lundi 2 octobre 2023

Randonnée Le Plus Loin Possible 2023 ; Etape 1076 – Saint Etienne de Baigorry - Bidarray














Mercredi 31 mai

 Carte IGN     TraceGPS     Trace Randogps

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Le code mobile de cette randonnée est b332733

Km   temps    arrêt     vd     vg          dénivelé

20     4h30      1h30    4,6   3,3      1198 + 11276 -

 IBP 110 HKG

 Sur un blog ; voici ce que j’y trouve sur la balade d’aujourd’hui. Longue crête orienté « Nord-Sud » les crêtes d’Iparla relient d’un seul trait le col d’Ispéguy au dessus de St Etienne de Baïgorry au village de Bidarray. Déroulant une pente débonnaire sur ses flancs Ouest, le versant Est plonge abruptement de 300 à 500 mètres. La randonnée qui se déroule sur le fil de cette belle cassure offre un panorama autant vers les confits de la « haute chaîne Pyrénéenne » que vers l'océan atlantique. En effet la vue porte jusqu’au Pic du Midi de Bigorre, le Balaïtous, le pic d’Anie et vers la baie de St Jean de Luz, l’Océan Atlantique, la forêt Landaise. Ces deux caractéristiques, le cheminement en balcon et la vue, font de cette randonnée une des grandes classiques et une des incontournables de la montagne Basque. S’agissant d’une étape du GR 10 le balisage pour la montée est bien marqué. Attention toutefois par temps de brouillard. Je vous invite à consulter ce blog, les photos sont magnifiques et sans nuages. Beaucoup plus belles que les miennes. http://pyreneesenpartage.blogspot.com/2015/12/les-cretes-diparla-pays-basque.html

Il fait beau, mais les nuages montent du bas de la vallée. Il paraît que c’est signe de beau temps. Par moment je ne vois plus la montagne. Ce matin en descendant l’escalier, j’ai senti mon genou. Au petit déjeuner on me prévient que la supérette est ouverte dès 7h30 et que je peux y faire mes emplettes. Je remercie mais je les ai faites hier.  Comme j'ai mal au genou, je décide de boycotter le Gr 10 et de prendre la route au pied de la montagne. Par la vallée on peut rejoindre Bidarray sans grimper. Toute la journée d'hier j'ai vu ce qui m’attendait et je n'ai pas envie de faire les crêtes. J'ai repéré une petite route qui longe la Nive. Je mets ma genouillère et me voilà partie. Pas de chance ce matin, sortant de trois hébergements différents des couples avec de gros sacs à dos se dirigeant également vers le Gr. J’espère qu’ils se dirigent vers la méditerranée, sinon, ils vont me voir tricher. Aujourd’hui je n’aurai pas été seul sur le chemin. Personne ne se dirige vers le Golf du Lion, ils vont tous vers l’atlantique. Nous traversons ce charmant, mais très long village basque aux volets rouges. Passons devant l’église, puis sur les hauteurs justes derrière les maisons nous apercevons le château, au carrefour nous retrouvons le GR à droite la méditerranée, tout droit l’Atlantique. J’essaie de mettre de la distance entre les couples qui marchent devant moi. Je traîne, fait semblant de téléphoner. J’aimerais qu’ils soient loin au moment de la bifurcation avec le GR.  Au petit carrefour dans le virage nous prenons à gauche et passons le pont au dessus de la Nive des Aldudes, ou nous avons une vue sur le pont construit par les romains. Nous arrivons sur la petite place du village. Le GR tourne sur la gauche, j'ai un peu honte, de poursuivre tout droit. Pas de chance les petits groupes se sont arrêtés pour des photos. Ils partent à gauche, ils ne se retournent pas pour voir si je suis. Je me trouve toute les raisons possible pour ne pas les suivre. J’ai une douleur au genou, avec la pluie qu'il est tombé hier, ce doit être glissant la haut. Me voilà seul, je sors du village et emprunte sur la gauche la D 948, nous grimpons légèrement. Dans le virage nous prenons à gauche, la route n'est pas bien large. Je suis étonné je remarque par moment, des traces de balisage Jacquaire. Pour masquer ma tricherie, je pensais réaliser mes photos sur les montagnes depuis la route. Manque de chance des collines boisées cachent les sommets déchiquetés de la montagne et lorsque l'on voit les crêtes, il y a des maisons en contre bas.  A la fourche je laisse la route de gauche qui rejoint le GR. La route n’est vraiment pas bien large, un camion de ramassage de lait, prend toute la place. Je suis obligé de me garer dans l’herbe. La route est agréable, vallonnée, j’ai toujours une gêne au genou, mais pas de douleurs, je commence à m’ennuyer sur cette route, le temps semble ce dégager. Nous passons quelques hameaux Bethartea – Errekartea puis Arranbide, après les bois et les près, laissons la direction de Auzo TTipi sur la gauche, la route descend, passe un ruisseau, nous traversons le hameau de Urdosbehere. Ici les gens sont vraiment isolés, certain hameaux ne sont composés que de quelques maisons. La route après avoir descendue pour traverser le ruisseau remonte un peu, laissons un accès sur la droite à un hôtel restaurant dans ce hameau totalement isolé. A la fourche, Je regarde le GPS pour chercher ma direction. Je m'aperçois que par la route, je n'étais plus très loin de Bidarray, et qu’il n’est que 9h30, les crêtes dentelées sont passées, avec la genouillère je n'ai pas mal au genou, juste une gêne. Le temps semble s’être levé. Plus tard je m’apercevrais que je suis très mauvais météorologue. Laissons la route de droite en direction d’une fromagerie et rejoignant la route de Bidarray, prenons la route qui monte sur la gauche. D’ici, il y a possibilité de rejoindre le col de Harrietaka et le GR 10. Nous revenons sur nos pas, par une belle rampe bitumée. La montagne verdoyante se dégage devant nous. Traversons les quelques maisons de Urdoz, je remarque que la cloche de l'église est plus grosse que son clocher. Nous y rencontrons également une maison forte [La maison forte du quartier Urdos est mentionnée dès 1366 "Lasalle Durdoz". L'édifice actuel, qui conserve quelques vestiges de la maison-forte originelle, semble dater d'une campagne de travaux plus tardive, au XVIIe siècle (cheminées et porte d'entrée monumentale). L'édifice subit d'autres remaniements au cours des siècles suivants, et notamment au XIXe siècle, où le bâtiment devient le centre d'une exploitation agricole, avec de nombreuses dépendances accolées, une campagne de restauration est intervenue ces dernières années. La maison présente un plan rectangulaire et une élévation ordonnancée à trois travées et deux étages carrés en élévation antérieure Est. Les murs épais sont construits en moellon et pierre de taille de calcaire et de grès, et recouverts d'enduit. Elle est couverte d'un toit à longs pans et croupe de tuiles creuses, les tours d'angle au sud-est et en élévation nord reçoivent un toit polygonal de tuiles creuses. La tour nord, de plan circulaire, abrite un escalier en vis en maçonnerie. La tour d'angle sud-est présente un système défensif de meurtrières. La tour nord, de plan circulaire, abrite un escalier en vis en maçonnerie récent. A l'intérieur de l'édifice, on observe la charpente apparente, dont certaines poutres sont portées par des corbeaux moulurés, un escalier tournant en charpente du XVIIe siècle, ainsi que des cheminées à corbeaux triangulaires en quart-de-rond doubles (XVIIe siècle). http://www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/maisons-fortes-pyrenees-atlantiques-maison-a-st-etienne-maison-jauregia.html]. La route s’arrête sur la petite place. Le chemin carrossable monte, dans la forêt qui se nome d’après la carte Uxtolordoki, je devrais déboucher c’est un PR. L'on grimpe, et l'on grimpe, par moment le paysage se dégage. Enfin presque, il faut regarder entre les branches. Plus je monte et plus les nuages sont denses et cachent les sommets. Nous passons une bâtisse abandonnée certainement Askalauntze. On grimpe toujours. Le chemin n’est pas très mauvais. De 206 mètres je vais monter à 814 mètres. Enfin un replat nous traversons à gué un ruisseau. Je prends des photos pour faire croire à des cascades. En réalité l'eau descend qu'entre quelques petits rochers. Je suis doublé par un jeune couple de randonneurs. Je ne les reverrais jamais il devait faire le jaune et on bien dut se demander ce que je faisais avec mon gros sac de ce coté de la montagne au lieu d’être sur l’autoroute des Pyrénées. Me voilà reparti à petite vitesse, les kilomètres commencent à se faire sentir, le moral n’est pas très bon, mais c’est surtout un dénivelé d’environ 600 m de positif en une fois. Les 250 premiers mètres passe bien, mais les 200 suivant sont un peu durs, je m'arrête souvent. Nous arrivons à l'intersection du balisage jaune et du bâtiment de Saroixarreko. En poursuivant le chemin de droite (le PR), nous redescendons vers Urdoz par le col Larrarte. Dommage avec la forêt nous n'avons pas vu grand chose. Laissons le chemin de droite et prenons après une bonne réflexion le sentier face à nous. Une fois ici c’est un peut tard pour rebrousser chemin, il faut grimper dans les terres rouges, les deux cent mètres qu’il nous reste avant le sommet. Mais attention le col cela se mérite, et je commence à regretter de ne pas avoir poursuivi en vallée. Ce dernier kilomètre est difficile. 1 km sur la pancarte, mais 30 mn pour les parcourir. Cela n'en fini pas, le chemin n’est pas très bon, des ornières, des racines, des cailloux. Il est raide pourtant j'y rencontre des chevaux en libertés. Enfin on débouche au col Harrietako Lepoa on est à la frontière avec l'Espagne. Je retrouve le GR, la pancarte indique Bidarray à 8 km mais en 4h16 cela fait à peine du 2 à l’heure, c’est dire les difficultés que je vais rencontrer. Sur la crête, J'avais estimé que je ne devais avoir que du plat ou à peu près. Voir de la descente. Mal regardé la carte (je n'ai pas sorti du sac mes lunettes. On grimpe encore, vers le pic de Toutoulia 1096 m il y a une plaque (987 sur la carte). Aucune vue côté français les nuages montent de la mer (du moins de la vallée) et se cognent à  la montagne, avalent la crête par un beau rouleau et disparaissent. Côté Espagnol ce n'est que Brumeux. Nous passons plusieurs points peut faciles à grimper ou à descendre, ce doit être Parlako Lépoa 945 m, Puis le pic d’Iparla 1049m, une zone à peu prêt plate vers le Parlako Lepoa autour des 960 m, on quitte la frontière et passons le Larrateko Hegia 962 m. Le temps ne s’améliore pas de gros nuages traversent la montagne et me plonge dans un brouillard passager. Il est proche de midi, je croise les premiers groupes, ils sont déjà épuisé. Je suis le premier qu’ils rencontrent et me demande à qu'elle heure je suis parti. J'ai triché et pris pour moitié la route en contre bas. L'un me demande si l'on doit monter en face ? Ça l'inquiète, parce qu’il est fatigué, le faite d’avoir l’idée de pouvoir prendre la route le ragaillardi un peu. A un endroit je vois des Bouquetins un peu en contre bas. Comment font-ils pour tenir sur les rochers dans le ravin. Le temps ne s'arrange pas les nuages débordent sur le sentier, faut pas se tromper le sentier est rocheux parfois faut mettre les mains. La marche est haute. Le chemin n'est vraiment pas facile. Je ne regrette pas de faire les 25 bosses à Fontainebleau sans me détourner des rochers. Pas facile ce chemin. Enfin nous descendons. Bidarray est à 4 km mais il faut 2h00 pour descendre. Le groupe m'avait prévenu il y a deux pierriers à traverser. En effet des passages sont sur des rochers en dévers, ce n'est pas comme dans les Alpes avec des cailloux qui roulent sous les pieds vers le ravin. Nous sommes sur une crête en bordure de l'à-pic parfois je m'assoie pour franchir l'obstacle, ou je suis obliger de mettre les mains pour gravir. Pas facile ce chemin, vraiment pas facile. Heureusement je ne vois pas le vide, les nuages roulent toujours sur la paroi. Plus bas ce n'est pas mieux, pas de sentier, on marche sur le rocher en dévers, il a été installé une rampe en câble d'acier. Bien utile. Ensuite on a une crête célèbre puisqu'elle et en photo publicitaire à l'hôtel. Certain passage je les passe assis. Je n'ai toujours pas mangé. Je fais une pose commence à déballer, de gros nuage noir arrive, il me semble que cela tonne. Je remballe, il me reste encore 45 mn avant le village. C'est très pentue dans de la terre rouge. En bas il fait beau, c'est à ni rien comprendre. Je n'ai toujours pas mangé il est presque 15h00. Passons la barrière aux premières maisons, nous retrouvons le bitume. [Le nom de Bidarray vient du village, nommé Bidarray, où se situe le sanctuaire. Une possibilité est que Bidarray viendrait du basque bide qui signifie chemin et du basque arrantz qui signifie prunellier au sens général, épineux. Dans ce cas, Bidarray signifie le chemin dans les épineux. Une autre possibilité est que Bidarray viendrait du basque bide qui signifie chemin et du basque arraitz qui signifie pierreux. Dans ce cas, Bidarray signifie le chemin pierreux. https://www.le-bouquetin-boiteux.fr/2021/06/eglise-notre-dame-de-bidarray.html]. La route descend jusqu'à la petite place et le gîte d'étape. Ici le GR fait une épingle à cheveux. Je n'ai pas choisi le gîte j'ai choisi un hôtel en bordure de la Nive. Je longe le parking, l'épicerie puis l'auberge. Si vous avez des courses à faire profitez en, une fois en bas vous ne remonterez pas. Passons le fronton et l'église [L'église Notre-Dame de Bidarray se remarque par son imposant clocher-mur, édifié au XVIIe siècle, et ses façades basses en grès rouge. De l'époque romane, période architecturale qui est apparue vers l'an 1000 et qui prévalut en Europe jusqu'à la fin du XIIe siècle, et de son église en croix latine, il reste le chœur en arcatures sculptées, le chevet semi-circulaire aux baies sculptées et le portail d'entrée orné de chapiteaux feuillagés. L'église dispose d'un transept, daté du XVIIe siècle, de lambris de couvrement en voûtes d'ogives et de fenêtres néogothiques, datés du XIXe siècle, et de verrières, réalisées durant la seconde moitié du XXe siècle. A l'extérieur, un cimetière, dans lequel se trouve des stèles discoïdales, est accolé à l'édifice.

La date historique de création de l'église est inconnue mais un édifice, l'hespital de Bidarray, dont il ne subsiste plus rien, est cité en 1268.
En 1287, une commanderie est citée parmi les dépendances de Roncevaux. Une commanderie était un établissement à vocation religieuse, agricole et économique placé sous la responsabilité d'un commandeur et constitué de bâtiments d'habitation, de communs, d'annexes agricoles, d'une église ou d'une chapelle et, souvent, d'un hôpital. Peu de choses sont connues sur cette commanderie frontalière du territoire navarrais du Baztan. Elle jalonnait, comme beaucoup d'autres en Basse-Navarre et en Soule, les routes menant à Roncevaux. Ces commanderies avaient pour fonction principale de fournir la maison-mère, située donc à Roncevaux, en blé, en vin ou en cidre. La commanderie citée en 1287 disposait d'une chapelle, base de l'église actuelle, qui devait être assez sobre, et plus basse et plus courte que l'édifice actuel.
Jusqu'en 1580, la commanderie était l'unique domaine et habitat permanent du lieu. Elle assurait la mise en culture des terres environnantes en produisant du cidre en abondance grâce aux 500 pommiers de son verger.
Au cous du XVIIe siècle, la commanderie disposait d'un jardin, d'une vigne, d'un moulin, de terres cultivées et de prairies, et de nombreuses terres incultes faites de pâturages, de broussailles, de nombreuses fougères, de taillis, de bois qui alimentaient les forges et abritant des troupeaux de porcs transhumants. Durant ce même siècle, les premiers défrichements furent effectués autour de la commanderie et et quelques habitants s'installèrent. En 1677, soixante feux étaient dénombrés, et Roncevaux accepta alors durant l'année de céder la chapelle aux habitants pour pallier l'éloignement de l'église d'Ossès dont ils dépendaient pour le culte. La chapelle devint alors une église. Elle fut agrandie vers l'ouest, avec remploi du portail roman, et le transept et un nouveau clocher-mur de forme arrondie furent construits.
En 1712, lors d'un échange avec l'évêché de Bayonne, la mainmise des chanoines navarrais cessa. La paroisse était indépendante en 1723, et l'église devint église paroissiale. La commanderie fut affermée par la maison noble Ithurarde et les terres par différents particuliers.
Au XIXe siècle, la nef et le chevet furent exhaussés en moellons et ouverts de fenêtres néogothiques tandis que les travées occidentales furent augmentées de tribunes et qu'un lambris de couvrement en voûtes d'ogives fut disposé.
En 1925, l'église est inscrite aux Monuments historiques. En 1971, de nouvelles verrières furent réalisées par deux maîtres-verriers, Mauméjean et Lesquibe, suivis en 1985 par le maître-verrier Carrère. https://www.le-bouquetin-boiteux.fr/2021/06/eglise-notre-dame-de-bidarray.html]. Poursuivons la rue, nous au carrefour avec la croix, laissons la rue de gauche bordant la terrasse d'un estaminet. Prenons à droite la rue qui descend, elle nous donne une vue sur la vallée, la descente est longue, le village semble est divisé en deux le haut étant le centre enfin nous arrivons au niveau de la Dive. Entre les maisons nous apercevons le vieux pont et un hôtel à l'abandon. Traversons le vieux pont Le pont, lié à l'existence dès le XIIe siècle d'un prieuré dépendant, sur un des chemins de pèlerinage, de l'abbaye de Roncevaux, remonte au XIVe siècle. Son arche centrale, rompue par une crue de la Nive, fut reconstruite au XVIIe siècle. L'ensemble a été restauré en 1822. L'arche nord fut, vers 1895, détruite par la construction de la voie ferrée reliant Bayonne à Saint-Jean-de-Pied-de-Port. L'ouvrage, en léger dos d'âne, comporte trois arches sur la Nive, retombant sur deux piles à bec. Une quatrième arche subsiste côté sud, sur la berge. La cinquième arche, côté nord, a disparu au moment de la construction de la voie ferrée. https://monumentum.fr/monument-historique/pa64000073/bidarray-pont-noblia-sur-la-nive] je traverse la ligne de chemin de fer l'hôtel est se trouve derrièrele quai de la gare. Ma chambre avec terrasse donne sur le quai. Il y a des trains réguliers reliant Bayonne à Saint Jean Pied de Port. Je suis tellement fatigué que je pense à cette option. 
 Je ne serais pas mouillé aujourd'hui. [Quand vous arrivez à Bidarray, vous êtes dans la vallée de Nive. À seulement 15 min de Saint Jean Pied de Port (Plus Beaux Villages de France) et de Cambo-les-Bains (station thermale réputée), vous êtes en Basse Navarre, au cœur du Pays Basque.  

Perché sur son promontoire rocheux, la situation du village vous offre de magnifiques panoramas sur les montagnes. Depuis le bourg du village, vous pourrez apercevoir le début des falaises d’Iparla, site de randonnée par excellence, ainsi que les sommets de l’Artzamedi (“la montagne de l’ours” en basque) et du Baigura. 

La Nive qui coule en contrebas, transporte chaque année de nombreux amateurs de rafting et autres activités en eaux vives. https://www.en-pays-basque.fr/territoires-et-destinations/la-vallee-de-la-nive/bidarray/ ] Ce soir j'ai mal aux jambes comme le premier jour. L’hôtelier est surpris de me voir si tôt. Je lui dis que j’ai triché, ayant mal au genou j’ai pris en première partie la route jusqu’à Urdoz pour me préserver. Cela l'a, bien fait rire, je n’ai fais que de la monté et les plus dures… 

 Altitude maximale: 1023 m

Altitude minimale: 84 m

Pourcentage de montée: 13.37 %

Pourcentage de descente: 13.01 %

 

Montées

 Distance Km

 Km au total en %

 

 Entre 30 et 55%

 0.836

 4.13

 

 Entre 15 et 30%

 2.208

 10.92

 

 Entre 10 et 15%

 1.712

 8.46

 

 Entre 5 et 10%

 2.25

 11.13

 

 Entre 1 et 5%

 1.955

 9.66

 

 Total

 8.961

 44.3

 

 Descentes

 

 Entre 1 et 5%    

 2.647

 13.09



 

 Entre 5 et 10%

 1.93

 9.54



 

 Entre 10 et 15%

 1.998

 9.88



 

 Entre 15 et 30%

 2.538

 12.55



 

 Entre 30 et 55%

 0.693

 3.43



 

 Total

 9.807

 48.48



L'indice IBP est un système d'évaluation automatique de la difficulté d'un itinéraire parcouru en vélo tout terrain, en vélo de route, en randonnée pédestre ou en course.

Cet indice est très utile pour connaître la difficulté de différents itinéraires et afin de pouvoir les comparer.

Il est important de ne pas confondre le degré de difficulté d'un itinéraire avec l'effort physique déployé pour le réaliser : un indice IBP de 60 sera un parcours très difficile pour une personne non entrainée, normal avec une préparation physique moyenne et très facile pour un professionnel.

 

Le Plus des photos




























































 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 




























 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Pas facile ce chemin sauf pour les chèvres
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 




















Vraiment pas facile cette dernière partie













































 

 

 

 

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