GR 111 de Milly à Saint Michel sur Orge. Etape 15 - Dourdan - Saint Michel sur Orge

GR 111 de Milly à Saint Michel sur Orge. 

GR 111 Dourdan - Saint Michel sur Orge : Etape 15

(trace bleu, GR 111 - Traces rouge, les "tiroirs", Traces de couleur "le retour" ) Pour la compréhension de la carte il n'y figure que les boucles du retour que l'on pourrait appeler promenade en Essonne.

GR 111E : Deux étapes en foret de Fontainebleau (sncf) pour rejoindre Mily la Foret

GR 111A : Puiselet le Marais rejoint La Ferté Alais (sncf)

GR 111B : Chalo St Mars rejoint Etampes (sncf)

GR 111D : Richarville rejoint Villeconin

GR111C : Montcouronne rejoint Saint Chéron (sncf)
Comme je suis un grand malade "de la marche" et que l'on emprunte de long parcours au GR 655  (Saint Jacques de Compostelle). Je me suis dit  ; pourquoi ne pas rentrer avec ce dernier, puis GR 1 & 11. Mais il y avait du déjà fait. Je suis revenu sur cette idée en remarquant que nous coupions de nombreux balisages locaux bien tracés et entretenus. Par chance, ils figurent sur la carte, j'ai donc tracé un long parcours sur le 655 pour rejoindre le centre de cet arc de cercle constitué par le GR 111. Je reviens sur Fontainebleau en butinant de ci de là avec de très bonne surprises. Bonne rando  

Carte : GR 111 D et fin du 111C  Saint Maurice Montcouronne - Villeconin : Etape 14

Carte IGN    Carte GPS & Topo sans Commentaires   Trace Randogps  

Le code mobile de cette randonnée est b311181
 

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Avril 2016

GR 111 De Dourdan à St. michel sur Orge.

J'ai un peu été vite en besogne. L'impatience de terminer peut être ... C'est une étape à quarante kilomètres. Cette longue étape m'arrangeait, il y avait une gare aux extrémités. Je pensais faire un départ en train, depuis mon domicile, mais lorsque j'ai vu le temps de parcours et les changements, j'ai trouvé qu'en utilisant la voiture pour me rendre à mon point de départ, je mettrais moins de temps. Du coup j'ai loupé le GR 111 D Dourdan - Saint Chéron. J'ai hésité à refaire toute la trace et diviser en deux cette balade, mais comme à l'origine les étapes 13 & 14, ne me plaisaient pas, il y avait une longue route bitumé qui n'apportait rien à la rando elle permettait uniquement de rejoindre le GR 111C. J'ai préféré conserver mon long parcours, revenir en arrière et utiliser la trace du GR 11 D pour améliorer les deux autres.

 Dourdan - Saint Michel sur Orge : Etape 15

km Temps Arrêt   V/d   V/g   Dénivelé

39   6:38    0:16    5,9   5,7      542

Ce n'est pas une course, mais cela y ressemble. Je voulais prendre le train à Dourdan pour joindre,  Saint Michel sur Orge, et revenir tranquillement, mais j'avais compté sans les embouteillages dans Etampes et Dourdan dû aux parents emmenant leurs enfants à l'école. J'ai donc fait la course aux trains. Il fallait que j'arrive autour de quinze heures. Deux trains par heures mais mal réparti, ils se suivent à un quart d'heure intervalle, puis il n'y a plus rien. A Doudan on trouve facilement de la place pour ce garer plus ou moins loin de la gare. Ne pas chercher en centre ville, mais en 

Au détour d'un chemin caché par le taillis

bordure de l'Orge ou sur le boulevard des Alliés. Une partie en zone bleu, mais l'autre libre.

Rejoindre la gare. sur la gauche une passerelle permet de franchir la ligne SNCF, de l'autre coté nous prenons la rue Pierre Sémard sur notre droite et tout de suite après la rue de l’épine blanche sur notre gauche, nous grimpons la rue ou plutôt l'impasse et traversons le bois des Brosses, nous arrivons dans les champs et bifurquons à droite (chemin des vignes). Nous traversons la D 838, passons devant une zone d'activité et tournons à gauche, (chemin de Vaubesnard) La route tourne sur la gauche (chemin des loges) nous passons ce qui me semble être une ancienne ferme transformé en appartements. Nous poursuivons en lisière de bois et de champs. Le GR tourne sur la gauche et entre dans les bois. A plusieurs reprises nous rencontrons des balisages locaux. Juste avant le ruisseau de Rouillon nous tournons à droite et débouchons sur la D 27 que nous prenons à gauche, nous traversons le village de "Le Pont Rué" nous trouvons une impasse sur la droite que nous prenons et nous retrouvons les bois. Nous passons le ruisseau de la Rémarde [Traverse  deux départements des Yvelines, Essonne, longue de 36,6 km, affluent de la rive gauche de l'Orge, elle-même affluent de la Seine.] et débouchons sur une route que nous prenons à droite. Nous arrivons à Levimpont. Nous quittons le GRP de l'Hurepoix et prenons la seconde impasse (chemin des clos Roys) sur la gauche et entrons dans les champs et les bois, (par le chemin rural des pierriers), cela monte, cela descend on est à cent lieux de ce croire aux portes de la grande ville, au loin des immeubles… peut être Palaiseau. Sur la carte des petits points noires indiquant des maisons, sur le terrain que la nature. Mais pour combien de temps. Nous longeons la butte de tout vent et pénétrons dans le bois du même nom, virage aigu sur la gauche, nous
rencontrons le GR 11D et tournons à droite. Nous sommes communs au 11D. Nous traversons un bois rencontrons un autre balisage le GR 11 et tournons à droite, puis nous abandonnons le Gr 11 et tournons à gauche, traversons le lieux dit " Le Marais", nous débouchons sur la D 131 puis nous prenons sur la gauche la D 27 un petit sentier longe cette dernière. Dommage que ce soit une départementale car elle est bordée de beaux platanes. Dommage également pour le château restant invisible de la route. je poursuis sur la D 27 au pont passant la petite rivière de la remarde nous rencontrons un sentier local et prenons à gauche, longeons cette rivière et grimpons la butte des pins après avoir fait un virage à droite. Nous arrivons 

à Saint Maurice Montcouronne par la rue du pressoir et nous rencontrons le GRP de l'Hurepoix. Traversons le village par la rue de l’église. Après la mairie nous tournons à gauche dans la rue de la Remarde puis à droite la rue de l’étang. Coupons la rue de Courson poursuivons en face par la rue des écoles. De rue nous passons à chemin et tout de suite après le centre scolaire, nous retrouvons les champs. Nous sommes toujours sur le GR 111. A la rencontre du balisage local, nous prenons à droite et débouchons sur une route. Face nous le GR 111 D (Celui que je n'avais pas vue lors de ma préparation.) Nous prenons la rue sur notre gauche coupons la D3 et poursuivons en face. De nouveau bois et champ se succèdent, nous traversons le 
village d'Arpenty et l'on grimpe la butte de Bouillon, après avoir coupé la petite rivière de Charmoise. Prenons la rue sans issu de la butte Bouillon à son extrémité elle fait fourche et nous suivons le GR 111 sur la gauche. Je me disais ; cette balade va être morne et monotone principalement en ville avec beaucoup de voitures et, ce n'est pas le cas. C'est encore la campagne aux portes de Paris. Nous retrouvons le bitume peut de temps à la ferme Launay jaquet, une succession de bifurcation nous fait passer devant les dernières maisons de Verville, pas facile ce coin ; face à la ferme prendre 

à droite, le chemin débouche sur un grand carrefour dans les champs prenons quelques mètres à droite puis le chemin des meuniers sur la gauche, nous évitons le village de Verville, coupons la rue de Graffard, et de la butte prieure (l'une en face de l'autre) nous arrivons devant une habitation prenons à droite (laissons le balisage local à gauche et face à nous. à l'intersection en forme de X poursuivons tout droit le GR 111 et le balisage jaune. Nous traversons les bois de Graffard, nous coupons la D 97 et longeons la clôture du camp militaire de Linas Montlhéry. Je me dis cette fois ci c'est terminé après je n'aurai que la ville... En attendant le chemin n'est pas facile, très boueux, d'ornières rempli d'eau, de chemins d'évitement, le balisage est difficile à suivre. Ce chemin doit servir au motos cross et peut être au quad.  Après le camp militaire, nous avons une affreuse clôture en béton avec l’affichette UTAC, [UTAC CERAM, groupe privé et indépendant, propose des services dans tous les domaines de la mobilité terrestre : Réglementation et Homologation, Essais et Expertise technique (environnement, sécurité, endurance-fiabilité), Certification, Evénementiel et formation à la conduite. 380 collaborateurs exercent leurs missions sur deux centres d’essais à Linas-Montlhéry (Essonne) http://www.utacceram.com/fr/]  

Pas mal de dénivelés dans ce bois. Exténuante cette partie de promenade dans les bois de châtaignier, on monte, on descend, on remonte. Nous approchons de la ville, nous sommes au milieu de la foret,, mais nous n’entendons plus le champ mélodieux des petits oiseaux, nous n'entendons que le bruit des voitures circulants sur l'autoroute.  Il faut bien négocier les deux virages, pour ne pas aller se perdre en bordure de l'autoroute. Notamment lorsque l'on se trouve à longer la ligne à haute tentions, nous descendons dans un vallon et le virage à droite est difficile à négocier. Je n'ai pas vu le balisage. j'ai grimper sur la butte sans voir la croix sur une pierre. Vous avez fait comme moi ? Alors faite demi tour. 
Nous débouchons sur une route en bordure d’un champ desservant 
quelques maisons, puis nous replongeons dans les bois périurbains. Un autre virage est difficile à négocier, c'est la pointe vers l'autoroute. A cet endroit la carte n'est plus en rapport avec le terrain et sans le balisage, il est bien difficile de si retrouver sans carte papier. Du moins il ne faut pas s'occuper du point géo localisable. d'habitude l’Essonne implante des poteaux pour nous indiquer la bonne direction mais ici rien. Serions nous trop prêt de la ville? Nous arrivons au bois du Fay. Nous passons également un terrain
de vélo cross ou utilisé comme t'elle, pas facile de suivre le balisage des aménagements on été réalisés, ils sont en bien mauvais état.  
           
on longe l'autoroute nous sommes dans les bois péri urbain constitué de petits chênes et de petit châtaignier, le balisage est heureusement bien fait car je ne peux compter sur mon GPS du moins sur la géolocalisation et ce bois est rempli de faux sentiers utilisé par des vététistes. Les bosses ont été aménagées d'escaliers en rondins et de ponts de bois afin de facilité le trajet des marcheurs. Depuis la pointe proche de l'autoroute ou nous trouvons, quelques maisons, ainsi que des terrains comportant des caravanes, je me 

dis la fin est proche la ville apparaît. Nous avons fait 30 km et nous passons sous l'autoroute et je pense que maintenant je n'aurais que de la ville.

Nous sommes à Marcoussis en contre bas de l'autoroute et nous l'entendons moins. Et bien non, nous entrons dans un parc et encore une fois nous avons l'impression d'être loin de Paris. Ce parc à une histoire [Le fief de Bellejambe  est acquis par Jean de Montagu, le 23 mars 1399, des tuteurs de Guillaume de Bellejambe, parallèlement à l’acquisition d’autres petits fiefs de la vallée dans le 

Le puits

 but d’ériger Marcoussis en châtellenie. A l’image de la châtellenie de Marcoussis, à la tête de laquelle se succèdent plusieurs seigneurs, Bellejambe passe dans de nombreuses mains. Au début du XVIe siècle, le fief est légué au monastère des Célestins qui en est dépossédé par Louis Malet de Graville au profit de l’un de ses valets de chambre, Richard Hochet. Au XVIIe siècle, Claude Le Maistre, avec le concours de ses frères, procureur et secrétaire du Roi, s'empare de la terre de Bellejambe. En 1603, Jérôme Le Maistre, conseiller puis président de la 4e chambre des enquêtes au Parlement, obtint par lettres patentes d'Henri IV, l'autorisation d'utiliser les pierres des fortifications du 

château de Montlhéry démantelées en 1591, pour restaurer et agrandir sa maison de Bellejambe et les murs de son parc. Le domaine est à son apogée au XVIIIe siècle, notamment avec le marquis de Bullion, légataire de Marie-Françoise Le
Maistre, qui en poursuivit l'agrandissement  de 1764 à 1791. A la Révolution, les jardins à la française structurent les abords des bâtiments, le parc, entièrement clos de murs, renferme potager, vignes, verger, glacière,  orangerie, bief de la Sallemouille traversant le coteau nord et bois sur le coteau méridional. en 1792, une partie du château est détruite et Augustin Dubois de Bellejame construit à la place une maison bourgeoise. Après la guerre 1939-1945, le domaine est peu à peu abandonné et, à partir des années 1960, seuls les champs sont encore cultivés https://www.associationhistoriquemarcoussis.fr/ahm1/index.php?option=com_content&view=article&id=97&Itemid=56 ]
On y trouve de beaux arbres dans ce parc.
   

Mais également une grotte tapis dans l'ombre appelé la glacière, une espèce de piscine au niveau d'une source avec une eau très pur, enfin du moins très clair. Je n'ai pas du suivre le balisage j'ai longé la Salmouille, [Elle prend sa source à Gometz-la-Ville, et se jette dans l'Orge à Longpont-sur-Orge, après avoir parcouru 16,8km. Il n'y a pas d'affluents connus. Wikipédia] puis je me suis un peu perdu dans les allées, je n'ai pas vu le balisage j'aperçois pour la première fois la tour de Monthléry. Le balisage est aléatoire et parcimonieux. Il est encore impossible de compter sur la géolocalisation, je suis obligé de me situer sur la carte de mon GPS et de me diriger à l'ancienne, en comparent la carte au terrain, ma carte GPS comporte tout les chemins d'une carte au 1/25000ème mais la représentation du terrain en est simplifiée, d’où une certaine difficultés.

Mon point GPS n'est pas en rapport avec le terrain. Enfin, je m'y retrouve, négocie les virages de Linas et je sorts du parc. Cette fois ci je suis vraiment en ville. Nous longeons la nationale 20 sur notre gauche et passons sous celle ci en bordure de la Salmouille. Nous arrivons à l'église et à la mairie de Linas ou Montlhéry, ma carte est de nouveau en rapport avec le terrain. Je 
voulais depuis longtemps m'approcher de la tour de Montlhéry. Empruntant l'autoroute en voiture je la trouvais fier au sommet de sa butte et je me suis toujours demandé pourquoi dans un lieu aussi urbanisé, elle n'avait pas été rasée et remplacée par une tour bien plus moderne et utile.... je voulais absolument passer au pied j'étais tellement subjugué à la regarder pour la photographier, en recherchant le meilleur angle de vue que je loupe le balisage. je m'en rends compte bien tard et par des rues adjacentes je retrouve comment  m'y rendre. J'ai déjà gravi une 

bonne partie de la colline. Pas le temps de faire demi tour, J'ai un train à prendre.  
[La Tour de Montlhéry, phare de l’Essonne ; Histoire du Château

Le premier château, réalisé au Xe siècle sur l’initiative de Tibaud File Etoupe premier comte de Montlhéry, est vraisemblablement un château à motte qui se situe à quelques mètres au nord-est de l’emplacement du château actuel. Le premier château de pierre peut être attribué à Guy Ier, fils de Tibaud File Etoupe, qui le bâtit à l’emplacement actuel. Sa position stratégique, sur la route de Paris à Orléans, en fait un enjeu capital et le place au carrefour de toutes les convoitises. Au début du XIIe siècle, à la suite de nombreux déboires avec les seigneurs de Montlhéry, Louis VI ordonne la destruction 
du château qui lui avait causé tant de soucis, mais il épargne la tour. L’histoire de l’architecture attribue à Philippe Auguste la paternité de la reconstruction du château au début du XIIIe siècle.
A la suite des dommages causés par les nombreux sièges de la guerre de Cent ans, une seconde campagne de transformation intervient à la fin du XIVe siècle. Les travaux sont réalisés par Olivier de Clisson, la tour maîtresse est aménagée avec notamment la construction de grandes cheminées et de latrines. La guerre entre Armagnacs et Bourguignons qui se déroule durant le XVe siècle ne ménage pas le château et achève sa destruction. Sous François Ier, il sert de carrière pour les fortifications de la ville. Ce qui reste de l’ancien château féodal a été classé à l’Inventaire des Monuments Historiques par liste de 1840 et appartient à l’Etat. La tour : site d’expériences scientifiques
Pierre Gassendi (1592-1655), philosophe, savant et 

mathématicien français, il étudie la transmission du son entre les tours de l’observatoire de Paris et la tour de Montlhéry.
Claude Chappe (1763-1805) invente le télégraphe optique, En 1794, la construction d’une ligne entre Paris et Lille est ordonnée. Claude Chappe, nommé ingénieur télégraphe, inaugure la ligne le 19 juillet 1794. Le procédé est ensuite étendu à l’ensemble du territoire...Montlhéry et ses hauteurs sont un lieu privilégié d’essais et de fonctionnement de ce télégraphe. http://www.montlhery.fr/index.php/La-Tour?idpage=31] Je rejoins la tour par le GR que je retrouve de l'autre coté. Dommage la tour est fermée, mais je me rends compte que ce n'est pas qu'une tour mais qu'au pied, il y a les restes d'un château. Je reviens sur mes pas, cette fois ci je suis sur le GR et je ne le quitte plus. A Longpont, j'ai un peu peur de me trouver bloqué, des clôtures protègent des aménagements sportifs, mais non cela passe, il y a une piste cyclable. Nous longeons la
D133 puis la coupons. Le balisage est bon, suivons la route, je suis étonné, je quitte la ville pour retrouver des champs. Pas des jachères, pas
des terres abandonnées servant de décharges, des terres cultivées. A la sortie de la campagne en ville, je ne suis pas le GR qui longe le champ, je prends la rue en face (rue de Lormoy) qui serpente et arrive comme le GR devant la Basilique en grande préparation de sont jubilé. [Erigée en basilique en 1913 par Pie X, Notre Dame de Bonne Garde de Longpont est l’un des plus anciens lieux de pèlerinage de l’Ile de France, sur l’un des chemins de Saint Jacques de Compostelle. Commencée en 1031, sous l’initiative de Guy, Seigneur de Monthléry et de sa femme Hodierne, un prieuré clunisien y fût installé en 1061 (détruit à la Révolution).
Son édification s’est étalée sur deux siècles environ, témoignant de plusieurs styles. Le plan initial, croix latine, très simple subsiste encore. Elle a été reconstruite au 19ème siècle, mais on a conservé au delà des formes romanes primitives, des voûtes gothiques ainsi que la tour et la façade. Lieu de pèlerinage
Le pèlerinage a pour origine la vénération d’un morceau du voile de Marie qui a été légué en ce lieu sacré des druides, par saint Denis venu évangéliser la région avec son disciple Saint Yon au 3ème siècle.
Le portail, du 13ème siècle, en arc brisé, malheureusement mutilé pendant les guerres de religion est consacré à Marie. C’est pour les hommes du Moyen-Âge, l’entrée du paradis, la porte du ciel. Ici la Vierge Marie fait le lien entre le ciel et la terre.
Les reliques
Les démarches de pèlerinage sont liées à la présence de reliques, et à leur vénération par les hommes du Moyen-Âge. La relique relie le croyant aux personnes dont elle est le "reste". Elle est porteuse de leur sainteté, témoignage de la résurrection,, et conduit par sa présence et son contact à la conversion, la guérison, et au-delà, à la vie éternelle.
La présence d’une collection importante de reliques dans le sanctuaire de Longpont est attestée depuis 1130, autour d’un morceau de voile de la Vierge Marie.
Actuellement, le reliquaire renferme 1500 reliques (le plus grand reliquaire de France). Si elles ne sont pas toutes authentiques, elles rappellent que les croyants forment une chaîne avec leurs pères dans la foi. http://evry.catholique.fr/Longpont-sur-Orge-Notre-Dame-de] 
Pas vraiment le temps de m'arrêter et cela grouille de monde afin d'aménager les espaces pour accueillir le public. Le GR rencontre le 655 nous sommes commun et une très bonne surprise m'attend derrière la basilique c'est un parc avec des étangs. On a plus du tout l'impression d'être en ville. Je perds le balisage à la sortie du parc, mais ce n'est pas trop grave, il suffit de suivre la D 46. La gare est au sommet de la cote. J'ai sans précipitation le train de quatre heure moins dix c'était la dernière limite que je m'étais fixé pour ne pas rentrer trop tard à la maison. Je n'ai jamais fait cette moyenne sur une distance aussi longue. J'ai mal aux jambes.
             
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 Beaucoup de couleur et pas très clair en foret de Fontainebleau. Je n'ai pas voulu surcharger les traces lorsque je passe plusieurs fois au même endroit. 
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