talmont (la relique du cœur de ce chef chouan se trouve dans la chapelle sous le clocher) et des fresques du peintre Dagnan Bouveret (XIXe siècle). À la suite de l'effondrement d'une partie du toit, de magnifiques peintures ont été révélées sous le plâtre. Une restauration est en cours. Wikipédia] et la ruelle Comtesse de Béhague [Fille aînée du comte Octave de Béhague et de la comtesse, née Fanny-Laure de Haber (petite-fille de Salomon von Haber), elle épouse, le 3 octobre 1887 à Paris (VIIIe
puis religieusement le lendemain à l'église Saint-Philippe-du-Roule, Charles Anne Jean, marquis de Ganay (1861-1948), officier de cavalerie, vice-président du conseil général de Seine-et-Oise et président de la Société d'Encouragement. Durant la Première Guerre mondiale, elle se consacre à l’aide aux femmes de soldats mobilisés contraintes de travailler dans les usines et fonda, avec Mlle Renée de Montmort, l'« Association des Infirmières Visiteuses ». Elle aide à la création de dispensaires antituberculeux après avoir fondé l’établissement qui devint plus tard l’École du Comité national de la tuberculose. Elle donne également beaucoup de son temps à la Croix-Rouge. Elle possède également le château de Courances dans l'Essonne, acquis en 1870 par son grand-père, 

le baron Samuel de Haber et restauré par Gabriel-Hippolyte Destailleur, détenu actuellement par ses descendants, héritiers de leur tante Martine, comtesse de Béarn, morte sans postérité en 1939. Wikipédia] sur la gauche et enfin à droite la rue Cosme Clausse [Côme Clausse achète en 1550 la terre de Fleury-en-Bière et fait construire le château (actuel département de Seine-et-Marne) qui reviendra à son fils aîné Henri. Il achète pour 15 000 livres le 20 février 1552 la terre de Courances (actuel département de l'Essonne), qui échoit après sa mort à son fils cadet Pierre. Il fait également l'acquisition d'un hôtel urbain à Fontainebleau.
Il épouse Marie Bourgeois, fille de François Bourgeois (dit Burgensis), premier médecin de François Ier, dont il a treize enfants parmi lesquels :
  • Henri, seigneur de Fleury-en-Bière, filleul de Henri II, Grand maître des Eaux et Forêts de France (aîné) ;
  • Pierre, seigneur de Marchaumont (deuxième fils) ;
  • Nicolas (1545-1573), évêque de Châlons en 1572 (troisième fils) ;
  • Côme (1548-1624), évêque de Châlons en 1575.
Wikipédia] et nous passons devant le château [Château de Fleury-en-Bière, classé à l'inventaire des monuments historiques pour le parc, les communs et la toiture. Les époques de construction vont des XIIe et XVIe siècles au XVIIIe (années 1770-1782). C'est dans ce château que fut créée en 1857 l'Œuvre des campagnes. Le château a été transformé en hôpital militaire pendant la Première Guerre mondiale. Le château et le parc qui l'entoure ont reçu un classement par arrêté du 17 décembre 1947 ; les façades et toitures des communs par arrêté du 5 octobre 1951. Le parc comporte un grand canal de près de 800 mètres de long, d'inspiration vénitienne, prototype du genre en France au XVIe siècle. Le parc a été réaménagé par Jean-Baptiste Chaussard en 1769. Côme Clausse acquiert en 1550 la terre de Fleury (puis celle de Courances en 1552). Il entreprend alors la construction d'un nouveau château. Il passe par la suite à son fils ainé Henri. Jérôme d'Argouges, propriétaire du château, le fait remanier en 1770. La comtesse de Béhague le fait restaurer par l'architecte Rahir entre 1910 et 1914. Il passe 

par héritage à la famille de Ganay. Le monument fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par des arrêtés datant des 17 décembre 1947 et 5 octobre 1951. Wikipédia] [Le château :
Le 6 Septembre 1550, Cosme Clausse, notaire royal, ancien secrétaire des Dauphins François et Henri (futurs François  1er  et Henri II) et secrétaire d’Etat d’Henri II acquiert le château et devient le nouveau seigneur de Fleury.
Il choisit d’entreprendre de nombreux travaux et engage des bâtisseurs et des architectes notamment Gilles le Breton, maitre- maçon, ou Pierre de Lescot, architecte du Louvre qui se sont notamment illustrés au château de Fontainebleau.
Ainsi le château protégé de son enceinte où apparaissent régulièrement deux C entrelacés, initiales de Cosme Clausse, fermé par son pavillon d’entrée où un bas-relief sculpté représente Saint Georges, agrémenté d’un parc qui comporte un grand canal de près de 800 mètres de long, d'inspiration vénitienne, montre la puissance du maître des lieux et son désir de suivre la mode du XVIe siècle.
La famille Clausse poursuivra les travaux d’agrandissement du château et permettra la sécularisation du prieuré, dotant ainsi la paroisse d’un curé permanent. Dans la première moitié du XVIIIe siècle, les terres de Fleury échoient par mariage à la famille d'Argouges, qui règne jusqu'en 1782 et qui veillera à la modernisation et l'achèvement du château, doublant le corps de logis principal, surélevé d'un attique et flanqué d'une nouvelle tour cylindrique à l'angle sud-

ouest, faisant réaménagé le parc par Jean-Baptiste Chaussard.wikipédia] Nous prenons sur la gauche la rue des Tisserands, puis la rue de la Foret , sur la gauche nous trouvons le chemin de la Vallée,  rue bitumée et bordée de maisons d’un coté nous voici rapidement dans les champs. Au loin ce dessine les buttes de la foret de Fontainebleau. Nous débouchons sur un chemin formant Té et prenons la branche de droite, nous débouchons sur une route bitumée que nous prenons à droite nous nous dirigeons vers le village de Forges puis le chemin sur la gauche ou nous retrouvons une autre route que nous prenons à gauche coupons une route allant de St.
Martin en Bière à Chailly. Nous arrivons à une fourche abandonnons le bitume et prenons le chemin de droite coupons la D64 et prenons le petit chemin traversant le Haras des Brûlis [Roger-Yves Bost, surnommé « Bosty » par son père dès son plus jeune âge, est né le 21 octobre 1965 en Île-de-France. Il découvre rapidement les chevaux dans la structure de ses parents : le Haras de Brulys, à Barbizon, où il est aujourd'hui installé avec sa famille. Il commence à monter à poney et se montre talentueux en compétition dès l'âge de 8 ans. Il est sacré deux fois Champion de France poney, et obtient la médaille d'argent aux Championnats d'Europe à 12 ans au Touquet. Roger-Yves commence ensuite sa carrière à cheval et les succès s'enchainent : Champion d'Europe junior en 1982, puis Champion 

d'Europe Jeunes Cavaliers par équipe les trois années suivantes.
Roger-Yves Bost et Nippon d'Elle en avril 2013.
En 1986, à 21 ans, Roger-Yves commence sa carrière senior et monte sur la troisième marche du podium des Championnats de France. Dans les années 1990, il est sélectionné à de nombreuses reprises au sein de l'équipe de France grâce à Norton de Rhuys, avec lequel il sera Champion du monde par équipe en 1990. L'année suivante, le couple se classe troisième de la Finale Coupe du monde de Göteborg. L'étalon Souviens Toi III lui permet de participer aux Jeux olympiques d'Atlanta, où l'équipe de France termine à la quatrième place.
Depuis près de trente ans, Roger-Yves Bost continue sa carrière au plus haut-niveau mondial. Il a remporté plus de 3,7 millions d'euros de gain grâce à ses nombreuses victoires en Grands Prix : neuf Coupes du monde, la Finale du Global Champions Tour d'Abu-Dhabi avec Ideal de la Loge en 2011 etc. Son important palmarès lui permet d'être distingué par le Président Jacques Chirac au titre de chevalier de l'Ordre du Mérite agricole.
Le style unique de Roger-Yves Bost est célèbre à travers le monde. Il est également connu pour être un cavalier très rapide, ce qui lui permet de remporter de très nombreuses épreuves de vitesse. Wikipédia] Longeons le haras et entrons en foret domaniale par la route très sableuse de la perspective de Rochefort. Poursuivons cette route en traversant le carrefour des Ventes Alexandre. Nous débouchons sur la route des gorges aux néfliers que nous prenons à droite. Nous arrivons à la au carrefour avec la route des ventes Alexandre que nous prenons à gauche de petit chemin elle passe rapidement à sentier et disparaît presque au sommet entre les rochers. Nous rencontrons le sentier bleu et le GR. Suivant la

trace que vous avez suivi vous n’êtes pas en face du sentier descendant dans les gorges d’apremont. Descente peut facile il y a quelques temps par un chemin très raviné qui aujourd’hui à été stabilisé par un affreux escalier en palettes. Il est tellement bien adapté aux pas du randonneur que des sentiers autour de ce dernier se sont créés. Je n’aime pas ce genre d’aménagement devenant glissant au bout de quelques mois, on y installe alors un grillage, qui n’est pas entretenu se déchire sous le frottement des semelles (chercher photos) et forment ainsi un piège ou avec la fatigue et le
poids d’un sac à dos se transforme en un formidable chute et ici il est difficile vue la pente de se rattraper. C’est une histoire qui m’est arrivé et je déteste ses aménagements peut esthétiques et qui n’ont rien à faire à Fontainebleau, pays du grès et des carriers. Coupons la route des gorges d’apremont, puis le chemin fait fourche et nous prenons la branche de droite à la seconde fourche encore à droite nous suivons toujours le GR 1. Nous débouchons sur la route goudronnée menant à Barbizon (allée des vaches) nous prenons à droite le sentier le long de la route l’allée des vaches balisage bleu – GR1 et TMF. Nous arrivons au carrefour du bas Bréau passons sur la gauche du restaurant abandonnons le balisage et prenons la route de Barbizon à Fontainebleau. Au carrefour Félix Herbet nous prenons à gauche la route de la solitude que nous suivons jusqu’au carrefour de l’épine.




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 Beaucoup de couleur et pas très clair en foret de Fontainebleau. Je n'ai pas voulu surcharger les traces lorsque je passe plusieurs fois au même endroit. 
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