mercredi 2 juin 2021

Nord Seine & Marne Prom 25 -Autour de La Ferté Gaucher La Ferté Gaucher-Jouy sur Morin-Lescherolles


La Ferté Gaucher-Jouy sur Morin-Lescherolles 

Avril 2018
 

Carte IGN                  Trace GPS et Topo sans commentaires        Trace Randogps                         
 
  Le code mobile de cette randonnée est b323017

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Km    Temps      Arrêt      V/d        V/g      Dénivelé
30      4h55         0h15      6,1         5,9          426 +


 J'ai fait mon départ d'un petit hameau proche de la Ferté Gaucher se nomment Laval d'en Haut. On peut s'y rendre par la D 934 ou la D 215 il n'y a pas beaucoup de place pour ce garer. Nous trouvons un emplacement en bout du village sur le bas côté d'un carrefour comportant un îlot central en forme de triangle.
Je reprends la route en direction de Laval en Bas, passe devant le lavoir, nous sommes sur un balisage jaune. Laissons une rue sur la gauche, coupons le ru de la Michée, nous arrivons à Laval en Bas. Nous trouvons des bâtiments agricoles sur la droite. Face à nous, une maison en pierre et une cours bitumée, prenons à gauche, longeons la cours, c'est également le balisage jaune, un peu plus loin, nous retrouvons un chemin. Au carrefour suivant formant Té, nous prenons à droite. Nous sommes au lieu dit Les Quatre Chemins et comme d'habitude en Seine et Marne aucune indication de balisage.  Laissons un chemin sur la gauche, les petits chapeaux jaunes plantés sur des poteaux de même couleur, nous indique une canalisation ou un câble haute tension souterrain. Traversons la D 934 et poursuivons en face par la route en direction de Jouy sur Morin (route de la garenne). Normalement nous devons être sur un balisage jaune, mais le baliseur à du oublier ce passage. Nous traversons un bois, la route tourne en 
angle aigu sur la droite, sur l'un des poteaux indiquant le virage nous trouvons enfin un balisage, il porte le N°5, la balise est tellement bien faîte que l'on ne sait pas si l'on continue la route ou si le balisage part sur la gauche. Poursuivons le bitume. Dans un virage nous coupons un ru et entrons dans les faubourgs de Jouy. Nous arrivons au carrefour avec la D66b (rue de la pièce du château) et le chemin de la montagne, poursuivons tout droit la D66b, passons la ligne de chemin de fer et, à la fourche nous quittons le balisage jaune N5. Nous trouvons une balise jaune et rouge certainement l'ancien GRP des deux Morins. Balisage abandonné, certainement au profit des balisages jaunes. Poursuivons 
tout droit par la rue de la Grimpette. Nous débouchons sur la D 66 (avenue de la gare) que nous prenons à gauche. Laissons la rue du faubourg face à nous et poursuivons la D 66 (rue Saint Pierre) sur la droite. Passons le Grand Morin [Il est couramment admis que les sources du Grand Morin se situent sur la commune de Lachy. Un petit cours d'eau nommé « Ruisseau de l'étang de la Morelle » relie les étangs de la Morelle aux sources du Grand Morin. SANDRE localise néanmoins la source du Grand Morin au niveau des étangs de la Morelle, sur la commune de La Villeneuve-lès-Charleville. Le Grand Morin se jette 118,2 kilomètres plus loin dans la rivière Marne à Condé-Sainte-
Libiaire (à l'est de Marne-la-Vallée). Un bras moins important conflue avec la Marne plus en aval, en limite séparative des communes de Lesches et Esbly, les deux bras et la Marne formant ainsi l'« île de Condé ». C'est la plus grande rivière après la Marne, de la région naturelle de la Brie, avec son jumeau septentrional le Petit Morin (débit moyen moitié moindre de celui du Grand Morin). Son importance anthropique est telle qu'elle a donné son nom à un des terroirs de la Brie : « la Brie des Morins » et en a structuré l'occupation humaine depuis l'Antiquité (orientation des voies de communication et urbanisation francilienne dite « en doigt de gant » le long de la vallée). 
Son tracé est orienté dans le sens est-ouest, avec un parcours très ondulé de 43 km dans le département de la Marne, puis de 77 km en Seine-et-Marne. En plusieurs endroits, le cours de la rivière se divise en deux bras, formant de petits îlots sur des distances assez courtes (La Celle-sur-MorinCoulommiersJouy-sur-MorinLa Ferté-Gaucher). Topographiquement, sur ses 120 km de parcours, le Grand Morin commence à 185 mètres d'altitude à sa source en région Grand Est, pour finir à 44 mètres d'altitude à son confluent en Île-de-France ; son altitude intermédiaire est à mi-parcours de 100 mètres (point kilométrique 60 du cours, à Jouy-sur-Morin). La rivière connait un cours régulier 
(la pente naturelle varie de 1 à 2 % seulement) ; les seules chutes sont dues aux ouvrages anthropiques (seuils de retenues de moulins), aux dénivelés du reste très modérés et en pente douce (franchissables en embarcation légère). Le plateau de la Brie (Bassin Parisien) où évolue le Grand Morin est compris entre une altitude de 200 mètres à l'est et 100 mètres à l'ouest ; la vallée de la rivière peut parfois être abrupte et encaissée, surtout dans sa partie amont, avec des différences d'altitude entre le fond de rivière et le haut du coteau de 50 à 100 mètres. Dans la partie amont, à Mœurs, une dérivation fut réalisée par des moines 
au xiiie siècle pour alimenter la ville de Sézanne. Le nouveau cours d'eau : les Auges (primitivement canalisé par des auges en bois) rejoint, à Pleurs (Marne), la Superbe qui se jette dans l'Aube. On peut également citer les petits canaux urbains historiques, ou « brassets » sur les villes de Crécy-la-Chapelle et de Coulommiers. Cette même ville de Coulommiers possède en plus un bras artificiel rectiligne dit « La Fausse Rivière », sur 4 km ; creusée en 1620 au moment des aménagements de l'ancien château de parc de Coulommiers pour Catherine de Gonzague, princesse de Clèves et duchesse de Longueville. Un canal latéral au Grand Morin existe sur sa partie aval, 
dérivant à partir de la commune de Saint-Germain-sur-Morin, pour se jeter 4 kilomètres plus loin dans le canal de Chalifert latéral de la Marne à Esbly ; ouvert à la navigation en 1846 (ingénieur Baptiste Legrand), et finalement radié en 1963, il est navigable au gabarit dit « Freycinet » (fermé et comblé au niveau de son écluse avec le Grand Morin). Le Grand Morin n'est navigable que pour la navigation de loisirs ; et même dans ce cas, la circulation des bateaux et engins de plaisance à moteur est interdite. De plus, les nombreux seuils de vannages, (retenues d'eau) de moulins ne laissent que d'étroits passages et portes à bateaux au gabarit de barques ou canoë. Wikipedia ] Nous entrons dans Jouy sur Morin [Commune rurale de la Brie laitière (ou « Haute-Brie »), et de la vallée du Grand Morin. Le village s'est structuré autour des boucles de la rivière du Grand Morin. Le différentiel d'altitude est très important entre les quartiers du bas de vallée et ceux du haut de vallée (plusieurs dizaines de mètres de différentiel) et 
certaines pentes connaissent des déclivités très fortes. Le nom de la localité est mentionné sous les formes Joy en 1112; Ecclesia Sancti Petri de Goy en 1145; Joi en 1154; Joy suz Morain en 1281; Joy saur Morain en 1284; Johi en 1326; Jouy sous Morin en 1700. Occupée depuis l'Antiquité, son nom latin était « Gaudiacus » (dont l'interprétation peut être double) ; puis devient « Johi » ou « Joy » au milieu du Moyen Âge. Géologiquement, comme dans le reste du canton, sous-sol est essentiellement constitué de marnes argileuse et de calcaires siliceux (d'où sont tirées les pierres dites « de meulières » pour la construction traditionnelle du gros-œuvre). Un forage (ou core-drill) de prospection 
pétrolière a été effectué au sud du quartier de La Chair-aux-Gens, comme dans ses six communes limitrophes (la Seine-et-Marne produit un quart de la production de pétrole français, surtout entre Seine et Morin, pétrole profond à plus de 2 000 mètres dans les couches du Trias). Les boucles du Grand Morin y sont les plus resserrées de son cours dans le département ; il se divise en plusieurs endroits de la commune, y laissant former des îlots naturels ou artificiels (quartier du Marais, quartier du Faubourg, quartier de La-Chair-aux-Gens). Elle possède une gare (Jouy-sur-Morin - Le Marais) de la ligne de Gretz-Armainvilliers à Sézanne ; de façon insolite, une carte postale ancienne de cette voie ferrée porte le nom de « Tranchée du lapin rusé ». La gare est actuellement fermée (depuis 2003) et remplacée par trois arrêts de bus pour la fin de la ligne P du Transilien (réseau régional qui dessert la grande couronne 
périurbaine au-delà du réseau RER), qui se prend gare de l'Est ou à Tournan ; correspondance avec la ligne E du RER d'Île-de-France (station Tournan-en-Brie). La commune est aussi desservie par les lignes départementales d'autocars 10 et 29, avec arrêts dans les hameaux. Sous l'Ancien Régime, la paroisse et plusieurs hameaux de Jouy-sur-Morin figurent dès le xviie siècle sur des cartes administratives, de fonction et de rendu très schématiques. C'est le cas par exemple sur la « Carte du païs de Champaigne », par Damien de Templeux. Occupée depuis l'Antiquité, son nom latin était « Gaudiacus » (dont l'interprétation peut être double) ; puis devient « Johi » ou « Joy » 
au milieu du Moyen Âge. Wikipedia ] Prenons sur la gauche le chemin entre les deux bras du Morin,  longeons la rivière sur un îlot transformé en parc de promenade. Remarquons que chaque jardin à son lavoir. Aux grandes vannes du moulin (moulin transformé en  appartements) prenons à droite la passerelle, nous trouvons également un lavoir, laissons la rue de gauche peut être une extension de la rue du réservoir et prenons sur la droite le chemin intra muros peut être une extension de la rue Sergente, nous débouchons  rue de la poterne (D 66) que nous prenons à droite. Nous arrivons place de l'église [église Saint-Pierre-et-
Saint-Paul (xiie-xiiie siècles, transformée xvie siècle), avec fonts baptismaux de la Renaissance (classés MH[138]) ; inscrite aux Monuments historiques depuis 1927. Wikipedia ] Traversons la place et son parking, prenons la rue de la Porte d'en Haut sur la gauche. Laissons les rues perpendiculaires et poursuivons notre grimpette. La rue change de nom devient de Bel Air, nous arrivons à une fourche nous prenons à droite la rue de Beauchien, nous retrouvons un balisage jaune. Dans le haut de la cote, nous trouvons un chemin devant un bâtiment en brique, nous suivons ce dernier nous faisant prendre le chemin sur la droite en direction d'une antenne relais. Nous
sommes sur le PR des gailles, nous avons une alternance de champs et de bois, à l’intersection de balisage jaune avec le PR des bois des amourettes, nous prenons le chemin de droite. A l'intersection suivante nous prenons à droite, longeons une haie d'arbres et nous arrivons sur une patte d'oie, nous prenons le chemin de gauche, il fait tout de suite patte d'oie nous prenons à droite, poursuivons notre descente dans le bois. Nous passons une drôle de maison avec une tour comportant une partie vitrée puits de lumière pour un escalier, ou peut être pour regarder les étoiles, mais il faudrait nettoyer la partie translucide, grise de pollution et verte de lichen. Nous débouchons sur un chemin en bordure du Grand Morin, nous prenons à gauche et remontons la rivière. Nous sortons du bois et arrivons sur
un chemin juste avant une route bitumée nous prenons sur la gauche le PR des Amourettes et le circuit N°3 de la Ferté Gaucher, nous entrons dans Montigny. De chemin nous passons à route mal bitumée, puis rue de planchotte. La rue tourne sur la droite et débouche Grande Rue, nous laissons le PR des Amourettes partir sur la droite et poursuivons à gauche le PR N°3 de la Ferté Gaucher. La rue fait fourche nous prenons à droite (rue des Oliveaux. Vicinal 3) Nous dominons la vallée du Morin et passons presque sans le voir devant un lavoir situé en contre bas de la rue. Nous sortons du hameaux des Olivots et débouchons sur la D 204 que nous prenons à droite, un remblaie gravillonnée nous permet de marcher en sécurité le long de la départementale. Ne vous laissez pas entraîner par la Ferté Gaucher en contre bas, à la première maison nous prenons à droite le long de la clôture (nous n'avons aucune balise.) Nous descendons dans les champs, puis traversons le bois, le chemin fait fourche nous prenons à gauche, de chemin nous passons à bitume, nous entrons dans la Ferté Gaucher par la rue du 8 mai 1945. Aux immeubles, nous abandonnons le balisage jaune tournant sur la droite et poursuivons tout droit le long des immeubles (balisage jaune également). Laissons les rues perpendiculaires, nous débouchons sur l'Avenue de Rebais (D 204), que nous prenons à gauche. [Un seigneur de la Cour, nommé Gaucher, devenu possesseur de grands domaines, fait bâtir une ville au milieu de ses terres et l'appelle Fort de Gaucher, actuellement La Ferté-Gaucher. La localité est aussi mentionnée par le nom de Firmitas Galcherii. Ce nom de Firmitas (du latin firmitas) se traduit par soliditéfermeté (en français, ce dernier remplace ferté qui restera limité aux noms de villes).
Devenu, de par son acquisition, voisin du comte de Champagne, Gaucher se lie d'amitié avec ce puissant seigneur et épouse l'une de ses filles. Cette dernière apporte en dot la terre de Montmirail avec comme condition expresse que le premier fils né de ce mariage en porte le nom et lui rende foi et hommage. C'est pourquoi, durant plusieurs siècles, les seigneurs de La Ferté-Gaucher furent également seigneurs de Montmirail. Seigneurs de La Ferté-Gaucher Jean (ou Jehan) de Montmirail (1165 - 29 septembre 1217) était baron de Montmirail, seigneur de La Ferté-Gaucher, d'Oisy, de La Ferté-sous-Jouarre, de Tresmes (aujourd'hui Crouy-sur-Ourcq), de Crèvecœur et/ou Crèvecœur, de Bellonne et/ou Bellot, de Gandelu, de Condé-en-Brie et de La Chapelle-en-Brie, vicomte de Meaux et châtelain de Cambrai. Connétable de France, il sauva la vie de Philippe-Auguste à Gisors et participa à la quatrième croisade. Il se retira comme moine à l'abbaye de Longpont, et l'Église l'a élevé sur les autels comme bienheureux.] Nous prenons sur la droite la rue André Marigot laissons les rues perpendiculaires. Attention nous avons une intersection de balisage jaune à la rue jean Jaurès. Nous
débouchons devant la Halle aux veaux du XIXÈME [La Ferté-Gaucher abritait autrefois un important commerce de bestiaux. Le marché aux veaux, établi en 1847, y est particulièrement actif, et le conseil municipal décide de construire une halle adaptée aux besoins de cette activité. Les travaux, qui durent un an, sont achevés en juin 1882. L'adoption d'une construction à structure métallique, aussi solide que la charpente en bois mais plus légère et plus moderne, témoigne d'un esprit novateur. Victor Baltard adopte également le fer pour les Halles Centrales de Paris. À l'intérieur de la halle, 168 emplacements sont prévus pour les veaux, sur la plateforme située à 80 centimètres au dessus du niveau de la rue. Des colonnes en fonte soutiennent la toiture et des bornes en fonte, reliées par une barre de fer, servent à 
attacher les animaux. Le marché aux veaux cesse son activité en 1910, et la halle est alors transformée en salle des fêtes. Des travaux de restauration, réalisés en 1996 et 1997, remettent au jour les structures d'origine. https://www.la-ferte-gaucher.org/halle-aux-veaux.html] Nous prenons à droite la rue du Général Leclerc nous avons une belle maison à colombages et tout de suite à gauche la Rue Ernest Delbet (D14) en direction de Meilleray, balisage jaune et balisage vert (haute Vallée du Grand Morin). Nous longeons les terrains de sport, et apercevons sur la gauche l'ancienne abbaye de la Commanderie (j'en ai fait un détail dans une autre rando) mais on la voit bien mieux d'ici. Laissons les deux balisages tourner sur la gauche, poursuivons tout droit un balisage vert également, nous grimpons un peu et quittons la départementale à l'entrée de Saint Martin des Champs, nous prenons à gauche le balisage vert, le long de la petite zone industriel en direction des Ponceau. Il est onze heures et j’entends un carillon sonnant les heures. Etonnant une sonnerie comme les 
églises du nord de la France. J'espère passer à côté sur le chemin du retour. De bitume nous passons à chemin dans les champs, longeons les grillages des jardins et à l’angle de la dernière maison (en 2019) nous prenons le chemin de droite. Poursuivons le long de la clôture, le chemin fait fourche, nous prenons à gauche. De chemin nous passons à rue des Vieilleux, nous entrons dans le village de Saint Martin, laissons les rues, de Champgris, Impasse du Chaillot et rue du Pressoir, sur la droite, nous sommes toujours sur le balisage vert, la rue fait un esse droite-gauche, coupe la Grande Rue. Nous poursuivons en face par la rue Henriette Lecocq, nous longeons l’église. La rue fait fourche, nous poursuivons par la rue de droite. A la sortie du village nous passons à chemin empierré, laissons un chemin sur la droite, et grimpons un peu avant d’arriver sur un chemin en forme de Té, nous prenons à droite, toujours balisage vert. Nous arrivons à l’angle d’un taillis. Si l’herbe n’est pas très haute vous apercevrez la base d’un d’une construction en meulière, nous prenons le chemin de gauche, longeons le taillis puis prenons le chemin de droite (après une énorme montagne de pierres Meulière déposé en tas. (Pierres certainement remonter des profondeurs de la terre par les agriculteurs lors des labours.) Nous avons perdu le balisage vert, mais on a récupéré un balisage jaune. Nous longeons le centre équestre du Trotignon, débouchons sur la route d’accès que nous prenons à gauche, longeons la gare de Lescherolles [Ancienne gare de la ligne de Gretz-Armainvilliers à Sézanne servant aujourd'hui de point de départ au circuit Vélorail du Val du Haut-Morin. Le Vélorail du Val du Haut-Morin est une activité de loisirs, situé au cœur de la vallée du Grand Morin. Activité ludique et familiale, elle est surtout unique en région Île-de-France. Situé sur l'ancienne voie ferrée qui reliait autrefois Paris à Sézanne. Inaugurée en 1885, la voie ferrée participait à l'essor économique de la région en transportant des denrées agricoles vers la capitale. À partir des années 50, la ligne perd progressivement son importance. Le trafic passager s'arrête en 1972 puis la ligne est déclassée en 1990. Le départ se fait depuis la Maison du Tourisme en centre ville de La Ferté-Gaucher où un petit train emmène les visiteurs jusqu'au vélorail en empruntant l'ancien tracé de la voie ferrée aujourd'hui reconverti en sentier pédestre. Le départ en vélorail se fait quelques kilomètres plus loin, dans la gare du vélorail totalement réhabilitée par le Conseil général de Seine-et-Marne. Le vélorail est aménagé sur un tronçon de voie ferrée de 6,5 km réhabilité entre les communes de Lescherolles et Meilleray. La voie ferrée longe le Grand Morin jusqu'à la commune de Meilleray. Wikipédia] Nous abandonnons le balisage jaune longeant sur la droite l’ancienne voie ferrée, poursuivons la route, franchissons le Grand Morin, juste avant la D 934, nous prenons la rue sur la gauche, (rue des Fonds de Bellevue), nous retrouvons un balisage vert et un balisage jaune, au moulin de la Fosse, de bitume nous passons à chemin remontant vers la D 934 que nous traversons. Prenons en face la D60 (rue Notre Dame. La rue fait fourche nous prenons à gauche (rue de Baloquerie) balisage vert de la haute vallée du Grand Morin. Nous entrons dans le village tentaculaire de Lescherolles, longeons les pavillons et nous arrivons au cimetière. Sur la carte le balisage vert tournait sur la gauche, pour traverser Les Montils, mais il semblerait que la trace à changé, le balisage poursuit tout droit. Je suis un peu fatigué, et le parcours m’ennuis un peu, au lieu de suivre mon GPS et réaliser la boucle par les Montils, je coupe mon parcours initiale en suivant le balisage vert tout droit. Juste avant un petit bois le chemin forme Té, nous prenons à droite. Nous avons perdu le balisage vert. Je coupe la D 60 et prend en face la rue du pré de la Croix Saint Jean, nous entrons de nouveau dans Lescherolles. Nous avons peut être perdu le balisage vert, mais retrouvons un balisage jaune. Laissons la rue des Pleux sur la droite, nous arrivons à une fourche dans un virage avec la C7, poursuivons tout droit la rue de la Croix Saint Jean, toujours le balisage jaune. Nous prenons la rue peu large de Courtes Soupes, sur la gauche, et débouchons rue de Saint Mars que nous prenons à gauche. Passons la C9 et poursuivons jusqu’à la fourche, ou nous trouvons un lavoir avec une eau exceptionnellement limpide. Revenons sur nos pas et prenons la C9 sur la gauche en direction de Chateaubout (rue de la Croix hariot), laissons la rue de Chateaubout et la C9 partir sur la droite, poursuivons tout droit. Dans le virage sur la gauche nous abandonnons le bitume et poursuivons tout droit dans les champs après avoir longé une exploitation agricole. Nous arrivons à la croix du Hariot croisée de chemins et de la route. Nous devons chercher la croix, caché par un arbre, par contre nous avons comme repaire le réservoir d’eau. Nous prenons le chemin de droite et suivons le balisage jaune. Nous longeons la lisière du bois de Châteaubout, puis traversons une petite bande d’arbres pour suivre de l’autre coté la lisière du petit bois, après les champs nous débouchons sur une route que nous prenons à gauche (un balisage un peu effacé se trouve sur la route.) Une centaine de mètres avant la ferme qui semble abandonnée, nous prenons le chemin sur la droite, laissons un chemin sur la gauche. Nous débouchons sur un chemin formant Té, prenons à droite. Nous trouvons un peu plus loin une balise nous informant qu’il faudra tourner à gauche. A la rencontre du chemin, nous le prenons à gauche. De chemin nous passons à rue (chemin de Potière), longeons une drôle de propriété… (Dans le terrain nous trouvons 14 socles en brique avec une sorte de médaillons d’accroché dessus, Au portail une plaque gravée ‘’Avé Maria’’ et sur le dessus une monumentale sculpture. J’ai cru à une secte… et puis je me suis rendu compte que derrière la départementale se trouvait une église et cela ma fait penser à un espace réserver aux pèlerinages, ou un lieu de procession, devant les quatorze stations de la passion du Crist.) Traversons la D 934, poursuivons par la rue du lavoir nous entrons de nouveau dans la Ferté Gaucher et dans ce que j’appelle le faubourg ‘’la Maison Dieu’’ qui était certainement à une époque qu’un hameau. Sur la droite, l’église et le carillon entendu en fin de matinée. (carillon ferté gaucher 2.m4a) (‘’sanctuaire Marie Reine’’ église catholique traditionnelle)
Poursuivons la rue jusqu’au lavoir, traversons le ru Saint Mars, juste avant ce qui était peut être un moulin

 Petit film pour écouter le carillon
 [Appartenant à l'origine au prieuré de La Maison Dieu, ce moulin est confisqué à la Révolution et vendu comme bien national. Initialement moulin à farine, il est transformé en usine pour le travail du cuivre en 1900. Après une période d'inactivité, de 1913 à 1925, il est utilisé par la société parisienne Aciéra qui y fabrique des perles en métal jusqu'en 1937, puis de 1955 à 1970, des panneaux d'isolation en fibres de bois. Désaffecté, il est le dernier moulin qui subsiste à La Ferté-Gaucher. http://la-ferte-gaucher.org/moulin.html]. Longeons quelques maisons, la rue fait fourche; nous prenons à gauche la rue de la Maisons Dieu, (nous trouvons un balisage bleu). Nous retrouvons la D 934, faisons un esse droite gauche remontons sur quelques mètres la D 71(en direction de Saint Mars-Vieux Maison) pour contourner le terre plein arboré et prenons la rue de droite contournant le cimetière puis traversons le parking, nous pouvons couper par le terrain herbeux sur la gauche pour rejoindre le chemin ce dirigeant vers les champs que nous prenons sur la gauche, traversons un bois et après les champs nous débouchons sur la route du rossignole. Nous suivons le 
balisage bleu et un jaune sur la gauche. La route tourne sur la gauche nous quittons le bitume et prenons sur la droite le chemin se dirigeant vers la zone artisanale. Passons la station de pompage, le chemin fait fourche poursuivons tout droit, nous sommes à la Bégonnerie. (Nous quittons l’un des deux balisages, ce doit être le bleu, mais aucune balise ne nous l’indique.) Traversons la D 215, longeons le bâtiment industriel par le chemin Paré, (un peu bizarre par ici, on a l’impression de rentrer dans l’entreprise, et comme c’est le passage de gros camions manœuvrant pour se rendre sur le quai d’embarquement, le balisage risque un jour d’être détourné par l’avenue Gérard Petifrère, se trouvant un peu plus bas et desservant la zone pavillonnaire. A la fourche des rues, il faudra certainement prendre à gauche sur quelques mètres pour rejoindre le chemin entre les grillages.) Coupons la D 204, prenons le chemin en face entre les deux grillages, d’un coté des  
bâtiments industrielles et de l’autre une zone pavillonnaire. Nous coupons la rue de Savoie et continuons en face par le chemin bitumé de Paré. De rue nous passons à chemin. Après des espaces comportant encore des champs et de médiocres bois, nous retrouvons un grillage et un immeuble isolé dans la verdure, le chemin fait fourche, un petit sentier part sur la droite et rejoint l’ancienne voie ferré, nous poursuivons tout droit de chemin, nous passons à sentier devenant ronceux. Nous débouchons sur la route et trouvons une intersection de balisage jaune. Le balisage jaune N°3 tourne à droite, nous ne le prenons pas. Prenons à gauche c’est le balisage jaune N°5, nous contournons l’immeuble, à la fourche nous abandonnons le bitume et un balisage jaune continuant tout droit et prenons le chemin de gauche, nous longeons la lisière du bois. Bois et champs se succèdent, nous entrons dans le hameau de Laval d’en Haut. Le chemin fait fourche, nous prenons à droite l’impasse de la Douanerie et retrouvons le carrefour en triangle ou nous avons garé la voiture.
 




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