mardi 2 juillet 2024

Promenade Nord Seine et Marne N° 62 Marles en Brie - Pommeuse – Faremoutier

Le parcours utilise des départementales à fortes circulation, le chemineux que je suis ne pourra être tenu pour responsable en cas d’accident, chacun devant être maître de sa propre sécurité.

Circuit ouvert retour en train

J’ai repris mes grandes promenades dans le Nord de la Seine & Marne en modifiant l’itinéraire. On parle d’une quatrième vague de covid 19, pour fin juillet ou début Aout, et l’on pense à un nouveau confinement. Jamais je ne finirais mes découvertes dans la vallée des Morins. Au lieu de passer par Paris et rester une heure trente dans le train, je prends la voiture, et le train uniquement sur quatre ou cinq gares. 

Mon départ en voiture, de la gare de Marle en Brie (le parking étant payent on se gare place de l’église.)

En bus express 002 Melun – Meaux. Station La Houssaye en Brie Gare de Marles https://www.viamomelun.fr/usr/fic/200024%20FICH%20Horaires%20VIABUS%20100x210-BD2%20(1).pdf

En train Horaire des trains : https://www.horaires-de-trains.fr/horaires_lignep-Marles_En_Brie-Paris_Est.html

Ou ce trouve Marles en Brie. Dans un carré compris autour des N36, Melun-Meaux. De la D 231 Lagny-Provins. De la D 402 Guignes-Coulommiers et par la N° 4 Paris- Esternay.

CarteIGN               Trace GPS & Topo sans Commentaires      Trace Randogps

 Le code mobile de cette randonnée est b299902

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Km     Temps    Arrêt     V/d       V/g       Dénivelé

22       3h20       0h20     6,6        6,0           432

 Juillet 2021

De la gare de Marles en Brie. Traverser le parking, pour rejoindre la D 436 que nous prenons à gauche, jusqu’à la rue Caron que nous prenons également à gauche en direction de Marles centre. Coupons le GR 1 à la ferme du moulin (chemin du Moulin) poursuivons jusqu’à la rue de l’Olivier prenons à gauche en direction de la place de la Mairie et de l’église. Passons devant la mairie [Maison bourgeoise du XIIXiéme siècle, propriété de M. Tissier, notaire à Chaumes qui la vendit à la Mairie de Marles en Brie en 1868 pour la somme de 8000 francs en vue de la transformer en maison commune. Des travaux pour moderniser l’édifice furent entrepris durant de nombreuses décennies notamment pour loger le directeur d’école et son épouse. A gauche du bâtiment, se tenaient une écurie et un appentis transformés pour un temps en local de secours contre l’incendie qui ont disparu pour laisser la place à un espace de rangement. Sur la droite, à la place d’un ancien hangar, on construisit en 1874, une salle de classe de garçons qui deviendra en 1972, le lieu des réunions du Conseil municipal. Dans les années 1970, d’importantes transformations eurent lieu. Les grilles extérieures furent supprimées, le crépi originel enlevé, laissa apparaître les pierres et la façade s’orna d’un balcon. L'énorme meulière trônant dans le jardin qui évoque une sorte de menhir, provient de la forêt de Fontainebleau, à la demande d’un ancien maire afin d’agrémenter la façade. https://marlesenbrie.fr/en/rb/224083/la-mairie-5].

Nous trouvons à stationner sur la place de la Mairie, place qui ne ressemble pas à une place conventionnelle, c’est un triangle de verdure, entre deux rues bordées d’arbres [La place de la Mairie ; La place actuelle telle que nous la connaissons est relativement récente. Elle fut construite sur les remblais de l’ancienne ferme dite des quatre Vents qui s’y trouvait et fut détruite en 1889 (ce qui permit de faciliter la circulation et de doter le village d’un vrai lieu de rencontre). 
Elle comprenait une habitation, une grange, une écurie, une bergerie, une laiterie ainsi qu’une mare, le tout sur 2200 m² environ. La grande mare qui les bordait fut transformée en un grand bassin rectangulaire appelé « canal » qui servit pendant plusieurs décennies à la collecte des eaux d’écoulement. Son aspect définitif lui sera donné par la plantation de tilleuls, l’érection en 1921 du monument aux morts, l’installation de bancs et d’une pompe à eau et en 2010 d’un jardin d’enfants. Autour de cette aire existaient également un ancien presbytère et une épicerie convertie successivement en café, restaurant, cantine scolaire, lieu de réunion de la communauté de
communes et actuellement en lieu d’activité des associations.
Sur cette place fut planté également au XIXiéme siècle, l’arbre de la Liberté, abattu en 1938, suite à une chute de branches lors d'une manifestation villageoise.
https://marlesenbrie.fr/en/rb/224096/la-place-de-la-mairie]. Dirigeons nous par la rue des quatre vents ou la rue de La Lechelle pour faire le tour de l’église [L’église Saint Germain D'Auxerre ; L’église de Marles en Brie, sous le vocable de Saint-Germain- d‘Auxerre, classée Monuments Historiques en 1922, construite sur des substructions gallo-romaines, est constituée principalement en grès et en meulière. La majeure
partie de l'église est de style roman, à témoin les fortes proportions du clocher dont la base, semble dater du XIIième siècle.
La tour du beffroi, agrémentée à chacun de ses angles d’une gargouille brisée, supportant l’élégante flèche de charpente, fut rehaussée plus tardivement d’un étage. Elle est constituée de deux étages de beffroi aux fenêtres géminées. D'autres éléments se sont ajoutés quelques siècles plus tard comme la nef et son collatéral construits au XVIième siècle. La voûte de la grande nef, beaucoup plus récente, date du XVIIIième siècle. Pur chef d’œuvre de style gothique du XIIIième siècle, le chœur présente un retable en bois peint de style baroque où figurent trois statues polychromes : Saint Germain, en costume d’évêque, entouré de Sainte Geneviève et Saint Roch. Deux grilles aux portes surmontées de médaillons aux images de la Vierge et de Saint Germain fermant le chœur et la chapelle de la Vierge, constituent un bel ouvrage de ferronnerie du XVIIIième siècle (classé Monuments Historiques en mars 1955), ainsi qu’une superbe grille de communion aux emblèmes papales et
épiscopales, enrichirent l’autel quelques décennies plus tard.  Dans cette chapelle, on peut remarquer outre un retable, un bâton de procession à l’image de Saint Roch du XVIIIième , en bois peint doré (inscrit au Monuments Historiques) et deux peintures sur bois du XVIième siècle formant un diptyque, représentant l’adoration des mages et la présentation de Jésus au temple. Ces deux tableaux ont été restaurés en 2014. L'édifice abrite de nombreuses statues, un Christ en croix, de style gothique, un coffre en bois du XVIIième siècle utilisé comme autel et sur un mur du collatéral, un livre de prière, décalogue en pierre sculpté. L’église a fait l’objet   d’une restauration partielle en 2000, lors d’un contrat triennal mais le chœur présentant des fissures par suite d’écartement des murs a été condamné par mesure de sécurité. https://marlesenbrie.fr/en/rb/224031/leglise-saint-germain-dauxerre]. Passons devant le porche de l’église et poursuivons par la D 143E, remarquez le porche après l’église. Nous sommes sur un balisage jaune, longeons un long mur surmonté d’un grillage, puis un petit muret devant un espace boisé. Dans le virage, nous trouvons une fourche, nous abandonnons le balisage jaune partant sur la droite en direction du lavoir (qui à fait l’occasion d’une visite lors d’une précédente promenade). Poursuivons la départementale, nous rencontrons le GR après l’angle du cimetière, passons le ru de Certeau, ou de Bréon (suivant les cartes il ne porte pas le même nom). Abandonnons le GR 1 lorsqu’il tourne à droite poursuivons le bitume (route de Marles), longeons les serres et les quelques maisons isolées, dépassons le château d’eau, passons la ligne de chemin de fer, nous entrons dans la Houssiette. Laissons les rues de droite et de gauche poursuivons tous droit par la rue Jodelle en direction du Prieuré et de la Mairie, nous retrouvons le GR 1, passons l’arrêt de bus. Nous arrivons au Prieuré Saint Martin [Prieuré Saint Martin existe depuis 1943, Cette grande maison a reçu le nom de "Prieuré St Martin" par le Père Michel-Dominique Epagneul quand il a fondé la Congrégation en 1943. Ce fut très longtemps une maison de formation : Prieuré de Noviciat jusqu’en 1953 puis Prieuré d’Etudes jusqu’en 1974. Une chapelle y a été aménagée en 1962, avec des vitraux de Marc Hénard illustrant les Béatitudes. Les grands moments de la vie de la Congrégation, comme les Chapitres généraux au cours desquels sont élus les Prieurs Généraux ont tous eu lieu ici. C’est enfin dans le cimetière du village de la Houssaye que sont inhumés la plupart des Frères défunts dont le Père Epagneul décédé en 1997. Parmi les Frères vivant dans cette communauté, il y a des frères étudiants et des Frères responsables de l’ensemble de la Congrégation (Frères du Conseil Général). La communauté est aussi interculturelle avec des Frères Burkinabés, Béninois Togolais et Français.

La mission du prieuré.

Inséré dans l’espace rural de la Brie, le Prieuré est très présent dans le diocèse et sa mission est assez diversifiée. Le Servic DE DIOCe Diocésain de la Catéchèse a résidence dans une desserte du Prieuré. Il assure un accueil pour de nombreuses réunions de diocèses, de Congrégation et pour les Frères en mission en Afrique quand ils reviennent pour un séjour en France.
Les Frères sont engagés au travail salarié, dans la pastorale rurale : aumônerie de jeunes, groupes d’Eglise, visiteur en maison de retraite, travail salarié, participation à des Associations et Groupes culturels et sociaux. Enfin, il y a un service d’hôtellerie, en collaboration avec des laïcs salariés, pour l’accueil de nombreux groupes (Ile de France et autres), notamment en lien avec le Monde Rural, avec des Mouvements d’Eglise et autres. Un vaste parc permet détente et repos et recueillement à tous ceux qui viennent. Régulièrement les Frères se rencontrent avec
les Sœurs des Campagnes de Lumigny dans le partage de la prière ou de l’apostolat. https://france.fmc-sc.org/site-map/articles/149-ou/france/186-le-prieure-de-la-houssaye-en-brie]. Remarquez la maisons de gauche avec ses fenêtre en chiens assis avec leur toits en avancés, il devait y avoir une poulie, cela servait à remonter les sacs de blé au grenier. Remarquez aussi les courettes en retraits de la rue. Nous arrivons Place du Maréchal Augereau, contournons la place arborée sur la gauche en direction du château. [Maison forte documentée depuis le Moyen Age. Aux 17e et 18e siècles, c'est une demeure de plaisance entourée de bois, embellie surtout au 18e siècle. En 1801, le domaine est racheté par le général Augereau qui transforme la décoration des pièces. Laissé sans entretien pendant l'entre-deux-guerres, il est restauré à partir de 1940 par l'industriel Jacques Bellanger qui y recevra de nombreux artistes. Le château de La Houssaye-en-Brie a très vraissemblablement été construit à la fin de l'époque féodale, vers la fin du 13ème siècle. De cette époque, il ne reste que 2 tours d'angle. Le donjon serait du 15ème siècle. Décentré à l'angle Sud-Est et entouré par de larges douves, le château paraît isolé depuis la suppression des dépendances qui l'entouraient. Sa façade arrière est de l'époque renaissance alors que la façade principale ouvrant sur la cour d'honneur se rattache davantage à l'époque Henri IV ou Louis XIII. Un parc d'environ 60 hectares entoure le château. C'est dans ce parc que repose Gabriel Irach, la première femme du Maréchal Augereau. Entre 1522 et 1988, soit environ 470 ans, le château aura connu pas moins de 23 propriétaires, dont seulement 10 par succession. Délaissé par ses propriétaires successifs, ce n'est qu'à partir de 1781, avec le Baron Gigault de Crisenoy, qu'il prit réellement vie. Il resta dans la famille jusqu'en 1801, date à laquelle le Maréchal Augereau, Duc de Castiglione, en fit l'acquisition. L'Empereur Napoléon y passa plusieurs nuits. En 1817, à la mort du Maréchal Augereau, sa femme Adelaïde de Chavange vend le château à M. Becker, agent du Roi du Danemark, qui le vend à son tour à son gendre Félix de Mimont. Le château reste dans la famille jusqu'en 1920. A cette date, il est acheté par une société forestière et reste à l'abandon. Revendu en 1926 à M. Kirsch Catani pour en faire un immense lotissement, le projet ne peut aboutir et le château continue à se délabrer. Il est racheté en 1939 par M. Bellanger qui passe 30 ans à le restaurer de ses mains avec l'aide de sa femme. Monsieur BAUDOIN en fait l'acquisition en 1988. Avec le Conseil Municipal de l'époque, il prend le parti de le sortir de son isolement. Après plusieurs transactions, les murs séparant la place du village du parc du château, sont abattus. La place est agrandie, l'église et le château mis en valeur. Ce dernier est classé par les Monuments Historiques en 2000. http://www.lahoussayeenbrie.fr/fr/information/62094/le-chateau]. Tout à coté ce trouve l’église [Dans la plaine agricole de la Brie, le bourg de La Houssaye s’est construit autour du château et se protégea, au Moyen Âge, par un mur percé de quatre portes. Réalisée en plusieurs étapes, il est très difficile de dater sa construction avec précision. Le choeur vouté date du début du 14ème siècle mais les chapiteaux à crochets de la colonne à gauche du choeur et les colonnes cylindriques à socle carré semblent dater de la seconde moitié du 12ème siècle. Elle fut agrandie fin du 15ème siècle par Nicolas Lecoq et consacrée le 9 mai 1536. Le clocher carré date du 16ème siècle et s'élève à 24 mètres. Le coq qui le domine a été mis en place en 1990. L'ancienne cloche fût installée en 1649. Refondue en 1859, elle fût prénommée Antoinette. L'intérieur comprend une nef principale juxtaposée au choeur et au sanctuaire. Un collatéral est prolongé par la sacristie. Le choeur se divise en 3 travées et remonte au 13ème ou 14ème siècle. La petite chapelle (la chapelle seigneuriale) a été ajoutée dans la seconde moitié du 16ème siècle par Gérard Lecoq, alors seigneur de La Houssaye. Elle est dédiée à Saint Joseph. Le choeur est éclairé par un vitrail rond de 70 cm "La Crucifixion" datant de la fin du 13ème siècle. La chaire, composée de 5 panneaux en chêne sculpté ornés de fleurs de lys et mutilés pendant la Révolution, est du 16ème siècle. De nombreux objets ont été classés par les monuments historiques. En 1999, la toiture a été complètement refaite. Puis, entre 2002 et 2005, une restauration complète des façades a été entreprise sous la direction des Bâtiments de France. Elles s'inscrit parfaitement dans le cadre de rénovation et d'embellissement de la place du village. http://www.lahoussayeenbrie.fr/fr/information/62095/l-eglise  L’église est dédiée à saint Nicolas de Patare, du nom de la ville de Lycie qui l’a vu naître en 250, également appelé saint Nicolas de Bari parce que ses ossements y furent transportés en 1087. Évêque de Myre, il apaise les flots et ressuscite les enfants, ce qui lui vaut d’être le saint patron de nombreux fidèles. Cette dédicace remplace, ou s’ajoute, à celle de saint Blaise, saint guérisseur très populaire. Reconstruction homogène du début du XVIe s. intégrant des parties du XIIIe s. – voûtes du chœur et de la chapelle nord –, l’édifice est un grand vaisseau couvert de tuiles plates et construit en moellons enduits avec des contreforts appareillés en pierre de taille. Les contreforts des angles sont jumelés en équerre sur le clocher et sur la chapelle seigneuriale, tandis que, sur le corps de bâtiment principal, ils forment un angle de 45°. Le contrefort sud-ouest porte des armoiries en relief malheureusement illisibles. Des baies régulières éclairent chaque travée. La porte ouest s’ouvre sous un arc chanfreiné et la porte sud sous un arc en anse de panier très caractéristique du XVIe siècle. Le clocher présente un toit en pavillon sur une corniche à modillons et une chambre des cloches ouverte par des baies étroites munies d’abat-sons. Le plan montre un vaisseau allongé de sept travées, la dernière, terminée par un chevet plat percé d’une grande baie, servant de chœur liturgique. En avant d’un arc diaphragme, les cinq premières travées formant nef s’ouvrent au nord sur un bas-côté par de grandes arcades entre piliers ronds. L’un de ces piliers porte les armes de Gérard Lecoq, seigneur de La Houssaye, commanditaire de la reconstruction du début du XVIe siècle. Ce bas-côté précède une chapelle qui forme un pseudo-transept avec la chapelle sud. Le bas-côté, le chœur et la chapelle nord sont voûtés respectivement d’arêtes et d’ogives avec des clés sculptées dans le chœur. La nef est couverte d’une fausse voûte en plâtre sur laquelle se détachent les entraits et les poinçons sculptés. Les chapiteaux des piliers présentent également des décors de crochets, de blason et de personnages. L’église conserve des éléments mobiliers intéressants : le vitrail représentant une Crucifixion (cl. M.H. 1906) dans l’oculus de la baie du chœur date du XVIe siècle ; la chaire (cl. M.H. 1906) a sans doute été composée au XIXe s., mais les panneaux qui forment la cuve ont été sculptés également au XVIe s., comme les statues en bois de saint Nicolas et saint Blaise (cl. M.H. 1905) au maître-autel et une pierre tombale à effigies datée 1513. Polychromes à l’origine, mais revêtues d’un badigeon blanc, les trois statues en bois du XVIIe s. (I.S.M.H. 1979) qui composent une Crucifixion – Christ en croix entouré de la Vierge et de saint Jean – sont disposées dans la nef au-dessus de la tribune.  Des tableaux religieux du XVIIe s., peints sur cuivre, ont vraisemblablement été offerts par des châtelains, tout comme les bancs richement sculptés qui occupent la chapelle seigneuriale. Dans le bas-côté nord se trouve la dalle funéraire (cl. M.H. 1906) du général Augereau, décédé en 1816 alors qu’il était propriétaire du château de La Houssaye (reconstruit au début du XVIIe s. par un descendant de Jean Bureau, trésorier de France, maître de l’artillerie de Charles VII). Enfin, autre présence seigneuriale dans l’église, un vestige de litre funéraire – lion sur fond de gueules – d’un seigneur du lieu non identifié. Chantal Waltisperger. https://www.sauvegardeartfrancais.fr/projets/houssaye-en-brie-la-eglise-saint-nicolas-saint-blaise/]. Laissons les ruelles sur la droite et poursuivons par la rue des Charmilles, nous longeons le parc du château et le parking du centre d’affaire, poursuivons en traversant le quartier pavillonnaires, nous débouchons sur une rue formant Té, vous pouvez comme la trace poursuivre sur la gauche la rue des Charmilles, ou prendre à droite la rue des Ormes qui débouchera après un virage à gauche dans la rue des Charmilles, qu’il faudra prendre à droite. Nous retrouvons la D 143 E que nous prenons à gauche (rue de Bussière), traversons au feu tricolore, la D 216 et poursuivons en face par la rue de Chanterie en direction de Coutevroult, Gretz, Tournant, Neufmoutiers, traversons la zone pavillonnaires, nous arrivons au carrefour avec la rue (chemin des Marnières), que nous prenons à gauche. A la fourche laissons sur la droite la rue (chemin de la Ruette) poursuivons à gauche. Les maisons s’espaces un peu avant de ce densifier à nouveau, nous traversons le hameau de Gonnière. Traversons la D 436 et poursuivons en face par la C 7 en direction de Neufmoutiers. Nous retrouvons la campagne, coupons la N 36, poursuivons par le bitume en face, après quelques virages, nous longeons la ferme de la Ronce, et arrivons devant un espace boisé, dans le virage de la route. Nous abandonnons le bitume et prenons le chemin sur la droite. Traversons les champs. Nous débouchons sur un chemin formant Té à l’angle d’un bois, prenons à gauche, nous trouvons un nouveau chemin formant Té que nous prenons également sur la gauche pour prendre ensuite le chemin sur la droite. Nous longeons une ligne électrique. Nous longeons la lisière d’un bois, traversons le ru de la Marsange  et pénétrons dans le Bois de la Mare Bazine, le chemin est très herbeux et ronceux. C’est l’extrémité de la Foret de Crécy [La Forêt de Crécy la Chapelle. Ce massif forestier est un vestige de l’immense forêt de Brie. Forêt royale dès 1400, devenue bien national à la Révolution. Massif forestier de plus de 3 000 hectares dont 1 187 hectares de forêt domaniale. située sur le plateau de la Brie. Elle est plate, avec des points hauts à 133 mètres et des points bas à 112 mètres. De manière générale l'altitude est plus élevée dans le nord et s'abaisse en allant vers le sud et le sud-ouest. Elle constitue la partie centrale de l'ancien massif couvrant la Brie occidentale comprenant les forêts de Ferrières, Armainvilliers, Notre-Dame, Malvoisine, etc. Elle se situe entre les forêts de Ferrières et d'Armainvilliers à l'ouest et la forêt de Malvoisine à l'est dont elle est séparée par la trouée d'Hautefeuille. La forêt se situe sur la ligne de partage des eaux entre les affluents de l'Yerres et les affluents du Grand Morin. La Marsange et le Bréon, affluents de l'Yerres y prennent leur source. Le ru des Tournelles (Yerres) traverse l'extrémité orientale du massif forestier. La partie domaniale de la forêt de Crécy se situe dans la partie occidentale, composée de deux parties non contiguës, la principale autour du carrefour de l'Obélisque et une annexe au nord du carrefour de la Croix de Tigeaux. La forme de la forêt domaniale est le résultat des acquisitions progressives réalisées par l’État. Environ les deux tiers de la forêt se compose de parcelles privées, sur lesquelles se trouvent quelques rares maisons isolées. La forêt se subdivise en de nombreux bois : le Parc aux Bœuf, le bois du Prince, les Grands Buissons, bois Saint-Denis, bois de la Hupière, les Brindelles, bois de Fauvinet, bois de l'Épine, bois de la Malmaison, bois d'Hautefeuille, etc. Le bois de Mandegris, situé au sud-ouest à Favières à proximité de la forêt de Ferrières peut être considéré comme une annexe de la forêt de Crécy du fait de la continuité territoriale existante. Jadis, la forêt de Crécy faisait partie intégrante de la vaste Brigia Sylva qui regroupait entre autres les actuelles forêts voisines de Malvoisine, de Ferrières, d'Armainvilliers, de Notre-Dame et de Coubert. La forêt fut située au Moyen Âge jusqu'en 1305 à la limite du domaine royal et du comté de Champagne. Villeneuve-le-Comte fut créé au XIIe siècle au milieu d'une zone de défrichement par le comte de Champagne pour marquer la limite de son territoire. Forêt royale dès 1400, elle fut vendue par Louis XIII. Au XVIIIe siècle, la forêt est un domaine de chasse percé de multiples routes rectilignes, l'obélisque de Villeneuve-le-Comte est érigé en 1735 pour commémorer la rencontre de Louis XV et du duc de Brandebourg dans le rendez-vous de chasse situé à proximité. Devenue bien national à la Révolution française, elle est ensuite revendue à de nombreux propriétaires. La forêt de Crécy est demeurée jusqu'à la Révolution française à la limite de la Brie française et de la Brie champenoise. Wikipédia]. Nous débouchons sur la petite route faisant la liaisons entre Neufmoutiers et les écuries EDB pôles dédiés au cheval. Laissons le bitume, prenons le chemin (route pavée) sur la droite GR14, le chemin débouche sur un autre formant patte d’oie, prenons à droite, traversons le ru de la Marsange, puis le chemin des Quatre Arches. Suivons le GR. Sur cette longue route, nous avons en 2022 une parcelle en régénération dont les bords sont ronceux, nous y trouvons une borne, il me semble, mais je ne peux m'approcher, que la fleure de lys indiquant une route royale est remplacé par l'esquisse d'un bonnet phrygien. Je n'ai rien trouvé sur internet. Nous coupons le Route de Penthièvre (parcelles 21-10) rencontrons le Gr 1 venant de droite poursuivons le Gr 14 et le Gr 1, tout droit et arrivons à l’obélisque, étoile des D 231 et N36 [Dit Obélisque de Villeneuve-le-Comte, située dans la forêt de Crècy (sur les communes de Villeneuve-le-Comte et Dammartin-sur-Tigeaux). C’est donc Louis XV qui le fit ériger en 1735 pour commémorer sa rencontre avec le Duc de Brandebourg. ll ordonne à Alexandre Lefèvre de la Faluère, alors grand maître des eaux et forêts, de remplacer un calvaire existant à la croisée de trois chemins au centre de la forêt. "L’architecte, dont le nom est inconnu, avait fait graver sur une des faces un sceptre représentant le roi, sur une autre face une main représentant la justice, sur la troisième face un carquois pour la chasse et sur la dernière une inscription latine surmontée d’un chêne en bas relief pour représenter la forêt. La traduction proposée par Robert Martin, professeur honoraire et secrétaire général de la Société littéraire et historique de la Brie : « appelle la demeure de Diane Ce bois paré digne de la Déesse Et plus approprié au commerce Accédant au désir de l'acheteur Il donne la sortie aux troncs achetés Leur évitant ainsi des dommages impunis. » En voici une autre traduction : « C'est un appel au cortège de Diane Que le bois bien taillé, digne de la déesse Et bien apte au commerce Il s'ouvre selon le souhait de l'acheteur Et donne aux arbres achetés Un moyen d'échapper aux ruses impunies Qu'il interdit ». (c'est-à-dire qu'on ne peut pas sortir en fraude des arbres achetés par un autre). Seul ce dernier à la révolution, a été épargné par les vandales. Cette colonne d’environ 15 mètres de haut est surmontée par un ouvrage représentant la foudre tombant sur un globe terrestre et est ceinturée par douze bornes." (source 1 / les Amis de la Houssaye). Le blog de flickr nous mets en garde ; L’architecte qui a conçu ce monument se serait-il un peu moqué de Louis XV en faisant ériger à son sommet la représentation symbolique d’une thèse défendue depuis la nuit des temps par les doctes alchimistes : celle de la suprême tribulation, la fin du monde. L’obélisque est référencé dans un ouvrage publié en 1930 par Fulcaneli, intitulé: « les deumeures philosophales ». Fulcanelli est un alchimiste de renom. Il est né 1839 (2) on ne connait pas la date de sa disparition. Pour tout vous dire, il serait toujours vivant vu qu’il aurait percé le secret de la pierre plilosophale ou plutôt celui de la vie éternelle. Ecartez donc les enfants de l’écran d’ordinateur, ce que je vais vous raconter n’est pas pour eux. L’obélisque de la forêt de Crécy serait un monument porteur d’une terrible symbolique , un monument essentiel pour les amateurs d’ésotérisme et passionnés d’alchimie. Car que doit-on voir au sommet de l’obélisque ? Un simple globe terrestre frappé par la foudre ? Le profane s’arrête à cette simple observation, mais l’initié y distingue un bien sombre présage. Au premier abord, vu d’en bas, nous distinguons une boule : c’est en fait un globe terrestre dont le pôle nord est dirigé vers le haut et le pôle sud vers le bas. Jusque là, rien d’extraordinaire. Au-dessus du globe trois zig-zags symbolisent clairement la foudre. Mais regardez bien : la foudre s’abat-elle sur la terre comme écrit plus haut ? Ou ne s’échapperait-t-elle pas de la terre ? Voici une première interrogation qui m’amène à vous parler de l’interprétation de Fulcanelli et qui nous donne une toute nouvelle vision de notre obélisque. Oui, il s’agit bien du globe terrestre. Il est supporté par un décor qui représente des vagues, celles des océans qui sont là pour suggérer un déferlement des eaux sur les terres émergées. Au sommet du globe, nous retrouvons bien des éclairs qui illuminent le ciel, mais ces éclairs partent de la terre témoignant en fait d’un grand bouleversement à la surface du globe. Mais le plus intéressant en termes de symbolisme réside dans ces deux terminaisons curieuses, sortes de serpentins entrelacés, présentant une forme hélicoïdale qui s’élargit en allant vers le ciel. Ces deux hélices symboliseraient, et décriraient même, la course apparente du soleil, vue de la terre, une fois le grand cataclysme survenu. Je vais tenté de vous expliquer la situation. Sursaturé en ondes de toutes sortes du côté de son hémisphère nord, perturbée par le passage d’une planète ou d’une comète (se référer aux prédictions de Nostradamus), la terre va voir son axe de rotation brutalement s’incliner d’un quart de tour. Elle s’incline donc franchement, pour placer son pôle nord au Zénith du soleil, alignant son axe de rotation habituel «nord-sud » sur une ligne imaginaire reliant la terre au soleil. Le pôle « sud », toujours à l’opposé du pôle nord, ne reçoit plus la lumière du soleil, l’hémisphère sud est plongé dans une nuit permanente. A l’opposé, c’est le jour continu au nord. Surexposée au soleil, la banquise fond en moins de deux (version ancienne du réchauffement climatique ?). Le niveau des océans monte, les terres sont submergées … c’est enfin le déluge qui contrairement à la croyance populaire habituelle, ne s’est pas encore produit à l’heure où j’écris cet article. Les hélices de notre obélisque dans tout cela ? Imaginez un istant que vous ayez survêcu quelques temps à la catastrophe (je pense par exemple à Korie qui dispose d'un stock importantde crèmes solaires dans la réserve de son magasin), vous voila au pied de l’obélisque observant le soleil toujours très haut dans le ciel … En une journée vous décrivez avec le point de terre qui vous supporte, un cercle complet autour du nouvel axe terre/soleil. Comme la terre continue de tourner autour du soleil, selon une trajectoire elliptique, la course du soleil dans le temps, vue de la terre, prend la forme d’une hélice. On compte ainsi une hélice aller et une hélice retour entre deux solstices, car la terre s’éloigne puis se rapproche du soleil.C’est exactement ces tracés qui sont décrits au sommet de l’obélisque. L’obélisque est référencé dans un ouvrage publié en 1930 par Fulcaneli, intitulé: « les deumeures philosophales ». Fulcanelli est un alchimiste de renom. Il est né 1839 (2) on ne connait pas la date de sa disparition. Pour tout vous dire, il serait toujours vivant vu qu’il aurait percé le secret de la pierre plilosophale ou plutôt celui de la vie éternelle. Ecartez donc les enfants de l’écran d’ordinateur, ce que je vais vous raconter n’est pas pour eux. L’obélisque de la forêt de Crécy serait un monument porteur d’une terrible symbolique , un monument essentiel pour les amateurs d’ésotérisme et passionnés d’alchimie. Car que doit-on voir au sommet de l’obélisque ? Un simple globe terrestre frappé par la foudre ? Le profane s’arrête à cette simple observation, mais l’initié y distingue un bien sombre présage. Au premier abord, vu d’en bas, nous distinguons une boule : c’est en fait un globe terrestre dont le pôle nord est dirigé vers le haut et le pôle sud vers le bas. Jusque là, rien d’extraordinaire. Au-dessus du globe trois zig-zags symbolisent clairement la foudre. Mais regardez bien : la foudre s’abat-elle sur la terre comme écrit plus haut ? Ou ne s’échapperait-t-elle pas de la terre ? Voici une première interrogation qui m’amène à vous parler de l’interprétation de Fulcanelli et qui nous donne une toute nouvelle vision de notre obélisque. Oui, il s’agit bien du globe terrestre. Il est supporté par un décor qui représente des vagues, celles des océans qui sont là pour suggérer un déferlement des eaux sur les terres émergées. Au sommet du globe, nous retrouvons bien des éclairs qui illuminent le ciel, mais ces éclairs partent de la terre témoignant en fait d’un grand bouleversement à la surface du globe. Mais le plus intéressant en termes de symbolisme réside dans ces deux terminaisons curieuses, sortes de serpentins entrelacés, présentant une forme hélicoïdale qui s’élargit en allant vers le ciel. Ces deux hélices symboliseraient, et décriraient même, la course apparente du soleil, vue de la terre, une fois le grand cataclysme survenu. Je vais tenté de vous expliquer la situation. Sursaturé en ondes de toutes sortes du côté de son hémisphère nord, perturbée par le passage d’une planète ou d’une comète (se référer aux prédictions de Nostradamus), la terre va voir son axe de rotation brutalement s’incliner d’un quart de tour. Elle s’incline donc franchement, pour placer son pôle nord au Zénith du soleil, alignant son axe de rotation habituel «nord-sud » sur une ligne imaginaire reliant la terre au soleil. Le pôle « sud », toujours à l’opposé du pôle nord, ne reçoit plus la lumière du soleil, l’hémisphère sud est plongé dans une nuit permanente. A l’opposé, c’est le jour continu au nord. Surexposée au soleil, la banquise fond en moins de deux (version ancienne du réchauffement climatique ?). Le niveau des océans monte, les terres sont submergées … c’est enfin le déluge qui contrairement à la croyance populaire habituelle, ne s’est pas encore produit à l’heure où j’écris cet article. Les hélices de notre obélisque dans tout cela ? Imaginez un istant que vous ayez survêcu quelques temps à la catastrophe (je pense par exemple à Korie qui dispose d'un stock importantde crèmes solaires dans la réserve de son magasin), vous voila au pied de l’obélisque observant le soleil toujours très haut dans le ciel … En une journée vous décrivez avec le point de terre qui vous supporte, un cercle complet autour du nouvel axe terre/soleil. Comme la terre continue de tourner autour du soleil, selon une trajectoire elliptique, la course du soleil dans le temps, vue de la terre, prend la forme d’une hélice. On compte ainsi une hélice aller et une hélice retour entre deux solstices, car la terre s’éloigne puis se rapproche du soleil. C’est exactement ces tracés qui sont décrits au sommet de l’obélisque. Je ne suis pas certain d’avoir bien compris les explications que j’ai pu lire, ni d’avoir été très clair dans mon exposé. Quoiqu’il en soit, il faut retenir de tout cela que ce sera catastrophique. La fin du monde vue par les alchimistes, ce ne sera pas très beau à voir. https://www.flickr.com/photos/73553452@N00/2840756891. Je remercie Le Blog de Flickr pour ses explications. Je me serais certainement limité aux descriptions de wikipédia. Mais j’aime bien les petites histoires, c’est ce qui apporte une autre vision, sur la grande Histoire. Ce qui est drôle, « ce n’est pas le mot juste» j’ai également une autre version toute personnelle pour la représentation du sommet de la colonne. J’écris cet article en février 2022. Durant la période troublée n’ont plus par le covid, les journaux ne nous en parlent plus, terminé le virus, Terminé le nombre de morts par jour, terminer le nombre d’hospitalisations. Je dirais OUF, enfin terminé tout ses spécialistes qui se contredisaient journellement, terminé les contraintes dont on ne comprenait pas pour certaine les tenants et aboutissants. Non, non… Au non, on a pas encore trouvé le bon vaccin permettant l’immunité, oui, le virus est toujours dans l’air. Mais il y a plus grave. Il y a la guerre en Europe, entre la Russie et l’Ukraine. L’Europe réagie, ce qui importune le président Russe qui menace d’utiliser l’arme atomique. Tout le monde pense que cela ne restera qu’une menace. Mais un jour, un jour peut être qu’un dictateur, n’ importe où dans le monde, pris d’une frénésie malsaine, histoire de prouver qu’il est le plus fort, qu’il sera le dernier à avoir raison, appuiera sur le bouton. Je trouve que la représentation au dessus du globe annonce cette apocalypse…  L’éclaire de l’explosion, je ne vois plus l’eau submergeant la terre, mais le feu suivant l’explosion de l’atome, et les hélices la disparition de la terre dans l’espace, sans retour. Nous sommes bien trop bêtes pour un retour.]. Traversons avec prudence le rond point et poursuivons la route du pavée le long d’une ancienne construction plus ou moins à l’abandon lors de mon passage. après avoir passé un tas d'immondices, dépassons la barrière et poursuivons en foret. Ensuite je fais un grand détour, détour qui permet uniquement une meilleur connaissance de la foret de Crécy et évite de faire le même chemin que lors d’une promenade précédente. (J’ai moins bien construit mes itinéraires, et repasse parfois deux fois sur de long trajet déjà parcouru.) Quittons les GR au carrefour des parcelles 44-46-48-54, c’est un chemin qui en 2022 est en cour de stabilisation, je patauge beaucoup. Foret giboyeuse, j'ai eu la chance de voir un chevreuil et une famille de sangliers. Puis j’ai un tas de cailloux assez long à franchir, avant de patauger dans les traces des engins permettant la stabilisation du terrain. Je ne pense même pas à sortir du chemin la parcelle étant aussi humide que le chemin. Au carrefour des trois mares (parcelle 38), je prends le chemin de droite pour couper mon itinéraire trouvant que j’avais suffisamment de boue autour des semelles, je retrouve un chemin en cour de stabilisation. Le chemin que je voulais prendre pour rejoindre ma trace en traversant le Bois de Saint Avoye est impraticable, clôturé par un semblant de grillage, le seul qui me reste me semblent acceptable c’est celui de gauche formant un angle aigu avec celui que j’ai pris, et me faisant revenir sur mes pas. Je suppose qu’avec une année moins pluvieuse les chemins sont beaucoup plus praticables. Au carrefour (cote 126) parcelles 36-35 je retrouve mon chemin que je prends à droite, jusqu’à l’angle de la parcelle 34. Prenons le chemin de gauche et au carrefour avec les parcelles 33-34 (cote 128). Prenons le chemin de droite, nous suivons le grillage, et débouchons sur la D21. Prenons la petite route bordée de profonds fossés sur la droite. Attention pas beaucoup de place pour le piéton. La foret s’éclaircie, nous sortons de cette dernière et longeons le mur du château de Bellevue, du (XIXe siècle), situé sur le coteau de la vallée, doit son nom de la belle perspective sur l’un des méandres de la rivière. A l’angle de la prairie nous rencontrons un balisage jaune et vert. Descendons la rue de la foret, quittons le balisage jaune et vert qui nous fait faire un crochet par le Grand Bréhal qui n’apporte rien à la promenade et poursuivons le bitume avec un petit trottoir le long des propriétés. Nous avons une belle vue sur le coteau. Avant le carrefour avec la D 21 prenons sur la droite la voie sans issu de Saint fiacre, nous sommes sur un balisage jaune (moulins et châteaux du Grand Morin). Nous longeons quelques maisons isolées, le paysage est légèrement vallonné. Notre rue devient chemin, nous sommes sur le flanc d’un vallon avec une vue agréable sur la campagne. Après une très longue clôture, nous arrivons à un carrefour assez vaste au pied de la colline. Laissons le chemin de gauche descendant dans les champs, poursuivons le balisage tout droit le long de la lisière du Bois de Sainte Avoye. Je m’aperçois que cette partie de la foret est privée et que les rares chemins disposent d’un panneau circulaire rouge nous interdisant l’accès. J’ai eu raisons de ne pas forcé le passage de l’autre coté ou il me semble ne pas avoir vu de panneau, mais il y avait un grillage en mauvais état. Poursuivons notre chemin balisé plus ou moins en bordure de l’orée du bois. La fois précédente le chemin était plus facile, le nord de la Seine et Marne à subit une petite tornade qui à provoquer pas mal de dégâts, on en voit aujourd'hui les stigmates. Passons un pont au dessus des rus de l’Etang et de la foret. Nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à gauche, nous retrouvons le GR1 et 14 que nous prenons à gauche, nous sommes dans les champs. (Après la pyramide nous aurions pu poursuivre les GR cela coupe environ une heure du parcours). Nous descendons au cœur du vallon, et apercevons, une grange et des serres, laissons un chemin sur la droite, et prenons sur ce qui semble être une route, à la droite également. (GR et balisage jaune). Nous grimpons, le coteau. Dans le virage de la route, à l’angle d’une propriété des gens du voyage sédentaires, les GR ce divisent et c’est mal indiqué. Le GR 14 poursuis le bitume, le GR 1 prend le chemin de gauche. Prenons ce dernier, c’est également le balisage jaune. Nous passons sous la ligne SNCF, le chemin est difficile, poursuivons en lisière du bois, jusqu’à la D 20E1, que nous prenons à gauche. Passons une maison isolé. Je suis fatigué. Au lieu de suivre le GR 1 et le balisage jaune, partant sur la gauche à l’angle du bois et du champ, par un chemin herbeux qui me semble pas très praticable, je poursuis la route de Morcerf. Nous avons une belle vue sur la vallée du Grand Morin. Sur la gauche je remarque un drôle de pont, on a l’impression d’avoir deux ponts l’un sur l’autre, le second reposant sur les culées du premier. Prenons le chemin sur la droite. (Si vous avez suivi le GR et le balisage jaune vous coupez la route). Nous retrouvons le GR et le balisage jaune. Coupons la D 20, poursuivons en face, longeons la lisière du bois puis nous le traversons, nous débouchons sur un chemin formant Té et prenons à gauche. Nous longeons la lisière du bois, laissons un chemin sur la droite, nous arrivons sur un carrefour en forme de patte d’oie, prenons à droite. Entrons dans le bois. Prenons le chemin de gauche (si l’on poursuit tout droit nous serions dans un cul de sac.) Traversons la ligne de chemin de fer et poursuivons en prenant le chemin de la Malmaison sur la droite, nous débouchons sur la route de Prémol. Abandonnons le GR 1, prenons à droite, longeons la grosse ferme de Prémol, avec ses portes fermer nous avons l’impression de passer devant une ferme fortifiée. Nous sommes sur le balisage jaune. Apres la ferme nous prenons la route de droite et passons sous ce drôle de pont, avec deux tabliers c’est la route des Courbes ce qui est étonnant c’est que ce tablier ne fait pas la totalité du pont. Nous sommes sur un chemin bitumé peut large, traversons un bois de charmilles, alternant avec des prairies. Nous arrivons à Genevray. Entrons dans le cœur du village. Au carrefour formant Té prenons à droite (balisage jaune), la rue tourne sur la gauche, coupons la D 20E et poursuivons en face par la rue d’En Haut. Nous arrivons à un carrefour formant Té avec le chemin du Tremblay. Faisons un esse,  gauche et une cinquantaine de mètre plus loin à droite la rue verte. Nous entrons dans une sorte de cour, s'étirant sur la gauche, longeons les maisons et poursuivons par un chemin partant dans les champs et les bois. Sur les cartes ce chemin se nomme toujours rue verte, nous avons une alternance de champs ou prairie et de bois. Nous arrivons à un carrefour, prenons à droite le large chemin. (Si vous poursuivez à gauche la branche du balisage jaune vous couperez la D 20a et rejoindrez la gare de la ligne P Guérard, La celle sur Morin). Laissons une patte d’oie sur la gauche et entrons dans un bois. Notre chemin tourne sur la droite, et sort du bois. Nous sommes dans les champs et normalement sur un balisage jaune. Nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à gauche. Dépassons une antenne relais et débouchons sur la D 20a. Aux premières maisons du hameau des Roches, nous prenons la rue de droite. Nous sommes toujours sur le balisage jaune. Quittons un peut plus loin le balisage, lorsqu’il remonte sur la droite pour contourner le village. Poursuivons la Rue Grande, en direction de la Mairie et de l’église, un arrêt de bus nous informe que nous sommes dans le village de La Celle en Haut centre. Nous prenons à gauche la rue Pisserotte (Le poteau bus est moderne en plastique, mais l’abri est accolé à la maison et ressemble à un appentis protégeant une descente de cave. Nous retrouvons notre balisage jaune que nous avion abandonné à l’entrée du village. Descendons la rue, elle fait fourche prenons à gauche (sans issu). De bitume nous passons à chemin, franchissons la barrière. Après un virage nous passons sous la ligne SNCF et retrouvons le bitume. A tort je ne prends pas le balisage jaune sur la gauche me faisant revenir sur mes pas. (J’ai mal étudié la carte j’aurais dû prendre le chemin des roches.) Je poursuis le bitume sur la droite. Je débouche rue d’En Bas. Je me rends compte que j’ai déjà fait ce parcours et essaie de m’en sortir par un nouveau chemin, je passe tout de même à l’église en prenant à gauche la rue du Presbytère [L'église Saint-Sulpice de La Celle-sur-Morin (aussi Saint-Sulpice de la Celle-en-Bas). dédiée à saint Sulpice, l'évêque de Bourges au VIe siècle, a été bâtie au XIIe siècle dans le style roman et restaurée au XVIe siècle.  dédiée à saint Sulpice, l'évêque de Bourges au VIe siècle, a été bâtie au XIIe siècle dans le style roman et restaurée au XVIe siècle. Le nom de la Celle fait référence au monastère qui a été fondé vers le VIIe siècle sur l'île du Grand Morin à La Celle en Bas à l'emplacement du tombeau de l'ermit saint Blandin de Meaux. Comme tous les monastères, il a été fermé pendant la Revolution de 1789, rien ne s'est conservé des bâtiments monastiques. Au centre de la façade occidentale s'ouvre un portail en arc surbaissé, en dessus est percée une baie ogivale et au niveau des bas-côtés s'ouvrent des fenêtres en plein cintre sur l’intérieur. Les murs latéraux sont percés de six baies également en plein cintre. Au faîte de la toiture est placé un clocheton carré, son toit en pyramide est couvert d'ardoises. À part le mur du bas-côté nord, tous les murs extérieurs sont renforcés par des contreforts à ressauts qui datent du XIIe siècle. Le chevet plat est ouvert de deux petites baies latérales et d'une grande baie en plein cintre au milieu. Cette baie à quatre lancettes et un remplage de deux quadrilobes et quatre arcs trilobés a été aménagée lors d'une restauration de l'église au XVIe siècle. L'intérieur de l'église est composé d'une nef de quatre travées, flanquée de deux collatéraux, et d'un chœur de deux travées se terminant par un chevet plat. Les deux travées du chœur ont toujours gardé leurs voûtes sur croisées d'ogives d'origine. En 1946, on a installé dans la grande baie Renaissance du chevet un vitrail représentant des scènes de la vie du Christ . L'église possède des vitraux du XIXe et du XXe siècle. Les verrières sur lesquelles sont représentés saint Blaise, l'un des saints auxiliateurs, Blandin de Meaux, un ermite du VIIe siècle et saint Sulpice, le patron de l'église, sont signées « LÉVÊQUE à Beauvais », sur la verrière de saint Blaise on peut aussi lire l'année 1868. D'autres vitraux représentent sainte Fare, fondatrice et abbesse de l'abbaye de Faremoutiers, saint Roch de Montpellier, la Vierge à l'enfant et saint Joseph. Sur la grande verrière du chœur, à quatre lancettes, sont représentées l'Annonciation, l'Adoration des mages, la Présentation de Jésus au Temple et la Cène. Le vitrail porte la date 1946. Wikipédia. Dommage l’église est fermé comme toute les églises d’Ile de France]. Descendons la rue devant le parvis, elle est bordée d’un ruisseau faisant quelques minuscules cascades sur les pierres, mais c’est très agréable à entendre. Nous retrouvons le balisage jaune. Remarquez plus bas une grosse bâtisse en briques. Descendons la rue des roches, nous débouchons de nouveau dans la rue du D’En Bas que nous prenons à gauche. Nous arrivons à cette grosse bâtisse en brique protégé par une courette et un haut mur, c’est l’ancien moulin de La Celle sur Morin devenu le siège d’une société d’administration d’immeubles. Prenons la rue du Grand Morin passons le pont. Le Moulin à perdu sa roue. Le Morin se divise ici en plusieurs bras formant des iles ombragées dont l’une est accessible aux publics et ou il doit faire bon d’y faire une pose. Malheureusement le train n’attend pas. Revenons sur nos pas, reprenons sur la gauche la Rue d’En Bas en direction de l’église et de La Celle d’En Haut, puis à gauche la route C3 en direction du Bertrand et de Tresmes, nous longeons le Grand Morin [sous-affluent de la Seine par la Marne. Il est couramment admis que les sources du Grand Morin se situent sur la commune de Lachy. Un petit cours d'eau nommé « Ruisseau de l'étang de la Morelle » relie les étangs de la Morelle aux sources du Grand Morin. SANDRE localise néanmoins la source du Grand Morin au niveau des étangs de la Morelle, sur la commune de La Villeneuve-lès-Charleville. Le Grand Morin se jette 118,2 kilomètres1 plus loin dans la rivière Marne à Condé-Sainte-Libiaire (à l'est de Marne-la-Vallée). Un bras moins important conflue avec la Marne plus en aval, en limite séparative des communes de Lesches et Esbly, les deux bras et la Marne formant ainsi l'« île de Condé ». C'est la plus grande rivière après la Marne, de la région naturelle de la Brie, avec son jumeau septentrional le Petit Morin (débit moyen moitié moindre de celui du Grand Morin). Topographiquement, sur ses 120 km de parcours, le Grand Morin commence à 185 mètres d'altitude à sa source en région Grand Est, pour finir à 44 mètres d'altitude à son confluent en Île-de-France. (la pente naturelle varie de 1 à 2 % seulement) ; les seules chutes sont dues aux ouvrages anthropiques (seuils de retenues de moulins), aux dénivelés du reste très modérés et en pente douce. En toponymie, l'origine du mot "Grand Morin" ne fait pas l'objet d'un consensus scientifique, et plusieurs hypothèses philologiques ont été avancées, dont deux principales. Pour certains, comme Paul Bailly les toponymes Morin et Mœurs désignent un marais, du mot More qui signifie "marais" en celtique gaulois. Pour d'autres, comme Auguste Longnon, Morin viendrait du lot Mucra, déformation du latin (au IXe siècle, le Grand Morin se nomme Mogra, puis au XIIIe siècle Mucra). dans les variantes modernes, on trouve aussi l'orthographe "Morain" sous l'Ancien Régime). Wikipédia.]. Poursuivons le long des clôtures bordant la rivière, laissons le chemin des Brosses menant au hameau du même nom. Poursuivons le bitume tout droit, le long de la rivière qui n'est plus clôturée. Nous arrivons à Courtalin par la rue des berges, au premières maisons je suis perdu. La pancarte indique Pommeuse. Je suis bien sur la C3 pas à Pommeuse, mais au hameau de Courtalin, en poursuivant la route je trouve enfin la pancarte du hameau. Nous sommes sur le balisage jaune. Poursuivons le bitume, nous passons un lavoir, les ouvertures trop prêts de la route ont été obstruées. A moins que ce ne soit pour éviter des rassemblements illicites. Longeons le site industriel [Depuis longtemps, ce site est centre d’activités. À l’époque gallo-romaine, le seigneur Chagnéric y exploite un vaste domaine agricole. Puis utilisant la force de l’eau, les moulins à farine, à huile et à papier s’y succèdent du XIIIème au XIXème siècle. À partir de 1782, Jean-Baptiste Réveillon et Étienne de Montgolfier, célèbre aérostier, y fabriquent du papier vélin de grande qualité qui mérite une distinction remise par le Roi Soleil. En 1792, la papeterie est réquisitionnée par Danton pour fabriquer des assignats. Puis on y trouve une orfèvrerie, une fonderie et une tréfilerie. De 1917 à 2006, le site de plusieurs hectares est spécialisé dans la transformation de l’aluminium. De nos jours, la réorganisation de cette activité a conduit à l’implantation d’entreprises plus diverses, telles que la réalisation de décors de théâtre, de conception de luminaires. Les lavoir de Pommeuse CODERANDO 77]. Laissons la rue du chêne gris sur la droite, puis dans le virage en angle aigu sur la gauche, nous quittons le bitume et prenons le sentier tout droit (balisage jaune. Sent du courtalin). Nous grimpons dans un bois de taillis et débouchons sur un chemin carrossable desservant des maisons. Au carrefour prenons la route de la Bilbauderie sur la gauche, nous descendons et arrivons sur l'avenue Desclercs que nous prenons a droite sur une cinquantaine de mètres, puis a droite l'avenue de la gare. C'est notre dernière grimpette avant la gare.





























 



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