Une boucle au départ de Fontainebleau empruntant le GR13-132-213-2
Etape : 4 - Février 2013
Souppes sur loing- Ferrière-Fontenay
KM Temps Arret V/d V/g Dénivelé
22,6 4h10
27mn 5,4
4,9 233 +
Carte IGN Trace GPS et Topo sans commentaires
Trace Randogps Le code mobile de cette randonnée est b303681
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
(Le topo sans commentaires détail un peu plus l'itinéraire à suivre.)
La semaine dernière il faisait froid mais j’avais un beau
soleil. Aujourd’hui, il reste un peu de neige en fond des fossés exposés nord et
je suis dans le brouillard. c’est dommage, notre itinéraire nous fait passé par Château Landon et avec le soleil cela aurait été bien mieux.
Carte IGN Trace GPS et Topo sans commentaires
Trace Randogps Le code mobile de cette randonnée est b303681
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La semaine dernière il faisait froid mais j’avais un beau soleil. Aujourd’hui, il reste un peu de neige en fond des fossés exposés nord et je suis dans le brouillard. c’est dommage, notre itinéraire nous fait passé par Château Landon et avec le soleil cela aurait été bien mieux.
Le départ de Souppes est un peu bizarre. Je suis sortie en
tête de train par le parking et il à fallut que je revienne sur mes pas, que je prenne
la passerelle puis traverse la petite zone industriel pour arriver à la base
de loisir. (Après coup je regrette de ne pas être sortie par le centre de la
gare.
Le départ de Souppes est un peu bizarre. Je suis sortie en tête de train par le parking et il à fallut que je revienne sur mes pas, que je prenne la passerelle puis traverse la petite zone industriel pour arriver à la base de loisir. (Après coup je regrette de ne pas être sortie par le centre de la gare.
Arrivée à la base de loisir nous passons le long d’une
ancienne ligne de chemin de fer, et le grillage de la base de loisir ce n’est
pas large, puis nous traversons le Loing et le canal du Loing sur le pont de la
ligne de
chemin de fer, bien sur il n’y a pas de train, c’est la voie ferrée
menant à la sucrerie, les rails sont rouillées pas un train n’est passé la
depuis plusieurs mois, voir des années, mais tout de même, sur ce pont en
ferraille je ne me sent pas à l’aise en plus malgré les striures de la tôle
cela glisse un peu, nous prenons à gauche un chemin entre le canal et la
colline, il est plus ou moins en dévers
mal tracé et j’ai horreur de me faire fouetter le visage par de fines branchettes. Je ne
sais pas pourquoi, mais chez moi, c’est toujours les yeux qui prennent. J'abandonne ce chemin rapidement pour suivre en parallèle le
large chemin de halage en
bordure du canal. Nous grimpons rapidement la route
après l’écluse et les trois maisons de "Grands Moulins" pour arriver à Mocpoix que nous traversons.
Après le village nous descendons une petite vallée boisée très agréable pour retrouver le canal
en contre bas, nous le suivons, pour le quitter dans une courbe et grimper la
colline afin d'arrivée dans les champs, puis nous trouvons une route goudronnée qui
nous amène à Château Landon. Le Rocamadour du Gâtinais.
Dominant les verdoyantes vallées du Fusain et du Loing du haut de son
promontoire rocheux, la cité médiévale fut le berceau de la lignée des
C'est tout le poulailler qui traverse Plantagenêts et un lieu de pèlerinage sur la route de Compostelle. Avec pour ce rendre dans le bois en face.ses
remparts, ses tours, son église et l'imposante architecture de
l'ancienne abbaye Saint Severin ses jardins suspendus, ses lavoirs et moulins, Château-Landon offre un site de caractère et un riche passé que les visiteurs
peuvent découvrir au fil d’un parcours.
chemin de fer, bien sur il n’y a pas de train, c’est la voie ferrée menant à la sucrerie, les rails sont rouillées pas un train n’est passé la depuis plusieurs mois, voir des années, mais tout de même, sur ce pont en ferraille je ne me sent pas à l’aise en plus malgré les striures de la tôle cela glisse un peu, nous prenons à gauche un chemin entre le canal et la colline, il est plus ou moins en dévers mal tracé et j’ai horreur de me faire fouetter le visage par de fines branchettes. Je ne sais pas pourquoi, mais chez moi, c’est toujours les yeux qui prennent. J'abandonne ce chemin rapidement pour suivre en parallèle le large chemin de halage en
Dominant les verdoyantes vallées du Fusain et du Loing du haut de son promontoire rocheux, la cité médiévale fut le berceau de la lignée des C'est tout le poulailler qui traverse Plantagenêts et un lieu de pèlerinage sur la route de Compostelle. Avec pour ce rendre dans le bois en face.ses remparts, ses tours, son église et l'imposante architecture de
l'ancienne abbaye Saint Severin ses jardins suspendus, ses lavoirs et moulins, Château-Landon offre un site de caractère et un riche passé que les visiteurs peuvent découvrir au fil d’un parcours.
[Le site est occupé dès la préhistoire : près de vingt sites préhistoriques, dans
lesquels on a découvert des outillages néolithiques, permettent d'estimer que l'origine de la ville remonte à cette époque. Les Gaulois construisent un oppidum sur un éperon rocheux. En -52 av. J.-C., Jules César en fait le siège. En 504, en revenant de Lutèce où il était allé guérir le roi Clovis, saint Séverin y meurt. Une abbaye à son nom sera érigée et la ville deviendra le lieu d'un pèlerinage annuel. La dynastie des Plantagenêts est née à Château-Landon en 1043 avec la naissance de Foulque IV d'Anjou, dit le Réchin, petit-fils du comte d'Anjou. La ville appartient au « pagus Wastinensis » (nom latin du Gâtinais = pays de Gâtines) dont Château-Landon sera la capitale.
En 1068, le Gâtinais entre dans le domaine royal. La ville prospère au Moyen Âge. Il s'y déroule d'importants foires et marchés. Château-Landon fait partie des 17 villes « drapantes » de France. La présence de trois églises, trois abbayes et du Prieuré Saint-André démontrent la prospérité de la ville dès le XIIe siècle. La ville est un lieu de passage et de commerce, en raison de sa proximité avec les foires de Lagny-sur-Marne et Provins. Les chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem avaient à Château-Landon, au XIIIe siècle, une maison qui dépendait de leur Hôpital de Pilvernier. Cette maison, située dans la rue Saint-Pèlerin, « in vico sancti Peregrini », tenant à la ruelle dite la Quatresse,
leur avait été
donnée par un nommé Adam de Lalleu (« de Allodio »), bourgeois
de Château-Landon (« de Castro Nantonis »), par des lettres
expédiées sous le sceau de l'official de Sens, de l'année 1278.
La fin du Moyen Âge et les guerres successives, conduisent au
dépeuplement de la ville. Château-Landon développe une activité basée sur
l'extraction et la taille de la pierre. Après la Seconde Guerre mondiale, la ville connait
un nouvel essor en devenant un important pôle céréalier français et développe
l'activité touristique.
- L'église Notre-Dame de
l'Assomption, aux XIIe et XIIIe siècles, dont le clocher domine la
région de ses 57 mètres, fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840. Cet étrange édifice mélange
les styles carolingien,
roman et gothique. Le clocher, que la lumière et
le vent traversent de part en part, est unique dans la région. Plus on
monte, plus les fenêtres apparaissent grandes, ces différences de tailles
représentant le passage du roman au gothique. L'horloge située sur le
clocher de L'église a disparu lors de la tempête de décembre 1999 et ne
fut pas remise lors de
l'importante restauration du clocher qui a suivi.
roman et gothique. Le clocher, que la lumière et le vent traversent de part en part, est unique dans la région. Plus on monte, plus les fenêtres apparaissent grandes, ces différences de tailles représentant le passage du roman au gothique. L'horloge située sur le clocher de L'église a disparu lors de la tempête de décembre 1999 et ne fut pas remise lors de
l'importante restauration du clocher qui a suivi.
- L'Hôtel-Dieu qui était le lieu
de refuge des pèlerins et des malades
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Vestiges du rempart et de son chemin de ronde
· Vestiges du rempart et de son chemin de ronde
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Deux poternes Nord et Sud qui donnent un aperçu
des difficultés pour les assaillants d'investir la ville
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la Tour Saint-Thugal, reste d'une basilique du Xe siècle
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la cave des Templiers
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La Tour Saint-André ancien lieu de culte du prieuré desservi par les
moines de l'Abbaye Saint-Pierre de Ferrières en Gâtinais.
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· les 17 Lavoirs répartis le long du Fusain.
Le monument funéraire de la famille FAFFE, donatrice de la commun. |
Eglise St-Victorin, déplacé en 1860 pour
le passage du chemin de fer.
L’arrivée
du chemin de fer en 1860 a profondément bouleversé le petit bourg de Fontenay
sur Loing, important relais de poste sur la route Paris Lyon, par la
disparition de ce relais et de tout le travail qu’il assurait aux villageois,
et surtout parce que le tracé de la ligne traversait l’église et le cimetière.
L’église a donc été démolie et une nouvelle fut construite, élégante
construction romane dotée de beaux vitraux. Ce qui reste du vieux cimetière auquel
on accède par une petite route longeant la voie ferré a notamment conservé un
grand monument funéraire très curieux, la tour Faffe érigée par la commune au
profit de Mme Faffe en 1860 en échange de son leg. St Victorin, patron de l’église, est le nom d’un riche romain de Sens qui a
accueilli à la fin du 3ème siècle Savinien et Potentien venu évangiliser le
Sénonais et notamment Ferrières en Gatinais. Il en fut matyrisé.
L’arrivée du chemin de fer en 1860 a profondément bouleversé le petit bourg de Fontenay sur Loing, important relais de poste sur la route Paris Lyon, par la disparition de ce relais et de tout le travail qu’il assurait aux villageois, et surtout parce que le tracé de la ligne traversait l’église et le cimetière. L’église a donc été démolie et une nouvelle fut construite, élégante construction romane dotée de beaux vitraux. Ce qui reste du vieux cimetière auquel on accède par une petite route longeant la voie ferré a notamment conservé un grand monument funéraire très curieux, la tour Faffe érigée par la commune au profit de Mme Faffe en 1860 en échange de son leg. St Victorin, patron de l’église, est le nom d’un riche romain de Sens qui a accueilli à la fin du 3ème siècle Savinien et Potentien venu évangiliser le Sénonais et notamment Ferrières en Gatinais. Il en fut matyrisé.
Attention
aux trains, en 2013, la gare est fermé, tout les trains n'y marque pas l’arrêt. Le dernier train en après midi pour rejoindre Fontainebleau
est à 14h13, le suivant est à 22h13. Après il faut prendre celui de 17h34 en
direction de Montargis et de cette dernière gare prendre le premier train pour revenir sur Fontainebleau. Lorsque l’on sait qu’il y a un train par
heure il ne faut pas le louper, pour cela il faut, peut être ne pas suivre le
tracé du GR qui ne franchi pas le passage à niveau (de toute façon il n’y a pas
de balisage et vous êtes coincé par le grillage de la SNCF heureusement il y a
quelques trous ce qui permets de ne pas faire le grand détour comme sur le
plan. Je pense qu’il est préférable mais plus dangereux de passer la ligne SNCF par le passage à niveau
et d’emprunter la N°7. Il n’y a pas de trottoir, uniquement la piste cyclable,
il y a beaucoup de camions et de voitures.
Il est préférable de suivre la route avant le passage à niveau, dépasser le parking, ou l'ancienne aire de stockage (tout est grillagé) dépasser la gare, prendre dès que possible la route de gauche, traverser les voies au passage à niveau et revenir à la gare par la petite route de gauche
Il est préférable de suivre la route avant le passage à niveau, dépasser le parking, ou l'ancienne aire de stockage (tout est grillagé) dépasser la gare, prendre dès que possible la route de gauche, traverser les voies au passage à niveau et revenir à la gare par la petite route de gauche
Ne chercher
pas la billetterie, il n’y en a pas, pas même automatique.
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