La Ferté Gaucher
Rejoindre le parking de la gare avenue de la gare qui se
trouve en bas de la D 934 desservant Coulommiers à Esternay. On y trouve un
petit parking avec quelques places, la gare et la ligne SNCF étant désinfectée,
il ne sert peut être que pour les personnes prenant le bus express pour
Coulommiers.
avril 2018
Km Temps
Arrêt V/d V/g
Dénivelé
19 3h36 20 mn
5,4 4,9 79 +
En agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Le code mobile de cette randonnée est b323015
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La Ferté Gaucher ; [Un seigneur
de la Cour, nommé Gaucher, devenu possesseur de grands domaines, fait bâtir
une ville au milieu de ses terres et l'appelle Fort de Gaucher, actuellement La
Ferté-Gaucher. La localité est aussi mentionnée par le nom de Firmitas
Galcherii. Ce nom de Firmitas (du latin firmitas) se traduit par solidité, fermeté (en français, ce dernier remplace ferté qui restera limité aux noms de
villes).
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Carte VisoRando
Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
Devenu, de par son acquisition, voisin du comte de Champagne,
Gaucher se lie d'amitié avec ce puissant seigneur et épouse l'une de ses
filles. Cette dernière apporte en dot la terre de Montmirail avec comme condition expresse que le
premier fils né de ce mariage en porte le nom et lui rende foi et hommage.
C'est pourquoi, durant plusieurs siècles, les seigneurs de La Ferté-Gaucher
furent également seigneurs de Montmirail. Seigneurs
de La Ferté-Gaucher ModifierJean (ou Jehan) de Montmirail (1165 - 29 septembre
1217) était baron de Montmirail, seigneur de La Ferté-Gaucher, d'Oisy, de La Ferté-sous-Jouarre, de Tresmes (aujourd'hui Crouy-sur-Ourcq), de Crèvecœur et/ou Crèvecœur, de Bellonne et/ou Bellot, de Gandelu, de Condé-en-Brie et de La Chapelle-en-Brie, vicomte de Meaux et châtelain de Cambrai. Connétable de France, il sauva la vie de Philippe-Auguste à Gisors et participa
à la
Le Grand
Morin prend sa source dans le département de la Marne, à Lachy, et se jette
dans la rivière la Marne en deux endroits : à Condé-Sainte-Libiaire et à
Esbly. Cette
rivière est appelée Grand Morin car sa longueur est plus grande que l’autre
rivière du même nom, le Petit Morin. Ces deux rivières sont parallèles et
traversent le plateau briard. L’étymologie du mot Morin est très incertaine et
nous ne donnerons pas d’explication. La longueur du Grand Morin depuis son
origine jusqu’à son embouchure est de 120,163 km dont 43,390 km dans le
département
de la Marne. Sur les 76,773 km en Seine et Marne, 17,400 km sont
navigables. Son bassin s’étend sur 111 communes dont 28 dans la Marne. http://www.cc-payscrecois.fr/Le-Grand-Morin.html]
Nous
arrivons au square avec ses deux petites mares remplient de grenouilles et de
crapauds. Juste avant les grillages nous trouvons sur la droite un chemin intra
muros que nous prenons à droite, longeons le square et débouchons rue des
promenades que nous prenons à gauche. Au carrefour nous prenons à droite la rue
de Paris, sur la gauche nous apercevons une petite place avec la Mairie et à côté
du moins en 2018 Nous trouvons une ancienne quincaillerie comme on en voie dans
les films retraçant les villages d’après guerre. Une façade peinte d'un vert un
peu délavé avec de grandes baies vitrées, derrière des ustensiles d'un autre
siècle. Faisons le tour de la place,
par la rue du Général de Gaulle. Revenons
rue de Verdun, prenons sur la droite la rue d'Orient, nous débouchons rue Ernest
Delbet (D14) que nous prenons à droite nous passons un parking puis un stade.
Nous trouvons un balisage jaune partant sur la gauche évitant de prendre la
route, mon seule problèmes fut qu’il faut passer le ru des marais et que la
passerelle était retirée afin que personne n'aille patauger dans le marais qui
lui aussi était gorgé d'eau et débordait sur les terrains de sport et la petite
allée permettant de faire le tour du lac. Les autres chemins que nous trouvons
sur la carte ne débouchent que sur des clôtures en barbelés. L’été il sera
possible d'éviter un tout petit bout de cette route. Il n'est peut être pas
nécessaire de faire le détour.
Poursuivons le bitume et prenons sur la gauche la route menant à la commanderie, nous sommes sur un balisage jaune. Malheureusement elle est incluse dans la ferme et il faut traverser la cour d’habitation pour espérer s’en approcher. Faisant parti d'un enclos pour chevaux il n'est pas possible de s'en approcher par un autre coté. A la ferme nous quittons le bitume et poursuivons sur la droite par un chemin empierré. Ne chercher pas à contourner la ferme par le ru afin de voir de plus près la commanderie. Vous risquer simplement d'attraper des tics dans les hautes herbes et de vous faire piquer par les orties… Des barbelés vous couperons
l'accès.
J’ai copié la majeure partie de l’article de l’histoire de ce bâtiment sur un
site internet comportant des photos de l’intérieure de la chapelle en ruine. [La commanderie de La
Ferté-Gaucher fut fondée grâce à un don de Guillaume de Sablonnière, vers
1194 - 1195, à partir d’une grange à dîme appelée la « Grange de Costram ».
Elle devint rapidement le siège d’un florissant domaine agricole qui lui valut
des démêlés avec Jean de Montmirail, seigneur d'Oisy, et Mathieu de
Montmirail, seigneur de La Ferté-Gaucher. Les frères disaient qu'après la mort
de leur père, et pendant leur minorité, l'incurie de leur mère ou sa trop
grande condescendance envers les Templiers, avait permis à ceux-ci d'agrandir
leur établissement de La Ferté, au préjudice de leur domaine et de leurs droits
seigneuriaux. Jean de Montmirail leur reprochait d'avoir ruiné sa
pêcherie, en détournant le cours des eaux, et, ce qui était plus grave, d'avoir
incorporé dans leur domaine diverses parties de terre de la seigneurie. Il
ajoutait que toutes les acquisitions qu'ils avaient faites, dépendant du fief
de La Ferté, avaient eu lieu à l'insu du
seigneur, et sans payer aucun droit de
relief ou de cens. Un état de la commanderie de 1474 documente une grande
maison avec une chapelle dédiée à Notre-Dame, entourée d’un verger et close de
murs, le long du grand chemin menant de la Ferté à Sézanne. Le domaine
comprenait 350 arpents de terre, 29 arpents de vignes, 30 arpents de prés, 90
arpents de bois, un moulin ainsi que des biens et des droits dans de nombreuses
localités environnantes. La chapelle, conservée, est du même type que
celles d’Avalleur, de Coulommiers et de Fresnoy. La chapelle fut sans
doute édifiée au début du deuxième tiers du XIIIe siècle. Construite sur un
plan rectangulaire, elle se compose d’une nef à quatre travées, barlongues,
voûtées en croisées d’ogives et épaulées par des contreforts. Elle possède
trois portes et douze fenêtres en arc brisé, dont un triplet oriental et
une lancette au-dessus du portail ouest. L’état intérieur de l’édifice est très préoccupant. Certains des
voûtains des croisées d’ogives sont partiellement effondrés. En 1795, sous la
période révolutionnaire,
la commanderie fut vendue et la chapelle désacralisée
devint une grange. Le logis du commandeur qui avait perdu son étage supérieur,
fut malheureusement détruit par un incendie en décembre 1981. Il fut remplacé
par un pavillon sans intérêt. La chapelle est inscrite à l’inventaire
supplémentaire des monuments historiques depuis le 19 avril 2011. Elle sert
aujourd'hui de hangar agricole, sans entretien particulier, eu égard à son
histoire… Pour en assurer sa préservation ce bâtiment mériterait de connaître
un autre avenir. Le propriétaire actuel n’exclut pas la possibilité de vendre
cette chapelle à des repreneurs qui souhaiteraient restaurer et valoriser ce
bâtiment. Vous trouverez un très bel article et surtout des photos de cette
chapelle sur : https://www.templedeparis.fr/actualit%C3%A9s-1/chapelle-de-la-fert%C3%A9-gaucher/] Après la grimpette nous avons une belle vue sur
la chapelle, et je me dis que je n’ai rien gagné pour les photos à avoir
longé
les barbelés. Le chemin débouche sur un autre formant
Té nous prenons à droite sur ce plateau nous avons une belle vue sur la vallée,
et la chapelle. Nous débouchons de nouveau sur un chemin formant Té et prenons
à gauche, (Sur notre gauche sur un caillou nous trouvons le balisage jaune, qui
suivant la hauteur de l'herbe cette balise devient invisible). Arrivée à la
station de pompage de la Chapelle Montis, nous prenons à gauche, je ne sais pas
si je suis toujours sur le jaune. Longeons l’orée d’un bois et au carrefour
après le bois prenons à droite (cote 164). Nous arrivons à Coupigny par le
chemin du bois Huon. A l’entrée du village, nous débouchons dans la rue de la
croix Belle Chair
formant Té que nous prenons à droite. Laissons une impasse
sur la gauche et prenons la route de la petite Renoue sur la gauche, en direction
de la petite et de la grande Renoue. Nous ne faisons qu'une cinquantaine de mètres
dans cette rue et prenons à la sortie du village à l’angle d'une propriété le
chemin sur la droite. Au départ en bitume, nous longeons la clôture, de rue
nous passons à chemin entre deux grillages nous contournons le village,
laissons l'impasse de la bonne femme, poursuivons en face le chemin dans les
champs bien tondu le long de la première maison, l'herbe devient plus haute
ensuite. Le chemin débouche sur un autre formant Té nous prenons à gauche. Nous
arrivons à un carrefour avec un poteau électrique le chemin forme de nouveau un
Té (côté 186) Nous prenons à gauche, laissons un chemin donnant accès au
village, puis un
autre sur la droite. Nous passons au loin de la petite Renoue et
débouchons sur la route que nous prenons à droite sur quelques mètres, en vue
de la Grande Renoue nous prenons à droite avant les bâtiments agricoles. Le
chemin dans les champs, longe l'orée d’un bois puis fait un esse droite gauche puis
débouché sur un chemin formant Té, nous prenons la branche de droite. Nous
arrivons sur la D14 que nous prenons à droite sur quelques mètres, traversons
et prenons le chemin sur la gauche le chemin longe quelques maisons isolé et débouche
sur une petite route prenons à droite nous traversons le hameau de Montvinot,
nous rencontrons le balisage jaune. La rue principale se nomme chemin de
Cormeaux. Quittons le bitume un peu avant la fin du village par un chemin sur
la gauche, balisage jaune, la flèche nous indiquant que l'on tourne est bien
positionné, mais
dans le chemin aucune trace de peinture. Nous longeons ce qui
est en 2018 un chenil. Le chemin descend légèrement dans un taillis fait un Y, laissons
la branche de gauche se dirigeant vers un bois et prenons à droite. Nous
longeons des clôtures traversons un champ avant de longer le bois de la Pierre
aux Fées, nous sommes sur le balisage jaune, traversons le bois puis quelques
langues de champs pénètrant dans le bois. Nous arrivons à un carrefour de
balisage jaune sur la droite le circuit de la haute vallée du Grand Morin, nous
prenons à gauche le circuit de Cormeaux. L’intersection se trouve à une
vingtaine de mètres. Nous débouchons au niveau de la ferme devenue propriété privée
de Trotignon, contournons l’ancienne ferme et prenons sur la gauche
la route
permettant l'accès à cette maison isolée. Nous arrivons à l’ancienne ligne de
chemin de fer. L’ancienne gare portant le beau nom de Lescherolles à été
transformée vélo rail. Nous prenons face de la gare (ou presque) un chemin
longeant l'ancienne ligne de chemin de fer, c'est une piste cyclable, piste
pour chevaux, et piétons longeant plus ou moins le Grand Morin, c'est le
balisage jaune. Après le taillis nous longeons le village de Champgris et son
extension la ferme de la Vigne perchés sur la butte, nous traversons une rue
donnant accès à ses villages. Le chemin est tout plat, passons quelques rus
venant se jeter dans le Grand Morin traversons également cette rivière qui a
creusée un profond fossé et nous arrivons à l’entrée de La Ferté Gaucher.
Traversons la D934 et poursuivons le chemin en face jusqu'au grand pont
permettant de franchir la rue de ce profond fossé creusé dans la colline. Le
pont franchi nous trouvons une allée en béton sur la gauche
que nous prenons et
débouchons rue des sapins. Nous entrons en ville, traversons la D 934 (Avenue
des Alliés) poursuivons en face par la rue de Sézanne. Nous passons un ru puis
le Grand Morin, d'après la carte c'est peut être l’inverse. Sur la droite une
construction ressemblant à une église et un château. C'est la rue du Prieuré un
aller retour nous permet de voir l'ancien couvent plus ou abandonné ou transformé
en habitation. [L'habitation des
prieurs est reconstruite par l'un d'eux, le prieur Hogeder, de façon luxueuse. Avec
son fronton en stuc et ses toits à la Mansart, cette demeure devient en 1865 le
bureau de l'enregistrement. Elle est ensuite transformée en résidence privée.
Vestiges de l'ancienne
église du prieuré Saint-Martin, xiie siècle inscrite en 2004 au titre des monuments historiques.
L'édifice sert de grange depuis le xixe siècle.
façade du Prieuré
Saint-Martin. Bâtie sur l'île du Morin, le Prieuré Saint-Martin de La Ferté-Gaucher est
l'ancien lieu de vie des Prieurs avant la Révolution Française. A la gauche du Prieuré Saint-Martin, l'ancienne Chapelle du Prieuré est transformée en grange de haute
élégance.
Le Prieuré Saint-Martin et l'ancienne Chapelle du Prieuré de La Ferté-Gaucher sont toutes deux aujourd'hui des propriétés privées. http://www.viafrance.com/fr/france/evenements/prieure-saint-martin-la-ferte-gaucher-decouverte-e-617217] Nous prenons sur la gauche la rue Lefèvre. Nous passons devant l'église [Cette église est dédiée à Saint Romain d'Antioche, soldat romain converti au christianisme et martyrisé à Rome en 258. En 1133, la paroisse Saint-Romain, qui dépend jusqu'alors de l'abbaye de Molesme, passe aux chanoines de Saint-Jean-des-Vignes de
Soissons. Les dîmes et les bénéfices rattachés à la cure; ainsi que l'aide
financière des familles seigneuriales, permettent aux chanoines d'entreprendre
la construction de l'église. Des travaux sont réalisés au cours de la période
gothique tardive, puis jusqu'à la Révolution : construction de la nef et des
bas-côtés, voûtement du choeur et l'abside et extension des chapelles
latérales. De nouvelles transformations sont réalisées pendant le Concordat et
le premier Empire, ainsi qu'au début du XXe siècle. https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.annuaire-mairie.fr/eglise-saint-romain-la-ferte-gaucher.html&ved=2ahUKEwjBnuiK9_zaAhXSKewKHXKBAfYQFjATegQICRAB&usg=AOvVaw11ErPLo9zJWUb4vvyTTxY5] Poursuivons
la rue Lefèvre jusqu’à la D 204
rue de Paris que nous prenons à gauche et nous arrivons au carrefour de la D 934
Avenue des États Unis que nous prenons à droite
et nous retrouvons un peu plus haut notre parking.

Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
Poursuivons le bitume et prenons sur la gauche la route menant à la commanderie, nous sommes sur un balisage jaune. Malheureusement elle est incluse dans la ferme et il faut traverser la cour d’habitation pour espérer s’en approcher. Faisant parti d'un enclos pour chevaux il n'est pas possible de s'en approcher par un autre coté. A la ferme nous quittons le bitume et poursuivons sur la droite par un chemin empierré. Ne chercher pas à contourner la ferme par le ru afin de voir de plus près la commanderie. Vous risquer simplement d'attraper des tics dans les hautes herbes et de vous faire piquer par les orties… Des barbelés vous couperons
Le Prieuré Saint-Martin et l'ancienne Chapelle du Prieuré de La Ferté-Gaucher sont toutes deux aujourd'hui des propriétés privées. http://www.viafrance.com/fr/france/evenements/prieure-saint-martin-la-ferte-gaucher-decouverte-e-617217] Nous prenons sur la gauche la rue Lefèvre. Nous passons devant l'église [Cette église est dédiée à Saint Romain d'Antioche, soldat romain converti au christianisme et martyrisé à Rome en 258. En 1133, la paroisse Saint-Romain, qui dépend jusqu'alors de l'abbaye de Molesme, passe aux chanoines de Saint-Jean-des-Vignes de

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