Je débute un nouveau cycle de promenade, autour de deux aqueducs ; La Vanne et la Dhuis. Aujourd'hui nous
nous partons vers le captage de la Dhuis
De la Vanne à la Dhuys : Captage de la Dhuys
Vous trouverez les liens des promenades N°3 à N°11 un peut plus bas. La Dhuis à été suivie dans mes promenades dans le Nord de la Seine et Marne.
Février 2023
Dans
mon cycle de la Vanne à la Dhuys, je vais vous emmener en promenade autour des
deux aqueducs. Parfois en les suivant, parfois l’aqueduc ne servira que de fil
rouge et, nous fera découvrir les paysages qu’ils traversent. Depuis l’école ou
j’ai appris que les Romains construisaient des aqueducs ou l’eau parcourait des
kilomètres en traversant, collines et vallées par simple gravité, j’ai toujours
été subjugué par ses ouvrages visible ou invisible amenant ‘’la vie’’ dans les
villes ou l’eau manquait et tout cela sans machines infernales. Pourquoi Paris
avait il besoin de ses aqueducs. Pour alimenter La ville en eau ‘’propre’’ afin
d’éviter les maladies. (Le choléra, aussi appelé “maladie des mains sales”, est
causé par la bactérie Vibrio cholerae. Elle se transmet par la consommation
d’aliments ou d’eau contaminée par les selles de personnes infectées. La
diarrhée est un symptôme d’une infection causée par un grand nombre
d’organismes bactériens, viraux et parasitaires dont la plupart peuvent se
propager par l’eau contaminée. Infection cutanée contagieuse causée par un
acarien microscopique (Sarcoptes Scabiei), la gale se propage rapidement dans
des conditions de promiscuité. Elle se signale le plus fréquemment par une
éruption papuleuse entre les doigts de la main. L’hépatite (hépatite A et E)
peuvent être transmis par l’eau et les aliments. Parmi les causes infectieuses,
on peut mentionner un approvisionnement en eau insuffisant ainsi qu’un mauvais
assainissement et une hygiène de mauvaise qualité.) Pour avoir de l’eau propre,
il faut aller la chercher loin. Aqueduc de la Vanne au sud, de la capitale long
de 156 km. Aqueduc de la Dhuys (en souterrain) 129 km à l’Est de la capitale,
aqueduc de l’Avre 175 km à l’ouest de Paris. Paris est situé dans une
cuvette,
les réservoirs se trouvaient sur les points hauts et desservaient par gravité
les quartiers à leurs pieds. Il me semble que le Nord de la Capital était
alimenté par l’Ourcq et son Canal portant le même nom. (Voir les promenades du
Nord Seine et Marne et les randos aux portes de l’Aine, de Meaux à la Ferté
Milon). J’ai également relié les sources entre la Vanne et la Dhuys, cela n’a
plus rien à voir avec l’alimentation de Paris en eau et les aqueducs, mais cela
m’a donné un but à la création de promenades. Malheureusement mon programme
exclura l’Ouest de Paris et l’Avre, bien trop loin de chez moi. J’ai rencontré
cet aqueduc dans le début de mes grandes promenades autour de la France, dans
ce que j’appelle le retour, mais que j’ai réalisé à mes moments perdu ou je ne
pouvais aller trop loin. RLPLP Etape 2002
https://randosacaudos.blogspot.fr/2016/01/randonnee-le-plus-loin-possible-gr-11.html
et étape 7 RLPT Etape 8
https://randosacaudos.blogspot.fr/2012/10/randonnee-le-plus-loin-possible-gr-2_4.html
Vous trouverez si cela vous intéresse l’histoire de l’eau à Paris sur le site ; https://www.water-quality-journal.org/articles/wqual/pdf/1996/02/wqual1996272p97.pdf
Le
principe d'un aqueduc consiste à faire couler l'eau par gravité. Il faut donc
trouver des sources situées plus haut que la ville que l'on souhaite alimenter.
Ensuite l'ouvrage doit avoir une pente progressive, en général elle varie de 20
cm/Km à 1m/Km tout au long du parcours. La pente doit toujours être comprise
entre ces valeurs car si elle est trop forte l'enduit étanchéifiant l'ouvrage
se détériore. Au contraire, si la pente est trop faible la rigole se colmate
avec l'argile qui se dépose. Quand l'eau circule dans une conduite en métal il
faut rajouter à la pente la différence de pression entre l'amont et l'aval. Sur
son parcours l'aqueduc va rencontrer des obstacles divers qu’il faudra franchir
sans qu'il y ait rupture de la pente. Aux diverses situations les architectes
romains ont trouvé des réponses architecturales : Pour un terrain relativement
plat, l'eau circule dans des tuyaux ou dans une rigole couverte de dalles de
pierres. - Pour franchir une vallée, un pont-aqueduc est construit afin de
garder la pente constante. Si la vallée est peu profonde un simple mur suffit à
garder la pente constante. Pour franchir une montagne l'eau circule dans une
galerie souterraine munie d'une rigole. On trouve des systèmes d'adduction
d'eau dans de nombreuses civilisations et dès la Haute Egypte. Cependant, souvent
les ouvrages se réduisent à des canaux d'irrigation. L'un des premiers aqueducs
est sans doute celui de Nimive avec les Phéniciens en -690 av.J.C. Chez les
grecs, on a retrouvé (en Sicile et autour d'Athènes) des traces de canaux à eau
souterrains. Cependant, les ouvrages suivaient les courbes de niveaux et, de ce
fait, faisaient d'énormes détours. Néanmoins, on peut attribuer l'invention de
l'aqueduc aux Romains. C'est sans doute grâce à la maîtrise du calcul de la
masse et de la confection du mortier que cela fut possible. Rien que pour
desservir la ville de Rome, ils construisirent 14 aqueducs. Grâce au mortier
pour la maçonnerie, ils purent créer les ponts aqueducs. Ils en équipèrent les
diverses provinces de leur empire. L'aqueduc de Lutèce menant l'eau de Wissous
à Paris. Au Moyen-Âge, de nombreuses technologies furent perdues dont celle de
la construction des aqueducs. Il faut attendre le règne de d'Henri IV pour voir
naître un projet d'aqueduc avec l'aqueduc Médicis, puis d'autres sous le règne
de Louis XIV. Enfin, les ouvrages les plus récents furent construits au cours
du 19ème avec, notamment, l'aqueduc de la Vanne lors de la réorganisation de
Paris sous la conduite de Haussmann. Il alimente toujours tout le sud de Paris
en eau potable. http://ruedeslumieres.morkitu.org/apprendre/aqueducs/index.html
Topo sur la Vanne : https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/paris/decouverte-secrets-eaux-paris-ile-france-aqueduc-arcueil-1660403.html
La ville de Paris est
aujourd’hui alimentée en eau potable de trois façons : les cours d’eau, la
nappe phréatique et l’eau de source. Les cours d’eau voient leur eau traitée
aujourd’hui par trois usines situées à Orly, Ivry et Joinville. Avant
l’existence de moyens modernes de filtrage, les cours d’eau étaient la manière
la plus simple de trouver de l’eau potable. Cette eau, polluée entre autres par
les tanneurs, les bouchers et les teinturiers, n’était pas réellement potable.
Sous Napoléon 1er, la construction du canal de l’Ourcq et du bassin de la
Villette ouvrit une nouvelle source d’eau pour le nord de la ville. L’eau était
ensuite acheminée vers l’ouest par un aqueduc de ceinture, de la Villette à
Monceau. Les puits artésiens – voir l’article « Les puits artésiens ». Les eaux
de source furent le troisième moyen. Elle a été puisée puis acheminée vers
Paris à l’aide de spectaculaires aqueducs. Les premiers furent gallo-romains :
l’un captait l’eau aux environs de Rungis et l’autre celle de Belleville. Entre
les XIIème et XIVème siècles, les ordres religieux de la rive droite captèrent
les sources de l’est parisien et construisirent des aqueducs souterrains ainsi
que des regards qui sont toujours visibles aujourd’hui (voir articles sur les
regards du XIXème et du XXème, le regard des Maussins, des Messiers, de la Lanterne,
Saint-Martin). Un peu plus tard, Marie de Médicis fit construire le célèbre
aqueduc Médicis dans le sud de Paris. Ces aqueducs sont toujours opérationnels
au XXIème siècle. Aujourd’hui, cinq aqueducs acheminent l’eau vers Paris :
Aqueduc de Vannes qui passe par Arcueil. Aqueduc du Loing. Aqueduc du Lunain.
Aqueduc de la Voulzie au sud. Aqueduc de l’Avre à l’ouest. Cela représente
environ 600 kilomètres d’aqueducs. Au nord, se trouve un sixième aqueduc, celui
de la Dhuis, qui achemine sur 130 kilomètres, 20.000 m3 d’eau par jour – 5% de
l’approvisionnement total. Près de la moitié de l’eau consommée à Paris est de
l’eau de source. Cinq réservoirs permettent de stocker cette eau : Les Lilas,
Ménilmontant, Montsouris, Ivry et Saint-Cloud. https://www.paristoric.com/index.php/paris/inclassables/913-l-alimentation-en-eau-de-paris
Aujourd’hui nous nous intéressons à l’aqueduc de la Dhuys que nous allons remonter du réservoir à sa source.
En agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Carte OpenStreet Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Le code mobile de cette randonnée est b349774
Carte VisioRando Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
KM Temps Arret V/d V/g Dénivelé
Départ Artonges pas de parking (pourquoi Artonge simplement que c’estle village le plus proche de ma route.
Ou se trouve Artonge : Située au sud-est du département de l'Aisne, sur la D 20, dans un triangle Château Therry – Montmirail – Epernay. à vol d'oiseau à 16,9 km au sud-est de la sous-préfecture de Château-Thierry.
Pour recoller avec la promenade N°2 de Chelles à Esbly je vous
conseille de parcourir les neuf promenades comprises entre Esbly et Château
Thierry.
Lors de mes promenades dans le Nord de la Seine et Marne l'aqueduc de la Dhuis ma servi de nombreuses fois de fil d'Ariane. Pour poursuivre votre découverte des territoires autour de l'aqueduc je vous propose donc de vous reporter à ces randonnées dont voici les liens
Promenade 3 autour de la Dhuis - Promenade N-S & M - N° 47 Montbarbin – Crécy la Chapelle – Esbly - C'est une promenade dont la boucle est très éloignée de l'aqueduc mais fait découvrir le charmant village de Crécy la Chapelle. https://randosacaudos.blogspot.com/2022/08/promenade-n-s-m-n-47-montbarbin-crecy.html
Promenade 4 autour de la Dhuis - Promenade dans le Nord de la Seine et Marne ; Prom 9 ; Isles les Meldeuses – Meaux. Nous suivons l'aqueduc de Boutigny à Monceau les Meaux. https://randosacaudos.blogspot.com/2020/03/promenade-dans-le-nord-de-la-seine-et_2.html
Promenade 5 autour de la Dhuis - Promenade dans le Nord de la Seine et Marne ; Prom 8 ; La ferté Sous Jouarre – Trilport par la foret du Montceau. Nous retrouvons l'aqueduc des Deux Jumeaux au Corbiers. https://randosacaudos.blogspot.com/2020/03/promenade-dans-le-nord-de-la-seine-et.html
Promenade 6 autour de la Dhuis - Rando dans le Nord - S& M ; Prom 3, Vallée du Petit Morin –
aqueduc de la Dhuys. https://randosacaudos.blogspot.com/2019/07/rando-dans-le-nord-de-la-seine-et-marne.html
Promenade 7 autour de la Dhuis - Rando dans le Nord - S& M ; Prom 2, La Ferté Sous Jouarre – aqueduc de la Dhuys. https://randosacaudos.blogspot.com/2019/05/rando-dans-le-nord-de-la-seine-et-marne_2.html
Promenade 8 autour de la Dhuis - Nord Seine & Marne - De Château Thierry à La Ferté Gaucher Prom 20 Saâcy. Belle balade ou l'on commence à découvrir les coteaux de Champagne de la Seine et Marne. https://randosacaudos.blogspot.com/2021/03/nord-seine-marne-de-chateau-thierry-la.html
Promenade 9 autour de la Dhuis - N- S &M De Château Thierry à la Ferté Gaucher - Prom 19 - Nogent L'Artaud https://randosacaudos.blogspot.com/2020/09/n-s-de-chateau-thierry-la-ferte-gaucher.html
Je saute le coteau du Bois de la Dame pour retrouver l'aqueduc à la promenade
Promenade 10 autour de la Dhuis - N-S&M - De Château Thierry à la Ferté Gaucher ; Prom 17 - De Chézy sur Marne à Château Thierry https://randosacaudos.blogspot.com/2020/09/n-s-de-chateau-thierry-la-ferte-gaucher_2.html
Promenade 11 autour de la Dhuis - N-S&M - De Château Thierry à la Ferté Gaucher ; Prom 17 - De Chézy sur Marne à Château Thierry https://randosacaudos.blogspot.com/2020/09/n-s-de-chateau-thierry-la-ferte-gaucher_2.html
Cette promenade vous fera découvrir le captage de la Dhuis. Je suis toujours étonné par le circuit de l'aqueduc rien de droit, tout en courbe, longeant les collines bordant la Marne
Peut de
places pour garer la voiture dans ce village. La petite place vers l’église n’en
comporte pas et vous avez l’air de gêner si vous stoppez le long des maisons. J’ai
trouvé un emplacement vers la mairie. Remarquez derrière la fontaine cette
grande maison avec ses cinq porches monumentaux dont quatre transformés en
portes ou fenêtres. L’église [Le chœur et la nef de
l'église Saint-Pierre ont été inscrits à l'inventaire supplémentaire des
monuments historiques le 5 juin 1928. Ses premiers éléments remontent au XVe siècle. Elle fut remaniée au cours des
siècles. Cette église ne possède pas de clocher à proprement parler, mais une
cloche logée dans une lucarne du versant nord du toit de la nef. L'église fait
l'objet d'une réhabilitation complète et a été rendue au culte à l'occasion
d'une messe concélébrée par l'abbé Gandon, curé de la paroisse Notre-Dame des
trois vallées dont elle dépend et monseigneur Giraud, évêque du diocèse de
Soissons, en 2009.
La fontaine est
alimentée par une source réputée, jadis, pour guérir les maux de gorge et les
fièvres.]. Prenons la rue face à l’église, en direction de La Noue Mangeard
et le Bois Milon, nous longeons l’école ou la Mairie et ce grand bâtiment avec
ses arches en briques, poursuivons par la rue du Bois Milon. Traversons le Ravin
de la Dhuis et le Ru des Rieux à sec, après une prairie nous arrivons au hameau
du Pâtis la route fait fourche prenons à droite et suivons le GRP du Tour de
L’Omois [L'Omois
est une région de l'extrême sud de l'Aisne. Son nom provient de mentions du pagus
otmensis dans des textes en latin de la période carolingienne, qui laisse
penser que Château-Thierry, la ville principale de l'Omois, s'est appelé Otmus wikipédia].
Nous passons une ligne de chemin de fer à voie unique [La
ligne de Mézy
à Romilly-sur-Seine est une ligne de chemin de fer française non
électrifiée à écartement standard et à voie unique de la région
Champagne-Ardenne. Elle est partiellement déclassée. La voie et la plateforme
sont encore utilisées jusque Montmirail pour le transport de céréales. Elle
constitue la ligne 004 000 du réseau ferré national. Dans la nomenclature
régionale des lignes du réseau de l'Est, elle formait la branche sud de la
ligne 22-2, la ligne de Château-Thierry à Oulchy - Breny en étant la branche
nord. La ligne, d'une part tronçon d'un itinéraire de la vallée de l'Ourcq à
Esternay et d'autre part
chemin de fer d'Esternay à Romilly, est concédée à la
Compagnie des chemins d La ligne, d'une part tronçon d'un itinéraire de la
vallée de l'Ourcq à Esternay et d'autre part chemin de fer d'Esternay à Romilly,
est concédée à la Compagnie des chemins de fer de l'Est par une convention signée le 31 décembre 1875 entre le ministre
des Travaux Publics et la compagnie. Cette convention est approuvée à la même
date par une loi qui déclare la ligne d'utilité publique e fer de l'Est par une
convention signée le 31 décembre 1875 entre le ministre des Travaux Publics et
la compagnie. Cette convention est approuvée à la même date par une loi qui
déclare la ligne d'utilité publique. Wikipédia. Cette ligne que l’on pense
abandonnée, ne l’ai pas ou ne le sera plus, c’est une ligne ‘’capillaire ‘’
dans le jargon ferroviaire. Les lignes capillaires sont une composante
essentielle du Réseau ferré national car elles contribuent à la desserte fine
des territoires et sont la source de plus de 20% du fret ferroviaire ; elles
sont indispensable à l’activité des granulats (70% des tonnages transportés par
fer) et des céréales (40% des tonnages). mais la pérennité à terme des 2200km
de capillaires exploités ne peut être assurée sans un plan convenu entre tous
les acteurs concernés. https://www.objectif-ofp.org/Capillaires . Cette ligne Mézy-Moulin Artonges servira pour le
transport agro-alimentaire d’un groupe international historiquement Français
avec des racines à Nogent sur
Seine. https://actu.fr/hauts-de-france/chateau-thierry_02168/sud-de-laisne-transports-la-ligne-mezy-artonges-sur-les-rails_56293597.html . Il semblerait qu’elle servira également pour un train
touristique avec un redémarrage depuis 2023 L'Association TOURISME FERROVIAIRE
DE LA BRIE CHAMPENOISE A L'OMOIS a effectué une belle saison
touristique 2022 en ayant transporté 1791 passagers dans son train PICASSO.
Elle prépare actuellement la saison touristique 2023 qui débutera le dimanche 28 mai et se terminera le dimanche 01 octobre. Durant cette période, l'Association propose chaque dimanche une balade touristique ferroviaire à bord de son magnifique autorail PICASSO, unique en France, sous forme d'un aller et retour MONTMIRAIL-ARTONGES. La durée totale de la balade aller et retour pour parcourir la distance de 8,725 km est d'1H30. "En effet le PICASSO n'est pas un TGV mais un TGL (Train à Grande lenteur) "
"Tout au long
du voyage qui est commenté, nous sillonnons un territoire authentique de la
Brie Champenoise constitué par l'alternance de champs agricoles et de parties
boisées. Nous découvrons tout au long du parcours de très belles fermes
bryardes, plusieurs maisons de garde-barrières et le château d'Artonges" https://www.tfbco.fr/index.php/les-actualites ]. Après avoir traversée une prairie, poursuivons la route qui longe le bois
d’Artonges comportant quelques beaux arbres. Nous arrivons à l’enfourchement du hameau ou de la ferme de la Noue Mangeard. Poursuivons tout droit et après le bois nous trouvons l’enfourchement du hameau du
Bois Milon. Traversons deux grosses fermes ou anciennes fermes, le bitume
s’arrête là. Nous avons l’impression de rentrer chez les propriétaires,
d’ailleurs les chiens en libertés aboient, les rideaux se soulèvent, il semblerait que l’on n’est pas l’habitude de voir des promeneurs dans le coin.
On se méfie toujours d’un homme seul. Devant le hangar agricole, prenons le
chemin de droite qui débouche sur un chemin formant Té que nous prenons à
gauche. (On peut éviter les fermes en prenant le chemin herbeux sur la droite
que l’on trouve au niveau de la rue sans issu précédente). Nous longeons des
bois et arrivons à une patte d’oie, poursuivons tout droit en traversant le
bois
Richard, et débouchons à l’angle de la ferme ‘’La Grâce’’. Prenons le chemin
carrossable sur la droite et débouchons sur la D 866 un peu avant la grosse
ferme de ‘’La Griverie’’, prenons à gauche, et au carrefour à l’angle duquel
nous trouvons la ferme de ‘’La Futaie’’ prenons la route V 4 à droite en
direction de Montlevon et le château de la Ville aux Bois - La Maladerie. Nous
trouvons sur la gauche une grosse propriété ; Le château de la ville aux
bois. La route traverse le bois Dudiez, ce dernier est coupé par une bande
cultivé et à la sortie de la seconde partie du bois nous trouvons une petite
stèle, qui peut être fleurie sur la gauche. Prenons le chemin longeant l’orée du
bois et au carrefour à trois branches, prenons à droite. Nous devons voir au
loin sur notre gauche un château d’eau avec un toit en poivrière, le secteur
est vallonné mais avec le brouillard je ne distingue pas très bien des points
de repères. Nous trouvons en fond de vallon le hameau de Auclaine et
poursuivons par le chemin des Orgerieux (sur l’IGN chemin de la Brie), passons
les différentes fermes (laissons sur la gauche le chemin des
Orgerieux. Sans nom sur certaine carte). Au grand carrefour formant une petite
place nous prenons à droite, rue de Chamblon. Nous sommes sur une variante de
GR 14. Longeons un petit lavoir protégé par une toiture formant une équerre, la
route fait un esse par des virages droite-gauche, laissons sur la gauche le
chemin du ru. Nous pouvons prendre sur la gauche la petite rue des tilleuls ou
poursuivre la route. A la sortie du virage prenons le chemin carrossable sur la gauche, qui
sur certaine carte porte le nom de chemin du Ru, il descend dans
un autre vallon. Nous longeons le Ru "Cour Dimanche" qui est
presque à sec. Laissons un chemin sur la gauche, poursuivons vers un bel arbre
(en 2023), un peu plus loin le chemin fait fourche prenons à droite, et coupons
le Fossé V1 de Chauffour complètement sec en février (l’hiver n’a pas été
pluvieux). Nous grimpons. Le chemin débouche sur la rue des Epinettes et
arrive au hameau de Montharmeaux. Nous laissons sur la droite la petite rue,
Jean Gault, poursuivons tout droit, notre rue portant maintenant le
même nom,
coupons la D 205, de l’autre coté nous poursuivons par la rue de la Harlée,
elle forme comme une petite place avec l’entrée de la ferme, elle tourne sur la
droite. Dans ce village peut être à la ferme, derrière des grilles nous
trouvons tout un pan de mur avec des niches. Ce doit être un pigeonnier
ou un ancien pigeonnier. Laissons un accès à une autre ferme puis le bitume se
termine devant une fourche au numéro 7. Poursuivons tout droit, et dépassons les dernières
maisons un peu isolées. Le chemin serpente à flanc de colline, le paysage
‘’brumeux’’ est magnifique avec ses petites collines, la campagne et les bois.
Nous arrivons à Coupigny après avoir traversé le Ravin de Beulard, un ruisseau
ou un ru avec de l’eau, puis celui de Confrémeaux, laissons une rue sur la
droite, menant à une grosse ferme, que nous contournons par un esse
gauche-droite, et grimpons vers la D87. Poursuivons tout droit, la
départementale, et descendons à mi pentee nous trouvons sur la droite
un édicule, le syphon de l’aqueduc de la Dhuis traversant
le ru du Ravin de
Beulard, je prends à droite pour voir l’ouvrage N°2.
Revenons sur nos pas
traversons le bitume et grimpons le talus ou se trouve enterré l’aqueduc
derrière nous poursuivons de grimper la colline. Sur la partie haute nous
trouvons un édicule de visite, cela grimpe rude. Poursuivons par la droite sur
le flanc de la petite colline, nous sommes sur les pentes de Morancel, un
chemin herbeux gardant plus ou moins
la même courbe de niveau en parallèle à la
D 20. Nous approchons de la D 86, après un petite édicule en cul de four, nous
longeons la barrière de sécurité, le chemin semble un peu moins large. Faisons
un esse droite-gauche en empruntant la départementale, passons la barrière et
poursuivons notre chemin au dessus de l’aqueduc, devenant boisé. A la sortie
des bois, je quitte l’aqueduc partant vers Paris, à la borne 73 et prends
le
chemin de droite, nous arrivons à Condé en Brie [Condé-en-Brie est une ancienne bourgade gallo-romaine, Condé
mérite bien son nom qui signifie « confluent » puisque plusieurs
vallées fortement encaissées s'y rencontrent : le Surmelin, la Dhuis et la Verdonnelle. Le château est
construit sur l'emplacement d'une ancienne villa gallo-romaine. Commune de la
région de l'Omois constituée des cantons du sud de
l'Aisne. Le nom du village apparaît pour la première fois en 1205 sous le nom
de Conde-in-Bria, Vallon-Libre sous la Révolution et l'apellation
actuelle Condé-en-Brie au XIXe siècle. Condé-en-Brie était une
seigneurie
des Montmirail, des Coucy, des comtes de Bar, des Luxembourg Saint-Pol, des Bourbon-Vendôme, des Bourbon-Condé, des Bourbon-Soissons, puis des Savoie-Carignan. Elle a donné son nom à la maison des princes de Condé Wikipédia]. Longeons un silo à grain,
poursuivons tout droit par la rue de la Creuse rue, Après le parking de l’EPHAD
nous prenons la D 20 sur la gauche, rue du Cahot. nous arrivons au rond point
de la mairie, (petit bâtiment en brique sur la gauche) prenons sur la droite la
D 4 en direction d’Orbais-Dormans-Celles les Condé-Baulne en Brie. Coupons la
ligne de chemin de fer, nous retrouvons le GR 14. Nous sommes dans la rue du
Château. Remarquez sur la gauche, la
maison du garde barrière devenue inutile
par l’automatisation de la barrière. En prenant sur la gauche la rue de la
gare, l’immense bâtisse devant être la gare devenue restaurant (une bonne
reconversion pour ce bâtiment) et à coté une tour attenant à une bâtisse ;
certainement un château d’eau, souvenir des locomotives à vapeur. Il date de
1864. [Sur la fiche que j’ai trouvé dont la photo
date de 2016 il est dit que le syndicat d’initiative c’est installé dans le
bâtiment. Le sigle au dessus de la porte le confirme. le SI (Syndicat d’initiative) relève de
l'initiative privée, alors que L'OT (Office de Tourisme) est
obligatoirement
institué par la collectivité. En France, l'office de tourisme est
le successeur du syndicat d'initiative dont le premier fut fondé à Grenoble le
2 mai 1889, présidé par le comte de Montal. Durant l’après-guerre, les problèmes
de financement des syndicats d’initiative se font cruellement sentir,
particulièrement au vu de la mission accrue liée à la progression du tourisme.
L’existence de ces organismes privés
va être bousculé par la création
officielle, par la loi du 10 juillet 1964, des offices de tourisme. Le
gouvernement, ayant pris conscience des enjeux économiques liés au tourisme,
décide d’autoriser les conseils municipaux des stations classées de tourisme, à
créer des offices si elles le désirent. L’accueil et la promotion touristique
commencent à être perçus comme un service public. La création de ces structures
doit être entériné par le préfet. Il s’agit alors d’établissements publics à
caractère industriel et commercial ayant vocation « promouvoir
le tourisme dans la station [...], assur[er] la coordination des divers
organismes et entreprises intéressés au développement de celle-ci. ».
wikipédia]. Revenons sur notre route et longeons le long mur du château
de Condé [domaine privé habité toute l'année. À la
demande des Bourbon, des princes de Savoie puis du marquis de La Faye, les plus prestigieux artistes comme Watteau et ses élèves Lancret, Pater ou Bonaventure de Bar,
Boucher ou Oudry réalisèrent ses
somptueux décors des XVIIe et XVIIIe siècles. Ce château permet
d'évoquer une partie de l'histoire de France
au travers de personnages
illustres comme les Condé, les Savoie, La Fontaine ou Richelieu, sans oublier Olympe et ses « poudres » mystérieuses…
L'aile Watteau et
ses fresques découvertes récemment, la chambre de Richelieu, les appartements
privés et l'exceptionnel salon décoré par Oudry constituent les attractions
phares du château. La proximité du confluent de la Dhuis et du Surmelin, affluent de la Marne va donner son nom
au village de Condé-en-Brie. En effet la racine
du mot Condé provient du toponyme d'origine gauloise Condate signifiant
étymologiquement « confluent ». Habité depuis les temps les plus
reculés, ce lieu servit de théâtre en 500 à un combat opposant les Senones aux Condruses. D'importants
vestiges de cette époque subsistent dans les fondations du château. Ce sont
probablement ceux d'une villa gallo-romaine. Le bienheureux Jean de Montmirail
fut le premier seigneur de Condé. Ce n'était alors qu'un fief noble ayant haute
et basse justice et autorisation de fourches patibulaires. Son gendre, Enguerrand III de Coucy construisit en 1200 le premier château digne de ce nom. Les murs de deux mètres
d'épaisseur et les larges archères témoignent de cette période. Marie de Coucy,
dernière de cette lignée, apporte en 1400 à son mari, le comte de Bar, les terres de Condé qui passent
ensuite, toujours par le jeu des alliances, à
la Maison de Luxembourg. En 1487, la Maison de Bourbon entre en possession
de la seigneurie par le mariage de Marie de Luxembourg avec François de Bourbon, comte de Vendôme. Celle-ci passe
ensuite à l'un de ses fils, Louis dit le cardinal de
Bourbon-Vendôme, abbé de Saint-Denis, archevêque de Sens, évêque de Laon et de Luçon. Ce dernier
transforme le château des Coucy en un très grand rendez-vous de chasse Renaissance dont l'édifice
actuel ne représente plus qu'environ les deux tiers de la surface initiale. Ses
armes surmontées du chapeau de cardinal, figurent encore au fronton d'une porte
et d'une cheminée. Le château, encore fermé autour d'une cour carrée, était
lui-même entouré de murs qui s'étendaient jusqu'à deux bâtiments de cette
époque : la « porterie » à l'ouest et la
« capitainerie » à l'est. De nombreux souterrains, dont certains
pourraient encore être réutilisés, reliaient entre eux les différents bâtiments
au bord de la rivière. Louis, neveu du cardinal de Bourbon-Vendôme qui fut son tuteur se fit
appeler « Monsieur le Prince ». Couramment désigné sous le nom de
prince de Condé, ce titre lui resta sans doute parce qu'il affectionnait ce
lieu après y avoir passé une partie de son enfance. À la mort de son oncle en 1556, il hérita des terres de Condé qui s'étendaient sur plus d'une
dizaine de villages. Après son assassinat à Jarnac par le capitaine de Montesquiou en 1569, la principauté de Condé resta dans la Maison de Bourbon jusqu'en 1624 date à laquelle elle passa à celle de Savoie par le mariage de Marie de Bourbon-Condé avec Thomas de
Savoie-Carignan. Le château de Condé qui a le privilège d'avoir
donné son nom à l'une des branches les plus illustres de la Maison de Bourbon, connut alors un
sort moins enviable. En 1711, Louis XIV confisqua les biens
des Savoie en France, sans doute pour se venger des échecs que lui avait fait
subir le prince Eugène à la tête des armées autrichiennes. Le château mis sous
séquestre, fut occupé militairement de 1711 à 1719 et se trouva en
fort mauvais état quand il fut acheté par Jean-François
Leriget de La Faye. Situé en 1914 près du front de la Marne, il fut
pris et repris et les obus ne l’épargnèrent pas. Entre 1940 et 1945 le château
fut occupé pendant toute la guerre, bombardé et pillé. Les œuvres d’art de plus
grande valeur furent sauvées en toute dernière extrémité. Lorsque la famille de
Sade reprit possession du château en 1946, ils entreprirent une restauration
complète de celui-ci. Cette restauration se déroula en trois phases :
- De 1946 à 1958 : reconstruction des portes et fenêtres du château, réparation des dégâts importants de la toiture, remblaiement et dessin de l’environnement du château.
- De 1959 à 1968 : remise en état et réinstallation des pièces destinées à la visite, fin de la restauration des toitures, réinstallation de l’eau dans le château.

- De 1969 à 1980 : réfection des plafonds (salle Servandoni, chambre de Richelieu, salon des Oudry), restauration des toiles de la salle Servandoni et des tableaux du salon des Oudry, restauration complète des salles du rez-de-chaussée.
Une fois le gros œuvre terminé, la famille de Sade entreprit d’ouvrir le
château à la visite et de proposer un certain nombre d’événements autour de
celui-ci. Wikipédia]. Traversons la Dhuis, passons une ancienne fontaine
transformée en jardinière et nous arrivons à l’église [Bâtie
sur un plan de croix latine, son portail occidental a une tour unique au sud.
Elle possède une Annonciation qui est du XVIIIe siècle
et XVIe siècle. Wikipédia].
Poursuivons la rue remarquez les maisons en
pierre et les porches charretières en pleins cintres. Grimpons la Grand Rue
jusqu’à la Halle [Construite au XVème siècle par
Marie de Luxembourg, grand-mère du prince de Condé et du Duc de Guise. Située
au cœur du village, cette halle est devenue un lieu de rencontres où se sont
déroulés les marchés pendant quelques années. L'ancienne maison commune,
construite à l'étage accueillait un juge de paix qui venait y rendre justice
pour les petits délits jusque dans les années 40. https://www.lesportesdelachampagne.com/offres/halle-de-conde-en-brie-conde-en-brie-fr-3965153/ & le
routard]. Derrière la halle nous trouvons au
milieu du parking
une belle fontaine fleurie. Poursuivons la D4 en direction de Celles les
condé-Beaulne-Dormans-Orbais, la rue Grande change de nom et devient rue de
l’Ormet, au carrefour suivant poursuivons la D4 en direction de Baulne et
Orbet, nous grimpons toujours, et arrivons au lavoir (malheureusement en
mauvais état), au monument au mort et une chapelle au milieu du cimetière,
grimpons vers le cimetière, entrons pour faire le tour de la chapelle, mais
surtout pour ressortir par la porte situé sur la gauche de celle-ci. Prenons sur la droite un chemin carrossable
plus ou moins
bitumé, nous grimpons, vers les trois vallées. Ne trouvons plus le
chemin qui coupait le champ en deux, nous trouvons à l’orée de la foret (au
niveau de la ligne à haute tension), un chemin sur la droite n’existant pas sur
la carte et longeant la lisière du bois. Au chemin formant Té prenons à gauche
et entrons dans le bois. Nous restons plus ou moins sur la même ligne de niveau
et après un virage d’équerre à droite nous descendons ce que nous venons de
grimper. Nous faisons un coude d’équerre à gauche et restons sur la même ligne
de niveau, enfin un dernier virage d’équerre à droite, nous sortons de la
foret, et avons une vue sur les collines de l’Omoy. Traversons le champ et
débouchons sur la D 853 au niveau d’une fourche. (J’ai un soucie ; Je
décrie cette balade quelques mois après l’avoir réalisé et en regardant sur la
carte je me rends compte que le chemin que j’avais pris en février est passé
sous le socle de la charrue en juillet. J'espère qu'il y a un chemin de déviation). Prenons la branche de
droite en
direction de Montigny les Condé et Montmarçon. La départementale descend,
traverse le ruisseau de Verdonnelle, au carrefour de la ferme de Maurepas situé
tout de suite après le pont, prenons à droite la départementale qui est peu
large et grimpe vers le petit village de Montigny les Condé (186 m) on y trouve
une table d’orientation qui malheureusement est en mauvais état, dommage le
paysage est magnifique. [Petit village de
l'ancienne Brie Pouilleuse. Avant la révolution, la cure (paroisse) du village est de la nomination et patronage
(possibilité de présenter à l'évêque, pour qu'il l'ordonne, un desservant pour
l'église) des abbés et
religieux d'Orbais, qui en sont curés
primitifs. Ils jouissaient ainsi des dixmes ; de Fontaines, vicaire perpétuel (desservant d'une église), ayant abandonné la part qu'il y avait et
demandé qu'ils lui fournissent sa portion
congrue, ils lui abandonnèrent entièrement leur part
des dixmes pour en jouir sa vie durant, et acquitter toutes les charges et
faire les réparations du chœur et autres charges ordinaires. L'église
Saint-Éloi avait été échangée entre les abbayes d'Orbais et Saint-Jean-des-Vignes de
Soissons approuvé par Aymard, évêque de Soissons. Le dernier seigneur du village est le comte de la Tour du pin. Wikipédia].
Passons devant l’église Saint Eloi [Sa construction
date du XIIème siècle. Sa restauration et le nettoyage des murs a
permis de découvrir des peintures murales datant des XIIIème et XIVème siècles.
Le bénitier et les fonts baptismaux sont classés aux Monuments Historiques. https://www.auxpaysdemesancetres.com/pages/la-region-picardie/aisne-02/montigny-les-conde.html ]. Remarquer le puits et le Lavoir en mauvais état
sur le thème de la fable de
La Fontaine Le loup et le chien.(une stèle accroché au mur avec le poème).
Derrière l’église à la fourche prenons à gauche la D 202. Au carrefour de la
Mairie, laissons la C8 sur la gauche et poursuivons tout droit. Nous sortons du
village. Juste
avant le virage au niveau d’un bouquet d’arbres qui malheureusement ne dureront
pas l’éternité, nous trouvons sur la gauche un chemin herbeux que nous prenons,
nous grimpons légèrement et longeons quelques carrés de bois planté au milieu
des cultures. Nous arrivons à l’orée d’un bois et rencontrons le GRP du tour de
l’Omois,
poursuivons le chemin balisé pénétrant en foret, puis suivons l’orée
du bois après une bande de bois le balisage tourne d’équerre à droite, (peut
être futur parcelles 10-11). Au GRP il lui manque une balise indiquant qu’il
tourne et un balisage jaune et bleu longe la lisière puis traverse un champ
avant de pénétrer à nouveau en foret. Nous redescendons en traversant un champ,
débouchons sur un chemin formant Té, prenons à gauche et au carrefour situé à 2
ou 300 mètres plus loin, prenons le chemin carrossable sur la droite.
Traversons la ligne de chemin de fer et entrons dans Pargny la Dhuys, par la
rue de la gare [Pargny-la-Dhuys est une ancienne forge bâtie sur une
« ferrière » (mine de fer) appartenant au XVe siècle
au comte de Braine. Le dernier seigneur fut le comte de La Tour du Pin. Wikipédia]. Nous
arrivons derrière l’église [L'Église Saint-Martin, avec ses arcades
gothiques et son clocher effilé. Wikipédia]. Prenons la rue de Verdon sur la droite (D202),
puis
la Grand rue sur la gauche, traversons la Dhuys, longeons la mairie avec
son petit campanile, nous arrivons sur la D 20 et prenons à gauche la direction
d’Artonges-Montmirail-Viels-Maisons. A la sortie du village nous trouvons sur
la gauche le chemin du Moulin de L’échelle. La clôture indique la zone de
captage de l’aqueduc de la Dhuis ou Dhuys, l’aqueduc souterrain débute à la
prise d’eau au niveau de la rivière. Je ne pousse pas plus avant et prend sur
la droite, la route bitumée de Mongon. Sur la droite nous reconnaissons la
bande herbeuse signalant le passage souterrain de l’aqueduc se dirigeant vers
Paris. Le chemin grimpe et après quelques maisons isolées et un peu avant les
quelques maisons des Chaillots, nous quittons le bitume et prenons le chemin
sur la gauche, nous suivons toujours le GRP. Laissons les chemins de droite et
de gauche. De haut nous apercevons le village de Montflobert, coupons une route
bitumée, et poursuivons tout droit. Notre chemin après avoir traversé un ru
longe la petite
ligne de chemin de fer et débouche sur la route du Bois Milon
que nous prenons à gauche. Passons le passage à protégé, nous retrouvons notre
voiture à Artonges. Ici aussi j’ai loupé Le lavoir est décoré sur le thème de
la fable de Jean de La Fontaine Le renard, les mouches et le hérisson.
Pour dédouanement la carte ne signale pas de lavoir, alors je n’ai pas cherché.

Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ;
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