mercredi 2 août 2023

Randonnée Le Plus Loin Possible 2023; Etape 1068 – Ger - Lourdes

 Mardi 23 mai

 

Carte IGN    Trace GP    Trace Randogps

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Le code mobile de cette randonnée est b326344

Km   temps    Arrêt  V/d    V/g    dénivelé + Dénivelé -

18     3h50      0h50   4,6     3,8       729              727

IBP ; 75 hkg

 Ce matin la propriétaire me paye le petit dej pour ce faire pardonner. Elle m'indique un chemin plus court pour rejoindre Lourdes une voie verte le long du Gave de Pau [Le terme « gave » désigne un cours d'eau dans les Pyrénées occidentales. Il s'agit d'un hydronyme préceltique désignant de manière générale un cours d'eau. Ce nom de gave est utilisé comme nom commun et a une très grande viralité — presque envahissante, puisque certains cours d'eau pyrénéens ont perdu, depuis un siècle, leur nom local pour devenir « le gave de... » Sa source la plus en amont se situe au cirque de Gavarnie. Il porte le nom de « gave de Pau » à partir de Luz-Saint-Sauveur, recueillant les eaux du gave de Gavarnie et du Bastan. Sa longueur est de 190,7 kilomètres. À partir de la confluence avec le gave d'Oloron, il prend le nom de « Gaves réunis » juste avant d'arroser Peyrehorade, puis 10 km en aval, de se jeter dans l'Adour sur le territoire du département des Landes

 Parmi les sources qui l'alimentent, le gave de Pau compte aussi la fameuse source réputée miraculeuse de Lourdes. Wikipédia]. Lourdes c’est directe par la piste cyclable, 4 km me dit-elle. Oui, mais moi je veux marcher en montagne pas sur le bitume d'une piste cyclable. Pour lui faire plaisir, puisqu’elle m’accompagne jusqu’à la piste, je parts en longeant le Gave, c’est vrai que c’est agréable, beaucoup plus agréable que la départementale. Ce matin le temps est clair et miracle la montagne que je n'ai pas vu hier montre enfin son visage, derrière loin derrière des montagnes enneigées. Je trouve une voie de sortie à Lugagan reviens sur mes pas pour grimper dans le vieux village. Le temps s'est levé, je vois les montagnes enneigés. Cette fois ci j’utilise le circuit local. Heureusement que je ne l’ai pas pris hier cela grimpe dure. Nous débouchons au Pont de Sénac, ou je retrouve ma trace et la D26. Toujours autant de monde sur ce morceau de bitume. Arrivé à Saint Créac, nous prennons la D 26a vers le hameau d’Antalos, la route grimpe fortement. Nous perdons le balisage jaune, mais Oh surprise un chevreuil broutant l'herbe en bordure du chemin. Poursuivons la route qui grimpe toujours vers le village de Justous et y retrouve mon Gr 78. Le GR part sur la gauche par un chemin cimenté, qui grimpe vers une grange. Le balisage n'est pas facile, les marques ne sont pas neuves et je pense que l'agriculteur fait son possible pour ne pas faciliter les choses. Je suis plus intéressé par les chèvres que par les balises, étant persuadé que le chemin se poursuit le long de la grange. Au bâtiment une grosse croix blanche et rouge. Je redescends jusqu’à la route sans voir ou pouvait bifurquer notre itinéraire. Remonte, aperçois un chemin sur la gauche avec un randonneur. Sur le poteau d'angle une vieille croix presque effacé. Mon randonneur vient de Hendaye, il faisait le GR10 mais à dû l'abandonner trop de neige. En plus il a des chaussures de treck et à les pieds ‘’trempe’’ comme on dit dans le Limousin. L'année dernière le randonneur qui avait dû abandonner était bien mieux chaussé. Des chaussures botes avec des tiges jusqu'au genoux. Il espère être à Collioure dans dix jours et ce soir il doit dormir à Bagneres de Luchon, heu... moi j'ai mis quatre jours pour faire ça. Après consultation d’internet la grande traversée c’est environ 1000 km et autour des 55 jours. C'est la que l'on voit que l'on ne marche pas dans la même catégorie. Enfin finira peut-être en voiture… sa femme le rejoint aux étapes. Je passe la barrière et poursuis sur un chemin mal tracé au sol sans balisage. Me voilà entouré de fils électriques. Le GPS me dit que je ne suis plus sur la trace. Retour en arrière, à la barrière, je devine un sentier derrière un fil électrique. Pas de balisage, le lieu à du être nettoyé au feu les souches sont noir plus de balisage. Je me crois sauvé, suis le fil électrique et m'aperçois qu'il y a un sentier un peut plus bas avec une belle balisé. Je veux passer dessous mais celui là est vraiment électrifié. Ouf je m'en sorts et arrive sur la route menant à Leret. On y trouve une belle maison. La route descend. Nous quittons le bitume à la Grange Couret une information nous dit que Lourdes est à 2h00, pour gravir le Pic de Jer il faut suivre le jaune. Pas vu de jaune. C'est un mauvais chemin à flanc de montagne heureusement presque toujours sur la même ligne de niveau, sauf que la terre est glissante, les rochers aussi, il y a quelques effondrements heureusement de la longueur d'un pas. Toujours pas de jaune pour grimper au sommet du pic. A un moment j'aperçois une plate-forme et une antenne, cela me semble le sommet du pic. Une draille y monte, j'hésite, la pente est tout de même raide. Si le sommet est si proche, le chemin pour le rejoindre n'est plus loin je poursuis le GR. J'arrive enfin à l'intersection. Toujours pas de jaune. Je quitte le Gr pour suivre la route carrossable pour 4x4 en direction du sommet. C'est long et dur. A l'antenne je me rends compte que j'ai bien fait d'abandonner l'idée de couper. Le chemin coupe plusieurs pistes de VTT. Des malades à descendre comme ça. Enfin j'arrive en haut. Déception, je m'attendais à mieux. En effet, nous apercevons plus que nous voyons Lourdes, pour les sommets pyrénéens vaudra repasser, il sont dans la brume. J'aurais dû m'arrête au premier point de vue, je n’en voyais pas moins, surtout qu'en cherchant le balisage jaune pour redescendre côté funiculaire le sentier est interdit aux piétons. Toutes les pancartes indiquent la descente à pied par le chemin que je viens de faire. Il reste le funiculaire, mais ce n'est pas l'heure de la descente. Je redescends par le même chemin, en bougonnant que je m’étais fait avoir par le site internet consulté. C’est jolie, certes, à grimper en funiculaire, si c’est pas trop chère, le Pic est bien trop loin, tout en étant proche de la ville.  A l'intersection je retrouve le Gr, le reste de la descente n'est pas facile, à plusieurs reprises je glisse et me rattrape de justesse.

Des pierres avec de drôles de sculptures   
Naturelles ou pas ?
 

Lourdes vue du Pic de Der

A la gare basse du funiculaire je comprends pourquoi le sentier le long du funiculaire est interdite. Le balisage sur la carte longeait, le funiculaire perpendiculaire à la pente et c'est impressionnant. J'ai encore eu raison de ne pas avoir franchi l'interdit. Je traverse Lourdes pour rejoindre un petit hôtel dans la rue principale. La rue du marcher du Temple… Un hôtel, un magasin de souvenir, un resto. Un hôtel, un magasin de souvenir, un resto. Ceci des deux cotés de la rue. Ah non pas tout à fait, certain hôtels sont fermés.

 

Photos de l’itinéraire jusqu'à Lourdes 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Lourdes

Je voulais voir, et j'ai vue. C'est à la fois magnifique et désastreusement commercial.

Je me demande ou est la chrétienté, la fois, dans tout ce déballage.

Jésus, revient chasser les marchands du temple comme tu l'as fait à ton époque.

J'avais une trace GPS que je n'ai pas suivi un tort certainement, mais je suis trop fatigué.

La commune est dans l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne. Centre de pèlerinage catholique depuis les supposées apparitions de la Vierge Marie en 1858, elle accueille chaque année 6 millions de pèlerins ou visiteurs venus du monde entier selon le secrétariat général du sanctuaire marial de Lourdes, dont environ 60 000 malades et invalides. C'est le quatrième lieu de pèlerinage marial catholique en fréquentation après le sanctuaire de Notre-Dame de Guadalupe de Mexico, la cathédrale-basilique Notre-Dame-d'Aparecida au Brésil et le sanctuaire de Notre-Dame de Fatima au Portugal. Lourdes se situe au pied des Pyrénées, dans la région historique de Bigorre, sur le gave de Pau, au sud-ouest de Tarbes. Le sanctuaire se situe vers l'ouest, à la sortie de la ville en suivant le gave de Pau. La ville s'est bâtie autour d'un piton rocheux sur lequel a été construit le château et dans une cuvette glaciaire issue du creusement opéré par le glacier dit d'Argelès ou du gave de Pau, lors de la dernière phase de la glaciation de Wurm (50 000 à 12 000 BP), puis par le gave lui-même après la fonte du glacier. Le sud de la cuvette est dominé par les massifs calcaires karstiques, à dolines et cavités, du pic du Jer et du Béout, séparés par la vallée du gave. Les grottes des Sarrazins (800 m de développement), et les grottes du Loup dans le massif qui domine le sanctuaire témoignent de cet état karstique soumis aux influences glaciaires. ancien bassin glaciaire est aujourd'hui très largement occupé par la ville tout en constituant un carrefour de communication entre les différentes vallées qui y débouchent. Par son creusement, le gave a contribué au partage de cet espace en deux étages, celui de la ville basse qui est celui du sanctuaire, des hôtels et des commerces qui les entourent, et celui de la ville haute dont la vie est celle d'une ville moyenne, la deuxième en nombre d'habitants au niveau départemental, marquée par un flux touristique et de passage important.

Une des premières mentions connues de Lourdes date de 983, lors de la fondation de l'abbaye de Saint-Pé. L'origine de la ville de Lourdes s'illustre certes d'une légende. Cependant, il faut remarquer que celle-ci ne remonte qu'en 1118. Il s'agit d'une chronique du moine irlandais, Marfin, et redécouverte au XVIIe siècle. L'histoire demeure donc légende et non critique. Voilà cette légende y compris plusieurs variantes :

Lourdes tirerait son nom ainsi que son blason du temps de Charlemagne : un Sarrasin du nom de Mirat aurait pris la ville puis y aurait subi un siège de la part de l’empereur en 778. Un jour, un aigle volant au-dessus du château et tenant dans ses serres une énorme truite argentée, la fit soudain tomber au milieu des Maures assiégés. Mirat jeta la truite par-dessus les remparts. Charlemagne crut alors que les Sarrasins avaient assez de vivres pour soutenir encore longtemps le siège et décida de lever le camp. Toutefois Turpin, l'évêque du Puy-en-Velay, proposa alors un marché à Mirat : il pourrait garder la ville à condition de rendre les armes à la Vierge. Mirat accepta et, en posant les armes devant la vierge noire du Puy-en-Velay, il décida de prendre le nom de Louerda (la rose en arabe), en l'honneur de la Vierge aux roses. L'Histoire est inspirée de la légende Dame Carcas à Carcassonne.

Le surnom des Lourdais était Ets peirers (les tailleurs de pierre), à cause des nombreuses carrières qui s'y trouvaient et qui donnaient une forme particulière de marbre gris appelée pierre de Lourdes. centre mondial de pèlerinages dont l'histoire a commencé en . « Pourtant, avant 1858, il y a un autre Lourdes ». Le site de Lourdes, au carrefour de plusieurs vallées, surnommé le « verrou du Lavedan », a en effet une histoire largement documentée, couvrant toutes les époques du Paléolithique à nos jours, et dont la connaissance est essentielle à celle de ce secteur pyrénéen.

Le nouveau Lourdes est né avec les pèlerinages. Tant sur les plans religieux que sociétal et économique, le sujet est majeur. le site de Lourdes est habité depuis la Préhistoire. Le musée d'archéologie nationale date le « cheval de Lourdes », une figurine de 7,3 cm de long taillée dans de l'ivoire de mammouth, de 13 000 ans avant notre ère, soit la période du Magdalénien au Paléolithique supérieur. L'oppidum du château est vraisemblablement occupé dès le Ier siècle av. J.-C. Des pans de murailles romaines ont d'ailleurs été découverts lors des travaux effectués par le génie militaire au château au XIXe siècle. Entre 1904 et 1907, lors de la démolition de l'ancienne église paroissiale Saint-Pierre, des substructions appartenant à un temple dédié aux Tutelles (divinités des eaux). Au Moyen Âge, Lourdes et son château sont le siège du comte de Bigorre. Avec la croisade des Albigeois, le château, considéré comme un des verrous de la province, est disputé entre différentes factions. Il passe sous la domination des comtes de Champagne, également rois de Navarre, puis entre les mains des rois de France sous Philippe le Bel, pour être ensuite livré aux Anglais en 1360 pendant la guerre de Cent Ans, et ce jusqu'au début du XVe siècle. située au carrefour de deux axes de communication majeurs (vers l'Espagne au sud, vers Toulouse à l'est et l'Atlantique à l'ouest), la ville abrite un marché d'assez grande importance protégé par le comte. Ce marché fait encore référence au XIVe siècle, et reste donc une source de revenus importante pour celui qui se rend maître du château. La ville va traverser les crises des XVIe siècle et XVIIe siècle. L'église paroissiale est détruite lors des guerres de religion, comme l'abbaye de Saint-Pé-de-Bigorre toute proche. Cependant, Lourdes sait tirer profit de sa situation. Elle est, entre autres, une étape sur la « route des bains » de Barèges, dont les sources servent à soigner les soldats blessés et malades. Le château reste un important lieu stratégique, « verrou du Lavedan ». La population est en augmentation au XVIIIe siècle, malgré les famines et épidémies. La paix signée avec l'Espagne entraîne la perte de l'intérêt stratégique du château, qui devient une prison. En 1788, il est d'ailleurs question de supprimer la garnison du château, formée par des invalides, et qui est défendue par une supplique envoyée à Louis XVI. Durant la Révolution, la ville est tenue de fournir du matériel et des vivres à l'armée révolutionnaire du fait de sa position stratégique. Elle compte alors 2 741 habitants. Avec la création du département des Hautes-Pyrénées en 1790, Lourdes demande à être le siège du chef-lieu du nouveau district du Gave, l'un des cinq que compte le département.

En 1858, Bernadette Soubirous dit qu'une Dame Blanche (qui bientôt se définira à elle par les mots « Que soy era Immaculada Councepciou » - « Je suis l'Immaculée Conception », ce que l'on considère comme une désignation de la Vierge Marie identifiée à sa propre conception) lui est apparue à plusieurs reprises dans la petite grotte de Massabielle, en bordure du gave de Pau à l'ouest de la ville. Une ferveur de plus en plus grande s'empare des habitants des environs qui viennent se recueillir devant la grotte qui, peu à peu, prend l'allure d'une chapelle, mais seule Bernadette dit « voir » la Vierge. Devant l'afflux massif de fidèles et de curieux, le maire, Anselme Lacadé, interdit temporairement l'accès à la grotte en la fermant par une barrière en bois, retirée début 1858 sous la pression populaire et l'intervention de l'impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III et fervente catholique. En 1862, les apparitions sont reconnues officiellement par Bertrand-Sévère Laurence, évêque de Tarbes. Si le Bureau des constatations dans le sanctuaire est chargé d'accueillir les dossiers et que, depuis 1858, plus de 7 000 guérisons y aient été accumulées, 69 furent formellement déclarées miraculeuses par l'Église. Le 69e miracle est reconnu en 2013 par l'évêque de Pavie, après cinq réunions du bureau des constatations médicales de Lourdes de 1989 à 2010 ayant comporté un vote unanime, et suivies de l'aval du comité médical international de Lourdes en 2011. Le 70e miracle est reconnu le  : la guérison de Sœur Bernadette Moriau, en 2008, est « inexpliquée, dans l’état actuel des connaissances scientifiques », selon le Comité médical international de Lourdes. Atteinte d’une grave invalidité et alors âgée de 69 ans, Sœur Bernadette Moriau avait recouvré, en 2008, toutes ses facultés physiques après un pèlerinage à Lourdes. Les travaux du sanctuaire débutent la même année. Une première chapelle est remplacée par la Basilique de l'Immaculée-Conception en contrebas de laquelle sera ensuite construite la Basilique Notre-Dame-du-Rosaire afin d'accueillir les pèlerins de plus en plus nombreux. Elles sont toutes deux situées au-dessus de la grotte. Une partie de la ville est déclarée « cité mariale » par l'Église, entre le gave, le sanctuaire et le château. La municipalité de Lourdes, sous la pression des autorités religieuses et malgré l'opposition locale, élargit les rues de la ville médiévale et trace le boulevard de la Grotte (1879-1881) menant au sanctuaire en contournant le château par le nord. Les terrains sont alors lotis, avec construction de boutiques et d'hôtels pour accueillir les pèlerins. Le tramway de Lourdes est mis en service en 1899 et facilite l'accès de la gare de Lourdes à la Grotte ou au funiculaire du pic du Jer. À la fin du XIXe siècle, Lourdes se dote d'une nouvelle église paroissiale, l'église du Sacré-Cœur. L'ancienne, dédiée à saint Pierre, est rasée en 1904. Son mobilier est transféré au château. Enfin dans les années 1950 est construite l'immense basilique souterraine dédiée au pape saint Pie X. Actuellement, Lourdes est l'un des plus grands pèlerinages catholiques du monde. wikipédia

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

Dénivelée positive accumulée: 751.07 m    -     Pourcentage de montée: 9.35 %

Dénivelée négative accumulée: 749.71 m    -     Pourcentage de descente: 8.87 % 


 

 

 

 

 

Le Sanctuaire

 
 
 
 
 













 
                 
La Grotte






























































                  




 
 
 
 
 
 
 
 
                   
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 


























 



 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Montées  Distance Km  Km au total en %  Vitesse en Km/h  Temps h:m:s
   Entre 30 et 55%  0  0  0  0:00:00
   Entre 15 et 30%  0.911  5.18  5.03  0:10:52
   Entre 10 et 15%  2.899  16.47  5  0:34:49
   Entre 5 et 10%  2.472  14.04  4.97  0:29:52
   Entre 1 et 5%  1.751  9.95  4.97  0:21:09
   Total  8.033  45.63  4.98  1:36:42


Descentes
   Entre 1 et 5%  2.408  13.68  4.98  0:28:59
   Entre 5 et 10%  2.869  16.3  4.99  0:34:30
   Entre 10 et 15%  1.959  11.13  5.01  0:23:28
   Entre 15 et 30%  1.216  6.91  4.99  0:14:37
   Entre 30 et 55%  0  0  0  0:00:00
   Total  8.452  48.01  4.99  1:41:34

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