Devant
nous se déroulait un pays vert et mouvant,
silencieux et profond, coupé de haies épaisses,
empli d'ombres puissantes et tout mouillé d'eaux vives.
Point de fleuves, des rivières, point de lacs, des étangs,
point de vallées, des vallons, une gravité touchante.
Nous étions en Limousin."
Jérôme et Jean Tharaud
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C’est une promenade sans balisage, que j'ai plus ou moins découvert sur les indications d'un habitant du coin. Une promenade balisé se trouve au village précédant, mais elle se perd, par faute d'entretien. J'ai donc cherché comment revenir en testant des chemins qui n'existent pas sur la carte. Elle fait partie de ses promenades que l’on m'avait indiqué, mais qui malheureusement par faute de bénévoles, pour l'entretenir et de randonneurs étant loin des Monts d'Ambazac à disparue.
construction des éoliennes, ou sera-t-il interdit comme je l'ai déjà trouvé dans mes rando du sud de la France. Je ne sais, donc profitons en, tant que l'on peu y passer.] Nous grimpons doucement vers un bois de vieux châtaigniers, que nous traversons, de l'autre coté, nous traversons une plantation de châtaignier. C'est de la bonne châtaignes, pas celles que l'on ramasse aux pieds d'anciennes châtaignerais, dont les fruits dégénérés ne peuvent se manger que grillé. Une fois cuite dans l'eau, elles ne sont plus présentables autour d’un plat, la peau ou les peaux qui s'éparent les lobes sont difficilement retirable sans que la châtaigne deviennent de la bouillis. Le chemin serpente tout en descendant vers la ligne de chemin de fer. Nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à gauche et longeons une mare et laissons un
chemin sur la gauche. La ligne SNCF ce trouve maintenant surélevé grâce à un talus de ballasts, nous longeons un mur soutenant tout cela, et trouvons un tunnel passant sous le réseau ferré. A partir d'ici les chemins ne son plus trop sur la carte.
Après le pont le chemin serpente droite gauche et débouche sur un autre (que l’on trouve sur la carte) formant Té avec le notre. Nous prenons à gauche en direction du village. (On trouve ici une flèche indiquant le chemin de droite qui sur la droite est sans issu, mais en réalité il rejoint la route.) Nous passons devant un abreuvoir en ciment au ras du sol, et débouchons au centre du village de Lascoux, prenons sur la droite la rue principale, puis l’on fait un esse droite gauche (si l’on remonte un peu trop à droite on retrouvera la rue principale.) Nous sortons du hameau laissons sur la droite un premier chemin
(existant sur la carte et avec un ancien fléchage), puis une installation agricole, poursuivons la route sur le plateau et prenons le chemin sur la droite (existant sur la carte.) (Vous apercevez sur la carte des
mégalithes et vous vous demandez pour qu’elle raison je n’ai pas fait le détour… du coté ou nous sommes il n’y a pas de chemin il se trouve derrière des prairies clôturées. Longeons une prairie clôturé par du barbelé, le chemin fait fourche, laissons l’accès sur la gauche le chemin se dirigeant vers le champ, poursuivons le chemin sur la droite, le long de la clôture, nous descendons légèrement. Poursuivons dans les bois de châtaigniers, de chênes et de houx (ce chemin n’existe pas sur la carte). Notre chemin débouche sur un autre formant Té, nous prenons à gauche. Le chemin fait de nouveau fourche laissons la branche de gauche se dirigeant vers un champ, et poursuivons sur notre droite. Peut de temps après il fait de nouveau fourche nous prenons à gauche (à droite il se dirige vers une prairie.) Nous débouchons sur un chemin en cailloutis que nous prenons à droite (existant sur la carte). Nous apercevons de l’autre coté du vallon, la plantation de châtaigniers que nous avons traversé tout à l’heure. Le chemin fait un angle aigu sur la
gauche. Nous nous approchons de la ligne de chemin de fer, notre itinéraire descend lentement, nous apercevons les toits du Hameau de Lavaud, peut être également les premiers toits de Monjourde. Face à nous les Monts d’Ambazac. Nous débouchons sur la route bitumée reliant Le Cluzeau à Folles en passant par Lavaud, que nous prenons à droite. Au premier chemin, nous apercevons dans un parement de pierre soutenant les terres d’un champ situé sur la petite butte une loge de Berger. [Construction en pierres sèches qui exclut tout liant tel que mortier et torchis. Technique de maçonnerie restée identique au fil des millénaires. Ces ouvrages vernaculaires, en granite du pays, sont intimement liés à la vie agricole ou pastorale et constituent un abri temporaire d'une journée ou d'une nuit pour la bergère. La plupart de ces constructions date du milieu du XIXème. L'inventaire actuel est d'une cinquantaine de loges sur les 150 connues au début du XXème siècle. Un circuit N°5 vers Jabreuilles les Bordes retrace ce petit patrimoine https://fr-fr.facebook.com/Association-Nature-Patrimoine-Limousin-3595943642212... http://www.tourisme-montsdulimousin.fr/a-voir/Patrimoine-bati/(fiche)/loge-de-berger-du-puy-de-l-age-185002134-b03f6e6] Revenons sur la route et passons sous le pont de la ligne de chemin de fer. Prenons le chemin tout de suite à gauche le long des voies. Nous grimpons légèrement dans les bois de châtaigniers, laissons les chemins sur la droite se dirigeant vers les bois. Notre chemin dans sa partie basse est fortement humide. Notre chemin tourne brusquement à angle aigu sur la droite devant une prairie qui n’est plus exploité certainement dû à sa petite taille et à son éloignement. Le chemin devient difficile sur une cinquantaine de mètres dû aux hautes herbes. Nous retrouvons le cailloutis un peu plus loin, traversons le bois, puis nous retrouvons les champs. Nous débouchons sur la route que nous prenons à gauche et entrons dans Le Cluzeau.
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