Castillon du Gard - Russan
Etape 1024 GR 6
vendredi 24
juin
Carte IGN Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace rando GPS
Le code mobile de cette randonnée est b309863
Etape 1024
km temps arret V/d V/g denivele
30,7 5h55 1h00 5,2 4,7 409 +
qui est construit autour...." Comme me dit ma femme ; on a bien payé plus cher pour visiter des ruines beaucoup moins belle que celle ci. Hier je n'ai rien payé personne aux caisses aujourd'hui, il est trop tôt et il n'y a personne aux contrôles.
Malgré
l’heure matinale il y est déjà du monde.
Je suppose que l'entrée est comprise
dans le prix du parking. Comme hier je perds la trace rouge et blanche du 63,
comme j'ai vu hier ou je devais me diriger, je coupe par les parkings, trouve
une trace partant sur la droite, malheureusement je ne regarde pas ma carte, ne
réfléchi pas que je devais retrouver le GR6 au niveau de l’aqueduc. Sur le Gps
je suis

sur ma trace. Il me semble que c'est un peut tôt, mais comme ils ont tout réaménagé, je me dis que j’ai copié une trace fausse sur une carte non mis à jour. Je m'éloigne vraiment de ma trace, fait le tour d'une petite parcelle de vigne, puis d’olivier, puis, puis... Un vrai jardin de Provence en miniature avec des panneaux ludiques. Je
traverse l'aménagement, je suis toujours des
balises de Gr mais je ne sais pas lesquels. Je crois arriver à un second
parking, je ne suis plus du tout sur ma trace. En pleine nature, j'aurais pris
un sentier sur la gauche pour retrouver mon GR, mais avec les clôtures j'ai peur
de me trouver bloque.
Hier, j'ai déjà eu du mal à en sortir. Alors je ne vais pas partir à
l'aventure et me trouver coincé devant un grillage. Je ressors par la porte ou j'étais entrée cela s'active dans les caisses, mais l'on ne me demande rien. En fait j'ai pris à l'envers la trace que j'airais du suivre à l'arrivée au parking. Dégoûté, je rejoins la D981 et contourne au sens large les clôtures, en marchant sur le bitume. Je retrouve mon GR à la Bégude Saint Pierre en prenant à gauche juste
avant la
D 112 je trouve un Gr venant de Vers-Pont-du-Gard, rien sur ma carte, j'ai
pensé au nouveau balisage que l'on m’a parle hier, celui d’Urbain V. Si c'est cela,
la carte n'est vraiment pas à jour. Revenons à notre balisage. C'est un chemin tranquille,
je lui reprocherais simplement d'être un peu loin de l'eau. Il faut arriver à
Collias, pour être en bordure du gardon et de son affluent,
l'Alzon. [Affluent
gauche du Gardon, L'origine du nom vient du
pré-celtique alz- "aulne, marais", ou du basque altz
"aulne" Longue de 23,7 km, l'Alzon
prend source sur le territoire de la commune de La
Capelle-et-Masmolène, à quelque 200 m d'altitude. L'Alzon arrose l'est de la ville d'Uzès et se jette
dans le Gardon à Collias, à 24 m d'altitude. Wikipédia] A partir de Collias il y a sur ma
carte, un sentier
local qui longe le gardon. En final, il n'a pas l'air de
gravir la falaise pour rejoindre
l'autre sentier permettant de retrouver le Gr 6. Il est top long et il fait trop chaud pour s'aventurer sur un chemin dont l'issu est incertain. Imaginons quand final nous soyons face à un mur, une falaise infranchissable sauf en escalade, il faudrait faire demi tour. Tant pis pour l'eau et poursuivons notre fil d'Ariane rouge et blanc. Nous quittons rapidement l'eau
pour se promener un peut en ville. J’aime bien ses vieilles rues, ses vieilles maisons, son puits des Templiers, en regardant la margelle on peut s’imaginer l'apprenti chevalier tirer sur une chaine d'acier pour
sortir un sot d'eau afin d'abreuver Maître et chevaux. les rues en petits pavés sont propres sans herbes, ce n'est pas comme dans mon village... toutes cette mauvaises herbes qui poussent partout ce n'est pas agréable à regarder pour un village soit disant de caractère. Il était beau avant, il y a longtemps, quand j'étais jeune, avec ses maisons en grès, ses deux plus anciennes placettes remontant au moyen-age, avec le puits, le petit chemin menant aux jardins ou pouvant servir

de "sortie de secours" pour fuir en cas d’invasion, aujourd'hui ses emplacement qui donnait "le caractère au village" sont rempli de voitures de mauvais herbes, façade croulant sous le lierre. Ses iles, dont l'une classée, ses bords de Seine. Tout cela balayé par des BOBO parisiens, speudo écolo. Hé oui, bien trop près de Paris. Ce sont qui polu, avec leur idées. Qu'il est moche mon village. Heureusement il est entouré par la foret et cela me permet de me promener sans prendre la
voiture, et de la mauvaise herbes il y en a en foret... beaucoup moins bien entretue cette foret. Les mauvaises herbes poussent tout le temps, increvable, anéantie les pousses des bonnes herbes sauvages. Je comprends et encore difficilement qu'a Paris on montre aux plus jeunes les mauvaises herbes, un "jardin des mauvaises herbes" existe il est sur une ile vers Issy les Moulineaux le GR 2 la traverse, cela m'avait surpris à l'époque, je l'avais compris après, bien après, lorsque la fatigue et que le terrain laissent l'esprit divaguer comme en ce moment.

Paris ; Des kilomètres et des kilomètres carré de béton sans verdure "naturel" ou si peu... mais ici chez moi 25 000 ha de foret, des champs, des jardins, c'est une honte. A la télé, une émission écolo sur la 5 me semble il, présentait une ile de Bretagne ou des bénévoles, de "VRAI écolo eux", avait nettoyés toute une partie de l'Ile des ses mauvaises herbes pour qu'il repousse je ne sais plus qu'elle plante sauvage fleurissante (peut être le rhododendron sauvage) qui avait presque disparu de ce littorale étouffé par les ronces et les orties (quoi que ses derniers sont
bon pour la santé.) et autres herbes folles disgracieuses et inutiles. Poursuivons nos Gr 6 et 63
sur un large chemin sans ombre. Restons au soleil sur notre crête. Pas très bien balisé ce chemin, les changements
de direction important ne sont pas indiqués, et sur les nombreuses pancartes d'informations rien ne matérialise les Gr, ce
n'est pas comme dans les Bouches du Rhone.Oui je me répète.

Ne doivent pas aimer la ffrp par ici. Le Gr se dirige vers
la D 112 que nous prenons sur la gauche, au quatre maisons de la Bégude nous
prenons encore à gauche la D 979 nous y trouvons beaucoup de voitures même à midi ;
C'est la liaison Nîmes - Uzes. Juste avant le village nous quittons la route
pour prendre un sentier qui grimpe sur la droite.
C'est ici que l'on quitte Gr
63, à moins que vous ne désiriez pas faire les crêtes du gardon. Dans ce cas
poursuivre le 63 jusqu’à Vic il me semble qu'il reste à plat. On retrouve le 6
après avoir traverse le village. J’aimerais bien manger en bordure de l’eau
cela me semble de plus en plus compromis. Après le Pont de St. Nicolas de Campagnac, je trouve une piste locale qui descend rudement. Hors mis une espèce de grotte entre deux rochers pas un
coin d'ombre et l'eau étant stagnante dans se
coin, le courant passe un peut plus au large après un haut fond de cailloux. La roche et la rive était recouvert de vase ou de mousse marron. L'eau couverte d'un voile, ne m'a pas encourager à y mettre les pieds. Par contre en son milieu l'eau était bien claire. Je mange tout de même en bordure de l’eau et à l’ombre des rochers. Après la sieste le départ fut rude, il faut grimper à flanc de colline, et revenir sous ce soleil de plomb. Nous poursuivons le 6 sur la crête en
bordure de la
falaise. Pas facile ce chemin. On a de belles vues sur les gorges et
le gardon. Cela rappelle un peu le Verdon. Le danger n'est pas de chuter dans
le vide, la crête est large, je me suis approché du bord que pour les photos,
le danger, c'est le rocher par lui même, il est rempli de trous. On a
l'impression qu'à sa formation la roche était une masse visqueuse et que des
bulles d'air sont venues éclater en surface, le rocher se refroidissant
immédiatement s'est figé durant l'éclatement..... Je crois avoir lu que ce sont
des roches calcaires et c'est l'opération inverse qui se produit. Les parties
les plus tendres sont dissous par la pluie. Ce n'est pas facile de marcher sur
ses rochers, les chevilles n'aiment pas, faut regarder ou l'on met les pieds,
sinon gare aux chutes. J’ai l'impression d'être dans le Luberon dans les gorges d'Oppédèpe. En faisant attention pas de Danger. Le soleil tape par le dessus, le rocher vous retransmet sa chaleur par le dessous, c'est un vrai four naturel, à la sortie on est cuit à point. On entame un large virage à droite et quittons la crête pour le plateau et un petit bois, enfin de l'ombre, les branches basses d'un chêne se prennent dans mon sac, me ramène en arrière et se libère subitement, fatigué, surpris par cette manœuvre non prévu, je ne contrôle rien et me voila à plat ventre sur le chemin, voilà ce qui arrive lorsque l'on relâche son attention. On aperçois le village de Vic sur la droite. Comme il y a peut d'informations sur les Gr, je ne m'aperçois pas que je retrouve le 63. Je poursuis ma trace, jusqu'à la rencontre du Gr 700. Je ne comprends plus le balisage mon chemin fait Té avec un autre et il y a de la peinture rouge et blanche sur toute les branches , mon gps me dit de prendre à gauche, mais c'est quoi
a droite ?
sur ma trace. Il me semble que c'est un peut tôt, mais comme ils ont tout réaménagé, je me dis que j’ai copié une trace fausse sur une carte non mis à jour. Je m'éloigne vraiment de ma trace, fait le tour d'une petite parcelle de vigne, puis d’olivier, puis, puis... Un vrai jardin de Provence en miniature avec des panneaux ludiques. Je
Hier, j'ai déjà eu du mal à en sortir. Alors je ne vais pas partir à
l'aventure et me trouver coincé devant un grillage. Je ressors par la porte ou j'étais entrée cela s'active dans les caisses, mais l'on ne me demande rien. En fait j'ai pris à l'envers la trace que j'airais du suivre à l'arrivée au parking. Dégoûté, je rejoins la D981 et contourne au sens large les clôtures, en marchant sur le bitume. Je retrouve mon GR à la Bégude Saint Pierre en prenant à gauche juste
sortir un sot d'eau afin d'abreuver Maître et chevaux. les rues en petits pavés sont propres sans herbes, ce n'est pas comme dans mon village... toutes cette mauvaises herbes qui poussent partout ce n'est pas agréable à regarder pour un village soit disant de caractère. Il était beau avant, il y a longtemps, quand j'étais jeune, avec ses maisons en grès, ses deux plus anciennes placettes remontant au moyen-age, avec le puits, le petit chemin menant aux jardins ou pouvant servir
de "sortie de secours" pour fuir en cas d’invasion, aujourd'hui ses emplacement qui donnait "le caractère au village" sont rempli de voitures de mauvais herbes, façade croulant sous le lierre. Ses iles, dont l'une classée, ses bords de Seine. Tout cela balayé par des BOBO parisiens, speudo écolo. Hé oui, bien trop près de Paris. Ce sont qui polu, avec leur idées. Qu'il est moche mon village. Heureusement il est entouré par la foret et cela me permet de me promener sans prendre la
Paris ; Des kilomètres et des kilomètres carré de béton sans verdure "naturel" ou si peu... mais ici chez moi 25 000 ha de foret, des champs, des jardins, c'est une honte. A la télé, une émission écolo sur la 5 me semble il, présentait une ile de Bretagne ou des bénévoles, de "VRAI écolo eux", avait nettoyés toute une partie de l'Ile des ses mauvaises herbes pour qu'il repousse je ne sais plus qu'elle plante sauvage fleurissante (peut être le rhododendron sauvage) qui avait presque disparu de ce littorale étouffé par les ronces et les orties (quoi que ses derniers sont
coin, le courant passe un peut plus au large après un haut fond de cailloux. La roche et la rive était recouvert de vase ou de mousse marron. L'eau couverte d'un voile, ne m'a pas encourager à y mettre les pieds. Par contre en son milieu l'eau était bien claire. Je mange tout de même en bordure de l’eau et à l’ombre des rochers. Après la sieste le départ fut rude, il faut grimper à flanc de colline, et revenir sous ce soleil de plomb. Nous poursuivons le 6 sur la crête en
sinon gare aux chutes. J’ai l'impression d'être dans le Luberon dans les gorges d'Oppédèpe. En faisant attention pas de Danger. Le soleil tape par le dessus, le rocher vous retransmet sa chaleur par le dessous, c'est un vrai four naturel, à la sortie on est cuit à point. On entame un large virage à droite et quittons la crête pour le plateau et un petit bois, enfin de l'ombre, les branches basses d'un chêne se prennent dans mon sac, me ramène en arrière et se libère subitement, fatigué, surpris par cette manœuvre non prévu, je ne contrôle rien et me voila à plat ventre sur le chemin, voilà ce qui arrive lorsque l'on relâche son attention. On aperçois le village de Vic sur la droite. Comme il y a peut d'informations sur les Gr, je ne m'aperçois pas que je retrouve le 63. Je poursuis ma trace, jusqu'à la rencontre du Gr 700. Je ne comprends plus le balisage mon chemin fait Té avec un autre et il y a de la peinture rouge et blanche sur toute les branches , mon gps me dit de prendre à gauche, mais c'est quoi
je sors mes extraies de carte. C'est ici que l'on quitte le Gr 6 qui part
sur la droite il est commun au 700. Nous prenons à gauche le 700 vers Russan. Comme on
n’a pas d'informations sur place, pour ne pas se tromper, il faut bien regarder
la carte ou son gps. sans numérotation il est bien difficile de s’y
retrouver.
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