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Km
Temps Arrête V/d
V/g dénivelé + dénivelé – ibp classé 4 sur une
Mercredi 31 Aout
Dénivelée positive accumulée: 463.24 m
Dénivelée négative accumulée: 774.37 m
Altitude maximale: 1702.64 m
Altitude minimale: 1123 m
Pourcentage de montée: 5.8 %
Pourcentage
de descente: 7.3 %
Encore une grosse différence entre les dénivelées
relevé sur le GPS et ceux du calcul de l’IPB qu’il lit sur la trace.
Au refuge de la Loge nous rencontrons le GR 9 et celui du Balcon du
Léman. Nous démarrons dans un petit vallon boisé. Nous laissons un sentier et
un balisage jaune sur la droite. Il semblerait que le GR à été déplacé nous
contournons par la gauche un groupe de rocher à la place de la droite et nous
grimpons assez fortement avant de déboucher sur la crête du Grand Crêt. Ensuite
je vous avoue que je ne regarde plus le GPS, je ne cherche même pas le balisage
blanc et rouge, je regarde à 180° et me retourne souvent pour avoir une vue
totalisant 360°. Bon ce matin c’est un peu loupé. La Suisse n’a pas voulu
ouvrir ses rideaux, la France et les Alpes ne sont pas mieux, mais c’est tout
de même magnifique je suis au dessus des nuages et suit amusé les volutes
vaporeuses venir se perdre et disparaître sur les crêtes du Jura. Seule le coté
Ouest reste visible avec un ciel nuageux mais Bleu. Je suis déçu, très déçu.
Aujourd’hui nous devrions, si les nuages veulent bien disparaître entre
apercevoir le lac Léman et son jet d’eau, ainsi que le massif du Mont Blanc. Nous
passons les Brulats Frésy zone rocheuses avec des gorges, et grimpons au Grand
Crêt, ou nous avons un point de vue (1683 m) sur… les nuages. La plaine entre
les Alpes et le Jura est remplie de brouillard, le vent pousse les nébuleuses
en nombreuses volutes venant s’écrasées sur nos sommets, parfois
j’ai
l’impression que le soleil voudrait percer, mais un nuage un peu plus gris que
les autres vient contrarier mon espoir. Nous poursuivons à grimper gentiment
tout en serpentant dans les rochers vers le Crêt des Neiges. Nous arrivons sur
une esplanade et l’on se croit être arrivé, sur le sommet le plus haut, mais
non c’est un point de vu, je devine la masse sombre des Alpes et peut être le
lac. Par endroit des poches de nuages s’ouvrent et laissent apparaître quelques
maisons dans la plaine. Nous poursuivons à grimper et arrivons au Crêt des
Neiges, point le plus haut de la chaîne du Jura. Je dirais que c’est facile à
savoir c’est l’esplanade ou nous trouvons les restes d’une ancienne croix disparu
ficher dans le rocher (1720 m). La vue est certainement l'une des plus
belles sur l'Arc Alpin, face au Mont-Blanc. (Si les nuages voulaient bien
disparaître). Le soleil fait son possible pour assécher les nuages. [C'est un sommet de l'anticlinal des monts Jura. Il
offre une vue à 360° sur le lac Léman, la Valserine, la Dôle et la
chaîne des Alpes. Par temps
clair, il est possible de voir jusqu'aux Vosges et à la Forêt-Noire. (Vous dire que pour moi, c’est tout juste le lac et si je ne
me trompe pas j’aperçois le jet d’eau devant Genève. Les Alpes je les devine,
ce sont ses trucs à l’horizon plus ou moins sombre qui ne bouge pas et
qui sont
souvent cacher par des bandes de nuages. On doit voir le Mont Blanc, je me convins
que je le vois.). Le crêt de la Neige est un
long escarpement rocheux dont il est difficile de distinguer le point
culminant. Pour indiquer son altitude sur les cartes, on a longtemps utilisé
celle d'une borne géodésique, seul point dont l'altitude était connue. Cette première
détermination, de 1 717,6 m2,
généralement arrondie à 1 718 m figure encore sur la carte topographique de
base au 1/25 000e et sur
plusieurs cartes de la Suisse. L'apparition des GPS de
topographie a permis à un amateur de trouver que le
point culminant se trouve à 200 m environ au nord-est de cette borne, avec
une altitude de 1 720 m. Cette nouvelle détermination, qui confère au
sommet, au détriment du Reculet
(1 718 m), le statut de point culminant du Jura, a été validée en
2003 par l'IGN. Elle
figure depuis sur les cartographies comportant cette mise à jour comme la carte
de l'IGN au 1/100 000e, avec sa nouvelle position, ou des
cartes de la Suisse, mais avec le même emplacement.
Wikipédia]. Il m’a été compté qu’une névé restait toute l’année et
qu’elle était suffisamment grande pour ce voir depuis Genève. Ce qui a donné le
nom au massif. Elle aurait disparue dans les années 1980. J’ai pris cette information
pour argent comptant. La personne me la comptant semblait être un érudit, il
connaissait toute la géographie du secteur. Poursuivons vers son Voisin,
le sommet du Reculet qui n'a rien à lui envier. En se moment il joue à cache
cache avec les nuages. Ce qui est impressionnant ce sont les nuages gris qui
viennent s’enrouler autour de lui et de moi, durant
quelques instants on ne
voit plus rien. Ils disparaissent totalement sur l’autre versant. Coté Ouest le
ciel est bleu avec quelques nuages très haut dans le ciel, la luminosité est
bonne est l’on voit loin. C’est moins prestigieux que le Mont Blanc ou le jet
d’eau du lac Léman, en effet nulle part j’ai trouvé que du coté Ouest on voyait
le Puy de Sancy (1885 m), le Mont Aigoual (1565 m), ou le Ventoux (1910 m), et
c’est dommages que l’on ne voit pas l’un des ses point culminant parce que les
yeux ce tourne toujours sur le Pays de Gex alors que l’autre versant mérite
également un regard.
Je ne parle même pas de se retourner pour apercevoir le
chemin déjà réalisé depuis les Vosges. Ces derniers sont invisibles dans les
nuages, et plus proche de moi les nuages jouent avec les sommets. Mais cela
vaut tout de même le coup d’œil, on aperçoit les falaises abruptes dominent les
vallées. Le Reculet ; Le toponyme viendrait du
franco-provençal et désigne un « lieu isolé au début d’une vallée »
Culminant à 1 718 m la vue depuis son sommet est même plus impressionnante !
Une croix portée à dos d’hommes a été érigée au sommet par les forgerons et les
habitants de
Thoiry. Un sentier évite de grimper à la croix,
mais ce serait dommage. Je n’ai pas sortie mon précieux GPS, pour suivre le
seule sentier que nous rencontrons sur les crêtes, de temps en temps j’aperçois
une trace blanche et rouge, par beau temps on aurait (sur la crête) même pas
besoins de carte on suit l’un des chemins (il y a toujours des sentiers parallèles
permettant de s’approcher du bord de la falaise) de la ligne de crête et après
avoir gravis la prairie nous arrivons au sommet du Reculet. La croix est
impressionnante. Un thermomètre permet de lire la température. Aujourd’hui il
fait 12 °. Le temps s’améliore sur le lac et le pays de Gex. C’est bien le jet
d’eau que je vois. Les Alpes sont encore dans les nuages, par moment je devine
les sommets que les nuages veulent bien me laisser voir. Je redescends.
Poursuis les crêtes cela devient un peut plus abrupt notamment du coté de la Roche
Franche, c’est magnifique. Souvenez vous hier à l’esplanade des maquisards
(Borne au Lion) du Chalam C’est toute
cette haute montagne rocheuse que nous avons vu et ou je me suis posé comme
question comment allons nous monter au sommet . Sur toute la crête vous avez
certainement remarqué notre parcours d’hier, avec notre couchage, dans la
vallée des Hautes Crêtes. Le temps se lève, je choisi une combe un peu à
l’écart du GR sur le bord de
l’arrête tranchante un peu après la grotte Marie
du Jura, pour faire ma pose du midi. Maintenant je vois le lac, je suis sur que
c’est le jet d’eau et pas une illusion d’optique, ou de mon esprit. Par contre
pour le Mont Blanc le temps n’est pas suffisamment clair, pour être sur, que
c’est lui. Malgré tout par moment quelques pics des Alpes se détachent sur un
font nuageux. Tout en mangeant mes tartines de pains de pays l’une avec du
jambon et l’autre avec du conté, beaucoup de conté. J’admire la pleine de Gex
et le jeu des nuages dans le ciel.
Nous descendons gentiment. La foret commence
à gagner sur les rochers. Franchissons le passage du Gralet et nous arrivons au
Gralet et à sa bergerie pouvant servir de refuge. Attention ce n’est pas une
gestion libre. (Voir ; promenade 97 pour l’adresse internet). Nous
trouvons un poteau d’information. Et là, on n’en prend un sacré coup… Nous
pensons avoir terminé, nous entrons en foret et je dirais qu’il n’y a plus rien
à voir, du moins notre esprit est beaucoup moins pris par le paysage. Une
petite descente et l’on est arrivé, l’esprit n’est plus à la rando, il est déjà
arrivée à la chambre d’hôte. La fatigue des jours précédents et d’aujourd’hui
se fait sentir. Sur le poteau Menthières est à 3h00. C’est démoralisant.
Contournons la bergerie,
nous entrons en foret, un sentier ou un chemin peu
facile parce que nous sommes fatigué, les petites montées font mal aux jambes.
Nous laissons un balisage jaune sur la gauche et poursuivons notre descente
avec les vaches dans cette foret interminable. Lorsque
je pense que des écolos radicaux veulent nous supprimer les bovidés parce que
cela consomme beaucoup d’eau (entre 25 et 150 litres. 150 étant une vache
laitière). Et que nous manquons d’eau. Que les vaches pettent beaucoup et
qu’elles
produisent du coup beaucoup de méthane (250 à 500 litres de méthane
par jour) qui contribue au réchauffement climatique. Lorsque je vois ses vaches
manger de l’herbe grâce, les feuilles ou les branche basses des arbres, je ne
peux que me révolter sur les orientation de certain écolo des villes.
Supprimons ses fermes d’élevages à milles têtes n’ayant jamais vu un brin
d’herbe de leur vie, les pattes sur du ciment, et mangent des granulés, là je
suis d’accord. A une époque on a rendu malade des bêtes en leur faisant manger
dans des granulés un broyage d’os, de gras et de viande impropre pour l’homme.
Une vache cela mange de l’herbe. Mais ses bêtes au milieu de la nature,
laissons les vivres. Demain ses extrémistes de l’écologie nous mettrons un
compteur un
gaz au cul (il est vrai que nous n’en produisons que 40 à 50
GRAMMES par AN. Mais c’est tout de même 300 000 tonnes par an pour l’humanité.
Source wikipédia). Et ceux qui émettrons trop de gaz à effet de serre seront
taxés dans un premier temps d’une taxe carbone. Une fois que nous en serons arrivés
là, tout sera possible avec ses gens là. Qu’ils restent avec leur Soja en tant
que breuvage, ou de nourriture. Mais le soja provient du Brésil (on détruit la
foret pour faire pousser le soja. Les Etats Unis et
l’Argentine. Toute cette
production on le sait très bien elle arrive en France par char à voile.
(Boutade qui ne peut être connu et drôle qu’en 2022. On a reproché à une équipe
de foot d’avoir fait un déplacement en Bretagne en jet privé, à la place d’avoir
pris le train moins polluen. L’entraîneur a répliqué que la prochaine fois il
prendrait un char à voile. Et cela à fait le beuzz). Poursuivons dans
cette foret, nous descendons toujours doucement dans les rochers le chemin serpente
et n’est pas très facile. Nous débouchons dans
les prairies et l’on se croit arrivée, mais non, ce n’est que la bergerie de la
Poutouille, pouvant servir de refuge. Attention ce n’est pas une gestion libre.
(Voir ; promenade 97 pour l’adresse internet). Le chemin est encore long,
poursuivons nos marques Blanche et rouge, il est vrai que là je regarde mon GPS,
pas pour savoir si je suis toujours sur le bon chemin, mais simplement pour
voir si la trace finale diminue. Nous arrivons à une clairière et trouvons un
poteau d’information avec Menthières à 40mn ou
Menthières à 1h30 par le GR. Nous
sommes tentés de prendre le balisage jaune et les 40 mn. Une pancarte nous
annonce : descente dangereuse par temps de neige. Mais elle est dangereuse
également par temps de pluie et en réalité elle est dangereuse tout le temps.
Le chemin descend abrupte et les chutes sont nombreuses. A la chambre d’hôte
une personne exténuée d’un groupe avait pris ce chemin et elle à chutée. L’hôtesse
nous à dit que c’était l’ancien GR et qu’il y avait trop de chutes, le maire
avait réussi à faire modifier le GR pour que ce soit moins dangereux.
Poursuivons notre descente en foret par le balisage Blanc et Rouge. Nous
débouchons sur un chemin carrossable formant Té, nous quittons le balisage
Blanc et rouge partant sur la gauche, et prenons à droite le
GRP de la
Valserine. Attention le Jaune et Rouge est moins bien balisé que le blanc et
rouge. Un peu plus loin nous faisons une
épingle à cheveux sur la gauche, nous arrivons sur les pistes de skie de
Menthières. Je me suis posé la question dois-je prendre la piste pour descendre
plus rapidement au village, la pente est raide, j’ai préférer suivre le GRP que
l’on ne voit pas bien dans cette trouée, il est sur la droite, monte légèrement
au dessus de la piste ou nous trouvons un beau sentier dans la foret, cela nous
semble interminable, nous avons en plus des arbres en travers du chemin, et
puis il gronde, et peut de temps après il pleut. J’arrive enfin à la grange
Velu encore quelques centaine de mètres et enfin on va se reposer. Pas besoin
de chercher le gîte il est indiqué et le GRP passe à coté.
Montées |
Distance Km |
Km au total en % |
|
||
|
Entre 30 et 55% |
0 |
0 |
|
|
|
Entre 15 et 30% |
0.54 |
2.54 |
|
|
|
Entre 10 et 15% |
0.812 |
3.81 |
|
|
|
Entre 5 et 10% |
1.752 |
8.22 |
|
|
|
Entre 1 et 5% |
4.879 |
22.9 |
|
|
|
Total |
7.983 |
37.47 |
|
|
Terrain plat |
|||||
|
Dénivelées de 1 % |
3.042 |
14.28 |
||
Descentes |
|||||
|
Entre 1 et 5% |
5.405 |
25.37 |
||
|
Entre 5 et 10% |
3.45 |
16.2 |
||
|
Entre 10 et 15% |
0.776 |
3.64 |
||
|
Entre 15 et 30% |
0.431 |
2.03 |
||
|
Entre 30 et 55% |
0.541 |
2.54 |
||
|
Total |
10.605 |
49.78 |
||
|
Total trace: |
21.3 |
100 % |
Le plus des photos
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Envoutant ce brouillard |
![]() |
Je n'ai pas rêvé c'est bien le jet d'eau du lac |
![]() |
Au loin la chaine des Alpes |
un passage difficile |
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Je rêve au Mont Blanc. Peut être que des nuages |
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