Pour
cette Petite Promenade, nous partons en Seine et Marne, dans le Village de Jouy sur Morin - la Ferté - Gaucher
Jouy - la Ferté - Gaucher
Deux promenades autour de cette ville ; 1) Jouy – La
Ferté Gaucher et
2) La Ferté Gaucher.
Avril 2018
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Le code mobile de cette randonnée est b323018
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Carte VisoRando
Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
KM Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
26 4h34 20mn
5,7 5,3 277+
Reprenons la D66 passons un bras du Grand Morin, [la source du Grand Morin se situent sur la commune de Lachy. Un petit cours d'eau nommé « Ruisseau de l'étang de la
Morelle » relie les étangs de la Morelle aux sources du Grand
Morin. SANDRE localise néanmoins
la source du Grand Morin au niveau des étangs de la Morelle, sur la commune de La Villeneuve-lès-Charleville. Le Grand Morin se
jette 118,2 kilomètres plus loin dans la rivière Marne à Condé-Sainte-Libiaire (à l'est de
Marne-la-Vallée). Un bras moins important conflue avec la Marne plus en aval,
sur
la commune de Lesches, les deux bras et la Marne formant ainsi l'« île de Condé ». C'est la plus grande rivière après la Marne, de la région naturelle de la Brie, avec son jumeau septentrional le Petit Morin (débit moyen moitié moindre de celui du Grand Morin).
la commune de Lesches, les deux bras et la Marne formant ainsi l'« île de Condé ». C'est la plus grande rivière après la Marne, de la région naturelle de la Brie, avec son jumeau septentrional le Petit Morin (débit moyen moitié moindre de celui du Grand Morin).
Son importance anthropique est telle qu'elle a donné
son nom à un des terroirs de la Brie : « la Brie des Morins » et en a structuré
l'occupation humaine depuis l'Antiquité (orientation des voies de communication
et urbanisation francilienne dite « en doigt de gant » le long de la
vallée).
Son tracé est orienté dans le sens est-ouest, avec
un parcours très ondulé de 43 km dans le département de la Marne, puis
de 77 km en Seine-et-Marne.
En plusieurs endroits, le cours de la rivière se divise en deux bras, formant
de petits îlots sur des distances assez courtes (La Celle-sur-Morin, Coulommiers, Jouy-sur-Morin, La Ferté-Gaucher). wikipédia]
Puis
le Grand Morin suivons la départementale sur la gauche elle devient rue de la
gare, puis nous prenons à droite la rue de la grimpette. La rue fait fourche,
poursuivons tout droit, nous rencontrons le balisage jaune. Passons la ligne de
chemin de fer. Au carrefour nous prenons à droite le chemin de la Montagne (balisage
jaune). De rue nous passons à chemin. Nous débouchons de nouveau sur du bitume.
Nous poursuivons tout droit, retrouvons notre chemin et le balisage jaune. Bois
et champs se succèdent. Nous débouchons de nouveau sur une route. Quittons le
balisage jaune et prenons la route sur la gauche puis la rue de Pouligny sur la
droite. Nous
arrivons dans le petit hameau de Pouligny la rue tourne sur la
droite. Nous trouvons un panneau d’information municipal et entre deux maisons
une petite cour herbeuse, prendre à droite vers le puits envahi de lierre et la
maison abandonnée. On trouve un sentier permettant de rejoindre le bois et un
chemin qui descend le long de la papeterie. Nous retrouvons notre rue et le
balisage jaune que nous prenons à gauche, traversons la voie ferrée. Passons
devant la papeterie,[ Les Papeteries Royales
:
Au XIXe siècle, la renommée de Jouy-sur-Morin viendra de la
fabrique du papier, là encore favorisée par l'eau (et déjà préexistante à
petite échelle manufacturière), pour assignats puis billets de la Banque de France à la papeterie
du quartier Crèvecoeur-Marais (les travaux définitifs étant achevés en
1865) ; même sous statut privé, la papeterie était un lieu très sécurisé et surveillé,
notamment
par l'État, comme en témoigne la présence d'un dossier jouyssien détaillé
(1816) aux Archives nationales dans les fonds F7 (Police générale). Économiquement, l'établissement du Marais va même
prendre encore de l'ampleur, quand en 1828 son propriétaire Félix Delagarde
absorbe la papeterie de Sainte-Marie (en aval à Boissy-le-Châtel) et fonde
l’une des premières sociétés anonymes françaises : "les papeteries du
Marais et de Sainte-Marie".
Dans la restructuration
industrielle de l'après-guerre, la société de papéterie change de nom en 1953,
et les usines d’ARches, de JOhannot, du MArais et de Rives se fondent en une
seule grande entreprise : Arjomari. Les « Trente
Glorieuses » d'après-guerre ne
le seront pas spécialement pour Jouy, qui suivra certes l'évolution nationale
de sa voirie et de ses équipements
collectifs, mais qui verra la disparition
progressive de ses petits commerces, du nombre d'exploitations agricoles, des
animations collectives. L'arrivée de la crise économique depuis les années
1970, provoquera d'importantes pertes d'emplois dans les usines de la commune
malgré des intégration à des groupes internationaux (naissance du groupe
Arjo-Wiggins-Appleton en 1991, issu de la fusion du français Arjomari Prioux et
de l'anglais Wiggins Teape Appleton, puis rachat en 2000 par l'OPA de la
compagnie financère Worms, maintenant Sequana Capital. Jusqu'à nos jours, dans
le contexte de vagues de licenciements sur l'ensemble de
l'arrondissement ; en 2001, passage de 114 à 17 salariés pour la
liquidation judiciaire de Droguet International (entrepôt décorations de Noël,
toute une figure de l'identité jouyssienne) et sa reprise partielle au deuxième
plan par son concurrent
Sapin-Lutin (racheté en 2006 par LMR) avec
diversification à tous articles de fêtes ; et en 2003 perte d'un bon tiers
des salariés de la papeterie ArjoWiggins (deux plans sociaux en quelques années sur l'usine) J’ai trouvé se
topo sur le site http://evazionrando.over-blog.com/article-jeudi-24-03-jouy-sur-morin-les-papeteries-royales-9km-70474642.html et m’aperçois que je ne suis pas le seul à marcher
curieux.] Au
carrefour le balisage jaune se divise en deux. Prenons la rue de la papeterie
sur la gauche, ainsi qu’une branche d’un balisage jaune, traversons le Grand
Morin, nous avons un lavoir sur la gauche. Nous arrivons sur la D 66 rue de la
vallée, que nous prenons à
gauche, puis à droite la route de Voigny. Nous sommes dans les hameaux de Crèvecœur et Champgoulin et toujours sur le balisage jaune que nous quittons rapidement pour prendre un chemin sur la droite alternance de bois et de champs se succèdent. Nous débouchons sur la D 66 que nous prenons à droite sur une cinquantaine de mètres puis la rue des Hantes sur la gauche. La rue fait patte d’oie poursuivons sur la gauche, passons devant une chapelle à flanc de colline nous sommes au lieu dit Le Marais, puis une grosse bâtisse plus ou moins à l’abandon peut être une ancienne papeterie attention vous êtes filmés malgré l’abandon des bâtiments
proche de la rue, les autres sembles habités ou en
activités. Nous sommes rue de la fontaine sous pierre. La rue fait un coude et
se rapproche du grand Morin. Passons l’aire de pique nique, poursuivons la rue
champlat et à la fourche prenons à gauche la rue Eustache Lenoir, nous arrivons
face à l’école. Prenons la rue communale N° 7 en direction de Rebais. La rue
grimpe dans une alternance de bois et de champs. A la maison en restauration
(grosse ferme ou hangar) nous prenons le chemin du clos sur la gauche et nous
retrouvons le balisage jaune. Le chemin traverse les bois puis débouche à
Voigny. Remontons sur la gauche la rue de Voigny, à la sortie du village nous
quittons le balisage jaune et prenons le chemin de droite, après des bâtiments
industriels… carcasses de voitures coupons une route (en réalité je devais
prendre à gauche, mais j’ai loupé l’intersection. Nous débouchons sur un chemin
formant Té prenons à gauche puis au carrefour suivant en forme de trident (cote
159) nous prenons à gauche. Attention nous débouchons sur un carrefour formant
Té sur la carte c’est
juste à la corne d’un bois (sur le terrain on peut
continuer tout droit, le long d’un verger enfin quelques arbres alignés.) Nous
prenons à droite puis le chemin fait fourche et nous prenons à gauche,
traversons le bois, nous débouchons sur un chemin formant Té et prenons à
droite c’est également le GR 14. Nous débouchons sur un chemin formant Té que
nous prenons à gauche, traversons le ru du Couru, grimpons vers la D 204 que
nous prenons à gauche (attention dans le virage il y a peu de visibilité et les
voitures roulent bien vite.) Dans le virage nous trouvons un chemin sur la
droite traversant un bois toujours GR 14. Nous passons en marge du
village de
Lettrée. Nous sommes toujours sur le GR 14. Bois et champs se succèdent, nous
arrivons à une patte d’oie prenons à droite, notre chemin devient bitume, nous
entrons dans le hameau du Petit Champcormolin (bourg composé d’une grosse ferme
et trois maisons.) A la sortie du village laissons la route de droite (elle
vous servira peut être de sortie de secours au cas ou…) nous trouvons un lavoir
qui doit dater des années 1900 en béton et charpente métallique je suis
toujours étonnée de ses lavoirs positionnés éloignés d’un cour d’eau. Juste avant le virage se dirigeant vers le
Grand Champcormolin et le ru, nous abandonnons le GR 14. Nous cherchons le
chemin sur la droite longeant le ru, de l'herbe jusqu’aux genoux je devine les
traces de deux roues d’un tracteur, je me demande si cela va déboucher. Au fur
et mesure que j’avance cela s’améliore quelque peu (si le départ
vous semble
impossible, rebrousser chemin et prenez la route à gauche au lavoir.)Nous
débouchons sur la route que nous prenons à gauche passons un pont sur le ru
Couru et à la sortie du bois nous quittons le bitume pour prendre à gauche et
suivre l’orée du bois. C’est un beau chemin dans les champs. Au carrefour (cote
164) nous prenons à droite. Nous débouchons sur un chemin formant Té, nous
prenons à gauche, puis au suivant à droite (cote 159). Nous arrivons à la D 204
la traversons, derrière laissons la route bitumée menant à Hardoy et Beauchien,
et prenons dans la prairie sur la gauche un chemin que j’ai eu bien du mal à
trouver, nous longeons un bois c’est un balisage jaune. Au carrefour nous
tournons à gauche ou nous entrons dans le bois et à
l’orée du suivant nous
prenons à droite nous rencontrons un balisage (attention ici il me semble qu’il
y est beaucoup de jaune, ce ne doit pas être les mêmes itinéraires. (On est
bien en Seine et Marne ou les randonneurs doivent se débrouiller, ce que je
regrette mes balades en Essonne ou chaque balisage est bien identifié sur des
poteaux. On ne trouve rien sur la carte IGN. Le chemin descend. Coupons un
carrefour à la cote 148 et descendons jusqu’au Grand Morin [En toponymie, l'origine du mot "Grand Morin" ne
fait pas l'objet d'un consensus scientifique, et plusieurs hypothèses
philologiques ont été avancées, dont deux principales. Pour certains, comme
Paul Bailly les toponymes Morin et Mœurs désignent
un marais, du
mot More qui signifie "marais" en celtique gaulois. Pour d'autres, comme Auguste Longnon, Morin viendrait du lot Mucra, déformation du latin (au ixe siècle, le Grand Morin se nomme Mogra, puis au xiiie siècle Mucra). Dans les variantes modernes, on trouve aussi l'orthographe "Morain" sous l'Ancien Régime). Wikipedia ] passons quelques maisons et en bordure de l’eau prenons à gauche, remontons le cours de la rivière. Nous arrivons à Montigny par le chemin des Gailles, le balisage jaune se divise en deux à droite c’est le chemin des Gailles et à gauche c’est le bois des amourettes. Nous prenons à
gauche, la rue
de la Planchotte et le PR N°3 de la Ferté Gauché. Dans le village prenons la
rue Grande sur la droite toujours le PR jaune du bois des Amourettes, nous
sortons du village. La rue fait un virage aigu sur la droite nous trouvons un
chemin sur la gauche que nous prenons. Champs et bois se succèdent, on
s’approche de la rivière, puis nous nous en éloignons, nous sommes dans une
grande plaine servant à éponger les débordements du Grand Morin. Nous entrons
dans la Ferté Gaucher par la rue du 8 mai 1945. [Un
seigneur de la Cour, nommé Gaucher,
devenu possesseur de grands domaines, fait bâtir une ville au milieu de ses
terres et l'appelle Fort de Gaucher, actuellement La Ferté-Gaucher. La localité
est aussi mentionnée par le nom de Firmitas Galcherii. Ce nom de Firmitas (du
latin firmitas) se traduit par solidité, fermeté (en
français, ce dernier remplace ferté qui restera limité aux noms de
villes).
Certainement une ancienne papeterie |
gauche, puis à droite la route de Voigny. Nous sommes dans les hameaux de Crèvecœur et Champgoulin et toujours sur le balisage jaune que nous quittons rapidement pour prendre un chemin sur la droite alternance de bois et de champs se succèdent. Nous débouchons sur la D 66 que nous prenons à droite sur une cinquantaine de mètres puis la rue des Hantes sur la gauche. La rue fait patte d’oie poursuivons sur la gauche, passons devant une chapelle à flanc de colline nous sommes au lieu dit Le Marais, puis une grosse bâtisse plus ou moins à l’abandon peut être une ancienne papeterie attention vous êtes filmés malgré l’abandon des bâtiments
mot More qui signifie "marais" en celtique gaulois. Pour d'autres, comme Auguste Longnon, Morin viendrait du lot Mucra, déformation du latin (au ixe siècle, le Grand Morin se nomme Mogra, puis au xiiie siècle Mucra). Dans les variantes modernes, on trouve aussi l'orthographe "Morain" sous l'Ancien Régime). Wikipedia ] passons quelques maisons et en bordure de l’eau prenons à gauche, remontons le cours de la rivière. Nous arrivons à Montigny par le chemin des Gailles, le balisage jaune se divise en deux à droite c’est le chemin des Gailles et à gauche c’est le bois des amourettes. Nous prenons à
Devenu, de par son acquisition, voisin du comte de Champagne, Gaucher se lie d'amitié avec ce puissant seigneur et épouse l'une de ses filles. Cette dernière apporte en dot la terre de Montmirail avec comme condition expresse que le premier fils né de ce mariage en porte le nom et lui rende foi et hommage. C'est pourquoi, durant plusieurs siècles, les seigneurs de La Ferté-Gaucher furent également seigneurs de Montmirail.
Seigneurs de La Ferté-Gaucher Jean (ou Jehan) de
Montmirail (1165 - 29 septembre 1217) était baron de Montmirail, seigneur de La Ferté-Gaucher, d'Oisy, de La Ferté-sous-Jouarre, de Tresmes (aujourd'hui Crouy-sur-Ourcq), de Crèvecœur et/ou Crèvecœur, de Bellonne et/ou Bellot, de Gandelu, de Condé-en-Brie et de La
Chapelle-en-Brie, vicomte de Meaux et châtelain de Cambrai. Connétable de France, il sauva la vie de Philippe-Auguste à Gisors et participa à la
quatrième croisade. Il se retira comme moine à l'abbaye de Longpont, et l'Eglise l'a
élevé sur les autels comme bienheureux. Il était le fils
d'André de Montmirail et d'Hildiarde d'Oisy (†1177), vicomtesse de Meaux, Dame
d'Oisy (-le-Verger) et de Crèvecœur, châtelaine de Cambrai. Wikipedia ]
La rue faisant un coude nous poursuivons tout droit. Après les immeubles nous
débouchons sur la D 204 que nous prenons à droite rue du docteur Cochot, puis à
droite la ruelle des Grenouilles, longeons le parc et les mares aux grenouilles
et vu les
chants elles doivent pulluler de crapauds et de grenouilles. On avait
abandonné un balisage jaune et nous en retrouvons un autre. Traversons de
nouveau le Grand Morin prenons tout de suite après sur la droite la route de
Nageot. La route fait fourche laissons la branche de droite se dirigeant vers
les jardins familiaux. Prenons la route de gauche on a plus de balisage jaune
et pour cause [Dois-je vous emmener dans cette galère …. Nous devons contourner
l’usine de carrelage et l’on n’a pas grand choix ;
soit la route D934 et D66 ou un no man’s land] Sur la carte nous
n’avons qu’un chemin celui qui passe derrière le poste de gaz, je pensais que
ce serait un petit enclos et que nous pourrions passer le long des étangs. Le
seul problème c’est que tout est clôturé pas moyen de passer. Au poste de gaz
je trouve une porte de sortie en franchissant le remblaie et les ronces sur la
gauche me permettant de rejoindre l’ancienne ligne de chemin de fer Coulommiers
– La ferté Gaucher, nous avons un peu moins de 700 m à réaliser sur du ballaste
et des traverses de chemin de fer. L’ancienne voie ferrée est truffée d’épineux
aux épines très pointues. Nous arrivons à un passage à niveau et prenons la
route sur la droite. Notre calvaire est

Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire