Poursuite de mes promenades autour de la France ; Aujourd’hui nous parcourrons les Pyrénées de Aspect à Siradan
le comminges c'est ou c'est quoi ?
Aspet ; Sur le plan
historique et culturel, la commune fait partie du pays de Comminges,
correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de
la province de Gascogne située sur les départements actuels
du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de
l'Ariège. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par, le Rucan,
le ruisseau du Soueil et par divers autres petits cours d'eau. Elle a connu un
pic de population de 5 575 habitants en 1831.
Un peu d’histoire et de Géographie.
Le Comté de Comminges
Le pays de
Comminges ou Comminges (en gascon Comenge) est
une région naturelle et historique des Pyrénées françaises,
antique territoire du peuple aquitain des Convenae, regroupé autour
de Lugdunum Convenarum (Saint-Bertrand-de-Comminges), puis comté
de Comminges (Muret), circonscription de la province de Gascogne située
sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne,
des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Le val d'Aran, haute vallée
de la Garonne en Espagne, faisait aussi partie du Comminges
jusqu'au XIIIe siècle et était encore rattaché
au diocèse de Comminges jusqu'en 1802, date de sa fusion avec
le diocèse de Toulouse. Actuellement, le pays de Comminges est
un territoire de la région Occitanie situé dans le sud de
la Haute-Garonne (arrondissement de Saint-Gaudens). Actuellement,
le pays de Comminges est un territoire de la région Occitanie situé
dans le sud de la Haute-Garonne (arrondissement de Saint-Gaudens).
Avant la conquête de la Gaule par César, le Comminges était occupé par
les Convènes (en latin Convenae), peuple de
l'est Aquitaine protohistorique, jouxtant la Province romaine de
Gaule établIe vers 120 avant J-C. Après la conquête, les Convènes sont une
des cités de la province d'Aquitaine, avec pour chef-lieu Lugdunum
Convenarum (Saint-Bertrand-de-Comminges). C'est là que sous le règne
de Caligula auraient été exilés Hérode Antipas et sa
femme Hérodiade (vers 39), deux personnages mentionnés dans
les Évangiles : Hérode Antipas est le meurtrier de Jean le
Baptiste. Comme ils sont probablement venus avec quelques serviteurs et
fidèles, leur exil a sans doute entraîné le premier établissement
de Juifs dans la région. Au IIIe siècle, la cité
des Convènes est intégrée à la Novempopulanie (Aquitania
novempopulana) ou Aquitaine Troisième (diocèse de Vienne, préfecture des
Gaules). À partir de 418, le Comminges fait partie des territoires alloués
aux Wisigoths, qui ont alors le statut de peuple fédéré de
l'Empire. Lugdunum Convenarum est sans doute devenu un évêché à la fin de
l'Antiquité, mais ce n'est qu'au début du VIe siècle que
débute la liste des évêques de Comminges, avec Suavis, qui participe au
concile d'Agde en 506 ; ce concile traite notamment des persécutions des
Wisigoths ariens contre les chrétiens d'obédience romaine. En 507,
les Francs de Clovis refoulent les Wisigoths au-delà des Pyrénées. Le
pays de Comminges est inclus en 628 dans le duché
d'Aquitaine. Un comté de Comminges a existé
de 949 à 1453. À l'extinction de la dynastie de Comminges,
il est réuni à la couronne de France. Quelques évêques de Comminges sont
particulièrement importants : Saint Bertrand (évêque de 1073 à
1123) ; Bertrand de Got (1295-1299), devenu le pape Clément
V..Wikipédia]
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- un lac naturel présentant une faune et une
flore parfaitement préservées
- l'église Saint-Pierre du XIe siècle ornée de
fresques du XVe siècle
- une chapelle du XIXe siècle et son chemin de
croix
- un lavoir du XVIIIe siècle
Comme chaque village des Frontignes, Saint-Pé-d'Ardet a ce que l'on pourrait appeler une
"devise", sous forme d'aphorisme censé représenter l'état d'esprit ou un caractère
des habitants du village : « Saint-Pé, un clau en pe »
que l'on peut traduire par « Saint-Pé, un clou dans le pied ».
Comme toutes ces "devises", elles sont différemment
interprétées : si les Saint-Péens veulent y voir un amour profond et
éternel pour leur village (ils auraient un pied cloué à Saint-Pé-d'Ardet
et ils ne pourraient bouger que leur autre jambe : allégoriquement,
le Saint-Péen reste toujours
attaché à son clocher et y reviendra
forcément), les autres habitants des Frontignes aiment faire dire à
l'aphorisme que les Saint-Pé-d'Ardet sont feignants, et n'aiment pas
travailler. La devise du village voisin d'Antichan-de-Frontignes est
"Antichan, tripas neras, nas de can", "Antichan, tripes
noires, nez de chien"; et celle de Lourde-en-Frontignes est
"Lourda, esclopas surdas", "Lourde, sabots sourds"... De la même manière, chaque village avait un surnom pour
désigner ses habitants : les Saint-Péens sont, et surtout étaient,
surnommés « eras chòlas » (prononcé
« tcholos »), mot occitan désignant
les grenouilles, à cause du lac
et des nombreuses grenouilles qui chantent dans ses nénuphars. Les
habitants d'Antichan-de-Frontignes, village limitrophe, sont surnommés,
eux, "eras hormigas", mot occitan désignant les fourmis. Et ceux
de Lourde, en accord avec leur devise, sont "eths esclops", les
sabots !Le nom en occitan gascon du village est Sent Pèr d'Ardet..
Il n'est pas sûr que ce soit le nom originel du village. Il ne reste que
peu d'informations sur le nom du village, mais on sait qu'il
s’appelait Ardres, au xviie siècle, d’après les Mémoires du marquis de Chouppes
(« Le roi Louis XIII étoit parti de Narbonne lorsque j’y arrivai. Je ne
le rejoignis qu’à Ardres » [note postérieure :
« Saint Pé
d’Ardet, canton de Saint-Bertrand-de-Comminges, arrondissement de
Saint-Gaudens, département de la Haute-Garonne »]. Jusqu'à la Révolution, Saint-Pé-d'Ardet, bien que
située dans le Comminges, était une des onze enclaves languedociennes du Petit-Comminges, un des
diocèses civils du Languedoc. Grâce à son bon positionnement favorable (altitude
modérée : 600 m, protégé du vent…) mais aussi grâce au point d'eau,
le lac, les hommes se sont
installés à Saint-Pé-d'Ardet, mais de manière plus générale dans les
Frontignes. Au fil des siècles, les hommes s'installent et construisent des
édifices que l'on peut encore voir. Complément sur Wikipedia ]. Il est encore de bonne heure, je
n'ai pas mangé et j'ai repéré sur la carte un étang en bordure du GR. [Le lac se situe dans
la région naturelle des Comminges au nord-est
de la commune de Saint-Pé-d'Ardet et au nord du col d'Arès. Le lac de
Saint-Pé-d'Ardet est d'origine karstique et glaciaire et a une
superficie d'environ 2 hectares.
Plusieurs espèces végétales protégées dans
la région Midi-Pyrénées et
rares pour le département de la Haute-Garonne telles
que le nénuphar jaune (Nuphar lutea), le marisque (Cladium mariscus) ou encore la fougère des
marais (Thelypteris palustris) ont été recensées. Wikipedia]. Itinéraire qui n'est plus le mien
n'ayant pas trouvé de couchage dans les villages qu'il traverse. Je fais malgré
tout le détour en espérant trouver quelques chose de sec pour manger. Le
meilleur côté est occupé par un camping-car et des pêcheurs. Le paysage est
sublime malgré le ciel gris et cela sauve un peu la journée photo. Je trouve un
espace construit de bric et de broc au dessus de l'eau entre deux arbres qui
doit servir aux mômes du village de plongeoir. C'est un peu branlant, mais ca
tient. J'arrive même à faire une micro sieste. En repartant vers le village par
le GR je fais le détour par la chapelle Sainte Auraille. La montée par le
calvaire est très atypique avec les murets soutenant le chemin se croisant. Je
monte jusqu'à la chapelle ce qui nous donne une belle vue sur le village,
l'église avec son drôle de clocher. La
Chapelle Sainte-Auraille (xixe siècle) Au cours de n’importe
quelle conversation sur Saint-Pé-d’Ardet, vous entendrez au moins une fois
parler de l’église Saint-Pierre ou du lac ; mais il est rare qu’on vous
parle de la chapelle Sainte-Auraille, et pourtant son histoire est tout aussi
intéressante – parce que très lacunaire - voire peut-être plus intime avec
celle des Saint-
Péens. Il n’existe nulle
part dans un texte chrétien de mention d’une sainte Auraille. Mais il existe
deux hypothèses pouvant expliquer le nom de la chapelle :
La première (la moins probable) avance qu’Auraille serait une déformation de « Arraille » mot gascon désignant un ravin, un éboulis, un précipice (mot basé sur la racine indo-européenne « -arr » (pour les puristes : kʰar) « pierre »). Cette hypothèse se justifierait par le fait que le terrain soit rocheux et que la chapelle ait été construite sous les falaises de Tarride.
La deuxième est surement la bonne du fait qu’elle soit
linguistiquement justifiée. Elle fait découler le nom de la chapelle de sainte
Eulalie de Barcelone (289-304), vierge martyre née à Barcelone, crucifiée sur
une croix en X (qui pourrait d’ailleurs être représentée dans les fresques de l’église
qui au plus tard daterait du xve siècle).
L'importante transformation phonétique s'explique par : une
hypercorrection : Eulalia > *Ellalia, le traitement, régulier en
gascon : ella > era et alia > aljɵ (mouillure du l), l'assimilation
du e en a : Eraljɵ > Araljɵ. Wikipedia].
[La Chapelle actuelle : construction et anecdotes
En 1855, l’épidémie de choléra sévit dans la
région, et fait une cinquante de victimes (pour une population de 600
personnes…) à Saint-Pé-d’Ardet en deux mois… La chapelle fut construite en 1857
par les habitants du village, conseillés et soutenus par l’abbé de Rap, en
remerciement à la Vierge, et à sainte Eulalie, pour avoir protégé le village du
choléra (ce fut un des villages de la région les moins touchés…). Un chemin de
croix de quatorze « chapellettes » précède la chapelle et se termine
par une grande croix qui à l’origine était entourée des croix des deux larrons
et de quatre statues (la Vierge, saint Jean, sainte Marthe et sainte Madeleine)
qui ont aujourd’hui quasiment disparues… La légende veut que chaque
« grande » famille de Saint-Pé se soit vue attribuée la garde d’une
« chapellette » en l’échange de leur participation (ou manuelle ou
financière) à la construction du lieu de culte. Le seul véritable témoignage
« littéraire » que nous ayons de la chapelle date d’une cinquantaine
d’années après la bénédiction de la chapelle (vous remarquerez d’ailleurs que
le site
n’a pas réellement changé…) : « Tout d'abord, il conviendra de
faire une première pause sur le mamelon du Calvaire. Quatorze petites chapelles
d'un modèle uniforme, représentant les stations du chemin de la Croix, sont
coquettement assises sur le versant du monticule. Un chemin gazonné, ombragé de
platanes, zigzague entre ces édicules et conduit à un édifice plus vaste, à une
véritable église qui couronne le faîte et est dédiée à Notre-Dame de
Sainte-Auraille. Non loin de là, se dresse une
croix monumentale, supportant un Christ plus grand que nature, tout affaissé
sur le côté droit et la tête pesamment inclinée, une véritable œuvre d'art,
bien différente de la banalité ordinaire de ces sortes de monuments. À ses pieds se trouvent les
statues colossales des Saintes Femmes.
Pauvres statues ! Elles ont été bien maltraitées par les injures du temps,
et d'eux d'entre elles sont à peu près réduites en pièces. De celles qui
restent intactes, l'une est debout « Stabat mater », l'autre à
genoux, dans une pose touchante d affliction et d'extase. La beauté de ce
calvaire, lequel est, dit-on, à peu près unique en France, dans ce genre, le
charme du paysage, l’ombre épaisse fournie par le large feuillage de ces arbres
hospitaliers, tout captive et retient le visiteur.'' »
L'intérieur de cette chapelle est très simple : une tribune à deux étages
(menant au clocher et à son unique cloche), le chœur et le plafond sont peints
en bleus et sont étoilés, dans le chœur on retrouve de nombreux
« ex-
votis» et surtout la statue de la Vierge au centre. La particularité
de cette chapelle est peut-être qu’il n’y a aucun saint représenté, ce ne sont
uniquement que des femmes : sainte Jeanne d’Arc, sainte Germaine, sainte
Thérèse… Sur les murs, on retrouve une fois de plus les scènes de la passion du
christ dans des cadres en verre… L’autel est adossé au chœur, le prêtre faisait
donc la messe dos aux fidèles et est séparé du reste de l’église par une petite
rambarde… Il reste encore sous la tribune une photo de l’abbé de Rap, fondateur
de la chapelle et premier enterré au nouveau cimetière de Saint-Pé-d’Ardet.
Jusqu'à 1960, des processions étaient organisées à la chapelle, avec les
retraites aux flambeaux. Et la fête la plus prestigieuse était celle du
brandon, équivalent commingeois du feu de la Saint-Jean, où tout le village
montait par le chemin de Croix, avec des « brandounets » (petites
torches), pour aller voir brûler « eth hart » (nom gascon du
brandon). Wikipedia ]. Je
redescends vers le village et cherche l'église que je ne trouve pas. En effet
elle est entourée de maisons sans une vrai place. La rue de l'église qui me
semble être l'entrée, une grille et un
chien derrière ne m'incite pas à entrer. [L'église Saint-Pierre fut construite au xie siècle. C'est le
point le plus haut du centre du village. L'église se trouve à 614 mètres. Elle
est entourée de remparts dont quelques vestiges subsistent. L'emplacement actuel
fut toujours un lieu de culte. cette église est un
amoncellement d'architecture : à
l'intérieur, il y a des monuments gallo-romains
aussi bien que mérovingiens ou encore
de l'époque contemporaine. Il y a notamment le couvercle d'un sarcophage mérovingien
appartenant à Saint-Seurin de Bordeaux. En réalité, ce
que beaucoup ont pris pour un couvercle de sarcophage n'est en fait qu'un côté
(la décoration végétale - vignes notamment - ainsi que le chrisme - symbole des
premières communautés chrétiennes - laisse penser que c'est la face latérale
d'un sarcophage paléochrétien, ve-vie siècles, période à laquelle sont attestés les
premiers chrétiens dans les Pyrénées Centrales, à la suite de l'évangélisation
de saint Saturnin). On retrouve gravé sur un marbre assez foncé (gris) en
bas-relief :
un chrisme (symbole du
Christ dans la religion primitive), ainsi que des motifs floraux et végétaux
(grappe de raisins notamment), mais aucune représentation du défunt, ou du
Christ ou d'un saint. Mais on retrouve aussi des modillons de l'époque
mérovingienne au-dessus de la fenêtre de la tribune, ou encore en bas des
arches de la voûte de la nef. Deux corbeaux soutiennent aussi la grande arche
cachait par la tribune, et un autre corbeau plus abîmé soutient une partie de
la tribune. Selon Gabriel Manière, dans son étude sur les réemplois
gallo-romains à Saint-Pé-d'Ardet, d'autres objets constituant le trésor du village,
sont enfouis dans le lac qui était à l'époque gallo-romaine un lieu de culte où
les Gallo-Romains jetaient les trésors de
guerre. Wikipedia]. Je redescends du haut village
quitte le Gr pour rejoindre mon Gîte d'un soir se trouvant au pied de la montagne
de Luchon. Je rejoints la D9, longe le cimetière laisse une route sur la gauche
( chemin de Bressan) et débouche sur la D618, prenons à droite en direction de Frontignant,
Fronsac, Saint Beat et Bannière de Luchon. Après un virage en épingle à cheveux
que j'ai essayé de couper, nous prenons la D 33i en direction de Ore. Au
carrefour nous prenons à gauche, toujours la direction du village de Ore que
nous traversons. De l'église nous avons une belle vue sur la vallée. Je
rejoins la D 33k en prenant la rue légèrement à droite au carrefour avec un
banc et une fontaine. C’est une petite rue de village peu large. Au carrefour
avec une petite croix en fonte ouvragé nous poursuivons tout droit en direction
de la marbrerie. A cette dernière la
route tourne sur la gauche et longe la N125. Au carrefour nous traversons la
D125 en deux fois grâce aux haricots centraux, nous prenons la D33a en
direction de Siradan, Bargiry, Salechant, passons la Garonne et après un
carrefour notre départementale devient D 121. Coupons l'ancienne ligne de
chemin de fer, débouchons sur la D825. Mon gîte se trouve à quelques
mètres. C'est un hôtel pas cher pour la grande chambre que j'ai eu, j'ai
également parfaitement mangé pour un prix tout à fait honorable pour un meny
composé d'une entrée, un plat, fromage et dessert. Le
seul bémol et cela me chagrine un peu, c'est que dans la conversation l'hôtellière
me dit qu'elle privilégiera toujours un groupe d'habitué par rapport à un
client seul surtout pour une nuit. Qu'elle annulerait ce client sans trouver de
chambre de remplacement. Cela fait quand-même un peu peur. Je suis ici parce
que je n'ai rien trouvé autour d' Antichant de Frontigne, la chambre d'Hote de
louait plus sa chambre en raison des conditions sanitaires, a moins que ce ne
soit parce que j'etais seul et que je ne restais qu'une nuit, quand a l'hôtel,
il était fermé hors saison et personne n'ecoutait le repondeur. Il ouvrait
debut mai. J'ai bien reçu un message durant ma semaine de rando mais bien trop
tard pour moi preparant mes itinéraires deux a trois mois en amont. Dans un
sens je la comprends. Un hôtel perdu au bord de l'ancienne route de Luchon, au
pied de la montagne qui semble fort escarpé ne doit pas rencontrer beaucoup de
touristes, sauf si c'est complet là haut. J'ai choisi cet hôtel parce qu’il
n'est pas trop cher, et qu'il me permet de fuir cette région, ou j'ai eu tant
de mal à trouver un logement cette semaine. J'aurai bien aimer monter à Luchon,
mais ensuite je n'avançais plus. J'ai hésité à
passer dans l'autre vallée, mais il me fallait plus de deux jours pour
trouver un transport en commun et puis je dépassait ma règle des 1500 de point
culminant. A
regret, j'ai donc fuit les Comminges et le Cousserant en prenant
la plaine.
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html
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