dimanche 2 mars 2014

18 - Rocher de Corne Biche - Tour de la Vierge - Rocher des Sablons

Les P.P.F.F toujours basée sur une distance de plus ou moins 10 km.
 La Foret de Fontainebleau ce n'est pas qu'Apremont et, Franchard. Ce n'est pas n'ont plus que des sentiers bleu, des GR, des TMF. Je les ai fréquenté, je les fréquente encore, un peu moins souvent aujourd'hui : Il y a trop de vélo à mon gout. Si encore ceux ci étaient respectueux des piétons qui EUX sont sur leur territoire, mais non je fonce, je gueule, avec la phrase devenue célèbre (casse toi pauvre c.. tu gênes ma progression) , je bouscule car je ne maitrise pas mon engin et je veux absolument passé, les ronces c'est bon pour tes mollets pas pour mes pneus (j'risque d'crever). Je suis désolé mais c'est du vécu. On a même bousculé mon chien que je tenais en laisse à deux reprises. Mais c'est surtout une superficie de plus de 25 milles hectares, peu fréquenté dans son espace total. J'espère que vous m'accompagnerez dans mon jardin 'secret'. Les itinéraires peuvent être réalisés dans l'après midi. Un GPS n'est pas indispensable mais utile se sera votre seul fil d'ariane, je ne suivrais pas obligatoirement le balisage. Des guides très bien fait sont édités pour cela. Le parcours sera écrit en noir, la partie "histoire locale" en vert. L'histoire provient de divers documents de ma bibliothèque mais surtout d'internet. Une bonne partie de ma doc à été numérisé et se retrouve sur la toile, ce qui me facilite la tâche fastidieuse du clavier en la simplifiant par un copier collé.
Un lien permettra d'obtenir une carte un peu plus grande que celle présente sur ce blog et vous permettra de réaliser la promenade sans mon inséparable GPS.


  

 
 
Carte IGN                       Trace gps et topo sans commentaires      

Trace Randogps                            Le code mobile de cette randonnée est b333815 

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
 km   Temps    Arret    V/dép   V/global    Dénivelé
12,1   2h34      17mn     4,7         4,2          259 +

Refais en 2016 sans changement
Départ : parking du rocher des Mariniers 
Pour si rendre arrivée à Arbonne par la D 64 en direction d’Achères, après le centre équestre prendre la route à gauche (sur le rocher gravure monument des fusillés) aller jusqu’au bout, ou nous trouvons le parking.
Promenade sans balisage.
A la place de prendre la large route nous prenons sur le coté la piste cavalière, on coupe le chemin des mariniers (Ici nous ne sommes pas encore en foret domaniale « historique » et contrairement à Fontainebleau, les chemins portent le nom de "chemin" sur les pancartes, alors que dans la foret domaniale le même chemin porte le nom de "route".)
A la fourche, suivre la piste cavalière de droite, puis nous laissons la piste cavalière pour prendre un chemin perpendiculaire à celle-ci sur la gauche. Nous grimpons  vers les rochers de Corne biche.  Au sommet nous serpentons entre les rochers. Le sentier n’est pas facile à suivre, il se trouve plutôt vers la gauche de la crête. Nous avons sur notre droite une belle vue sur le rocher de la Reine et la plaine de Chanfroy.  [La plaine de Chanfroy aux allures de steppe, elle est délimitée, à proximité, par deux barres rocheuses: « Corne Biche » et le « Rocher de la Reine ». Son sol est composé de sable et de petit cailloux. Jusqu’au début des années 80, une carrière de grès et de sable était exploitée. C’est une terre sèche, pauvre. Elle possède un microclimat. L'hiver, la plaine est, comme son nom l'indique, un champ froid. A l’automne, la brume matinale est persistante et l’été, la réverbération des rayons du soleil sur le sol sablonneux fait croître la température du cirque. Elle est classée réserve, l'ONF empêche la prolifération naturelle des conifères.]
[La Réserve biologique de la plaine de Chanfroy, mondialement connue, est citée dans le livre La chouette effraie de Jean-Louis Vallée. Elle présente la particularité de réunir sur un même lieu les derniers représentants de la chouette du bois et du hibou cendré. Tous les ans, en janvier, leurs parades donnent lieu à une importante affluence de visiteurs et de biologistes.]
Nous apercevons en contre bas, trois monuments. Nous en reparlerons un peut plus tard. 
Nous arrivons à la tour de la vierge.
[Histoire de la Tour de la Vierge:
Cette petite tour maçonnée surmontée d'une vierge a été édifié en 1862 par la famille Poyez de Melun. L'oratoire de Notre-Dame-des-Champs. Maître Poyez avoué à Melun, à la suite d’un vœu pour la guérison de sa fille, fait édifier une tour chapelle ex-voto baptisée « Notre-Dame de Grâce » sur le rocher dominant la plaine de Chanfroy. Il avait obtenu de la commune d’Arbonne ce terrain à titre d’honoraire sur sa demande, pour l’avoir défendu dans un procès en cour de cassation, mettant ainsi fin aux contestations des propriétaires du château de Fleury sur les communaux.
A l'intérieur, aurait été le lieu de la conversion d'un poète forestier: Adolphe Retté.
En 1906 l’écrivain Adolphe Retté, poète forestier, auteur de La Forêt bruissante allant à Notre-Dame de Grâce y trouve le chemin de sa conversion. Il raconte cet événement dans un livre Du Diable à Dieu.
"Au cours d'une promenade dans la forêt de Fontainebleau, il aperçoit, au sommet du rocher de Corne biche, un petit oratoire surmonté d'une statue de Notre-Dame de Grâce. Il entreprend sans hésiter l'escalade du rocher et supplie Marie: «Ô vous, que je n'ai pas encore invoquée, priez votre divin Fils de m'inspirer ce que je dois faire». Une voix très douce lui répond au fond de son cœur: «Va trouver un prêtre. Confesse-toi, entre dans l'Église». À cette perspective, il se cabre: «Je ne puis pas, j'ai peur de me livrer de la sorte».] Pèlerinage le 15 aout et en octobre (pèlerinage des madones forestières.
Petit cou d’œil sur le panorama
Nous rencontrons des balises jaune que nous suivons, nous descendons une pente pas facile entre les rochers, une fois en bas nous coupons la piste cavalière et prenons à droite le chemin de la plaine de Chanfroy,  au carrefour des fusillés  à gauche l’allée des fusillés. Le large chemin se trouve entre des grillages (réserve biologique). Arrêtons nous un moment devant les deux premières monuments
pas facile la descente
[Un lieu de mémoire pour les 36 victimes du 21 juillet 1944 (22 victimes) et du 17 août 1944 (14
victimes). Torturés, massacrés à la mitraillette par les Allemands. Ils furent enterrés sommairement dans deux fosses communes. 
Les deux fosses n'ont jamais été comblées pour garder à cet endroit la solennité du recueillement.
Avant 1970, le lieu s'appelait 'Charnier d'Arbonne'.]
[Texte extrait de : Wikipedia
  Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands font de la belle plaine de Chanfroy un terrain d’exercice pour leurs apprentis aviateurs.
Le maquis s’installe dans les Trois-Pignons où il réceptionne armes et munitions parachutées par les avions anglais. Les Allemands, pour les déloger, bombardent la forêt de projectiles incendiaires, brûlant 1200 hectares entre le 26 juillet et le 6 août 1943. Mais le réseau du Spécial Opérations Exécutive (SOE) de résistance « Ernest Publican » réussit à poursuivre sa mission et les armes sont livrées et servent à la libération de Paris.
Après guerre sera édifié un monument commémorant l'action du « réseau Publican » sous la forme d'une croix de Lorraine à La-Roche-au-Four dans le massif des Trois-Pignons sur le Circuit des 25 bosses.
Le 21 juillet et le 17 août 1944, à six jours de la libération de Fontainebleau, trente-six civils et résistants sont sortis de la prison de Fontainebleau où ils ont été torturés. Amenés les mains liées dans le dos aux carrières de sable de la plaine de Chanfroy, ils sont exécutés par les Allemands et enterrés sommairement dans deux fosses communes. Le 7 décembre 1944, alors qu’ils viennent chercher du sable à Chanfroy les militaires américains découvrent le premier charnier.
Les 22 fusillés de la plaine de Chanfroy du 21 juillet 1944 :
Ceux du maquis « Bara » de Moisenay arrêtés sur dénonciation :
  1.     André léonard Perret (45 ans) artisan carrier, chef du groupe
  2.     Auguste Perret (23 ans) son fils
  3.     Eugène Bailay (38 ans) résistant cheminot
  4.     André David (25 ans)
  5.     Jean Méry (21 ans)
  6.     Victor Gervaise (19 ans)
  7.     Albert Guart (20 ans)
  8.     Bernard Ourteau (29 ans)

Ceux de Villebéon :
   
  1.     Robert Canaux (23 ans)
  2.     Marcel Calmel (23 ans)
  3.     Raymond Golisset (24 ans)
  4.     Léon Morel (48 ans)
  5.     André Morel (20 ans) fils
  6.     Gilbert Ingrain (22 ans)

           
   
Ceux d’Achères-la-Forêt :
  1.     Laurent Poli jeune garde forestier (20 ans)
  2.     Germinal Matta (19 ans)
  3.     Robert Rius (30 ans) poète du mouvement surréaliste
  4.     Jean Simonpoli (32 ans) directeur des cahiers de poésie
  5.     Marco Ménégoz jeune poète normand (16 ans et demi)
  6.     René Girard (24 ans)
  1.     Edgar Ferrand (49 ans) agriculteur FN-Vengeance
  2.     Maurice Daudet (34 ans) du MLN- FTP                   
Les 14 fusillés du 17 août 1944 :
  1.     Le colonel Yves Masiée (47 ans) chef régional de la Force française combattante pour la Seine-et-Marne
  2.     Le capitaine Jacques Desbois (44 ans) commandant FFI de Seine-et-Marne.
  3.     André Berge (39 ans) chef militaire FFI du secteur de Meaux.
  4.     Marius Billard (55 ans) réseau Guérin-Buckmaster
  5.     Jean Bolastre (35 ans) Résistance Nord
  6.     Jean Etienne (34 ans) Résistance Nord
  7.     Henri Rivoire (29 ans) Résistance Nord
  8.     Marc Chemin (20 ans) FTPF
  9.     Claude Chailleux de l’organisation ‘‘Vélite Thermopyle’’
  10.     Georges Papillon (33 ans) du mouvement ‘‘Ceux De La Résistance’’
  11.     Maurice Renoul (50 ans) sans doute en mission, de réseau inconnu.
  12.     Robert Fournier résistant de la commune de Mouroux
  13.     Roger Genty (22 ans)
Il y eut sept rescapés qui n’ont pu monter dans le camion faute de place. Le 36e fusillé n’a jamais pu être identifié. Des obsèques nationales ont lieu le 14 décembre à Fontainebleau où l’on aménage une chapelle mortuaire sous le marché couvert.
Les deux fosses n’ont jamais été comblées pour garder à cet endroit la solennité du recueillement. Une cérémonie leur rend hommage chaque troisième dimanche d'août.]
Continuons  notre chemin entre les parcelles grillagées.
[La plaine de Chanfroy devient un site militaire sous Louis-Philippe Ier. En 1839, un camp de onze mille hommes manœuvre sous le commandement du duc d’Aumale, duc de Nemours.
La cour de Napoléon III séjourne tous les ans, entre mi-juin et mi-juillet, au château de Fontainebleau ; l’impératrice Eugénie découvre « Les Sables Blanc » d’Arbonne et n’hésite pas à dévaler la dune, obligeant toutes ses compagnes à la suivre. Elle les entraîne par la suite, pour d'autres excursions dans les rochers en des ascensions plus fatigantes que périlleuses.

En 1870, pendant l’occupation prussienne, comme en 1815, les Arbonnais, surtout les femmes, s’abritent dans les cavités rocheuses de la forêt si proche. Des bandes de francs-tireurs se constituent et, profitant des souterrains existants (notamment celui des eaux de la Vanne en construction) tendent des embuscades. La construction de l’aqueduc dure 7 ans de 1867 à 1874 et achemine les eaux de la vanne, du Loin, du Lunain  jusqu’au réservoir de Paris-Montsouris).
Époque contemporaine
Aqueduc de la Vanne
L’abbé Moreux, un éminent savant, travaille, en liaison avec l’école d’application d’artillerie de Fontainebleau, sur un système de repérage par le son des batteries ennemies pour que l’aviation puisse les localiser et les détruire en économisant les nombreux tirs des réglage imprécis. Après la guerre la maison qu’il occupait prend le nom de « Domaine de Corne-biche » et deviendra une hôtellerie, lieu de plaisir, rendez-vous de la jet-set des années folles.
André Citroën, construisant les premières voitures autochenilles en vue du grand départ pour la croisière noire en 1925 veut faire des essais dans plusieurs sites un peu lointains comme la dune du Pilat et le Sahara. Il choisit les Sables blanc d’Arbonne pour effectuer ses premiers tests. 
Nous arrivons à un carrefour « parcelle 609 », nous prenons la route en biais sur notre droite Route de la Goulotte, (Nous entrons dans la foret domaniale historique) nous passons sous une arche de l’aqueduc de la vanne.
Le chemin grimpe légèrement entre : à droite, la touche aux mulets et à gauche, la queue de vache. On quitte la parcelle 610 pour prendre un petit sentier sur la gauche (parcelle 608) qui grimpe parmi les rochers nous sommes sur le chemin des pieds pourris. Traversons la platière de la queue de vache.
[Touche aux Mulets: lieu où les conducteurs de charrois "touchaient" les animaux de trait à l'aiguillon pour monter sur la platière.]

 Continuons, pour prendre à gauche la route des pieds pourris [« Un jour de chasse, raconte M. Colinet, Louis XV traversant ce carrefour, vit, rassemblés, toute une bande de Limousins qui, pour mieux se reposer, avaient ôté leurs souliers et livraient aux: caresses de la brise des extrémités qui n'étaient pas précisément parfumées au benjoin. Se retournant vers Mme de Pompadour qui l'accompagnait, il lui dit : Mais c'est le carrefour des Pieds Pourris où nous nous trouvons, marquise. De là le nom donné à ce carrefour. »
Voilà une étymologie autrement intéressante que celle qui consiste à voir dans les pieds pourris des plants pourris et à lui donner pour parrain un forestier déçu dans son espoir. Seulement, il faut savoir que le Chemin des Pieds Pourris est cité dans un arrêt de 1724, rendu alors que la belle marquise était encore en nourrice. On nous permettra donc de douter de l'authenticité de l'anecdote.

De même le livret des Chasses du Roi indique à trois reprises les Pieds Pourris comme lieu d'assemblée pour la chasse à courre pendant l'année 1725. Le 31 août, le roi y prend un cerf; une note dit que ce jour-là M. de Chancenay a couru grand risque. Il s'agit sans doute de Louis Quentin, sir de Champcenay, premier valet de chambre ordinaire du roi.]

 Nous grimpons « la queue de vache » coupons le chemin d’Arbonne à Ury continuons en traversant la platière et redescendons vers la route de Milly à Fontainebleau que nous prenons à gauche coupons l’aqueduc de la vanne qui est enterré à cet endroit et continuons la route des pieds pourris sur la droite. La route grimpe à nouveau nous rencontrons le balisage jaune.

Pictogramme zone de silence (1968)
  Au carrefour de la louve, nous laissons la route des Pieds Pourris pour prendre à droite la route de la Louve au carrefour suivant nous continuons légèrement sur la gauche la route de la louve et laissons à droite la route du Louvard (nous apercevons sur un arbre une drôle de peinture : un cadre noir avec un graphe blanc à l’intérieur. Cela stylise une biche. C’est un ancien itinéraire ONF qui se nommait circuit de la Moskova et de Hurlevent. L’ONF dans les années 1970, avait crée quelques sentiers dans des lieux éloignés des sites touristiques classiques et les avaient baptisés « zone de silence » Pourquoi zone de silence ? A l’époque ont pouvait pénétrer en voiture au cœur de la foret et c’était également la grand folie des motos cross.
 Une fois la foret bouclée et interdite aux voitures, que la phobie des motos soit disant verte ont été repoussées hors de la foret, ses promenades très courtes furent abandonnées certainement trop excentrées des parkings. Certaine ont été repris par les Amis de la Foret (sentier 17)
Nous marchons sur un chemin bordé de fougères et de jeunes pins nous approchons de la Baraque à Guinet. [Petite construction appelée baraque à Guinet. Guinet était un garde, placé là en surveillance.] 
Nous passons devant une route sur notre gauche (rte du loup) que nous avons peine à voir sous les fougères. Elle n’apparait plus sur la carte.
Nous rencontrons les balisages rouge/blanc et blanc/vert, nous suivrons ces balisages et au carrefour suivant, nous prenons sur la gauche la route de Cévise, nous arrivons au carrefour des semis, nous prenons sur la gauche la route d’occident. Nous arrivons à une fourche à trois dent, nous laissons sur la droite, la rte de Saint Mégrin, au centre la rte d’occident pour prendre à gauche la route Jussieu (grande famille de botaniste)
 [Antoine de Jussieu (1686-1758), botaniste et médecin français ;
 Bernard de Jussieu (1699-1777), frère du précédent, botaniste français ;
Vallon au rochers des sablons
 Joseph de Jussieu (1704-1779), frère du précédent, botaniste français ;
Antoine-Laurent de Jussieu (1748-1836), fils de Christophe, botaniste français ;
Adrien de Jussieu (1797-1853), fils du précédent, botaniste français ]
Point de vu de Hurlevent
Nous recoupons notre route du loup qui sur notre droite est praticable et présente sur la carte alors que sur notre gauche elle à totalement disparue sous les fougères. Nous retrouvons des balises jaunes et nous nous dirigeons vers le point de vue de Hurlevent. Sans nous en rendre compte nous avons changé de route nous sommes maintenant sur la route du Louvard (nous l’apprenons en bout du chemin lorsque nous prenons à gauche la route de Hurlevent) que nous suivons jusqu’au point de vue.
[Le site rappelait, les landes du roman d’Emilie Brontë édité en 1847]  
Lieu d'ancienne carrière de pavés
Le Paysage à certainement bien changé, mais lorsque la brume ne s’en mêle pas, nous avons une magnifique vue sur les Trois Pignons et Coquibus. On a l’impression d’être perdu au milieu de la foret.
Nous revenons sur la route du Louvard et descendons par un chemin pas facile en calcaire. Ce chemin n’a  jamais été facile (ravinement), des rondins ont été mis en place pour endigués l’érosion, les marches sont un peut haute. Mais c’est tout de même mieux que de détruire le paysage par des palettes formant escalier. Le milieu du sentier mériterait la pose de nouveaux rondins.
Les écalles (pavés non conforme) entassés
On coupe la route des basses plaines et l’on continue en face puis l’on coupe la route de la Tente et nous continuons de grimper. [Tente : sorte de filet pour prendre les oiseaux de passage.]
Notre route est devenue sentier et serpente dans la bruyère, nous trouvons toujours des balises jaunes. Nous arrivons aux rochers des sablons [
 Rocher des sablons ou gros sablons  Hors la forêt au delà d'Arbonne. Appelé aussi les Sables d'Arbonne et autrefois Butte Blanche.]
et nous prenons la large route gravillonnée sur la droite (ne pas prendre la route du cul du chaudron qui monte encore un peut plus.)
en muret pour facilité le passage des charrettes
Attention à ne pas se laisser embarquer par la descente, il faut suivre sur la gauche le sentier et le balisage rouge et blanc. Nous traversons le rochers des sablons, jolie parcours dans les rochers, les pins et la mousse cela change des sites rocheux parcourus jusqu'à présent. Nous arrivons à un carrefour avec une route sur notre gauche, nous continuons à droite le GR et au carrefour suivant à gauche toujours sur le GR. Poursuivons notre chemin nous arrivons en vue de quelques maisons continuons en  passant derrière la barrière (ne pas prendre la route de gauche) Puis sur la gauche la route des Mariniers, nous arrivons à la piste cavalière le parking se trouve sur notre droite.

 



 
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