Retour de l’Essonne vers Fontainebleau
L’étape 15 terminait notre itinéraire
officiel sur le GR 111. Mes pérégrinations autour de cette demie boucle
entre Milly et Saint Michel sur Orge mon fait découvrir une partie du département
de l'Essonne que je ne connaissais pas. L’Essonne se résumait à
mes yeux, aux grands ensembles de Massy-Palaiseau-Evry-Corbeil, ou à
d’hideux
pavillons de banlieues. J’ai découvert des champs, des parcs et des
balisages locaux bien entretenus, bien balisés dont la Seine et Marne pourrait
prendre exemple, et ce qui est rare, nous retrouvons le tracés
des balisages locaux sur la carte.
Ma première idée était de revenir sur Fontainebleau en ligne direct, d’où cette balade de Saint Michel sur Orge à d'Etrechy. Je ne voulais pas utiliser, ou le moins possible
les GR 1 - 11 & 32 que nous avions déjà fait et en empruntant un maximum de sentiers locaux.
Au fur et a mesure de mes pérégrinations, je me suis rendu compte que je ne rentrais pas en ligne direct sur Fontainebleau mais que je faisais des boucles remplissant le demi cercle constitué par le GR 111. Ce qui devait avoir pour titre retour vers Fontainebleau et comporter des numéros de 16 à 20 se transforme en Randonnée en Essonne.
Les circuits en autre couleur sont mes randonnées en Essonne.
Au fur et a mesure de mes pérégrinations, je me suis rendu compte que je ne rentrais pas en ligne direct sur Fontainebleau mais que je faisais des boucles remplissant le demi cercle constitué par le GR 111. Ce qui devait avoir pour titre retour vers Fontainebleau et comporter des numéros de 16 à 20 se transforme en Randonnée en Essonne.
En Bleu le GR 111
En Rouge touchant le bleu les branches du GR 111
A,B,C & D et celui que j'ai appelé pompeusement "E" afin de relier
la gare de Fontainebleau à MillyLes circuits en autre couleur sont mes randonnées en Essonne.
Cette première étape est un peu longue 38 km entre Etréchy
et Saint Michel sur Orge. j’ai utilisé le GR 655 (Saint Jacques de
Compostelle) afin de retrouver le centre de mon arc. Le retour se faisant en
train. A Etréchy, en semaine je n’ai pas eu de mal à trouver de la
place gratuite proche de la gare. L’horaire du train ne m’a
pas permis de réaliser l’itinéraire dans le sens ;
Saint Michel – Etrechy.
Avril 2017, Randonnée N°1 : Saint Michel sur Orge – Etrechy.
Km Temps Arret V/d V/g Dénivelé
38 6h43 0h45 5,7
5,1 353
Le code mobile de cette randonnée est b311184
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Départ Etrechy : Nous rejoignons l’avenue d’Orléans, j’avais trouvé une place gratuite rue de la gare, la rue Grande étant en zone bleu.
Nous passons sous la ligne SNCF et arrivons à un grand rond point. Nous sommes sur le GR 11 & 655 ainsi qu'un balisage jaune. Ne pas prendre la rue menant à la zone industrielle, poursuivre la D 146 passez sous la N20. Au second rond point ne pas prendre la voie de gauche mais en face la D 148 route de Saint fiacre, vers
Auvers saint Gorges. Suivre le balisage bleu & GR, puis à droite la rue du Moulin de Vaux. Cette rue d’accès au moulin en bordure de la Juine est bordée de platanes [longue de 55 km, affluent de la rive gauche de l'Essonne et sous-affluent de la Seine.La Juine prend sa source dans le département du Loiret, dans le bois de Chambaudoin, près d'Autruy-sur-Juine. L'origine de son nom lui vient du hameau de Juines qu'elle longe avant d'entrer dans le département de l'Essonne où elle traverse plusieurs communes : Méréville, Saint-Cyr-la-Rivière, Ormoy-la-Rivière, Étampes, Étréchy, Chamarande, Janville-sur-Juine, Bouray-sur-Juine, Lardy…
Départ Etrechy : Nous rejoignons l’avenue d’Orléans, j’avais trouvé une place gratuite rue de la gare, la rue Grande étant en zone bleu.
Nous passons sous la ligne SNCF et arrivons à un grand rond point. Nous sommes sur le GR 11 & 655 ainsi qu'un balisage jaune. Ne pas prendre la rue menant à la zone industrielle, poursuivre la D 146 passez sous la N20. Au second rond point ne pas prendre la voie de gauche mais en face la D 148 route de Saint fiacre, vers
Auvers saint Gorges. Suivre le balisage bleu & GR, puis à droite la rue du Moulin de Vaux. Cette rue d’accès au moulin en bordure de la Juine est bordée de platanes [longue de 55 km, affluent de la rive gauche de l'Essonne et sous-affluent de la Seine.La Juine prend sa source dans le département du Loiret, dans le bois de Chambaudoin, près d'Autruy-sur-Juine. L'origine de son nom lui vient du hameau de Juines qu'elle longe avant d'entrer dans le département de l'Essonne où elle traverse plusieurs communes : Méréville, Saint-Cyr-la-Rivière, Ormoy-la-Rivière, Étampes, Étréchy, Chamarande, Janville-sur-Juine, Bouray-sur-Juine, Lardy…
Elle
rejoint l'Essonne en limite des communes d'Itteville et
de Vert-le-Petit, après avoir traversé les parcs de plusieurs châteaux
(Saint-Vrain, Chamarande, Mesnil Voisin…) et alimenté de nombreux moulins aujourd'hui
abandonnés.
Du XVe au XVIIIe siècles, elle formait avec
l'Essonne et la Seine une voie navigable, empruntée par des bateaux à fond plat qui transportaient le blé de la Beauce, région céréalière, vers Paris.] Surprenant que cette petite rivière
servait de liaison entre la Beauce et la Seine… Traversons le pont.
Il me semble que le moulin à été
transformé en logement. Nous retrouvons la D 148
que nous prenons à droite. Au rond point nous quittons
les GR et prenons à gauche la rue Saint Fiacre en
direction d’Auvers Saint
Georges. Ne vous laissez pas endormir par cette rue bien droite bordée de beaux pavillons, nous prenons la première impasse sur la droite face à l'arrêt de bus « la ruelle aux Anglais. Elle monte un peut, nous abandonnons le balisage bleu et rencontrons un balisage jaune que nous suivons. Nous débouchons dans les champs. Nous coupons une route et longeons un centre équestre bordant un chemin bitumé. Balisage jaune, puis nous retrouvons un balisage bleu. Autour de nous un paysage très vallonné. Nous entrons en foret, balisage jaune & bleu, nous sommes dans les sables de Fontainebleau, nous y trouvons des rochers. Les bois portent bien leur noms, nous sommes dans le Rocher de Billard et Roche Ronde.
On peut y trouver dans de petites grottes comme à Fontainebleau des gravures rupestres notamment du côté du trou Sarrazin [Les plus récents (souvent du Moyen Âge), ou au contraire les plus vieux (du Paléolithique supérieur), sont du genre figuratif : on y voit les mêmes représentations animales ou humaines que dans d’autres sites déjà datés de cette époque. Mais ces motifs sont également les moins fréquents. Généralement, les gravures "bellifontaines" (de Fontainebleau) se distinguent en effet par leur caractère abstrait : dans le millier d’abris ornés découverts à ce jour dans le massif de Fontainebleau, on retrouve un peu partout de simples sillons creusés dans le grès, isolés ou en faisceaux.
http://www.savoirs.essonne.fr/thematiques/le-patrimoine/archeologie/a-la-decouverte-de-lart-rupestre-en-essonne/] Nous rencontrons de nouveau le GR 11 & 655, puis une route que nous prenons à gauche sur quelques centaines de mètres, puis à droite. (Une petite prairie permet de voir le petit poteau d’information sur les GR en coupant nous évitons de prendre la route.) Nous arrivons à un carrefour de GR laissons le GR 11 poursuivre tout droit et prenons le GR 655 sur la gauche en direction de Janville sur Juine (balisage également jaune & bleu). Nous grimpons à nouveau sur un plateau. Nous débouchons dans les champs et notre chemin formant Té, nous prenons à gauche comme les balisages. Passons une grosse ferme et prenons à droite, toujours le GR et les balisages locaux. Attention c’est un carrefour de balisage. Il faut suivre le GR, le balisage bleu et les jaunes N 22 & 00. Nous entrons dans un bois, quittons le balisage local et poursuivons le GR sur la gauche. Nous coupons la D 17 quittons les balisages locaux et entrons dans Gillevoisin en suivant le Gr. Je prends la première rue de droite « avenue du château » pour voir ce dernier. [Le château de Gillevoisin au cœur de l'ancien pays de Hurepoix, (wikipédia) La première mention du château remonte à 1479. Le vieux château est composé de deux corps de bâtiment allongés, qui se font face. La partie la plus ancienne du château est la plus proche de la Juine. On accède par le bâtiment sud, à la cour intérieure, en passant par un gros pavillon carré, véritable châtelet d'entrée, percé d'une poterne.
Le "château neuf" date de la première moitié du 17ème siècle. La tour carrée centrale en briques rouges est ajoutée en milieu de façade en 1898. La légende raconte que du balcon du 1er étage, Henri IV, en route pour la conquête de Paris, guetta la venue de Gabrielle d'Estrées.
A la suite de ventes successives, en 1842, Jules Armand Stanislas Dufaure devient le nouveau propriétaire du château par son mariage avec Claire de Jaubert. Il est ministre de la justice et Président du Conseil après la guerre de 1870-1871. Pendant plusieurs générations, Gillevoisin est la résidence de printemps et d'automne de cette famille de la bourgeoisie parisienne. Ils y organisent des chasses et de grandes réceptions. Quarante employés dont sept jardiniers entretiennent le domaine.
A la mort de M. Dufaure, le château est légué aux Franciscains qui vont y vivre de 1946 à 1950.
Ces derniers vendent le château à l'Etablissement public National Antoine Koenigswarter en 1955 pour y créer un institut médico-éducatif : l'EPNAK.
Des jeunes, en situation de handicap, agés de 14 à 20 ans y reçoivent un enseignement professionnel (entretien d'espaces verts, restauration...).
La chapelle aurait été construite entre 1622 et 1626 par Nicolas Gobelin, propriétaire à ce moment-là du château. Elle fut restaurée par Eugène Gobelin. Elle abrite aujourd'hui les fresques bibliques du peintre russe Alexei Begov, réalisées pendant son séjour à Janville de 1998 à 2004. http://www.janville-sur-juine.fr/vivre-a-janville/le-chateau-de-gillevoisin.html] Revenons sur nos pas,
prenons la rue de Janville sur la droite, puis à droite la rue de Chamarande, nous traversons la juine et poursuivons notre chemin par la route de Gillevoisin. (C’est la même route qui change de nom.) Nous débouchons sur la D 146 (route de Lardy) que nous prenons à gauche. La route n'est pas large sans talus avec des virages et cela roule vite. Nous arrivons à une patte d’oie inversée laissons la rue de l’ancienne tuilerie et prenons un peut plus loin le chemin sur la droite passant sous la ligne de chemin de fer nous
sommes toujours sur le GR 655. Nous débouchons sur un large chemin pavés avec de petit trottoirs, nous sommes au lieu dit la ravine de Brennery qui porte bien son nom "le chemin est fortement raviné". Pas facile cette grimpette (nous retrouvons un balisage bleu). Au trois quarts de la côte nous arrivons à une fourche à trois dents nous abandonnons le balisage bleu, nous prenons tout droit et suivons le GR de nouveau nous avons un carrefour de sentiers ; Les locaux mais également le GR 1. Prenons à gauche le 655 doublé du GR1. Attention au pied de la butte nous avons une nouvelle fourche, quittons le grand chemin qui grimpe pour prendre le
petit sentier sur la gauche en bordure d'un fossé. Nous contournons la butte en restant à flanc de coteau. Poursuivons entre champs et bois nous débouchons sur un chemin face à une station d’épuration et prenons à gauche, nous arrivons à Torfou prenons la rue grande sur la gauche. Nous passons devant l’école – mairie. Remarquez les linteaux des trois portes de ce bâtiment. Le logement de l’instituteur était à la mairie. L’instituteur était peut être également
le maire. A une époque lointaine l'instituteur c’était l’une des personnes le plus instruite, et le plus RESPECTE avec le curé. Mais c'est peut être aussi l'école de la république donc attenant à la mairie. Sur cette petite place remarquez également l’ancienne cabine téléphonique transformée en bibliothèque libre service. Je dis géniale … on se sert, on lit, on remet , on en prend un autre ou on amène des livres que l’on ne veut plus chez soit. Comme le village n’a plus de commerces , a coté nous trouvons un distributeur de pain automatique.
Je n’en ai vu que dans l’Essonne. Aujourd’hui j'en ai également vu en Seine et Marne perdu sur un parking de co voiturage (avec des voitures) en plein champs. l’arrêt de bus se trouvait à coté. Le matin j'y remarquais des croissants et l'après midi du pain... Poursuivons jusqu’à l’église attention la GR prend de suite à droite la rue
longeant cette dernière (rue Notre Dame). Je suis encore étonné ; une maison faisant l’angle d’une
rue, à son stock de bois de chauffage bien
rangé le long de sa maison, à
l’extérieur. Est-il en
libre service ? Est-ce le bois coupé
lors de l’entretien par la commune mis à
disposition ? Une chose est sur, je pense que chez moi dans mon village que se soit les livres ou le bois tous disparaîtraient sans retour. Les habitants ne respectant pas leur devant de porte et encore moins celui des autres ne peuvent pas respecter le bien commun. (J'étais très pessimiste depuis ma rando, mon village à établi une bibliothèque en libre accès et les livres y reste. Peut être que cela n'intéresse personne. Pessimiste. ) A la sortie du village nous prenons le
chemin de gauche toujours les GR 655 & 1 attention le virage est difficile à négocier, la balise sur quelques pavés aménageant ce carrefour n'est pas très bien placé. Après des virages à angle droit nous débouchons sur un chemin formant fourche et prenons à droite en direction de Boissy nous entrons dans un bois, puis de nouveau les champs. Nous longeons des pistes d’aéromodélisme et à l’angle du terrain nous prenons la route de gauche. Nous sommes dans la zone industrielle du Bas Torfou. Traversons la N 20 grâce à un tunnel. Nous sommes à Boissy sur Saint Yon Poursuivons par la rue S. Allendé. Laissons une rue à gauche et prenons juste avant un virage le chemin sans issus des rayons. A cet endroit un dilemme s’ouvre à vous. Couper par la rue du "pont cage" puis du val et retrouver à 950m la trace. Cela raccourci l’itinéraire d’environ 6 km, mais je ne vous le conseille pas. Si vous avez choisi cette balade c’est que vous voulez faire les 37 km et puis vous le regretterez vous passerez à coté de quelques chose de très surprenant. Prenons donc la rue des rayons et longeons les propriétés puis nous sommes de nouveau
dans les champs, peut être pas pour longtemps encore. Quoi que le bruit incessant de la nationale me rebuterait à construire ici. Attention après les maisons les GR tourne à droite et un peut plus loin nous quittons le balisage local pour suivre les GR sur la gauche. Nous entrons dans les bois et de nouveau nous grimpons. Au sommet la désolation. Une parcelle de bois est entourée d’un talus réalisé au bulldozer, les arbres n’ont même pas été coupés, ils sont enchevêtrés, cassés, broyés. J’ai mal au ventre, tout ce bois perdu c’est si dure de faire du bois pour ce chauffer. Cela nous change du village de Torfou ou le bois est bien coupé et ranger. Enfin ce n’était pas cela que je voulais vous montrer. Après la grimpette, nous
redescendons. Entre les arbres nous apercevons dans ce font de vallon situé dans la vallée de la Renarde, ancienne province de l’ Hurepoix, [Le Hurepoix est un ancien pays de France (le pagus Heripensis) devenu une petite région naturelle française, situé au sud de Paris, principalement dans le département de l'Essonne. La capitale historique en est Dourdan. Le Hurepoix était composé de deux parties, le pays de Josas au nord-ouest (nom qui subsiste dans Jouy-en-Josas et les-Loges-en-Josas), et le pays de Chastres (Castra) chef lieu du Pagus Castrensis, dont le nom changea au XVIIIe siècle en Arpajon.
Georges. Ne vous laissez pas endormir par cette rue bien droite bordée de beaux pavillons, nous prenons la première impasse sur la droite face à l'arrêt de bus « la ruelle aux Anglais. Elle monte un peut, nous abandonnons le balisage bleu et rencontrons un balisage jaune que nous suivons. Nous débouchons dans les champs. Nous coupons une route et longeons un centre équestre bordant un chemin bitumé. Balisage jaune, puis nous retrouvons un balisage bleu. Autour de nous un paysage très vallonné. Nous entrons en foret, balisage jaune & bleu, nous sommes dans les sables de Fontainebleau, nous y trouvons des rochers. Les bois portent bien leur noms, nous sommes dans le Rocher de Billard et Roche Ronde.
On peut y trouver dans de petites grottes comme à Fontainebleau des gravures rupestres notamment du côté du trou Sarrazin [Les plus récents (souvent du Moyen Âge), ou au contraire les plus vieux (du Paléolithique supérieur), sont du genre figuratif : on y voit les mêmes représentations animales ou humaines que dans d’autres sites déjà datés de cette époque. Mais ces motifs sont également les moins fréquents. Généralement, les gravures "bellifontaines" (de Fontainebleau) se distinguent en effet par leur caractère abstrait : dans le millier d’abris ornés découverts à ce jour dans le massif de Fontainebleau, on retrouve un peu partout de simples sillons creusés dans le grès, isolés ou en faisceaux.
http://www.savoirs.essonne.fr/thematiques/le-patrimoine/archeologie/a-la-decouverte-de-lart-rupestre-en-essonne/] Nous rencontrons de nouveau le GR 11 & 655, puis une route que nous prenons à gauche sur quelques centaines de mètres, puis à droite. (Une petite prairie permet de voir le petit poteau d’information sur les GR en coupant nous évitons de prendre la route.) Nous arrivons à un carrefour de GR laissons le GR 11 poursuivre tout droit et prenons le GR 655 sur la gauche en direction de Janville sur Juine (balisage également jaune & bleu). Nous grimpons à nouveau sur un plateau. Nous débouchons dans les champs et notre chemin formant Té, nous prenons à gauche comme les balisages. Passons une grosse ferme et prenons à droite, toujours le GR et les balisages locaux. Attention c’est un carrefour de balisage. Il faut suivre le GR, le balisage bleu et les jaunes N 22 & 00. Nous entrons dans un bois, quittons le balisage local et poursuivons le GR sur la gauche. Nous coupons la D 17 quittons les balisages locaux et entrons dans Gillevoisin en suivant le Gr. Je prends la première rue de droite « avenue du château » pour voir ce dernier. [Le château de Gillevoisin au cœur de l'ancien pays de Hurepoix, (wikipédia) La première mention du château remonte à 1479. Le vieux château est composé de deux corps de bâtiment allongés, qui se font face. La partie la plus ancienne du château est la plus proche de la Juine. On accède par le bâtiment sud, à la cour intérieure, en passant par un gros pavillon carré, véritable châtelet d'entrée, percé d'une poterne.
Le "château neuf" date de la première moitié du 17ème siècle. La tour carrée centrale en briques rouges est ajoutée en milieu de façade en 1898. La légende raconte que du balcon du 1er étage, Henri IV, en route pour la conquête de Paris, guetta la venue de Gabrielle d'Estrées.
A la suite de ventes successives, en 1842, Jules Armand Stanislas Dufaure devient le nouveau propriétaire du château par son mariage avec Claire de Jaubert. Il est ministre de la justice et Président du Conseil après la guerre de 1870-1871. Pendant plusieurs générations, Gillevoisin est la résidence de printemps et d'automne de cette famille de la bourgeoisie parisienne. Ils y organisent des chasses et de grandes réceptions. Quarante employés dont sept jardiniers entretiennent le domaine.
A la mort de M. Dufaure, le château est légué aux Franciscains qui vont y vivre de 1946 à 1950.
Ces derniers vendent le château à l'Etablissement public National Antoine Koenigswarter en 1955 pour y créer un institut médico-éducatif : l'EPNAK.
Des jeunes, en situation de handicap, agés de 14 à 20 ans y reçoivent un enseignement professionnel (entretien d'espaces verts, restauration...).
La chapelle aurait été construite entre 1622 et 1626 par Nicolas Gobelin, propriétaire à ce moment-là du château. Elle fut restaurée par Eugène Gobelin. Elle abrite aujourd'hui les fresques bibliques du peintre russe Alexei Begov, réalisées pendant son séjour à Janville de 1998 à 2004. http://www.janville-sur-juine.fr/vivre-a-janville/le-chateau-de-gillevoisin.html] Revenons sur nos pas,
prenons la rue de Janville sur la droite, puis à droite la rue de Chamarande, nous traversons la juine et poursuivons notre chemin par la route de Gillevoisin. (C’est la même route qui change de nom.) Nous débouchons sur la D 146 (route de Lardy) que nous prenons à gauche. La route n'est pas large sans talus avec des virages et cela roule vite. Nous arrivons à une patte d’oie inversée laissons la rue de l’ancienne tuilerie et prenons un peut plus loin le chemin sur la droite passant sous la ligne de chemin de fer nous
sommes toujours sur le GR 655. Nous débouchons sur un large chemin pavés avec de petit trottoirs, nous sommes au lieu dit la ravine de Brennery qui porte bien son nom "le chemin est fortement raviné". Pas facile cette grimpette (nous retrouvons un balisage bleu). Au trois quarts de la côte nous arrivons à une fourche à trois dents nous abandonnons le balisage bleu, nous prenons tout droit et suivons le GR de nouveau nous avons un carrefour de sentiers ; Les locaux mais également le GR 1. Prenons à gauche le 655 doublé du GR1. Attention au pied de la butte nous avons une nouvelle fourche, quittons le grand chemin qui grimpe pour prendre le
petit sentier sur la gauche en bordure d'un fossé. Nous contournons la butte en restant à flanc de coteau. Poursuivons entre champs et bois nous débouchons sur un chemin face à une station d’épuration et prenons à gauche, nous arrivons à Torfou prenons la rue grande sur la gauche. Nous passons devant l’école – mairie. Remarquez les linteaux des trois portes de ce bâtiment. Le logement de l’instituteur était à la mairie. L’instituteur était peut être également
le maire. A une époque lointaine l'instituteur c’était l’une des personnes le plus instruite, et le plus RESPECTE avec le curé. Mais c'est peut être aussi l'école de la république donc attenant à la mairie. Sur cette petite place remarquez également l’ancienne cabine téléphonique transformée en bibliothèque libre service. Je dis géniale … on se sert, on lit, on remet , on en prend un autre ou on amène des livres que l’on ne veut plus chez soit. Comme le village n’a plus de commerces , a coté nous trouvons un distributeur de pain automatique.
Depuis, j'en ai vu un peu partout dans les villages |
disposition ? Une chose est sur, je pense que chez moi dans mon village que se soit les livres ou le bois tous disparaîtraient sans retour. Les habitants ne respectant pas leur devant de porte et encore moins celui des autres ne peuvent pas respecter le bien commun. (J'étais très pessimiste depuis ma rando, mon village à établi une bibliothèque en libre accès et les livres y reste. Peut être que cela n'intéresse personne. Pessimiste. ) A la sortie du village nous prenons le
chemin de gauche toujours les GR 655 & 1 attention le virage est difficile à négocier, la balise sur quelques pavés aménageant ce carrefour n'est pas très bien placé. Après des virages à angle droit nous débouchons sur un chemin formant fourche et prenons à droite en direction de Boissy nous entrons dans un bois, puis de nouveau les champs. Nous longeons des pistes d’aéromodélisme et à l’angle du terrain nous prenons la route de gauche. Nous sommes dans la zone industrielle du Bas Torfou. Traversons la N 20 grâce à un tunnel. Nous sommes à Boissy sur Saint Yon Poursuivons par la rue S. Allendé. Laissons une rue à gauche et prenons juste avant un virage le chemin sans issus des rayons. A cet endroit un dilemme s’ouvre à vous. Couper par la rue du "pont cage" puis du val et retrouver à 950m la trace. Cela raccourci l’itinéraire d’environ 6 km, mais je ne vous le conseille pas. Si vous avez choisi cette balade c’est que vous voulez faire les 37 km et puis vous le regretterez vous passerez à coté de quelques chose de très surprenant. Prenons donc la rue des rayons et longeons les propriétés puis nous sommes de nouveau
dans les champs, peut être pas pour longtemps encore. Quoi que le bruit incessant de la nationale me rebuterait à construire ici. Attention après les maisons les GR tourne à droite et un peut plus loin nous quittons le balisage local pour suivre les GR sur la gauche. Nous entrons dans les bois et de nouveau nous grimpons. Au sommet la désolation. Une parcelle de bois est entourée d’un talus réalisé au bulldozer, les arbres n’ont même pas été coupés, ils sont enchevêtrés, cassés, broyés. J’ai mal au ventre, tout ce bois perdu c’est si dure de faire du bois pour ce chauffer. Cela nous change du village de Torfou ou le bois est bien coupé et ranger. Enfin ce n’était pas cela que je voulais vous montrer. Après la grimpette, nous
redescendons. Entre les arbres nous apercevons dans ce font de vallon situé dans la vallée de la Renarde, ancienne province de l’ Hurepoix, [Le Hurepoix est un ancien pays de France (le pagus Heripensis) devenu une petite région naturelle française, situé au sud de Paris, principalement dans le département de l'Essonne. La capitale historique en est Dourdan. Le Hurepoix était composé de deux parties, le pays de Josas au nord-ouest (nom qui subsiste dans Jouy-en-Josas et les-Loges-en-Josas), et le pays de Chastres (Castra) chef lieu du Pagus Castrensis, dont le nom changea au XVIIIe siècle en Arpajon.
Outre
l'Essonne, le Hurepoix inclut une partie du territoire des Yvelines, des Hauts-de-Seine et
du Val-de-Marne.
Il est
délimité au nord par Paris, à l'ouest par la forêt de Rambouillet dans le Mantois, à l'est
par la Seine, les forêts
de Fontainebleau dans le Gâtinais et de Sénart dans la Brie, au sud par les plaines de la Beauce. Le sol du
Hurepoix est principalement marneux, sablonneux et argileux permettant l'extraction de meulière. Résidus des recouvrements par la mer du bassin parisien,
certains plateaux sont couverts de Lœss. Wikipédia] Un petit village perdu dans les bois. Ici nous ne sommes plus en Essonne, au porte de Paris, on a l'impression d'être loin, loin dans un vallon des Vosges, d’Auvergne, des Monts d’Ambazac, ou tout autres régions écartées des grands axes et un peut vallonnés. Et pourtant, nous sommes à Saint Sulpice de Favière située à trente-huit kilometres au sud-ouest de Paris. En réalité le village vous ne le voyez même pas,
la première chose que vous remarquez c’est l’église. Un monument cette église, immense, haute de trois travées, presque une cathédrale. [L’église Saint-Sulpice dédiée à saint Sulpice le Pieux, évêque de Bourges. Ce dernier, chapelain du roi Clotaire II et évêque de Bourges au VIIe siècle, aurait, en ces lieux, ressuscité un enfant noyé. Construite aux XIIIe et XIVe siècles, à la demande de Saint
Louis, pour accueillir les nombreux pèlerins venus vénérer les reliques de saint Sulpice. Surnommée la plus belle église de village de France, l'église Saint-Sulpice, aux allures de cathédrale, constitue un chef-d'œuvre du gothique rayonnant. Une fois franchi son portail sculpté, nef lumineuse, beaux vitraux datés du XIIIe siècle, et chapelle des Miracles du XIIe siècle abritant le buste reliquaire de saint Sulpice, se dévoilent au regard. http://www.france-voyage.com/tourisme/eglise-saint-sulpice-favieres-1678.htm & wikipédia (à cette dernière adresse vous trouverez tout le détail architecturale de cette église.)] Rare de nos jours l'église était ouverte. Un office était peut être prévu... l'intérieur est comme l'extérieur un joyau.
Comme nous faisons le tour de l’église cela permet de remarquer les belles maisons situées autour de la place. Prenons la rue aux fèves sur la droite. Au carrefour à l’angle du parc prenons la rue Alphonse Lavallée c’est toujours les GR 655 &1.
Nous arrivons devant le porche d’une propriété privé, nous longeons la clôture par la gauche (sur la carte chemin de Feugères à Saint Sulpice) puis le premier chemin à droite (chemin de Saint Sulpice à Boissy) nous grimpons de nouveau en foret "de Fontainebleau "sable et rochers nous entourent. Presque cinquante mètres de dénivelé sur un chemin raviné. Sur le plateau nous retrouvons cet affreux talus renforcé d’arbres cassés,
pliés, arrachés. Nous arrivons à un carrefour mal défini et le balisage rouge et blanc manque un peu. On ne prend pas le chemin d’extrême gauche, mais l’autre (sur la carte chemin de la Sablonnière). Après quelques pas, nous trouvons une marque sur un arbre. Le GR fait un angle aigu sur la droite et prend le chemin de la Ferté, nous arrivons à une patte d’oie. C’est la séparation des GR. Laissons le GR 1 partir sur la gauche et poursuivons par le GR 655 un peu à droite c'est toujours le chemin de la ferté. Nous arrivons à Boissy sous Saint Yon. Nous débouchons rue du Clos (Dans mon topo oral je dis sur le chemin de la cour de la ferté Alais, chemin carrossable desservant les propriétés réparties en foret. je me souviens qu'il y avait beaucoup de rue et je n'ai peut être pas noté la bonne. Ensuite je note et cela me semble bon) : Nous arrivons rue du clos,
au carrefour faisant fourche nous prenons la rue de gauche "rue de l’ormeteau", (ce qui m'interpelle c'est que les noms des rue sont différentes entre la carte google et map street, il semblerait que map street sur géoportail soit la plus juste.) Nous abandonnons le balisage local pour suivre le GR. longue rue débouchant rue du puits grès. A l’église, rue de La Fontaine, que nous prenons à gauche,
[ L'église Saint-Thomas-Becket a été inscrite aux monuments historiques le 2 février 1948. Le domaine des Tourelles du XVIe siècle a été inscrit aux monuments historiques le 7 septembre 1977.]
Puis tout de suite à droite la rue de Châtres (remarquer la date sur le pilier d’une ancienne porte. 1682) Ensuite cela ce complique un peu nous arrivons dans une nouvelle zone pavillonaire le balisage est parcimonieux, il n’a pas du être refait depuis les travaux. A la fourche dans le virage laisser la rue Jean Ferrat sur la gauche poursuivre la rue de la châtre sur la droite, nous débouchons rue Jean Moulin que nous prenons à gauche. Nous arrivons à un grand rond point. Ne pas prendre la D 19. On se dirige vers Egly par la "C1" voie communale de Boissy à Arpajon sur la carte. Nous avons un large trottoir permettant de rejoindre le village passant devant un étang s'appelant ; la vidange petit ru se jetant ce jetant après avoir traversé la route dans la Grande Boëlle. Nous sommes dans une plaine légèrement vallonnée. Nous arrivons à Egly. Quittons le bitume. Dans un virage suivons sur la droite un chemin (sur la carte chemin de Dourdan à Arpajon) qui est encore en 2017 à la limite du village, mais vu les palissades, les constructions à moitier terminées ou en cours, ce sera bientôt en ville. Nous sommes entre jachères, village ancien et nouvelles constructions. Nous coupons une route. Je perds le GR qui part sur la droite. Sur ma carte je ne vois aucun chemin. Je continue ce chemin de Dourdan à Arpajon entre village et chantier. Par moment des barrières certainement déplacé par des promeneurs laissent le passage. Vers les terrains de sport (rue du stade) nous retrouvons un balisage, nous retrouvons la N°20 la longeons sur la gauche jusqu’au pont et prenons la D 192 passant au dessus, nous sommes à Arpajon [Histoire Une agglomération portant le nom de Chastres s’établit dès l’époque gallo-romaine sur la voie reliant Lutèce à Genabum (Orléans). En 1470, la seigneurie de Chastres dépend de celle de Marcoussis. En 1545, elle devient indépendante.
En 1720, Louis d’Arpajon, issu d’une grande famille du Rouergue et lieutenant général des armées du
certains plateaux sont couverts de Lœss. Wikipédia] Un petit village perdu dans les bois. Ici nous ne sommes plus en Essonne, au porte de Paris, on a l'impression d'être loin, loin dans un vallon des Vosges, d’Auvergne, des Monts d’Ambazac, ou tout autres régions écartées des grands axes et un peut vallonnés. Et pourtant, nous sommes à Saint Sulpice de Favière située à trente-huit kilometres au sud-ouest de Paris. En réalité le village vous ne le voyez même pas,
la première chose que vous remarquez c’est l’église. Un monument cette église, immense, haute de trois travées, presque une cathédrale. [L’église Saint-Sulpice dédiée à saint Sulpice le Pieux, évêque de Bourges. Ce dernier, chapelain du roi Clotaire II et évêque de Bourges au VIIe siècle, aurait, en ces lieux, ressuscité un enfant noyé. Construite aux XIIIe et XIVe siècles, à la demande de Saint
Louis, pour accueillir les nombreux pèlerins venus vénérer les reliques de saint Sulpice. Surnommée la plus belle église de village de France, l'église Saint-Sulpice, aux allures de cathédrale, constitue un chef-d'œuvre du gothique rayonnant. Une fois franchi son portail sculpté, nef lumineuse, beaux vitraux datés du XIIIe siècle, et chapelle des Miracles du XIIe siècle abritant le buste reliquaire de saint Sulpice, se dévoilent au regard. http://www.france-voyage.com/tourisme/eglise-saint-sulpice-favieres-1678.htm & wikipédia (à cette dernière adresse vous trouverez tout le détail architecturale de cette église.)] Rare de nos jours l'église était ouverte. Un office était peut être prévu... l'intérieur est comme l'extérieur un joyau.
Comme nous faisons le tour de l’église cela permet de remarquer les belles maisons situées autour de la place. Prenons la rue aux fèves sur la droite. Au carrefour à l’angle du parc prenons la rue Alphonse Lavallée c’est toujours les GR 655 &1.
Nous arrivons devant le porche d’une propriété privé, nous longeons la clôture par la gauche (sur la carte chemin de Feugères à Saint Sulpice) puis le premier chemin à droite (chemin de Saint Sulpice à Boissy) nous grimpons de nouveau en foret "de Fontainebleau "sable et rochers nous entourent. Presque cinquante mètres de dénivelé sur un chemin raviné. Sur le plateau nous retrouvons cet affreux talus renforcé d’arbres cassés,
pliés, arrachés. Nous arrivons à un carrefour mal défini et le balisage rouge et blanc manque un peu. On ne prend pas le chemin d’extrême gauche, mais l’autre (sur la carte chemin de la Sablonnière). Après quelques pas, nous trouvons une marque sur un arbre. Le GR fait un angle aigu sur la droite et prend le chemin de la Ferté, nous arrivons à une patte d’oie. C’est la séparation des GR. Laissons le GR 1 partir sur la gauche et poursuivons par le GR 655 un peu à droite c'est toujours le chemin de la ferté. Nous arrivons à Boissy sous Saint Yon. Nous débouchons rue du Clos (Dans mon topo oral je dis sur le chemin de la cour de la ferté Alais, chemin carrossable desservant les propriétés réparties en foret. je me souviens qu'il y avait beaucoup de rue et je n'ai peut être pas noté la bonne. Ensuite je note et cela me semble bon) : Nous arrivons rue du clos,
au carrefour faisant fourche nous prenons la rue de gauche "rue de l’ormeteau", (ce qui m'interpelle c'est que les noms des rue sont différentes entre la carte google et map street, il semblerait que map street sur géoportail soit la plus juste.) Nous abandonnons le balisage local pour suivre le GR. longue rue débouchant rue du puits grès. A l’église, rue de La Fontaine, que nous prenons à gauche,
[ L'église Saint-Thomas-Becket a été inscrite aux monuments historiques le 2 février 1948. Le domaine des Tourelles du XVIe siècle a été inscrit aux monuments historiques le 7 septembre 1977.]
Puis tout de suite à droite la rue de Châtres (remarquer la date sur le pilier d’une ancienne porte. 1682) Ensuite cela ce complique un peu nous arrivons dans une nouvelle zone pavillonaire le balisage est parcimonieux, il n’a pas du être refait depuis les travaux. A la fourche dans le virage laisser la rue Jean Ferrat sur la gauche poursuivre la rue de la châtre sur la droite, nous débouchons rue Jean Moulin que nous prenons à gauche. Nous arrivons à un grand rond point. Ne pas prendre la D 19. On se dirige vers Egly par la "C1" voie communale de Boissy à Arpajon sur la carte. Nous avons un large trottoir permettant de rejoindre le village passant devant un étang s'appelant ; la vidange petit ru se jetant ce jetant après avoir traversé la route dans la Grande Boëlle. Nous sommes dans une plaine légèrement vallonnée. Nous arrivons à Egly. Quittons le bitume. Dans un virage suivons sur la droite un chemin (sur la carte chemin de Dourdan à Arpajon) qui est encore en 2017 à la limite du village, mais vu les palissades, les constructions à moitier terminées ou en cours, ce sera bientôt en ville. Nous sommes entre jachères, village ancien et nouvelles constructions. Nous coupons une route. Je perds le GR qui part sur la droite. Sur ma carte je ne vois aucun chemin. Je continue ce chemin de Dourdan à Arpajon entre village et chantier. Par moment des barrières certainement déplacé par des promeneurs laissent le passage. Vers les terrains de sport (rue du stade) nous retrouvons un balisage, nous retrouvons la N°20 la longeons sur la gauche jusqu’au pont et prenons la D 192 passant au dessus, nous sommes à Arpajon [Histoire Une agglomération portant le nom de Chastres s’établit dès l’époque gallo-romaine sur la voie reliant Lutèce à Genabum (Orléans). En 1470, la seigneurie de Chastres dépend de celle de Marcoussis. En 1545, elle devient indépendante.
En 1720, Louis d’Arpajon, issu d’une grande famille du Rouergue et lieutenant général des armées du
roi, achète le marquisat. Il obtient du régent le
privilège de donner son nom à la ville, qui devient Arpajon. Le marquis et son
gendre Philippe de Noailles résident dans un château au centre de la ville.
Philippe de Noailles et son épouse Anne-Claude d’Arpajon sont guillotinés
pendant la Révolution. Le château est détruit en 1802. Au XIXe siècle,
l’industrie se développe rapidement. La plus importante est l’usine de
chaussures, créée en 1851 par les frères Mantin. Elle est rachetée par la
société des chaussures André en 1920, puis cesse son activité en 1956. Les cultures maraîchères dominent l’activité des villages voisins et,
l’Arpajonnais, un petit train, relie, de 1911 à 1936, la ville aux halles de
Paris. La première foire aux Haricots se tient en 1922. http://www.arpajon91.fr/decouvrez-la-ville/histoire-et-patrimoine/
] route d’Egly. Nous Entrons dans Arpajon. Ne vous laissez pas entrainer
comme moi par la descente. Le GR prend sur la gauche un sentier intra muros pour
se rendre à la gare. Lorsque j’ai vu la marque j’ai hésité à prendre ce
passage. Sur la carte c’était plus bas à la sortie de cette dernière. La fatigue
ne ma pas fait remarquer la marque me faisant passer par le
souterrain de la SNCF. Après il était trop tard, je n’ai pas voulu remonté. J’ai rattrapé ma trace en ville. Nous débouchons rue grande et passons sous le pont SNCF. Nous débouchons Grande Rue que nous prenons à gauche. retrouvons le GR au carrefour. J’ai loupé la Halle en bois le GR n’y passe pas et pourtant ce
n’est pas un grand détour et c’est dommage. Laissons ma trace et faisons le détour. Prenons sur la
droite la rue de Raspail, nous arrivons devant la Halle, [La halle (place du Marché) photo internet
Grès, bois de chêne et de châtaignier.
Au XVe siècle, un important marché se tient dans la ville. Vers 1470, l’amiral
de Graville, seigneur de Chastres et de Marcoussis, fait construire cette halle
pour abriter les étals. La toiture à deux pans comporte une demi-croupe aux
deux extrémités. Elle est soutenue
par quatre rangées de douze piliers en bois de chêne, dressés sur une assise de
grés. http://www.arpajon91.fr/decouvrez-la-ville/histoire-et-patrimoine/]
[Maison du XVe siècle (12 place du Marché) L’étage conserve, au-dessus d’un bandeau de grès, quatre fenêtres à meneaux. La toiture est
mansardée et couverte de tuiles
plates anciennes.. Elle est percée de quatre lucarnes. Dans
la cour intérieure, un balcon à colombages surplombe la porte cochère. Une tourelle en grès à toiture conique abrite un
escalier à vis. http://www.arpajon91.fr/decouvrez-la-ville/histoire-et-patrimoine/] [Pierre de taille.Du XVIe au XVIIIe siècle, Arpajon est entourée de murailles. En 1733, Louis d’Arpajon fait ériger ces piliers à l’emplacement du castelet qui fermait ces murailles. Mettre la photos avec la rue chastre (ancien nom d’Arpajon) http://www.arpajon91.fr/decouvrez-la-ville/histoire-et-patrimoine/]
Prendre sur la gauche la rue Guinchard, nous retrouvons la rue Grande et le GR. A l’église nous prenons à droite la rue de la résistance, puis dans la continuité la rue Louis Roger et enfin, la rue du docteur Babin nous sommes dans Saint Germain les Arpajon. Nous prenons à droite la rue Ernest Labbé et nous arrivons devant l’église. Ici je n’ai pas compris le balisage ma trace me faisait passé à gauche de l’église, le balisage me fait passer entrée dans le parc de la mairie par ce qui ma semblé être les pépinières des jardins communaux. Je n’ai pas osé entrée. Après avoir hésité, je suis passé à droite de l’église par un petit chemin(rue de la Mairie) contournant la nef et le chevet, j’ai pris la rue René Decle sur la droite, pas de balisage. Devant la mairie je me suis rendu compte que le parc était magnifique, pensant que le balisage passait à l’intérieur je suis rentré et suivi la première allée sur la gauche. Heureusement que je suis sortie au premier passage aménagé dans le grillage et continué sur le trottoir de la rue René Decle sinon j’étais partie pour un petit tour dans ce beau parc. (J’aurais préparé un peu plus mon itinéraire au lieu de suivre bêtement le GR qui n’est pas bien tracé dans ce coin, [Je serais passé par : A la mairie, je serais entrée dans le parc, j’aurai emprunté l’allée centrale perpendiculaire à la mairie traversé l’orge
et pris à gauche le chemin balisé longeant la rivière.][L'orge : longue de 50,1 km (ou 52,8 km selon le Sandre), affluent de la rive gauche de la Seine. Elle prend sa source à Saint-Martin-de-Bréthencourt dans les Yvelines, au sud du massif forestier de Rambouillet, L'Orge est une rivière beaucoup moins régulière que sa voisine l'Essonne. Son débit a été observé sur une période de 44 ans Le module de la rivière à Morsang-sur-Orge est de 3,9 m3/s. L'Orge présente des fluctuations saisonnières de débit, avec des hautes eaux d'hiver-printemps portant le débit mensuel moyen à un niveau de 4,45 à 6,02 m3/s, de décembre à début mai inclus (avec un maximum en janvier-février), et des basses eaux d'été de juillet à septembre avec un minimum mensuel moyen de 2,21 en août. Wikipédia] Reprenons notre GR ; Lorsque la la rue fait un coude sur la droite, nous quittons la rue pour prendre en face l’impasse de l’orge et nous longeons la rivière. Après le pont sur la rivière la barrière interdisant au véhicule de se rendre plus loin est difficile à passer, nous entrons dans ce que j’appelle un parc, même ci cela n’en porte pas le nom et si ce n’est pas arboré et aménagé comme le parc de la mairie. Pelouses et bosquets s’enchaînent, suffisamment entretenu pour ne pas en faire une zone de friches. Le circuit est bien balisé entre l’orge et la grande Boële (en cherchant sur internet il me semble avoir compris que ‘’les Boëles’’ sont des ruisseaux restant dans l’ancien lit de l’orge.) Nous longeons un premier étang (l’étang du petit bassin ou petit Paris) le GR comme le chemin zig zag pour rester en zone piétonne. Après l’étang nous passons deux ponts et prenons sur la gauche une digue faisant barrage entre le lac de la base de loisirs et la rivière nous passons sous l’autoroute ‘’la
Francilienne’’ poursuivons notre GR 655 empruntant sur la gauche un chemin dans un nouveau parc avant de suivre sur la gauche la rue de Guipereux, nous sommes à Longpont. Nous apercevons la tour de Montlery. Nous franchissons de nouveau l’orge puis lorsque la route fait patte d’oie nous prenons sur la droite le chemin pavé, de l’ancien Moulin de Basset. Dans le bas nous retrouvons un chemin en stabilisé et un nouveau parc appelé Prairie Saint Michel. Tous ses parcs sont certainement sur des zones non constructible car inondable… Nous débouchons sur la D 46 quittons le GR 655 retrouvons le GR 111 dont le balisage est tellement espacé que je l’ai perdu comme la fois précédente. Nous prenons à droite franchissons une dernière fois l’orge ensuite comme on peut mais il n’y a pas beaucoup d’autre chemin nous suivons la départementale entre voie d’accès aux parking, piste cyclable et piste pièton. Au rond point nous prenons la rue de Montlhèry que nous grimpons jusqu'à la gare.
Vous trouverez la carte de mes randos de la journée à l'adresse suivante.
Toute mes randos de la journée
Beaucoup de couleur et pas très clair en foret de Fontainebleau. Je n'ai pas voulu surcharger les traces lorsque je passe plusieurs fois au même endroit.
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