Mon étape nous emmènera de Gênets à Pontaubault en Normandie dans la baie du Mont Saint Michel.
Le sentier du littoral - Les escaliers des Douaniers.
Mardi 29 août
2023 ;
L’ancêtre du sentier du littoral, le « sentier des douaniers », est né à la fin du XVIIIe
siècle afin que les garde-côtes exercent leur mission de surveillance.
Cela consistait alors en un passage courant tout au long de la mer,
laissé libre de propriété riveraine, mais aussi d’aménagement. Ce
cheminement permettait de franchir les obstacles naturels (falaises,
escarpements) et d’optimiser la surveillance de l’horizon par
l’installation de cabanes en gabions.
pesté
durant cinq jours, surtout que les trois premiers jours j'avais 3800m de
dénivelés positifs pour 78 km.Carte Open Street Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps
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Le code mobile de cette randonnée est b340289
Carte mobile VisioRando Toucher le lien puis le rectangle à coté du numéro
Km Temps Arrêt vd vg dénivelé
Deux jours de marche, deux jours de plat, deux jours un peut ennuyeux.
Genêts en
bordure de la baie du Mont Saint Michel, l'un des départs actuels pour la
traversée de la baie. Bien que j'avais prévu la traversée pour terminer le chemin dit des
"Anglais", ce ne fut pas possible la semaine où
je me promenais autour du marais. Pour faire le tour du marais on en fait le
tour, c'est même un peu long. Etant accompagné j'ai emmené trois pairs de chaussures. Mes chaussures de marche à tige haute pour les falaises, mes chaussures taille basse que je mets lors de mes marches à Fontainebleau, elles ressembles à des baskets. Des sandales, pour la marche dans les dunes, le sable mou entrant dans les chaussures m'avait il y a quelques années décollé les ongles en s'accumulant en bout de la chaussure, mes petites guêtres étant inefficace. J'ai essayé et je ne renouvellerais pas l'expérience les sandales. Le sable passant sous les lanières et avec le frottement, la
peau ne le supporte pas longtemps. Sur de moi, je prends mes chaussures basse. On me ramène à mon point d'arrivé d'hier après midi, je fais le tour de l'église que je n'avais pas eu le temps de faire hier. Faut préciser qu'entre le lieu de couchage et les départs des deux premiers jours la distance en voiture est un peu grande, pour des économies, plus que par écologie, la personne qui m'accompagne ne rentre pas à la location, les visites pour occuper le temps, n'étant pas son attrait, n'y la plage ou la baignade, (faut dire que dans la baie du Mont Saint Michel cela ne donne pas envie. A marée basse c'est vert (les près salés) et gris de vase. Elle attend sur un banc ou en voiture les 6 ou 7 heures qu'il me faut pour parcourir la trentaine de kilomètres, qu'elle met 15mn à parcourir en voiture. Hier avec mes 45 mn de retard sur le temps prévu, je n'ai pas imposé une attente supplémentaire.
Histoire
une formidable porte d’entrée pour comprendre ce
paysage qui semble immuable. La pointe est constituée par les
plus vieilles roches de la baie. Ces roches forment maintenant un cap
effilé qui marque la frontière entre les estuaires de la Sée, de la
Sélune et les immensités des grèves de la Grande baie. Couvert de
lichens orange du genre xanthoria et profondément carié par le sel, ce
cap est aussi un formidable belvédère pour observer le grand phénomène
naturel de la baie, le mascaret. Expression exceptionnelle des plus
fortes marées d’Europe, le mascaret déferle sur les rives des chenaux
des rivières avec le flot en une vague de 20 à 70 cm de hauteur. Le
phénomène n’est visible qu’en période de grandes marées dont le
coefficient dépasse 90. À chaque grande marée, entre le Grouin du
Sud et la pointe de Roche Torin, c’est jusqu’à 200 millions de mètres
cubes d’eau de mer et de sédiments qui entrent dans la zone estuarienne.
Son rôle pour l'avifaune est multiple : c'est un reposoir pour le Tadorne de Belon, une zone de gagnage diurne pour le Colvert, le Siffleur et la Bernache cravant, de gagnage nocturne pour la Sarcelle d'hiver, le Siffleur et la Bernache cravant. De plus, cette zone constitue un territoire de chasse hivernal pour deux espèces de rapaces peu répandues : le Hibou des marais (Asio flammeus) et le Busard des roseaux (Circus aeruginosus). En sus, on y a déjà observé la nidification du Tadorne de Belon (Tadorna tadorna), du Vanneau huppé (Vanellus vanellus). Enfin la Caille des blés (Coturnix coturnix) est également détectée -une dizaine de chanteurs en 2009- mais sans nidification clairement établie.
l’abbaye de Saint-Sever.
Après la conquête de l’Angleterre, en 1066, pour avoir fourni soixante
navires au duc Guillaume, il obtint du nouveau monarque le comté de Chester,
l’un des plus stratégiques d’Angleterre. Ce domaine royal avait en
effet la particularité de se situer au contact du pays de Galles alors
agité par des révoltes. Assumant pleinement son rôle de représentant du
pouvoir anglo-normand, Hugues réprima avec une grande cruauté les
agissements de ses turbulents voisins.
Devenu le gardien des frontières nord-ouest du royaume, sa
fortune immense le propulsa au sommet de l’aristocratie anglo-normande
et lui permit de déployer à sa cour un faste hors du commun, digne d’un
grand prince. En 1154, Henri II Plantagenêt, comte d’Anjou, duc de Normandie et d’Aquitaine, devient roi d’Angleterre. La Normandie constitue la clef de voûte d’un vaste domaine territorial qui s’étend de l’Écosse aux Pyrénées.
de Chester, vicomte d’Avranches et de Bayeux, devient duc de Bretagne en 1188, à la suite de son mariage avec Constance de Bretagne,
l’héritière du duché breton. Mais cette union est de courte durée et la
Bretagne recouvre rapidement son indépendance. De son côté, Philippe Auguste, le roi de France, ne pense qu’à subtiliser la Normandie aux Plantagenêt.
En 1199, meurt Richard Cœur de Lion, le célèbre souverain du royaume anglo-normand. À la même époque, son neveu Arthur, duc de Bretagne, prête hommage à Philippe Auguste ; furieux de cette alliance, Jean sans Terre, jeune frère et successeur de Richard, emprisonne Arthur à Rouen avant de le faire assassiner en 1203. Le roi de France, profite de cette nouvelle crise pour convaincre ses
vassaux Bretons de l’aider à reconquérir la Normandie occidentale. La vicomté d’Avranches est arrachée au comte de Chester impuissant ;
comme tous les seigneurs anglo-normands refusant de reconnaître
l’autorité nouvelle du roi de France, Ranulf perd toutes ses
prérogatives et possessions normandes. De 1226 à 1234, l’Angleterre refuse cette annexion forcée et
tente de reprendre pied sur le sol normand en exerçant un harcèlement
constant depuis les marches de Bretagne en direction des places
fortes
de Saint-James et Pontorson et sur Avranches en 1229. Puis, en 1232, Saint Louis obtient de la noblesse du Cotentin, et plus particulièrement la famille Paisnel d’Avranches, qu’elle se ligue contre une Bretagne orientale sous domination militaire anglaise.
En 1236, afin de verrouiller définitivement ce secteur de
Normandie et surtout de se prémunir contre d’éventuelles agressions
étrangères, le roi de France rachète la vicomté d’Avranches ; Saint
Louis, qui séjourne à deux reprises dans la cité en 1256 et 1269,
s'attache à lui redonner l’apparence d’une place forte désormais royale
en la dotant de nouveaux remparts entourés de fossés. Avranches fut dévastée par les huguenots en 1562. Pendant la Virée de Galerne, la ville est prise presque sans combat par les Vendéens le . La ville est abandonnée cinq jours plus tard à la suite de l'échec du siège de Granville et reprise par les Républicains le . Ces derniers capturent plus de 800 traînards
vendéens, la plupart malades ou blessés, qui sont fusillés au champ de
Lansoudière et au plateau de Changeons sur l'ordre du représentant en
mission Laplanche.
fonctionna que de 1907 à 1915.
Bassin parisien. wikipédia
La cathédrale Saint-André d'Avranches de style roman
apparaît pour la première fois dans les textes en 1025, au moment de sa
reconstruction. Celle-ci s’échelonna sur près d’un siècle ; peut-être
même y eut-il deux campagnes de construction. Elle fut consacrée le . La principale faiblesse de la cathédrale résidait dans sa
situation : exposée en première ligne, elle fut la cible de toutes les
attaques et, à diverses reprises, dut être consolidée. En 1798, à la Révolution, la cathédrale fut réduite à une simple église paroissiale. Le ,
la voûte de la croisée s'écroula. Par souci de sécurité, le conseil
municipal ordonna d'abattre les derniers murs de la nef et de la tour
horloge en 1802. Les deux tours romanes de la façade furent maintenues
jusqu’en 1812. Sur le site de l'ancienne cathédrale Saint-André a été aménagé le
square Thomas-Becket, à l'entrée duquel se trouve une dalle située à
l'emplacement du portail nord de la cathédrale où Henri II Plantagenêt vint faire pénitence dans l'espoir d'expier le meurtre de Thomas Becket. Aucun vestige de la cathédrale Saint-André ne subsiste in situ. La cathédrale de Canterbury dans le Kent en Angleterre fut bâtie selon les mêmes plans que Saint-André d'Avranches. wikipédia
L’ancienne église Notre-Dame-des-Champs d'Avranches (XVIIe – XIXe siècles),
place Carnot, était située, comme son nom l’indique, à l’extérieur de
la ville, au sud. Cette église d’une grande simplicité, connue grâce à
une photo et quelques gravures, datait de la fin du XVIIe siècle.
Devenue trop petite et des travaux devenant nécessaires, on admit
l’idée, vers 1855, de construire un nouvel édifice. Des plans et un
devis furent dressés par l’architecte Théberge, « enfant de la
paroisse ». Toutefois, il fallut attendre le pour assister à la pose de la première pierre par le préfet de la Manche en présence de Jean-Pierre Bravard,
évêque de Coutances et d’Avranches. Alors, les travaux commencent
vraiment tout en suscitant de nombreuses interrogations ; le projet de
Théberge est gigantesque et beaucoup se demandent comment le financement
du projet sera possible. Le style « néo-gothique » décidé par l’architecte implique la
réalisation d’un bâtiment aux proportions audacieuses qui rompent
complètement avec celles de la modeste église que l’on souhaite
remplacer. Les moyens de la ville et de la paroisse sont insuffisants,
d’autant que la reconstruction de Saint-Gervais a coûté fort cher, et,
en 1865 le maire d’Avranches et l’archiprêtre se
déplacent à Paris afin
de solliciter l’aide financière de l’État. Cette aide longtemps réclamée
ne sera finalement octroyée qu’en 1876 et la consécration de l’église,
par l’évêque Abel-Anastase Germain aura lieu le . La lente construction de l’édifice fut émaillée de nombreux
événements parfois tragiques comme, en 1868, le décès d’un ouvrier maçon
âgé de 27 ans, tombé de la hauteur de la rosace où il travaillait. L’architecte Théberge, mort en 1866, est remplacé par Cheftel. La Première Guerre mondiale
mobilise toute la main d’œuvre, et les deux tours de la façade sont
achevées entre 1926 et 1937. À cette époque, on installe également les
grandes orgues dont la soufflerie bénéficie aussitôt de l’électricité.
En ,
l’église est gravement endommagée par un incendie consécutif au
bombardement de la ville. Les travaux de restauration se prolongent
plusieurs années et la réouverture au culte n’intervient qu’en février
1962.
wikipédia
rocheuse à l’embouchure du Couesnon,
entre Normandie et Bretagne. A son réveil, Aubert cru à un cauchemar. La
troisième nuit, pour que le message pénètre bien, Saint-Michel lui
aurait enfoncé le doigt tellement fort dans le crâne, qu’un trou se créa
! Aubert n’hésita plus et se mit à pied d’œuvre pour construire un lieu
de culte sur le Mont Tombe. https://www.ot-montsaintmichel.com/je-decouvre/prolonger-la-decouverte-de-la-baie/la-baie-du-mont-saint-michel-cote-normandie/avranches-son-tresor-et-le-scriptorial/ont presque totalement disparu du paysage urbain, mais la distribution des venelles et une quinzaine
de celliers voûtés au rez de-chaussée des maisons sont encore conservés. Ces celliers voûtés constituaient le rez-de chaussée de maisons dont on peut faire remonter la construction vers le commencement du XIIle siècle :les voûtes d'arÇtes reposent sur des consoles murales et, au centre, sur des colonnes monolithes, aux chapiteaux d'une grande sobriété.
a rue de Geôle tient probablement son nom de la prison aménagée, soit dans l'une des tours de la porte de Ponts, en contrebas, soit dans l'un des édifices qui bordaient autrefois la rue.
ur un plan du XVI|e siècle, la voie porte également le nom de « rue de la poste », preuve qu'un relais pour voyageurs devait y exister. Un tel établissement laisse entrevoir l'importance de cette artère, passage obligé entre les deux entrées fortifiées, qui permettait la traversée de la ville. Un examen archéologique du bâti de la rue de Geôle, effectué avant les destructions nécessaires liées à la création du centre du livre Manuscrit, a permis de déceler une phase d'urbanisation datant de la fin du Moyen Age : les deux rives de la rue étaient bordées par des maisons de marchands à pans de bois. A la fin de l'année 2004. Furent découverts deux murs gallo-romains, orientés nord-sud, sous la chaussée de la rue de Geôle, avec des niveaux de sols bien conservés et la présence d'un mobilier indiquant sans
Construit au cours des premières années du X1e siècle, le donjon d'Avranches est l'un des plus anciens
de Normandie, avec ceux de Rouen et d'Yvry-la-Bataille (27). Pour les ducs de Normandie Richard I
et son fils Richard ll. siégeant alors à Rouen, il sagit de verrouiller la frontière du duché face à la Bretagne et au Maine. Il fut occupé par des comtes puis des vicomtes qui étaient soit de proches parents de la famille ducale, soit leurs fidèles alliés. Ces personnages importants, en plus d'être de puissants
seigneurs, sont de véritables « fonctionnaires » du duché. Le premier comte connu est un certain Robert, demi frère du duc.
En l066, Hugues d'Avranches apporte sa contribution à la conquete de l'Angleterre en fournissant
soixante navires au duc Guillaume qui, afin de le récompenser, lui confie le comté de Chester.
Ce personnage haut en couleurs est assez bien connu pour avoir attiré, sur lui l'attention des
chroniqueurs de son temps. Orderic Vital, moine de Saint-Evroult, fait mention,du faste déployé à sa
cour. Guillaume le Conquérant l'a doté de nombreux territoires en Angleterre ; sa fortune le place au
sommet de l'aristocratie anglo-normande il est décrit comme « un soldat, capable et dur »,
« plus chasseur qu'amides moines », «adonné à la gloutonnerie et énormément gras »,« père de
nombreux bâtards ». Cependant ce personnage est avant tout un fidèle du Conquérant qui l'a fait
gardien de la frontière galloise. Le vicomte d'Avranches, comte de Chester, semble remplir son rôle à
merveille. Son expérience militaire lui permet de maintenir les frontières du.nord-ouest du royaume,
surnommé le « Loup ». Hugues d'Avranches meurt en II01, dans son comté de Chester. Son fils Richard Il Goz prend sa suite. Preuve de l'importance des vicomtes d'Avranches, il épouse Mathilde, la seconde fille d'Étienne de Blois. Richard, digne successeur de son père, est promis à une grande carrière. Mais, en novembre 1120, il disparaît dans le naufrage de La Blanche Nef. Il périt sans laisser de descendance, aux côtés des forces vives de l'aristocratie anglo-normande. Cette catastrophe est un véritable coup dur pour le royaume ; beaucoup de fiefs importants se trouvent alors sans héritiers. Les possessions des vicomtes d'Avranches passent aux mains de leurs cousins de Bayeux, les Briquessart. Dès lors, Avranches perd son rôle de « capitale historique » du domaine
Chester: Le domaine des Goz, annexé à celui des-cousins du Bessin, n'est plus qu'une simple composante d'un ensemble beaucoup plus vaste.
Le bâtimnent
Le donjon d'Avranches mesurait 36 m de long sur 26 m de large et s'élevait sur trois niveaux. Du fait de son organisation interne autour d'espaces distincts (grande salle, chambre, et peut-être chapelle)., mais
aussi de son ancienneté, il est considéré aujourd'hui comme un prototype des donjons anglo-normands qui se multiplieront notamment en Angleterre après la conquête de 1066. Pour les archéologues
britanniques, le donjon d'Avranches est un des modèles qui inspira Guillaume le Conquérant lors de la
construction de la célèbre Tour de Londres. En 1848,le donjon d'Avranches fut traversé, de part en part,
ainsi la disparition des derniers, volumes internes conservés : une portion de cellier voûté et une grande
salle à l'étage aujourd'hui connues par quelques photos. Par la suite, les vestiges du donjon restèrent cachés par plusieurs, maisons. venues s'adosser contre ses parois millénaires;il fallut attendre les bombardements alliés de juin 1944 pour les voir réapparaître !Une étude récente du site à permis d'identifier les maçonneries subsistantes situées de part et d'autre de la rue de la Belle Andrine: outre une partie non négligeable du mur sud, le mur nord et une porte interne visible dans la propriété
Mont Tombe une chapelle. Après les invasions des Vikings àla fin du IX siècle, Richard 1er décide de remettre de l'ordre dans les abbayes normandes, au milieu du X siècle. En 966 au Mont, les derniers religieux sont priés soit de partir, soit d'intégrer la nouvelle communauté qui s'y implante. Ces moines sont des fils de saint Benoit, venus en majorité de l'Abbaye de Fontenelle situe à Saint-Wandrille en pays de Caux. Durant huit siècles ils vont administrer et développer cette Abbaye, faisant tout à la fois une maison de prière à travers l'histoire, une maison d'accueil en devenant l'un des centres de pèlerinage le plus fréquenté du Moyen-âge et une forteresse qui ne sera jamais prise par l'ennemi. Les moines sont chassés par la Révolution et l'Abbaye devient une prison d'état. Il faudra attendre la fin du XIX° siècle pour commencer les travaux de restauration.
en 1791.
-Michel" invite son assocition, les bénédictins puis l'Etat à clébrer les mille ans de l'arrivée des premiers fils de saint Benoit sur le Mont. Son amitié avec Angre Miraux (alors Ministre des Affaires Culturelles), permet d'ouvrir les portes de la forteresse pour qu'une communauté provisoire s'installe dans l'Abbaye en 1965/1966, le temps de la commemortion. 82 moines de 32 abbayes différentes se succèderont pour assurer la vie de priere dans l'êqlise abbatile. De très nombreuses personnalitás civiles, reliqieuses et militires participeront à cette fête : Monsieur Georges Pompidou, Premier Ministre, les
qui sera dirigée et enfermée dans l'église suite aux déraillements de trois trains de munitions
et de troupes près du pont de la Sélune. Les absents seront désignés comme suspects. Des otages seront choisis et exécutés. Il manque treize personnes. Les habitants doivent leur salutà un soldat allemand qui servait d'interprète. Son coeur battait français. ll parvient à escamoter les noms. Il bredouille en lisant et annonce finalement quil ne manque personne. Les Allemands renoncent. Ils laissent les habitants rentrer chez eux. Par son courage, ce soldat sauva plusieurs vies humaines ; celles de gens qui auraient dû être fusillés sous prétexte que des sabotages venaient du village. Dans une lettre datée du 25

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