Aujourd'hui nous partons dans le Limousin et plu précisément dans les Monts D'Ambazac
Je
vous présente aujourd’hui, une promenade que j’avais totalement oubliée. La
trace se trouvait sur la même carte qu’une promenade autour de Bersac.
Heureusement un nouvel inscrit sur mon blog m’a fait remarquer que le numéro
permettant de mettre la trace sur son téléphone mobile ne fonctionnait pas. J’ai
donc retrouvé la trace du Puy de l’Age. Comme je sauvegarde régulièrement mon
arborescence, j’ai retrouvé mon topo oral. Je peux vous proposer cette ancienne
promenade dans un secteur de France, ou les chemins sont parfois passés sous le
socle de la charrue et ou la carte IGN n’est pas toujours à jour. Pour la trace
de mes randos j’utilise principalement les tracés existants, afin de ne pas
galérer dans des chemins sans issu. Promenade extraite du site https://anciensite.nature-patrimoine-montsdambazac.fr/_media/bv000006.lkdoc.circuit-3.pdf
Le Hameau du Belzane se Trouve sur la D 203 entre Bessine sur Gartempe et Bersac. On trouve un peut de place pour se garer à l’entrée, ou à la sortie du village le long long d’un poste d’eau ou électrique.
Pour si rendre. De Bessine, prendre la D 203 (La D 203 n’est
pas la route en creux de vallée à la sortie de l’autoroute. Mais celle en haut
de l’ancienne N 20 (D 220) direction Limoge, Laurière, Bersac) Au feu tricolore
prendre D 203, direction Laurière et Bersac. Nous arrivons au hameau de
Belzanne que nous traversons. Dans la descente, sur la droite nous trouvons un
espace le long d’un poste d’eau ou électrique. Laisser tout de même un passage
suffisant pour le passage d’un camion.
En venant de Bersac. Prendre la D 28 direction A 20, Razes, Saint Léger la Montagne, Bessines. Puis D 203 Bessines A 20 Châteauroux. Passons l’étang, dans la monté après quelques virages nous trouvons sur la gauche, un espace le long d’un poste d’eau ou électrique. Laisser tout de même un passage suffisant pour le passage d’un camion.
Carte Open Street Carte GPS et Topos sans commentaires Carte Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b367675
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Carte mobile VisioRando touchez le rectangle à coté du numéro
Mars 2019
Km Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
Remontons la départemental jusqu’au village. A notre gauche
nous trouvons une borne en granit protégeant une construction en pierre, le
puits du village qui se prolonge par un abreuvoir. Prenons la première rue sur
la droite. Nous devons être sur un balisage rose ou fuchsia. J’aime bien ses maisons
en pierre, prenons la première rue à droite, nous sommes sur le GRP des Monts
d’Ambazac et un balisage fuchsia. Les maisons sont moins dense que dans la rue
précédente nous sortons du hameau, à la dernière maison, nous prenons le chemin
de gauche, il fait rapidement fourche, prenons le chemin sur la droite. Notre
chemin est bordé d’arbres, nous retrouvons les champs avant d’entrer en foret,
notre chemin fait un coude d’équerre sur la droite, laissons un chemin sur la
gauche,
avant de déboucher sur la D 203 que nous prenons à gauche. Dépassons
une grange en pierre et longeons l’étang par la route, nous sommes toujours sur
le GRP, après les clôtures de l’étang, peut être une ancienne mine d’uranium
noyé par la belzane (on retrouve son nom dans le document,
https://www.irsn.fr/FR/connaissances/Environnement/expertises-locales/sites-miniers-uranium/Documents/irsn_mines-uranium_mimausa_notice_explicative.pdf
page 27) [Dimanche
17 juillet 2016 à 11:53 - Par Philippe
Graziani, France Bleu Limousin
Le sous-sol limousin regorge de richesses
géologiques et minières. C'est notamment dans la région qu'ont été trouvées et
exploitées les plus importantes mines d'uranium de France. La dernière mine a
fermé en 2001. Mais l'uranium n'a pas quitté le Limousin pour autant. Sur les
210 mines d'uranium françaises une cinquantaine se situaient en Haute-Vienne,
surtout dans le nord du département, autour de Bessines sur Gartempe. Et on en
trouvait aussi de nombreuses dans le sud de la Corrèze et le nord-ouest de la
Creuse. C'est en 1948 que le premier filon, le tout premier de France, a été
trouvé à Saint-Sylvestre. Il est resté dans l'histoire sous le nom de
"Henriette". Et c'est encore en Haute-Vienne que la dernière mine
d'uranium française a été fermée, celle de Jouac, c'était en 2001. Mais
l'uranium n'est pas un minerai qui se fait vite oublier. Car son exploitation
génère de grandes quantités de résidus, dont les fameux stériles, qui bien que
faiblement radioactifs posent problème. Ils doivent donc être stockés en
attendant qu'ils redeviennent inoffensifs, ce qui
pourrait prendre des
centaines d'années explique Antoine Gatet de l'association Sources et Rivières
du limousin. "Il
y a 6 énormes stockages avec des millions de tonnes de résidus de traitement,
donc de déchets, en Limousin. Plus une soixantaine de stockage de stériles
miniers" précise-t-il. Ces sites sont principalement les
anciennes mines d'uranium, mais aussi dans certains cas d'anciennes mines d'or.
Avec tous les problèmes de pollution que cela induit, dont celle des eaux par
infiltration. L'association Source et Rivières du Limousin milite donc pour que
l'Etat et la société nucléaire Areva décontaminent ces sites.]. Nous
trouvons un chemin (GRP) sur la droite permettant d’éviter le carrefour. Nous
débouchons sur la route menant au hameau du Puy de l’Age et grimpons vers le
centre du village qui ne comporte que deux rues, prenons celle de gauche, avant
de sortir du village, remarquez sur l’une des maisons les pierres de réemploies
autour de la porte et de la fenêtre avec des croix. Nous arrivons sur un
terrain boisé protégeant une prairie, prenons le chemin de droite GRP et
fuchsia, nous entrons dans
le bois et trouvons un chemin sur la droite avec
l’information Loge de Berger du Puy de l’Age [Construction
en pierres sèches qui exclut tout liant tel que mortier et torchis. Technique
de maçonnerie restée identique au fil des millénaires. Ces ouvrages
vernaculaires, en granite du pays, sont intimement liés à la vie agricole ou
pastorale et constituent un abri temporaire d'une journée ou d'une nuit pour la
bergère. La plupart de ces constructions date du milieu du XIXème siècle. Celle
du Puy de l'Age se différencie de part sa voûte en plein cintre, son
incorporation à un mur long, haut et massif, servant d'assise à un chemin. L'inventaire
actuel est d'une cinquantaine de loges sur les 150 connues au début du XXème
siècle. https://www.tourisme-
hautevienne.com/patrimoine-et-visites/patrimoine-bati/petit-patrimoine-insolite/loge-de-berger-du-puy-de-l-age-19580]. Revenons sur nos pas. Abandonnons le fuchsia
partant sur la gauche et poursuivons le chemin sur la droite (GRP), nous sommes
dans les bois, laissons un chemin sur la droite, (n’existe pas sur les cartes
BaseCamp et Google Map, n’y dans mon topo oral) en contre bas nous avons un lac
peut être une ancienne mine certainement d’uranium, inondé par le ruisseau. [Le Limousin est comme l'ensemble du Massif central,
dont il occupe la bordure nord-occidentale, plutôt riche en ressources
minières, même si, à
l'exception de quelques carrières (granit
principalement), les exploitations historiquement et essentiellement tournées
vers l'extraction de l'or,
de la houille, du kaolin et de l'uranium sont de
nos jours fermées. Durant les XIXe et XXe siècles principalement, ces différentes activités extractives
ont contribué à façonner les paysages et l'identité sociale, culturelle et
économique de ce territoire largement rural. Les études menées en France depuis
la Révolution ont permis de dégager trois types de minerai uranifère. L'issue
de la Seconde Guerre
mondiale et les incertitudes nées de
l'enclenchement de la Guerre froide incitent
l'État à faire de la France une puissance nucléaire, et en
parallèle de
développer la filière civile pour la production future d'électricité. Si
certaines sources supposent que Pierre et Marie Curie,
connus pour leurs recherches scientifiques sur la radioactivité et
co-découvreurs du radium et du polonium en 1898,
avaient déjà prospecté la région au début du XXe siècle,
c'est en 1949 que les prospecteurs du tout nouveau Commissariat
à l'énergie atomique découvrent ainsi un
filon de pechblende dans les monts d'Ambazac.
Le 21 février de cette année-là, le quotidien régional se demande dans son
titre si « le gisement d'uranium de Saint-Sylvestre [est] le plus riche qui ait été
découvert au monde. » Dans
ladite commune, la mairie lance très rapidement un appel à des ouvriers
terrassiers pour entamer l'exploitation, qui suscite une réelle effervescence
médiatique. Sur l'ensemble de la période productive, le Limousin a compté près
de 40 mines d'uranium, dont les plus riches se sont avérées être celles du nord
de la Haute-Vienne et des monts d'Ambazac,
pour la plupart réunies au sein de la division
minière de la Crouzille. L'essor de
l'activité haut-viennoise conduit même le CEA à installer en 1956 le centre de
formation de ses prospecteurs à Razès, au nord de Limoges. Il y reste jusqu'en 1987. En 1982,
le maire de Limoges et président du Conseil
régional du Limousin Louis
Longequeue
demande que l'État engage la construction d'un réacteur expérimental en
Limousin, en contrepartie de la contribution de la région à l'industrie
nucléaire nationale. Le président François Mitterrand déclare que conformément à l'idéal « vivre et
travailler au pays », le gouvernement répondra favorablement à la
suggestion si les élus locaux se mettent d'accord sur le projet. Mais l'idée
reste sans suite, faute de réelle discussion engagée entre les responsables
régionaux et les autorités de l'industrie. Au plus fort de son activité,
l'unité de concentration chimique du minerai d'uranium de Bessines-sur-Gartempe traite 200 000 tonnes de minerai par an. On
estime que durant toute son histoire, elle a permis de générer suffisamment
d'électricité pour alimenter la ville de Limoges durant un millénaire. En 1977,
la région fournit 46 % de la production nationale, 1 000 tonnes
de yellowcake par an,
employant environ 1 600 personnes. Le 14 mars 1991, le directeur de la
division minière de la Crouzille annonce la fin de l'extraction et du
traitement du minerai d'uranium des sites
limousins pour la fin 1996. Les
raisons de cette cessation d'activité sont multiples, tenant principalement à
la découverte de nouveaux filons au Canada et en Afrique, bien plus rentables,
et à l'appauvrissement des gisements haut-viennois. Mille emplois directs et
deux mille emplois induits sont condamnés ; le manque à gagner pour
l'économie régionale est évalué à 500 millions de francs. La dernière mine,
celle de Jouac, ferme en mai 2001. En 2005, compte tenu de ces risques, en raison de
fortes suspicions de dégradation de l'environnement et d'absence de débat
public lié à ce passé, le gouvernement met en place un Groupement
d'expertise
pluraliste (GEP) sur les anciens sites miniers. Ses conclusions portent sur six
axes de progrès et quinze recommandations. L'accès libre d'anciennes mines fermées
est source de polémiques régulières. En 2009, un
reportage de l'émission télévisée de France 3 Pièces à conviction met en cause la gestion de ces sites et le manque de
transparence qui entourerait notamment la qualité de l'eau potable de Limoges, dont une
des réserves est l'étang de la Crouzille, situé à proximité d'anciennes mines.
il est reproché à Areva de ne pas communiquer suffisamment clairement sur le passif des
anciens sites miniers, et l'évocation du sujet par les anciens mineurs, les
riverains et les responsables politiques demeure encore taboue. En 2012, deux
études, l'une pilotée par le laboratoire de géographie physique et
environnementale de l'université de Limoges, l'autre par le Groupement d'expertise pluraliste sur les
sites miniers du Limousin, mettent en évidence une sur-incidence de cancers autour de
la vallée de la Gartempe, le secteur où se localisent la plupart des anciens
sites miniers
uranifères. Ces résultats ont incité l'Agence régionale de santé
à lancer une enquête épidémiologique. Extraie wikipédia]. Poursuivons
dans les Bois du Tutaud. Nous sommes toujours sur le GRP, laissons deux chemins
sur la gauche (n’existe pas sur les cartes BaseCamp et Google Map, n’y dans mon
topo oral), nous débouchons sur la D 28 que nous prenons à gauche. Nous
arrivons sur un espace dégagé avec un large chemin permettant de rejoindre
l’antenne émettrice située à l’orée de la foret, ou poursuivre sur quelques
centaines de mètres jusqu’au carrefour comportant un poste électrique. Nous
trouvons un petit sentier grimpant
dans l’extrémité du bois des Echelles c’est
un balisage jaune et fuchsia. Dans les deux cas nous passons au pied de
l’antenne. Nous nous dirigeons vers la Pierre du Loup, et longeons un bois de
sapin. Au carrefour avec le premier
chemin poursuivons tout droit. A mi pente nous abandonnons le fuchsia tournant
à droite. A ce carrefour ou un peu après, nous trouvons d’après le descriptif
de (l’ANP), un amas de pierres : La Pierre du Loup. Je m’attendais à autre
chose et j’ai cherché longtemps sans comprendre. Je n’ai rien vue de bien
particulier. Des pierres entourées d’arbres sans point de vu. Je me suis dit
que c’était un nom de lieu et qu’il n’y avait rien à voir. Et pourtant [La pierre du Loup ; les loups étaient encore
présents en 1914. Cette pierre a servi de point de repère pour la carte Cassini
en 1776. A cette époque, la roche qui aujourd’hui se trouve au milieu des bois était
entourée de bruyères et de Landes]. Poursuivons tout droit le balisage
jaune. Je me rends compte que la carte n’est pas très juste, et je me demande
si ma trace l’est également. Nous arrivons au sommet ou nous trouvons une
prairie, (Sur la carte
IGN il me semble d’après mon topo oral et l’aide d’une
trace réalisée par un autre randonneur que le carrefour situés à l’altitude 520
n’existe pas. Celui sous la cote 560 n’existe pas n’ont plus. Ce qui est
attristant c’est que sur BaseCamp, tous les chemins que l’on trouve sur la
carte IGN n’existent pas et ma trace me semble juste). Nous prenons le chemin
de droite. Quittons le balisage jaune, nous retrouvons le balisage fuchsia.
Nous débouchons sur une route que l’on prend sur la droite sur une cinquantaine
de mètres, coupons la D 28, poursuivons en face, balisage fuchsia. Nous avons
une alternance de bois et de champs, dépassons une
antenne émettrice. Sur cette
large route gravillonnée nous rencontrons le sentier rouge en provenance d’un
petit chemin sur la gauche. Poursuivons tout droit le balisage rouge et
balisage le fuchsia. Nous arrivons sur une nouvelle route bitumée menant à
Beaupiat, nous retrouvons le GRP. Nous avons le choix ; Le plus simple
suivre le GRP. Ce n’est pas ce que j’ai choisi. Prenons la route sur la gauche
GRP, sur quelques centaines de mètres, puis quittons ce dernier et prenons le
premier chemin sur la droite. Nous arrivons à un poste de transformation, le
chemin de droite conduit au Puy Nado (552 m) ou on y trouve un château d’eau.
Poursuivons tout droit le balisage
rouge et balisage fuchsia, nous sommes dans
les Landes. De large chemin nous passons à sentier et traversons les ajoncs, les ronces, et les petites
branches très souples venant vous fouetter le visage. Nous arrivons à un drôle
de carrefour. Nous avons un chemin sur la droite, puis quelques mètres plus
loin le chemin forme Té. Quittons le balisage et prenons le premier chemin sur
la droite, nous restons sur le plateau et avons une belle vue sur les Monts
D’Ambazac [Les monts d'Ambazac sont un petit massif montagneux situé sur les
contreforts occidentaux du Massif central.
Ils forment la partie centrale des monts de la Marche. Cette région est principalement connue comme le lieu de
fondation
de l'ordre monastique de
Grandmont, et le principal et dernier
grand site d'exploitation de l'uranium en France,
dans la deuxième moitié du XXe siècle. Les monts d'Ambazac sont essentiellement situés sur le
territoire de la Haute-Vienne mais débordent un peu sur la Creuse, notamment sur les communes de Saint-Goussaud et Châtelus-le-Marcheix, où ils sont traditionnellement appelés monts de
Saint-Goussaud. Ils s'étendent sur environ 40 km d'est en ouest (entre Bourganeuf et Nantiat) et une
quinzaine de kilomètres du nord au sud (de Bessines-sur-Gartempe à Ambazac). Généralement, on limite les « monts
d'Ambazac » à la partie la plus élevée, où les reliefs sont les plus
marqués, ce qui correspond aux deux tiers de la zone prédéfinie, se limitant à
la commune de Compreignac à l'ouest et à la vallée du Taurion à l'est.
Géologiquement, les monts d'Ambazac stricto sensu sont séparés du massif
de Saint-Goussaud, à l'est, en partie par le cours du Rivalier et
également par une petite faille qui relie deux sous-sols de paragneiss (La
Jonchère-Les Billanges au sud, Laurière-Folles au nord), via le col de la Roche
(456 m). wikipédia] La carte est juste (pour une
fois) le chemin
n’abouti pas.
[J’aurais du poursuivre jusqu’au chemin formant Té.
C’est un chemin carrossable que l’on prend plutôt à droite, poursuivons par un
chemin sur la droite, jusqu’au Puy Brulé. Nous grimpons jusqu’à un peu moins de
530 m. Suivant les cartes Google Map, BaseCamp, qui ce sont révélées plus juste
que l’ IGN, le chemin ne grimpe pas jusqu’au Puy Brûlé, et ne se poursuivrais
pas jusqu’à la D 203. Le chemin fait un angle aigu sur la gauche, pour
déboucher sur la route menant à Montmassacrot, que nous prenons à droite. Passons
des bâtiments, la route traverse la foret et débouche sur la D 203 que nous
prenons à droite. Nous arrivons à Belzanes. Après avoir traversé le hameau,
nous retrouvons notre parking.]
Le bout de mon chemin débouche dans un champ, et il me semble entrevoir un chemin. Malheureusement ce doit être le passage du tracteur durant les foins. C’est très propre et je longe le champ, à l’orée du bois plus de chemin. Je poursuis tout de même. Je traverse un sous bois tapisser de myrtilliers, la descente est difficile, nous débouchons sur un chemin bordé d’un mur en pierre que nous prenons à droite, nous débouchons sur un large chemin que nous prenons à gauche c’est le GRP, nous y trouvons également des marques fuchsia et verte. Nous arrivons à Belzanes, prenons la D 203 que nous prenons à droite.
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