Montdardier - Saint Maurice de Navacelles
''le rancas''
27 juin 2017
Le code mobile de cette randonnée est b310762
km
Temps arret V/d
V/g dénivelé
29,6 6:11
1:00 4,8 4,2
657 +
Dure journée aujourd'hui, à l'origine la distance ne devait pas dépasser 23km, mais par un itinéraire difficile, le but ce rendre au cirque de Navacelles, y descendre, longer le cours de la rivière ''La Vis'' dans ses gorges pour remonter sur Saint Maurice. Je craignais deux choses,
la canicule et les orages. J'ai eu simplement chaud. Ensuite cela ce complique
un peu d’où les 30 km.
A Montdardier le gérant du gîte ma dit ; vous dormirez bien ici, il n'y a pas de bruit dans cette ancienne église réformé. En effet tant
qu'il a fait jour, pas un bruit, mais la nuit venue un animal a perturber le silence. Un oiseau nocturne peut être, j'avais l'impression qu'il était dans l'entrée. Un bruit agaçant comme celui d'une alarme mais en beaucoup moins fort. Le fait d'être seul ma permis de me réveiller de bonne heure. A sept heures du matin, le sac sur le dos me voilà parti. Nous empruntons un beau chemin dans la garrigue, je pense que je suis déjà dans le Larzac Méridionale. Nous passons plusieurs portes entre des clôtures de barbelé. Il ne faut surtout pas oublier de les refermer, ils ne les ont
pas posées en dévers et elles ne se ferment pas toute seul. Sur la carte nous sommes dans les causses de Blandas. On trouve sur le chemin ou dans ses grands espaces, soit des vaches en libertées, soit des moutons. Les vaches, sont le plus impressionnant. Elles peuvent être sur le sentier, surprisent, lorsqu'elles vous regardent, vous n'êtes pas sur qu'elle ne vont pas vous foncer dessus. Leur prairies parsemées d'ajoncs et de buis sont immenses . Enfin prairie c'est un bien grand mot. L'herbe est rase et avec la canicule de la semaine dernière elle c'est transformée en foin. J'appris plus tard que pour une vache il faut dix hectares de terrain, alors que dans le Limousin ils mettent dix vaches dans un hectare. Le gérant du gîte du Rancas à peut être un peu exagéré sur les superficies mais cela montre bien que les conditions de vie ici, sont un peu plus dur qu'ailleurs. Jusqu’à présent le chemin est facile pas moyen de ce tromper. Le balisage semble refait à neuf, je ne sort n'y la carte, n'y le GPS. Lorsque je pense que le randonneur à le droit de passer sur les terres d'élevages, alors que dans le Limousin, du moins dans la Haute Vienne, depuis le remembrement il est difficile de suivre un chemin sans tomber sur une clôture ou une culture. Les cartes ne sont pas à jour et bien souvent il butte sur un barbelé. ''Veulent pas perdre deux rangs de maïs ou de foin pour une bande de ''pingouin ''. (Dixit les paroles d'un éleveur, agriculteur.) vingt ans que je connais ce coin coincé entre la Haute Vienne et la Creuse, ils n'ont pas fait un pas vers le tourisme...Pas le temps à perdre avec ça, ils travail dure. Puis nous empruntons le bitume. Nous débouchons pour peu de temps sur la D 113 passons des clôtures et débouchons sur la D 513 et je me perds... par rapport à ma trace, je suis perdu, nous devions partir dans la garrigue, et l'on continue la route. J'ai du louper un
truc, je retourne en arrière rien que des clôtures et pas une barrière. Le GR continue par la départementale, comme on est sur une route, le marquage est très intermittent, cela m’inquiète fortement mais je ne vois pas comment j'ai pu louper le balisage partant dans les champs, il y a du barbelé partout. Le balisage à été déplacé mais la trace sur la carte ne l'a pas été. Je bougonne contre l'éditeur de cette dernière. Ce crochet nous rallonge. A moins que je me trompe avec le tour du Viganais... ? Impossible la peinture n'est pas de la même couleur. On arrive à un carrefour, on prend à droite ….. La trace
sur mon GPS est bien loin. Pour rejoindre cette trace il aurait fallut que je tourne à gauche. je déborde de l'espace imprimé sur ma carte je suis perdu. Heureusement quelques traits de couleurs rouge et blanche me guide sur le bon chemin. Cette semaine je ne quitte pas le GR7. J'arrive à Blandas que je traverse (alors que je ne devais que l'effleurer) Après la D 158 je retrouve l'ancienne trace. Me voilà au Cirque de Navacelles. Site touristique aménagé. Je me rends tout de même au panorama. L'avantage de cette heure matinale c'est qu'il n'y a personne. Une allée en béton entre deux petits murs, nous amène au musée et à flanc du vide. La vue est grandiose. [la rivière Vis a creusé son lit dans le calcaire des causses (Blandas et Larzac), formant ainsi de vastes méandres. Au fil du temps, l'érosion de la roche a permis à la rivière de couper au plus court, et d'abandonner son ancien lit.
Ainsi est né le Cirque de Navacelles.
Pour le découvrir intégralement, il ne faut pas manquer la descente au fond du cirque, d'une profondeur de 300m. Là, dans une oasis de verdure, aux abords de la cascade de la Vis, s'est implanté le village de Navacelles. Un sentier botanique, accessible à tous y a été aménagé.
La forme la plus ancienne connue du nom de Navacelles apparaît dans une charte du cartulaire de Gellone du Xe siècle : «... in villa, que vulgo dicitur Novacella... ». Les moines de l'abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert ont été très actif à Navacelles pendant plusieurs siècles. Le nom du mas de Guilhou, un des quartiers de Navacelles, proviendrait de Saint-Guilhem.
Pas facile la première partie de la descente
Le XXe siècle a vu se généraliser l'orthographe Navacelles alors qu'auparavant c'était Navacelle qui prévalait après avoir été Nova Cella, Novacelle ou Noveselle.
La Vis qui a formé le cirque de Navacelles resurgit à la résurgence de la Foux à 5 km en amont de la cascade. Elle est alimentée par un bassin versant de 198 km2 formé par le bassin en amont de la perte à Alzon, le causse de Blandas, le causse de Campestre et le Larzac méridional. Le débit instantané maximal connu est de 245,0 m3/s le 24 novembre 2003, le débit mensuel minimal entre 2002 et 2012 a quant à lui été relevé en septembre 2011 avec 1,470 m3/s. La moyenne inter annuelle du débit entre 2002 et
2012 est de 5,34 m3/s.
Néanmoins le débit de la Vis à Navacelles peut être sensiblement différent de ce qu'il est à la résurgence à quelques kilomètres en amont. La déviation d'une partie de l'eau de la rivière dans un canal d'alimentation de la centrale hydroélectrique de Madières située à 12 km en aval de Navacelles modifie les données. Depuis le 20 novembre 2012 la centrale EDF a redémarré après un arrêt de 4 ans. En période de fonctionnement Le débit réservé en aval de la
déviation est fixé à 700 l/s en été et 500 l/s le reste de l’année. L'eau captée qui ne franchit pas la cascade à Navacelles contourne le méandre du cirque dans un canal.
La nature de la Vis à Navacelles apparaît encore plus spectaculairement lors de crues ou d'assèchements. Les crues, effrayantes dans les gorges, offrent un paysage exceptionnel à Navacelles où la rivière peut envahir le méandre abandonné. L'assèchement à la résurgence ne se produit que très rarement. On conserve dans le pays le souvenir des arrêts de la Vis. La rivière
resta sèche pendant 24 heures en 1890, pendant deux heures en 1922, pendant 8 heures en 1927 et pendant 6 heures en 1961.
Le recoupement du méandre est le fait non moins d'un recoupement classique que d'une accumulation de tufs qui a exhaussé le lit de la Vis. Après le recoupement du méandre intervenu il y a environ 6 000 ans, les tufs se sont incisés sur une dizaine de mètres de profondeur en aval de Navacelles jusque Madières. Cette inversion du rôle de l'eau qui fait
succéder une incision à une accumulation, phénomène rencontré aussi à Saint-Guilhem-le-Désert, est causée par le rôle de l'homme. La déforestation et la mise en culture du causse se sont accompagnés d'un accroissement du ruissellement aux dépens de l'infiltration. Il en découle d'une part une moindre dissolution d'où moins de bicarbonates à la résurgence de la Vis, et d'autre part l'accroissement du ruissellement gène la croissance des algues et des mousses nécessaires au dépôt des tufs. Cette agressivité mécanique et chimique en provoquant la réincision de la terrasse de tufs a fixé définitivement le recoupement du méandre de Navacelles. wikipédia]
Je reprends mon Gr. Un panneau nous mets en garde : Descente dangereuse dans des pierriers. Risque de chutes.
Navacelles |
Le sentier de 0,50m en corniche ne me plait pas trop, je ne suis pas là pour prendre des risques mais pour suivre le GR. Si le Gr prend la route, ne risquons pas notre vie surtout avec un sac d'un peu plus de quatorze kilo sur les épaules. Aujourd'hui j'ai trois litres d'eau. Le mois dernier on m'avait prévenu que ce serait dure, que s'était les Causses et avec le soleil on desséchait sur place. Le seul endroit pour faire le plein d'eau sont les villages de Blandas ou Navacelles, puis Saint Maurice en fin de parcours. À 9h30 mes bouteilles sont encore pleines. Je trouve une sente m'éloignant du bord, la prend, et
Gorges de la Vis |
Une
fois passé la route, le chemin est meilleur, large, il descend fort tout de
même. On passe sous des câbles électriques parfaitement tendu et rasant le bord
du précipice qui est tout de même moins impressionnant de ce coté le chemin étant plus large. Passons le pont sur la vis. Pas le temps de voir sa source, n'y de
visiter le village, encore moins de me rendre sur le rocher central avec la
vierge. Pour cela il aurait fallut dormir ici. Longeons la rivière. Si vous désirer vous rafraichir les pieds c'est le
moment. Traversons le charment village de Navacelles, le sentier grimpe, pour
atteindre son niveau à flanc de colline le long des gorges de la vis. L'eau
vous l'apercevrez, mais il est impossible d'y tremper les pieds. La berge est trop haute et pentue. Imaginez, la falaise, la route bitumée, plus
bas le sentier bien horizontale, parfois sentier parfois chemin, et la pente trop raide pour atteindre le cours d'eau en contre bas. Il n'y a aucun chemins pour decendre. Au départ c'est un sentier qui grimpe, mais par rapport à ce que l'on viens de descendre ce n'est rien, puis il s'installe sur sa courbe de niveau et n'en bouge pour ainsi dire plus. Le paysage est magnifique, différent des gorges du Verdon. La bas les gorges sont étroites. Ici c'est un peu plus large. A la rencontre du canal de dérivation [De 1902 à 1907, un canal de 12 km est construit pour amener l’eau de la station de pompage en aval de la
source de la Foux jusqu’à la centrale hydroélectrique de Madières.
bas le sentier bien horizontale, parfois sentier parfois chemin, et la pente trop raide pour atteindre le cours d'eau en contre bas. Il n'y a aucun chemins pour decendre. Au départ c'est un sentier qui grimpe, mais par rapport à ce que l'on viens de descendre ce n'est rien, puis il s'installe sur sa courbe de niveau et n'en bouge pour ainsi dire plus. Le paysage est magnifique, différent des gorges du Verdon. La bas les gorges sont étroites. Ici c'est un peu plus large. A la rencontre du canal de dérivation [De 1902 à 1907, un canal de 12 km est construit pour amener l’eau de la station de pompage en aval de la
source de la Foux jusqu’à la centrale hydroélectrique de Madières.
Après la
première guerre mondiale, les activités et la population commencent à
décliner. Les magnaneries (élevage de vers à soie) ferment, c’est le début de l’exode
rural. 1980 marque le départ du dernier troupeau de moutons de Navacelles.
http://lodevoisetlarzac.fr/fileadmin/img/lodevoisetlarzac/environnement/Navacelles/DREAL_SI00000497_CirqueNavacellesGorgesVis.pdf] le chemin
s'élargit. nous longeons le canal. Nous descendons et trouvons quelques maisons
abandonnées. La route passe plus haut le dernier virage en épingle à cheveux à été mal négocier.
C'est au Mas du Pot que nous sommes le plus proche de la Vis. Il ma été impossible de le vérifier, un groupe de mégère gardait la place. Elles attendaient deux copines que j'avais vu un peu plus haut sous le canal, bien à l'ombre, faisant leur poses en papotant, les doigts de pieds à l'air. Sont pas prêt d'arriver. Elles les attendent
pour le repas. Il est vrai que la place me semblait idéale. Ombragé et fraiche. Drôle de groupe avec une telle distance entre les randonneurs.... il est impossible de penser qu'elles sont ensemble. La ''cheftaine'' à ma demande si la rivière n'était pas loin, ma fait comprendre qu'elle ne voulait pas d'homme proche de son cercle. J'ai bien vu le chemin qui se dirigeait peut être vers l'eau. Une dame en sortait et je me suis dis que c'était peut être la pose pipi. Délicat de forcer le passage, surtout si cela ne menait nul part. J'ai manger un peut plus loin, pensant toujours trouver une sente pour descendre. Rien, rien de rien, on remonte un peu et j'arrive au virage à angle aigu permettant
de rejoindre le plateau. Je m'arrête un peut plus loin. Comme il est de bonne heure je prends mon temps. Après la grimpette, je suis arrivée. Géniale le panier repas du resto. Trois tranches de rôtis de porc, du taboulé, une banane et une pomme, le tout pour un peut plus de huit euros. La banane fut bien choisi pas trop mur ce qui fait qu'elle ne s'est pas écrasé dans le sac. Je fais la sieste. Il faut bien repartir, dommage j'étais bien à mi ombre. La grimpette est dure, très dure, un sentier dans la caillasse et les éboulis. Le pierrier est difficile à gravir, c'est fatiguant, très fatiguant. Cela monte raide. Durant ma monter je fais quatre poses. Je sais pour l'avoir expérimenté le mois dernier qu'une pose avant une élévation ce n'est jamais bon, mais j'étais arrivée, ou presque. Je trouve que cette partie est plus dure que la montée au chalet Maline dans les gorges du Verdon. La bas on a un chemin ici un pierrier. J'ai peut être oublié après tout. A l'une de mes poses je me fais doubler par mon groupe de mégère. Comprend pas, je n'ai vu personne derrière moi, pourtant entre les nombreux lacets et la végétation rabougrie il est facile de voir quelqu'un qui vous suis. Je les redouble un peu plus loin, chacun faisant sa pose à son rythme. Enfin je sorts de cet enfer. Sur le plateau je fais une nouvelle grande pose pour jouir une dernière fois de la vue sur le haut des gorges. Arrivée à Saint Maurice de Navacelles je cherche mon gîte que je ne trouve pas. Pourtant sur la carte il y a bien le logo du petit chalet. A la place c'est une chambre d'hôte. Par ici certain font les deux. Je sonne personne, le nom sur la porte n'est pas celui que je recherche. Je vais demander à la guinguette de la rue principale... Je tombe de haut, le gîte est à cinq kilomètres sur le Gr 74. A l'opposé de mon itinéraire de demain. Pas possible il se trompe... Je sorts ma carte. Il y a bien le logo des gîtes sur ma carte. Je sorts, ma feuille de route, l'adresse est bien Saint Maurice. Je téléphone, la dame est sur répondeur, mais elle me rappelle rapidement. C'est bien à cinq kilomètres de là. Encore une partie de carte non mis à jour. Me voilà donc parti sur le Gr 74. Je ne peux me fier qu'au balisage, je n'ai pas trouvé le nom
du gîte sur le GPS, le Gr 74 n'y figure pas non plus et mes extraies de cartes ne vont pas jusque là. Etant arrivé, sur le papier j'ai coupé au plus court. Je suis dans le Larzac Méridionale et c'est désertique. Heureusement que je n'avais pas de carte et aucune trace sur mon GPS, je n'aurais certainement pas pris le chemin que l'on m'indiquait et je me serais perdu. Il me semble que pour une nouvelle fois la carte IGN n'est pas à jour. Le GR 74 est un arc de cercle entre St. Maurice et Saint Privat dans l'Hérault. Sur la carte, il ne passe pas par le Gîte du Rancas c'est le Tour du Larzac Méridionale qui y passe, ce dernier étant un GRP le balisage devrait être rouge et jaune. Le GR 74 à t'il été modifié? A t-il une variante ? Il me semble bien avoir vu une pancarte avec Gr 74 à la sortie du village.
Il me semble bien avoir vue que des traces de couleurs rouge et blanche. Cinq kilomètres c'est long, sur ce plateau proche des gorges de la vis. Je suis inquiet, fatigué, et commence à avoir mal aux jambes. Je suis le balisage sans regarder ce qu'il y a autour de moi. Le chemin se trouve entre des barbelés. Je force un peut l'allure, je panique, j'aurais dû regarder l'heure avant de repartir ou le nombre de kilomètres sur le GPS, il me semble que je marche depuis des heures. Il n'y a rien que des clôtures et ce large chemin. Sur la gauche on devine les gorges. Enfin une route et des fils électriques, le village n'est pas loin. Je passe une ferme abandonnée, ce n'est pas rassurant. Toujours pas de village au loin, pourtant je devrais approcher et dans cette garrigue on devrait le voir, tout de même. Toujours pas de village. La route se termine après un virage. Je suis arrivé. Pour moi les ''Rancas'' c'était le non d'un village, rien à voir c'est le non de la ferme. Le ou les GR traversent la propriété. Ancienne bâtisse qui manque un peu d'entretien, je comprendrais plus tard pourquoi. La dame me montre le dortoir sympa, une ancienne étable. Le reste pas très pratique, il faut sortir pour aller aux sanitaires et à la douche. Pas de chauffage, une douche et un sanitaire pour une quinzaine de places. On sent le bricolage. Au moment du dîner je comprends l'état de la maison, il n'y a plus ou pas d'homme dans la maison et ce sont les copains qui viennent aider. Durant le diner nous avons eu un orage et l' on comprend mieux les épisodes cévenole. Un vent de tempête, une pluie battante à ne pas voir à cinq mètres, imaginer des sceaux se renversant sur vous. trente minutes après c'est fini. La salle à manger fait également salon, et cuisine, la chambre est à coté avec les toilettes et les sanitaires. Je remarque que seul deux poêles à bois chauffent l'ensemble. Elle m'affirme, et je veux bien la croire, que l'hiver cela suffit et qu'en prime cela chauffe le dortoir situé à l'étage et utilisé par les randonneurs hivernaux. Voilà la raison du manque de chauffage dans le dortoir du bas.
La
nuit fut difficile. J'ai mal aux muscles des cuisses. Des courbatures, c'est la
première fois que ça me fait ça. Il est vrai que j'ai l'habitude de faire
trente kilomètres mais pas comme ceux là.
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