Aujourd'hui nous partons dans le Limousin et plus précisément dans les Monts D'Ambazac. Avec cette balade nous resterons dans la plaine de Folles
Folles 340 m d'altitude
Devant
nous se déroulait un pays vert et mouvant,
silencieux et profond, coupé de haies épaisses,
empli d'ombres puissantes et tout mouillé d'eaux vives.
Point de fleuves, des rivières, point de lacs, des étangs,
point de vallées, des vallons, une gravité touchante.
Nous étions en Limousin."
Jérôme et Jean Tharaud
(reprise des fiches Nature et patrimoine)
J’avais remarqué de belles pancartes neuves de rando dans les petits bourgs autour de ce village. J'ai recherché sur internet et trouvé deux traces qui ne sont pas en rapport avec les pancartes, elles ont le mérite d’exister. Cette fois si, je ne m'aventure pas dans la création d'un itinéraire, je suis un balisage proposés par l'association Nature et patrimoine. [https://anciensite.nature-patrimoine-montsdambazac.fr/folles-5.html]
Découvrant la région, Je pensais être le seul à proposer des balades
avec beaucoup de bitumes. Je me suis rendu compte que les locaux faisaient la
même chose. Ses traces ne correspondent pas au panneau vu plus haut, elles
semblent peu entretenues. L'itinéraire à le méritent d'exister. Pour remercier
les baliseurs qui ont eux la patience un jour de les entretenir, parcourons ses
promenades une dernière fois avant peut être leur disparition.
Folle : Se trouve dans le département de la Haute Vienne à une dizaine de kilomètres de Bessines sur Gartempes. Entre Bersac sur Rivalier, et Laurière.
De limoges prendre la A 20 en direction de Paris avec deux possibilités de Sortie
1) N° 25 Razes prendre la D 44 sur la droite puis à gauche l’ancienne N 20 (D220) longeant l'autoroute. Au rond point suivre la D 220 traverser le hameau de Charensanne, arrivé au hameau de Chanteloube prendre sur la droite la D 28 direction Berssac, laissons le village de Maillofargueix sur la droite. A Bersac, prendre la D 28A en direction de Folles.
2) Sortie N°24 Bessines, Bersac. Prendre la D 27 vers Bersac, puis la 28A vers Folles.
En venant de Châteauroux et de la Souterraine par la A 20 Sortie N°23.1 Bessines, fursac. Au rond point D1 Fursac et Fronmontal, puis la D 63 Folles.
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Carte OpenStreet Trace GPS & Topos sans commentaires Carte Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b346353
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Carte VisioRando Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
Km Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
13,5 2h10
0h20 6,2
5,2 327
Nous trouvons des parkings, dans le bas du village sur la D 28A direction Fursac ou sur le parking du cimetière. Egalement en bordure de la D 63.
Un troisième parking se trouve en partie haute du village, prendre la D 63 direction Pont à l'Age et Laurière. Passer devant l’église. Laisser la D 28A, poursuivre la D 63 (rue Grande). Au puits prendre à gauche (La petite rue). Nous arrivons à la salle des fêtes.
Folles. Le nom de la commune est issu du latin
« fageas » ou « fagus » signifiant hêtre et de follis
signifiant feuilles. Les habitants sont appelés « follois ». Folles
était une cure ou un prieuré-cure dans l'ancien archiprêtré de Rancon, qui
dépendait de l'Abbaye de « Bénévent l'Abbaye». Une station mésolithique a été
découverte au Nardières. Il subsiste les dolmens, au village du Montheil
et au village du Cluzeau le dolmen des Goudours. Il reste de l'antiquité
une sépulture gallo-romaine au pont de Mazéras. Un vase funéraire en verre
trouvé à Lavaud serait au musée d'archéologie nationale de Saint Germain en
Laye. Durant la guerre de 100 ans Folles est incendiée par les anglais.
J'ai
choisi comme parking celui de la salle des fêtes. En longeant cette salle, nous
trouvons un rocher avec des écussons de toutes les villes ou villages comportant
des noms insolites. [ l’Association
des communes de France aux noms burlesques et chantants
assure leur promotion et fait découvrir leur
patrimoine par un rassemblement annuelle. La passation de témoin entre Marans
et Folles a eu lieu début juillet. Cette dernière a désormais un an pour se
préparer à accueillir l’événement. Les 8 et 9 juillet 2017,
près de 700 participants issus d'une trentaine de délégations vont investir la
petite commune de Folles (500 habitants). Et, comme ce fut encore le cas le
week-end des 9 et 10 juillet dernier à Marans, ils seront accompagnés de
milliers de curieux. L'idée d'accueillir un tel événement a germé en 2015 dans
la tête du maire - Alain Couteau - lors du rassemblement qui avait lieu au
Quiou, en Bretagne. « Si ce village de 350 habitants a réussi, je me suis dit
qu'on pouvait y arriver aussi », explique-t-il. Et puis, c'est l'occasion ou
jamais de mettre un peu d'animation dans la commune. »
Des liens durables
La fête annuelle des communes aux noms burlesques est avant tout
l'occasion de mettre en valeur les produits du terroir et de favoriser les
échanges sur fond d'autodérision. A Folles, des liens particuliers se sont même
tissés avec Moncrabeau, notamment à travers leur participation au festival des
menteurs, que cette commune du Lot-et-Garonne organise chaque année. Mais aussi
avec les habitants de Montéton, d'autres néoaquitains plus portés sur les
chapeaux, qui organiseront ce rendez-vous en 2018. La passation de témoin
est un moment important qui se produit en clôture de chaque rassemblement.
Cette année, Marans a offert à Folles un drapeau associant les deux communes à
travers leurs symboles respectifs : la poule et le hêtre. Le début des
festivités sera marqué par la remise de la « Marianne » du groupement : le
fameux Bébert, qui sera conservé un an. Comme le veut aussi la tradition, un
totem aux noms des villages
participants sera édifié dans la commune afin «
d'immortaliser » l'événement. Folles a également prévu de mettre à l'honneur la
porcelaine, pour les cadeaux souvenirs, et le bœuf limousin lors des repas. https://www.lepopulaire.fr/folles-87250/loisirs/pour-la-deuxieme-fois-la-haute-vienne-va-accueillir-la-fete-des-communes-aux-noms-burlesques_12021666/] Prenons la rue de la petite garde [Faubourg sentinelle de Folles.] balisage jaune, passons devant le grand bâtiment de la mairie
poursuivons par la rue de la garde, quittons le balisage jaune et prenons la D
63 sur la gauche jusqu'à la première rue (de la Malletterie) que nous prenons à
gauche direction de la Malletterie. Nous sortons du village, je ne voie plus de
balisage. Nous suivons le bitume, la route domine la vallée de la Gartempe. Sur
la droite et derrière nous les Monts d'Ambazac. Nous traversons le hameau de la
Malléterie, [Ce lieu-dit doit vraisemblablement provenir du nom
d’une halte où étaient soignés les pèlerins malades qui allaient à ou
revenaient de St Jacques de Compostelle. Cela devint par la suite une grande
métairie qui fut partagée en 1842. A noter : toutes les anciennes maisons sont
construites du même coté de la route.] Nous
y trouvons un Oratoire, [construit en 1956 par les
habitants.] poursuivons la route
traversant ce hameau tout en longueur.
Laissons les chemins aboutissant sur la
route, poursuivons le bitume, la route tourne sur la gauche, traverse un bois,
puis tourne à droite. C'est très vallonné. Nous passons une réserve d'eau et
arrivons au carrefour avec la D 241 au niveau du village de La Ribière. Nous ne
traversons pas le village mais prenons sur la droite la rue sans issus menant
au hameau de l'Auvergne, [Petit
hameau de 3 maisons construites dès 1840.] Nous retrouvons un vieux balisage jaune. Un peu avant le hameau nous
rencontrons une fourche, ne descendons pas vers les maisons, prenons la route
qui remonte sur la droite, laissons le chemin de gauche, poursuivons tout
droit. Nous arrivons devant une nouvelle fourche, nous quittons enfin le bitume
et prenons un chemin sur la gauche après une petite montée. Nous n'avons plus
de
balisage, le chemin fait fourche la branche de gauche emmène dans les champs
et les bois (sur la carte il est susceptible de rejoindre le hameau de
l’Auvergne). Poursuivons tout droit. Nous avons une alternance de bois et de
champ. Belle vue sur la montagne d'Ambazac et le bois des Echelles. Traversons
le bois, puis un champ dans une parcelle s'appelant « les Brousses » [Accès par le «chemin des loups»;
la construction du relais de diligence à Bellevue a fait se déplacer le trajet
des loups qui passaient d’une vallée à l’autre]. Nous longeons l'orée d'un autre bois, et débouchons sur un chemin
formant Té que nous prenons à gauche. Après avoir longé l'orée du
bois et
traversé une excroissance, nous retrouvons les champs pour déboucher sur une
ancienne route formant Té. A cet endroit, du côté droit le chemin est empierré,
du côté gauche, il est bitumeux. Prenons à gauche. Le bitume fait fourche nous
prenons à gauche et débouchons sur la D 1 que nous prenons également à gauche.
Suivons la départementale jusqu'à Paulhac. Nous quittons la Haute Vienne, et
entrons en Creuse. A l’entrée de Paulhac, prenons la première rue sur la droite,
la rue fait fourche, (attention à ne pas confondre la rue et les accès aux
maisons.) Prenons la rue de gauche, nous
débouchons dans une autre rue formant Té,
prenons à gauche. Nous sommes sur la
V.D.9. Sur la droite nous avons l'église, templière Saint Jean et la chapelle
Saint Fiacre. [La commanderie de Paulhac fut
d'abord un établissement de l’ordre du Temple avant
d'être dévolu aux Hospitaliers de l'ordre de
Saint-Jean de Jérusalem, fondé à Paulhac,
village de la commune de Saint-Étienne-de-Fursac dans
le département de la Creuse. Cette
commanderie fut établie vers 1200, sur la commune de Paulhac (aujourd'hui
intégrée à la commune de Saint-Étienne-de-Fursac).
Elle faisait partie à l'époque des terres du comté de la Marche,
qui dépendait de la province d'Auvergne-Limousin. Cette commanderie fut
probablement l'une des plus importantes
de la province. On y nota la tenue de
chapitres par Gérard de Sauzet, Pierre de Madic, et Raymond de Mareuil, qui
furent les maîtres successifs de cette province de 1284 à
1299. Après l'arrestation des Templiers, la commanderie fut dévolue aux Hospitaliers de l'ordre de
Saint-Jean de Jérusalem en 1312. Il
ne reste aujourd’hui de l'ancienne commanderie que l'église Saint-Jean (dite église de la Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste) et
la chapelle Saint-Fiacre bâtie en 1449, toutes les deux monuments historiques inscrits
par
arrêté du 19 février 1938. Le style de l'église est gothique (arche et
intérieurs) et romane (intérieurs). Des fragments de peintures monumentales
sont encore visibles sur les travées et les voûtes. Elles datent de la fin du XIIIe siècle. Elles ont été restaurées en 1971 puis
de 1982 à 1991, mais auraient encore besoin de travaux de restauration.
Wikipedia ] [La chapelle et son
décor peint du XIIIème siècle constituent le seul témoignage de l'importance de
la commanderie de
Paulhac à l'époque des templiers. L'édifice est homogène.
Indépendamment de la reprise d'un contrefort, il n'y a eu que des compléments
la surélévation de la première travée, d'assez médiocre qualité, probablement
liée à des fins défensives, qui dénature une silhouette autrefois continue, et
la construction en 1449 d'un petit oratoire isolé, la chapelle Saint- Fiacre,
dont la réalisation est au contraire extrêmement soignée. L'église, consacrée à
la Décollation de saint Jean-Baptiste, correspond à une
définition quasi
générale en Limousin à cette époque : un rectangle composé de plusieurs travées
dont la dernière forme le chœur. Il s'agit de la première oeuvre d'une série de
quatre chapelles gothiques édifiées par les templiers de la Creuse : les
églises de Paulhac, Blaudeix, Chambéraud et Charrières présentent toutes une
suite de voûtes d'ogives à liernes (non bombées) dont les articulations
retombent sur de courtes colonnettes juchées sur des consoles ; mais c'est
aussi la plus longue, avec cinq travées. Le parti est donc une invention de
l'architecte, qui a réalisé une synthèse originale entre des
influences venues
du monde Plantagenêt et des goûts pour la sévérité propres à la région. (Source - Les peintures murales
de Paulhac (Saint-Etienne-de-Fursac) / Claude Andrault-Schmitt) Lire la suite dans https://www.limousin-medieval.com/eglise-templiere-de-paulhac]. Poursuivons la
rue, coupons la D1 et prenons en face
la D42A1 en direction de Folles, Venassier, la Ribière. (Attention sur certaine
carte c’est la D 241). Nous sommes sur un balisage jaune. Nous pouvons prendre la
petite rue de droite et faire une boucle dans le village, nous y voyons entre
autre une ferme avec une tourelle. Nous quittons le balisage prenant un chemin
sur la droite entre une maison et un bois. Poursuivons le bitume et entrons de
nouveau en Haute Vienne. Traversons le village de Vénassier, [Village berceau de la famille Vénassier, grand propriétaire
foncier de l’ancienne commune de Paulhac, l’un des points culminants de la
commune de Folles]. Le cœur du bourg reste sur notre gauche, par une
rue sans issu. Le paysage est très vallonné. Nous changeons de numéros de
départementale et passons sur la D 241. Devant une grange ou un hangar
métallique peint en vert, nous laissons partir la D 241 sur la gauche vers La
Eibière. Longeons le bâtiment, le chemin serpente, bois et champs se
succèdent,
nous retrouvons le bitume un peu plus loin. Nous entrons et serpentons dans le village
de villette [Ce village en forme d’«Y». Deux importants
incendies ont marqué son histoire : en 1856 la foudre a frappé le haut du
village, la propagation s’est faite par les toits en chaume ; en 1914 le feu a
touché le bas du village]. Au bitume prendre à droite sur quelques mètres puis
la rue de gauche. Passons un lavoir non protégé, chose étonnante l'appentis pour
faire égoutter le linge, se trouve sur le mur d'une maison. La route redescend vers
le Moulin Neuf, que nous
atteignons après quelques virages. Passons la
Gartempe, [le pont à été construit en (1887)].
[Le cours d'eau à une longueur de 204,57 km. Il
prend sa source dans le département de la Creuse, à 623 m d'altitude, prés du lieu-dit
« Pétillat », sur le territoire de la commune de Peyrabout, puis s'écoule vers
l'ouest, puis le nord. Son confluent avec la Creuse, se situe à 57 m d'altitude, sur le territoire des
communes de La Roche-Posay (Vienne) et d'Yzeures-sur-Creuse (Indre-et-Loire. Le nom de la rivière est attesté sous la forme Vartimpa , Wartimpae fluvii au viiie siècle, Vuartimpe en
825, Guartimpa en 886, super
fluvium Wartimpae, super fluvium Guartempa.
Les formes au viiie siècle ou celle de 825, Vuartimpe représentent vraisemblablement un
ancien *Wartimpa, devenu régulièrement Guartempa, citées Wartimpae puis Gartempe (cf. ware > gare ; warde > garde). En marchois, elle s'écrit et se prononce donc Gartempa. C'est un hydronyme obscur, d'origine germanique ou influencé par le
germanique sur la consonne initiale. Une station de mesure Établie à 298 m d'altitude, située dans la commune de Folles fut
mis en service le 1er janvier 1960.
C'est une station de type « station à une échelle » et son statut est
« station avec signification
hydrologique ». Wikipédia A Bessines la Gartempe a été dévié de sa cour naturelle pour la
construction ou l'exploitation de lUranium]. Traversons le village
[Un des plus jeunes villages de la commune, construit en1839
autour du moulin du Sault bâti cette année-là sur la Gartempe. A la sortie du
village, point de vue sur la carderie. village qui connu
son apogée après guerre avec des usines de filage.] Le paysage est magnifique, il me fait penser aux
paysages du Haut Languedoc. Le soleil en moins… La route fait une première
fourche, nous prenons à gauche et débouchons sur la D 28a que nous prenons à
gauche, vers Mazéra et le Moulin du Sault, Folles. La
route serpente en
descendant. Après avoir laissé l'accès au Moulin du Sault, nous longeons l’ancienne
carrière du Pont de Mazéras [CARRIERE DE GRANIT
Fournit les matériaux pour les réseaux routiers et l’ensemble de la
construction. Au plus fort de l’activité, elle a produit 200000 tonnes/an.] Sur la carte la carrière est devenue plus ou moins un étang. La
route débouche sur une autre départemental partant sur la droite, c'est la D 234
partant sur Fromontal. Poursuivons sur la gauche la D 28A. Traversons le pont
au dessus de la gartempe [LE PONT DE MAZERAS Sur
la Gartempe, premier pont de la voie romaine de Bordeaux-Bourges, construit au
13ème siècle, élargi pour être adapté à la circulation actuelle.
Cette opération l’a fortement défiguré.] Nous passons les
quelques maisons de Contaminas, et arrivons au cimetière de Folles [LE CIMETIERE Autour de l’église jusqu’en 1837. Dernière demeure
d’Adrien Tixier,
premier Ministre de L’Intérieur du Général De Gaulle en 1944.
: Adrien TIXIER 1893-1946 (Homme politique. - Représentant de la France libre
aux États-Unis, ministre des affaires sociales du Conseil français de la
Libération nationale et du Gouvernement provisoire de la République française à
Alger (de 1943 à 1944) puis ministre de l'Intérieur (de 1944 à 1946) et
président du Conseil général de la Haute-Vienne.
https://data.bnf.fr/fr/11811975/adrien_tixier/). A remarquer au fond du cimetière, une très belle croix
gothique et fleuronnée du 15ème siècle. Au cimetière se trouvent des pierres
tombales et une croix gothique du XVème siècle.] Laissons la D 241 sur
la gauche en direction de Marsac, poursuivons vers le centre bourg, nous
apercevons l’église et son clocher pointu. Prenons la D63 sur la gauche, en direction de Laurière et lac du Pont a l'Age. Nous
arrivons devant l’église [placée
sous le patronage : d’une part de St Blaise, patron des cardeurs et des
animaux
; d’autre part de St Bonnavanture. Elle fut construite au xiie siècle,
reconstruite fin xve siècle :
portail fin XII e début xiiie siècle,
clocher massif xviie siècle,
nef reconstruite en 1595.] Poursuivons en prenant la rue de gauche D 63
en direction de Laurière et du Pont a l'Age. Remontons la rue ‘’Grande’’ vers
la mairie. nous prenons la petite rue sur la gauche et nous retrouvons le
parking de la salle des fêtes.
Les commentaires proviennent de la brochure [https://anciensite.nature-patrimoine-montsdambazac.fr/_media/bv000003.lkdoc.folles-le-chemin-des-loups.pdf]
.
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