Promenade en Auvergne ; Col de La Croix Moran, Puy de la Tache, Puy de Monne, Puy de Barbier, Puy de l'Angle

Un petit séjour dans le Puy de Dôme en hiver ma fait redécouvrir ses magnifiques paysages. J’ai essayé de réaliser les promenades en utilisant uniquement des chemins balisés été comme hiver. Cet hiver 2021, nous avions espoirs d’avoir de la neige, il en est tombé en grande quantité, trop tôt pour nous. Nos vacances étant début mars. Deux semaines avant notre arrivée, la pluie à lessivé la neige. Il ne reste que quelques plaques par-ci, par-là.

Je vous propose une balade qui n’est pas inédite, vous trouverez un bon nombre de traces sur internet. J’ai essayé de me distingué en suivant un ruisseau, pensant remonter jusqu’à la cascade. Je n’ai réussi qu’à me mouiller les pieds, à me salir en prenant quelques risques à remonter une paroi terreuse en essayant de ne pas déchirer mes vêtements sur les barbelés.

Carte IGN Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b346703

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Février 2021

Km Temps arrêt V/d V/g Dénivelé

16 3h30 1h00 4,6 3,6 888 +

Le départ se fait des Thermes du Mont Dore

Station thermale et de sports d’hiver, le Mont-Dore est situé dans la vallée de la Dordogne au cœur du massif du

Sancy dominé par le Puy de Sancy qui culmine à 1886m. Le Mont-Dore s’affirme également comme station touristique. En effet, les curistes et les skieurs sont désormais rejoints par les amoureux de la nature, d’une montagne accessible particulièrement bien aménagée, d’un patrimoine riche et varié, de traditions authentiques que la commune a su préserver et mettre en évidence. Située à une altitude de 1 050 m. Sur les flancs du puy de Sancy, deux torrents, la Dore (à ne pas confondre avec la Dore, affluent de l'Allier) et la Dogne se rejoignent pour former la Dordogne. Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Les Bains-du-Montdor. La ville se nomme Boains en occitan auvergnat. La ville est connue essentiellement comme station thermale. Les Celtes puis les Romains utilisaient déjà les eaux des monts d'Auvergne pour leurs propriétés sur la santé. Au Moyen Âge, cette pratique a tendance à disparaître sauf justement au Mont-Dore où l'on continue à soigner les affections pulmonaires et rhumatismales. L'accès était alors gratuit et la fréquentation très populaire. Au XIX^e siècle, le capitalisme naissant commence à s'intéresser à cette richesse naturelle et les stations thermales comme La Bourboule et le Mont-Dore vont se développer surtout à partir de 1830 ; commenceront alors à se créer des

casinos, des hôtels, autour des établissements de soins. Les eaux sont les plus siliceuses de France, elles sont aussi chargées de gaz et d'acide carboniques, leur température est comprise entre 38 et 44 °C. On y soigne l'asthme, les affections respiratoires et les rhumatismes. Sont également traitées les sinusites et autres affections nasales telles que les polyposes naso-sinusiennes. Parmi les curistes célèbres qui ont fréquenté les eaux du Mont-Dore, citons : Madame de Sévigné, le marquis de Mirabeau (père du fameux orateur), Alfred de Musset, Charles Nodier, Honoré de Balzac, Anatole France, Marie de Hohenzollern-Sigmaringen (mère du roi des Belges Albert I^er), Marie de Saxe-Cobourg-Gotha (reine de Roumanie), Marcel Proust, Marie Bashkirtseff, Georges Clemenceau, le maréchal Jean de Lattre de Tassigny, Paul Bourget, Francine Bloch… De plus, deux princesses de sang royal français firent des séjours au Mont-Dore dans les premières années du XIX^e siècle : la duchesse d'Angoulême, fille de Louis XVI et de Marie-

Antoinette, et la duchesse de Berry, belle-fille du roi Charles X. Ces deux dernières possèdent une rue dans la station. Tout comme George Sand qui suivit une dizaine de cures à la fin de sa vie. Celle-ci écrivit un de ses romans, Jean de la Roche, en prenant comme sujet la station du Mont-Dore. De son côté, Anatole France publia Jocaste dont l'action se situe également au Mont-Dore et dans les environs. Wikipédia] Nous partons de la petite place avec son kiosque sur le coté de l’établissement thermale, rue de Rigny. Descendons la rue et passons devant les Thermes. [La construction des thermes du Mont-Dore, de 1817 à 1823, est confiée à l'architecte Louis-Charles Ledru. De style néo-byzantin, ils sont agrandis et modernisés depuis. La décoration intérieure comporte de multiples références à l'architecture romaine, byzantine et à l'art roman auvergnat. Ils sont considérés comme les plus vastes d'Europe. Le hall des Sources (dont la charpente métallique est due à Gustave Eiffel) et la salle des pas perdus du premier étage sont les deux merveilles à visiter. Le peintre

Roger Forissier y réalise en 1975 une peinture murale inaugurée par le président Valéry Giscard d'Estaing. Chaque mois de février a lieu, en ses murs, le SAFE (Salon d'Art Fantastique Européen), où exposent des peintres de renommée internationale issus du mouvement dalinien. Wikipédia]. Nous partons de la petite place avec le kiosque situé derrières les Thermes, traversons le rue des déportés et prenons la direction de la station du Mont Dore et de la Grande Cascade. Montons les escaliers serpentant dans la montagne situé juste derrière les Thermes c'est également le GR 4 variante. Notre chemin se nomme chemin de la Banne. Nous débouchons sur le chemin Melchi Roze. Une pancarte nous indique la grande cascade sur la

droite. Suivons le GR partant sur la gauche et le circuit vtt noir. Laissons des sentiers descendant en ville et poursuivons notre chemin relativement plat et assez large dans un bois de sapins et de hêtres qui descend doucement à flanc de colline, on y trouve des bancs répartis sur le parcours. Malheureusement la densité des arbres ne nous permet pas de voir la ville. Nous coupons le chemin de Chappe et poursuivons tout droit le GR et le balisage vert. Par moment nous avons une vue sur le capucin. Nous longeons quelques maisons isolées et perdons le balisage vert, mais trouvons un PR et une nouvelle info ; petite cascade. Je n’ai rien vu. Nous débouchons Avenue de Clermont (D996) que nous traversons et trouvons des escaliers dans le parapet. Le sentier descend fortement à flanc de colline. Nous entrons de nouveau dans un bois de sapin, nous sommes toujours sur le GR, on a retrouvé le balisage vert. Nous avons une vue imprenable sur le Puy Gros [Le Puy Gros (1485m) est le vestige d'un ancien dôme coulé. Panorama unique au-dessus de la vallée de la Haute Dordogne et sur les stations thermales du Mont-Dore et de la Bourboule. De ce point de vue, vous pourrez remarquer l'angle droit formé par la Dordogne entre le Mont-Dore et la Bourboule. Notre conseil : n'oubliez surtout pas votre appareil photo ! Panorama extraordinaire sur la vallée de la Haute Dordogne et le Puy de Sancy. https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.auvergne-destination.com/fiches/le-puy-gros/&ved=2ahUKEwjW69Xp7L7yAhXN4IUKHclTAZoQFnoECDEQAQ&usg=AOvVaw2Cpb6IJvcotE6qXtldNh6X]. Nous avons quelques marches et débouchons chemin (rue) des Monteyroux. Que nous prenons à droite. Nous sommes à Queureuilh et débouchons rue des cascades, nous sommes toujours sur le GR 4 variante. Laissons le chemin (rue) des Noisettes sur la gauche nous montons tranquillement vers le camping. Laissons l’entrée de ce dernier et poursuivons notre

ascension. Nous traversons le hameau de Garde à Toi, arriver au cimetière nous laissons le parking et la route menant au Pailloux sur la gauche. Prenons le chemin de droite la variante du GR4 et le chemin des cascades. Longeons le cimetière par la route carrossable bordée d'un fossé comportant un ruisseau j'ai eu la chance de le voir couler, je ne suis pas sur que l'été il soit aussi puissant. Laissons un bâtiment sur la gauche, nous entrons dans la foret du Mont Dore. Arrivé à une première intersection, la route de gauche mène à la cascade du Rossignolet et au col de la Croix Morand à 3 km, il peut servir de raccourci. Nous ne sommes qu'au début de notre promenade, alors faisons ce qui se nomme Le Tour des Cascades, poursuivons pour ce faire le GR 4 en direction de la cascade de Queureuilh et du col de la Croix Morand à 4 km. Nous grimpons et arrivons à une nouvelle intersection au pied d'une forte monté se dirigeant vers la cascade du saut du loup, prenons sur la gauche le chemin descendent

vers la cascade de Queureuilh et le col de la Croix Morand. Nous sommes toujours sur le GR. Je quitte un instant le balisage pour me rendre à la cascade. Revenons sur notretrace et poursuivons le chemin qui descend le long de la rivière. Passons un pont au dessus de la rivière. Nous arrivons a un carrefour avec une route bitumée et une clairière, prenons le chemin empierré de droite, il longe une clairière ou un pré derrière un rideau d'arbres. Nous suivons toujours la variante du GR 4. Le chemin longe un muret de pierre puis un ruisseau que nous traversons par un pont en béton. Nous pénétrons dans la foret, cela commence à bien grimper. Nous coupons la D 983 que nous prenons à droite sur quelque centaines de mètres et poursuivons par le chemin carrossable sur la gauche menant à la ferme de la Tâche. Nous sommes toujours sur le GR. Le chemin fait fourche laissons la branche de gauche menant à la ferme, prenons à droite, une

pancarte nous dit que nous sommes à 1,5 km du col de la Croix Morand. Nous passons un gîte (c'est un ancien buron), isolé dans la montagne mais avec une vue imprenable. Nous montons toujours, traversons une prairie après avoir franchi des échaliers. Au dessus de nous se dessine la foret d'altitude, une foret de sapin tellement serrée que l'on ne voit pas le ciel. Traversons ses bois. C’est une hécatombe de têtes de sapins. Nous n'avons pas eu de chance, la neige est tombée en abondance. Normalement même début mars nous aurions dût en avoir mais le redoux, et la pluie en a décidées autrement. Il est tombé une neige lourde. Je ne suis pas un spécialiste, mais elle devait être chargée d'eau. Les cimes des arbres n'ont pas résistées à cette neige trop lourde, trop en quantité. Le chemin est devenu impraticable, il faut enjamber toutes les cimes et les branches cassées. C'est une catastrophes pour la foret, pour l'ONF. Après avoir traversé un portillon, nous sortons de la foret à 1300 mètres d'altitude. Nous sommes sur un chemin carrossable, que

nous prenons à droite et quittons la variante pour prendre sur la droite le GR 4. Nous avons un poteau d’informations. Nous débouchons sur la D 996 un petit peu en dessous du col de la Croix Morand, nous remontons le bitume sur la gauche jusqu'au petit parking du départ des promenades presque en face du buron du col. J'ai la chance d'être encore en hiver et la prairie au pied de la montagne n'est pas clôturée, ce qui me permet de ne pas marcher sur le bitume et de pouvoir regarder sur la gauche un lac qui me semble tout proche et je me demande bien pourquoi le GR n'y est pas passé. A l'horizon se dessine la silhouette du Puy de Dôme [Le puy de Dôme est le plus connu des volcans de la Chaîne des Puys. Il culmine à 1 465 mètres et surplombe un ensemble de 80 volcans. Ce volcan de type péléen est né d'une succession de plusieurs phases éruptives. Âgé de 11 000 ans, il est aujourd'hui endormi. Ce volcan n'a pas de cratère : lors de l'éruption, la lave s'est accumulée pour former un dôme. Le puy de Dôme est venu s’implanter sur le petit puy de Dôme, petit cône de scories qui ressemble à un étrange petit bombement.

Le puy de Dôme est classé "Grand Site de France", il est le volcan emblématique et le plus distinctif de la Chaîne des Puys. Il est considéré comme le point de repère et la mascotte de cette région volcanique reconnaissable avec son antenne au sommet.

Joyau de la Chaîne des Puys, il fascine par sa puissance et sa majesté. Ce volcan est un vaste espace de nature et de découverte. Le puy tient surement son nom de « Dumias », divinité locale assimilée à Mercure, ou de « douma » qui signifie « éminence escarpée » en celte, ou alors du latin « domus » qui signifie « maison de maître ». À partir du XVIIIe siècle, le mot peut aussi désigner une montagne en forme de coupole. Ce n’est qu’au XXe siècle avec l’éruption de la montagne Pelée que le terme de « dôme » prend un sens volcanologique. https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.clermontauvergnetourisme.com/fiches/le-puy-de-dome/&ved=2ahUKEwjFuYL4hMTyAhVGxoUKHRPyDaQQFnoECA0QAQ&usg=AOvVaw14MrNQ-eYxw531wTW37EMS]. Prenons le sentier et le Gr 4 sur la droite, nous sommes à 1403 m. Passons un portillon en chicane et montons un sentier entre deux clôtures, défoncées par la sur fréquentations et le ruissèlement de l'eau. Commençons la dure grimpette sur ce sentier serpentant jusqu'au puy de la Tache à 1632m. Du col il faut bien compter entre 1h00 et 1h30 de monter. Il appartient à cet ensemble volcanique indépendant du Massif du Sancy, âgé de moins d'un million d'années. Nous avons une perspective sur de grands espaces ouverts. Dans cette monté je reconnais le petit lac que j'avais vu tout a l'heure c'est le lac Guéry. On en prend plein les yeux avec la vue à 360°. Au loin toujours le Puy de Dôme, le lac Guery, roche Sanatoire. Entre les deux, sur la droite la Banne d'Ordanche, le Puy Gros. Poursuivons le GR 4 sur le sentier de crête, on grimpe encore vers le puy de Monne. Nous avons une vue sur la chaine du Sancy [Le Puy de Sancy est à 1 886 mètres le point culminant du Massif Central. Il est sur le territoire de la commune du Mont-Dore et c'est là que se trouvent les sources de la Dordogne. Haut lieu touristique de l'Auvergne (50 % du tourisme auvergnat) cet ancien volcan, qui se couvre de neige chaque hiver, propose un choix considérable de chemins et sentiers de randonnées accessibles au plus grand nombre. Il est le domaine de nombreuses et très rares variétés de plantes et d'insectes (notamment papillons). Mouflons, chamois, marmottes, aigles l'ont choisi comme domaine. On peut également accéder au sommet du Sancy où se trouve une très belle table d'orientation, par deux téléphériques. Wikipédia] grimpons gentiment jusqu'au Puy Barbier 1700 m ou nous trouvons un gros cairn, descendons le sentier de crêtes pour remonter sur le Puy de l'Angle 1740 le point culminant de notre randonnée. Panorama à 360 degrés le GR tourne sur la droite et se dirige vers la croix ou nous avons un très beau panorama. L'été, c'est également un lieu d’estive, on peu y rencontrer jusqu'à 1500 bêtes. On y rencontre également le circaète Jean Leblanc. Passons à coté de la croix au pied d'un cairn, nous commençons notre descente. Passons un col, le GR tourne sur la gauche, nous sortons de la prairie par un échalier, le sentier devient étroit entre deux clôtures. Sentier très raviné par la fréquentation du lieu. Coupons la D 36 et le col de la Croix Saint Robert. Normalement je devais quitter le GR 4 et emprunter un sentier local. Les clôtures ne me laissent pas loisir du passage, pourtant je vois un randonneur dans la prairie parsemées de névés. Je poursuis le GR 4 en direction de Chambon le Lac et la station du Mont Dore. Je trouve un passage dans la clôture derrière des rochers (peut être que l'été il faut prendre la route pour trouver un échalier afin d’entrée dans la prairie) me permettant de rentrer dans le Creux des Bœufs. Je trouve une trace dans la prairie plus ou moins enneigée, se dirigeant vers ma trace, je suis sur un trek noir. Je fais attention, la vallée est très raviné par les ruisseaux dont celui qui à creusé le plus profond ravin, il donnera un peut plus loin la grande cascade. Ce chemin normalement balisé en vert n'est vraiment pas facile en cette fin d'hiver. Il reste pas mal de neige, plutôt de la glace, c'est très glissant, je fais attention. Sur la carte je dois traverser un ruisseau et je ne souhaite pas traverser un pont de neige. Nous descendons en se rapprochant du ruisseau, heureusement les nombreux passages de randonneurs ont fait des marches. Glissante ses marches. Nous descendons le long d’un bois rabougris ce qui est normale à cette hauteur, il est difficile de grandir avec le froid et la neige. Nous arrivons au dessus de la grande Cascade, sur la gauche nous avons un beau point de vue sur la vallée. Poursuivons la descente vers le bas de la cascade, le sentier le long du rocher n'est pas facile. Il est peut large le long d'une faille. C'est un passage à l’ombre avec une épaisse couche de neige devenue glace, seul un passage en terre humide et glissant ce trouve vers le ravin. Passage risqué, me voilà sur l'escalier construit au dessus d'une faille, ou d'un rocher, permettant de rejoindre le sentier au pied de la cascade. Nous voilà devant cette grande cascade [la plus haute cascade d'Auvergne. La Grande Cascade prend sa source sur le plateau balayé par les vents de la Durbise à 1450m d'altitude. Elle enjambe une succession d'anciennes coulées de lave d'une quarantaine de mètres d'épaisseur.

Avec ses 32 mètres de chute, c'est la cascade la plus haute d'Auvergne. Elle franchit une falaise de lave, extrémité d'une coulée descendu du Roc de Cuzeau, qui s'est moulée dans une dépression aujourd'hui disparue.

Attention tout de même Un arrêté municipal interdit l'accès de fin novembre à la fin de la fonte des neiges (terrain instable, risque de chutes d'arbres, de pierres, de glace). Sous réserve de conditions d'enneigement et météorologiques favorables. www.sancy.com ]. Nous retrouvons la civilisation. Il nous reste environ 2 km de rude descente. Pas d'erreur pour la descente il n'y a qu'un chemin qui serpente sur le flanc de la montagne. Et puis il suffit de suivre les promeneurs. L'été c'est l'attraction du Mont Dore ainsi que l'hiver lorsqu'il n'y a pas de neige. Après quelques virages en épingles à cheveux, dont le dernier virage se trouve proche de la D 32 que nous traverserons un peut plus loin et poursuivrons par le chemin de Melchi Roze que nous suivons jusqu'au escalier que nous prenons à gauche. Ils sont aussi difficiles à descendre qu'à monter. Nous arrivons sur la place avec le kiosque derrière les thermes.