Poursuite de mes promenades autour de la France Aujourd’hui ; nous mènera en Normandie dans le Pays d'Auge. Mon étape nous emmènera de Dives sur Mer - Merville-Franceville
Dives sur
mer - Merville
lundi 24
aout 2020 etape 1
Départ de Dives, la fois dernière, malgré les deux heures d'attentes à la gare, la fatigue et la chaleur m'avaient coupées les jambes. Je n'avais pas eu le courage de visiter Dives. Chose réparé aujourd'hui. Mais je regrette j’aurai du descendre à Port Guillaume, je n’ai toujours pas photographié le beffroi.
Départ de Dives, la fois dernière, malgré les deux heures d'attentes à la gare, la fatigue et la chaleur m'avaient coupées les jambes. Je n'avais pas eu le courage de visiter Dives. Chose réparé aujourd'hui. Mais je regrette j’aurai du descendre à Port Guillaume, je n’ai toujours pas photographié le beffroi.
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km Temps
Arret V/d V/g
Dénivelé Indice d’éffort
15,4 3h00 0 5 5 7 + 25f- N1
Le centre ville est
un peu éloigné de la gare, pour y accéder nous prenons la rue de la Libération
sur la droite en sortant de la gare, au rond point nous prenons à gauche la rue
du Général de Gaulle (D 513). [Située à
l'embouchure de la Dives, entre les collines du Pays d'Auge et les marais, la
cité de Dives était connue à l'époque romaine où son port avait une grande
importance. Dès 858, le fleuve est emprunté par les vikings. En l'an 1001 se
produit un fait capital pour l'histoire de Dives-sur-Mer : la pêche en mer d'un
Christ miraculeux. La légende du Christ Saint Sauveur est née et le modeste
village de pêcheurs devient un lieu de pèlerinage. Mais la grande page de
l'histoire est écrite quand Guillaume le Conquérant rassemble ses troupes en
1066 pour partir à la conquête de l'Angleterre. Devenu roi, il dote le bourg
d'un édifice roman, qui sera agrandi aux 14 et
15ème siècles en style Gothique.
En parallèle l'activité commerciale se développe : les moines de la Baronnie de
Dives-sur-Mer obtiennent un droit de marché. Les Halles médiévales perpétuent
cette tradition chaque samedi matin. Dives-sur-Mer est aussi un relais de poste
sur la route de Caen à Rouen par les grèves. L'hostellerie a vu séjourner de
nombreuses célébrités dès le 15ème siècle. A la fin du 19ème, l'engouement pour
les bains de mer entraîne le développement des transports. L'engouement pour
les bains de mer entraîne la création des lignes de chemin de fer
Mézidon/Dives-sur-Mer et Deauville/Dives-sur-mer. On peut enfin venir de Paris
à la plage. Un bateau à vapeur relie Dives-sur-Mer à Trouville et au Havre.
Plus pittoresque encore, le Decauville relie Caen à Dives-sur-Mer. Les
voyageurs rejoignent leur lieu de villégiature en voitures tirées par des
chevaux. C'est l'époque des visiteurs célèbres, Marcel Proust décrit la région dans son
roman " La Recherche du Temps perdu ". Parmi les premiers
archéologues : Arcisse de Caumont remet à l'honneur l'histoire: on lui doit la
liste des compagnons de Guillaume-Le-Conquérant qui figure dans l'église. Dives-sur-Mer reste un lieu de marché, de restauration, de villégiature aussi.
On
doit à cette époque, le Château de Sarlabot, le Manoir Foucher de Careil,
Les Tilleuls, la villa des Bossettes et la transformation de l'ancien relais de
poste en une hostellerie renommée "le village
Guillaume-Le-Conquérant". Dives-sur-Mer prend alors une nouvelle identité
avec l'essor d'une vie industrielle. C'est
l'ère industrielle qui va marquer en profondeur la ville et lui forger une
nouvelle identité. Le chemin de fer et le port sont des atouts qui séduisent
l'ingénieur Eugène Secrétan et en 1891 la création d'une usine métallurgique
transforme Dives-sur-Mer en cité industrielle florissante. Elle exploite un
brevet d'étirage du cuivre "Elmore et Secrétan" et deviendra "La
Société Française d'Électrométallurgie", plus tard "Cegedur" et
"Trefimetaux" au fur et à mesure de la diversification de ses
fabrications : cuivre, laiton, aluminium, duralumin, maillechort, plastique...
Pendant la guerre l'usine fournira les douilles d'obus. Des générations ont
travaillé à la fonderie et dans les ateliers de laminage et d'étirage. Des
familles de la côte, du pays d'Auge mais aussi du Maroc, de Pologne, de Russie
se sont installées à Dives-sur-Mer . Leur histoire se lit encore dans les cités
ouvrières "rouges" ou "blanch
es", les jardins ouvriers qui
entourent la ville et dans la diversité des associations culturelles et
sportives. Au début du 20ème siècle, le développement de Dives-sur-Mer se
traduit par la construction de nombreux équipements publics. Ce sont les écoles
publiques, la mairie et la salle des fêtes, aujourd'hui cinéma "Le
Drakkar". L'usine emploiera jusqu'à 2000 ouvriers et en comptera encore
900 lors de sa fermeture en 1986. Dives-sur-Mer est alors confrontée à une
nouvelle mutation et à un nouveau défi. Une conversion s'opère, la mono
industrie cède la place à de nouvelles activités industrielles et commerciales
qui s'implantent au sud de la ville. L'emplacement même de l'usine retrouve une
vocation maritime : un port de plaisance y est aménagé et un parc de résidences
construit. En bout de quai, le port de pêche et la Halle à
poissons gardent
leur vocation. Des vieux gréements témoignent également de la tradition locale
de ces activités. Sur l'ancien site industriel deux bâtiments sont préservés :
le Beffroi qui fait l'objet d'un projet de rénovation et les anciens bureaux
transformés en Médiathèque. Dives-sur-Mer est une cité ouvrière entourée de
stations balnéaires. https://www.dives-sur-mer.fr/vivre-a-dives-sur-mer/un-passe-une-memoire-un-patrimoine.html] Coupons
le Boulevard Maurice Thorez, poursuivons en face. Nous passons
devant de belles maisons, et arrivons au centre ville avec la mairie et
son petit beffroi, puis le cinéma dont la façade date certainement des années
vingt (1920), attenant se trouve le bâtiment de la poste dans le même style. Prenons
sur la droite la rue Gaston Manneville (Laissons pour l’instant le village
d’art). Longeons les façades avec leurs grosses grilles de défenses. Nous
arrivons devant l’église [Au-dessus de la porte principale, à
l’intérieur de l’Eglise Notre Dame, on peut lire
la liste établie au 19ème
siècle des proches de Guillaume, ceux qui ont participé à la bataille
d’Hastings. « … Au pied du coteau, à l’embouchure de la Dives, le duc Guillaume
rallia la flotte qui transporta la puissante armée sur les côtes de
l’Angleterre… après avoir campé pendant un mois sur cette rive avant de
s’embarquer… ». L’Eglise Notre Dame de Dives sur mer fut tout
d’abord une petite chapelle construite au XIe siècle. Elle dépend de l’abbaye
aux Hommes de Caen. En effet, un siècle après sa construction, la chapelle devint trop petite pour
accueillir les fidèles. Guillaume Le conquérant effectua alors des dons afin de
bâtir un édifice de style roman. Elle a été agrandie au XIVe et au XVe siècle,
mais l’Eglise a été grandement endommagée par les Huguenots au XVIe siècle. Son
architecture actuelle, qui tient du style gothique flamboyant, est différente
de celle qu’elle affichait lors de sa construction. L’Eglise de Dives Sur mer est également un lieu de pèlerinage depuis que la
légende rapporte qu’un Christ miraculeux, saignant d’un genou, aurait été pêché
le 06 Août 1001. Ce dernier n’était pas accroché sur une croix mais quelques
années plus tard, on aurait repêché une croix nue qui se serait parfaitement
adaptée au Christ précédemment pêché. On aurait alors déposé cette croix dans
la chapelle de l’Eglise. Cependant, ce Christ aurait été volé durant les
guerres de religion, et les pèlerins auraient alors cessé de se déplacer
jusqu’à l’Eglise de Dives sur mer. La croix actuelle est une réplique datée du
XVIIe siècle. L’Eglise, possède plusieurs éléments remarquables. D’abord, un
trou au lépreux est visible depuis l’extérieur. Il s’agissait d’une ouverture
permettant aux lépreux d’assister à la messe sans avoir à entrer à l’intérieur
et à se mélanger aux fidèles.
Un autre point remarquable se trouve au-dessus du fronton de l’Eglise de Dives
sur Mer. Au-dessus de la porte d’entrée, Arcisse de Caumont a fait placer une
plaque. Elle recense les noms des 475 hommes qui accompagnèrent Guillaume Le
Conquérant à la conquête de l’Angleterre. En effet, c’est bien de Dives sur mer
que le futur roi d’Angleterre partit en 1066, accompagné d’environ 6000 hommes.Enfin, on dénombre plus de 400 graffitis marins gravés sur les murs, une
originalité qu’on ne s’attend pas à trouver dans une Eglise. http://www.lafabuleuseepopee.com/dives-sur-mer-leglise-notre-dame/]
Prenons la rue Paul Canta sur la droite, nous arrivons devant la vieille Halle [Les Halles de Dives-sur-mer témoignent de
l'activité
importante d'un marché, assurément antérieur au 11ème siècle, époque
à laquelle le petit bourg portuaire de Dives sort de l'anonymat grâce à la
conquête de l'Angleterre, en 1066. Des datations des pièces de charpente réalisées en
2012 ont permis d'établir que la mise en oeuvre des Halles a eu lieu au début
du 15ème, entre 1405 et 1423. Elles mesurent aujourd'hui 50X12 mètres. Elles
sont
constituées d'un vaisseau principal et de deux bas-côtés symétriquement disposés. La charpente repose sur une série de 66 piliers de chêne, comme toutes
les constructions importantes de cette époque. Les Halles étaient
entièrement ouvertes à l'origine jusqu'au début du 20ème siècle. Les bas côtés
actuels ont été rajoutés récemment, dans le style du pan de bois typique du
Pays d'Auge, qui emploie le bois pour l'ossature et le torchis (argile mêlée de
paille) pour les cloisons entre les colonnes. Le toit est constitué de tuiles
anciennes en argile locale. La charpente est restée
dans son état d'origine. Dans les années 1950, la partie orientale des Halles a
été fermée. Un pavage a été posé, rehaussant le sol d'une vingtaine de cm, et
des fenêtres ont été ouvertes sur la toiture pour laisser pénétrer le jour.
Chaque Samedi matin, les Halles retrouvent leur plus ancienne fonction (on peut
encore voir les enseignes accrochées à la charpente). Elles abritent un des
marchés les plus réputés de la Côte fleurie. Tout au long de l’année, mais plus
particulièrement l'été, les Halles accueillent de nombreuses manifestations.
Spectacles, expositions, fêtes et festivals s'y succèdent pour le plus grand
plaisir de tous. https://www.dives-sur-mer.fr/tourisme/patrimoine/halles-du-14eme-siecle.html] Poursuivons jusqu’au rond point face à nous quelques éléments de l’ancienne
abbaye
à l’origine ma trace partait vers Port Guillaume. Je
prends la rue de la boucherie, nous débouchons rue de la Baronnie et sous un
porche je vois la direction du village d’art Guillaume le Conquérant, je m’engage
dans le petit jardin et par une allée fleurie et arborée débouchant dans une
cour. [Au coeur de Dives-sur-Mer, un village typiquement normand et ses
boutiques artisanales. Situé à 200 mètres des Halles et de l'Eglise, le Village d'Art
Guillaume-le-Conquérant est ouvert gratuitement au public. On peut le
visiter à loisir et y rencontrer des artistes, des restaurateurs, des
antiquaires et des artisans. Ancien relais de poste situé entre Rouen et Caen par le chemin de la grève,
l'ensemble comprenait des galeries extérieures pour accéder aux chambres, des
écuries et ses dépendances. Il reste de cette époque quelques parties de
bâtiments faciles à discerner dans la cour Louis XIV.A la fin du 19ème siècle, avec la mode des bains de mer, une clientèle riche
s'implante et l'auberge connait une époque de splendeur grâce à Monsieur Le
Rémois. Cet aubergiste au talent exceptionnel assure à son établissement une
réputation étendue et reçoit de nombreuses célébrités artistiques, littéraires
ou politiques. A la fin du 19ème siècle, Le Rémois, aubergiste
et collectionneur, rappelle l'épopée de Guillaume le Conquérant
Grand amateur
d'art, Le Rémois transforme l'auberge et fait orner les bâtiments normands de
colombages et de sculptures sur bois dans un style Médiéval ou Renaissance. Sur
les toitures, il installe des épis de faitage. Il fait appel à l'archéologue
Lotin de Laval pour reproduire des moulages de décors antiques. Collectionneur,
il installe dans les trois cours des sculptures sur pierre authentiques du 17
et 18èmes siècles, parfois issues d'anciennes églises ou manoirs de la région. Le
Rémois célèbre le souvenir
de Guillaume le Conquérant qui, à Dives en 1066, a
constitué sa flotte et regroupé son armée pour la Conquête de l'Angleterre. Le
fronton du porche est gravé : «Hostellerie Guillaume Le Conquérant». Une
fresque reproduisant partiellement la Tapisserie de Bayeux est installée dans
la «Salle du Départ» qui abrite aujourd'hui l'Office de Tourisme. https://www.dives-sur-mer.fr/tourisme/patrimoine/village-d-art-guillaume-le-conquerant.html] Nous
ressortons de cet ensemble dans la rue d’Hastings que je prends à gauche, je ne
me rends pas comme ma trace me l’indique la direction de Port Guillaume. Remontons la D 45 e
rue du Général De Gaulle, traversons le pont ‘’Brigade Piron’’ au dessus de la
Dives [La Brigade Piron est une unité belgo-luxembourgeoise qui
participa à la bataille de Normandie et à la libération de la Belgique et des Pays-Bas aux côtés
des
La Dives |
armées
alliées pendant la Seconde Guerre mondiale. Les origines de la brigade Piron se trouvent dès 1940, parmi les militaires belges qui sont parvenus à se
réfugier en Grande-Bretagne en compagnie du gouvernement belge d'Hubert Pierlot et Paul-Henri Spaak
en exil à Londres. Fin juillet 1940, on trouve 462 hommes dans les Forces Belges
de Grande-Bretagne. L’arrivée de nombreux Belges permet la création de
plusieurs unités militaires terrestres. Les troupes sont entraînées en
Grande-Bretagne et au Canada, et l’année 1942 voit l’arrivée en Écosse du major Jean-Baptiste Piron, qui entre rapidement dans l’état-major des
forces terrestres, et reçoit la mission de parfaire l’entraînement de ces
troupes. Une unité luxembourgeoise de 70 volontaires est affectée en mars à la
brigade qui devient donc belgo-luxembourgeoise (43 nouveaux volontaires
luxembourgeois rejoignent la brigade en septembre 1944). En raison
de l’appel aux Belges du monde
entier, on y parle trente-trois langues. Le débarquement du 6
juin 1944 se déroule sans le Groupement
belge, à la grande déception des 2 200 hommes qui le composent, mais
les Britanniques préfèrent les réserver pour la libération
de la Belgique. Le colonel Piron fait
pression sur le gouvernement belge en exil, qui lui-même sollicite le
gouvernement britannique pour faire envoyer les troupes belges au front, le
moral de ces troupes déclinant sérieusement. Le 29 juillet, le
Groupement belge reçoit l’ordre de se tenir prêt à faire mouvement vers Tilbury pour y
embarquer à bord de quatre Liberty ships. Les
premières unités arrivent le 30 juillet en
Normandie, mais le gros de la troupe arrive à Arromanches et Courseulles le 8 août avant la
fin de la bataille de Normandie. Le groupement est placé sous le commandement de la 6e division
aéroportée britannique du général-major
Gale, qui dépend de la 1re Armée
canadienne. Jean-Baptiste Piron prend
contact avec l’état-major britannique, et le Groupement belge reçoit son
baptême du feu le 9 août. Les
troupes belges passent à l’attaque le 17 août, dans le
cadre de l’opération Paddle, en compagnie des troupes britanniques et néerlandaises.
Franceville est occupée dans la soirée et officiellement libérée le
lendemain ;
Varaville est à
son tour libérée le 20 août. Les blindés se séparent de l'infanterie et partent avec
les Britanniques. Dives-sur-Mer et Cabourg sont prises le matin du 21 août, puis Houlgate dans
l’après-midi, Blonville-sur-Mer, Villers-sur-Mer et
Deauville le 22 août, puis Trouville-sur-Mer
et Honfleur le 24. Les blindés
rejoignent le reste du groupement le 26 août à Conteville et Foulbec, jour où
il passe sous le commandement de la 49e division britannique.
Suite dans wikipédia] Poursuivons par l’avenue du Général Leclerc, je
devais me rendre dans le centre de Cabourg par l’avenue de la mer, je modifie
de nouveau ma trace et poursuis en ne
prenant que les extérieurs, la route fait
fourche, je prends à droite l’avenue Charles de gaulles, puis à droite l’avenue
de la Bréche Buhot. J’arrive à la mer et prends sur la gauche la promenade
Marcel Proust et en final je profite de la marée basse pour longer les plages,
j’ai toujours l’air aussi ridicule avec mon gros sac à dos sauf que cette fois
ci je me suis déchaussée. C’est un sacré raccourcie, de Dives le GR 223 ne
passe pas par la mer, mais par le marais. Je longe les plages du Panoramas, Le
Home, Les Dunes, Le Home Merville, je
sors de la plage bien trop tôt, et rejoins la
route de Cabourg (D 514) que je prends sur la droite, longe tout les campings
et j’arrive à mon gîte d’un soir, ou je dépose mon sac et poursuis ma balade en
touriste, plagiste. Rejoignant la mer par l’avenue de Paris, prenons sur la gauche le
Boulevard Wattier, passons la barrière et suivons la piste cyclable se
dirigeant dans les dunes, nous nous dirigeons vers La redoute [La redoute de Merville est un ancien édifice
militaire, construit en 1779. La redoute, construite sous Louis XVI, est
l'unique vestige de l'ensemble défensif de l'embouchure de l'Orne érigé contre
une éventuelle attaque anglaise, et la
protection de Caen. Pendant la Seconde Guerre
mondiale, elle fut incorporé au
dispositif allemand du mur de l'Atlantique et fut entouré d'un réseau de bunkers et de casemates formant
le « Stützpunkt (point d'appui lourd) Franceville West, codé
Stp 05 » La redoute est parementée en pierre de Caen. On
peut voir notamment surplombant son entrée, une bretèche en brique
rouge avec assommoir. Wikipédia photo
wikipédia] Au parking je quitte la piste cyclable et fais le tour de la réserve
Ornithologique en prenant un sentier entre l’Orne et l’étang du gros Banc. Ce
n’est jamais très jolie les marais à marée basse, nous passons quelques
observatoires ou j’apprendrais ce que nous pourrions voir avec un peut de
chance et surtout que dans la baie de Sallenelles on y trouve des phoques… Je
pensais qu’ils n’y en avaient que dans la baie de Sommes. Nous longeons la
station dépuration, longeons le parking et je n’ai trouvé que la D 514 pour
revenir à Merville.
Trace : Piste_2020-08-24 AOUT ETAPE1.gpx
Ces vitesses
sont moyennes pour le : HKG (Randonnée)
Fiabilité de
la trace originale: E (45/25/2/2/2/63)
Distance
totale: 10.1 Km
Distance
analysée: 10.1 Km
Distance
linéaire: 9.25 Km
Dénivelée
positive accumulée: 7.05 m
Dénivelée
négative accumulée: 15.81 m
Altitude
maximale: 17.9 m
Altitude
initiale: 17.9 m
Altitude
finale: 11.05 m
Pourcentage
de montée: 4.44 %
Pourcentage
de descente: 1.54 %
Dénivelée
positive par Km: 0.82 m
Dénivelée
négative par Km: 1.83 m
niveau d’effort :
·
0 à 25 = niveau 1 (facile). aucune difficulté physique
particulière.
·
25 à 50 = niveau 2 (assez facile). Les difficultés
physiques très limitées.
·
50 à 75 = niveau 3 (peu difficile). L’engagement
physique reste raisonnable.
·
75 à 100 = niveau 4 (assez difficile). L’effort
soutenu, difficulté physique importante.
100 et plus = niveau 5 (difficile).
L’effort est très important. Il faut une réelle préparation physique 




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