Pour
cette Promenade, nous partons en Seine et Marne. Autour de
La Ferté Gaucher -
Jouy sur Morin-
Lescherolles
La Ferté Gaucher-Jouy sur Morin-Lescherolles
Avril 2018
En agrandissant la carte nous arrivons
à la carte Top 25
Le code mobile de cette randonnée est b323017
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en
Cliquant ici
Carte VisoRando

Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
Km Temps Arrêt
V/d V/g Dénivelé
30 4h55 0h15 6,1
5,9 426 +
J'ai fait mon départ d'un
petit hameau proche de la Ferté Gaucher se nomment Laval d'en Haut. On peut s'y
rendre par la D 934 ou la D 215 il n'y a pas beaucoup de place pour ce garer. Nous
trouvons un emplacement en bout du village sur le bas côté d'un carrefour comportant
un îlot central en forme de triangle.
Je reprends la route en direction de Laval en Bas, passe devant le
lavoir, nous sommes sur un balisage jaune. Laissons une rue sur la gauche,
coupons le ru de la Michée, nous arrivons à Laval en Bas. Nous trouvons des bâtiments
agricoles sur la droite. Face à nous, une maison en pierre et une cours bitumée,
prenons à gauche, longeons la cours, c'est également le balisage jaune, un peu
plus loin, nous retrouvons un chemin. Au carrefour suivant formant Té, nous
prenons à droite. Nous sommes au lieu dit Les Quatre Chemins et comme
d'habitude en Seine et Marne aucune indication de balisage. Laissons un chemin sur la gauche, les petits chapeaux
jaunes plantés sur des poteaux de même couleur, nous indique une canalisation
ou un câble haute tension souterrain. Traversons la D 934 et poursuivons en
face par la route en direction de Jouy sur Morin (route de la garenne).
Normalement nous devons être sur un balisage jaune, mais le baliseur à du
oublier ce passage. Nous traversons un bois, la route tourne en
angle aigu sur
la droite, sur l'un des poteaux indiquant le virage nous trouvons enfin un
balisage, il porte le N°5, la balise est tellement bien faîte que l'on ne sait
pas si l'on continue la route ou si le balisage part sur la gauche. Poursuivons
le bitume. Dans un virage nous coupons un ru et entrons dans les faubourgs de
Jouy. Nous arrivons au carrefour avec la D66b (rue de la pièce du château) et
le chemin de la montagne, poursuivons tout droit la D66b, passons la ligne de
chemin de fer et, à la fourche nous quittons le balisage jaune N5. Nous trouvons une balise jaune et rouge certainement
l'ancien GRP des deux Morins. Balisage abandonné, certainement au profit des
balisages jaunes. Poursuivons
tout droit par la rue de la Grimpette.
Nous débouchons sur la D 66 (avenue de la gare) que nous prenons à gauche.
Laissons la rue du faubourg face à nous et poursuivons la D 66 (rue Saint
Pierre) sur la droite. Passons le Grand Morin [Il
est couramment admis que les sources du Grand Morin se situent sur la commune
de Lachy. Un petit cours d'eau nommé « Ruisseau de
l'étang de la Morelle » relie les étangs de la Morelle aux sources du Grand Morin. SANDRE localise néanmoins la source du Grand Morin au
niveau des étangs de la Morelle, sur la commune de La Villeneuve-lès-Charleville. Le Grand Morin se jette 118,2 kilomètres plus loin
dans la rivière Marne à Condé-Sainte-
Libiaire (à l'est de
Marne-la-Vallée). Un bras moins important conflue avec la Marne plus en aval,
en limite séparative des communes de Lesches et Esbly, les deux bras et la Marne formant
ainsi l'« île de Condé ». C'est la plus grande rivière après la
Marne, de la région naturelle de la Brie, avec son jumeau septentrional
le Petit Morin (débit moyen
moitié moindre de celui du Grand Morin). Son importance anthropique est telle
qu'elle a donné son nom à un des terroirs de la Brie : « la Brie des Morins » et en a
structuré l'occupation humaine depuis l'Antiquité (orientation des voies de
communication et urbanisation francilienne dite « en doigt de gant »
le long de la vallée).
Son tracé est orienté dans le sens est-ouest, avec un
parcours très ondulé de 43 km dans le département de la Marne, puis de 77 km en Seine-et-Marne. En plusieurs
endroits, le cours de la rivière se divise en deux bras, formant de petits
îlots sur des distances assez courtes (La Celle-sur-Morin, Coulommiers, Jouy-sur-Morin, La Ferté-Gaucher). Topographiquement,
sur ses 120 km de parcours, le Grand Morin commence à
185 mètres d'altitude à
sa source en région Grand Est,
pour finir à 44 mètres d'altitude à son confluent en Île-de-France ;
son altitude intermédiaire est à mi-parcours de 100 mètres (point
kilométrique 60 du cours, à Jouy-sur-Morin).
La rivière connait un cours régulier
(la pente naturelle varie de 1 à 2 %
seulement) ; les seules chutes sont dues aux ouvrages anthropiques (seuils
de retenues de moulins), aux dénivelés du
reste très modérés et en pente douce (franchissables en embarcation légère). Le
plateau de la Brie (Bassin Parisien) où évolue le Grand Morin est compris entre
une altitude de 200 mètres à l'est et 100 mètres à l'ouest ; la
vallée de la rivière peut parfois être abrupte et encaissée, surtout dans sa
partie amont, avec des différences d'altitude entre le fond de rivière et le
haut du coteau de 50 à 100 mètres. Dans la partie
amont, à Mœurs, une dérivation fut réalisée par des moines
au xiiie siècle pour alimenter la ville de Sézanne. Le nouveau cours d'eau : les Auges
(primitivement canalisé par des auges en bois) rejoint, à Pleurs (Marne), la Superbe qui se jette dans l'Aube. On peut également citer les petits canaux urbains
historiques, ou « brassets » sur les villes de Crécy-la-Chapelle et de
Coulommiers. Cette même ville de Coulommiers possède en plus un bras artificiel
rectiligne dit « La Fausse Rivière », sur 4 km ; creusée
en 1620 au moment des aménagements de l'ancien château
de parc de Coulommiers pour Catherine de Gonzague, princesse de
Clèves et duchesse de Longueville. Un canal latéral au Grand Morin existe sur sa partie
aval,
dérivant à partir de la commune de Saint-Germain-sur-Morin, pour se jeter 4
kilomètres plus loin dans le canal de Chalifert latéral de
la Marne à Esbly ; ouvert à la navigation en 1846 (ingénieur Baptiste Legrand), et finalement radié en 1963,
il est navigable au gabarit dit « Freycinet » (fermé et comblé au
niveau de son écluse avec le Grand Morin). Le Grand Morin n'est navigable que pour la
navigation de loisirs ; et même dans ce cas, la circulation des bateaux et
engins de plaisance à moteur est interdite. De plus, les nombreux seuils
de vannages, (retenues d'eau) de moulins ne laissent que
d'étroits passages et portes à bateaux au gabarit de barques ou canoë. Wikipedia ] Nous entrons dans
Jouy sur Morin [Commune rurale de la Brie laitière
(ou « Haute-Brie »), et de la vallée du
Grand Morin. Le village s'est structuré autour des boucles de la rivière du
Grand Morin. Le différentiel d'altitude est très important entre les quartiers
du bas de vallée et ceux du haut de vallée (plusieurs dizaines de mètres de
différentiel) et
certaines pentes connaissent des déclivités très fortes. Le
nom de la localité est mentionné sous les formes Joy en 1112; Ecclesia Sancti Petri de Goy en
1145; Joi en 1154; Joy suz Morain en
1281; Joy saur Morain en 1284; Johi en 1326; Jouy sous Morin en
1700. Occupée depuis l'Antiquité, son nom latin était « Gaudiacus »
(dont l'interprétation peut être double) ; puis devient « Johi »
ou « Joy » au milieu du Moyen Âge. Géologiquement, comme dans le
reste du canton, sous-sol est essentiellement constitué de marnes argileuse
et de calcaires siliceux (d'où sont tirées les pierres dites « de
meulières » pour la construction traditionnelle du gros-œuvre). Un forage (ou core-drill) de prospection
pétrolière a été effectué au
sud du quartier de La Chair-aux-Gens, comme dans ses six communes
limitrophes (la Seine-et-Marne produit un quart de la production de
pétrole français, surtout entre Seine et Morin, pétrole profond à plus de
2 000 mètres dans les couches du Trias). Les boucles du Grand Morin y
sont les plus resserrées de son cours dans le département ; il se divise
en plusieurs endroits de la commune, y laissant former des îlots naturels ou
artificiels (quartier du Marais, quartier du Faubourg, quartier de
La-Chair-aux-Gens). Elle possède une gare (Jouy-sur-Morin - Le Marais) de la ligne de Gretz-Armainvilliers à
Sézanne ; de façon insolite, une carte postale
ancienne de cette voie ferrée porte le nom
de « Tranchée du lapin rusé ». La gare est actuellement fermée
(depuis 2003) et remplacée par trois arrêts de bus pour la fin de la ligne P du Transilien (réseau
régional qui dessert la grande couronne
périurbaine au-delà du réseau RER), qui
se prend gare de l'Est ou à Tournan ; correspondance avec la ligne E du RER d'Île-de-France (station Tournan-en-Brie). La commune est aussi desservie
par les lignes départementales d'autocars 10 et 29, avec arrêts dans les hameaux. Sous
l'Ancien Régime, la paroisse et
plusieurs hameaux de Jouy-sur-Morin figurent dès le xviie siècle sur des cartes administratives, de fonction et
de rendu très schématiques. C'est le cas par exemple sur la « Carte du
païs de Champaigne », par Damien de Templeux. Occupée depuis l'Antiquité,
son nom latin était « Gaudiacus » (dont l'interprétation peut être
double) ; puis devient « Johi » ou « Joy »
au milieu
du Moyen Âge. Wikipedia ] Prenons sur la gauche le
chemin entre les deux bras du Morin, longeons la rivière sur un îlot transformé en
parc de promenade. Remarquons que chaque jardin à son lavoir. Aux grandes
vannes du moulin (moulin transformé en
appartements) prenons à droite la passerelle, nous trouvons également un
lavoir, laissons la rue de gauche peut être une extension de la rue du
réservoir et prenons sur la droite le chemin intra muros peut être une
extension de la rue Sergente, nous débouchons rue de la poterne (D 66) que nous prenons à
droite. Nous arrivons place de l'église [église
Saint-Pierre-et-
Saint-Paul (xiie-xiiie siècles,
transformée xvie siècle),
avec fonts baptismaux de la Renaissance (classés MH[138]) ;
inscrite aux Monuments historiques depuis
1927. Wikipedia ] Traversons la place et son
parking, prenons la rue de la Porte d'en Haut sur la gauche. Laissons les rues perpendiculaires et poursuivons notre
grimpette. La rue change de nom devient de Bel Air, nous arrivons à une fourche
nous prenons à droite la rue de Beauchien, nous retrouvons un balisage jaune. Dans
le haut de la cote, nous trouvons un chemin devant un bâtiment en brique, nous
suivons ce dernier nous faisant prendre le chemin sur la droite en direction
d'une antenne relais. Nous
sommes sur le PR des gailles, nous avons une alternance
de champs et de bois, à l’intersection de balisage jaune avec le PR des bois
des amourettes, nous prenons le chemin de droite. A
l'intersection suivante nous prenons à droite, longeons une haie d'arbres et
nous arrivons sur une patte d'oie, nous prenons le chemin de gauche, il fait
tout de suite patte d'oie nous prenons à droite, poursuivons notre descente dans
le bois. Nous passons une drôle de maison avec une tour comportant une partie
vitrée puits de lumière pour un escalier, ou peut être pour regarder les
étoiles, mais il faudrait nettoyer la partie translucide, grise de pollution et
verte de lichen. Nous débouchons sur un chemin en bordure du Grand Morin, nous
prenons à gauche et remontons la rivière. Nous sortons du bois et arrivons sur
un chemin juste avant une route bitumée nous prenons sur la gauche le PR des
Amourettes et le circuit N°3 de la Ferté Gaucher, nous entrons dans Montigny. De
chemin nous passons à route mal bitumée, puis rue de planchotte. La rue tourne
sur la droite et débouche Grande Rue, nous laissons le PR des Amourettes partir
sur la droite et poursuivons à gauche le PR N°3 de la Ferté Gaucher. La rue
fait fourche nous prenons à droite (rue des
Oliveaux. Vicinal 3) Nous dominons la
vallée du Morin et passons presque sans le voir devant un lavoir situé en
contre bas de la rue. Nous sortons du hameaux des Olivots et débouchons sur la
D 204 que nous prenons à droite, un remblaie gravillonnée nous permet de
marcher en sécurité le long de la départementale. Ne vous laissez pas entraîner
par la Ferté Gaucher en contre bas, à la première maison nous prenons à droite
le long de la clôture (nous n'avons aucune balise.) Nous descendons dans les
champs, puis traversons le bois, le chemin fait fourche nous prenons à gauche,
de chemin nous passons à bitume, nous entrons dans la Ferté Gaucher par la rue
du 8 mai 1945. Aux immeubles,
nous abandonnons le balisage jaune tournant sur
la droite et poursuivons tout droit le long des immeubles (balisage jaune
également). Laissons les rues perpendiculaires, nous débouchons sur l'Avenue de
Rebais (D 204), que nous prenons à gauche. [Un
seigneur de la Cour, nommé Gaucher, devenu possesseur de grands domaines, fait bâtir
une ville au milieu de ses terres et l'appelle Fort de Gaucher, actuellement La
Ferté-Gaucher. La localité est aussi mentionnée par le nom de Firmitas
Galcherii. Ce nom de Firmitas (du latin firmitas) se traduit par solidité, fermeté (en
français, ce dernier remplace ferté qui
restera limité aux noms de villes).
Devenu, de par son acquisition, voisin du comte de Champagne, Gaucher se lie d'amitié avec ce puissant seigneur
et épouse l'une de ses filles. Cette dernière apporte en dot la terre de Montmirail avec comme condition expresse que le premier
fils né de ce mariage en porte le nom et lui rende foi et hommage. C'est
pourquoi, durant plusieurs siècles, les seigneurs de La Ferté-Gaucher furent
également seigneurs de Montmirail. Seigneurs
de La Ferté-Gaucher Jean (ou Jehan) de Montmirail (1165
- 29 septembre 1217) était baron de Montmirail, seigneur de La
Ferté-Gaucher, d'Oisy, de La Ferté-sous-Jouarre, de Tresmes
(aujourd'hui Crouy-sur-Ourcq), de Crèvecœur et/ou Crèvecœur, de Bellonne et/ou Bellot, de Gandelu, de Condé-en-Brie et de La
Chapelle-en-Brie, vicomte de Meaux et châtelain de Cambrai. Connétable de France, il sauva la vie
de Philippe-Auguste à Gisors et participa à la quatrième croisade. Il se
retira comme moine à l'abbaye de Longpont, et l'Église l'a élevé sur les autels comme bienheureux.] Nous prenons sur la droite la rue
André Marigot laissons les rues perpendiculaires. Attention
nous avons une intersection de balisage jaune à la rue jean Jaurès. Nous
débouchons devant la Halle aux veaux du
XIXÈME [La Ferté-Gaucher
abritait autrefois un important commerce de
bestiaux. Le marché aux veaux, établi en 1847, y est particulièrement actif, et
le conseil municipal décide de construire une halle adaptée aux besoins de
cette activité. Les travaux, qui durent un an, sont achevés en juin 1882.
L'adoption d'une construction à structure métallique, aussi solide que la
charpente en bois mais plus légère et plus moderne, témoigne d'un esprit
novateur. Victor Baltard adopte également le fer pour les Halles Centrales de
Paris. À l'intérieur de la halle, 168 emplacements sont prévus pour les veaux,
sur la plateforme située à 80 centimètres au dessus du niveau de la rue. Des
colonnes en fonte soutiennent la toiture et des bornes en fonte, reliées par
une barre de fer, servent à
attacher les animaux. Le marché aux veaux cesse son
activité en 1910, et la halle est alors transformée en salle des fêtes. Des
travaux de restauration, réalisés en 1996 et 1997, remettent au jour les
structures d'origine.
https://www.la-ferte-gaucher.org/halle-aux-veaux.html] Nous
prenons à droite la rue du Général Leclerc nous avons une belle maison à colombages
et tout de suite à gauche la Rue Ernest Delbet (D14) en direction de Meilleray,
balisage jaune et balisage vert (haute Vallée du Grand Morin).
Nous longeons les terrains de sport, et apercevons sur la gauche l'ancienne
abbaye de la Commanderie (j'en
ai fait un détail dans une autre rando) mais on la voit bien mieux d'ici. Laissons
les deux balisages tourner sur la gauche, poursuivons tout droit un balisage
vert également, nous grimpons un peu et quittons la départementale à l'entrée
de Saint Martin des Champs, nous prenons à gauche le balisage vert, le long de la
petite zone industriel en direction des Ponceau. Il est onze heures et j’entends
un carillon sonnant les heures. Etonnant une sonnerie comme les

églises du nord
de la France. J'espère passer à côté sur le chemin du retour. De bitume nous
passons à chemin dans les champs, longeons les grillages des jardins et à
l’angle de la dernière maison (en 2019) nous prenons le chemin de droite. Poursuivons
le long de la clôture, le chemin fait fourche, nous prenons à gauche. De chemin
nous passons à rue des Vieilleux, nous entrons dans le village de Saint Martin,
laissons les rues, de Champgris, Impasse du Chaillot et rue du Pressoir, sur la
droite, nous sommes toujours sur le balisage vert, la rue fait un esse droite-gauche,
coupe la Grande Rue. Nous poursuivons en face par la rue Henriette Lecocq, nous
longeons l’église. La rue fait fourche, nous poursuivons par la rue de droite. A
la sortie du village nous passons à chemin empierré, laissons un chemin sur la
droite, et grimpons un peu avant d’arriver sur un chemin en forme de Té, nous
prenons à droite, toujours balisage vert. Nous arrivons à l’angle d’un taillis.
Si l’herbe n’est pas très haute vous apercevrez la base d’un d’une construction
en meulière, nous prenons le chemin de gauche, longeons le taillis puis prenons
le chemin de droite (après une énorme montagne de pierres Meulière déposé en
tas. (Pierres
certainement remonter des profondeurs de la terre par les agriculteurs lors des
labours.) Nous avons perdu le balisage vert, mais on a récupéré un
balisage jaune. Nous longeons le centre équestre du Trotignon, débouchons sur
la route d’accès que nous prenons à gauche, longeons la gare de Lescherolles [Ancienne gare de la ligne de
Gretz-Armainvilliers à Sézanne servant aujourd'hui
de point de départ au circuit Vélorail du Val du
Haut-Morin. Le Vélorail
du Val du Haut-Morin est
une activité de loisirs, situé au cœur de la
vallée du Grand Morin. Activité ludique
et familiale, elle est surtout unique en région Île-de-France. Situé sur l'ancienne voie ferrée
qui reliait autrefois Paris à Sézanne. Inaugurée en 1885,
la voie ferrée participait à l'essor économique de la région en transportant
des denrées agricoles vers la capitale. À partir des années 50, la ligne perd
progressivement son importance. Le trafic passager s'arrête en 1972 puis la
ligne est déclassée en 1990. Le départ se fait depuis la Maison du Tourisme en
centre ville de La Ferté-Gaucher où un petit train emmène les visiteurs
jusqu'au vélorail en empruntant l'ancien tracé de la voie ferrée aujourd'hui
reconverti en sentier pédestre. Le départ en vélorail se fait quelques
kilomètres plus loin, dans la gare du vélorail totalement réhabilitée par le Conseil général de
Seine-et-Marne. Le vélorail est aménagé sur un tronçon de voie
ferrée de 6,5 km réhabilité entre les communes de Lescherolles et Meilleray. La voie ferrée
longe le Grand Morin jusqu'à la
commune de Meilleray. Wikipédia] Nous
abandonnons le balisage jaune longeant sur la droite l’ancienne voie ferrée,
poursuivons la route, franchissons le Grand Morin, juste avant la D 934, nous
prenons la rue sur la gauche, (rue des Fonds de Bellevue), nous retrouvons un
balisage vert et un balisage jaune, au moulin de la Fosse, de bitume nous
passons à chemin remontant vers la D 934 que nous traversons. Prenons en face
la D60 (rue Notre Dame. La rue fait fourche nous prenons à gauche (rue de
Baloquerie) balisage vert de la haute vallée du Grand Morin. Nous entrons dans
le village tentaculaire de Lescherolles, longeons les pavillons et nous
arrivons au cimetière. Sur la carte le balisage vert
tournait sur la gauche,
pour traverser Les Montils, mais il semblerait que la trace à changé, le
balisage poursuit tout droit. Je suis un peu fatigué, et le parcours m’ennuis
un peu, au lieu de suivre mon GPS et réaliser la boucle par les Montils, je
coupe mon parcours initiale en suivant le balisage vert tout droit. Juste avant
un petit bois le chemin forme Té, nous prenons à droite. Nous avons perdu le
balisage vert. Je coupe la D 60 et prend en face la rue du pré de la Croix
Saint Jean, nous entrons de nouveau dans Lescherolles. Nous avons peut être perdu
le balisage vert, mais retrouvons un balisage jaune. Laissons la rue des Pleux
sur la droite, nous arrivons à une fourche dans un virage avec la C7, poursuivons
tout droit la rue de la Croix Saint Jean, toujours le balisage jaune. Nous
prenons la rue peu large de Courtes Soupes, sur la gauche, et débouchons rue de
Saint Mars que nous prenons à gauche. Passons la C9 et poursuivons jusqu’à la
fourche, ou nous trouvons un lavoir avec une eau exceptionnellement limpide.
Revenons sur nos
pas et prenons la C9 sur la gauche en direction de Chateaubout
(rue de la Croix hariot), laissons la rue de Chateaubout et la C9 partir sur la
droite, poursuivons tout droit. Dans le virage sur la gauche nous abandonnons
le bitume et poursuivons tout droit dans les champs après avoir longé une
exploitation agricole. Nous arrivons à la croix du Hariot croisée de chemins et
de la route. Nous devons chercher la croix, caché par un arbre, par contre nous
avons comme repaire le réservoir d’eau. Nous prenons le chemin de droite et
suivons le balisage jaune. Nous longeons la lisière du bois de Châteaubout,
puis traversons une petite bande d’arbres pour suivre de l’autre coté la lisière
du petit bois, après les champs nous débouchons sur une route que nous prenons
à gauche (un balisage un peu effacé se trouve sur la route.) Une centaine de
mètres avant la ferme qui semble abandonnée, nous prenons le chemin sur la
droite, laissons un chemin sur la gauche. Nous débouchons sur un chemin formant
Té, prenons à droite. Nous
trouvons un peu plus loin une balise nous informant
qu’il faudra tourner à gauche. A la rencontre du chemin, nous le prenons à
gauche. De chemin nous passons à rue (chemin de Potière), longeons une drôle de
propriété… (Dans le terrain nous trouvons 14 socles en
brique avec une sorte de médaillons d’accroché dessus, Au portail une plaque
gravée ‘’Avé Maria’’ et sur le dessus une monumentale sculpture. J’ai cru à une
secte… et puis je me suis rendu compte que derrière la départementale se
trouvait une église et cela ma fait penser à un espace réserver aux
pèlerinages, ou un lieu de procession, devant les quatorze stations de la
passion du Crist.) Traversons la D 934, poursuivons par la rue du lavoir
nous entrons de nouveau dans la Ferté Gaucher et dans ce que j’appelle le
faubourg ‘’la Maison Dieu’’ qui était certainement à une époque qu’un hameau. Sur
la droite, l’église et le carillon entendu en fin de matinée. (carillon ferté gaucher 2.m4a)
(‘’sanctuaire Marie Reine’’ église catholique
traditionnelle).
Poursuivons la rue jusqu’au lavoir, traversons le ru
Saint Mars, juste avant ce qui était peut être un moulin
Petit film pour écouter le carillon
[Appartenant à l'origine au prieuré de La Maison Dieu, ce moulin
est confisqué à la Révolution et vendu comme bien national. Initialement moulin
à farine, il est transformé en usine pour le travail du cuivre en 1900. Après
une période d'inactivité, de 1913 à 1925, il est utilisé par la société
parisienne Aciéra qui y fabrique des perles en métal jusqu'en 1937, puis de
1955 à 1970, des panneaux d'isolation en fibres de bois. Désaffecté, il est le
dernier moulin qui subsiste à La Ferté-Gaucher. http://la-ferte-gaucher.org/moulin.html]. Longeons quelques maisons, la rue
fait fourche; nous prenons à gauche la rue de la Maisons Dieu, (nous trouvons
un balisage bleu). Nous retrouvons la D 934, faisons un esse droite gauche
remontons sur quelques mètres la D 71(en direction de Saint Mars-Vieux Maison) pour
contourner le terre plein arboré et prenons la rue de droite contournant le
cimetière puis traversons le parking, nous pouvons couper par le terrain
herbeux sur la gauche pour rejoindre le chemin ce dirigeant vers les champs
que
nous prenons sur la gauche, traversons un bois et après les champs nous
débouchons sur la route du rossignole. Nous suivons le
balisage bleu et un
jaune sur la gauche. La route tourne sur la gauche nous quittons le bitume et
prenons sur la droite le chemin se dirigeant vers la zone artisanale. Passons
la station de pompage, le chemin fait fourche poursuivons tout droit, nous
sommes à la Bégonnerie. (Nous quittons l’un des deux balisages, ce doit être le
bleu, mais aucune balise ne nous l’indique.) Traversons la D 215, longeons le
bâtiment industriel par le chemin Paré, (un peu
bizarre par ici, on a l’impression de rentrer dans l’entreprise, et comme c’est
le passage de gros camions manœuvrant pour se rendre sur le quai d’embarquement,
le balisage risque un jour d’être détourné par l’avenue Gérard Petifrère, se
trouvant un peu plus bas et desservant la zone pavillonnaire. A la fourche des
rues, il faudra certainement prendre à gauche sur quelques mètres pour
rejoindre le chemin entre les grillages.) Coupons la D 204, prenons le
chemin en face entre les deux grillages, d’un coté des
bâtiments industrielles
et de l’autre une zone pavillonnaire. Nous coupons la rue de Savoie et
continuons en face par le chemin bitumé de Paré. De rue nous passons à chemin.
Après des espaces comportant encore des champs et de médiocres bois, nous
retrouvons un grillage et un immeuble isolé dans la verdure, le chemin fait
fourche, un petit sentier part sur la droite et rejoint l’ancienne voie ferré,
nous poursuivons tout droit de chemin, nous passons à sentier devenant ronceux.
Nous débouchons sur la route et trouvons une intersection de balisage jaune. Le
balisage jaune N°3 tourne à droite, nous ne le prenons pas. Prenons à gauche
c’est le balisage jaune N°5, nous contournons l’immeuble, à la fourche nous
abandonnons le bitume et un balisage jaune continuant tout droit et prenons le
chemin de gauche, nous longeons la lisière du bois. Bois et champs se
succèdent, nous entrons dans le hameau de Laval d’en Haut. Le chemin fait
fourche, nous prenons à droite l’impasse de la Douanerie et retrouvons le
carrefour en triangle ou nous avons garé la voiture.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire