jeudi 2 février 2023

Randonnée Le Plus Loin Possible ; Dans le Jura - Etape 97 – Les Trois Cheminées – Refuge de la Loge

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Km       Temps  Arrête   V/d     V/g   dénivelé + dénivelé – ibp  classé 4 sur une

20        5h10     2h00      3,9     2,8         931          769           87    échelle de 1 a 5

Mardi 30 août

Dénivelée positive accumulée: 931.28 m

Dénivelée négative accumulée: 769.72 m

 Altitude maximale: 1416.46 m

Altitude minimale: 841.87 m

Pourcentage de montée: 9.89 %

Pourcentage de descente: 8.56 %

 


J’ai passé une bonne nuit, je suis prêt à poursuivre mon périple, par le GR 509 (variante) qui grimpe doucement dans la petite vallée verdoyante. Cette vallée me plait beaucoup, légèrement bosselée, suffisamment large pour ne pas se sentir écrasé, mais sans se sentir perdu au milieu de la verdure. Derrière la foret. Ce balisage est parallèle au GTJ. Nous quittons la vallée pour entrée en foret. Quittons le chemin carrossable à la Mignatte et prenons un sentier sur la droite, (si nous poursuivons le balisage jaune cela représente un sacré raccourci, mais l’on passe loin de la borne au lion et de son merveilleux paysage). Nous grimpons et passons le Col des Salettes. Nous redescendons dans la vallée de La Morseline. Aux premières maisons nous prenons à gauche le chemin de Malatrait, nous retrouvons la foret, puis une petite vallée et passons la ferme de Malatrait, le chemin est agréable et ne monte pas trop. Laissons un balisage jaune sur la droite, nous descendons vers le Berbois, et débouchons sur la C7 que nous prenons à gauche (route de la Borne aux Lion). Ici nous retrouvons le GTJ. Après un virage nous descendons sur la droite par un petit chemin. A la fourche prenons à gauche et débouchons sur le parking de la borne au Lion [A la croisée des différents territoires, le secteur du Crêt de Chalam compte plusieurs bornes frontières dont la plus connue est la borne au lion. Au fil de l'Histoire, le lieu fut la frontière entre les royaumes de France, d'Espagne et d'Italie, puis entre la Franche-Comté et le Bugey par le traité d'Auxonne en 1612. Plusieurs siècles plus tard, la montagne boisée et isolée fut le maquis idéal pour les résistants à l'occupant et de rudes combats y eurent lieu. Aujourd'hui, beaucoup plus pacifiquement, la borne marque la frontière administrative entre les départements du Jura et de l'Ain. La borne au lion tient son nom actuel au lion de Franche-Comté gravé sur sa face correspondante. Elle est maintenant un repère pour les randonneurs qui rejoignent le Crêt de Chalam. https://www.jura-tourism.com/patrimoine-culturel/la-borne-au-lion/]. La première chose que nous voyons ce sont des aménagements avec une construction semi circulaire. [La Borne au Lion a été longtemps le lieu de passage entre la Franche-Comté et la Savoie. C'est aussi un haut lieu de la résistance, Le lieu, dans un site montagneux isolé, à la limite des deux départements, est le symbole de l’importance de cette organisation et du rôle joué par les agents de liaisons, comptait, 3 000 combattants des maquis du Haut-Jura et de l'Ain s'y sont installés pour combattre les troupes allemandes qui menèrent de terribles représailles contre les populations. Le

mémorial Romans-Petit, du nom du commandant du maquis, y est érigé. C’est là qu’en juillet 1944, devant l’opération allemande de représailles Treffenfeld, le groupement Nord du maquis de l’Ain et du Haut-Jura sous la direction de Noël Perrotot, « Montréal » avait installé son poste de commandement et un hôpital de campagne dirigé par Jacques Guttières puis par le chirurgien britannique Groffroy Parker, « Parsifal ». Quelque trois mille maquisards se replièrent dans les environs et y restèrent près d’un mois avant de reprendre le combat. La commémoration qui s’y déroule en juillet connaît un grand succès. http://museedelaresistanceenligne.org/media10545-Monument-rig-en-hommage-au-maquis-Ain-Haut-Jura-Chzery-Ain & https://racinescomtoises.net/index?/category/12705-la_borne_au_lion_la_pesse_39]. Du belvédère de la Borne au Lion nous avons un panorama extraordinaire sur la Haute Chaîne du Jura avec le Crêt de Chalam, le Crêt du Merle, le Reculet et le Crêt de la Neige. C’est impressionnant car c’est le coté le plus déchiqueté de la montagne et l’on pense comment allons nous faire pour grimper là haut ? Je suis tellement impressionné par le paysage que j’ai presque oublié la Borne au Lion, une flèche et un chemin en stabilisé, nous permet de rejoindre une borne cubique de soixante à quatre-vingt centimètres de haut. Quant aux gravures elles sont plutôt effacées. Au vu des photos que j’ai vu sur différent sites, en cherchant bien nous devrions trouver des gravures un peut plus représentatives de lions et de fleurs de lys sur d’autres bornes. [La borne au Lion, dite aussi borne du Lion Magras ou borne des Trois Empires, est une borne frontière posée en 1613 dans le massif du Jura, et marquant alors la nouvelle frontière entre la Franche-Comté et le Bugey. Elle se trouve au lieu-dit les Magras, au col situé à 1 289 m, entre le crêt au Merle et le crêt de Chalam. La borne fait partie d'une série de bornes frontières posées en 1613, et marquant alors la nouvelle frontière entre le Royaume de France (après la prise de Bugey aux États de Savoie) avec la Franche-Comté bourguignonne, à la suite du traité de Lyon en 1601, et au traité d'Auxonne en 1612. À l'origine, elle était appelée borne de la Cléa, ce nom signifierait porte, barrière et passage dans le patois local. Wikipédia] [Panneau d’information ; EN 1943 ET 1944 LES COMBATTANTS VOLONTAIRES DES MAQUIS DE L'AIN ET HAUT JURA, SOUS LES ORDRES DU COLONEL ROMANS PETIT, COMPAGNON DE LA LIBÉRATION, OCCUPRENT CES MONTAGNES D'OU ILS ALLAIENT PORTER LEURS COUPS CONTRE LES TROUPES 'DE L'ALLEMAGNE NAZIE. AU MOMENT DES TERRIBLES COMBATS DE JUILLET 1944 QUE CELLES CI MENERENT DANS CETTE RÉGION CONTRE LES HOMMES DE LA RESISTANCE FRANÇAISE, CE LIEU FUT UN REFUGE POUR LE POSTE DE COMMANDEMENT DU COLONEL ROMANS PETIT, AUPRES DUQUEL FURENT RAMENES UN GRAND WOMBRE DE BLESSES QUI AVAIENT DU ETRE ABANDONNS DANS LES FORETS.].  Panneau d’information ; LA BORNE AU LION ALTITUDE : 1289 mètres AU SUD DE LA LIMITE ACTUELLE DES DEPARTEMENTS DE L'AIN ET DU JURA. SE TROUVENT UNE SÈRIE DE BORNE MAROUEES DUN COTE DULION DE FRANCHE -COMTE ET DE LAUTRE DES TROIS FLEURS DE LYS DES ROIS DE FRANCE ELLES FURENT IMPLANTEES EN 1613 SUR CE QUI ETAIT LA FRONTIÈRE ENTRE LA FRANCHE COMTE, POSSESSION ESPAGNOLE JUSQU EN 1678 (PAIX DF NIMEGUE) ET LE BUGEY ET PAYS DE GEX RATTACHES AU ROYAUME DE FRANCE, EN 1601 (TRAITE DE LYON). LA PLUS GROSSE DE CES BORNES, QUI SE SITUE EN CE LIEU, PORTE ENCORE VISIBLES SUR CES FACES NORD ET SUD CES DEUX EMBLÈMES, LA FACE EST PARAIT AVOIR PORTE LA CROIX DE SAVOIE, CE QUI EST FORT PLAUSIBLE, CAR LE CHEMIN DIT "DES SAVOYARDS" PART DE SON PIED VERS LA VALLE DE LA VALSERINE PAR LE PASSAGE DU CREUX MANANT. CE CHEMIN ÉTAIT À
L'ÉPOQUE LA VOIE DE COMMUNICATION ENTRE LA PROCHE SAVOIE ET LE TERRITOIRE FRANC COMTOIS DE SON ALLIE L'ESPAGNE, FORMANT AINSI UNE BANDE DE TERRAIN QUI RESTA POSSESSION SAVOYARDE À TRAVERS LE ROYAUME DE FRANCE ET APPELEE EGALEMENT "VOIE DES ESPAGNOLS DANS LA VALSERINE CES LIEUX "VIRENT À CETTE ÉPOQUE LES AFFRONTEMENTS ENTRE LES BANDES DES "GRIS" ET DES "CUANAIS" PARTISANS OPPOSES DES ROIS DE FRANCE ET D'ESPAGNE.
Demain nous serons là haut mais par ou passe t'on

Borne au Lion de 10133 Cette borne, la plus connue, initialement appelée Borne de la Cléa (signifiant porte, passage.) fut aussi dite Borne des Trois Empires (en référence à la Savoie qui bénéficia pour un temps d'un corridor permettant à ses hommes d'armes de se déplacer sur le fameux Chemin des Espagnols). Par le Traité de Lyon (1601), le Bugey, le Pays de Gex, la Bresse et le Valromey furent cédés à la France par la Savoie. En 1613, des bornes furent implantées pour matérialiser la frontière nouvelle entre le Bugey (France) et la Franche Comté (Bourgogne espagnole). Ces bornes sont armoriées du lion sur la face vue depuis la Bourgogne espagnole et des trois fleurs de lys du côté de la France.]. Prenons le chemin carrossable sur notre gauche passant au pied du second monument, mais yeux ne peuvent se détacher de ce que j’appelle la chaîne de Crêt des Neiges, mais pour l’avoir vu en photo je reconnais à sa pointe le Reculet. Mes yeux sont attirés par la Roche Franche avec son cirque constitué d’éboulis. Nous grimpons jusqu’au Col du Merle, je laisse le balisage jaune grimper jusqu’au sommet du Crêt au Merle quatre vingt dix sept mètres de dénivelés positif (Bien m’en a pris, le final de cette balade à une belle côte). Nous redescendons et entrons en foret, il me semble que nous entrons dans les gorges de la Valserine. De l’autre coté nous longeons une foret coté amont et une prairie coté aval. Notre route carrossable tourne sur la droite, nous laissons un chemin sur la gauche (le raccourci du début de la promenade). Nous entrons en foret. Le GR tourne brusquement à l’équerre sur la droite et prend un petit sentier. Les pancartes (j’ai effacé par fausse manœuvre mon topo orale), mais je me souviens qu’ici qu’il y avait la Direction de Niaizet.

En cours de route une immense fourmilière
Je pense que le GR à de nouveau été modifié. Je fais une pose. Je me souviens que je dois rejoindre Lélex par un chemin carrossable. Je Regarde la carte vois que Niaizet est en bordure de la départementale, pour rejoindre Lélex il faut prendre la départementale. J’hésite, cela ne me dit rien de prendre la départementale alors que mon chemin rejoint Lélex par la foret,  je poursuis ma belle route carrossable sur près d’un bon kilomètre, fait une nouvelle pose regarde à nouveau mon GPS et constate que la trace est parallèle à celle que j’ai tracé et que celle que j’ai tracé est en amont de la départementale. Je commence à être fatigué pour ne pas avoir remarqué lors de ma pose qu’il y avait plus bas une autre route carrossable se rendant à Lélex. Je fais demi tour, rejoint le GR et emprunte le Balisage regroupant le 509, GTJ, et le GRP du Grand Tour de la Valserine. La descente est presque vertigineuse elle doit faire partie des 800 m compris entre 15 et 30 %. Je me pose une question comment les forestiers coupent ils les sapins sur ses pentes abruptes. Nous débouchons dans la plaine avec un banc et un panneau d’information. En effet Lélex est à gauche et sur la droite nous avons trois directions le pont de Niaizet, Niairzet, et lac dont je ne me souviens plus le nom, se trouvant à 40 minutes. Je n’ai pas encore mangé. Cette plaine marécageuse ne m’attire pas. Je quitte pour un moment le balisage Blanc et Rouge, pour prendre sur la droite le balisage jaune en direction du pont de Niaizet, le lac étant trop loin, je pense qu’autour du pont il y aura bien un endroit agréable pour faire une pose. Le pont semble être au bout de sa vie, le tablier est rapiécé. Je trouve beaucoup de place en bordure de la Valserine, avec le manque de pluie la rivière à réduit son lit caillouteux. Pas très confortable, je préfère la rive herbeuse. [Elle se distingue pour la qualité de ses eaux et de sa faune piscicole. Elle est reconnue à ce titre par le label Rivière Sauvage. De 47,6 kilomètres de longueur, la rivière naît dans le parc naturel régional du Haut-Jura au nord du col de la Faucille, aux confins des départements de l'Ain et du Jura, sur la commune de Divonne-les-Bains, à l'altitude 1 158 mètres. Elle coule de manière générale droit vers le sud, dans l'étroite vallée de la Valserine qui comprend les gorges du même nom, fortement alimentée par de nombreux petits cours d'eau issus des sommets du Jura qui la dominent (crêt de la Neige 1 720 mètres entre autres). Elle ne traverse guère de localités importantes. Elle conflue avec le Rhône au niveau de la ville de Bellegarde-sur-Valserine, juste après les pertes, à l'altitude 340 mètres. Wikipédia]. Le temps se couvre fortement, sur la rivière, du moins ce qui l’en reste, la surface lisse se couvre de petit point d’impact troublant sa surface. Je ne sens pas encore les goûtes. Je plis en vitesse et quitte la quiétude du lieu pour revenir sur mes pas et poursuivre en font de vallée le GRP sur un chemin carrossable. Nous ne voyons plus la rivière loin derrière le marais, par contre nous avons les pentes abrupts des gorges de la Valserine  de ce coté il me semble que nous ne sommes plus dans le défilé de sous Balme. Nous longeons un affreux bâtiment des années 1960, centre de vacances ou colonie semblant à l’abandon, d’une grande entreprise française. De chemin nous passons à bitume, dans une vallée encaissée parsemée de maisons. Traversons la rivière La Valserine, notre route change de nom et devient De Frenet. Passons des installations sportifs, puis nous montons vers les ébergements pour touristes, nous débouchons sur la D 991 que nous prenons à gauche en direction du Morez, les Monts du Jura, Mijoux, La Faucille . La rue fait fourche, laissons la rue de gauche se dirigeant vers le centre du village et prenons la rue de droite. Passons deux chalets et nous trouvons un chemin carrossable bitumé en son départ sur la droite. Il me semble que, c’est ici que nous avons l’information refuge du Ratou (C’est un refuge du CAF, mais il m’a semblé fermer et sur les sites internet consultés en 2022 il est indiqué fermer).  Et le Refuge de la Loge ainsi que Crêt des Neige, mais pour ce dernier je n’en suis pas sur. A Lélex nous avons un choix à faire ; Soit dormir en bas, dans le village. Soit dormir en haut, c'est-à-dire environ 580 m de dénivelé positif sur une pente compris entre 12 et 22 % .

Il faut également savoir que le prochain gîte (avec eau chaude et table d’hôtes) se trouve à une vingtaine de kilomètres et le chemin sur les crêtes est long mais magnifique. Sans connaître tout les détails n’ayant pas acheté le Guide de la traversée du Jura, (attention il faut bien acheter le Guide 2022 le seul à jour. Nous avons vu dans les étapes précédentes que beaucoup de choses avaient changés). J’ai choisi de dormir en haut et bien m’en pris la grimpette est rude et la faire avec l’itinéraire de demain cela aurait été épuisant. Pour l’itinéraire de demain il existe deux Bergeries non gardé au Gralet et à la Poutouille, ( je vous mets les site internet https://www.paysdegex-montsjura.com/hebergement-collectif/chalet-de-la-poutouille/ & https://www.paysdegex-montsjura.com/hebergement-collectif/refuge-du-gralet/ attention s’est sommaire, pas d’eau, pas d’électricité, pas de douche. L’avantage vous êtes en pleine nature sur les crêtes. La Loge c’est également sommaire, l’eau n’est pas potable c’est la récupération de l’eau de pluie. (Vous pouvez acheter de l’eau en bouteille). J’ai cru comprendre que le chalet est construit sur une énorme cuve récupérant l’eau de pluie. Il n’y a pas de douche, qu’un grand lavabo genre ‘’abreuvoir’’ dans un couloir, avec des cuvettes et de l’eau froide pour un rafraîchissement au gant de toilette. Un bonheur lorsque l’on a bien transpiré. Le repas peut être servi le soir.

J’ai donc choisi de dormir la haut, passons la barrière canadienne, la pente est douce dans la prairie puis nous entrons en foret. Le GR n’emprunte pas toujours le chemin carrossable qui fait de large virage vers les pistes de skies, il coupe les virages et monte à flanc de montagne. On coupe une première fois le chemin carrossable poursuivons en face, nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à gauche, nous montons rudement jusqu’au refuge du CAF le Ratou (fermer). Je fais une pose. J’hésite, il y a une clôture autour du refuge et plus de balisage du moins je ne le vois pas. Faut-il franchir la clôture ou prendre le chemin sur la droite ? Nous sommes tenté par le chemin de droite mais ce serait une grosse erreur il et plus long. Il faut franchir la clôture, et longer le refuge. Nous débouchons sur le chemin carrossable menant aux gares hautes des télésièges, passons sous ceux-ci et sur les pistes. On coupe un virage, retrouvons la route, et l’on se croit arrivée, mais ce n’est pas encore là traversons le chemin prenons le petit sentier qui traverse le bois, le sentier monte un peu mais moins. Traversons une piste de skie entrons de nouveau en foret nous grimpons toujours et enfin nous débouchons dans une prairie et apercevons le petit toit du refuge.   

     

 Montées

 Distance Km

 Km au total en %

 

 

 Entre 30 et 55%

 0

 0

 

 

 Entre 15 et 30%

 2.149

 10.7

 

 

 Entre 10 et 15%

 1.799

 8.96

 

 

 Entre 5 et 10%

 3.11

 15.49

 

 

 Entre 1 et 5%

 2.355

 11.73

 

 

 Total

 9.412

 46.87

 

 Terrain plat

 

 Dénivelées de 1 %

 1.883

 9.38



 Descentes

 

 Entre 1 et 5%

 2.126

 10.58



 

 Entre 5 et 10%

 4.428

 22.05



 

 Entre 10 et 15%

 1.557

 7.75



 

 Entre 15 et 30%

 0.812

 4.04



 

 Entre 30 et 55%

 0.07

 0.35



 

 Total

 8.993

 44.78



 

Total trace: 

 20.08

 100 %



 Le plus des photos

 

 

 

 

 

 

 

 

  Lorsque je pense que des écolos radicaux veulent nous supprimer les bovidés parce que cela consomme beaucoup d’eau (entre 25 et 150 litres. 150 étant une vache laitière). Et que nous manquons d’eau. Que les vaches pètent beaucoup et qu’elles produisent du coup beaucoup de méthane (250 à 500 litres de méthane par jour) ce qui contribue au réchauffement climatique. Lorsque je vois ses vaches manger de la bonne herbe grâce, des feuilles ou les branche basses des arbres, je ne peux que me révolter sur les orientations de certain ECOLO BOBO de nos VILLES, bourrés de soja et d'aliments soit disant biot, conduisant de gros SUV diesel, ou des hybrides forts polluants à la fabrication, utilisant des matériaux provenant comme par hasard des sols (comme le pétrole ou le gaz, qu'ils rejettent avec forts cries) mais que l'on extraie dans des conditions qu'il ne vaut mieux pas connaître. Supprimons ses fermes d’élevages à milles têtes, ou les bêtes n’ayant jamais vu un brin d’herbe de leur vie, les pattes sur du ciment, et mangent que des granulés, là je suis d’accord. A une époque on a rendu malade des bêtes en leur faisant manger dans des granulés un broyage d’os, de gras et de viande impropre pour l’homme. Une vache cela mange de l’herbe. Mais ses bêtes au milieu de la nature, laissons les vivres. Demain ses extrémistes de l’écologie nous mettrons un compteur un gaz au cul (il est vrai que nous n’en produisons que 40 à 50 GRAMMES par AN. Mais c’est tout de même 300 000 tonnes par an pour l’humanité. Source wikipédia). Et ceux qui émettrons trop de gaz à effet de serre seront taxés dans un premier temps d’une taxe carbone. Une fois que nous en serons arrivés là, tout sera possible avec ses gens là. Qu’ils restent avec leur Soja en tant que breuvage, ou de nourriture. Mais le soja provient du Brésil, Les Etats Unis et l’Argentine (on détruit la foret pour faire pousser le soja. . Toute cette production on le sait très bien elle arrive en France par char à voile. (Boutade qui ne peut être connu et drôle qu’en 2022. On a reproché à une équipe de foot d’avoir fait un déplacement en Bretagne en avion privé, à la place d’avoir pris le train moins polluent. L’entraîneur a répliqué que la prochaine fois il prendrait un char à voile. Et cela à fait le beuzz).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous reconnaissez ? C'est notre gîte d'un soir

 

 

 

 

 

 

 

 

 Notre gîte de ce soir en refuge. Pas de douche, on se lave au lavabo et à l'eau froide. Lorsque l'on a bien transpiré, l'eau froide c'est bon.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 





Le salon


 



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