vendredi 2 septembre 2022

Petite Promenade en Limousin N°132 ; Folles 2 - Circuit du chemin des Loup

  Folles 340 m d'altitude

Petit circuit des Monts et Vallées (reprise des fiches Nature et patrimoine) 

Devant nous se déroulait un pays vert et mouvant,
silencieux et profond, coupé de haies épaisses,
empli d'ombres puissantes et tout mouillé d'eaux vives.
Point de fleuves, des rivières, point de lacs, des étangs,
point de vallées, des vallons, une gravité touchante.
Nous étions en Limousin."

Jérôme et Jean Tharaud

 

J’avais remarqué de belles pancartes neuves de rando dans les petits bourgs autour de ce village. J'ai recherché sur internet et trouvé deux traces qui ne sont pas en rapport avec les pancartes, elles ont le mérite d’exister. Cette fois si, je ne m'aventure pas dans la création d'un itinéraire, je suis un balisage proposés par l'association Nature et patrimoine. [https://anciensite.nature-patrimoine-montsdambazac.fr/folles-5.html]

Découvrant la région, Je pensais être le seul à proposer des balades avec beaucoup de bitumes. Je me suis rendu compte que les locaux faisaient la même chose. Ses traces ne correspondent pas au panneau vu plus haut, elles semblent peu entretenues. L'itinéraire à le méritent d'exister. Pour remercier les baliseurs qui ont eux la patience un jour de les entretenir, parcourons ses promenades une dernière fois avant peut être leur disparition.

Folle : Se trouve dans le département de la Haute Vienne à une dizaine de kilomètres de Bessines sur Gartempes. Entre Bersac sur Rivalier, et Laurière.

De limoges prendre la A 20 en direction de Paris avec deux possibilités de Sortie

1)      N° 25 Razes prendre la D 44 sur la droite puis à gauche l’ancienne N 20 (D220) longeant l'autoroute. Au rond point suivre la D 220 traverser le hameau de Charensanne, arrivé au hameau de Chanteloube prendre sur la droite la D 28 direction Berssac, laissons le village de Maillofargueix sur la droite. A Bersac, prendre la D 28A en direction de Folles.

2)      Sortie N°24 Bessines, Bersac. Prendre la D 27 vers Bersac, puis la 28A vers Folles.

En venant de Châteauroux et de la Souterraine par la A 20 Sortie N°23.1 Bessines, fursac. Au rond point D1 Fursac et Fronmontal, puis la D 63 Folles.

Carte IGN            Trace GPS et Topos sans commentaires       Carte Randogps

 Le code mobile de cette randonnée est b346350

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Km    Temps     Arrêt     V/d        V/g       Dénivelé         

14   2h50        0h10       4,9         4,7            311         

 

Nous trouvons des parkings, dans le bas du village sur la D 28A direction Fursac ou sur le parking du cimetière. Egalement en bordure de la D 63.

Un troisième parking se trouve en partie haute du village, prendre la D 63 direction Pont à l'Age et Laurière. Passer devant l’église. Laisser la D 28A, poursuivre la D 63 (rue Grande). Au puits prendre à gauche (La petite rue). Nous arrivons à la salle des fêtes.

Folles. Le nom de la commune est issu du latin « fageas » ou « fagus » signifiant hêtre et de follis signifiant feuilles. Les habitants sont appelés « follois ». Folles était une cure ou un prieuré-cure dans l'ancien archiprêtré de Rancon, qui dépendait de l'Abbaye de « Bénévent l'Abbaye». Une station mésolithique a été découverte au Nardières. Il subsiste les dolmens, au village du Montheil et au village du Cluzeau le dolmen  des Goudours. Il reste de l'antiquité une sépulture gallo-romaine au pont de Mazéras. Un vase funéraire en verre trouvé à Lavaud serait au musée d'archéologie nationale de Saint Germain en Laye. Durant la guerre de 100 ans Folles est incendiée par les anglais. 

J'ai choisi comme parking celui de la salle des fêtes. En longeant cette salle, nous trouvons un rocher avec des écussons de toutes les villes ou villages comportant des noms insolites. [ l’Association des communes de France aux noms burlesques et chantants  assure leur promotion et fait découvrir leur patrimoine par un rassemblement annuelle. La passation de témoin entre Marans et Folles a eu lieu début juillet. Cette dernière a désormais un an pour se préparer à accueillir l’événement. Les 8 et 9 juillet 2017, près de 700 participants issus d'une trentaine de délégations vont investir la petite commune de Folles (500 habitants). Et, comme ce fut encore le cas le week-end des 9 et 10 juillet dernier à Marans, ils seront accompagnés de milliers de curieux. L'idée d'accueillir un tel événement a germé en 2015 dans la tête du maire - Alain Couteau - lors du rassemblement qui avait lieu au Quiou, en Bretagne. « Si ce village de 350 habitants a réussi, je me suis dit qu'on pouvait y arriver aussi », explique-t-il. Et puis, c'est l'occasion ou jamais de mettre un peu d'animation dans la commune. »

Des liens durables.

La fête annuelle des communes aux noms burlesques est avant tout l'occasion de mettre en valeur les produits du terroir et de favoriser les échanges sur fond d'autodérision. A Folles, des liens particuliers se sont même tissés avec Moncrabeau, notamment à travers leur participation au festival des menteurs, que cette commune du Lot-et-Garonne organise chaque année. Mais aussi avec les habitants de Montéton, d'autres néoaquitains plus portés sur les chapeaux, qui organiseront ce rendez-vous en 2018. La passation de témoin est un moment important qui se produit en clôture de chaque rassemblement. Cette année, Marans a offert à Folles un drapeau associant les deux communes à travers leurs symboles respectifs : la poule et le hêtre. Le début des festivités sera marqué par la remise de la « Marianne » du groupement : le fameux Bébert, qui sera conservé un an. Comme le veut aussi la tradition, un totem aux noms des villages participants sera édifié dans la commune afin « d'immortaliser » l'événement. Folles a également prévu de mettre à l'honneur la porcelaine, pour les cadeaux souvenirs, et le bœuf limousin lors des repas. https://www.lepopulaire.fr/folles-87250/loisirs/pour-la-deuxieme-fois-la-haute-vienne-va-accueillir-la-fete-des-communes-aux-noms-burlesques_12021666/] Prenons la rue sur la droite de la salle des fêtes et descendons vers la D 241 arrivé à cette départementale nous prenons à gauche et arrivons au cimetière [LE CIMETIERE Autour de l’église jusqu’en 1837. Dernière demeure d’Adrien Tixier, premier Ministre de L’Intérieur du Général De Gaulle en 1944. : Adrien TIXIER 1893-1946 (Homme politique. - Représentant de la France libre aux États-Unis, ministre des affaires sociales du Conseil français de la Libération nationale et du Gouvernement provisoire de la République française à Alger (de 1943 à 1944) puis ministre de l'Intérieur (de 1944 à 1946) et président du Conseil général de la Haute-Vienne. https://data.bnf.fr/fr/11811975/adrien_tixier/). A remarquer au fond du cimetière, une très belle croix gothique et fleuronnée du 15ème siècle. Au cimetière se trouvent des pierres tombales et une croix gothique du XVème siècle.] Prenons la D 28a en direction de Fursac et Fromental, sortons du village. Nous passons les quelques maisons de Contaminas, nous traversons le pont de Mazeras au dessus de la Gartempe [LE PONT DE MAZERAS Sur la Gartempe, premier pont de la voie romaine de Bordeaux-Bourges, construit au 13èmesiècle, élargi pour être adapté à la circulation actuelle. Cette opération l’a fortement défiguré.] [Le cours d'eau à une longueur de 204,57 km. Il prend sa source dans le département de la Creuse, à 623 m d'altitude, prés du lieu-dit « Pétillat », sur le territoire de la commune de Peyrabout, puis s'écoule vers l'ouest, puis le nord. Son confluent avec la Creuse, se situe à 57 m d'altitude, sur le territoire des communes de La Roche-Posay (Vienne) et d'Yzeures-sur-Creuse (Indre-et-Loire. Le nom de la rivière est attesté sous la forme Vartimpa , Wartimpae fluvii au viiie siècle, Vuartimpe en 825, Guartimpa en 886, super fluvium Wartimpaesuper fluvium Guartempa. Les formes citées Wartimpae au viiie siècle ou celle de 825, Vuartimpe représentent vraisemblablement un ancien *Wartimpa, devenu régulièrement Guartempa, puis Gartempe (cf. ware > gare ; warde > garde). En marchois, elle s'écrit et se prononce donc Gartempa. C'est un hydronyme obscur, d'origine germanique ou influencé par le germanique sur la consonne initiale. Une station de mesure Établie à 298 m d'altitude, située dans la commune de Folles fut mis en service le 1er janvier 1960. C'est une station de type « station à une échelle » et son statut est « station avec signification hydrologique ». Wikipédia A Bessines la Gartempe a été  dévié de son cour naturel pour la construction ou l'exploitation de lUranium]. Après le pont la route fait fourche, sur la droite la 28a en direction de Fursac. Nous poursuivons tout droit par la D 234 en direction de Fromental. Nous montons vers le village de Mazéras (sur la gauche nous longeons l’ancienne carrière de Granit [Au plus fort de l’activité, elle a produit 200 000 tonnes par an de matériaux pour les réseaux routiers et l’ensemble de la construction]. Traversons le village (laissons sur la gauche les rues donnant accès aux maisons en retraits. Dans le haut du village, nous prenons sur la gauche le chemin gravillonné à l’angle d’une maison à deux étages avec une courette et une barrière dans le prolongement de la maison se trouve une grange avec deux portes de garages. (Au loin nous apercevons le toit pointu du clocher de l’église templière de Paulhac). Se chemin dessert deux maisons puis traverse les champs (il me semble que nous sommes sur le puy des trois Cornes et nous avons une vue sur 360°. Nous sommes à 377 m d’altitude). Le chemin fait successivement trois fourches, à la première laissons la branche de gauche, à la seconde laissons la branche de droite, à la troisième laissons la branche de gauche. Nous longeons une bande de bois et après un champ nous traversons un autre bois. Notre chemin est bordé de beaux êtres. J’espère que ce chemin subsistera au temps, certain passage par manque d’utilisation sont très ronceux. Le chemin monte tranquillement jusqu’à 400 m d’altitude. Nous sommes sur le chemin des ferrailleurs, pas loin du lieux dit les Meigneux devait se trouver un hameau ou quelques maisons s’appelant les Rouillas (patois de rouillé) Remarquer à l’écart du chemin 5 ou 6 rochers, au centre une sorte de placette, vers 1750 dans ce lieu ‘’La Halterie’’ à l’écart des grands axes s’y déroulait le négoces et les échanges divers. Un peut plus loin le chemin fait fourche nous prenons à droite nous sommes [(mais je me trompe peut être) sur le chemin des charbonniers (charbon de bois) mentionné sur la carte ‘’Cassini’’ de 1789. D’après la carte Nature et Patrimoine il se trouve dans le prolongement de celui des ferrailleurs.] Après avoir passé une haie de fougères. Nous débouchons sur une route bitumée que nous prenons à gauche. La route fait un virage sur la gauche et redescend vers le hameau de Montjourde [On est frappé par la multiplicité des chaos rocheux au sein desquels poussent parfois des arbres. Une légende dit que sur ces monts on s’y livrait à des Bachanales (fêtes tournant à la débauche et à l’orgie.] A la fourche nous prenons la D 63 sur la gauche traversons ce ravissant hameau dont certaine façades ont conservées leurs aspects d’origines. Nous avons une belle vue sur les Monts D’Ambazac et le bois des Echelles. Après un virage la D 63 fait fourche prenons à droite la direction de Lavaud [Village incendié partiellement en février 1865. Au centre du village un double four à pain]. Nous débouchons dans la rue principale et prenons à droite, laissons la première rue sur la gauche (rue sans trottoir desservant principalement des granges. Prenons la seconde la rue ressemble à la première, elle prend naissance à l’angle de maisons avec de petites courettes en triangles bordant la rue principale. Nous débouchons sur une rue que nous prenons à gauche. Une drôle de route qui serpente sur le flanc de la colline avec de l’herbe au milieu. Dans le premier virage laissons le premier chemin sur la gauche et prenons le chemin à la sortie du second virage. Traversons le bois nous débouchons sur un chemin formant Té prenons à gauche. (Ce crochet évite du bitume et n’est pas une obligation). Nous retrouvons notre route avec de l’herbe dans le milieu. Cette route n’est presque pas utilisée, bien souvent ce ne sont que des agriculteurs qui l’empruntent pour rejoindre soit leur ferme ou leurs champs. Nous débouchons sur la D 94 que nous prenons en poursuivant tout droit. Traversons le village de Rocherolles. La route grimpe un peu et à l’intersection nous prenons la route de gauche, ‘’la C 7’’ Nous descendons en direction du viaduc de Rocherolles. Passons le pont Gibus au dessus de la


Gartempe [Porte le Nom de l’ouvrier tué accidentellement lors de la construction du viaduc.] Sur la droite entre les arbres nous apercevons le viaduc de Rocherolles. (Deux de mes promenades passent sous le viaduc) [Conçu par l’architecte DE Leffe, il enjambe la Gartempe, c’est l’une des plus belles œuvres du 19ème siècle de la région, tant par sa qualité que par les détails de son architecture. Sa construction en granit de la région, à commencé à la fin de 1852 et à duré 2 ans et comptait 2000 ouvriers. Il est composé de 8 arches de 15 m d’ouverture elles sont à double étage superposés et supportent un plateau long de 187 m. Le parapet est à une hauteur de 54 m. Il fut mis en service en juin 1856. Remarquer les esthétiques refuges en cul de lampe accroché au parapet.] La route grimpe de nouveau. Nous passons les deux maisons du hameau de la Chapelle poursuivons la route. (Dommage il existe un chemin sur la droite (balisage rouge) pas celui de la Gartempe (parcours pédagogique qui est plus ou moins entretenu, jusqu’au viaduc et un peu moins après) mais son retour qui devais se faire par le bois. Malheureusement des orties et des ronces plus haute que moi mon fait abandonner cette chemin lors d’une précédente promenade.) Nous arrivons à l’intersection avec la route de Folles que nous prenons sur la gauche. La route fait des lacets comme une route de montagne. Passons les deux ou trois maisons des Riley, puis le pont sur l’Adour [affluent de la Gartempe, donc un sous-affluent de la Loire par la Creuse et la Vienne. L'Ardour prend sa source au sud-est de Bénévent-l'Abbaye, sur la commune d'Augères, à l'altitude 450 mètres et à 500 mètres au nord-est du Puy de Villard (521 m) dans le département de la Creuse, et coule globalement en direction de l'ouest. Après un trajet de 33,5 kilomètres, durant lequel il a alimenté le Lac du Pont à l'Age, il se jette dans la Gartempe entre Folles et Bersac-sur-Rivalier à l'altitude 291 mètres et à moins de 500 mètres au nord-est et en amont du viaduc de Rocherolles. wikipédia] puis le Moulin du Montheil, traversons le hameau du même nom, nous passons devant l’oratoire de Marie. Sur la droite nous avons une vue sur le château de Folles, qui se visite depuis peu.  Passons le domaine du Montheil. Poursuivons la route et prenons à l’angle d’une maison isolé le chemin sur la gauche, il est très herbeux. Un peut avant un virage du chemin il fait fourche, nous trouvons sur la gauche dans le champ sous les ronces le dolmen de Montheil [Ce dolmen est en schiste, proche de lui existait un menhir. Les spécialistes du Musée des Eyzies évoquent l'hypothèse qu'un atelier de taille de silex existait au Montheil, alimenté majoritairement par de la matière première venue du Grand Pressigny (Indre & Loire - Touraine). Les silex du Grand Pressigny (dit pressignien) représenteraient suivant les spécialistes de 600 000 à 1 000 000 de pièces répandues sur une partie de l'Europe : Portugal, Suisse, Allemagne. classé MH 7-05-1945
Le dolmen fut l'objet de nombreuses fouilles depuis 1821, suivit de : 1861-(1865/1872 par l'Abbé LECLERC) - 1874 - 1895 - 1903 - 1907 - 1913 - 1922-1923-1932-1933-1936-1946-1948-1967-1983-1995. La totalité des objets trouvés au Montheil dans les fouilles effectuées par Mr CREDOT se trouve au Musée des Eyzies. L'inventaire des objets qui nous sont parvenus est le suivant :

               . Grand nombre de haches en dolérite (originaire des grès de Thiviers (24)
               . Haches en diorite et amphibolite (peuvent être de la région)
               . 1 pointe de poignard en silex jaune
               . 1 poignard en silex noir pressignien d'environ 20 cm en 2 morceaux (qui originellement en comportait 3)
               . 1 perle biconique en bronze(-1800 à –700 av. J-C)
               . 1 silex taillé biface
               . 1 armature de flèche
               . 2 haches polies en silex]

Dommage pour un site qui semble si prestigieux qu’il ne soit pas plus accessible. Sous les ronces, sur un chemin que l’on voit à peine, un arbre pousse même au milieu du tas de ronce. Même son accès rebute un randonneur en short. Je ne mis rends pas.  De toute façon au milieu du champ et sans chemin d’accès lorsque le champ est en culture il est impossible de se rendre sur ce lieu. Heureusement que de ce point nous avons une belle vue sur les monts d’Ambazac et la vallée de la Gartempe. Prenons le chemin de droite, longeons l’orée du bois, poursuivons le chemin en prenant le virage à droite. Le chemin se poursuit en longeant la Gartempe. Sur la gauche sur la colline les toits des hameaux de Lavaud et de La Montjoie. Nous débouchons sur la D 94 au niveau du pont et du hameau de Gaucharaud. Prenons la route sur la droite laissons l’embranchement de la D 28 a en direction de Fursac  nous entrons dans Folles Sur la gauche nous trouvons l’église [placée sous le patronage : d’une part de St Blaise, patron des cardeurs et des animaux ; d’autre part de St Bonnavanture. Elle fut construite au  xiie siècle, reconstruite fin xve siècle : portail fin XII e début xiiie siècle, clocher massif xviie siècle, nef reconstruite en 1595.] Poursuivons par la D 63 sur notre gauche en direction Laurière (grand Rue), nous montons un peu et prenons après le petite parking pour les commerces la rue de gauche (avec le puits à l’angle) c’est la petite rue à son extrémité le parking de la Salle des fêtes. Les commentaires proviennent de la fiche Nature & Patrimoine [https://anciensite.nature-patrimoine-montsdambazac.fr/folles-5.html]
 
 




 
 
 
 
 
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