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Itinéraire de substitution : Remonter l’Avenue Guyot Dessaigne, le long des anciennes voies de
garage. Prendre l’avenue des Belges (D 996) sur la gauche, puis l’avenue de la Gare sur la gauche.
Nous retrouvons la trace rue des Chasseurs Alpins, un peut avant la gendarmerie et l’aire
d’atterrissage de l’hélicoptère des secours en montagne.
Nous trouvons au niveau du parapet du pont une grosse grille ouverte permettant de pénétrer dans
l’espace SNCF, un chemin, un peut moins herbeux semble tracé par de fréquents passages (VTT
marron N° 49).
(Pourquoi ce passage. En tant que touriste, je cherchais un chemin le
long de la Dordogne au départ du Mont Dore, n’ayant rien trouvé sauf la D 130.
C’est en revenant d’une balade que j’ai suivi une personne locale empruntant ce
passage. L’atypique de l’itinéraire me plus. Je me demande même pourquoi ce
n’ai pas plus sécurisé. Bien sur les dangers ne sont plus les trains, la ligne
est barrée par de grosses traverses de chemins de fer en forme de croix de
Saint André à mi chemin entre la Bourboule et le Mont Dore. Le passage sous le
pont SNCF en bordure de la Dordogne, est non sécurisé. Mais surtout le passage
se trouve dans une propriété privée de la SNCF). Nous passons devant la fosse de retournement des locomotives, le sentier longe la
Dordogne. Dans le virage, nous passons sous le pont SNCF sur un chemin cimenté non sécurisé au
pied de la pile du pont. Nous
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débouchons rue des Chasseurs Alpins, que nous prenons à gauche,
passons devant la gendarmerie et l’aire d’atterrissage de l’hélicoptère des secours en montagne.
Nous sommes sur le GR 30 accès. Laissons une rue sur la droite et prenons la suivante sur la gauche,
passons au dessus de la Dordogne
[Elle prend naissance sur les flancs du puy de Sancy
(1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, par la réunion de deux
torrents, la Dore se trouvent à 1 694 mètres d'altitude en 1864, et
reçoit à 1 366 mètres d'altitude la Dogne. Après avoir traversé le Massif
central et le Bassin aquitain, elle conflue avec la Garonne pour former l'estuaire
de la Gironde, qui débouche sur l'océan Atlantique. Au bec d'Ambès, dans le département
de la Gironde, elle se jette avec la Garonne dans un estuaire commun, la Gironde.
D'une longueur de 483 km, la Dordogne est navigable en aval de Libourne.
Contrairement aux apparences, le nom de la Dordogne n'est pas un assemblage
récent des noms de la Dore et la Dogne. Son nom vient d'un ancien
Durānius, dérivé de la racine préceltique dur-, dor-. En breton
comme en gallois, langues celtiques, l'eau se dit dour/dwr. Les formes
médiévales ont adopté un suffixe redoublé -ononia : Dorononia
fluvius (VIe siècle), Dornonia (VIIIe siècle)
qui évolue en Dordonia (IXe siècle) par un phénomène de dissimilation
donnant ainsi l'impression d'une étymologie Dore-Dogne. Aimoin de Fleury
est le premier auteur connu à utiliser le nom dordonia. En occitan, le
cours d'eau porte le nom de Dordonha. Wikipédia]. Prenons tout de suite à droite ‘’flèche jaune’’, nous sommes rue
du Queureuilh, longeant la Dordogne et la zone industrielle, en direction des ateliers municipaux.
Laissons le bitume entrant aux ateliers, pour prendre sur la droite un sentier, interdit aux cavaliers,
longeant la Dordogne. (Ne pas emprunter la passerelle au dessus de cette dernière). Après la zone
industrielle le sentier longe la ligne de chemin de fer. Cette fois ci la ligne SNCF est protégée par un
grillage. Nous coupons une route et trouvons des flèches d’informations. Poursuivons tout droit en
direction de Murat le Quaire, 6km, La Bourboule 5km, et La Vernière 2,5 km. Poursuivons tout droit,
passons un moulin moderne (peut être une centrale électrique). Le chemin est initiatique (il dispose
de pancartes sur le volcanisme). Il descend
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et se rapproche de la rivière. Passons une passerelle en
bois, nous sommes sur la rive droite de la rivière, sous couvert de sapins. Le chemin fait fourche
avant une passerelle, il s’élargie. Nous trouvons un bâtiment (Moulin Compissade)
[Son histoire débute en 1898. Il est décidé de construire cette centrale
afin de fournir de l’alimentation électrique au funiculaire des Capucins qui
fut le premier de France à traction électrique. 118 ans plus tard en 2016, la
centrale est remise en service et fournie 487 kw d’électricité qui alimente 380
foyers. Panneau d’information]. Sur la droite une
voie d’accès carrossable menant à la D 996. Restons en fond de vallée, passons la passerelle au
dessus de la Dordogne, nous grimpons un peut. En contre bas nous trouvons la Source Croizat, en
2021 existait deux bassins d’eau chaude, ou gratuitement on
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pouvait profiter à l’air libre des bienfaits
de cette eau thermale.
[Ne cherchez plus le réservoir d'eau chaude et les bassins de la source d'eau
chaude naturelle de Croizat. La mairie de La Bourboule, a lancé des travaux le 14 avril 2021 pour
détruire les aménagements du site de la source d’eau chaude de Croizat qui lui appartient.
L’hiver
c’était extraordinaire (je ne l’ai pas connu avec de la Neige.) Mais on se serait
cru en Islande, le paysage en moins, ici nous sommes au fond d’une vallée
étroite creusée par la Dordogne. J’y suis passé trois ou quatre fois, à des
heures différentes, je ne l’ai jamais vue sans personnes. La source de la
discorde j’ai mélangé plusieurs extraies de blog, pour surtout connaître
l’histoire de cette source. Pour le reste je n’ai jamais été agressé, les
familles ou les jeunes en maillots de bain même en plein hiver s’agglutinants
dans les bassins ou sous le ponton ne mon pas choqué. Même si à chaque fois que
je suis passé, j’ai trouvé qu’il y avait trop de monde pour y tremper un doigt
de pied. (Nous étions en pleine épidémie de Covid 19) Je n’ai pas trouvé que
les abords ressemblaient à des poubelles, hormis que manquant de place aux abords
des
constructions, les affaires des nombreux baigneurs s’étalaient sur la rive.
[Ne cherchez plus le réservoir d'eau chaude et les bassins de la source
d'eau chaude naturelle de Croizat. L'accès à cette magnifique source avait été
aménagé en octobre 2011 par la section S.E.V.E. du Conseil Général. Cette
source était devenue par là même facilement accessible et ne présentait plus un
caractère de dangerosité. La mairie de La Bourboule, a lancé des travaux le 14
avril 2021 pour détruire les aménagements du site de la source d’eau chaude de
Croizat qui lui appartient. La sur fréquentation du site "Cette
source a été longtemps le secret des Bourbouliens et des habitants du massif du
Sancy, mais à partir du moment où on a crée des accès facilités, les gens sont
venus de plus en plus nombreux et on en a parlé sur internet à tel point que
l'été dernier on a compté 25.000 personnes sur ce site qui
fait
quelques dizaines de mètres carrés seulement , il fallait que ça
s'arrête même si je le regrette, ça devenait trop dangereux on aurait eu de
graves problèmes depuis 2016 un arrêté préfectoral interdit la baignade dans
le réservoir en béton et les bassins aménagés autour en raison aussi des
incivilités, des détritus abandonnés, de comportements à caractère sexuel
équivoques qui nécessitent régulièrement l'intervention des gendarmes.!"
A l'année ce sont 35.000 personnes qui viennent se baigner d'après le maire
dans ces eaux arsenicales réputées pour leurs effets bénéfiques pour l'asthme
et la peau. https://www.francebleu.fr/infos/societe/puy-de-dome-polemique-a-la-bourboule-autour-de-la-demolition-du-site-de-la-source-de-croizat-1619020665]
L’histoire de la Source ;
[ Extraie des blogs http://humeurs-verticales.over-blog.com/2015/06/les-sources-croizat-et-felix.html
&http://sources-auvergne.forumactif.org/t4-source-chaude-croizat-mont-dore-bourboule, ou vous trouverez des
photos sur les sources. Le trajet de la
Dordogne, entre le Mont-Dore et la Bourboule suit le rebord nord de la caldera
dite de la Haute-Dordogne. Il s’agit d’une dépression de 5 km de diamètre
et de
250 m de profondeur, peu visible car remplie par les produits de l’activité
volcanique postérieure. Son effondrement est la conséquence de l’émission
brutale de volumineux écoulements de cendres. Le réseau de failles
constitutives de l’effondrement a favorisé l'ascension de nombreuses
sources géothermales. Ainsi, entre le Mont-Dore et la Bourboule, la vallée de
la Dordogne est jalonnée de multiples émergences dont les plus importantes
sont Monneron, Croizat, Félix et Choussy. L'exutoire de la source Croizat
est localisé en rive gauche de la rivière, sensiblement en face d’une
ancienne .fontaine pétrifiante (source de la Compinade ou Compissade) et à une
centaine de mètres en aval d’une ancienne usine électrique dont les ruines se
trouvent à hauteur du pont sur la rivière. La source a été découverte lors des
travaux de construction de la ligne de chemin de fer reliant Laqueuille au
Mont-Dore. Elle dispose d’un Arrêté d’Autorisation Ministérielle d’exploitation
datant du 28 avril 1912 et d’une Déclaration d’Intérêt Publique du
12 février 1935 qui établit un périmètre de protection d’une superficie de
7,2 ha.
Elle a été rachetée à son inventeur, M. Croizat, par la Compagnie des Eaux
minérales de la Bourboule qui cherchait à accroître ses ressources. L’eau de
Croizat, très fortement minéralisée, chaude (4O° C) et surtout très abondante
(débit de plus de 100 litres à la minute) pouvait constituer un complément
important pour alimenter les baignoires, piscines et douches de la station. La
compagnie, fit réaliser, probablement vers 1987, un forage de 33 m de
profondeur, et une galerie de 170 m de longueur. Partant horizontalement du lit
de la Dordogne, la galerie recoupait le forage à 108 m et se prolongeait
au-delà vers le sud sur 62 m. Ce prolongement, qui n’eut pas le résultat
escompté, avait pour objet de recouper la faille de la vallée de la Dordogne
par laquelle les eaux sont supposées remonter. Une pompe servait à relever
l’eau du puits, d’où elle était acheminée jusqu'a l’établissement thermal par
une canalisation en fonte de 3 kilomètres de long. De grands réservoirs pouvaient
permettre de la stocker. La galerie servait à évacuer le trop-plein qui se
jetait dans la Dordogne.
En 1936, des analyses révélèrent la présence de germes obligeant la
Bourboule à arrêter l’exploitation. Parmi les causes possibles avancées à
l’époque, les rejets de la station d’épuration du Mont-Dore (réalisée en 1934)
à 650 m en amont furent évoqués. En 1937, dans le but de capter l’eau au
griffon, un premier forage est réalisé dans l’axe du puits jusqu’à 75 m de
profondeur. Les températures en profondeur sont de 45 °C, mais les eaux sont
toujours polluées et le forage est rebouché. Entre le 23 août 1938 et le 17 mai
1939, un deuxième forage est exécuté à partir du fond du puits (décalé de 80 cm
du premier). Prévu initialement à 200 m de profondeur, il sera arrêté, du fait
de la guerre, à 170 m, sans avoir atteint le griffon. L'autorisation
d’exploiter fut retirée en 1957. De nouveaux forages sur la zone furent
réalisés dans les années 1968-1969, mais se soldèrent par des échecs
(éboulements, rupture du trépan).
Les eaux de Croizat sont les plus minéralisées de la
commune du Mont-Dore. De part leur composition physico-chimique
(chlorobicarbonatée sodique riche en arsenic) et isotopique, elles se
distinguent de celles de l’établissement thermal du Mont-Dore et correspondent
à celles des sources de la Bourboule. Avec sa voisine Félix, il s’agit d’eaux
relativement peu modifiées et leur température d’équilibre avec le réservoir
géologique profond a été estimée de l’ordre de 140 °C.
La source Croizat (dont l’exutoire de la galerie a été
sommairement réaménagé par le même Conseil Général) connaît une grande
affluence. En toutes saisons la baignade dans ses eaux chaudes et salées est
très fréquentée.]
[Les
Souvenirs ; Source captée à plus de 200 m de profondeur grâce à un forage
initial de 26 m, prolongé à 171 m en 1938, puis jusqu'à 214 m en 1969, elle a
été exploitée jusque dans les années 40. L'eau remonte jusqu'à un petit bassin
profond de 1,70 m environ, dans lequel on peut prendre un un bain de 38- 39°.
Je suis venue m'y baigner en semaine au mois de mai, d'autres personnes
étaient là ou sont venues après, pour se tremper aussi. On peut y entrer
par 2 côtés, un avec une échelle, mais il ne faut pas être trop gros pour
passer entre 2 barreaux. Si on a peur d'entrer dans le bassin, on peut toujours
s'adosser au mur sur lequel se déverse le trop-plein d'eau, mais le sol est
très glissant. Le forage traverse des terrains volcano-sédimentaires. L'eau est
riche en arsenic, chlore. Elle contient aussi du sel. C'est une eau
thermo-minérale, chlorobicarbonatée, carbogazeuse. Sa minéralisation totale
atteint plus de 8 gr par litre, ce qui est important. Le débit est de 120 l.
par minute. Elle est préconisée contre l'asthme et le psoriasis entre autres.
Le bassin très petit ne peut contenir que quelques personnes à la fois, à
condition qu'elles ne bougent pas trop. http://sources-auvergne.forumactif.org/t4-source-chaude-croizat-mont-dore-bourboule]
Poursuivons la descente cinq cent mètres en aval, nous
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trouvons la source Félix (pour Félix Chabory).
[L’émergence apparaît dans un bassin situé au milieu d’un pavillon à
l’architecture néo-classique, datant de la fin du XIXe siècle. Le bâtiment est interdit
au public, mais on y trouve des photos dans les pages citées plus haut. Les eaux thermales suintaient naturellement du rocher. Le
site fut acheté par L. Chabory, directeur des thermes du Mont-Dore. En 1895, il
décida de réaliser un forage de 6 mètres de profondeur qui permit de recueillir
l'eau directement au sortir du rocher. La source a été autorisée à l’exploitation
par un arrêté ministériel du 25 mai 1897. Avec un débit de 14 litres à la
minute et une température de 30° C, elle était intéressante et l’exploitant
choisit de l'ouvrir aux curistes. Le pavillon fut construit, abritant quelques
baignoires. Mais le petit établissement ne rencontra jamais le succès espéré,
essentiellement du fait de son isolement au fond de la gorge de la Dordogne,
entre les deux grands centres du Mont-Dore et de la Bourboule. Une inspection
administrative de 1928 révèle qu’à cette date le site ne recevait qu’une
cinquantaine de malades par saison. Il fut abandonné peu après. On peut encore
boire l’eau au tuyau d’évacuation situé sous le pavillon. Bien que moins
chargée en minéraux que Croizat, l'eau de la fontaine Félix est très salée. Il
semble que la source ait été
embouteillée à une certaine époque, pour permettre
des cures à domicile. Aujourd’hui, comme de très nombreuses sources minérales
auvergnates, les sources Félix et Croizat sont à l’abandon. L’établissement
Félix, propriété du Conseil Général est dans un état de ruines avancées.
http://humeurs-verticales.over-blog.com/2015/06/les-sources-croizat-et-felix.html En 2021 ou 22 les bassins on été détruit. une fontaine à
été construite].
Passons le pont en pierre, nous changeons de nouveau de rive et montons jusqu’au hameau de Le
Genestoux, de chemin nous passons à bitume. Traversons ce charment hameau par un esse gauche –
droite en suivant la rue. Elle fait un virage à droite et tout de suite nous prenons le chemin sur la
gauche. (Ne pas monter vers la départementale.) Nous descendons, franchissons grâce à un portillon
la voie ferrée et continuons le long de la Dordogne. Nous apercevons en haut de la Montagne, le
clocher de Murat le Quaire. Dépassons le butoir en traverses de chemin de fer coupant la ligne SNCF,
nous quittons le balisage marron et sommes maintenant sur un trek noir, un balisage bleu et le GR.
Poursuivons le chemin jusqu’à la route. Nous sommes dans le haut de la Bourboule. Quittons le GR et
poursuivons le balisage bleu sur la gauche, remontons le
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boulevard des Vernières, traversons la
Dordogne et au rond point la D 130, entrons dans la zone industriel, nous trouvons un fléchage
indiquant que la Stelle est à 7,5 km et le Mont Dore à 4,5 km. Prenons la première allée sur la
gauche, balisage bleu et trek noir N°5, puis l’allée sans issu de droite. Passons le bâtiment d’une
ancienne ferme, nous entrons en foret, le chemin est bordé de vieux hêtres tortueux et en
suspension sur le talus. Nous arrivons à une fourche sans information avec un chemin comportant
une rigole, poursuivons tout droit le trek noir N° 5 et le balisage bleu nous grimpons fortement. Nous
grimpons et arrivons à un carrefour avec des informations. Laissons le chemin sur la droite de la stèle
7 km - Chamablanc (c’est peut être le chalet que nous apercevons), et
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Pré du Pont. Sur la gauche le
Mont Dore 3,5 - le Salon du Capucin 3,8 et du Rigolet Bas 0,800. Montons tout droit, balisage bleu et
trek N°5, le chemin fait fourche, (elle n’existe pas sur la carte, j’ai laissé l’embranchement sur la
trace. Je m’étais trompé, et suis arrêté par un chemin entièrement ronceux. Un tracteur avait tout
aplati mais au printemps les ronces auraient repris le dessus). Prenons à gauche balisage bleu.
Débouchons sur un chemin formant Té face à un mur de pierre, que nous prenons sur la droite,
balisage bleu, la pente est bien plus douce. Nous sortons de la foret, longeons une prairie, notre
chemin devient carrossable et longe une aire de parking. Nous avons une vue sur le Sancy et sur la
gauche le Puy Gros et La Banne D’Ordanche, dépassons quelques maisons. Nous entrons dans le
hameau de Rigolet Bas et rencontrons le GR 30. Au carrefour nous avons des informations sur la
gauche ; Lac Guéry, Mont Dore à 3,5, Pont des Marais avec le balisage bleu. Prenons la première rue
sur la droite (GR 30), la Stèle 7,5 – Le Mont Dore à 3,5 et La Parisiènne 0,200 m. longeons d’un coté
un bois et de l’autre une prairie, la rue fait fourche devant

quelques maisons nous sommes à la
Parisienne. Quittons la route et le GR 30, prenons à droite, la direction de Sagnove, Le Mont Dore, la
stèle, le Puy du Chien à 0,400 m. Les maisons sont éparses, nous arrivons au Puy du chien ; Sur la
gauche le chemin carrossable se poursuit vers Sagnove, nous retrouvons le GR 30. Prenons le chemin
face à nous (GR 30), nous restons sur un chemin plan. Nous longeons le ruisseau de Cliergue. Suivons
le GR 30, traversons la rivière soit par le gué ou par le pont. Nous arrivons devant une propriété
isolée que j’appelle le château, mais qui est peut être un ancien moulin au vu du nom du chemin sur
la carte, de la réserve d’eau que j’ai pris pour un

étang ou un vivier, qui était en restauration lors de
mon passage, et caché, par la végétation les reste d’une conduite forcée. Poursuivons le GR, coupons
la rivière, nous arrivons à une intersection qui ne se trouve pas sur la carte. Nous coupons le chemin
carrossable menant au moulin, poursuivons le GR grimpant par un chemin dans la montagne jusqu’à
la D 645. Coupons la départementale, nous trouvons un sentier grimpant à flanc de colline dans la
foret, c’est un magnifique sentier (GR 30). Il semblerait que la carte ne soit pas à jour ou que le tracé
du sentier n’est pas au bon endroit.) C’est un magnifique sentier dans les pins, en fond de vallée le
ruisseau de Cliergue. Nous sommes toujours sur le GR 30. Nous arrivons au Grand Pré (parcelle 20
D). (Attention l’hiver nous sommes sur le domaine de skie de fond et raquettes). Les panneaux
d’informations ; sur la gauche, Le Mont Dore 3 km, Le Pré des Sagnes 0,700 km. Sur la droite, la stèle
9 km, la Bourboule 7 km, la sagne Haute 4 km. Prenons à gauche le GR et le treik noir, continuons de
grimper vers un virage en épingle à cheveux, nous avons des informations, à gauche, la Bourboule 6
km, Le Mont Dore à 2,5

km, Le Bourgeat à 700 m, sur la droite le Mont Dore à 2,5 km, Laricadet 1,2
km. Prenons à droite le chemin carrossable (GR), on passe l’épingle à cheveux sur une dizaine de
mètres et l’on prend le chemin raquette 10-11-12-13 sur la gauche (je suppose que les panneaux
raquettes restent toute l’année. (Si vous ne le trouver pas ce n’est pas grave poursuivez le chemin
carrossable). Il fait fourche, prenons à gauche. (Ce chemin n’est pas tracé sur la carte. Coupons un
chemin, poursuivons en face (retour Capucin). Nous retrouvons le large chemin formant Té avec le
notre, que nous prenons à gauche, (retour Capucin). Nous arrivons au Salon du Capucin, quittons le
GR 30, prenons sur la gauche le chemin se dirigeant vers l’acrobranche. Laissons les bâtiments
commerciaux et prenons la route sur la droite en direction du funiculaire (balisage blanc et vert).
Nous n’allons pas abandonner pour une petite pente à 56 %, surtout que nous le faisons en descente.
Passons sur la gauche de la gare Amont, de bitume nous passons à chemin, laissons un premier
chemin sur la gauche, puis notre chemin débouche sur un autre (chemin des Artistes) beaucoup plus
plan que nous

prenons à droite sur plusieurs centaine de mètres, puis prenons à gauche le chemin
qui descend fortement en direction du Mont Dore nous trouvons la variante du GR 4 . De sentier
nous passons à bitume et longeons, le beau bâtiment de la résidence des Sapins. Traversons l’avenue
de la Libération et prenons l’allée passant le long de l’Office de Tourisme. Traversons la Dordogne et
le parc du centre ville. Prenons l’allée de gauche, longeant la rue Meynadier, nous débouchons dans
l’allée George Lagaye (rue), que nous prenons à droite puis à gauche la rue Meynadier. Nous
longeons d’un coté ‘’l’affreux’’ bâtiment du casino, d’un coté et les beaux immeubles de la rue
Meynadier sur la droite. Coupons la rue du Cap Chazotte et poursuivons par l’Avenue Michel
Bertrand, passons devant la poste devenue me semble t’il pharmacie, qui fut inaugurée en tant que
poste en 1934. Face à nous le Puy Gros. Poursuivons par la rue Michel Bertrand. Nous descendons la
rue jusqu’à la gare
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