Aureille - saint Rémy de Provence
La traversée des Alpilles d'Est en Ouest.[Le massif des Alpilles est un massif montagneux de faible altitude, au paysage original de roches blanches calcaires, situé au nord-ouest du département français des Bouches-du-Rhône. Il s'étend d'ouest en est entre Tarascon et Orgon sur une superficie de 50 000 hectares, et sur seize communes, bien que très partiellement pour Tarascon et Saint-Martin-de-Crau.
La première allusion au nom donné à la chaîne des Alpilles apparaît relativement tard. Sous l'Ancien Régime, la montagne ne semble pas avoir de nom. Tout au plus Claude François Achard parle-t-il des « montagnes des Baux » en 1787. Pourtant, dans le même ouvrage, il désigne un sommet des Alpilles sous le nom de « Houpies », faisant référence à la Tour des Opies. Ce nom francisé dérive du provençal Aupiho, qui est un diminutif du nom Aup (« les Alpes »). Le terme « Alpilles » désigne donc une chaîne que l'on compare à de petites Alpes. On trouve également une autre forme pour désigner la chaîne des Alpilles : le terme « Alpines », toujours usité pour désigner, par exemple, le canal des Alpines, à Barbentane. Il est sans doute plus ancien que la forme « Alpilles ». Dans la Vita de Césaire, évêque d'Arles (VIe siècle), on lit que l'ecclésiastique faisait des visites in Alpinis locis, ce qui semble davantage correspondre aux Alpilles qu'aux Alpes.
Au XIXe siècle et dans le premier tiers du XXe siècle, les deux termes coexistent, mais il semble que l'on réserve la forme « Alpines » à la chaîne de montagnes, tandis qu'« Alpilles » désigne davantage le sommet de la chaîne (le « signal des Alpilles »). Le félibre Frédéric Mistral (1830-1914), quant à lui, utilise invariablement la forme « Alpilles », qui va finir par s'imposer comme le terme correct pour désigner la chaîne de collines comprise entre Crau et Petite Crau. Wikipédia]
Etape 1021 GR 6
Mardi 21 juin 2016
Le code mobile de cette randonnée est b309849
26,7
5:30 1:00 4,9 4,1 647+
Nous sortons du village par une belle route en légère descente. Traversons une route, continuons par un chemin dans un sous bois après avoir traverser un pont romain, tellement encombre d'herbes qu'il est impossible de le photographier, nous contournons un petit aérodrome de planeurs. Fin de la tranquillité. Les problèmes commences, enfin pas tout a fait, vous avez le choix;
sentier très pierreux grimpant perpendiculairement a la roche, au col Vallongue, plus de sentier, on grimpe directement sur le rocher et ce n'est pas simple. On croit avoir terminé , que l'on va rejoindre le large chemin en contre bas, mais non, il nous narguera tout au long de notre parcours. Maintenant c'est un sentier pierreux non pas au sommet, mais accroche à quelques mètres sous la cime. Pas facile ce chemin à flanc de colline avec un sac de 15kg, il monte, il descend, il n'est pas large, le vide n'est pas loin, cailloux, racine, chênes à feuilles piquantes, sont autant de pièges à éviter. certain passage...... plus de chemin le rocher en monté comme en descente, parfois faut s'accrocher aux arbres et l'on se pique. J'ai rencontré du monde sur ce sentier. Un dame me dit ; Allez-y passer, moi je descend sur les fesses!!!! Je lui répond ; Prenez votre temps certain passage je suis monter sur les genoux. Par contre lors d'une pose, regardons cote sud ( au nord c'est la roche) on voit loin, très loin, jusqu’à l’étang de Berre. Dans la brume, j'ai deviné l'eau. Malheureusement, on voit surtout l'industrialisation, mais au premier plan c'est la garrigue, les vallons se dessinent devant nous. A l'autre bout certainement la mer, peut être également le Rhône. On croit que l'on a fini avec un sentier un peu mieux marqué, plus facile sous les arbres, parfois on se cogne la tête, ou le sac reste accroché aux branches basses qui s'entrecroisent. Ce n'est qu'un instant de repos, la suite me semble encore plus dure, la fatigue étant la, faut passer le pas de l'aigle, une partie en crête. Pas de problème pour l'aigle
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html
Départ d'Oreille a 8h00 mon hôte artiste peintre ma dit qu'une partie du GR 6 n’était pas facile. La sortie du village est bien balisée, on s'enfonce dans la garrigue par un large chemin empierrée, nous approchons doucement des "monolithes" découpant l'horizon et tranquillement nous passons de l'autre coté. Au passage nous apercevons le village d'Eygalières au pied de sa colline et au sommet les ruines d'un vaste couvent. Lorsque je pense que j'aurais pu rencontrer Michel Druker au café du coin. Je suis arrivée bien trop tard il était 10h00. [Le gars d’Eygalières
Si Michel Drucker reste aujourd’hui fortement attaché à Maussane, c’est à Eygalières, perle des Alpilles, qu’il élit domicile dans les années 1990.
Sa mère, sa petite soeur et les parents de son épouse y sont inhumés.
Sa maison est aujourd’hui un véritable lieu de vie consacré à
l’hébergement des protégés de l’association de sa femme, Dany Saval. Des
animaux abandonnés ou en fin de vie y coulent des jours heureux.
Ici, Michel Drucker n’est plus le célèbre animateur de Vivement dimanche, il est juste "le gars d’Eygalières", avec des habitudes bien ancrées. Ce matinal démarre sa journée par un arrêt au café du Progrès,
où il lit La Provence et discute avec les gens du village. Un jour sur
deux, seul ou avec des copains, il parcourt plus de 30 km à vélo. Il en
profite pour s’arrêter, contempler lavande et oliviers, et mûrir ses projets à l’ombre d’un arbre. "Comme les portables passent mal dans les Alpilles, ça me permet de décrocher!" Il sait tout de chaque virage, platane et abri pour se protéger du mistral. Un vent particulier, dangereux parfois, qu’il connaît bien! (wikipédia)]
profite pour s’arrêter, contempler lavande et oliviers, et mûrir ses projets à l’ombre d’un arbre. "Comme les portables passent mal dans les Alpilles, ça me permet de décrocher!" Il sait tout de chaque virage, platane et abri pour se protéger du mistral. Un vent particulier, dangereux parfois, qu’il connaît bien! (wikipédia)]
Enfin de loin on ne distingue que des ruines. L’arrivée au village pose quelques souci de balisage, une fois remis sur la bonne route, nous entrons dans le vieux village. Je n'ai jamais vu autant de monde dans cette minuscule rue commerçante, il y a même un marché, enfin un poissonnier vendant sa propre pêche. La mer est a moins de 20km. Maintenant je comprends, ce n'est peut être pas que pour le village que le touriste vient ici... [Eygalières est l'un des plus jolis villages des Alpilles. Le village se trouve sur un éminence rocheuse, un piton semé de pins verts au sommet duquel on distingue la Tour de l'Horloge surmonté par un campanile. La Tour de l'Horloge est le symbole de l'indépendance des eygalièrois. Elle est bâtie avec les pierres du château féodal en 1660, quand les habitants du village rachetèrent leurs droits au Duc de Guise alors prisonnier des espagnols. A quelques mètres, les ruines du château à côté, une statue de la vierge protège le village, elle est placée sur une voute ruinée, dernier vestige de la forteresse seigneuriale. (wikipédia)] Le GR ne grimpe pas vers les ruines. Cela m'intrigue, alors je fais le détour et je trouve que cela vaut le coup. D'un coté, on a une vue sur ce qui nous attend et de l'autre la pleine d'Avignon et de Cavaillon, au loin le Mont Ventoux.
Faisons le plein |
Cela se complique |
- Soit le pied de la colline avec le GR 653 B. C' est plus court, plus plat, beaucoup plus plat.
- Soit le GR 6 et la crête, c'est la que les difficultés commences. Ce coté s'adresse au bon
- Soit le GR 6 et la crête, c'est la que les difficultés commences. Ce coté s'adresse au bon
On passe ou....? Et ce n'est pas fini
marcheur, s'il pleut ou qu'il y à du vent a de très bon marcheur. il faut monter au col Vallongue, longer la crête de romanin, passer le Pas de l'aigle. C'est un grand pas à franchir. Pour enfin arriver au plateau de Caume. On débute par un
sentier très pierreux grimpant perpendiculairement a la roche, au col Vallongue, plus de sentier, on grimpe directement sur le rocher et ce n'est pas simple. On croit avoir terminé , que l'on va rejoindre le large chemin en contre bas, mais non, il nous narguera tout au long de notre parcours. Maintenant c'est un sentier pierreux non pas au sommet, mais accroche à quelques mètres sous la cime. Pas facile ce chemin à flanc de colline avec un sac de 15kg, il monte, il descend, il n'est pas large, le vide n'est pas loin, cailloux, racine, chênes à feuilles piquantes, sont autant de pièges à éviter. certain passage...... plus de chemin le rocher en monté comme en descente, parfois faut s'accrocher aux arbres et l'on se pique. J'ai rencontré du monde sur ce sentier. Un dame me dit ; Allez-y passer, moi je descend sur les fesses!!!! Je lui répond ; Prenez votre temps certain passage je suis monter sur les genoux. Par contre lors d'une pose, regardons cote sud ( au nord c'est la roche) on voit loin, très loin, jusqu’à l’étang de Berre. Dans la brume, j'ai deviné l'eau. Malheureusement, on voit surtout l'industrialisation, mais au premier plan c'est la garrigue, les vallons se dessinent devant nous. A l'autre bout certainement la mer, peut être également le Rhône. On croit que l'on a fini avec un sentier un peu mieux marqué, plus facile sous les arbres, parfois on se cogne la tête, ou le sac reste accroché aux branches basses qui s'entrecroisent. Ce n'est qu'un instant de repos, la suite me semble encore plus dure, la fatigue étant la, faut passer le pas de l'aigle, une partie en crête. Pas de problème pour l'aigle
il vole au dessus des rochers, encore du rocher, enfin nous atteignons le plateau. A part un balisage
difficile sur ce dernier, la descente dans le Gaudre de Valrugue, un ravin traversé par une large route est
facile. Avant de descendre regarder le rocher avec ses deux trous.....On arrive à Saint Remy, j'ai choisi un hébergement à 2 km du centre
ville. Après la douche j'ai pas eu le courage de visiter la ville. trop fatigué
par cette journée.
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