Poursuite de mes promenades autour de la France Aujourd’hui ; nous mènera en Normandie dans le Pays d'Auge. Mon étape nous emmènera de Deauville à Dives sur Mer
Deauville - Dives
Vendredi 31
juillet 2020
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Le code mobile de cette randonnée est b322868
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Carte VisoRando Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
km temps arrêt vd vg dénivelé Index d’effort
25,2 5:30 1:00 4,6
3,9 414+ 74pd-N1
caractère politique, maritime et économique jusqu'au début du XIXe siècle où le
développement de Trouville puis Deauville amena à la construction d'une ligne
par l’avenue Ox and Buckx [Le pont touquais Ox and Bucks rend hommage à un régiment anglais. L’historien Bruno Rivals raconte la passionnante histoire de ce pont pas comme les autres. Parce qu’il honore un régiment anglais qui, avant
L'édifice est considéré comme dégradé dès le premier quart du XVIIIe siècle et en ruines un siècle plus tard. Jean-Charles Langlois acquiert les vestiges en 1843. L'église paroissiale était encore en état en 1763. L'ensemble est vendu comme bien national pendant la Révolution française. La paroisse de Saint-Arnoult est rattachée à Tourgéville. La mise en place d'un accès à la chapelle et de remblais
promouvoir le tourisme local et d'accueillir des manifestations culturelles, fait l'objet de discussions. La municipalité commence une réflexion sur la sauvegarde du lieu au début des années 2000 et une association de sauvegarde est créée en 2006, « Les Amis du Prieuré de Saint Arnoul sur Touque ». Un projet immobilier de transformation de l'ancien prieuré, ancien presbytère, jouxtant la partie classée, émeut les membres de l'association : il s'agissait de créer des immeubles dans la partie inférieure de la parcelle. Ce projet annulé, un nouveau projet de transformation en appartements de l'édifice émerge en 2008. Wikipédia] Nous avons une belle vue sur la vallée. Remontons derrière le banc, entre une route donnant accès d’après la carte à des maisons mais elles sont si loin que je ne l’es ai pas vu et un porche en
Aujourd'hui vue du blockhaus |
panorama sur Trouville et la baie de Seine. Le club house du golf Barrière de Deauville est logé dans le rez-de-chaussée de l'Hôtel du golf, un palace de 170 chambres conçu dans un style néo-normand pour le compte de la
d'ailleurs, jamais opérationnelle.
En 1940, l'armée allemande occupait le Mont Canisy, site exceptionnel, culminant à 110 m, dominant la mer, avec une
Trou peut être de bombe |
Sa position stratégique, sur une colline face
à la baie de Seine, lui valut à plusieurs reprises d'être transformé en
position d'artillerie côtière : tour à tour fief seigneurial morcelé en 1793,
poste de défense anti-sous-marins en 1917-1918, batterie côtière de 1935 à
1940, puis point d'appui d'artillerie le plus important du "Mur de
l'Atlantique" entre Cherbourg et Le Havre de 1941 à 1944. De cette
dernière
époque subsistent des casemates et encuvements pour canons de 155 mm, bunkers,
tobrouks, poste de direction de tir... et un ouvrage souterrain à 15 m, unique
sur plus de 150 km de côtes, comprenant 250 m de tunnels, 25 alvéoles de
casernement, 25 soutes à munitions... https://www.indeauville.fr/le-mont-canisy]
Nous arrivons au premières batteries
avec une vue sur l’estuaire. Poursuivons le sentier et le balisage, nous arrivons à une seconde série de batterie, avant de l’atteindre je remarque des trous les uns à coté des autres, et je suppose que se sont des trous des bombes allier essayant de détruire ses fortification (comme dans certain village détruit ou site des tranchées du coté de Verdun. C’est très impressionnant. Les casemates détruits permet de voir l’épaisseur du béton
et des ferrailles devant protéger les canons. Une chose ma surprise l’intérieur est propre et sans odeurs [Le site des anciennes batteries d'artillerie côtière du Mont Canisy :
avec une vue sur l’estuaire. Poursuivons le sentier et le balisage, nous arrivons à une seconde série de batterie, avant de l’atteindre je remarque des trous les uns à coté des autres, et je suppose que se sont des trous des bombes allier essayant de détruire ses fortification (comme dans certain village détruit ou site des tranchées du coté de Verdun. C’est très impressionnant. Les casemates détruits permet de voir l’épaisseur du béton
et des ferrailles devant protéger les canons. Une chose ma surprise l’intérieur est propre et sans odeurs [Le site des anciennes batteries d'artillerie côtière du Mont Canisy :
S'étendant
sur les communes de Bénerville, Tourgéville, Deauville et St-Arnoult, le Mont
Canisy sera, des siècles durant, un fief seigneurial. La
Révolution Française provoquera, en 1793, le morcellement du domaine.
Hubert de Mont Canisy, compagnon de Guillaume le Conquérant, reste
, le plus ancien seigneur connu, le comte de Lauraguais en sera le
dernier: ses terres lui seront confisquées et son château sera démonté … Le
"Grand Mont", la partie la plus à l'ouest de la colline, dominant la
mer et le Pays d'Auge de ses 110 mètres, sera alors l'objet de destinées
diverses : il sera d'abord partagé en
parcelles, sous la Révolution, entre les Bénervillais; puis, inapte à la
culture, il deviendra progressivement le domaine des chèvres et des moutons.
Des carrières seront ensuite ouvertes: la pierre servira à la construction de
villas de la future "Côte fleurie", le caillou au
remblaiement des chaussées … les militaires,
enfin, exploiteront la position
stratégique du site, précédés en cela, sous Louis XV, par Monsieur de Choiseul,
Ministre de la Marine, qui, pour protéger les navires marchands empruntant
le cours de la Touques et qui étaient régulièrement rançonnés par les
pillards anglais, avait fait installer une batterie de couleuvrines sur le
Mont. Puis, ce sera la Marine Nationale, pour protéger le filet de
barrage du port du Havre et de la baie de Seine, avec deux batteries
de deux pièces, de 1916 à 1918. Puis, deux autres batteries, à
l'approche du second conflit mondial: la première sur le Mont, de quatre pièces
de 138 mm, opérationnelle à la fin
de 1938, et la seconde , de trois canons de 75 mm, en bordure de mer,
implantée en janvier 1940. Ces deux
batteries auront le même objectif: la protection de l'estuaire de Seine et du port
du Havre, elles abandonneront les lieux le 14 juin 1940. L'armée allemande
d'occupation fortifia ensuite le Mont, dans le cadre du "Mur de
l'Atlantique". On dénombre aujourd'hui pas moins d'une centaine d'ouvrages
de tous types, dont six encuvements et trois casemates pour canons à longue
portée, ouvrages qui seront répartis sur les vingt-cinq hectares du site,
faisant du Mont Canisy le point d'appui le plus fortifié entre Le Havre et
Cherbourg. De tous ces blocs de béton, envahis par les ronces et défiant le
temps, la galerie souterraine reste l'élément le plus impressionnant, avec deux
cent cinquante mètres de
tunnels bétonnés, une cinquantaine d'alvéoles et six escaliers plongeant dans les entrailles du Mont à 13
mètres sous terre. Subissant les bombardements alliés dès le début de 1944
et trop éloignée des plages de débarquement pour la portée de ses canons, la
forteresse ne jouera qu'un rôle secondaire le 6 juin, face aux navires alliés
mieux armés et aux escadrilles de bombardement omniprésentes. "Tiraillant"
encore dans les jours qui suivirent, la
garnison abandonnera les lieux sans combattre, dans la nuit du 21 au 22 août
1944. Le site sera ensuite "victime" des exactions les plus diverses:
récupération de tous les matériaux, ferraillage (tous les ouvrages seront
délestés de tous les éléments
métalliques), squatters, saccage de la
végétation, chasse, moto-cross, feux de camp … Divers projets immobiliers
resteront heureusement sans suites. Des milliers de tonnes de béton, dont on ne
fait pas facilement "table rase", sauvegarderont finalement les lieux
qui deviendront progressivement la propriété du Conservatoire du Littoral et un
site naturel protégé … ce qu'il n'aurait jamais dû cesser d'être !
L'Association des Amis du Mont Canisy,
liée au Conservatoire du Littoral par une convention, s'est fixée comme
objectif la remise en valeur du site des anciennes batteries. S'y employant
bénévolement depuis maintenant douze années, elle s'est attaché à dégager
quelques ouvrages caractéristiques d'une architecture militaire malgré tout
historique et à maintenir ces lieux en état de propreté: c'est ce que semble
apprécier un nombre de plus en plus important de promeneurs et de visiteurs
qui ont découvert ou retrouvé … les chemins de la Grande Butte !
https://www.mont-canisy.org/site_historique_des_batteries_028.htm]
Je poursuis ma
descente du mont et débouche sur le bitume du chemin des
Enclos. Je quitte le GR partant à gauche pour descendre la rue par la droite,
à la fourche je poursuis à gauche par la rue de Lassay. Nous laissons
plusieurs rues à droite et à gauche et arrivons à une fourche nous permettant
de voir la mer et les falaises de la vache noir, prenons à gauche la rue de la
Croix Robin (rue avec un sens interdit) poursuivons notre descente longeons
une école, coupons la D 118 A (nous sommes à Blonville), nous arrivons à une
intersection avec un rond point, prenons sur la gauche la rue
Marcelle
Haricot sur quelques mètres et tout de suite à droite la rue des Ténnis.
Longeons le parc de jeux, puis les tennis puis un centre équestre et nous
entrons dans le Marais de Blonville. Je ne sais pas pourquoi je voulais
traverser ce marais et je trouvais que le GR ne faisait que de l’éfleurer.
Malheureusement je n’ai pas trouvé dans sa totalité le circuit balisé au
moment ou ma trace remontait vers le GR par le sentier balisé une barrière
basse m’empêchait de prendre l’allée herbeuse, n’ayant pas vu de balisage
j’ai suivis le chemin stabilisé et suis sortie au
hameauGoblin. [le marais de 110 hectares se compose de prairies humides, de
canaux et de fossés est d’une grande richesse écologique. Malgré sa proximité
avec la mer, il s’agit d’un marais d’eau douce alimenté par les eaux de
ruissellement de quatre bassins versants naturels situés sur les coteaux qui
le bordent. Le marais est un espace aménagé par l’homme. Avant le
Moyen-Age, ce lieu était une vaste roselière d’eau douce protégée de la mer
par un cordon de dunes. Puis les hommes ont creusé des canaux pour drainer
les terres. Les parcelles
ainsi délimitées ont servi au maraîchage, à la
culture de céréales et surtout à la pâture. Cette occupation humaine a créé
un milieu d’une belle richesse écologique. Aujourd’hui, cet espace est classé
comme Zone Naturelle d’Intérêt Faunistique et Floristique.
Espace naturel sensible, protégé en partie (une quarantaine d'hectares) par le Conservatoire du littoral, le marais possède une faune et une flore diversifiées. Dans ses prairies poussent des plantes hygrophiles (supportant des inondations prolongées), telles que des phragmites, joncs et carex. Ce milieu fournit abri,
nourriture et "aire de repos" à plus de
150 espèces d’oiseaux, résidents permanents ou de passage vers leur
lieu de reproduction (au printemps) ou d’hivernage (en automne). Plutôt le
matin ou en fin de journée, il est possible de les observer et/ou de les
entendre. La cime des peupliers a été spécialement aménagée pour permettre
aux cigognes de s'installer et de nicher. On y observe également des espèces
nationalement protégées d’amphibiens et de reptiles.
Les 3 fonctions d’une zone humide
- hydrologique > Les zones humides contribuent à l’amélioration de la qualité de l’eau : elles ont un
pouvoir épurateur, jouant le rôle de filtre physique
(elles favorisent les dépôts de sédiments y compris le piégeage d’éléments
toxiques tels que les métaux lourds, les matières en suspension...) et
biologique. Elles régulent aussi les régimes hydrologiques : comme des
éponges, elles "absorbent" momentanément l’excès d’eau de pluie
pour le restituer progressivement, lors de périodes de sécheresse, dans le
milieu naturel (fleuves et rivières situés en aval). Elles diminuent ainsi
l’intensité des crues et soutiennent les débits des cours d’eau en période de
basses eaux.
- biologique > Les zones humides constituent un fabuleux réservoir de
biodiversité, offrant aux espèces animales et végétales les fonctions
essentielles à la vie des organismes : l’alimentation (concentration
d’éléments nutritifs) ; la reproduction grâce aux ressources alimentaires
variées et à la diversité des habitats ; la fonction de refuge et de repos
notamment pour les poissons et les oiseaux.
- climatique > Les zones humides participent à la régulation des microclimats : les précipitations et la température atmosphérique
peuvent
être influencées localement par les phénomènes d’évaporation intense d’eau au
travers des terrains et de la végétation qui caractérisent les zones humides.
https://www.indeauville.fr/le-marais-de-blonville-villers] Du bas nous avons une belle vue sur le mont et avec se marais à
sont pied il n’a pas dut être facile à prendre. Le chemin contourne un
camping se rapproche de la mer nous passons plusieurs ponts, le chemin
serpente et sort au niveau d’un parking sur la commune de Villers. Dirigeons
nous vers le paléospace puis le dinosaure [Situées entre Villers et Houlgate, les Falaises des
Vaches Noires constituent un gisement paléontologique de grande renommée
scientifique. Parmi de nombreuses découvertes, on y a mis à jour les fossiles
d’un
pliosaures de 10 mètres de long, d’un ichthyosaure, un «
crocodiles » marins, mais aussi des ammonites, des oursins et des
éponges. https://mairie.villers.fr/tourisme/index/39/Le_Dinosaure_embleme_de_la_station]. Pour rejoindre l’avenue Jean Moulin sur la
gauche, dépassons l’étang, nous arrivons dans le virage de la rue nous
retrouvons le GR 223 en provenance du Marais, traversons la rue et
poursuivons le GR après avoir traversé une passerelle le petit sentier en
bordure du ruisseau de Saint Vaast, étonnant le chemin ne porte pas le nom du
ruisseau
mais de Montel. D’un coté nous avons des habitations de l’autre une
prairie. Nous coupons une allée et toujours en suivant le ruisseau nous
traversons une zone pavillonnaire. Traversons le ruisseau et après quelques
virages nous débouchons avenue de la Brigade Piron. Poursuivons le GR en
prenant l’avenue sur la droite et au niveau de la gendarmerie nous prenons à
gauche l’avenue Georges Clémenceau, nous sortons de la ville et entamons un
grand virage autour d’une prairie. Après un virage à angle à quatre vingt dix
degrés à gauche nous arrivons au
carrefour du Bois Lurette, carrefour à mi
chemin entre prairie et zone pavillonnaire. Nous y trouvons le GR 26 (d’après
la carte des GR il s’arrêtait à Deauville.) d’après le panneau c’est la fin
du GR 26 de Paris à la Côte Fleurie. Je quitte le GR et prend sur une dizaine
de mètres la rue Pasteur sur la droite puis à gauche le vieux chemin de Saint
Vaast. Coupons le pas au Rouge, laissons à ce même carrefour sur la droite la
rue Boulard, nous débouchons rue de l’étang que nous prenons à gauche, nous
débouchons rue du Général de Gaulle que nous prenons à droite et nous
retrouvons le GR 223 descendons jusqu’à
l’église, faisons le tour de ce beau
monument [Construite
dans la deuxième moitié du XIXe
siècle, l'église est de style néo-gothique et est dotée de nombreux vitraux.
Les stalles du chœur
comportent de remarquables miséricordes ornées de bouquets de fruits, dragons, visages
d'enfants avec ailes de chauves-souris et visages d'homme vert.
Wikipédia]. Remontons un peu la D 513 (rue de l’église) en direction
de Caen, Lisieux, Cabourg, sur une centaine de mètres et devant un batiment
moderne ressemblant à un cube nous prenons sur la droite le passage des Muttes.
Coupons le rue des Muttes
faisons un esse gauche-droite et prenons la rue
Convers dans un virage la rue se poursuit sur la gauche (sur la droite la rue
change de nom.) je n’ai pas vue la trace qui prenait à gauche une allée
parallèle à la route. (Je pensais que cette allée sans issu ne menait qu’à
des maisons, mais il y avait le petit chemin D’Auberville permettait d’éviter
la route. Je poursuis la grimpette de la rue Convers, puis prend la petite
rue sans issu sur la droite, nous débouchons à l’angle de la rue du Ravin et
Denise Clairon je retrouve le GR 223 et suis ce dernier par une petite rue
sur la
gauche mal bitumée. Nous débouchons sur un grand rond point et prenons
le chemin du manoir sur la droite (rue en sens interdit) Je pensais pouvoir
m’avancer en bordure des falaises, mais mon ignorance du lieu à fait que je
n’ai rien trouvé, et je n’ai pas vu d’information m’indiquent un point de vu
ou un site remarquable. Pourtant, sur la carte google map on trouve des sites
elles semblent être dans les jardins des propriétés. Je pense qu’il est
beaucoup plus intéressant de passer par la mer MAIS ATTENTION qu’a MAREE
DESCENDANTE elle font 5 km de long. A Villers j’ai rencontré un randonneur du
pays il m’a bien prévenu qu’a marée descendante. Mon itinéraire passait par
le haut, mais cela n’a aucun intérêt. A dire vrai j’ai trouvé cela moche,
mais le GR ne pouvait pas être tracé par le pied de la falaise, on aurait put
que deux fois
par jour, ou de nuit suivant la marée descendante. Suivons le
chemin plus ou moins carrossable. Nous débouchons sur un grand parking, face
à un grand centre de vacances. Sur la droite nous pouvons allé voir la petite
église entourée de son cimetière ["L’église
Notre-Dame d’Auberville, Cette église édifiée au XIIème siècle, a été
remaniée au XVIIème siècle. Elle séduit par sa sobriété et la beauté de ses
matériaux. Surplombant la mer et entourée d’un paisible cimetière, elle
appelle au recueillement et inspire la sérénité. Son plan architectural suit
la forme d’une croix latine : deux petites chapelles (transept nord et sud)
sont éclairées par des fenêtres cintrées. Des moellons de pierre de Caen
montrent le remploi de matériaux anciens. La nef est recouverte d’un plafond
en bois, beau travail de charpentier de marine ; les poutres de chêne
anciennes ont été remplacées
en partie. Dans le chœur, le plafond avec voûte en berceau est peint en blanc et liseré rouge. Le clocher date du XIIIème siècle, il domine un portail d’entrée, flanqué de deux contreforts de part et d’autre de la porte en bois massif. On peut observer sous la girouette les deux cloches de bronze fondues et installées en 1759. De chaque côté de la nef sont installés des bancs anciens dotés de prie-Dieu. Les stalles d’époque, des deux premiers rangs étaient réservées aux prieurs et aux nobles d’Auberville. A remarquer : aucun banc n’est identique. Un arc triomphal surmonté d’un Christ en croix, bois polychrome du XVIIème-XVIIIème siècles, ouvre sur le chœur. L’autel en pierre blanche a été installé en 1998 suite à une donation. Dans son prolongement, un retable du XVIIème siècle, illustre « le repas chez Simon le pharisien », inspiré très largement par l'œuvre de Pierre Paul Rubens, datée de 1618, « fêtes dans la maison de Simon le pharisien », conservée à l’Ermitage de Saint Petersboug. Il est flanqué de deux colonnes baroques et surmonté d’un soleil rayonnant.
En partie basse,
l’ancien autel orné sur sa façade de rinceaux fleuris et d’un médaillon peint
représentant l’Assomption de la Vierge. A gauche de l’autel, la Décollation
de Sainte Barbe, tableau du XVIIème siècle, montre une dévotion particulière
à la sainte, tout comme la statue en pierre polychrome de la fin du XVIème
siècle située dans la chapelle du transept nord. A ses côtés, on peut
contempler une statue de Saint Marc en bois polychrome de la fin du XVIIème
siècle, un Saint Antoine en plâtre et un médaillon en pierre représentant le
profil d’un homme du XVIème siècle. Dans la chapelle du transept sud, un
tableau du XVIIème siècle montre la Sainte Famille, avec une scène de
Présentation du Christ. A noter : un cadre en rinceaux peint en trompe
l’oeil. En sortant de la nef, on découvre à droite de la porte les anciens
fonds baptismaux en pierre.
Sur la gauche, un confessionnal en pitchpin
(XXème siècle) occupe tout l’espace. http://egliseauberville.fr/] Longeons
le village de vacances par le chemin de l’église (rue bitumée) au carrefour
nous prenons à droite le chemin Blandin rue parsemée de maisons. Nous
débouchons sur la D 163 route de la corniche, que nous prenons à droite
longue route, très longue route bordée coté droit d’immenses campings. On ne voit rien et l’on est en plein soleil, (c’est la
journée la plus chaude 39 voir 40 à Paris et 26 en Normandie, sans un souffle
de vent, j’ai cru mourir.) Affreux ce passage… moi je ne fais que passer,
mais ceux qui réserve dans ses campings en plein
soleil, je n’ai pas vu un
arbre. S’ils ne prennent pas la voiture, ils ne verront jamais la mer… Il en
faut pour tous les goûts. Mais lorsque je passe et que je vois entre deux
cyprès un type dans une déco en carton pâte (c’était peut être du bois)
beugler dans un micro quelque chose que je n’ai pas compris et, que tous ses
BOBOS dans l’eau répondent quelque chose que je n’ai pas compris en attendent
certainement quelque chose d’important… Les vacances c’est ça ? pas pour
moi !!! Cela me démoraliser… Des gens aiment ça… ? Tant mieux pour
les voyagistes qui gèrent ce genre de récréation. Cela n’a jamais été les
miennes. Même dans les régions où il n’y
avait pas grand-chose à voir, j’organisais
nos vacances avec des visites de la région. (Oui, je sais, je suis un chiant
qui doit bouger ). En France il y a toujours quelque chose à voir… A l’époque
le guide vert m’était bien utile. Ils passent de bonnes vacances entassés
dans leur piscine, cela me désole. Au bureau ils ne seront même pas décrire
le kilomètre autour du camp… Pas d’importance, le principale, c’est
l’animation et les photos pas toujours à l’honneur de ceux qui sont dessus
que l’on met sur les réseaux sociaux. Il est vrai que la mer, elle est à la
fois proche, au pied de la
falaise, mais loin si l’on veut rejoindre les
plages d’Houlgate, ou de Villers. Plages de chaque coté des Falaises des
Vaches noir. Notre route de la corniche, devient chemin du sémaphore,
de bitume nous sortons enfin de cette zone qui ne ma pas du tout plus un
chemin piéton en bordure d’une résidence pavillonnaire était marqué privé.
Inadmissible… Vaut-il que je me fasse écraser par les voitures des bobos sortant
de leur camps de vacances ? j’ai emprunté ce trottoir qui me mettais en
sécurité jusqu’à retrouver un chemin sans voiture en foret. Chemin qui
descend rudement jusqu’à Houlgade. Il est l’heure de faire la pose. Je trouve un banc juste avant la grande descente, je
grignote et fait la sieste à l’ombre. J’en vois des jeunes et des moins
jeunes monter ou descendre vers la plage, ils sont épuisés. Epuisé par
l’inaction au soleil (c’est la journée la plus chaude), épuisé par la monté.
Faire cela tout les jours ? c’est pire que de se rendre au boulot. Après avoir mangé mon frugal repas du midi je m’allonge
sur le banc et
je fais semblant de dormir, mes yeux restant ouvert derrière la visière. Pas
sympa certain aimerait faire une pose après les marches, mais un gros soudard
est couché sur le seul banc salutaire, ma vengeance, à tous ses bobos…
méchanceté gratuite. Après une pose bien mérité sous ce soleil de
plomb, sur cette route ou je me suis bien ennuyé, je descends vers la table
d’orientation. Un bel escalier métallique, nous permet de rejoindre un chemin qui descend, longeons le petit parking, poursuivant le chemin jusqu'à la rue Baumer que nous
prenons. Après quelques centaines de mètres, sur la droite nous prenons encore des escaliers (La rue des cent marches) descendant jusqu'à la rue Henri Dobert que nous prenons sur la gauche, nous y trouvons de belles maisons. Après le casino je descends vers la plage et prends sur la gauche la promenade Rolland Garros. Quittons la plage au niveau de l'accès du Lieutenant Féral, prenons sur la droite la Rue des Bains (D 513) Longue rue longeant la plage. Il fait tellement chaud que je ne marche pas sur le sable, la mer est trop loin pour marcher dans
l'eau, je suis épuisé et je n'ai pas envie de marcher au soleil, je choisi le trottoir de gauche plus à l'ombre. Passons la ligne de chemin de fer, un chemin piéton en bitume longe la ligne, et la plage, je préfère l'ombre de la colline et du petit bois. J'ai beaucoup de temps j'arrive à Dives sur mer au port Guillaume, je cherche le chemin le plus cours pour rejoindre la gare. Je ne me détourne pas vers le port, la rue fait fourche je prend à droite la rue Pierre Loti, je me perd un peut au lieu de prendre la rue des Frères Bisson je poursuis par la rue de la Marine, je rattrape ma trace par la rue Georges Landry, du coup je loupe le Beffroi, je
poursuis jusqu'à la gare de Dives - Cabourg. Je pensais avoir un train plus tôt mais en semaine c'est quatre trains par jour, deux le matins dont le premier est de très bonne heures et deux l'après midi, mais neuf trains en période estivale les dimanches et fêtes. https://cdn.ter.sncf.com/medias/PDF/normandie/WEB-14571-DIVES-PARIS%20V%2021%2008_tcm71-261357_tcm71-261354.pdf Je n'ai pas le courage de de retourner au Port Guillaume, pour les photos, je n'ai même pas le courage de demander si le train s'y
arrête, je me dirige vers la dives et me change, j'étais trempé de sueur, je retourne vers la gare et m'assoie à l'ombre en attendant l'heure. Ce n'ai pas grave, le mois prochain je reviens et mon itinéraire passe par là.
Fiabilité de la trace originale: D (443/39/1/2/-/63)
Niveau du correctif appliqué à la trace: 5
Distance totale: 24.35 Km
Distance analysée: 24.35 Km
Distance linéaire: 16.29 Km
Dénivelée positive accumulée: 304.2
m
Dénivelée négative accumulée: 298.18 m
Altitude maximale: 119.89 m
Altitude minimale: -9.12 m
Altitude initiale: 4 m
Altitude finale: 1 m
Pourcentage de montée: 4.49 %
Pourcentage de descente: 6.03 %
Dénivelée positive par Km: 12.49 m
Dénivelée négative par Km: 12.25 m
niveau d’effort :
de 1938, et la seconde , de trois canons de 75 mm, en bordure de mer,
Espace naturel sensible, protégé en partie (une quarantaine d'hectares) par le Conservatoire du littoral, le marais possède une faune et une flore diversifiées. Dans ses prairies poussent des plantes hygrophiles (supportant des inondations prolongées), telles que des phragmites, joncs et carex. Ce milieu fournit abri,
Les 3 fonctions d’une zone humide
- hydrologique > Les zones humides contribuent à l’amélioration de la qualité de l’eau : elles ont un
- climatique > Les zones humides participent à la régulation des microclimats : les précipitations et la température atmosphérique
en partie. Dans le chœur, le plafond avec voûte en berceau est peint en blanc et liseré rouge. Le clocher date du XIIIème siècle, il domine un portail d’entrée, flanqué de deux contreforts de part et d’autre de la porte en bois massif. On peut observer sous la girouette les deux cloches de bronze fondues et installées en 1759. De chaque côté de la nef sont installés des bancs anciens dotés de prie-Dieu. Les stalles d’époque, des deux premiers rangs étaient réservées aux prieurs et aux nobles d’Auberville. A remarquer : aucun banc n’est identique. Un arc triomphal surmonté d’un Christ en croix, bois polychrome du XVIIème-XVIIIème siècles, ouvre sur le chœur. L’autel en pierre blanche a été installé en 1998 suite à une donation. Dans son prolongement, un retable du XVIIème siècle, illustre « le repas chez Simon le pharisien », inspiré très largement par l'œuvre de Pierre Paul Rubens, datée de 1618, « fêtes dans la maison de Simon le pharisien », conservée à l’Ermitage de Saint Petersboug. Il est flanqué de deux colonnes baroques et surmonté d’un soleil rayonnant.
poursuis jusqu'à la gare de Dives - Cabourg. Je pensais avoir un train plus tôt mais en semaine c'est quatre trains par jour, deux le matins dont le premier est de très bonne heures et deux l'après midi, mais neuf trains en période estivale les dimanches et fêtes. https://cdn.ter.sncf.com/medias/PDF/normandie/WEB-14571-DIVES-PARIS%20V%2021%2008_tcm71-261357_tcm71-261354.pdf Je n'ai pas le courage de de retourner au Port Guillaume, pour les photos, je n'ai même pas le courage de demander si le train s'y
Au bout de la ligne l'ombre de la gare |
Fiabilité de la trace originale: D (443/39/1/2/-/63)
Niveau du correctif appliqué à la trace: 5
Distance totale: 24.35 Km
Distance analysée: 24.35 Km
Distance linéaire: 16.29 Km
Dénivelée négative accumulée: 298.18 m
Altitude maximale: 119.89 m
Altitude minimale: -9.12 m
Altitude initiale: 4 m
Altitude finale: 1 m
Pourcentage de montée: 4.49 %
Pourcentage de descente: 6.03 %
Dénivelée positive par Km: 12.49 m
Dénivelée négative par Km: 12.25 m
niveau d’effort :
·
0 à
25 = niveau 1 (facile). aucune difficulté physique particulière.
· 25 à
50 = niveau 2 (assez facile). Les difficultés physiques très limitées.
· 50 à
75 = niveau 3 (peu difficile). L’engagement physique reste raisonnable.
100 et
plus = niveau 5 (difficile). L’effort est très important. I faut une réelle
préparation physique.
Quelques photos
Vue d'un blockhaus |
![]() Epaisseur d'une coupole et du béton Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire