Poursuite de mes promenades autour de la France
Aujourd’hui nous parcourrons la partie Pyrénées Atlantique de Ascain à Hendaye dans le Pays Basque
Samedi 3 juin ;
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Le code mobile de cette randonnée est b337105
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Km temps arrêt vd vg dénivelé
C’est un hôtel
qui est très bien placé, pas trop loin du GR 10. En bordure de la D 4, mais
surtout au pied de la Rhune. La pancarte sur le GR au hameau de Manttobaita
lors du virage en épingle à cheveux, nous indique Hendaye à 6h00. C’est en venant
d’Hendaye la première étape. Après avoir monté la Rhune il est satisfaisant de
poser le sac au pied de la montagne. Vous me direz ; il y a le gîte dans
le virage du GR c’est encore plus prêt. C’est vrai, il y a le gîte, 15 places
en dortoir, 10 places pour les toileux et 2 chambres d’hôtes, ils font les
repas. Je n’ai pas regardé les prix, je ne voulais pas être avec les ''GRdixtes'', je ne voulais pas être dans le
dortoir, pour mieux me reposer. Comme vous avez pu le constater, j’ai traversé
les Pyrénées sans emprunter l’autoroute des marcheurs, et après deux semaines
de fatigue, je n’avais pas du tout envie d’être questionner sur mon parcours
qui n’a rien d’extraordinaire. Partie en 2019 arrivée en 2023, avec un arrêt en
2020-2021. Mes Six semaines en trois
ans pour relier par les petits sentiers le
bassin méditerranéen, au bassin Atlantique, n’est pas très glorieux. Je ne suis
qu’un chemineux et ne cherche pas les exploits. J’ai donc choisi cet hôtel que
j’avais trouvé fort chère, mais c’était le dernier jour de rando dans les
Pyrénées, je pouvais casser ma tirelire.
j’ai eu tord. Lorsque que je me présente, l’hôtelier ne s’occupe pas
immédiatement de moi, il a des problèmes informatiques qu’il essaie de résoudre.
Sa compagne (je suppose) apparaît, et sur un ton impératif lui rappel qu’ils
doivent partir immédiatement. Je suis toujours en plan, (Il me semble qu’il
m’avait servi un verre d’eau pour patienter). Avant de partir il me montre ma
chambre. Première déconvenue. Pour le prix, la chambre est petite, la douche
minuscule, impossible de se laver les cheveux les coudes écartés, le
pare-douche est cassé, remplacé par un rideau, et comme la douche
est petite il
colle à la peau et vous savonner le plastique. Pas même la télé. Rien que cela,
ça ne vaut absolument pas le prix, mais il y a le reste. Trop fatigué pour
aller voir ailleurs, je reste. Le dîner fut très bien, même si j’aurais
préféré des assiettes un peu plus garnis
et avec moins de présentation, mais c’était très bon, très bien préparé, la terrasse
s’est rempli rapidement. La table semble être connu au alentour. Le pire fut la
nuit. Durant ma sieste, j’avais constaté que j’entendais les pas dans
l’escalier, le couloir, les portes qui se fermes. La nuit fut terrible, les
cloisons une feuille à cigarette. Je ne sais pas si après le service en
terrasse, il y avait la fête en salle, à moins que ce ne soit dans les
chambres, je fus réveillé par des éclats de voies, cela parlait fort, rigolait,
il me semble que dans un demi sommeille, j’ai rouspété. Le lendemain ce n’est
pas le patron qui est là, peut être la maman de l’un ou de l’autre. Elle
semblait un peut gênée. Dommage de tout ses problèmes parce que le petit dej
était au top.
J’ai bien réfléchi, j’ai eu le
temps durant mes moments d’insomnies involontaires. Je ne vais pas prendre le
GR 10. Après ma monter à la Rhune mon genou se fait sentir. Le GR 10, monte
jusqu’à 500 mètres, ce qui n’est pas trop haut mais il y a tout de même 980
mètres de dénivelés positifs. Lorsque j’ai tracé ce parcours, j’étais tellement
heureux de finir à Hendaye que je n’ai pas réfléchi que vingt kilomètres et
neuf cent quatre vingt mètres de dénivelés positifs, c’est cinq kilomètres de
plus que mon parcours de référence pour un parisien, les vingt cinq bosses de
Fontainebleau. Que je fais ses vingt cinq bosses, en cinq heures trente ou cinq
heures quarante cinq. Vous
me direz fallait coucher à Hendaye et rentrer le
dimanche, il est vrai que se serait la solution. Sauf que le dimanche, j’ai une
obligation, que je ne peu reporter. J’ai peur que mon genou ne tienne pas avec
les 6h00 de trajet. J'ai peur de ne pas pouvoir forcer l'allure en cas
d'imprévu. 6h00 c’est une heure de plus, que ce que j’ai prévu. J'avais prévu
pour ce parcours quatre à cinq heures. Sauf que c'est le temps que je mets
généralement sur un terrain avec peu de dénivelés. cela me fait réfléchir, il
ne me faut pas d’imprévu sur le parcours. Cette année avec mon genou en vrac,
je ne pourrais certainement pas forcer
l’allure et arriver comme l'année dernière
à la gare avec deux heures d’avances malgré une erreur de trajet. Une autre
chose me fait réfléchir, de Trabénia nous repartons à l’intérieur du massif
montagneux, et l’on ne trouve aucune route permettant un plan B, hors mis au
col d’Ibardin, ou autour du Mont Oneaga, et encore s’est deux voies me ramènent
en arrière, avant de trouver une route me permettant de rejoindre la gare. Sur
la carte j’ai remarqué que plus bas, par des routes et des chemins balisés il y
avait de quoi rejoindre Hendaye. Dommage ce matin il fait très beau et j’aurais
eu un temps clair pour mes photos. Je descends par la D 4
(route d’Olhette),
attention cette route est très fréquenté elle mène à Ciboure (Saint Jean de
Luz). Au rond point je prends la seconde sortie toujours la D 4 en direction de
Urrugne, Col d’ Ibardin et à la petite chapelle moderne [La chapelle d'Olhette à
Urrugne a été construite, il y a une cinquantaine d'années. Elle est dédiée à
Saint-Michel Garocoits. http://www.urrugne-paysbasque.com/il_etait_une_fois/chapelle_olhette.php]. Je
prends à gauche le chemin de Inzola, longeons le parking, normalement nous
sommes sur un balisage jaune. Le bitume fait place à un chemin carrossable.
Nous entrons
dans les prairies entrecoupées de haies et de taillis. Au premier
carrefour, je suis surpris de trouver une toile de tente avec une mère de
famille et son gamin de huit ou dix ans. Ils n’ont pas peur de dormir seul en
un lieu ou il est relativement facile d’accéder à des fêtards alcoolisés. Je me
dis toujours que bivouaquer loin d’une ville et dans un coin difficile d’accès,
c’est une sécurité. A la fourche je quitte un balisage jaune, pour en suivre un
autre sur la droite et à la fourche suivante qui est proche je quitte le
balisage jaune partant sur la gauche vers le plateau d’Aire Leku, pour
prendre
à droite un chemin herbeux avec des fougères. je me badigeonne de produit anti
tiques. Nous traversons des landes boisées, composées d’arbres, arbustes,
fougères, d’ajoncs. Je laisse un chemin sur la droite, puis débouche sur un
chemin balisé formant Té que je prends à droite. Je laisse de nouveau un chemin
sur la droite. Je quitte le balisage pour prendre un chemin sur la gauche, ne
me demandez pas pourquoi, je ne m’en souvent plus, peut être que celui que je
prends sur la gauche est plus praticable que celui balisé, parfois par le
manque de fréquentation je me suis retrouvé devant un mur de fougères. Malgré
m’être protégé, ne voulant pas attraper de tiques, je préférais changer
d’itinéraire. Au carrefour en épingle à cheveux je prends à droite, puis au
carrefour en Té à
gauche, je retrouve le balisage. Coupons la D 404 montant au
col d’Ibardin. Le chemin descend en suivant la route, passons la rivière
Ibardingo et abandonnons le balisage qui remonte sur la gauche vers le col, je
poursuis sur la droite, le long de la départementale. Nous débouchons sur la
route menant au camping. En bordure de la route, nous apercevons un magnifique
platane court de fut, mais avec des branches poussant sur une espèce de boule
constitué soit par la maladie, soit par des branches que l’on a coupées, et
d’autres poussant sur les moignons restant. La route dans ses bois
n’est pas
large. Passons un fossé, quittons le bitume et prenons le chemin de gauche.
Après avoir passé une barrière, nous sortons du bois, et entrons dans une
nouvelle lande. Je laisse un chemin sur la gauche, puis à la cote 112 sur la
carte, prenons la route de droite, nous retrouvons le bitume et quelques
maisons. Nous arrivons au virage avec six boîtes aux lettres, une maison qui
semble neuve et une prairie sur la gauche, (malheureusement tous ses points de
repères risquent d’être éphémères). Nous trouvons, sur la gauche au niveau de
la prairie un
mur en pierres sèches doublé de fils de fer barbelé, prenons le
chemin de gauche. Nous traversons un bois et débouchons de nouveau sur une
route desservant des maisons isolées. Il me semble avoir noté que c’était à
l’angle de la grosse maison bourgeoise Mendi Xoko. Nous retrouvons un balisage.
Après cette maison le chemin fait fourche, prenons à droite. Après c’est un
peut compliqué, le balisage ne nous aide pas beaucoup. Nous arrivons au niveau
de la rivière Arolako Erreka, la route fait fourche, sur la gauche une barrière
canadienne, on quitte la route, pour traversé la rivière sur une planche en
bois ou en béton, de l’autre coté il faut passer le portillon, le chemin
remonte la rivière jusqu’à normalement un fourche, mais certainement de
vététistes ont créés un raccourci. Attention le talus est glissant, dur à
monter, on retrouve le chemin dans l’épingle à cheveux, il
monte doucement dans
le bois et s’arrête, dans une clairière, devant un talus, en haut une maison,
l’herbe est tondu. Sur la carte je devais déboucher sur une route. Pensant que
j’étais devant une propriété privé, j’avise un chemin sur la droite me
permettant de rejoindre une autre route. J’abandonne rapidement cet itinéraire
qui est un chemin sur la carte. J’ai cru que j’étais dans le lit d’un ruisseau
à sec. On y trouve tout pour ce tordre les chevilles, les branches des
arbrisseaux vous fouette le visage, les ronces et les orties vous piquent ou
vous déchirent, cerise sur le gâteau les arbres déracinés vous obligent dans
ce
ravin à de dure contorsions. Je remonte. Je tente de monter sur le talus
celui-ci n’étant pas clôturé et miracle la route est là et s’arrête devant la
maison. Sur le terrain il n’y a pas de liaison entre la route et le chemin.
Poursuivons par la route qui à de l’herbe en son milieu, nous sommes sur les
pentes de la montagne dans les bois et l'on ne voit pas grand-chose. Nous
arrivons à un carrefour et j’en ai un peu mare de ses chemins ou l’on ne voit
rien, la montagne apparaît derrière la ligne à haute tension, elle est couverte
d’une lande de fougère. Je réfléchi à la suite de l’itinéraire,
je suis au
carrefour ou il est possible de monter au Mont du Calvaire, et de là rejoindre
le GR 10 qui n’emprunte à partir de la, que le bitume ou presque. [A Urrugne, la
chapelle d’origine du Mont-Calvaire, « Kalbarioa » en basque date du
XVIIe siècle. Une croyance locale établit que c’est l’abbé
d’Aprendistéguy qui consacra son patrimoine à l’édification de cet ermitage,
situé sur ce lieu où il demeura en 1650. La colline où se trouve la chapelle
doit son nom à un calvaire dont la présence est
certifiée dès le XVIIIe
siècle. On sait qu’avant la Révolution française le complexe religieux du
Mont-Calvaire est composé, en plus du calvaire, d’une chapelle et du logis d’un
ermite. C’est la communauté d’Urrugne qui prend alors en charge leur entretien.
Au cours des années 1793 et 1794, la remise en cause de la religion catholique
par les républicains conduit à la destruction de tout l’ensemble
patrimonial. Les archives post-révolutionnaires mentionnent la présence
des ruines de la chapelle, de
l’ermitage et du calvaire sous un monticule de
terre. Ce fameux tertre est fouillé à partir de 1969 sur l’initiative de Jean
Fourcade. Les travaux d’excavation remettent au jour le sol de la chapelle
ainsi que les parties inférieures des murs et de l’autel. Au vu du succès de
cette découverte, la communauté décide de redonner vie à l’ensemble. C’est
ainsi que sont réédifiés une chapelle et un nouveau calvaire au terme de
travaux de restauration et de reconstruction. La chapelle est construite au sud
de l’emplacement
originel de l’ermitage. Pour optimiser la conservation de
l’édifice dans son environnement naturel, sont même intégrées autour du site de
grandes pierres de lauzes qui en interdisent l’accès au bétail. https://www.grandsudinsolite.fr/2761-64-pyrenees-atlantiques-le-mont-du-calvaire.html
]. C’est dit je grimpe sur ce mont, la pente
ne me semble pas excessive et il me semble voir le chemin, serte
perpendiculaire à la pente mais bien tracé par une saignée dans les fougères
qui semble avoir été coupé. Je descends dans un premier temps la route. Après
quelques maisons nous arrivons à une
fourche en forme de Té, prenons la route
sans issus de Bortuste, longeons la clôture en lauze, la petite route serpente
entre les maisons isolées jusqu’à un poteau d’information et un petite sentier
marqué par quelques pierres afin que la terre ne vienne pas envahir le bitume,
lorsqu'il pleut. Nous sommes à l’intersection (113 m d'altitude de Bortuste)
avec le GR T02 totalement inconnu pour moi, il monte au Mont Calvaire et dans
la Lande. [C'est un projet avec nos homologues
espagnols pour interconnecter le GR®10, côté France, avec les
GR®11
et 12 côté Espagne. La carte ci-dessous est en cours d'élaboration, tous les GR®T
n'y figurent pas. A terme, le réseau comprendra 20 liaisons transfrontalières.
Info GR GR® T2 ITINERAIRE
COMETE. et itinéraire reprend, dans la mesure du possible, le parcours
qu’utilisaient les passeurs du réseau « Comète » en Pays Basque, pendant la
Seconde Guerre Mondiale, pour l’évacuation des aviateurs alliés vers l’Espagne.
Vous trouverez tout les renseignements sur le site ; http://cdt64.media.tourinsoft.eu/upload/Fiches-Rando-2013-Comete.pdf]. Je pense que cela va être sympa de
remonter jusqu’au calvaire avec un chemin balisé Blanc et Rouge, généralement
ces itinéraires sont parfaitement entretenu. J’emprunte le sentier qui grimpe
sur le flanc de la colline, à la
fourche il bifurque sur la gauche pour
rejoindre le GR 10. Le calvaire est indiqué à droite. Bien vite je déchante,
malgré la trace que j’ai vu tout à l’heure qui me semblait bien dégagé, en bas
j’y renonce vite, il me manque un coupe, coupe pour me frayer un chemin dans
des fougères aussi haute que moi. Je n’insiste pas, tant pis pour le calvaire.
Je fais demi tour, avise sur la gauche un sentier contournant une propriété,
m’évitant de rejoindre la route, je retrouve un chemin et le GR T2. Nous sommes
dans une
lande constitué de taillis comportant quelques arbres,et des chevaux
en libertés. Le chemin est beau et débouche à Petrusenborda comme nous sommes
coté prairie il faut franchir la clôture, manque de chance les cheveux sont
réunis à cet endroit, le foin étant disposé proche de l’entrée. Je dis dommage
parce que si j’avais connu la suite j’aurai fait en sorte de pouvoir prendre la
route. En regardant la carte je me rends compte que je vais avoir bientôt un
gros problème il faut franchir l’autoroute. Le choix de la sortie dépend donc
des ponts permettant de la traverser. Je peux sortir à Petrusenborda et
franchir l’autoroute à
Oihanburua, ou remonter vers Larretxekoborda et franchir
l’autoroute à Kurleku. Je choisi cette solution. J’avise un chemin sur la
gauche longeant les maisons, je pensais sortir plus loin. C’est un beau chemin
longeant une courbe de niveau. Au moment de sortir par la route carrossable je
me rends compte que le chemin devient carrossable et se poursuit sur la gauche.
Sur la carte il est sans issu, je pense à tord que devenu carrossable il
débouche. Au lieu de sortir j’emprunte se magnifique chemin parallèle à la
route. Malheureusement il se termine dans la jachère. Trop tard pour faire
demi-tour, j’avise le
pylône d’une antenne émettrice au sommet de la colline,
et je pense que j’y trouverais une voie de sortie. Obligé qu'il y est quelque
chose la haut pour entretenir l'antenne et cela me rapproche du pont pour
passer l'autoroute. Je remonte la colline en serpentant entre les ajoncs, et
les touffes de chardon. Dans le haut je trouve une piste carrossable très
herbeuse et une barrière que je peux franchir. Derrière se trouve un parking
peut être pour les estives, un beau chemin menant au calvaire et une belle vue
sur la plaine et la mer. Descendons la rue du calvaire, nous passons
l’autoroute après un virage en épingle à cheveux. Ensuite je fais une
grossière
erreur, au lieu de suivre après le pont la route de gauche me faisant rejoindre
le GR 10 qui me conduit directement à la gare, je prends le chemin de droite
qui me semble moins bitumineux. Il faut que je vous dise qu’en prenant ce
chemin j’ai perdu le temps que j'avais gagné en coupant par le plateau. Ne
connaissant pas la configuration des lieux, pour moi Hendaye, est en bas, face
à moi, alors qu'il se trouve plus à gauche et que la gare ne se trouve pas en
centre ville, mais à la frontière qui est encore plus à gauche. Je me crois
arrivé. Après la petite route qui monte je suis dans les bois sur
un chemin
carrossable débouchant sur le bitume. Arrivé à Lafitenborda je prends la route
de droite jusqu’au grand rond point de la Croix des Bouquets, il me semble
préférable de prendre la D 658 itinéraire Hendaye poids lourd, que la D
810 Hendaye autoroute. Je commence à
descendre et à l’embranchement de la route d’Orio (balisage jacquaire) je ne
percute pas qu’il faut que je prenne cette route pour rejoindre le centre de
Hendaye. Je poursuis la départementale et m’aperçois bien trop tard qu’elle
m’emmène bien trop à droite. Je n'ai pas besoin d'accélérer le pas la route
descend il suffit de se laisser aller. Avec les maisons je
comprends vite que
je ne trouverais jamais de chemins me ramenant sur la gauche. Il faut descendre
jusqu'à la mer. Plus bas ce sont des routes conduisants à des campings et j’ai
peur de ne pas pouvoir poursuivre, d'être obligé de faire demi tour, de perdre
du temps. après avoir traversé la ligne
de chemin de fer me voilà à Agerria et presque à la pointe Saint Anne. J’avais
de l’avance et voilà que je vois le temps qui passe. Le temps est magnifique,
la mer est belle, on bronze sur la plage, il y a peu de baigneur en ce début
juin. Quelques photos des deux jumeaux. Je longe la plage d’Hendaye par la
promenade,
coupe en prenant la rue des érables et prend tout de même le temps
de visiter l’église [L'église Sainte-Anne à Hendaye a été reconstruite au
début du XXe siècle,. elle est est l'œuvre de deux architectes, Martinet et Verdeil.
Sa façade-pignon est précédée par un porche ouvert asymétrique. Elle est
également flanquée d'un clocher-tour hors-œuvre à l'angle nord-est. A
l'intérieur, la nef compte deux niveaux de tribunes de bois, le chevet à 3 pans
est entouré d'un déambulatoire qui dessert 3 chapelles rayonnantes
semi-circulaires. Les vitraux, réalisés vers 1930, présentent un vaste cycle
figuré. L'orgue date de 1938. http://www.hendaye-paysbasque.com/il_etait_une_fois/eglise-steanne.php]. L’église servant de rond point, je prends le
Boulevard du Général Leclerc, sur la droite pensant que le centre ville se
trouvais ici et je me retrouve en bordure de mer devant
le casino, comprenant
que je ne trouverais pas la gare de ce coté, je prend sur la gauche la
promenade de la mer. [Hendaye est à la pointe
sud-ouest de la France et la dernière ville côtière avant l'Espagne. La commune fait partie
d'une ancienne province du Pays
basque, le Labourd.S a limite au nord, s'ouvrant sur la Côte
d'Argent de l'Atlantique, est bordée par
la baie du Figuier et la baie de Lohia dans le golfe
de Gascogne. Elle est baignée à l'ouest
par la baie de Txingudi (estuaire de la Bidassoa), qui la sépare de l'Espagne. A Hendaye se trouvent la plus longue plage de la Côte
basque (3,5 km), le château
d'Abbadia et le domaine du même nom.
C'est également un port de pêche. En 1598, Hendaye obtint le droit de
construire sa propre église, et se détacha de celle d'Urrugne. L'autorisation
lui fut accordée par
l'évêque Bertrand d'Etchaux : « Comme
soit ainsi qu'en l'année mil cinq cens quatre-vingt dix huit, les habitants du
lieu de Hendaye qui dépendoient tant au spirituel qu'au temporel de la paroisse
d'Urrugne, eussent obtenu permission de construire une église à part pour la
commodité du peuple qui estoit beaucoup accru audit Hendaye, à condition
néanmoins qu'elle soit une annexe de l'église matrice dudit Urrugne et le sieur
Urtubie en seroit le patron. » Ville frontière entre la France et l'Espagne, Hendaye a
connu bien des turbulences à l'occasion des
nombreuses guerres entre les deux nations. Lors de la guerre franco-espagnole,
la ville fut prise en septembre 1636 par les Espagnols. Témoin de ce passé, le
fort Gaztelu zahar
maintes fois détruit puis reconstruit, qui fut embelli par les travaux de Vauban puis définitivement rasé ainsi que toute la ville lors
des guerres de la Révolution. C'est sur l'île
des Faisans au milieu de la rivière
Bidassoa que le roi Louis XIV
rencontra le roi d’Espagne et que furent signés le traité des Pyrénées
en 1659 et plus tard le contrat de mariage entre Louis XIV et
l'infante Marie-Thérèse. En 1867, Urrugne restitue à Hendaye 762 hectares
concédés par Louis XIV. La
commune était jusque-là un village vivant sur 33 hectares. C'est à la gare
d'Hendaye qu'eut lieu, le 23 octobre 1940, l'entrevue entre Hitler et le général Franco, ce dernier respectant l'engagement pris lors des accords Bérard-Jordana
signés le 25 février 1939 et
réaffirmant le non-engagement de son pays dans la Seconde Guerre mondiale. Wikipédia]. A l’angle d’une rue mais je n’ai pas noté le nom
je trouve une plaque indiquant le départ du GR 10. Je prends la rue des
Eucalyptus sur la gauche, pensant me diriger vers le centre ville et débouche
de nouveau devant la mer et la baie de Chingoudy ce doit être l'estuaire de la
Bidassoa, c'est beau, on devine l'Espagne sur l'autre rive. je retrouve le GR
10 puis le GR T01, par le boulevard de la Baie, puis les jardins de Pierre Loti
me faisant regagner la gare par une belle promenade ou l'on trouve les ruines
d'une
ancienne fortification en bordure de la baie. Si je trouve des
fortifications c'est que la ville est derrière, je quitte le marquage remonte
en ville, par les rues Pierre Loti et du Port pour trouver la gare qui pour moi
est au centre, me plante un peu dans les rues de Hendaye ayant perdu les
marques du GR. Personne dans les rue en ce samedi après midi, doivent être tous
à la plage, ou calfeutré au frais chez eux. Pas un panneau indique la gare. Je
panique un peu, aperçois un poteau de caténaire, avoir fait tout cela et louper
son train pour ne pas avoir sut lire sa carte, pour avoir été trop confiant. Je
retrouve un balisage, et enfin une information, je suis arrivé à la gare à
l'heure prévu.
Pour terminer, une fois de retour à la maison je consulte un ostéopathe qui constate que mon bassin est déplacé. Suite, certainement à ma chute, il y a deux ans dans un escalier qui ma immobilisé une quinzaine de jours à l’hôpital pour des cotes cassées et un hématome au niveau du foie.
Dénivelée positive accumulée: 507.77 m
Dénivelée négative accumulée: 566.67 m
Pourcentage de montée: 6.08 %
Pourcentage de descente: 5.46 %
Montées |
Distance Km |
Km au total en % |
Vitesse en Km/h |
Temps h:m:s |
|
|
||
|
Entre 30 et 55% |
0 |
0 |
0 |
0:00:00 |
|
|
|
|
Entre 15 et 30% |
0.278 |
1.24 |
5.06 |
0:03:18 |
|
|
|
|
Entre 10 et 15% |
1.064 |
4.73 |
5.03 |
0:12:41 |
|
|
|
|
Entre 5 et 10% |
2.382 |
10.59 |
5.02 |
0:28:29 |
|
|
|
|
Entre 1 et 5% |
4.623 |
20.55 |
4.97 |
0:55:48 |
|
|
|
|
Total |
8.347 |
37.1 |
4.99 |
1:40:16 |
|
|
|
Descentes |
||||||||
|
Entre 1 et 5% |
5.224 |
23.22 |
4.96 |
1:03:11 |
|||
|
Entre 5 et 10% |
3.812 |
16.95 |
4.98 |
0:45:58 |
|||
|
Entre 10 et 15% |
0.926 |
4.11 |
5.01 |
0:11:05 |
|||
|
Entre 15 et 30% |
0.41 |
1.82 |
5.02 |
0:04:54 |
|||
|
Entre 30 et 55% |
0 |
0 |
0 |
0:00:00 |
|||
|
Total |
10.371 |
46.1 |
4.97 |
2:05:08 |
|||

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