35 - Rocher d’Avon - mare d’Episy
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11,4 2h30 15mn 4,7 3,6 249 +
Refait en 2018 et en 2022 avec quelques modifications au départ des grillages nous oblige à modifier la trace
Départ : A l'obélisque de Fontainebleau D148 direction Bourron Marlotte, Montigny et Episy après la carrière de saut d'obstacle prendre à droite l'allée pavée de Maintenon jusqu'au parking au pied du petit mont chauvet.
Nous partons par l’allée de Maintenons en direction
du château, nous coupons la D 148 et continuons en face et prenons à droite la
route de Condé, nous arrivons au carrefour de l'Octogone nous à gauche la route
du rocher d’avon, nous trouvons le balisage du sentier bleu N°9 Est que nous
prenons à gauche. Nous arrivons aux intersections des sentiers 9 et 10 prenons à droite le
sentier 10 et passons devant un rocher un peut allongé dont l'extrémité se
relève et à été légèrement sculpté
La femme qui dort
il se nomme la femme qui dort, un peut plus loin un gros rocher a été nommé l'homme qui Veille on a placé un réveil sur un emplacement plat. (Je suis passé deux fois à cette endroit et le réveil y était toujours, c'est un clin d’œil qui risque de disparaître) le chemin serpente dans les rochers grimpe légèrement, faire attention au balisage j'ai constaté de nombreuses fausses pistes. Nous coupons la route cavalière d'Estrées [Sommes nous dans un cantons ou l'on a voulu se souvenir des "DAME" de France ou marqué cette route à cheval sur une dune rocheuse ? N'ayant rien trouvé dans le Félix Herbert voici les deux explications plausible 1)Estrée ou Estrées. C'est un terme d'ancien français pour désigner une route pavée (du latin (via) strata) par rapport à la simple route (du latin (via) rupta) Elle aurait pu être pavée dans sa partie cavalière pour le passage des charrettes chargées de pavées.
2) Gabrielle d'Estrées, devient la maîtresse et favorite d’Henri IV en 1591. Comme elle se trouve à coté de la route de Diane..... ] continuons tout droit. Ce secteur est agréable l'été après une forte chaleur ça sent bon le pin, la résine, les vacances, il ne manque que la mer.
Nous arrivons sur le bloc rocheux G ou nous trouvons des gravures : [ Le rocher d'avon à servi de terrain militaire et durant leur temps perdu ou de garde les soldats s'occupaient en gravant les emblèmes de leur régiments. Gravures très fines exécutées entre 1800 et 1880.] Nous sommes sur la route de l'écureuil et débouchons sur une large route gravillonnée de calcaire et continuons à grimper. La route s’infléchit et vers le milieu de la descente le sentier tourne à gauche nous grimpons à nouveau dans les rochers face à nous, une gravure rappelant le gel de 1870.
Nous arrivons au point de vue du rocher d'Avon ou nous apercevons, la Malmontagne, Rocher Besnard et sur la gauche la Butte Monceau. Nous quittons le sentier bleu qui fait un virage à 180 ° sur la gauche pour prendre un petit sentier balisé en jaune qui part devant le point de vue entre les rochers. Nous arrivons à la route de Diane que nous prenons à gauche [Diane de Poitiers (1500 - 1566 ), comtesse de Saint-
Vallier, duchesse
de Valentinois, fut pendant plus de vingt ans la
favorite d'Henri
II, roi de France.
La femme qui dort
il se nomme la femme qui dort, un peut plus loin un gros rocher a été nommé l'homme qui Veille on a placé un réveil sur un emplacement plat. (Je suis passé deux fois à cette endroit et le réveil y était toujours, c'est un clin d’œil qui risque de disparaître) le chemin serpente dans les rochers grimpe légèrement, faire attention au balisage j'ai constaté de nombreuses fausses pistes. Nous coupons la route cavalière d'Estrées [Sommes nous dans un cantons ou l'on a voulu se souvenir des "DAME" de France ou marqué cette route à cheval sur une dune rocheuse ? N'ayant rien trouvé dans le Félix Herbert voici les deux explications plausible 1)Estrée ou Estrées. C'est un terme d'ancien français pour désigner une route pavée (du latin (via) strata) par rapport à la simple route (du latin (via) rupta) Elle aurait pu être pavée dans sa partie cavalière pour le passage des charrettes chargées de pavées.
2) Gabrielle d'Estrées, devient la maîtresse et favorite d’Henri IV en 1591. Comme elle se trouve à coté de la route de Diane..... ] continuons tout droit. Ce secteur est agréable l'été après une forte chaleur ça sent bon le pin, la résine, les vacances, il ne manque que la mer.
Nous arrivons sur le bloc rocheux G ou nous trouvons des gravures : [ Le rocher d'avon à servi de terrain militaire et durant leur temps perdu ou de garde les soldats s'occupaient en gravant les emblèmes de leur régiments. Gravures très fines exécutées entre 1800 et 1880.] Nous sommes sur la route de l'écureuil et débouchons sur une large route gravillonnée de calcaire et continuons à grimper. La route s’infléchit et vers le milieu de la descente le sentier tourne à gauche nous grimpons à nouveau dans les rochers face à nous, une gravure rappelant le gel de 1870.
Nous arrivons au point de vue du rocher d'Avon ou nous apercevons, la Malmontagne, Rocher Besnard et sur la gauche la Butte Monceau. Nous quittons le sentier bleu qui fait un virage à 180 ° sur la gauche pour prendre un petit sentier balisé en jaune qui part devant le point de vue entre les rochers. Nous arrivons à la route de Diane que nous prenons à gauche [Diane de Poitiers (1500 - 1566 ), comtesse de Saint-
gravure rappelant le gel de 1870 |
Dotée d’un sens aigu du pouvoir
et de ses intérêts financiers, elle exerça une grande influence sur le roi, qui
l'aima sincèrement, bien qu'elle fût de vingt ans plus âgée que lui. Sous son
règne (1547-1559), elle bénéficia d'un grand nombre de dons et d'honneurs.] Nous
montons un peu, puis descendons sur la route de Cheyssac [grand maître des eaux et forêts de l'Ile de France, en 1784, a été
le dernier titulaire de la charge. ] que nous prenons à droite, coupons
la route de la Mare du Pressoir, coupons la route des Placereaux. Nous arrivons
après avoir coupe trois routes, au carrefour des sentiers d'Avon, nous prenons
sur la droite la route de l'Impératrice. Au carrefour suivant nous prenons à
droite route des Platanes, nous arrivons au carrefour de la Mare d'Episy :
Ce
n'est pas qu'un trou d'eau dans un lieu un peu plus étanche qu'ailleurs il y a
une construction en grès délimitant la source. Quoi que sur le site de will77 publié en fév. 2011 j'ai trouvé une photo ou ce n'est qu'un trou d'eau. En 2018 des arbres cachent la construction du
puits. Et puis une légende agrémente le
site.
Celle du chasseur noir, ou Grand Veneur : Le chasseur noir est une très longue légende que l'on peut situer un peu partout en foret voici un extraie se rapportant à ce canton [En 1899
un petit garçon de Veneux-Nadon. (Hameaux devenue village proche de
Moret) Ce dernier l’aurait aperçu dans un fourré du Chêne feuillu, à la tombée
de la nuit. Il le décrivit comme un grand homme noir habillé de vêtements très
collants. Il montait un cheval qui galopait sans faire de bruit. La même année,
une jeune Ecossaise aurait rencontré ce fantôme à la Mare d’Episy. Le scénario
est classique : aboiements de chiens, sons de cors qui semblent d’abord
lointains puis se rapprochent rapidement. Quelques précisions : les notes de
l’instrument étaient longues et tristes et les yeux des chiens de la
meute
flamboyaient comme des braises dans l’obscurité. Le Grand Veneur qui était vêtu
de noir, d’une sorte de pèlerine flottante et portait un cor de chasse brillant
salua la jeune fille au passage. Détail inédit : les chiens, le chasseur et le
cheval semblaient vaporeux, comme effacés.
La mare en février 2011 |
La mare en 2014 |
- Historiquement, il serait tout d’abord apparut à
Charles VI, mais aussi à Louis XII en 1499, puis à François 1er, Charles IX,
Henri IV et de nouveau à Louis XIV en 1698. Concernant ce dernier, l’abbé
Guilbert nous apprend que sur la route de Moret Louis XIV rencontra le chasseur
noir qui le prévint de certains faits particuliers dont il ne parla à personne,
mais qui furent confirmés plus tard par un maréchal-ferrant, parent de
Nostradamus. On rapporteégalement de façon fantaisiste qu’il aurait rendue
visite à Napoléon Ier la veille de son abdication.
- En 1553, dans la Gorge aux loups, il serait apparut à Diane, fille d’Henri
II, et à son époux Horace Farnèse.
- On dit qu’il se rendait visible particulièrement à certaines époques troublées et présageait des événements tragiques, ou la mort dans l’année pour celui qui l’avait contemplé de trop près.
- Il aurait annoncé à Louis XVI son décès prématuré et fait de même plus tard au duc de Berry, son assassinat par Louvel. Dans le même ordre d’idées, il aurait été aperçu peu de temps avant la mort du duc et de la duchesse de Bourgogne.
- Touchard-Lafosse va encore plus loin puisque d’après ce qu’il rapporte l’avertissement du Veneur était adressé directement à Gabrielle d’Estrées. Comme d’habitude le roi part chasser en forêt, mais voyez plutôt : « Henri IV courait le cerf dans la forêt de Fontainebleau ; Gabrielle l'accompagnait. Il existait dans ce temps-là une vielle tradition populaire sur un prétendu grand-
- On dit qu’il se rendait visible particulièrement à certaines époques troublées et présageait des événements tragiques, ou la mort dans l’année pour celui qui l’avait contemplé de trop près.
- Il aurait annoncé à Louis XVI son décès prématuré et fait de même plus tard au duc de Berry, son assassinat par Louvel. Dans le même ordre d’idées, il aurait été aperçu peu de temps avant la mort du duc et de la duchesse de Bourgogne.
- Touchard-Lafosse va encore plus loin puisque d’après ce qu’il rapporte l’avertissement du Veneur était adressé directement à Gabrielle d’Estrées. Comme d’habitude le roi part chasser en forêt, mais voyez plutôt : « Henri IV courait le cerf dans la forêt de Fontainebleau ; Gabrielle l'accompagnait. Il existait dans ce temps-là une vielle tradition populaire sur un prétendu grand-
veneur qui, depuis plusieurs siècles, chassait à grand
renfort de meute et de cors dans cette forêt. Lorsqu’un événement sinistre
devait se passer à la cour. Alors le grand-veneur était bon à consulter : il
donnait des avis salutaires, et prévenait, s'il était écouté, de terribles
catastrophes. Or, le roi, pendant un repos de chasse, déjeunait joyeusement
avec Gabrielle et plusieurs de ses courtisans, lorsqu'un bruit de chiens mêlé
de fanfares se fit entendre assez près.
« Bassompierre, montez à cheval, et voyez ce que c'est ! » ordonna le roi.
Après un quart d'heure d'absence, le compagnon du roi revint: il était pâle et pensif.
« Eh bien! lui dit Henri, avez-vous vu le grand-veneur ? »
« Non, Sire, mais je l'ai entendu assez près »
« Bassompierre, montez à cheval, et voyez ce que c'est ! » ordonna le roi.
Après un quart d'heure d'absence, le compagnon du roi revint: il était pâle et pensif.
« Eh bien! lui dit Henri, avez-vous vu le grand-veneur ? »
« Non, Sire, mais je l'ai entendu assez près »
« Oh! Par ma barbe, c'est trop fort ! »
« Il m'a parlé, Sire »
« Et que vous a-t’il raconté ? »
« Je ne puis le répéter a Votre Majesté qu'en particulier ».
Et le roi s'étant retiré un peu à l'écart avec son favori, celui-ci reprit : « Cette voix, humaine ou infernale, m'a crié que si Votre Majesté ne renvoyait pas dès aujourd'hui Melle Gabrielle, il lui arriverait, à elle, un grand malheur »
« Il m'a parlé, Sire »
« Et que vous a-t’il raconté ? »
« Je ne puis le répéter a Votre Majesté qu'en particulier ».
Et le roi s'étant retiré un peu à l'écart avec son favori, celui-ci reprit : « Cette voix, humaine ou infernale, m'a crié que si Votre Majesté ne renvoyait pas dès aujourd'hui Melle Gabrielle, il lui arriverait, à elle, un grand malheur »
Henri ne parla point de cet étrange avertissement à sa maîtresse, et il n'eut
garde de s'y conformer. A trois jours de la, Gabrielle d'Estrées expirait dans
d'affreuses convulsions »
- On assure également qu’il se montre régulièrement tous les cent ans à la
Croix de Montmorin.
- Divers gens, affirmèrent avoir vu le Chasseur Noir ou entendu son cor, le soir, vers le Rocher aux Nymphes ou pendant les nuits de tempête. D’autres l’ont rencontré par certaines nuits sans lune.] extraie de traditions et légendes de seine et marne. Je ne l'ai jamais vu, mais je me promène rarement la nuit, par temps de pluie oui, mais sans tempête, par contre j'ai déjà entendu le son du cor, ou de la trompette, c'est plutôt d'ailleurs la trompette, les jours de beau temps du coté de la tour Denecourt. C'est un artiste qui fait ses gammes en foret....
- Divers gens, affirmèrent avoir vu le Chasseur Noir ou entendu son cor, le soir, vers le Rocher aux Nymphes ou pendant les nuits de tempête. D’autres l’ont rencontré par certaines nuits sans lune.] extraie de traditions et légendes de seine et marne. Je ne l'ai jamais vu, mais je me promène rarement la nuit, par temps de pluie oui, mais sans tempête, par contre j'ai déjà entendu le son du cor, ou de la trompette, c'est plutôt d'ailleurs la trompette, les jours de beau temps du coté de la tour Denecourt. C'est un artiste qui fait ses gammes en foret....
Reprenons sérieusement notre
itinéraire. La mare se trouve derrière le banc ou en prenant la route d'Orient
sur la droite elle se trouve à quelques mètres. Revenons au carrefour et
continuons la route d'Orient, nous coupons la route de la Croix du Grand Maitre,
sur la gauche nous apercevons l'aqueduc de la vanne, puis nous coupons la route
des Placereaux et au carrefour suivant nous prenons à droite la route de la Percée [Vieille route, constituant une portion de la
route de Fontainebleau à Montigny par le Remontoir. ] nous coupons la route de la Mare aux Pressoirs,
puis à droite la route de Diane coupons la route de la Croix du Grand Maitre au
carrefour suivant nous prenons à droite route du Rocher d'Avon, puis à gauche la route de la mare aux pressoirs nous grimpons
et trouvons en partie haute un sentier sur la gauche nous refaisons le même
chemin que tout à l'heure pour rejoindre le point de vue d'Avon, suivant la
branche des sentiers que nous avons pris nous ne faisons pas tout à fait le même itinéraire mais à
20 ou 50 m prêt nous retrouvons notre point de vue. Nous arrivons au sommet du rocher, et prenons la branche la plus à
droite beaucoup plus facile que l'autre coté.
Nous serpentons autour d'un gros bloc rocheux fiché au sol comme un menhir comportant un bloc posé en son sommet plus petit mais volumineux tout de même. [Aux portes d’Avon, se dresse une haute et
grosse roche, vaguement quadrangulaire, surmontée d’un bloc plus petit que l’on peut faire bouger. L’ensemble était autrefois appelé Roche qui tourne, mais pour certains seul le petit grès sommital est ainsi désigné. Il existait même un Parquet de la Roche Qui Tourne, nettement visible sur le Plan Général de la Forêt de Fontainebleau de 1727 dont il ne reste aujourd'hui quelques vestiges hypothétiques de murs. Mais un petit malin préféra un jour la rebaptiser sous le nom de la Dame Jeanne-d’Avon, en hommage au célèbre bloc de Larchant.
Ce
qui est intéressant là-dedans, ce n’est pas tant qu’on lui ait refilé
ce nom que la présence sur le territoire de plusieurs légendes de
pierres ou de monuments mégalithiques qui bougent, dansent ou se
déplacent, le tout à des dates précises ou dans des circonstances
spéciales, sans qu’on ne sache trop pourquoi. (Tradition et Légende de Seine et Marne)] Le sentier tourne descend passe une
route (route de la percée) remonte en face et tout en descendant passe sous
l'énorme rocher d'Obermann [Étienne Pivert de Senancour (1770-1846)
est un écrivain préromantique français admirateur de Jean-Jacques Rousseau.
Après avoir voyagé en Suisse et séjourné plusieurs semaines en forêt de
Fontainebleau, il publie en 1804
un roman épistolaire intitulé Oberman, plusieurs fois réédité par les romantiques. Dans ses lettres datées de Fontainebleau les descriptions des paysages sont liées à l’expression d’une mélancolie inguérissable. Sur le sentier bleu n°10, plusieurs noms évoquent Senancour et, ainsi qu’un médaillon de l’écrivain scellé sur une paroi de grès.]
et du Tibre, il serait dangereux de traverser la D606 pour ce rapprocher du parc. Dans la promenade 17qui comporte 3 boucles, l'une de ses trois itinéraire passent devant le parc et fait le tour des jardins du château.
Au carrefour en étoile avec la route de condé, [Princes de Condé. Le grand Condé est mort à Fontainebleau le 11 décembre 1686. ] Nous trouvons sur la gauche un sentier (en 2018 je l’ai chercher dans les fougères) plutôt fréquenté par les chevaux que nous prenons à gauche. Su vous ne la trouver pas poursuivez tout droit jusqu'à la route de Maintenons que nous prenons à gauche, de nous traversons la D58 continuons en face jusqu'au parking.
Nous serpentons autour d'un gros bloc rocheux fiché au sol comme un menhir comportant un bloc posé en son sommet plus petit mais volumineux tout de même. [Aux portes d’Avon, se dresse une haute et
Roche qui tourne ou dame jeanne |
grosse roche, vaguement quadrangulaire, surmontée d’un bloc plus petit que l’on peut faire bouger. L’ensemble était autrefois appelé Roche qui tourne, mais pour certains seul le petit grès sommital est ainsi désigné. Il existait même un Parquet de la Roche Qui Tourne, nettement visible sur le Plan Général de la Forêt de Fontainebleau de 1727 dont il ne reste aujourd'hui quelques vestiges hypothétiques de murs. Mais un petit malin préféra un jour la rebaptiser sous le nom de la Dame Jeanne-d’Avon, en hommage au célèbre bloc de Larchant.
Passons sous le rocher d'Obermann |
un roman épistolaire intitulé Oberman, plusieurs fois réédité par les romantiques. Dans ses lettres datées de Fontainebleau les descriptions des paysages sont liées à l’expression d’une mélancolie inguérissable. Sur le sentier bleu n°10, plusieurs noms évoquent Senancour et, ainsi qu’un médaillon de l’écrivain scellé sur une paroi de grès.]
Nous arrivons dans une
plaine, coupons la route de Poitier et nous perdons un peut sa trace au sol
quand aux balises bleu, nous avons du mal à les voir, il ne faut pas remonter
vers les rochers le chemin se dirige en biais vers la route de Cheyssac que
nous prenons à gauche, nous avons sur la droite des flèches bleu se dirigeant
dans la parcelle se trouvant être en 2014 en gaulis,
[nous trouvons un monument dédier à Renaud
claude élève officier de l'école d'application d'artillerie, mortellement
blessé lors d'une chute de cheval en 1894 Le monument mériterait une remise en
état.] Nous avons également une belle vue sur les
jardins à la française du château de Fontainebleau avec les bassins de Romuluset du Tibre, il serait dangereux de traverser la D606 pour ce rapprocher du parc. Dans la promenade 17qui comporte 3 boucles, l'une de ses trois itinéraire passent devant le parc et fait le tour des jardins du château.
Au carrefour en étoile avec la route de condé, [Princes de Condé. Le grand Condé est mort à Fontainebleau le 11 décembre 1686. ] Nous trouvons sur la gauche un sentier (en 2018 je l’ai chercher dans les fougères) plutôt fréquenté par les chevaux que nous prenons à gauche. Su vous ne la trouver pas poursuivez tout droit jusqu'à la route de Maintenons que nous prenons à gauche, de nous traversons la D58 continuons en face jusqu'au parking.
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