Retour de l’Essonne vers Fontainebleau
L’étape 15 terminait notre itinéraire
officiel sur le GR 111. Mes pérégrinations autour de cette demie boucle
entre Milly et Saint Michel sur Orge mon fait découvrir une partie du département
de l'Essonne que je ne connaissais pas. L’Essonne se résumait à
mes yeux, aux grands ensembles de Massy-Palaiseau-Evry-Corbeil, ou à
d’hideux
pavillons de banlieues. J’ai découvert des champs, des parcs et des
balisages locaux bien entretenus, bien balisés dont la Seine et Marne pourrait
prendre exemple, et ce qui est rare, nous retrouvons le tracés
des balisages locaux sur la carte.
Ma
première idée était de revenir sur Fontainebleau en ligne direct, d’où
cette balade de Saint Michel sur Orge à d'Etrechy. Je ne voulais pas
utiliser, ou le moins possible
les GR 1 - 11 & 32 que nous avions déjà fait et en empruntant un maximum de sentiers locaux.
Au fur et a mesure de mes pérégrinations, je me suis rendu compte que je ne rentrais pas en ligne direct sur Fontainebleau mais que je faisais des boucles remplissant le demi cercle constitué par le GR 111. Ce qui devait avoir pour titre Retour vers Fontainebleau et comporter des numéros de 16 à 20 se transforme en Randonnée en Essonne.
Au fur et a mesure de mes pérégrinations, je me suis rendu compte que je ne rentrais pas en ligne direct sur Fontainebleau mais que je faisais des boucles remplissant le demi cercle constitué par le GR 111. Ce qui devait avoir pour titre Retour vers Fontainebleau et comporter des numéros de 16 à 20 se transforme en Randonnée en Essonne.
En Rouge touchant le bleu les branches du GR 111 A,B,C & D et celui que j'ai appelé pompeusement "E" afin de relier la gare de Fontainebleau à Milly
Les circuits en autre couleur sont mes randonnées en Essonne.
Avril 2017, Randonnée N°2 : Chamarande – Saint Vrain – Bourray sur Juine – Janville sur Juine
Le départ se fait de Chamarande, sur la départementale 146 (route de Lardy) face à l'entrée du parc du château. (Chemin après le GR, pour ceux qui suivre l'ordre des promenades.) Nous trouvons après le pont SNCF un parking. Il est indiqué de la route, il doit servir pour la visite du parc du château.
KM Temps
Arret V/d V/g
Dénivelé
28 5h45
0h30 5,2 4,8
385 +
A l'extrémité du parking au panneau d'information nous trouvons un sentier
partant sur la droite (ne pas prendre le Gr 655 grimpant la ravine de Brennery)
Nous longeons la ligne de chemin de fer et arrivons au second pont (celui ou
nous sommes passés à la promenade précédente). Nous coupons la branche du 655 (on
a une division du GR pour un regroupement un peut plus haut) et trouvons face à
nous un sentier le long de la ligne de chemin de fer, balisé en
bleu. Quittons ce chemin et prenons perpendiculairement
le sentier sur la gauche grimpant dans la foret. On se croirait à Fontainebleau sable et chaos rocheux. Le chemin serpente et débouche sur la large route forestière des grès, ce chemin est renforcé de calcaire que nous prenons à droite, toujours le balisage bleu. Nous sommes sur un plateau comportant des points de vues et des dalles de grès très fracturées protégées par des barrières en bois. Poursuivons la route, mais il me semble qu'il est possible de suivre
le petit sentier suivant la fracture rocheuse. Nous arrivons à un virage aigu à gauche (si vous avez pris le sentier, il revient également à ce virage aigu.) Ici nous quittons le large chemin et le balisage pour prendre le petit sentier sur la droite longeant la fracture. Le sentier se divise en plusieurs petits sentiers. Nous longeons toujours la fracture, débouchons sur un chemin un peu plus large, que nous prenons à gauche, ne jamais descendre dans le chaos rocheux. Passons les ruines et prenons le sentier de droite nous retrouvons un balisage bleu. (Attention à ne pas prendre la trace spécifique bleu pour les VTT face à nous.) Retrouvons une trace rouge & blanche isolé, (Sur ma carte GPS la modif du GR n’est pas faite.) Puis au carrefour suivant nous rencontrons le Gr 1 venant face à nous et partant sur la gauche. Poursuivons tout droit le Gr et le balisage local. Nous débouchons sur un chemin face à une maison. Le GR descend sur la droite en direction de la gare de Lardy, nous le quittons et montons sur la gauche (balisage bleu & jaune). Longeons le grillage de la propriété, nous trouvons un sentier sur la droite. Quittons les balisages pour suivre le sentier de droite le long de la clôture. Laissons un chemin sur la gauche poursuivons sur la droite, nous descendons vers Lardy. Sur un arbre un numéro de parcelle le‘’9’’. De chemin nous passons à bitume, nous retrouvons un balisage bleu et longeons quelques maisons. Nous sommes rue du champ Chevron.
Nous arrivons devant le pont de la ligne de chemin de fer, quittons le balisage bleu et prenons à gauche la rue des chaumettes juste avant le pont. Après des jardins, nous arrivons à un poteau d'information et un banc, Le balisage monte sur la gauche ; promenade pédestre de la bruyère, on passe la barrière et on longe une clôture. A la fin du grillage nous prenons le sentier de droite qui n'est pas facile à suivre, parfois nous trouvons de petits poteaux en bois plat avec des flèches, il me semble que ce sont plus des fléchages pour lire un topo, qu'un fléchage directionnel. Nous sommes dans la vallée Louis. Dans un premier temps nous laissons la butte de Montgriffard sur la gauche. Le sentier tourne lentement à flanc de coteau puis grimpe fortement. Nous trouvons une ancienne construction en brique et nous arrivons à une sorte de clairière
peut être une ancienne carrière. Les arbres sont clairsemés, le chemin devient difficile à discerner plutôt Est 15°. On retrouve un balisage bleu et jaune nous continuons tout droit tout en grimpant, nous débouchons sur le plateau (si l’on prend à gauche comme le balisage bleu nous arrivons sur le même chemin. Nous débouchons sur un chemin formant Té et prenons à droite balisage bleu & jaune le chemin fait un angle aigu sur la gauche passons la barrière, et retrouvons les champs. Le balisage est mieux fait. Nous arrivons sur la D99 que nous prenons à droite. Sur le talus nous trouvons en bordure du champ un sentier, permettant de suivre la départementale en toute sécurité. Quittons la route lorsqu'elle tourne sur la droite, et prenons le chemin bien balisé en jaune, sur la gauche. Passons la barrière et entrons de nouveau en foret. Le chemin est carrossable, on y trouve des bornes en grès dont l’une porte la gravure AV. Nous apercevons par moment un balisage bleu ressemblant au signe d’une racine carré. Au carrefour nous suivons le balisage jaune tout droit. Abandonnons le balisage bleu partant sur la gauche et continuons tout droit le balisage jaune. Nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons la branche de gauche, toujours le balisage jaune. Nous entrons dans la foret de Cheptainville [Ce massif forestier, qui s’étale entre les vallées de la Juine et de la Renarde, surplombe les communes de Cheptainville et de Marolles-en-Hurepoix.
Un patchwork d’arbres qui abrite les oiseaux du coin.
La forêt s’étend sur un plateau d’où elle dévale le coteau de Cheptainville, sur un dénivelé d’environ 60 mètres.
Cette étonnante forêt a poussé sur des sols de natures très différentes :
Les calcaires de Beauce et d’Etampes affleurent le plateau et l’amorce du coteau. À mi-pente, ce sont les sables et les grès de
Fontainebleau. Plus bas, ceux-ci se mêlent à des restes de calcaire provenant du rebord du plateau.
Sur la roche calcaire, les racines trouvent une maigre nourriture. Des arbres aux troncs torturés et aux silhouettes tassées, signes d’une croissance pénible, côtoient de beaux hêtres, pleinement développés. Ils sont, avec les chênes, les essences dominantes de la forêt. Mais nombreux sont aussi les arbres fruitiers.
Vers le Nord se développe le robinier, aux belles fleurs blanches odorantes, fort appréciées par les abeilles. Dans la partie Est, les orchidées communes apparaissent et le camérisier à balais montre ses baies rouges et ses rameaux en buisson de couleur claire.
Une faune paisible habite les lieux. Le pigeon ramier picore les faines (fruits du hêtre) tandis que le hibou moyen duc, le pic noir ou l’étourneau nichent dans les cavités des vieux arbres.
· Superficie : 248 ha
· Faune : Chevreuil, sanglier, lapin, écureuil, renard, oiseaux
· Flore : Hêtre, chêne pédonculé et sessile, frêne, châtaignier, robinier, érable champêtre et sycomore, merisier, alisier] Nous arrivons à un grand carrefour en étoile "Le rendez-vous de chasse" avec un beau poteau en étoile. Nous venons de l’allée du fond rameau, nous prenons l’allée chanterelle ou fond rameau (PR 30 balisage jaune) C'est également un carrefour de sentier. Pas facile de trouver le bon chemin, le notre se trouve légèrement sur la gauche. Le balisage est un peu faible, il s'améliore un peu plus loin, le chemin étant agréable on louperait facilement le changement de direction. Au carrefour en patte d’oie des parcelles 18-23 & 20 nous quittons le balisage jaune et prenons le chemin de droite. J'ai fait marche arrière ayant loupé la bifurcation. Ce nouveau chemin descend. A la seconde patte d’oie nous poursuivons tout droit, puis arrivons sur un grand parking (Encombré par des grumes en 2017). Nous ne traversons pas la route et remontons sur la droite. Ce chemin est magnifique il y a de très beaux arbres ; Des hêtres magnifiques. La foret est en pleine régénération, j'espère que les forestiers laisserons un peu de ses gros arbres pour le plaisir des yeux, mais il faut bien préparer la future foret pour nos petits, petits enfants. Il faut bien cent cinquante à deux cent ans pour avoir des arbres comme ceux que je vois. Nous coupons la départementale dans un virage ou nous n'avons pas beaucoup de visibilité. Poursuivons en face un chemin ou nous retrouvons un balisage bleu, qui reste toujours au même niveau sur cette colline. Au carrefour en patte d’oie on laisse le chemin de droite, prenons le chemin de gauche, il me semble avoir perdu le balisage bleu, mais nous retrouvons un balisage rouge en forme de racine carré, nous sommes dans la parcelle 9. Nous abandonnons le balisage rouge remontant sur la droite au carrefour avec les parcelles 9-6-7 continuons tout droit le chemin entre les parcelles 7 & 9. A la patte d’oie suivante nous prenons le chemin de gauche. Nous descendons lentement, retrouvons le balisage bleu, et arrivons devant un grand mur bardé de fil de fer barbelé comportant une petite tour d'angle. C’est à mi chemin entre le château féodal et les fortifications de Vauban. Pas d’informations, cela fait peut être partie du centre d’essaie automobile que nous voyons sur la carte. Prenons le chemin sur la gauche. Le chemin débouche sur la départementale. Sur la carte le balisage tourne sur la gauche. Sur le terrain le balisage bleu tourne à droite. Prenons à droite. Nous traversons la départementale. De longs haricots centraux permettent de traverser en sécurité. Nous prenons la route sans issus (rue d’Arpajon) (chemin des passés)
(chemin latéral) desservant les trois quartiers isolés par la ligne de chemin de fer. Nous sommes sur un balisage bleu. Prenons le passage sous terrain de la gare de Bouvray. De l'autre coté regagnons la rue principale (National), jusqu'au rond point. Puis la D17 route de Saint Vrain en direction de Saint Vrain. Nous longeons une zone pavillonnaire. Laissons la rue de la ferme sur la gauche et nous abandonnons la départementale pour suivre sur la gauche la rue des écuries, dans le virage, quittons le bitume pour un chemin de terre sur la droite entre bois et champs c’est le chemin rural N°14 d’Etampes à Corbeil balisage bleu. Nous arrivons de nouveau dans un bois plus ou moins entretenu pour le tourisme. Passons le ru du mauvais temps. Quittons le balisage partant sur la gauche pour suivre tout droit, jusqu'à la première allée que nous prenons à droite, nous retrouvons un balisage, parcelle 11-18. Le chemin débouche sur un autre formant Té. Au lieu de suivre le balisage qui tourne à gauche, je prends en face un sentier à travers bois permettant d’éviter une partie du village. Le seul problème serait en hiver ou par temps très pluvieux, la traversée d’un ru qui en ce mois de mai est à sec, mais avec un grand pas ce franchi facilement. Nous arrivons sur une piste cyclable que nous prenons à gauche. Nous débouchons dans Saint Vrain. Au premier pavillon nous prenons la route de droite D17 (route de Bouray), balisage jaune et bleu nous sommes face à la monumentale porte du château. Malheureusement on ne voit pas ce dernier. Remontons la D17 et au Petit Saint Vrain nous suivons sur la gauche la rue Saint Antoine balisage jaune.
Nous longeons le mur du parc du château. Abandonnons la rue Saint Antoine lorsqu’elle tourne à gauche et poursuivons le long mur du Château dont j'ai connu le parc lorsqu'il comportait des animaux sauvages en liberté. Je crois que ce fut le premier de ce genre en France. On circulait en voiture au milieu des girafes, gnous, gazelles, lions en toute liberté. Il semblerait qu'avec le classement de la région en parc naturel, ces animaux n'étaient plus les biens venus. Je ne vois pas le rapport, mais le parc à fermé. [Voilà ce que nous dit wikipédia ; Situé en contrebas du château de Saint-Vrain, Charles-René de Mortemart décide de transformer le parc en paysage exotique dans la fin des années 1960. Le parc a été profondément transformé au début des années 1970 pour son ouverture au public le 14 mars 1974. Pensé à l’origine sur le modèle du Woburn Safari Park (en), situé au sein de Woburn Abbey dans le Bedfordshire au Royaume-Uni, sa construction a nécessité des travaux considérables pour créer des étangs artificiels reliés entre eux par un système de canaux et viabiliser le parc en vue qu’il devienne un des sites les plus visités d’Île-de-France. Il offrait dans un premier temps un safari park présentant plus d’un millier d’animaux en semi liberté. Le safari se parcourait en voiture.
le sentier sur la gauche grimpant dans la foret. On se croirait à Fontainebleau sable et chaos rocheux. Le chemin serpente et débouche sur la large route forestière des grès, ce chemin est renforcé de calcaire que nous prenons à droite, toujours le balisage bleu. Nous sommes sur un plateau comportant des points de vues et des dalles de grès très fracturées protégées par des barrières en bois. Poursuivons la route, mais il me semble qu'il est possible de suivre
le petit sentier suivant la fracture rocheuse. Nous arrivons à un virage aigu à gauche (si vous avez pris le sentier, il revient également à ce virage aigu.) Ici nous quittons le large chemin et le balisage pour prendre le petit sentier sur la droite longeant la fracture. Le sentier se divise en plusieurs petits sentiers. Nous longeons toujours la fracture, débouchons sur un chemin un peu plus large, que nous prenons à gauche, ne jamais descendre dans le chaos rocheux. Passons les ruines et prenons le sentier de droite nous retrouvons un balisage bleu. (Attention à ne pas prendre la trace spécifique bleu pour les VTT face à nous.) Retrouvons une trace rouge & blanche isolé, (Sur ma carte GPS la modif du GR n’est pas faite.) Puis au carrefour suivant nous rencontrons le Gr 1 venant face à nous et partant sur la gauche. Poursuivons tout droit le Gr et le balisage local. Nous débouchons sur un chemin face à une maison. Le GR descend sur la droite en direction de la gare de Lardy, nous le quittons et montons sur la gauche (balisage bleu & jaune). Longeons le grillage de la propriété, nous trouvons un sentier sur la droite. Quittons les balisages pour suivre le sentier de droite le long de la clôture. Laissons un chemin sur la gauche poursuivons sur la droite, nous descendons vers Lardy. Sur un arbre un numéro de parcelle le‘’9’’. De chemin nous passons à bitume, nous retrouvons un balisage bleu et longeons quelques maisons. Nous sommes rue du champ Chevron.
Nous arrivons devant le pont de la ligne de chemin de fer, quittons le balisage bleu et prenons à gauche la rue des chaumettes juste avant le pont. Après des jardins, nous arrivons à un poteau d'information et un banc, Le balisage monte sur la gauche ; promenade pédestre de la bruyère, on passe la barrière et on longe une clôture. A la fin du grillage nous prenons le sentier de droite qui n'est pas facile à suivre, parfois nous trouvons de petits poteaux en bois plat avec des flèches, il me semble que ce sont plus des fléchages pour lire un topo, qu'un fléchage directionnel. Nous sommes dans la vallée Louis. Dans un premier temps nous laissons la butte de Montgriffard sur la gauche. Le sentier tourne lentement à flanc de coteau puis grimpe fortement. Nous trouvons une ancienne construction en brique et nous arrivons à une sorte de clairière
peut être une ancienne carrière. Les arbres sont clairsemés, le chemin devient difficile à discerner plutôt Est 15°. On retrouve un balisage bleu et jaune nous continuons tout droit tout en grimpant, nous débouchons sur le plateau (si l’on prend à gauche comme le balisage bleu nous arrivons sur le même chemin. Nous débouchons sur un chemin formant Té et prenons à droite balisage bleu & jaune le chemin fait un angle aigu sur la gauche passons la barrière, et retrouvons les champs. Le balisage est mieux fait. Nous arrivons sur la D99 que nous prenons à droite. Sur le talus nous trouvons en bordure du champ un sentier, permettant de suivre la départementale en toute sécurité. Quittons la route lorsqu'elle tourne sur la droite, et prenons le chemin bien balisé en jaune, sur la gauche. Passons la barrière et entrons de nouveau en foret. Le chemin est carrossable, on y trouve des bornes en grès dont l’une porte la gravure AV. Nous apercevons par moment un balisage bleu ressemblant au signe d’une racine carré. Au carrefour nous suivons le balisage jaune tout droit. Abandonnons le balisage bleu partant sur la gauche et continuons tout droit le balisage jaune. Nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons la branche de gauche, toujours le balisage jaune. Nous entrons dans la foret de Cheptainville [Ce massif forestier, qui s’étale entre les vallées de la Juine et de la Renarde, surplombe les communes de Cheptainville et de Marolles-en-Hurepoix.
Un patchwork d’arbres qui abrite les oiseaux du coin.
La forêt s’étend sur un plateau d’où elle dévale le coteau de Cheptainville, sur un dénivelé d’environ 60 mètres.
Cette étonnante forêt a poussé sur des sols de natures très différentes :
Les calcaires de Beauce et d’Etampes affleurent le plateau et l’amorce du coteau. À mi-pente, ce sont les sables et les grès de
Fontainebleau. Plus bas, ceux-ci se mêlent à des restes de calcaire provenant du rebord du plateau.
Sur la roche calcaire, les racines trouvent une maigre nourriture. Des arbres aux troncs torturés et aux silhouettes tassées, signes d’une croissance pénible, côtoient de beaux hêtres, pleinement développés. Ils sont, avec les chênes, les essences dominantes de la forêt. Mais nombreux sont aussi les arbres fruitiers.
Vers le Nord se développe le robinier, aux belles fleurs blanches odorantes, fort appréciées par les abeilles. Dans la partie Est, les orchidées communes apparaissent et le camérisier à balais montre ses baies rouges et ses rameaux en buisson de couleur claire.
Une faune paisible habite les lieux. Le pigeon ramier picore les faines (fruits du hêtre) tandis que le hibou moyen duc, le pic noir ou l’étourneau nichent dans les cavités des vieux arbres.
· Superficie : 248 ha
· Faune : Chevreuil, sanglier, lapin, écureuil, renard, oiseaux
· Flore : Hêtre, chêne pédonculé et sessile, frêne, châtaignier, robinier, érable champêtre et sycomore, merisier, alisier] Nous arrivons à un grand carrefour en étoile "Le rendez-vous de chasse" avec un beau poteau en étoile. Nous venons de l’allée du fond rameau, nous prenons l’allée chanterelle ou fond rameau (PR 30 balisage jaune) C'est également un carrefour de sentier. Pas facile de trouver le bon chemin, le notre se trouve légèrement sur la gauche. Le balisage est un peu faible, il s'améliore un peu plus loin, le chemin étant agréable on louperait facilement le changement de direction. Au carrefour en patte d’oie des parcelles 18-23 & 20 nous quittons le balisage jaune et prenons le chemin de droite. J'ai fait marche arrière ayant loupé la bifurcation. Ce nouveau chemin descend. A la seconde patte d’oie nous poursuivons tout droit, puis arrivons sur un grand parking (Encombré par des grumes en 2017). Nous ne traversons pas la route et remontons sur la droite. Ce chemin est magnifique il y a de très beaux arbres ; Des hêtres magnifiques. La foret est en pleine régénération, j'espère que les forestiers laisserons un peu de ses gros arbres pour le plaisir des yeux, mais il faut bien préparer la future foret pour nos petits, petits enfants. Il faut bien cent cinquante à deux cent ans pour avoir des arbres comme ceux que je vois. Nous coupons la départementale dans un virage ou nous n'avons pas beaucoup de visibilité. Poursuivons en face un chemin ou nous retrouvons un balisage bleu, qui reste toujours au même niveau sur cette colline. Au carrefour en patte d’oie on laisse le chemin de droite, prenons le chemin de gauche, il me semble avoir perdu le balisage bleu, mais nous retrouvons un balisage rouge en forme de racine carré, nous sommes dans la parcelle 9. Nous abandonnons le balisage rouge remontant sur la droite au carrefour avec les parcelles 9-6-7 continuons tout droit le chemin entre les parcelles 7 & 9. A la patte d’oie suivante nous prenons le chemin de gauche. Nous descendons lentement, retrouvons le balisage bleu, et arrivons devant un grand mur bardé de fil de fer barbelé comportant une petite tour d'angle. C’est à mi chemin entre le château féodal et les fortifications de Vauban. Pas d’informations, cela fait peut être partie du centre d’essaie automobile que nous voyons sur la carte. Prenons le chemin sur la gauche. Le chemin débouche sur la départementale. Sur la carte le balisage tourne sur la gauche. Sur le terrain le balisage bleu tourne à droite. Prenons à droite. Nous traversons la départementale. De longs haricots centraux permettent de traverser en sécurité. Nous prenons la route sans issus (rue d’Arpajon) (chemin des passés)
(chemin latéral) desservant les trois quartiers isolés par la ligne de chemin de fer. Nous sommes sur un balisage bleu. Prenons le passage sous terrain de la gare de Bouvray. De l'autre coté regagnons la rue principale (National), jusqu'au rond point. Puis la D17 route de Saint Vrain en direction de Saint Vrain. Nous longeons une zone pavillonnaire. Laissons la rue de la ferme sur la gauche et nous abandonnons la départementale pour suivre sur la gauche la rue des écuries, dans le virage, quittons le bitume pour un chemin de terre sur la droite entre bois et champs c’est le chemin rural N°14 d’Etampes à Corbeil balisage bleu. Nous arrivons de nouveau dans un bois plus ou moins entretenu pour le tourisme. Passons le ru du mauvais temps. Quittons le balisage partant sur la gauche pour suivre tout droit, jusqu'à la première allée que nous prenons à droite, nous retrouvons un balisage, parcelle 11-18. Le chemin débouche sur un autre formant Té. Au lieu de suivre le balisage qui tourne à gauche, je prends en face un sentier à travers bois permettant d’éviter une partie du village. Le seul problème serait en hiver ou par temps très pluvieux, la traversée d’un ru qui en ce mois de mai est à sec, mais avec un grand pas ce franchi facilement. Nous arrivons sur une piste cyclable que nous prenons à gauche. Nous débouchons dans Saint Vrain. Au premier pavillon nous prenons la route de droite D17 (route de Bouray), balisage jaune et bleu nous sommes face à la monumentale porte du château. Malheureusement on ne voit pas ce dernier. Remontons la D17 et au Petit Saint Vrain nous suivons sur la gauche la rue Saint Antoine balisage jaune.
Nous longeons le mur du parc du château. Abandonnons la rue Saint Antoine lorsqu’elle tourne à gauche et poursuivons le long mur du Château dont j'ai connu le parc lorsqu'il comportait des animaux sauvages en liberté. Je crois que ce fut le premier de ce genre en France. On circulait en voiture au milieu des girafes, gnous, gazelles, lions en toute liberté. Il semblerait qu'avec le classement de la région en parc naturel, ces animaux n'étaient plus les biens venus. Je ne vois pas le rapport, mais le parc à fermé. [Voilà ce que nous dit wikipédia ; Situé en contrebas du château de Saint-Vrain, Charles-René de Mortemart décide de transformer le parc en paysage exotique dans la fin des années 1960. Le parc a été profondément transformé au début des années 1970 pour son ouverture au public le 14 mars 1974. Pensé à l’origine sur le modèle du Woburn Safari Park (en), situé au sein de Woburn Abbey dans le Bedfordshire au Royaume-Uni, sa construction a nécessité des travaux considérables pour créer des étangs artificiels reliés entre eux par un système de canaux et viabiliser le parc en vue qu’il devienne un des sites les plus visités d’Île-de-France. Il offrait dans un premier temps un safari park présentant plus d’un millier d’animaux en semi liberté. Le safari se parcourait en voiture.
Le parc
ne cesse de se développer même après l'ouverture au public. On y intègre des
félins quelques semaines avant la saison touristique. En même temps une volière
gonflable est mise en place. Cette volière qui mesure 10 mètres de larges sur
15 mètres de haut est la première volière gonflable au monde. Un safari bateau
est rapidement mit en place.
Dès
1981, le parc inaugure une partie dédiée à la préhistoire où dinosaures et
hommes préhistoriques y sont exposés. Le tout était complété par des
explications et des sonorisations. À l'époque, les sites parlant des dinosaures
étaient plutôt rares. On peut dorénavant admirer les premières reconstitutions
d’animaux préhistoriques en grandeur nature, ainsi qu’une chronologie de
l’évolution de l'humanité (avec la participation du Musée de l'Homme). Le Parc
de Saint-Vrain propose également une fête foraine. Des théâtres d’automates contant
l’histoire du domaine (où vécurent la Comtesse du Barry
de 1774 à 1776, les Borghèse au début du XIXe siècle
et les Mortemart dès 1870)
ainsi que les fables de La Fontaine. La même année l'attraction du safari bateau
préhistorique, (indépendante du safari bateau qui offre une vue sur les
animaux) propose de naviguer dans de petites rivières avec des paysages
sauvages au milieu du parc préhistorique. La promenade durait environ 30
minutes, comme le safari bateau, premier du nom. En 1986 le circuit du monorail
est terminé ; cette fois-ci les visiteurs pouvaient voir les animaux de
haut pendant 18 minutes.
Ce parc
connut un grand succès et comptait dans les meilleures années plus de
600 000 visiteurs par an.
En
automne 1998, l'ancien parc animalier, « le Monde des animaux
sauvages » devient le « jardin botanique et zoologique ».
Officiellement, la mutation ne se justifiait que pour mieux répondre aux
attentes des clients. le Parc de Saint-Vrain est refermé. Il n'a pas pu rouvrir
ses portes au public à la suite de son intégration controversée dans le site
classé de la Vallée de la Juine.] Le chemin vicinal de Saint Vrain à Itteville est
un peu long. Il chemin de Brateau, balisage bleu & jaune. Ce n'est que de
la route, jusqu'au hameau de Brateau. A un carrefour, je vois sur la droite, la
direction de La Vallée – Brateau. Fatigué j'ai cru que c'était la direction
d'un site exceptionnelle et j'étais prêt à me dérouter. Heureusement que je ne
l'ai pas fait, je me suis rendu compte après que s'était le nom des hameaux.
Nous arrivons aux quatre maisons de Brateau, nous quittons le balisage bleu
tournant à droite pour prendre la voie sans issus et suivre le balisage jaune.
Je suis accueilli par un beau paon faisant la roue. A la maison formant un
angle entre le chemin carrossable et.., et une pelouse bien tondu. Le balisage
est discret et ils ne doivent pas voir souvent des promeneurs. Bien sur, je me
suis planté. Il faut prendre à droite, la pelouse, c'est le chemin qui est bien
entretenu le long de la maison. Après, le long de la clôture, c'est la
misère. Ronces et épineux sont là pour vous rappeler que vous êtes en pleine
nature ou presque dans la nature puisqu’il y a une clôture. Sur la carte nous trouvons d’autres
chemins, mais ils sont derrières
les grillages, pour nous il est impossible de
déroger de la trace jaune ou de la route. Nous arrivons au village de La
Vallée. J'y rencontre une belle allée de château et des compagnies de paons. Suivons le balisage bleu & jaune, nous suivons une belle allée et
entrons dans le village ou des paons me regarde d’un drôle d’œil. Il est charmant
ce petit village, prenons à gauche la rue de la Vallée qui est la rue
principale tourne deux fois à droite pour revenir sur la route vicinal, balisage
jaune & bleu.
Bien sur il est possible de couper. Nous retrouvons la vicinale que nous prenons à gauche, puis la route fait un Y prenons la branche de gauche, balisage jaune. Nous débouchons sur une autre route formant Té nous prenons à gauche puis de nouveau la route ce divise en un grand Y desservant la D 449 nous prenons à gauche, nous longeons un immense CFA puis traversons la Juine. Nous sommes à Bouray sur Juine. A la poste nous prenons la rue de la
mairie (D17) sur la droite balisage jaune. A l’église nous prenons à droite la rue Basse (c’est toujours le balisage jaune. De rue basse nous passons à rue du Gué par un esse droite-gauche balissage bleu & jaune. Nous empruntons sur la gauche la rue de la croix de fer pour prendre peu de temps après un chemin intra muraux sur la droite se nommant chemin du gué il débouche sur la rue du pas mauvais puis prend à droite la rue de la fontaine débouchant dans la
rue des tilleuls que l’on prend à gauche. Nous débouchons sur la D 17 (route de Lardy) que l’on
prend à droite et nous passons devant le château du Mesnil Voisin en pleine restauration en 2017. [L'actuel château du Mesnil-Voisin est bâti en 1635, sur les fondations d'un ancien édifice du Moyen Âge. À la fin du XIIe siècle, le domaine aurait été la propriété d'un chevalier Gautier, « Seigneur du Mesnil », et homme lige du roi Philippe-Auguste. Au XVe siècle, la propriété passe aux mains de la famille Karnazet, qui se le
transmet sur plusieurs générations, jusqu'en 1455, quand Jean de Vaillant reprend les rênes du domaine. La chapelle du Mesnil est commanditée par Renée Sabathier, épouse de Guillaume Hérouard, secrétaire de la chambre du Roi, en 1611. Elle y sera inhumée en 1616. Le château « vieux » sera détruit, en 1633-1634, par François Jameau, maçon du village de Lardy voisin. Des travaux de reconstruction, sont entrepris par Pierre Hérouard, dès 1635, mais des soucis financiers l'oblige à revendre ses biens dont le domaine, en cours de travaux. Racheté
par Claude Cornuel, Conseiller du Roi Louis XIII et intendant des finances, les travaux sont terminés par Michel Villedo. Le château du Mesnil-Voisin changea de propriétaires au gré des successions, pour passer notamment dans les mains de Charles Guillaume, marquis de Broglie. Il fait construire, dans le parc, la Tour de Pocancy. Le domaine et le château est mis en location, auprès du comte mexicain Subervielle, au début du XXe siècle, puis mis en vente en 1939. La société privée qui en fait acquisition prévoyait
une restauration et une modernisation, stoppées par l'occupation des lieux par les troupes allemandes, puis américaines durant le conflit mondial. La dernière mise en vente date de 1954, par l'acquisition des lieux par la la famille Mansillon Il possède une orangerie, des cuisines, des remises et des ateliers. Au centre de la cour des communs, un immense et superbe pigeonnier coiffé d'une poivrière présente ses 3 500 boulins (nichoirs intérieurs), sa splendide charpente et son dénichoir mobile. C'est un des rares à être préservé en l'état avec l'escalier mobile interne.
Bien sur il est possible de couper. Nous retrouvons la vicinale que nous prenons à gauche, puis la route fait un Y prenons la branche de gauche, balisage jaune. Nous débouchons sur une autre route formant Té nous prenons à gauche puis de nouveau la route ce divise en un grand Y desservant la D 449 nous prenons à gauche, nous longeons un immense CFA puis traversons la Juine. Nous sommes à Bouray sur Juine. A la poste nous prenons la rue de la
mairie (D17) sur la droite balisage jaune. A l’église nous prenons à droite la rue Basse (c’est toujours le balisage jaune. De rue basse nous passons à rue du Gué par un esse droite-gauche balissage bleu & jaune. Nous empruntons sur la gauche la rue de la croix de fer pour prendre peu de temps après un chemin intra muraux sur la droite se nommant chemin du gué il débouche sur la rue du pas mauvais puis prend à droite la rue de la fontaine débouchant dans la
rue des tilleuls que l’on prend à gauche. Nous débouchons sur la D 17 (route de Lardy) que l’on
prend à droite et nous passons devant le château du Mesnil Voisin en pleine restauration en 2017. [L'actuel château du Mesnil-Voisin est bâti en 1635, sur les fondations d'un ancien édifice du Moyen Âge. À la fin du XIIe siècle, le domaine aurait été la propriété d'un chevalier Gautier, « Seigneur du Mesnil », et homme lige du roi Philippe-Auguste. Au XVe siècle, la propriété passe aux mains de la famille Karnazet, qui se le
transmet sur plusieurs générations, jusqu'en 1455, quand Jean de Vaillant reprend les rênes du domaine. La chapelle du Mesnil est commanditée par Renée Sabathier, épouse de Guillaume Hérouard, secrétaire de la chambre du Roi, en 1611. Elle y sera inhumée en 1616. Le château « vieux » sera détruit, en 1633-1634, par François Jameau, maçon du village de Lardy voisin. Des travaux de reconstruction, sont entrepris par Pierre Hérouard, dès 1635, mais des soucis financiers l'oblige à revendre ses biens dont le domaine, en cours de travaux. Racheté
par Claude Cornuel, Conseiller du Roi Louis XIII et intendant des finances, les travaux sont terminés par Michel Villedo. Le château du Mesnil-Voisin changea de propriétaires au gré des successions, pour passer notamment dans les mains de Charles Guillaume, marquis de Broglie. Il fait construire, dans le parc, la Tour de Pocancy. Le domaine et le château est mis en location, auprès du comte mexicain Subervielle, au début du XXe siècle, puis mis en vente en 1939. La société privée qui en fait acquisition prévoyait
une restauration et une modernisation, stoppées par l'occupation des lieux par les troupes allemandes, puis américaines durant le conflit mondial. La dernière mise en vente date de 1954, par l'acquisition des lieux par la la famille Mansillon Il possède une orangerie, des cuisines, des remises et des ateliers. Au centre de la cour des communs, un immense et superbe pigeonnier coiffé d'une poivrière présente ses 3 500 boulins (nichoirs intérieurs), sa splendide charpente et son dénichoir mobile. C'est un des rares à être préservé en l'état avec l'escalier mobile interne.
Le tracé du canal bordant l'arrière du château a été entièrement rénové entre 1999 et 2001. Il a ainsi repris son tracé initial quittant la Juine un peu en amont du château pour y replonger en aval de celui-ci, juste avant le pont de Cochet. Wikipédia
Vous
trouverez peut être un peu plus de renseignement sur ce site http://www.bouraysurjuine.fr/web/index.php/patrimoine/historique/77-le-chateau-de-mesnil-voysin]
Lorsque l’on se retourne nous apercevons en haut de la colline dans la
perspective du château la
retrouvons le GR1. Il aurait faut beau et chaud je me serais cru dans les Alpilles. Le chemin forme Té nous prenons à droite le GR1 et abandonnons le balisage jaune. Quittons le GR lorsqu’il tourne à droite poursuivons notre chemin et le balisage bleu sur le plateau. Peut après une branche du balisage bleu tourne à gauche pour voir ‘la pierre levé’ j’ai loupé la bifurc du moins je ne m’en souvenais plus et sur mon GPS il n’était pas noté, je n’ai pas compris le détour de ma trace alors que j’avais un chemin tout plat devant moi. Après avoir regardé internet, J’ai modifié ma trace par un allez et retour n’ayant pas remarqué de chemin plus court. Dans l’étape 18 nous passerons à 300 du dolmen à vous de voir si vous désirez vous détourner aujourd’hui ou plus tard. J’ai eu un peu de mal à retrouver un détail concis sur ce dolmen, j’ai donc pris ce qui m’intéressait sur plusieurs sites j’ai regroupé les pages internet en fin de commentaire.
tour Pocancy [ Il fit
construire la Tour de Pocancy dans la perspective du château,
imitation d'une tour de guet médiévale. Pocancy, selon un texte médiéval, était
un fief féodal avec place forte. Un trésor, datant du IXe siècle, composé de
monnaies frappées à l'effigie de Charles le Chauve, a été trouvé dans ses
alentours. La tour actuelle a été érigée, au début du XVIIIe siècle, à
l'emplacement d'un ancien hameau. Contrairement aux idées communément
répandues, elle ne servit jamais de relais du télégraphe de Chappe. http://www.bouraysurjuine.fr/web/index.php/patrimoine/historique/77-le-chateau-de-mesnil-voysin]
Nous essayerons de nous en approcher dans une future promenade, mais étant sur
un terrain privé entouré de bois il n’est pas sur que nous la verrons mieux. Après
avoir parcouru l’étape suivante la monté à la tour doit ce faire par l’un des
chemins encadrant le parterre de pelouse. Poursuivons la départementale. Nous
entrons dans Janville sur juine (D99) au rond point nous prenons à gauche la
route de Bouray (D17) balisage jaune. Au carrefour suivant nous prenons à
gauche la rue de la Tour de Pocancy, puis à droite la rue des cajettes,
toujours balisage jaune. Laissons les deux allées sans issus sur la gauche et
prenons un chemin entre les maisons sur la gauche face à la rue des roches
(toujours balisage jaune.) Nous grimpons en foret. Le sentier fait une fourche serrée on prend
celui de gauche balisage jaune (à droite le balisage bleu) le chemin grimpe fortement
et nous débouchons sur le plateau comportant des arbres un peut rabougris ou
nousretrouvons le GR1. Il aurait faut beau et chaud je me serais cru dans les Alpilles. Le chemin forme Té nous prenons à droite le GR1 et abandonnons le balisage jaune. Quittons le GR lorsqu’il tourne à droite poursuivons notre chemin et le balisage bleu sur le plateau. Peut après une branche du balisage bleu tourne à gauche pour voir ‘la pierre levé’ j’ai loupé la bifurc du moins je ne m’en souvenais plus et sur mon GPS il n’était pas noté, je n’ai pas compris le détour de ma trace alors que j’avais un chemin tout plat devant moi. Après avoir regardé internet, J’ai modifié ma trace par un allez et retour n’ayant pas remarqué de chemin plus court. Dans l’étape 18 nous passerons à 300 du dolmen à vous de voir si vous désirez vous détourner aujourd’hui ou plus tard. J’ai eu un peu de mal à retrouver un détail concis sur ce dolmen, j’ai donc pris ce qui m’intéressait sur plusieurs sites j’ai regroupé les pages internet en fin de commentaire.
Périodes
de construction : Néolithique. Beau dolmen, découvert et pillé au XIXème
siècle. La pierre qui recouvre ce dolmen porte des gravures typiques des abris
ornés de Fontainebleau. Il mesure 4,30
mètres de long ; il est ouvert à l'est et formé de neuf supports soutenant une table d'environ 15 tonnes. Il était à l'origine recouvert de pierres calcaires constituant un tumulus. Il a été découvert au milieu du XIXe siècle lors de la construction d'un chemin. Sans doute faisait-il partie de tout un ensemble de
dolmens, menhirs et tumulus dans la région. Il est peut-être ce qui reste d'une allée dolménique comme il y en a tant en Bretagne avant de servir plus tardivement, après destruction de la majeure partie, de tombe. Lors de sa découverte, des squelettes nombreux ont été éparpillés dans le champ voisin par les paysans, ce qui est inhabituel.
mètres de long ; il est ouvert à l'est et formé de neuf supports soutenant une table d'environ 15 tonnes. Il était à l'origine recouvert de pierres calcaires constituant un tumulus. Il a été découvert au milieu du XIXe siècle lors de la construction d'un chemin. Sans doute faisait-il partie de tout un ensemble de
dolmens, menhirs et tumulus dans la région. Il est peut-être ce qui reste d'une allée dolménique comme il y en a tant en Bretagne avant de servir plus tardivement, après destruction de la majeure partie, de tombe. Lors de sa découverte, des squelettes nombreux ont été éparpillés dans le champ voisin par les paysans, ce qui est inhabituel.
http://www.monumentum.fr/dolmen-dit-pierre-levee-pa00087925.html
http://www.t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=5710
http://vivrevouivre.over-blog.com/article-le-dolmen-de-janville-pres-de-la-ferme-de-pocancy-dans-l-essonnes-50172468.htmlVous trouverez le détail de ce monument page 10 sur le site
suivant. http://www.persee.fr/doc/bspf_0249-7638_1915_num_12_3_7044]
Après avoir longé un champ et être entrée de nouveau en foret nous débouchons
sur un chemin formant Té nous prenons à droite et retrouvons le balisage
bleu. Nous descendons. A la première fourche prenons le chemin de gauche balisage
bleu et orange et à la fourche suivante également à gauche (enfin c’est plutôt
tout droit. On abandonne les balisages.) Au carrefour dans le bas de la pente
le chemin forme Té (centre équestre) nous prenons à gauche et retrouvons un
balisage jaune. Puis nous abandonnons le balisage jaune tournant à droite et
poursuivons tout droit le balisage bleu. Nous suivons ce chemin jusqu'à la
rencontre du GR 655 que nous prenons à droite. A la patte d’oie nous prenons à
droite et suivons les balisages jaune-bleu & GR. Nous sortons du bois. Nous longeons un
haras, coupons la D17. Nous arrivons en paysage connu pour ceux qui ont fait la
précédente promenade. Nous sommes à Gillevoisin le château est sur la droite.
Nous prenons en face la rue de Janville, puis sur la droite la rue de Chamarande
qui devient après la traversé de la Juine route de Gillevoisin. Nous arrivons
sur la D 146 (route de Lardy que nous prenons à gauche. Nous laissons la rue de
l’ancienne Tuilerie sur la droite pour prendre le chemin quelques mètres plus
loin (Nous sommes toujours sur le GR) passons sous la ligne de chemin de fer et
nous retrouvons notre petit sentier que nous prenons à gauche jusqu’au parking.Vous trouverez la carte de mes randos de la journée à l'adresse suivante.
Toute mes randos de la journée
Beaucoup de couleur et pas très clair en foret de Fontainebleau. Je n'ai pas voulu surcharger les traces lorsque je passe plusieurs fois au même endroit.
Cliquez sur l'une des lignes, le nom de la promenade et l'adresse de la page de l'article s'affichent.
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