dimanche 2 mai 2021

Petite Promenade en Loire Atlantique N° 110 ; Chéméré le sentier des chênes


Petite Promenade en Loire Atlantique ; Chéméré, Le Sentier du chêne

Voici la petite pub que l’on trouve sur le site permettant de découvrir les chemins balisés de la région. ‘’Découvrez les superbes chemins bordés de végétaux variés : frênes, chênes mais aussi merisiers, poiriers sans oublier le saule. Vous traverserez un des seuls villages de Chéméré, le Breil, avant de rejoindre l’agglomération en passant par le Brandais.
En traversant la rue de Pornic, vous remarquerez le Moulin qui a été rénové, et qui a malheureusement perdu ses ailes en raison de leur mauvais état.


Le départ se fait du Village de Chéméré.
En voiture, de Nantes c’est un peut compliquer pour les ‘’étrangers’’ pardon les randonneurs des autres régions, mais c’est le ressenti d’un touriste devant contourner Nantes. Le GPS ne donnant pas toujours le meilleur itinéraire, sans embouteillages. Comme on peu, par le périphérique, rejoignons par la D723 puis la D 751 (direction Noirmoutier, attention la sortie n’est pas facile trop proche l’une de l’autre, nous devons prendre la seconde.) puis direction Pornic. Sortir à Chéméré, Vue. D 66 Chéméré, Arthon, au Rond point D 66 Chéméré, passer sous la voie rapide, après la petite zone industriel nous trouvons l’impasse de la gare on trouve des parkings ou un peu plus en centre ville la route fait patte d’oie prendre centre ville. Laissons un premier parking en bordure de la route et prendre la rue blanche sur la droite, (impasse avec une sculpture de cyclistes). Laissons les premiers parkings après les pavillons nous trouvons une aire de stationnement. Nous sommes au parc de chéméré. 

Km   temps     Arret      V/d     V/g     Dénivelé
  8      1h15      0h10       6,4      5,6        41 +


 Carte IGN                  Trace GPS et Topo sans Commentaires          Trace Randogps                  
 
  Le code mobile de cette randonnée est b323013

  Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
  
Chéméré
[La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du pays nantais. Elle est intégrée au canton de Machecoul depuis le décret du 25 février 2014, mis en application aux élections départementales de mars 2015, et de la communauté de communes Cœur Pays de Retz créée le 1er janvier 1995. La commune est traversée par un petit cours d'eau, La Blanche, qui se jette ensuite dans l'Acheneau, rivière qui relie le lac de Grand-Lieu à la Loire. Le nom de Chéméré est attesté en 1123 sous sa forme latine Camariacus. Chéméré possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit Cheméràè selon l'écriture ELG ou Chméraï selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce. En breton, elle a été dénommée au vingt et unième siècle Keverieg par l'Office de la Langue Bretonne, nom sans aucune valeur historique. Dans l'Antiquité, le pays de Chéméré faisait partie du territoire des Ambilâtres, peuple gaulois établi au sud de la Loire, cité par César comme allié des Vénètes pendant la Guerre des Gaules. Après la conquête, l'espace occupé par les Ambilâtres et les Anagnutes est rattaché à la province d’Aquitaine et ils font alors partie de la confédération pictonne, la civitas Pictavorum. Puis, à la suite de la réforme de Dioclétien, ils sont administrativement rattachés à l'Aquitaine seconde. Ils bénéficient des axes commerciaux protohistoriques de la route de l'étain et de la route du sel. L'emprise du « chemin saulnier » est d'ailleurs encore attestée de nos jours à Chéméré. En 851, avec le traité d'Angers, le pays de Retz fait partie des marches de Bretagne. C'est-à-dire que le territoire relève de la Bretagne, mais la population locale peut continuer à vivre dans ses us et coutumes et commercer avec ses voisins comme autrefois. La paroisse de Chéméré est créée en 1020 par Harscouët Ier, baron de Retz. L'histoire de Chéméré est intimement liée à un ancien site féodal, le château de Princé. Malheureusement, il n'en reste aujourd'hui que des ruines, peu représentatives, et qui ne se visitent pas.
Lors de l'arrivée massive des Vikings dans l'estuaire de la Loire, Bégon, qui possédait une motte féodale près de Bouguenais, partit s'installer sur le site de Princé. Le château n'était alors qu'une construction en bois, typique des fortifications de l'époque. Au XIVe siècle, une discorde politique éclata entre le duc de Bretagne (Jean IV) et la baronne de Rais : à la suite d'un mariage, le pays de Retz menaçait de redevenir poitevin. Le duc de Bretagne s'y opposa et fit arrêter la baronne. Sans enfant, celle-ci prit son parent Guy de Laval comme héritier, celui-ci n'étant autre que le père de Gilles de Rais. À cette époque, le château de Princé était un véritable château fortifié. À la Révolution, Chéméré connut des heures difficiles. Située dans la Vendée militaire, elle fut victime de représailles républicaines. Ainsi, l'ensemble du bourg, dont l'église, fut brûlé en 1794. La ligne de chemin de fer en provenance de Nantes est déclarée d'utilité publique, à titre d'intérêt local, par le décret du 
5 août 1872, et la ligne est mise en activité en 1875. Sainte-Pazanne devient un nœud pour les communications dans le Pays de Retz. Il s'agit d'une ligne à écartement standard et à voie unique non électrifiée. Mais, cinquante ans plus tard toute circulation est interrompue, pour les voyageurs en 1939 et pour le fret en 1998, parallèlement à la fermeture de l'usine Kuhlmann, pour des raisons de rentabilité ; la ligne n'est toujours pas déclassée. Extraie Wikipédia] Je rejoins la petite allée du parc d’une superficie de 30000 m² avec le balisage jaune, (laissons la branche se dirigeant vers le centre ville) passons un premier petit pont en bois, puis longeons la rivière Blanche. A notre droite de jolies plans d’eau, en ce début d’automne les couleurs sont magnifiques. Laissons les allées de droite faisant le tour du lac et poursuivons le balisage jaune sur la gauche, sortant du parc. [Le bassin d'Arthon-Chéméré est une dépression correspondant à un accident important du socle granitique du massif armoricain. On y trouve 
un gisement. La nappe phréatique d’Arthon – Cheméré (superficie estimée à 850 ha et englobant les deux bourgs) est très proche et affleure, notamment dans le parc. Elle n’est plus exploitée pour l’adduction d’eau potable en raison des teneurs en nitrates et des rejets diffus d’eaux usées. Cependant, elle alimente encore des puits domestiques et quelques forages d’irrigation. wikipédia] Longeons le parking et prenons sur la gauche l’impasse du parc de Loisirs. Coupons la rue du Béziau et prenons en face la route du Chauve (balisage jaune) dépassons une ferme, puis longeons la D 751 (c’est la partie la moins intéressante de ce parcours.) Prenons le premier chemin sur la gauche, (VTT pays de Retz, et circuit jaune du chêne) longeons un taillis puis nous sommes dans les champs avec des cultures maraîchères. Le chemin débouche sur un autre formant Té, nous prenons à gauche, le chemin contourne les champs de primeurs, puis des cultures céréalières. Nous franchissons la rivière Blanche par le chemin des Louées, nous faisons un esse par un chemin bordé de taillis et nous entrons de nouveau dans Chéméré, nous débouchons rue du Brigandin que nous prenons à gauche, nous arrivons au rond point, prenons à gauche sur une cinquantaine de mètres pour voir le moulin qui à malheureusement perdu ses ailes. Revenons au rond point, nous prenons sur la gauche la rue Brandais. Poursuivons dans cette longue rue jusqu’au hameau des Brandais se confondant pour un touriste comme moi avec le village de Chéméré. Nous arrivons à une patte d’oie avec une pelouse et un calvaire. Laissons ce hameau sur la droite lorsque la route tourne de ce coté à quatre vingt dix degrés, poursuivons par la gauche, la rue de la 
Pichauderie. De rue nous passons à chemin bordé de haies. Laissons un premier chemin sur la gauche (il peut servir de raccourcie) nous arrivons à une exploitation maraîchère et prenons le chemin sur la gauche, balisage jaune circuit de l’île enchanté, des chênes, le Breuil à un kilomètre. Laissons les chemins de droite et de gauche, nous arrivons à une fourche, prenons à gauche nous débouchons sur une route sans issu, menant sur la gauche au Pré Bricou, et sur la droite la direction du Breuil et retrouvons l’information sur le chemin des Templiers. Prenons à gauche, le balisage jaune (mais ils sont tous jaune… du circuit des chênes), longeons les deux maisons toutes en longueur du Pré Bricou, puis nous sommes de nouveau sur un chemin bordé de haies. Nous débouchons à la limite (en 2019 ici les quartiers poussent comme des champignons) de Chaume en Retz au carrefour avec les rues de la Treuille et du Breuil prenons cette dernière à droite sur une vingtaine de mètres puis à gauche à l’angle des bacs de déchetterie et du poste électrique. Suivons le chemin dans les champs bordés d’arbres. N’ayant pas énormément de temps devant moi, je quitte le balisage jaune en prenant un chemin un peu herbeux et légèrement ronceux sur la gauche permettant de couper la pointe du circuit jaune. (En poursuivant le balisage jaune nous passons un ru, débouchons sur un chemin formant Té, prendre la branche de gauche balisage jaune.) Après un passage peu facile nous retrouvons le beau chemin de la colinerie que nous prenons à gauche, nous avons retrouvé notre 
itinéraire et le circuit des chênes. Notre chemin débouche rue du Breuil que nous prenons à droite. Nous arrivons rapidement devant une fourche, nous prenons à droite la rue du Coudreau, nous débouchons rue de saint Hilaire (D61) que nous prenons à gauche. Nous voilà face à l’église [L'église Saint-Jean-Baptiste, détruite pendant la Révolution en 1794, fut reconstruite entre 1875 et 1879, et est l'œuvre de l'architecte Henry Gelec. Le clocher, lui, sera construit en 1894. Les cloches y faisant office se nomment Fernande Adeline, Marie-Rose et Jeanne-Marie. Plusieurs objets de l'église sont classés aux monuments historiques au titre objetUne nouvelle église fut construite en 1805 à l'angle de la rue du Béziau et de la rue de Pornic, au milieu du cimetière. Elle sera rasée en 1877 et remplacée par l'église Saint-Jean Baptiste actuelle.] Prenons à droite la rue de Nantes et tout de suite à gauche l’allée du Théâtre, longeons le théâtre Victor Lemoine. Nous suivons l’allée faisant un esse, laissons la première allée sur la droite prenons la seconde, nous débouchons rue de la Blanche. Vous êtes peut être garé par ici. Si vous êtes garés impasse du lavoir prendre le chemin de gauche, longeons une école à moins que se soit un foyer de personnes âgés. Se diriger vers le petit pont au dessus de la rivière la Blanche, après le pont prendre à droite, longer la rivière, l’aire de jeu pour enfant et de skateboard et vous retrouver le parking de l’impasse du Lavoir.
 



Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; 
https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page.html

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire