samedi 2 janvier 2021

Randonnée Le Plus Loin Possible GR 223 Etape 2018 Deauville - Dive

Deauville - Dives

Vendredi 31 juillet 2020                                                                                 

                                                                                                                               
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km      temps   arrêt    vd     vg      dénivelé      Index d’effort
25,2     5:30     1:00    4,6   3,9         414+         74pd-N1

Je me suis dit qu’il fallait tout de même traverser ce village qui m’a hébergé pour un soir. Du rond point je traverse la zone commerciale et rejoins la rue Guillaume le Conquérant que je prends sur la gauche, je débouche avenue Aristide Briand que je prend à droite et traverse la Touques [Le nom de la localité est attesté sous la forme Touqua vers 1350. Selon Charles Rostaing, ce toponyme, lié au fleuve côtier qui traverse le territoire, serait d'origine pré-latine, tosca (taillis au milieu de défrichements) et signifierait « réserve de bois entre défrichements ». S'il ne cite pas Touques, René Lepelley évoque pour un toponyme apparenté, Touquettes, l'ancien français toche, « petit morceau de forêt non défriché ». Sa situation privilégiée, sur l'estuaire de la Touques, lui a permis aussi loin que l'on puisse remonter dans le temps de confirmer la prédominance de ce qui fut son 
caractère politique, maritime et économique jusqu'au début du XIXe siècle où le 
développement de  Trouville puis Deauville amena à la construction d'une ligne 
de chemin de fer qui détourna le cours de la Touques devenue de moins en moins praticable pour les gabarres de par son ensablement. En 1096, Guillaume II le Roux s'y embarque pour aller se faire sacrer roi d'Angleterre. Guillaume le Conquérant, devenu roi d'Angleterre, y débarque pour venir inspecter son duché normand. Le 1er août 1417, Henri V d'Angleterre, y débarque pour reprendre le château de Bonneville situé sur la commune voisine de Bonneville-sur-Touques. Un des grands talmudistes du Moyen Âge, Eliezer de Touques, vécut à Touques dans la seconde moitié du XIIIe siècle (il est entré dans les archives juives sous cette appellation, ce qui semble indiquer que le nom «Touques» était déjà en usage). Le 28 juin 1788, une importante inondation affecte le bourg. Sous l'Ancien Régime, Touques est formée de deux paroisses, Saint-Pierre (300 habitants), qui dépend du bailliage de Honfleur, et Saint-Thomas (700 habitants), qui dépend du bailliage d'Auge. Le ruisseau des Ouïes les sépare. Touques devient chef-lieu de canton en 1790, lequel comprend les communes de  Saint-Arnoult, Benerville, Cricquebœuf, Daubeuf, DeauvilleEnglesqueville, Hennequeville, Tourgéville, Trouville, Vauville et Villerville. Elle perd ce titre en 1878. En 1827, elle absorbe Daubeuf (84 habitants en 1821), au nord-est de son territoire. En 1838, le steamer Le Gaulois débarque à Touques un chargement de briques et ramène quelques passagers à Trouville-sur-Mer. La compagnie Rilloise annonce son intention de créer une ligne régulière avec Le Havre. Le projet ne verra pas le jour. Touques connaît un regain de dynamisme depuis les  années 1970, sous la mandature de Charles Roffé, avec la construction de nombreux lotissements à caractère social, aménagement d'une importante zone commerciale et d'aménagements sportifs. Wikipédia] la ville dispose encore de belles maisons à pans de bois nous arrivons sur la D 62 route d’Honfleur que nous prenons à gauche pour nous rendre sur le parvis de   Église Saint-Thomas [(XIIe siècle), inscrite au titre des Monuments historiques en 1926, est la seule église ouverte au culte : nef romane, chœur flamboyant, portail Louis XIII. Si l'imposante tour clocher date du XIe La construction aurait reçu la visite de Thomas Becket. Une sculpture du XVIIIe siècle, Saint Joseph et l'Enfant Jésus, est classée à titre d'objet wikipédia] Revenons sur nos pas et descendons la D 62 nous traversons le centre ville bordé de maisons à pans de bois, nous changeons de nom de rue poursuivons par la rue Louvel et Brière, sur la place de la mairie une halle en bois agrandie en 2017 mais on a sut lui donner un air ancien, nous passons devant Église Saint-Pierre [des (XIe siècle), classée en totalité au titre des Monuments historiques dès 1840 : considérée comme la plus belle église romane du pays d'Auge, elle est mentionnée en 1026 dans un acte de Richard II. Désaffectée depuis la Révolution, l'église présente une nef romane réduite à deux travées au XVIIe siècle parfaitement significative de l'école romane de l'aurore du XIe siècle, une tour lanterne octogonale surmontant la croisée du transept et un chœur à chevet plat, flanqué de deux absidioles. Elle conserve des chapiteaux aux décors sculptés d'inspirations mystérieuses symboliques qui en font sa curiosité. Wikipédia] Nous arrivons au haras de Méautry longeons le mur de la propriété et prenons sur la droite la D 27 b la rue saint Andreasberg en direction de Caen, Cabourg, Deauville, nous retrouvons notre zone industrielle traversons la Touques [La  Touques est un fleuve côtier de Normandie qui naît aux confins du pays d'Ouche, du pays d'Auge, du Perche et de la campagne d'Alençon, près de Champ-Haut (Orne). Elle baigne principalement la ville de Lisieux et se jette dans la Manche entre Deauville et Trouville-sur-Mer (Calvados). Son nom ancien, Algia, reste présent dans le pays d'Auge, pays normand que la Touques traverse. Dès sa source, la Touques coule droit au nord jusqu'à Pont-l'Évêque. Sa vallée, bien marquée, tranche le plateau crétacé d'argile à silex du pays d'Auge. Un peu avant Pont-l'Évêque, le cours du fleuve s'oriente au nord-ouest et débouche sur la mer par un estuaire ensablé, après un parcours de 108,4 km, à travers le pays d'Auge. Wikipédia] poursuivons 
par l’avenue Ox and Buckx [Le pont touquais Ox and Bucks rend hommage à un régiment anglais. L’historien Bruno Rivals raconte la passionnante histoire de ce pont pas comme les autres. Parce qu’il honore un régiment anglais qui, avant d’arriver à Touques en juillet, avait connu son heure de gloire au pont de Bénouville dénommé Pégasus Bridge, dans le cadre d’une opération aéroportée. Fait d’armes rapporté dans le film Le Jour le plus long. Six planeurs, dont un est au musée du Pont de Bénouville, avaient décollé d’Angleterre avec 180 hommes du 2e Bataillon Ox and Bucks, commandés par le Major Howard. Ils réussirent leur entreprise très risquée en prenant et en conservant le pont sur l’Orne à 0 h 45, le matin du 6 juin 1944. Ils prévinrent leur État-major en envoyant « Ham and Jam » c’est-à-dire, jambon et confiture. Code qui signifiait « réussite ». Crée en 1881, son nom signifiait : Oxfordshire and Buckinghamshire Light Infantery. Il s’illustra dans des opérations coloniales, notamment dans la guerre des Boer, en Afrique du Sud, puis dès la Première guerre mondiale, lors de la première bataille d’Ypres (1914) et celle de la Somme (1916) puis jusqu’à la fin du conflit (1918). Il perdit 5 878 hommes et officiers, entre 1914 et 1918, en de nombreux théâtres d’opérations. En 1959 il a été rebaptisé 1 st Green Jackets, puis Royal Green Jackets, en 1966, pour finalement s’appeler comme d’autres régiments The Rifles. Ce sont eux qui ont libéré Touques ? Le pont de Touques avait sauté, comme tous les autres, dans la nuit du 21 au 22 août 1944 et les Allemands avaient fui le secteur, mais les alliés ne le savaient pas. Les premiers arrivants, les Belges de la brigade Piron (flanqués à leur droite des Anglais) avaient alors eu un tué, le jeune soldat Marcel Fourner, et s’étaient retirés quelque peu. Le matin du 24 août 1944, les soldats anglais, cachés à Saint-Arnoult, qui avaient progressé par Le Côteau, sortirent alors et commencèrent à essayer de traverser la Touques pour aller vers Honfleur, aidés par la Résistance, dont le Dr Voulland. Ils utiliseront un radeau de fortune et seront pris en charge par le camion des pompiers de Touques et un autre camion de l’entreprise Aubert, côté Touques centre. De ce fait, ils ont aussi participé à la libération d’Honfleur le 25 juin 1944, avec les Belges et les Canadiens. https://www.ouest-france.fr/d-day/75e-anniversaire-du-debarquement-la-passionnante-histoire-du-pont-ox-and-bucks-touques-6348126] Nous entrons dans Saint Arnoult et longeons le Pôle International du Cheval, passons la ligne SNCF à voie unique , au rond point nous poursuivons tout droit vers Benerville et la chapelle du XI eme siècle. Nous commençons à grimper le Mont Canisy par la rue de la Mare à Touques, dans la monté nous trouvons de belles propriétés et découvrons en se retournant une vallée qui n’est pas détruite par les constructions. Prenons sur la droite la rue de la chapelle, au trois quart de la pente nous trouvons les restes 
de la chapelle [Le prieuré de Saint-Arnoult, aussi dénommé prieuré de Saint-Arnoul-sur-Touque, est un ancien prieuré d'un ancien monastère. L'édifice est complexe car il comprend à la fois une chapelle priorale et une église paroissiale ruinée. Les études récentes réalisées au début des années 2010 font de cet « édifice religieux parmi les plus anciens, sinon le plus ancien, (...) du département » du Calvados. L'édifice est double et comprend à la fois une église paroissiale et une chapelle priorale. L'église paroissiale date au moins du Xe. Le prieuré, dépendant de l'abbaye Notre-Dame de Longpont, est attesté par un document du cartulaire de cette abbaye daté 1152. Il est fondé en 1061 par l'ordre de Cluny. Les 
moines clunisiens quittent le lieu au XIIIe siècle. Le prieuré est construit et aménagé en plusieurs étapes au XIe, XIIIe, XVe et XVIIe siècle. La tour du clocher existe dès le Xe siècle mais est surélevée aux XIIe - XIIIe et des travaux ont également lieu aux XVIIe - XVIIIe siècle. Aux XIVe - XVe, une chapelle funéraire est édifiée sur le côté nord. Au XVe, la nef est élargie. Une ouverture avec porche est créée sur la face ouest aux XVIIe - XVIIIe
L'édifice est considéré comme dégradé dès le premier quart du XVIIIe siècle et en ruines un siècle plus tard. Jean-Charles Langlois acquiert les vestiges en 1843. L'église paroissiale était encore en état en 1763. L'ensemble est vendu comme bien national pendant la Révolution française. La paroisse de Saint-Arnoult est rattachée à Tourgéville. La mise en place d'un accès à la chapelle et de remblais 
au XIXe complique la lecture de la crypte car masquant une des ouvertures de cette partie de l'édifice. La crypte sert d'ossuaire à une époque non indiquée mais encore signalée à cet usage par Arcisse de Caumont au XIXe. La commune sollicite le classement de l'édifice dès 1913. Une étude est réalisée par Victor Hunger, membre de la Société des antiquaires de Normandie, en 1923. L'édifice est classé au titre des monuments historiques le 4 août 1970. Le projet de réhabilitation en cours au début du XXIe siècle depuis une vingtaine d'années, dont le but est de 
promouvoir le tourisme local et d'accueillir des manifestations culturelles, fait l'objet de discussions. La municipalité commence une réflexion sur la sauvegarde du lieu au début des années 2000 et une association de sauvegarde est créée en 2006, « Les Amis du Prieuré de Saint Arnoul sur Touque ». Un projet immobilier de transformation de l'ancien prieuré, ancien presbytère, jouxtant la partie classée, émeut les membres de l'association : il s'agissait de créer des immeubles dans la partie inférieure de la parcelle. Ce projet annulé, un nouveau projet de transformation en appartements de l'édifice émerge en 2008. Wikipédia] Nous avons une belle vue sur la vallée. Remontons derrière le banc, entre une route donnant accès d’après la carte à des maisons mais elles sont si loin que je ne l’es ai pas vu et un porche en 
bois nous trouvons un sentier grimpant dans un bois (je ne pense pas que c’était le chemin que j’avais prévu, mais comme la rue est encadrée de deux poteaux, j’ai supposé que c’était privé) comme j’ai trouvé un sentier grimpant dans le bois j’ai pris celui-ci. Je débouche avenue de Lassay que je prends à gauche la rue est bordée de très belles maisons et leur jardin donne sur le golf, golf que nous longeons un peu avant l’intersection avec la rue de la Mare à Touques que nous prenons à droite poursuivons de grimper au sommet nous avons une vue sur le golf [Le Golf Barrière de Deauville, originellement New Golf Club, est un club de 
golf français créé en 1929 à l'initiative de François André sur la commune de Saint-Arnoult (Calvados), à proximité immédiate de Deauville. Il comprend un parcours de 18 trous et un parcours de 9 trous. Le New Golf Club fut inauguré en 1929 sur un terrain situé sur les hauteurs de Deauville, où le marquis de Lassay avait fait construire un château pour mademoiselle de Montpensier au XVIIe siècle et qui fut utilisé comme camp par les troupes britanniques pendant la Première Guerre mondiale. Il s'agit du second golf de Deauville, faisant suite à l'inauguration de l’Old Course de 27 trous en 
Aujourd'hui vue du blockhaus
1899, leurs noms respectifs faisant référence aux deux premiers parcours de St Andrews. Attenant à l'hippodrome de Deauville-Clairefontaine, l'Old Course disparut pendant la Seconde guerre mondiale, détruit par les troupes allemandes qui cherchaient à récupérer le sable sur lequel il était construit pour la construction des batteries du mont Canisy. Le dessin originel du New Golf Club fut confié à l'architecte britannique Tom Simpson, qui avait déjà réalisé d'autres parcours prestigieux en France comme ceux de Chantilly (1909), Fontainebleau (1909), Morfontaine (1913) et de Chiberta (1925). Le tracé comprenait deux parcours, respectivement de 18 trous et de 9 
trous. Ce dernier sera transformé en parcours hippique après la Seconde Guerre mondiale avant d'être réhabilité en 1964 sur un dessin de l'ancien champion de golf britannique Henry Cotton. Une ruine du château construit par le marquis de Lassay est encore visible entre les départs des trous 13 et 16 sur le Diane Barrière. Le départ du 17 et le fairway du 18 offrent un beau 
panorama sur Trouville et la baie de Seine. Le club house du golf Barrière de Deauville est logé dans le rez-de-chaussée de l'Hôtel du golf, un palace de 170 chambres conçu dans un style néo-normand pour le compte de la 
Société des Hôtels et du Casino de Deauville (SHCD) par Georges Wybo, également auteur du casino, mais aussi, à Paris, de l'hôtel George-V et des grands magasins du printemps. Troisième palace de Deauville après le Normandy (1912) et le Royal (1913), il est situé au milieu des parcours et inauguré en juillet 1929. La gestion de l'hôtel quatre étoiles est aujourd'hui assurée par le Groupe Lucien Barrière, qui conduit des travaux de rénovation en 2013-2014 et 2015-2016, sous la houlette de la décoratrice d'intérieur Chantal Peyrat. Wikipédia] Longue route assez roulante, bordée de beaux arbres coté golf . Puis nous longeons des prairies, nous dépassons un château d’eau et un 
abris bus et longeons quelques belles maisons, ainsi que le manoir du golf, laissons sur la gauche la rue (chemin de la croix solier) en direction de Tourgéville. Poursuivons tout droit, en direction de Tourgeville plage et Bénerville ainsi que les Batteries du Mont Canisy. Nous trouvons la variante du GR 26 [Mantes la Jolie, Evreux, Bernay, Lisieux, Deauville]. Nous arrivons à un carrefour avec un îlot central en forme de triangle nous prenons à gauche la direction de Bénerville nous sommes sur le GR. Juste avant un virage entre deux haies et une belle maison à pans de bois et au toit d’ardoise le GR prend le chemin sur la gauche, nous passons à 
l’arrière des maisons par le chemin des Rollets, nous retrouvons notre route des Touques que nous poursuivons sur la gauche. Nous arrivons à un nouveau carrefour  d’un coté nous avons un beau porche protégé par toit monumentale c’est le manoir de Benerville, il ne faut pas se tromper le GR se divise en deux celui de droite partant dans la voie sans issus c’est le GR 26, nous prenons celui de Gauche le 223 et pays d’auge, longeons le centre de formation professionnel LE MANOIR DES CAILLOUETS [Situé sur le flanc du Mont Canisy, le superbe manoir anglo-normand «Les Caillouets» fut construit en 1906 pour la famille Renault. Il fut cédé à un richissime Américain, Thomas Francis Gurry et à son épouse Simone Delaty. Simone Delaty lorsqu’elle connu son mari 
était une jeune fille, sans famille et sans ressource, une «fille de l’assistance publique» comme on disait à l’époque. Après la seconde guerre mondiale lorsque Thomas Francis Gurry décida de retourner vivre aux Etats-Unis son épouse Simone lui demanda et obtint que le couple fît don du manoir au Département de la Seine pour qu’il devienne une école ménagère destinée aux jeunes 
filles en difficulté. C’est depuis et dans discontinuité sa vocation. Appartenant désormais à la ville de PARIS qui en assure le financement, le manoir des Caillouets accueille 60 jeunes filles de 14 à 18 ans «en difficulté». Les pensionnaires sont formées aux métiers de l’hotêlerie, en partenariat avec le Lycée Saint-Joseph de Deauville, et à ceux de la prise en charge de la petite enfance. Sous la direction ferme et souriante de Léon Forys, ce sont 7 professeurs, en règle détachés de l’éducation nationale, et 23 éducateurs spécialisés qui assurent la formation des pensionnaires des Caillouets. La durée de séjour moyenne des élèves des Caillouets est de 2 à 3 ans. Les places sont réservées, selon les vœux des donateurs, en priorité aux jeunes Parisiennes, mais l'établissement accueille lorsque des places sont disponibles, des pensionnaires venant de toute la France. http://benerville.reseaudescommunes.fr/fr/actualite/12983/le-manoir-caillouets] Les bâtiments et l’espace mon intriqué pour un centre de formation avec ses explications je comprends mieux. Dirigeons nous vers les 
Batteries du Mont Canisy, par le GR 223. La rue descend nous trouvons un petit parking et dans le renfoncement de la foret quatre marche et un poteau d’information sur l’espace du mont Canisy. Laissons le chemin de la fontaine Marie barré de pierres et empruntons les escaliers et suivons le petit sentier serpentant sur le mont et visitons les vestiges du mur de l’atlantique [Situé sur les hauteurs de Deauville, à Bénerville-sur-mer, le Mont-Canisy offre un panorama exceptionnel, dominant la Côte Fleurie à 110 mètres de hauteur. Le premier seigneur du lieu, Hubert de Mont-Canisy, compagnon de Guillaume le Conquérant, possédait un fief qui s'étendait sur les communes de Bénerville, Deauville, Saint-Arnoult et Tourgeville. Plus de 7 siècles plus tard, le Comte de Lauraguais voyait, à la faveur de la révolution, ses terres confisquées devenir "biens communaux". Son domaine, le Château 
de Lassay (situé à l'emplacement de l'actuel Hôtel du Golf) sera vendu puis détruit. En 1793, les Bénervillais obtenaient le découpage de la partie située sur leur commune en 115 parcelles distribuées gratuitement, par ordre alphabétique dit-on. En 1935, l'Etat nationalisait au profit de la Marine nationale la partie nord, face à la mer, pour y construire une base d'artillerie qui ne fut, 
d'ailleurs, jamais opérationnelle.
En 1940, l'armée allemande occupait le Mont Canisy, site exceptionnel, culminant à 110 m, dominant la mer, avec une 

magnifique vue du Havre à Arromanche. Les allemands n'ont pas cessé, de 1940 à 1944, de fortifier le Mont Canisy afin d'y établir une des plus puissantes batteries de la côte, un des éléments du "mur de l'Atlantique". Le 6 juin 1944 les 4 énormes canons de 155 tiraient sur les navires alliés qui approchaient des plages du débarquement. Réduits, très vite, au silence par les armées alliées, les allemands ont renoncé au combat pour abandonner les lieux le 22 août 1944... http://www.benerville.fr/fr/actualite/12943/le-mont-canisy
Trou peut être de bombe
Pendant des siècles domaine seigneurial, le Mont-Canisy est aujourd’hui un site naturel protégé par le Conservatoire du littoral et géré par le Conseil départemental, qui veille sur sa flore et sa faune, mais aussi un lieu chargé d’Histoire. Le site abrite plus de 200 espèces de plantes, dont une majorité plutôt méditerranéennes ou de montagne (genévrier, genêt de teinturiers…), et plusieurs espèces protégées au niveau régional (gentiane d’Allemagne, dompte-venin, raiponce délicate). Royaume des orchidées, 13 espèces s’y épanouissent également d’avril à juillet. Parmi sa faune, résident trois espèces d’oiseaux protégées régionalement (rossignol philomèle, locustelle tachetée, 
hypolais polyglotte), plusieurs familles de papillons et une couleuvre (coronelle lisse) protégée nationalement. Avec ses ouvrages militaires et grottes naturelles, le site favorise aussi la présence de chauves-souris.
Sa position stratégique, sur une colline face à la baie de Seine, lui valut à plusieurs reprises d'être transformé en position d'artillerie côtière : tour à tour fief seigneurial morcelé en 1793, poste de défense anti-sous-marins en 1917-1918, batterie côtière de 1935 à 1940, puis point d'appui d'artillerie le plus important du "Mur de l'Atlantique" entre Cherbourg et Le Havre de 1941 à 1944. De cette 
dernière époque subsistent des casemates et encuvements pour canons de 155 mm, bunkers, tobrouks, poste de direction de tir... et un ouvrage souterrain à 15 m, unique sur plus de 150 km de côtes, comprenant 250 m de tunnels, 25 alvéoles de casernement, 25 soutes à munitions... https://www.indeauville.fr/le-mont-canisy] Nous arrivons au premières batteries 
avec une vue sur l’estuaire. Poursuivons le sentier et le balisage, nous arrivons à une seconde série de batterie, avant de l’atteindre je remarque des trous les uns à coté des autres, et je suppose que se sont des trous des bombes allier essayant de détruire ses fortification (comme dans certain village détruit ou site des tranchées du coté de Verdun. C’est très impressionnant. Les casemates détruits permet de voir l’épaisseur du béton 
et des ferrailles devant protéger les canons. Une chose ma surprise l’intérieur est propre et sans odeurs [Le site des anciennes batteries d'artillerie côtière du Mont Canisy :
un lieu chargé d'histoires …
S'étendant sur les communes de Bénerville, Tourgéville, Deauville et St-Arnoult, le Mont Canisy sera, des siècles durant, un fief seigneurial. La Révolution Française provoquera, en 1793, le morcellement du domaine. Hubert de Mont Canisy, compagnon de Guillaume le Conquérant, reste ,  le plus ancien seigneur connu, le comte de Lauraguais en sera le dernier: ses terres lui seront confisquées et son château sera démonté … Le "Grand Mont", la partie la plus à l'ouest de la colline, dominant la mer et le Pays d'Auge de ses 110 mètres, sera alors l'objet de destinées diverses :  il sera d'abord partagé en parcelles, sous la Révolution, entre les Bénervillais; puis, inapte à la culture, il deviendra progressivement le domaine des chèvres et des moutons. Des carrières seront ensuite ouvertes: la pierre servira à la construction de villas de la future "Côte fleurie",  le caillou au remblaiement des chaussées … les militaires, 
enfin, exploiteront la position stratégique du site, précédés en cela, sous Louis XV, par Monsieur de Choiseul, Ministre de la Marine, qui, pour protéger les navires marchands empruntant le cours de la Touques et qui étaient régulièrement rançonnés par les pillards anglais, avait fait installer une batterie de couleuvrines sur le Mont. Puis, ce sera la Marine Nationale, pour protéger le filet de barrage du port du Havre et de la baie de Seine, avec deux batteries de  deux pièces, de 1916 à 1918.  Puis, deux autres batteries, à l'approche du second conflit mondial: la première sur le Mont, de quatre pièces de 138 mm, opérationnelle à la fin 
de 1938, et la seconde , de trois canons de 75 mm, en bordure de mer, 
implantée en janvier 1940. Ces deux batteries auront le même objectif: la protection de l'estuaire de Seine et du port du Havre, elles abandonneront les lieux le 14 juin 1940. L'armée allemande d'occupation fortifia ensuite le Mont, dans le cadre du "Mur de l'Atlantique". On dénombre aujourd'hui pas moins d'une centaine d'ouvrages de tous types, dont six encuvements et trois casemates pour canons à longue portée, ouvrages qui seront répartis sur les vingt-cinq hectares du site, faisant du Mont Canisy le point d'appui le plus fortifié entre Le Havre et Cherbourg. De tous ces blocs de béton, envahis par les ronces et défiant le temps, la galerie souterraine reste l'élément le plus impressionnant, avec deux cent cinquante mètres de tunnels bétonnés, une cinquantaine d'alvéoles et six escaliers plongeant dans les entrailles  du Mont à 13 mètres sous terre. Subissant les bombardements alliés dès le début de 1944 et trop éloignée des plages de débarquement pour la portée de ses canons, la forteresse ne jouera qu'un rôle secondaire le 6 juin, face aux navires alliés mieux armés  et aux escadrilles de bombardement omniprésentes. "Tiraillant" encore dans les jours qui suivirent, la garnison abandonnera les lieux sans combattre, dans la nuit du 21 au 22 août 1944. Le site sera ensuite "victime" des exactions les plus diverses: récupération de tous les matériaux, ferraillage (tous les ouvrages seront délestés de tous les éléments 
métalliques), squatters, saccage de la végétation, chasse, moto-cross, feux de camp … Divers projets immobiliers resteront heureusement sans suites. Des milliers de tonnes de béton, dont on ne fait pas facilement "table rase", sauvegarderont finalement les lieux qui deviendront progressivement la propriété du Conservatoire du Littoral et un site naturel protégé … ce qu'il n'aurait jamais dû cesser d'être ! 
L'Association des Amis du Mont Canisy, liée au Conservatoire du Littoral par une convention, s'est fixée comme objectif la remise en valeur du site des anciennes batteries. S'y employant bénévolement depuis maintenant douze années, elle s'est attaché à dégager quelques ouvrages caractéristiques d'une architecture militaire malgré tout historique et à maintenir ces lieux en état de propreté: c'est ce que semble apprécier un nombre de plus en plus important de promeneurs et de visiteurs qui ont découvert ou retrouvé … les chemins de la Grande Butte ! https://www.mont-canisy.org/site_historique_des_batteries_028.htm] Je poursuis ma
descente du mont et débouche sur le bitume du chemin des Enclos. Je quitte le GR partant à gauche pour descendre la rue par la droite, à la fourche je poursuis à gauche par la rue de Lassay. Nous laissons plusieurs rues à droite et à gauche et arrivons à une fourche nous permettant de voir la mer et les falaises de la vache noir, prenons à gauche la rue de la Croix Robin (rue avec un sens interdit) poursuivons notre descente longeons une école, coupons la D 118 A (nous sommes à Blonville), nous arrivons à une intersection avec un rond point, prenons sur la gauche la rue
Marcelle Haricot sur quelques mètres et tout de suite à droite la rue des Ténnis. Longeons le parc de jeux, puis les tennis puis un centre équestre et nous entrons dans le Marais de Blonville. Je ne sais pas pourquoi je voulais traverser ce marais et je trouvais que le GR ne faisait que de l’éfleurer. Malheureusement je n’ai pas trouvé dans sa totalité le circuit balisé au moment ou ma trace remontait vers le GR par le sentier balisé une barrière basse m’empêchait de prendre l’allée herbeuse, n’ayant pas vu de balisage j’ai suivis le chemin stabilisé et suis sortie au
hameauGoblin. [le marais de 110 hectares se compose de prairies humides, de canaux et de fossés est d’une grande richesse écologique. Malgré sa proximité avec la mer, il s’agit d’un marais d’eau douce alimenté par les eaux de ruissellement de quatre bassins versants naturels situés sur les coteaux qui le bordent. Le marais est un espace aménagé par l’homme. Avant le Moyen-Age, ce lieu était une vaste roselière d’eau douce protégée de la mer par un cordon de dunes. Puis les hommes ont creusé des canaux pour drainer les terres. Les parcelles ainsi délimitées ont servi au maraîchage, à la culture de céréales et surtout à la pâture. Cette occupation humaine a créé un milieu d’une belle richesse écologique. Aujourd’hui, cet espace est classé comme Zone Naturelle d’Intérêt Faunistique et Floristique.
Espace naturel sensible, protégé en partie (une quarantaine d'hectares) par le Conservatoire du littoral, le marais possède une faune et une flore diversifiées. Dans ses prairies poussent des plantes hygrophiles (supportant des inondations prolongées), telles que des phragmites, joncs et carex. Ce milieu fournit abri, 

nourriture et "aire de repos" à plus de 150  espèces d’oiseaux, résidents permanents ou de passage vers leur lieu de reproduction (au printemps) ou d’hivernage (en automne). Plutôt le matin ou en fin de journée, il est possible de les observer et/ou de les entendre. La cime des peupliers a été spécialement aménagée pour permettre aux cigognes de s'installer et de nicher. On y observe également des espèces nationalement protégées d’amphibiens et de reptiles. 
Les 3 fonctions d’une zone humide
- hydrologique > Les zones humides contribuent à l’amélioration de la qualité de l’eau : elles ont un 

pouvoir épurateur, jouant le rôle de filtre physique (elles favorisent les dépôts de sédiments y compris le piégeage d’éléments toxiques tels que les métaux lourds, les matières en suspension...) et biologique. Elles régulent aussi les régimes hydrologiques : comme des éponges, elles "absorbent" momentanément l’excès d’eau de pluie pour le restituer progressivement, lors de périodes de sécheresse, dans le milieu naturel (fleuves et rivières situés en aval). Elles diminuent ainsi l’intensité des crues et soutiennent les débits des cours d’eau en période de basses eaux.
- biologique > Les zones humides constituent un fabuleux réservoir de biodiversité, offrant aux espèces animales et végétales les fonctions essentielles à la vie des organismes : l’alimentation (concentration d’éléments nutritifs) ; la reproduction grâce aux ressources alimentaires variées et à la diversité des habitats ; la fonction de refuge et de repos notamment pour les poissons et les oiseaux.
- climatique > Les zones humides participent à la régulation des microclimats : les précipitations et la température atmosphérique 

peuvent être influencées localement par les phénomènes d’évaporation intense d’eau au travers des terrains et de la végétation qui caractérisent les zones humides. https://www.indeauville.fr/le-marais-de-blonville-villers] Du bas nous avons une belle vue sur le mont et avec se marais à sont pied il n’a pas dut être facile à prendre. Le chemin contourne un camping se rapproche de la mer nous passons plusieurs ponts, le chemin serpente et sort au niveau d’un parking sur la commune de Villers. Dirigeons nous vers le paléospace puis le dinosaure [Situées entre Villers et Houlgate, les Falaises des Vaches Noires constituent un gisement paléontologique de grande renommée scientifique. Parmi de nombreuses découvertes, on y a mis à jour les fossiles d’un 
pliosaures de 10 mètres de long, d’un ichthyosaure, un  « crocodiles » marins,  mais aussi des ammonites, des oursins et des éponges. https://mairie.villers.fr/tourisme/index/39/Le_Dinosaure_embleme_de_la_station]. Pour rejoindre l’avenue Jean Moulin sur la gauche, dépassons l’étang, nous arrivons dans le virage de la rue nous retrouvons le GR 223 en provenance du Marais, traversons la rue et poursuivons le GR après avoir traversé une passerelle le petit sentier en bordure du ruisseau de Saint Vaast, étonnant le chemin ne porte pas le nom du ruisseau 
mais de Montel. D’un coté nous avons des habitations de l’autre une prairie. Nous coupons une allée et toujours en suivant le ruisseau nous traversons une zone pavillonnaire. Traversons le ruisseau et après quelques virages nous débouchons avenue de la Brigade Piron. Poursuivons le GR en prenant l’avenue sur la droite et au niveau de la gendarmerie nous prenons à gauche l’avenue Georges Clémenceau, nous sortons de la ville et entamons un grand virage autour d’une prairie. Après un virage à angle à quatre vingt dix degrés à gauche nous arrivons au 
carrefour du Bois Lurette, carrefour à mi chemin entre prairie et zone pavillonnaire. Nous y trouvons le GR 26 (d’après la carte des GR il s’arrêtait à Deauville.) d’après le panneau c’est la fin du GR 26 de Paris à la Côte Fleurie. Je quitte le GR et prend sur une dizaine de mètres la rue Pasteur sur la droite puis à gauche le vieux chemin de Saint Vaast. Coupons le pas au Rouge, laissons à ce même carrefour sur la droite la rue Boulard, nous débouchons rue de l’étang que nous prenons à gauche, nous débouchons rue du Général de Gaulle que nous prenons à droite et nous retrouvons le GR 223 descendons jusqu’à 
l’église, faisons le tour de ce beau monument [Construite dans la deuxième moitié du XIXe siècle, l'église est de style néo-gothique et est dotée de nombreux vitraux. Les stalles du chœur comportent de remarquables miséricordes ornées de bouquets de fruits, dragons, visages d'enfants avec ailes de chauves-souris et visages d'homme vert. Wikipédia]. Remontons un peu la D 513 (rue de l’église) en direction de Caen, Lisieux, Cabourg, sur une centaine de mètres et devant un batiment moderne ressemblant à un cube nous prenons sur la droite le passage des Muttes. Coupons le rue des Muttes
faisons un esse gauche-droite et prenons la rue Convers dans un virage la rue se poursuit sur la gauche (sur la droite la rue change de nom.) je n’ai pas vue la trace qui prenait à gauche une allée parallèle à la route. (Je pensais que cette allée sans issu ne menait qu’à des maisons, mais il y avait le petit chemin D’Auberville permettait d’éviter la route. Je poursuis la grimpette de la rue Convers, puis prend la petite rue sans issu sur la droite, nous débouchons à l’angle de la rue du Ravin et Denise Clairon je retrouve le GR 223 et suis ce dernier par une petite rue sur la
gauche mal bitumée. Nous débouchons sur un grand rond point et prenons le chemin du manoir sur la droite (rue en sens interdit) Je pensais pouvoir m’avancer en bordure des falaises, mais mon ignorance du lieu à fait que je n’ai rien trouvé, et je n’ai pas vu d’information m’indiquent un point de vu ou un site remarquable. Pourtant, sur la carte google map on trouve des sites elles semblent être dans les jardins des propriétés. Je pense qu’il est beaucoup plus intéressant de passer par la mer MAIS ATTENTION qu’a MAREE DESCENDANTE elle font 5 km de long. A Villers j’ai rencontré un randonneur du pays il m’a bien prévenu qu’a marée descendante. Mon itinéraire passait par le haut, mais cela n’a aucun intérêt. A dire vrai j’ai trouvé cela moche, mais le GR ne pouvait pas être tracé par le pied de la falaise, on aurait put que deux fois
par jour, ou de nuit suivant la marée descendante. Suivons le chemin plus ou moins carrossable. Nous débouchons sur un grand parking, face à un grand centre de vacances. Sur la droite nous pouvons allé voir la petite église entourée de son cimetière ["L’église Notre-Dame d’Auberville, Cette église édifiée au XIIème siècle, a été remaniée au XVIIème siècle. Elle séduit par sa sobriété et la beauté de ses matériaux. Surplombant la mer et entourée d’un paisible cimetière, elle appelle au recueillement et inspire la sérénité. Son plan architectural suit la forme d’une croix latine : deux petites chapelles (transept nord et sud) sont éclairées par des fenêtres cintrées. Des moellons de pierre de Caen montrent le remploi de matériaux anciens. La nef est recouverte d’un plafond en bois, beau travail de charpentier de marine ; les poutres de chêne anciennes ont été remplacées 
en partie. Dans le chœur, le plafond avec voûte en berceau est peint en blanc et liseré rouge. Le clocher date du XIIIème siècle, il domine un portail d’entrée, flanqué de deux contreforts de part et d’autre de la porte en bois massif. On peut observer sous la girouette les deux cloches de bronze fondues et installées en 1759. De chaque côté de la nef sont installés des bancs anciens dotés de prie-Dieu. Les stalles d’époque, des deux premiers rangs étaient réservées aux prieurs et aux nobles d’Auberville. A remarquer : aucun banc n’est identique. Un arc triomphal surmonté d’un Christ en croix, bois polychrome du XVIIème-XVIIIème siècles, ouvre sur le chœur. L’autel en pierre blanche a été installé en 1998 suite à une donation. Dans son prolongement, un retable du XVIIème siècle, illustre « le repas chez Simon le pharisien », inspiré très largement par l'œuvre de Pierre Paul Rubens, datée de 1618, « fêtes dans la maison de Simon le pharisien », conservée à l’Ermitage de Saint Petersboug. Il est flanqué de deux colonnes baroques et surmonté d’un soleil rayonnant. En partie basse, l’ancien autel orné sur sa façade de rinceaux fleuris et d’un médaillon peint représentant l’Assomption de la Vierge. A gauche de l’autel, la Décollation de Sainte Barbe, tableau du XVIIème siècle, montre une dévotion particulière à la sainte, tout comme la statue en pierre polychrome de la fin du XVIème siècle située dans la chapelle du transept nord. A ses côtés, on peut contempler une statue de Saint Marc en bois polychrome de la fin du XVIIème siècle, un Saint Antoine en plâtre et un médaillon en pierre représentant le profil d’un homme du XVIème siècle. Dans la chapelle du transept sud, un tableau du XVIIème siècle montre la Sainte Famille, avec une scène de Présentation du Christ. A noter : un cadre en rinceaux peint en trompe l’oeil. En sortant de la nef, on découvre à droite de la porte les anciens fonds baptismaux en pierre.
Sur la gauche, un confessionnal en pitchpin (XXème siècle) occupe tout l’espace. http://egliseauberville.fr/] Longeons le village de vacances par le chemin de l’église (rue bitumée) au carrefour nous prenons à droite le chemin Blandin rue parsemée de maisons. Nous débouchons sur la D 163 route de la corniche, que nous prenons à droite longue route, très longue route bordée coté droit d’immenses campings. On ne voit rien et l’on est en plein soleil, (c’est la journée la plus chaude 39 voir 40 à Paris et 26 en Normandie, sans un souffle de vent, j’ai cru mourir.) Affreux ce passage… moi je ne fais que passer, mais ceux qui réserve dans ses campings en plein 
soleil, je n’ai pas vu un arbre. S’ils ne prennent pas la voiture, ils ne verront jamais la mer… Il en faut pour tous les goûts. Mais lorsque je passe et que je vois entre deux cyprès un type dans une déco en carton pâte (c’était peut être du bois) beugler dans un micro quelque chose que je n’ai pas compris et, que tous ses BOBOS dans l’eau répondent quelque chose que je n’ai pas compris en attendent certainement quelque chose d’important… Les vacances c’est ça ? pas pour moi !!! Cela me démoraliser… Des gens aiment ça… ? Tant mieux pour les voyagistes qui gèrent ce genre de récréation. Cela n’a jamais été les miennes. Même dans les régions où il n’y 
avait pas grand-chose à voir, j’organisais nos vacances avec des visites de la région. (Oui, je sais, je suis un chiant qui doit bouger ). En France il y a toujours quelque chose à voir… A l’époque le guide vert m’était bien utile. Ils passent de bonnes vacances entassés dans leur piscine, cela me désole. Au bureau ils ne seront même pas décrire le kilomètre autour du camp… Pas d’importance, le principale, c’est l’animation et les photos pas toujours à l’honneur de ceux qui sont dessus que l’on met sur les réseaux sociaux. Il est vrai que la mer, elle est à la fois proche, au pied de la 
falaise, mais loin si l’on veut rejoindre les plages d’Houlgate, ou de Villers. Plages de chaque coté des Falaises des Vaches noir. Notre route de la corniche, devient chemin du sémaphore, de bitume nous sortons enfin de cette zone qui ne ma pas du tout plus un chemin piéton en bordure d’une résidence pavillonnaire était marqué privé. Inadmissible… Vaut-il que je me fasse écraser par les voitures des bobos sortant de leur camps de vacances ? j’ai emprunté ce trottoir qui me mettais en sécurité jusqu’à retrouver un chemin sans voiture en foret. Chemin qui descend rudement jusqu’à Houlgade. Il est l’heure de faire la pose. Je trouve un banc juste avant la grande descente, je grignote et fait la sieste à l’ombre. J’en vois des jeunes et des moins jeunes monter ou descendre vers la plage, ils sont épuisés. Epuisé par l’inaction au soleil (c’est la journée la plus chaude), épuisé par la monté. Faire cela tout les jours ? c’est pire que de se rendre au boulot. Après avoir mangé mon frugal repas du midi je m’allonge 
sur le banc et je fais semblant de dormir, mes yeux restant ouvert derrière la visière. Pas sympa certain aimerait faire une pose après les marches, mais un gros soudard est couché sur le seul banc salutaire, ma vengeance, à tous ses bobos… méchanceté gratuite. Après une pose bien mérité sous ce soleil de plomb, sur cette route ou je me suis bien ennuyé, je descends vers la table d’orientation. Un bel escalier métallique, nous permet de rejoindre un chemin qui descend, longeons le petit parking, poursuivant le chemin jusqu'à la rue Baumer que nous
prenons. Après quelques centaines de mètres, sur la droite nous prenons encore des escaliers (La rue des cent marches) descendant jusqu'à la rue Henri Dobert que nous prenons sur la gauche, nous y trouvons de belles maisons. Après le casino je descends vers la plage et prends sur la gauche la promenade Rolland Garros. Quittons la plage au niveau de l'accès du Lieutenant Féral, prenons sur la droite la Rue des Bains (D 513) Longue rue longeant la plage. Il fait tellement chaud que je ne marche pas sur le sable, la mer est trop loin pour marcher dans 
l'eau, je suis épuisé et je n'ai pas envie de marcher au soleil, je choisi le trottoir de gauche plus à l'ombre. Passons la ligne de chemin de fer, un chemin piéton en bitume longe la ligne, et la plage, je préfère l'ombre de la colline et du petit bois. J'ai beaucoup de temps j'arrive à Dives sur mer au port Guillaume, je cherche le chemin le plus cours pour rejoindre la gare. Je ne me détourne pas vers le port, la rue fait fourche je prend à droite la rue Pierre Loti, je me perd un peut au lieu de prendre la rue des Frères Bisson je poursuis par la rue de la Marine, je rattrape ma trace par la rue Georges Landry, du coup je loupe le Beffroi, je 
poursuis jusqu'à la gare de Dives - Cabourg. Je pensais avoir un train plus tôt mais en semaine c'est quatre trains par jour, deux le matins dont le premier est de très bonne heures et deux l'après midi, mais neuf trains en période estivale les dimanches et fêtes. https://cdn.ter.sncf.com/medias/PDF/normandie/WEB-14571-DIVES-PARIS%20V%2021%2008_tcm71-261357_tcm71-261354.pdf  Je n'ai pas le courage de de retourner au Port Guillaume, pour les photos, je n'ai même pas le courage de demander si le train s'y 
Au bout de la ligne l'ombre de la gare
arrête, je me dirige vers la dives et me change, j'étais trempé de sueur, je retourne vers la gare et m'assoie à l'ombre en attendant l'heure. Ce n'ai pas grave, le mois prochain je reviens et mon itinéraire passe par là.

 Fiabilité de la trace originale: D   (443/39/1/2/-/63)
 Niveau du correctif appliqué à la trace: 5
 Distance totale: 24.35 Km
 Distance analysée: 24.35 Km
 Distance linéaire: 16.29 Km
Dénivelée positive accumulée: 304.2 m
 Dénivelée négative accumulée: 298.18 m
 Altitude maximale: 119.89 m
 Altitude minimale: -9.12 m
 Altitude initiale: 4 m
 Altitude finale: 1 m
 Pourcentage de montée: 4.49 %
 Pourcentage de descente: 6.03 %
Dénivelée positive par Km: 12.49 m
 Dénivelée négative par Km: 12.25 m
 
 niveau d’effort :
·        0 à 25 = niveau 1 (facile). aucune difficulté physique particulière.
·    25 à 50 = niveau 2 (assez facile). Les difficultés physiques très limitées.
·    50 à 75 = niveau 3 (peu difficile). L’engagement physique reste raisonnable.
·    75 à 100 = niveau 4 (assez difficile). L’effort soutenu, difficulté physique importante.
100 et plus = niveau 5 (difficile). L’effort est très important. I faut une réelle préparation physique.
Quelques photos 
Vue d'un blockhaus



Epaisseur d'une coupole et du béton



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