jeudi 2 mai 2024

Promenade N-S&M - N° 59 Moissenay – Blandy les Tours – Bombon

La Seine et Marne des châteaux,

Je ne pensais pas refaire des promenades de la journée si proche de Melun. Je vous avais fait voyager dans ce secteur avec les petites randos comportant comme titre ‘’Que y a-t-il sur la rive droite de la Seine’’. Peut être n’avez-vous jamais ouvert cet onglet. Alors j’ai concocté quelques randos de la journée en essayant de varier les itinéraires. J’ai omis volontairement le Versailles de la Seine et Marne, « le château de Vaux le Vicomte » pour deux raisons. D’une part, on ne voit pas grand-chose derrière les hauts murs nous cachant le parc. Sur l’autre face nous ne pouvons voir que la cour d’entrée et ce n’est pas la plus séduisante vue du château, qui a bien contrarié Louis XIV. D’autre part, que se soit d’un coté ou de l’autre, de cette magnifique propriété, il faut longer des départementales à fortes circulations. Alors prenez un après midi et visiter le château, son jardin et son parc boisé, sans prendre les voitures électriques et je pense que vous serez autant fatigué qu’après une journée de marche.

Départ Moissenay

Pour si rendre ; De Melun prendre la D 408 direction A 5 (Troyes) Provins, Nangis, Maincy. Au premier rond point prendre à gauche Maincy.

Ou, toujours de Melun prendre la D 636 direction Meaux, Coulommiers, Rubelles, Vaux le Vicomte. Au premier rond point à droite la D direction Vaux le Pénil, Maincy D 82e2.

Nous trouvons un petit parking place de l’église.

 

 Carte OpenStreetMap            Trace GPS & Topo sans Commentaires       Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b298279

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Km     Temps     Arrêt      V/d     V/g     Dénivelé

28       4h50       20 mn     6,0      5,4        141 +

 

Nous trouvons un petit chemin le long du bas coté gauche de l’église, [L'église Saint-Martin, construite aux XIIe et XIIIe siècles, possède la particularité d'avoir le seul clocher de Seine-et-Marne tout en pierres appareillées. Wikipédia]. Nous débouchons rue de l’Enfer que nous prenons à droite, puis à gauche la rue Grande, nous arrivons au croisement avec la route de Courtry, nous faisons un esse droite – gauche et prenons la rue des Eglantiers, à une fourche prenons un peu à  gauche la rue des Coutures. Nous arrivons au carrefour faisant Té avec le notre, nous prenons à gauche, la rue du centre (nous sommes au petit Moissenay). A la première fourche nous prenons à droite la rue de Blandy (balisage jaune), et à la seconde la rue (impasse) de la Fontaine Minard également à droite. De rue nous passons à chemin, longeons un lavoir. Nous traversons un bois, puis un champ, et de nouveau un bois (nous sommes sur le balisage jaune), le chemin fait fourche nous prenons à gauche. Nous débouchons sur un chemin carrossable et faisons un esse droite - gauche, c’est un tout petit esse, nous prenons pratiquement en face le long d’une haie d’arbre. On se dirige vers la ligne TGV et l’autoroute A5, passons sous les infrastructures, le chemin fait fourche, nous prenons à droite, longeons un bois, le chemin tourne brusquement à gauche et continue le long du bois, puis dans les champs, nous apercevons les tours en poivrières du château se découpent dans le ciel. Sur la carte nous avons un chemin nous permettant de couper le crochet par la route, mais sur le terrain le chemin n’existe plus, c’est une belle pâture avec des chevaux (du moins lors de mon passage.) Nous débouchons sur la route, prenons deux fois à droite. Passons le ru d’Ancoeuil [Le ru d'Ancoeur (ou Ancoeuil ?  suivant les cartes.) Prend sa source sur le territoire de la commune de Bailly-Carrois à une altitude de 125 m. De sa source, il s'écoule sur une trentaine de kilomètres et prend le nom d'Ancoeuil sur la commune de Moisenay avant de se jeter dans le bassin de la Poêle du château de Vaux-le-Vicomte. À la sortie de ce bassin, le ru d'Ancoeuil devient « l'Almont » et se jette 5 km en aval dans la Seine à Melun https://www.fdc77.fr/curieux-de-nature/les-panneaux-du-sentier-de-breau/au-bord-du-ru-dancoeur/ Un parcours compliqué. C’est un ru qui change trois fois de nom (voir quatre) Courtenain – Ancoeuil ou Ancoeur– Almont  sur son parcours. Elle porte le nom de ru de Courtenain de sa source à Fontenailles, puis ru d'Ancœur jusqu'au parc du château de Vaux-le-Vicomte, (sur les cartes au niveau d’Aulnoy c’est le nom d’Ancoeuil qui est indiqué sur le terrain, et c’est ce même nom que l’on retrouve sur la route de Moissenay au niveau du pont du Mée) pour devenir l’Almont jusqu'à sa confluence avec la Seine à Melun. L'Almont prend sa source sous le nom de ru de Courtenain sur le territoire de Rampillon à la limite de Nangis à une altitude de 129 mètres. Le ru contourne la ville de Nangis à l'est puis au sud, traverse la RD 201 et reçoit successivement en rive gauche les rus des Effervettes et des Vieilles Vignes. Le ru traverse la RD 12, entre dans un secteur boisé en bordeure de Fontains et La Chapelle-Rablais, et reçoit en rive droite le ru des Tanneries avant d'effectuer un coude marqué vers le nord en entrant sur le territoire de Fontenailles. Le ru traverse la RD 408 et effectue un coude marqué vers l'ouest. Le ru de Courtenain rejoint en rive gauche le ru d'Ancœur et prend alors le nom de ce dernier. Le ruisseau passe à Saint-Ouen-en-Brie en traversant la RD 29 et reçoit en rive gauche le ru de Villefermoy. Le ru d'Ancœur arrose la Chapelle-Gauthier puis Bréau, en traversant successivement la RD 57 et la RD 227. La vallée devient relativement pittoresque et sinueuse. Les ponts Napoléon, Madame et des Trayans sont remarquables tandis que le château de Bombon domine la vallée. Le ru d'Ancœur passe à Saint-Méry et reçoit le ru de la Prée. Le ruisseau devient alors le ru d'Ancœuil en entrant sur le territoire de Blandy dont le château médiéval situé au cœur du village domine la vallée. Le ruisseau traverse alors la RD 47 puis en aval en bordure du territoire de Moisenay l'autoroute A5 et la LGV Sud-Est. Le ru d'Ancœuil reçoit en rive gauche le ru de Bouisy, arrose Moisenay, reçoit le ru du Goulot en rive gauche et entre sur le territoire de Maincy au niveau du parc du château de Vaux-le-Vicomte. Le ru d'Ancœuil se jette dans le bassin de la Poële qui reçoit également le ru des Jumeaux (en amont ru d'Andy puis ru Bobée). À la sortie du bassin de la Poële, le ruisseau prend le nom d'Almont, arrose Maincy et entre à Melun en recevant le ru du Jard. L'Almont s'élargit et devient une paisible rivière passant sous la voie de contournement de Melun et arrosant le parc de Spelthorne. La rivière passe à l'est de la vieille ville et conflue avec la Seine face à l'Île Saint-Étienne à une altitude de 40 mètres. Wikipédia. (Proche de Nangis une ferme porte le même nom que le ru, ou c’est peut être l’inverse, j’ai voulu faire un circuit autour de se secteur, j’y avais vue des fermes fortifiées. La première on ma laissé passer sur le chemin carrossable, puis on a lâché le chien. Après le passage dans un bois ou la pancarte interdisait les véhicules à moteur mais pas le piéton je me suis retrouvé dans une propriété privée totalement isolé avec des caméras, il ma fallut faire un grand détour, ne voulant pas revenir en arrière et retrouver le chien qui n’avait pas l’air commode. J’ai abandonné se projet d’itinéraire. Dommage celle d’ancoeuil semblait avoir une tour moulin.] Nous passons la Fontaine Viviais (peut être un ancien abreuvoir pour les animaux rentrant des pâtures.) Les toits en poivrières du château se découpent dans le ciel au dessus des arbres, nous sommes sur le balisage jaune. Passons un bois et nous arrivons à un carrefour, prenons le chemin de gauche. De chemin carrossable nous passons à rue du Verneau, nous entrons dans Blandy les Tours [L’occupation du territoire de Blandy est bien antérieure à l’existence du château. Le site est en effet fréquenté dès la Préhistoire, puis peuplé à l’époque antique. Le nom Blandy est d’origine gallo-romaine, prenant les formes de Blanziacum en 832, Blanzi en 1209, Blandiacum en 1212 (du nom Blandius). L’histoire de Blandy est ensuite associée à celle de son château. Ce dernier est mentionné pour la première fois en 1206, il appartient alors aux vicomtes de Melun. Le village est essentiellement agricole. Louis Michelin en 1843 note dans ses essais historiques et statistiques : grains, foins, vins et bois. Quelques industries se sont développées au fil des siècles notamment l’exploitation de l’argile et de la pierre meulière. Au XXe siècle, la commune de Blandy-en-Brie prend le nom de Blandy-les-Tours. Le château permet de développer le tourisme au cours des XXe et XXIe siècles. Wikipédia] Au carrefour prenons à gauche la rue de la Fontaine. Nous débouchons face au château, avant d’en faire le tour approchons nous de la petite place triangulaire, en son centre nous y trouvons un broyeur à pomme [Le broyeur à pommes servait autrefois à broyer des fruits avant de les porter au pressoir. La meule est en grès, elle est fixée sur un axe qui était entraîné par un cheval. Longtemps situé au no 9 de la Grande Rue, il a été transféré vers 1900 sur la place du Colombier. Wikipédia] Faisons le tour du château par la place des tours que nous prenons sur la droite [Le château médiéval composé de cinq tours et d’un donjon reliés entre eux par un mur d’enceinte. Il fut construit au XIIIe siècle par le vicomte de Melun et restauré au début des années 1990. Propriété du conseil général, il a rouvert le 16 septembre 2007 après deux ans de travaux. À l’aube du XIe siècle et sous la nouvelle dynastie des capétiens, le pouvoir royal est très affaibli. À partir de 1016, le comté de Melun où se situe Blandy, appartient au domaine royal. Mais celui-ci reste exiguë et ne couvre que de façon discontinue le bassin parisien. En effet, le territoire s’émiette entre les ducs et les comtes qui font construire des châteaux sur leur terre comme symbole de leur domination. Parce qu’il est situé à la frontière avec le comté de Champagne, le comté de Melun est une position stratégique de premier ordre, et c’est pour cette raison que le Roi y place des représentants de son pouvoir, nommés les « vicomtes de Melun ». Les vicomtes Guillaume II et Adam III de Melun, descendants directs d’Adam II de Melun, compagnon d’armes de Philippe Auguste à Bouvines, seraient les bâtisseurs du château dès 1220. Ce premier édifice se réduit à un manoir fortifié et une enceinte irrégulière, flanqué de plusieurs tours : la tour Carré (porte d’entrée), la tour Nord, la tour de Justice, et la tour maîtresse (premier donjon). Au XIVe siècle, pendant la guerre de Cent Ans et grâce à des mandements successifs des Rois Charles V et Charles VI, les comtes de Tancarville Jean II et Guillaume IV réalisent les aménagements du château-fort. Le château est fortement modifié avec de nouvelles fortifications et structures de défense : le fossé est agrandi, une nouvelle tour-porte avec pont-levis à flèche est percée dans le mur d’enceinte, trois tours sont édifiés (la tour des Gardes, le nouveau Donjon, la tour des Archives), un chemin de ronde est construit en haut des courtines. Pendant deux siècles et demi après la guerre de Cent Ans, le château appartient aux plus illustres familles du royaume : ses propriétaires sont alliés aux familles d'Orléans-Longueville, de Bourbon-Soissons, de Savoie, de Nemours. La résidence est aménagée au goût de l'époque : galerie, jeu de paume, aménagements de confort, décoration des logis, jardin d'agrément. Mais le tracé de l'enceinte n'évolue pas de façon significative. Le XVIIIe siècle marque un tournant majeur dans l’histoire de Blandy cristallisé autour d’un personnage : le maréchal Claude-Louis-Hector de Villars (1652-1734). Ce dernier, élevé au rang de duc en 1705 et devant acquérir des terres pour légitimer l’accès à son nouveau rang, achète à l’héritier de la duchesse de Nemours le comté de Melun et la seigneurie de Blandy. Son nouveau titre est alors attaché aux terres de Vaux-le-Vicomte, dont il acquiert le château la même année. Du symbole d’une puissance féodale héréditaire installée depuis le Moyen Âge, Blandy devint une demeure inutile et coûteuse qui portait même ombrage par son ancienneté à l’identité nouvelle et voisine du maréchal. Dès 1707, le Maréchal transforme le château de Blandy en une simple ferme agricole. De nombreux bâtiments intérieurs sont modifiés ou détruits pour satisfaire cette nouvelle fonction. Aussi, il fait retirer les toitures des tours du château, éventrer la porte d’entrée et combler le fossé. Cependant, et malgré ces multiples transformations, on remarque une volonté de conservation : la vente des pierres aurait pu rapporter beaucoup au Maréchal de Villard, décrit à son époque comme un personnage pingre. L’édifice sera petit à petit abandonné et ses fortes détériorations vont le conduire dans un état de ruine avancée. Néanmoins, ce changement radical de fonction a permis de sauvegarder l’édifice pendant la période révolutionnaire. À l’inverse de nombreux biens aristocratiques, le château n’est pas vendu comme bien national et démantelé tant par sa silhouette et sa vocation dépourvue de tout signe de féodalité. C’est à la fin du XIXe siècle qu’il entame sa plus grande période de destruction. Racheté au comte de Choiseul-Praslin par la commune en 1883, il fut classé en 1889 au titre de monuments historiques. La suite de « la vie » et « du château » sur wikipédia] Nous arrivons devant l’église saint Maurice [À l’époque mérovingienne, le groupe paroissial est composé de deux bâtiments différents : l’église et une chapelle dont les vestiges subsistent dans la cour intérieure du château, délimités sur le sol. Cette nécropole paraît s’étendre autour de l’église. Le mur méridional montre un bel appareil en arêtes de poisson qui pourrait appartenir à un édifice mérovingien ou carolingien. On a aussi retrouvé une nécropole de 72 sépultures de jeunes enfants autour du chevet de cette chapelle située dans le château. Les parties les plus anciennes de l’église sont le clocher et la nef, qui datent du XIVe siècle. Ce clocher à quatre pans droits est caractéristique des églises briardes. Ensuite, Saint-Maurice a été agrandie au XVIe siècle par la construction d’un nouveau chœur. À cette époque, Jacqueline de Rohan, châtelaine de Blandy convertie au protestantisme, avait fait de l’église un lieu de culte pour cette nouvelle religion. En 1572, toute l’aristocratie protestante se rassembla ici pour célébrer le mariage de Marie de Clèves et d’Henri Ier, prince de Condé. Parmi les invités se trouvait Henri de Navarre, futur roi Henri IV. Marguerite est la plus grosse cloche de l’église. La première s’appelait Jacqueline, du nom de Jacqueline de Rohan, qui l’avait fait placer dans le clocher, mais elle a été fondue à la Révolution pour en faire des canons. L’église est de style gothique avec ses larges ouvertures, elle donne cette impression de lumière et d’équilibre. Elle ne possède qu’un seul bas-côté. Il n’y a pas de transept, c’est la partie près de la chaire qui devait en tenir lieu pour les cérémonies, et à ce même endroit était situé le chœur au XIVe siècle. Wikipédia] Nous en faisons le tour par la place Couturon, après le petit parking nous faisons un esse droite gauche pour prendre entre les maisons un petit chemin intra-muros entre de hauts murs, (balisage vert), nous retrouvons le balisage jaune après un chemin permettant de rejoindre le village. Le sentier fait un angle aigu, nous longeons des prairies et des jardins plus ou moins abandonnées. Après un nouveau virage en angle aigu le chemin s’élargie et descend vers le ru d’Ancoeuil que nous traversons. Abandonnons le balisage jaune et vert, tournant sur la gauche. Grimpons dans le bois de la Brosse par un petit sentier en son départ devenant par la suite un chemin. Nous arrivons aux portes du château d’Aunoy. Les légères grilles du parc, ne sont plus en état de se fermer, nous y trouvons une belle allée plantée me semble t’il de platanes. Un panneau nous interdit l’entrée.  Prenons le chemin de gauche et traversons le taillis. Nous débouchons sur un chemin que nous prenons à droite (balisage). De chemin nous passons à route et au carrefour nous prenons à droite. Passons devant le château d’Aunoy [Un précédent édifice médiéval fut ravagé par un incendie vers 1750. Le propriétaire Jean-Baptiste Chabert, un financier parisien, fit reconstruire le château, sur un autre emplacement, en l'entourant d'un parc à l'anglaise, un des premiers en France. Il a été conçu entre 1750 et 1760. C'est un jardin irrégulier, en partie en pente, orné d'une pièce d'eau avec une île, d'une grotte rustique, de fabriques (un ermitage, un obélisque, une tour, vestige de l'ancien château), d'une serre et d'une orangerie. S'y ajoutent un potager et un verger. Pour éviter un nouvel incendie, la nouvelle construction utilise des voûtes catalanes ou sarrasines, ce qui permet d'exclure le bois (aucun bois de construction, ni même de charpente) mais nécessite des murs de plus de 2 mètres d'épaisseur. Après la mort du marquis Jean-Guillaume de La Tour du Pin-Montauban en 1837, le château subit les ravages de la Bande noire, qui le dépouilla de son mobilier, sans pour autant avoir le temps de le démolir. Ahmed Ben Bella et ses compagnons de détention, ont été détenus en résidence surveillée dans le château d'Aunoy du 7 décembre 1961 au 20 mars 1962. Wikipédia] Longeons le parc du château en poursuivant la route, (balisage vert). Coupons la rue du Moulin de Chaunoy, quittons le balisage vert poursuivant en face, part un balisage jaune en direction de Saint Méry & Champeau. Nous apercevons la collégiale de Champeau, sur notre gauche, avec sa tour et son toit vert de gris en cuivre. https://randosacaudos.blogspot.com/2016/12/64-petite-promenade-que-y-t-il-sur-la.html). Nous rencontrons le GR 1 en provenance d’un chemin sur notre gauche en provenance de Champeau, nous quittons le balisage jaune et poursuivons tout droit le balisage blanc et rouge. Attention resté attentif nous prenons un chemin herbeux sur la droite descendant vers le moulin de Flagy (aucun balisage). De chemin nous passons à bitume (rue de flagy) Quittons le balisage jaune partant par un sentier sur la gauche, poursuivons le bitume, nous débouchons chemin (rue) de Bricquenet, nous arrivons à un carrefour. Laissons la rue partant vers le village de Saint Méry et prenons à droite, nous arrivons à un nouveau carrefour, poursuivons tout droit. Après une centaine de mètres nous abandonnons le GR partant sur la droite et poursuivons la route et un balisage jaune. Sur la droite un ancien puits de pétrole (du moins les pompes à balanciers ne fonctionnent plus.) nous abandonnons le bitume pour prendre le balisage jaune sur la gauche (le balisage nous l’indique.) Laissons un chemin se dirigeant vers Saint Méry, puis deux chemins se dirigeant vers des bois et descendant le vallon de l’Ancoeur, laissons également un nouveau chemin se dirigeant vers Saint Méry, nous approchons de Bombon et débouchons sur un chemin carrossable que nous prenons à droite (balisage jaune), jusqu’à la barrière. Nous abandonnons ce chemin pour prendre sur la gauche le chemin herbeux (chemin du Charnois, balisage jaune). De chemin nous passons à rue. Devant la station d’épuration le balisage prend le chemin de gauche et longe ce qui est en 2020 les limites du village de Bombon. (ce n’est pas la peine de pousser jusqu’au lavoir c’est devenu un lieu de stockage.) [En 1207 le prieuré augustinien de Notre-Dame de Tréhans, dit parfois Tréyans, situé sur la paroisse, a été donné par Pierre de Corbeil, évêque de Sens, à l'abbaye du Jard qui gagnait ainsi un revenu annuel de 700 livres tournoi. En mars 1699 (lettres patentes enregistrées en 1700) la seigneurie de Bombon est érigée en comté en faveur de Basile de Brenne de Postel. Marié à Marie-Madeleine Duret de Cevery, ils eurent pour enfant Edme-Charlotte de Brenne, comtesse de Bombon, dame du palais de la reine, mariée en 1720 à Marie-Thomas-Auguste Goyon, marquis de Matignon. En 1772, Bombon était prieuré-cure et château de l'archidiaconé et doyenné de Melun. Lénine a séjourné dans le village, avec sa mère et sa sœur, pendant l'été 1909. L'habitante qui le logeait se souvient d'un homme aimable cherchant à être agréable. Il lui a même appris à monter à bicyclette. En 1981, c'est sur la commune de Bombon qu'a été tourné le film de Jean Girault "La soupe aux choux" avec Louis de Funès, Jean Carmet et Jacques Villeret. Suite sur wikipédia]. Chemin longeant la plaine et promenade des Bombonnais, attention ou vous mettez les pieds, sinon vous risquez d’emmener avec vous quelques traces malodorantes. Nous débouchons rue de Forest à l’angle de la rue des Prés de l’hôtel. Face à nous, les bâtiments d’une grande ferme. Traversons et longeons par le petit chemin de forest le mur de la propriété. Nous débouchons rue des Brissets que nous prenons à droite. Nous arrivons rue Grande face à l’église L’église Saint-Germain de facture rustique, placée sous le patronage de Saint-Germain, évêque de Paris, est inscrite à l'inventaire des monuments historiques. Elle était à la collation de l'abbé de Chaumes. Elle fut édifiée sur l’emplacement d’une ancienne chapelle dès le XIIe siècle. Le clocher est du XVe et s’élève à 48m. L’édifice a bénéficié d’importants travaux de restauration au XVIIe. Le porche actuel date du XVIIIe. Les trois colonnes seraient issues de l’ancien prieuré vendu comme bien national après la révolution. En 1667 deux cloches furent installées et baptisées ; Louise-Félix-Basile & marie Françoise.  Un siècle plus tard la loi impose une seule cloche par église, l’église subit un incendie. Le clocher et la cloche fut restaurée et rebaptisée Sophie-Marie. Si l’église est ouverte l’intérieur mérite l’attention du visiteur. ( topo tiré du panneau d’information.) Le clocher en grès est du XVIe siècle. Avec ses 48 mètres de hauteur, il donne sa silhouette si particulière à l'église. Un auvent couvre par ailleurs l'entrée de l'édifice, dont l'escalier de grès souligne la monumentalité. Topic-topo
En 1926, une aventure survenue au curé de Bombon fit quelque bruit et engendra des chansons populaires.
L'abbé Denoyer a été flagellé le 5 janvier 1926 par une douzaine d'adeptes de la secte "Notre-Dame des Pleurs" de Bordeaux. L'affaire fit grand scandale et  une chanson sur ce fait divers fit le tour de la France. La Complainte du Curé de Bombon, créée par le chanteur marseillais Alibert se chantait sur l'air du Trompette en bois. Qu'est-c'qu'il a pris,monsieur l'curé/ Comme trempette (bis)/ Pour attendrir les conjurés/ Le martyr s'mit à murmurer/ Ne frappez pas au même endroit/ J'vous l'confesse/ Changez d'fesse/ Si vous voulez savoir pourquoi?/ C'est qu'elles ne sont pas en bois..

J’ai trouvé d’autres paroles ainsi que toute l’histoire de cette affaire sur la site  http://www.584bt.org/bombon/page-18.html cette chanson dit ceci Ils ont fouetté/ Monsieur le curé,/ Faut voir comme/ Le pauvre homme/ A le postérieur abîmé,/ Sans pitié, ils l’ont flagellé/Ces fanatiques venus sur terre/ Le frappèrent/ Lui retirant même son pantalon/ Dans l’église de Bombon. Mais vous trouverez toutes les paroles de la chanson en page 3 du site internet.] Suivons le balisage jaune en prenant la rue du moulin (Dans mon topo orale ce serait la rue des héronnières) longeons une ancienne ferme. A la fourche poursuivons sur la droite, la rue du moulin (elle ne débuterait que là) puis entre les maisons nous prenons sur la droite le sentier intra muros de la Gerbette, suivons le balisage jaune. Nous passons en extrémité de la rue du Bourg, poursuivons en face, le sentier intra-muros s’élargie, coupons la rue de Bréau, faisons un petit esse et nous débouchons rue de la Gerbette que nous prenons à droite. A la fourche nous trouvons l’hommage au Maréchal Foch [Bombon a été le berceau de la Victoire de 1918. En effet, le général Foch a transporté son poste de commandement à Bombon en 1918. Son bâton de maréchal « lui a été remis dans la cour d'honneur du château en présence de tous les chefs d'état-major, maréchal Haig, maréchal Pershing, général Pétain et des plus hautes autorités politiques, le président de la République, Raymond Poincaré, Clemenceau […], Painlevé, ancien ministre de la Guerre et ancien président du Conseil. Le général Weygand […] l'assistait ».] Nous arrivons rue du Château que nous prenons à gauche nous allons jusqu’au porte d’entrée de la cour du château [Le château de Bombon En 1939, le château de Bombon devient l'un des trois postes de commandement principaux de l'armée française. Le château actuel a été édifié au XVIIè certainement à l’emplacement d’un château médiéval, à l’initiative du sieur Anthoine de Brenne. La Famille Brenne domina la vie du village pendant quatre cent ans à partir du XIIIè . Le château est construit dans un style typiquement français du XVIIè ‘’Proportion symétrique, hautes toitures en ardoise, une chapelle, une terrasse, des communs et des douves. Le château est entouré d’un parc à l’anglaise ou l’on trouve un colombier, et d’un parc aux lignes régulières. Panneau d’information.

J’ai trouvé également un article du Monde datent de janvier 2016 mis à jour en 2017. Le château à été acheté par le président Houphouët-Boigny, en 1985. L’article nous dit qu’il n’y venait pas souvent, une fois par an. Après la mort du président Ivoirien le château devient le théâtre d’une guerre de succession ne nous intéressant pas.] Prenons sur la droite la rue du parc et longeons son mur. Nous débouchons de nouveau rue Forest bordée de grands arbres que nous prenons à gauche. [Nous arrivons devant la Grille d’honneur du château datent du XVIIe] Prenons la petite route en direction de Montjay, les Trayants, (balisage jaune). Nous passons sur un pont qui semble démesuré par rapport au petit cours d’eau qu’il traverse. Mais l’encoeur se prélasse dans ce point bas en cas d’inondation. Un peu plus loin nous trouvons les ruines, enfin nous devinons les ruines sous la végétation de l’ancien hameau du Trayants, vous connaissez ses ruines, vous les avez déjà vues (Des scènes du film La Soupe aux choux avec Jean Carmet et Louis de Funès y ont été tournées. Les maisons en ruine de nos jours représente le lieu dit des gourdiflot dans le film ont y voit notamment la Francine passer sur un chemin (de nos jours complètement recouvert par des ronces et des arbres) entre ces 4 maisons. De Funès et Carmet eux ne ce sont jamais rendu sur ce lieu-ci.) wikipédia. Anciennement, il y avait un prieuré de chanoines réguliers, Notre-Dame de Tréhans ou de Saint-Maur, dépendant de l'abbaye du Jard. L'ensemble fut vendu comme Bien National à la Révolution. Une famille y vivait encore dans les années 50. http://www.3moulins.net/ancoeur.htm] Nous arrivons aux grilles du château de Montjay (maisons de retraite). [(je n’ai pas trouvé grand-chose sur ce château.  Vers 1840 le château et les fermes de Neuvy (ancien fief) et de Forest appartenaient aux héritiers Louis-Geoffroy de Montjay ; la ferme des Epoisses à la comtesse de Béthisy ; la ferme des Bordes-Chalonges, qui servait de maison de garde, et l'ancien château de Montjay, à M. de Bonneuil ; et le moulin à vent de Bombon à M. de Montjay fils. Wikipédia]. Poursuivons sur notre droite par la route longeant le parc. Derrière le château un domaine équestre ou un haras, poursuivons le bitume et contournons la ferme de Bailly. Par la route nous pénétrons dans les bois des Vallées. Nous quittons le bitume et le balisage jaune, lorsque la route tourne sur la droite et prenons face à nous, le chemin dans le bois. Passons la barrière, pas facile ce chemin bien tracé en son début il devient difficile. Passons un chemin sur notre droite, puis une maison en ruine, poursuivons dans ce taillis qui j’espère sera toujours praticable au printemps. Arrivant devant une clairière, ou un champ, le chemin fait fourche, il faut prendre à gauche une trace que l’on voit mal dans l’herbe et suivre la limite du champ. Le chemin qui était le mieux marqué se trouvait être un chemin de débardage, je me suis vite retrouvé dans les ronces. Il faut prendre un chemin herbeux et au printemps un peu ronceux longeant la clairière puis le bois (j’y ai rencontré malgré tout des promeneurs avec leur chien). Le long du bois le chemin est un peu mieux marqué au sol. Nous retrouvons le GR en provenance du chemin de droite, dans ce chemin nous apercevons la chapelle N. D. De Roiblay. [(Je n’ai pas fait de crochets y étant passé à plusieurs reprises.) petite rando champeau-saint Méry https://randosacaudos.blogspot.com/2016/12/64-petite-promenade-que-y-t-il-sur-la.html et nous y sommes passé dans l’étape 2 de la Seine à la Marne https://randosacaudos.blogspot.com/2019/03/de-la-seine-la-marne-etape-2-guigne.html] Nous arrivons sur un chemin carrossable, en provenance de la gauche. Nous sommes de nouveau dans les champs, on aperçoit les toits en poivrières du château de Blandy. Attention par ici le tracé n’est pas facile à suivre. Il faut prendre à gauche un beau chemin. Le chemin fait fourche et l’on aperçoit à notre droite sur un arbre en limite d’un bois la marque du GR avec une flèche mais l’on ne voit pas ce qu’il y a d’écrit en dessous (on s’imagine qu’il faut prendre le chemin vers le bois). Ce n’est pas la peine de le prendre. Il faut poursuivre le chemin tout droit en évitant le bois. Il n’y avait pas d’autres lieux dans cette plaine (un peu loin tout de même) pour nous annoncer une bifurcation à quatre vingt dix degrés sur la droite situé à trois cent mètres. Nous débouchons sur un chemin formant Té et prenons à droite, nous arrivons sur un carrefour quittons le GR se dirigeant vers Blandy et prenons à gauche, vers une petite zone industrielle situé très loin derrière un château d’eau. Nous coupons la D 47 et prenons en face la D 115. Nous nous dirigeons vers la petite zone industrielle. Au carrefour nous laissons la rue de Vauchevres sur la droite et faisons un esse gauche-droite pour prendre un chemin carrossable entre deux bâtiments, nous retrouvons les champs, en se retournant nous sommes dominer par les tours du château. Notre chemin est barré par l’autoroute et la ligne TGV prenons le chemin à droite et traversons l’ensemble des infrastructures par le pont ou nous retrouvons le GR 1 et un balisage jaune. Longeons un bois, nous arrivons à une intersection, nous quittons le GR tournant à droite et poursuivons tout droit, traversons le bois, par le chemin de Bordères qui descend vers le ru de Bouissy que nous traversons à gué. Nous débouchons sur la D 126, que nous prenons à droite, passons le long de la chapelle Orthodoxe    [D’après les notes de la moniale Nina (Ovtracht). Novembre 2004 L’histoire de l’ermitage est étroitement liée à la vie de l’archimandrite Euthyme (Vendt). Le père Euthyme naquit en 1894 à Tchernigov. Il était l’aîné d’une famille qui comptait encore quatre autres garçons. On l’avait nommé Grigori. Son père était garde-forestier. Il fut envoyé par ses parents au lycée de Tchernygov, dont il sortit avec la médaille d’or. Grigori se distinguait tout particulièrement par ses dons pour les mathématiques.

Dès le début de la Grande Guerre, les frères Vendt furent mobilisés, et tous périrent au champ d’honneur. En raison de ses compétences techniques, Grigori était devenu télégraphiste au front. Ainsi, il n’eut pas à tirer et ne tua personne. Il en fut reconnaissant à Dieu : il disait qu’il aurait été difficile de se tenir derrière l’autel s’il avait tué quelqu’un, même involontairement et à la guerre.
A la fin de la guerre, le père Euthyme se retrouva en Tchécoslovaquie. Là, il travailla tout d’abord dans une mine, puis eut la possibilité d’entrer à l’Institut polytechnique de Prague et y accomplit ses études avec succès. Mais dès cette époque il se mit à penser sérieusement à l’état monastique. En 1930 il s’installa à Paris et entra à L’Institut théologique 

Saint Serge. En 1932, Grigori Vendt prit l’état monastique et le nom d’Euthyme. Ils lui furent donnés par le métropolite Euloge en l’honneur du vénérable Euthyme de Souzdal, l’interlocuteur du vénérable Sergueï de Radonèje. Il le fit rapidement hiérodiacre, puis hiéromoine. Père Euthyme fut nommé à Ozoire-la-Ferrière, en banlieue parisienne. Il y avait là une petite église en bois avec un grenier. Le père Euthyme vécut dans ce grenier où eurent lieu ses premiers exploits monastiques. A cette époque, rue Lourmel à Paris, la Cause 
orthodoxe de sainte mère Marie (Skobtsova) faisait ses débuts. Autour d’elle et du père Cyprien (Kern) s’étaient réunies quelques moniales. Plusieurs d’entre elles aspiraient à une vie plus contemplative, hors du bruit et des vanités de la ville. Enfin, en 1938 on trouva une maison avec un terrain, au milieu des champs, à deux kilomètres du petit village de Moisenay, à 70 kilomètres de Paris. Le métropolite Euloge donna son accord pour fonder là un ermitage et y nomma Euthyme chef de communauté. L’ermitage fut construit dans la cave de la maison, et consacré à l’icône de la Vierge de Kazan. Il y avait quatre religieuses : Eudoxie et Dorothée, qui étaient soeurs, Blandine et une moniale grecque, Glaphyre. La petite communauté ainsi composée vécut toute la guerre dans une extrême pauvreté. Après la guerre, en 1946, une grande maison avec un jardin leur fut léguée à Bussy-en-Othe. Eudoxie, Blandine et Glaphyre s’établirent là tandis qu’Euthyme resta à Moisenay en compagnie de Dorothée. Des personnes âgées commencèrent à venir vivre chez eux moyennant une somme très modeste, et ils accueillirent aussi des malades pour les soigner. L’été, ils manquèrent déjà de chambres et le père Euthyme alla s’installer en haut de la grange qui se trouvait dans le jardin. Il construisit de petites maisons en bois pour ses hôtes. Il accomplissait l’office chaque jour, matin et soir. Vers six heures du matin, il sonnait et commençait l’office matinal, souvent seul. Vers sept heures, il arrivait quelqu’un qui, s’il pouvait, essayait d’aider à la lecture ou au chant. Le diacre Vladimir Ouvarov vécut là quelques années. Le père Euthyme avait lui-même une oreille musicale très développée et une voix de haute contre.

Au début des années 1940, le père Euthyme décida de construire une église en pierre dans un coin du jardin, près du chemin. Il ne disposait de rien. Il demanda la permission aux propriétaires des champs alentours de ramasser des pierres après la moisson. Il déposait les pierres dans une brouette puis les transportait ainsi jusqu’au lieu choisi. Petit à petit, il érigea les murs en fabriquant lui-même son ciment. Cependant, à cause de sa constitution fragile, il tombait fréquemment malade et le travail avançait lentement. La construction de l’édifice dura vingt ans. Parfois, Ivan Nicandrovitch Baïkov, qui devint par la suite prêtre à Biarritz, venait aider à la construction. Durant ces années, père Euthyme exerça le voeu de silence. Certains prêtres venaient le voir pour se confesser : le père Cyprien, l’évêque Cassien (Bezobrazov), le père Igor Vernik…

Le père Euthyme était de grande taille, mince, avec une longue barbe grise et des yeux bleus. De caractère, il était extrêmement délicat et doux, il essayait toujours d’aider et de ne vexer personne. Il ne jugeait personne et plaignait tout le monde. Au début des années 1960, il demanda au moine Grégoire (Kroug), peintre d’icônes dont la notoriété n’était déjà plus à faire, de peindre l’église.
 On envoya le père Euthyme àu monastère de la Protection de la Vierge à Bussy-en-Othe pour confesser et ordonner de nouvelles moniales. Il y ordonna entre autres les mères Ia, Hillarie, Jeanne, Justine et la soeur Julianne. Quelques prêtres passaient la fin de leur vie à l’ermitage de la Vierge de Kazan : le père Mikhaïl Firsovski de Grenoble, le père Abraham Terechkovitch de Rosay ; le père Alexandre Trofimov vécut longtemps là à son retour de Chine.

Le père Euthyme avait toujours beaucoup lu, en particulier de la littérature spirituelle et philosophique. Sergueï Boulgakov était son maître spirituel. A la fin de sa vie, le père Euthyme répondait volontiers aux questions qu’on lui posait sur le chemin spirituel de l’homme vers Dieu au sein de l’Eglise. Il comprenait tout le monde et montrait de la bienveillance envers tous. Sa fin fut longue et douloureuse. Il avait un emphysème et était perpétuellement essoufflé. Il mourut le 18 avril 1973 au petit matin, le mercredi de la sixième semaine du Grand Carême. http://skite-notredame-de-kazan.blogspot.fr/p/histoire-de-lermitage.html] un peut plus bas nous rencontrons un chemin en limite de propriété c’est également le GR 1 que nous suivons sur la gauche. Longeons le bois, coupons le ru du Goulot. Coupons une route, poursuivons en face. Nous arrivons à l’orée d’un bois, le chemin fait fourche nous prenons à gauche (GR et balisage jaune du bas du val d’ancoeur), longeons le bois, puis nous en traversons la pointe partant sur la gauche. De l’autre coté nous en longeons l’orée et débouchons sur un chemin formant Té. Face à nous le mur du parc de Vaux le Vicomte. Prenons à droite le chemin descend vers le moulin de Pouilly, nous traversons l’Ancoeuil, soit à gué soit par un petit pont de pierre. Nous remontons la rue du moulin, elle tourne sur la droite débouche dans la rue de l’acacia que nous prenons à droite, elle devient rue Grande, nous avons quitté le GR et poursuivons par le balisage jaune. Nous pouvons prendre la rue de l’école sur la gauche, puis la rue de la place de l’église sur la droite, ou poursuivre tout droit, nous retrouvons le rue de l’Enfer que nous prenons sur la gauche, au chevet de l’église nous retrouvons le petit passage nous permettant de rejoindre la place de l’église.





 



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