Poursuite de mes promenades autour de la France Aujourd’hui ; nous mènera en Normandie. Mon étape nous emmènera de Foulbec à Honfleur
Pourquoi une carte aérienne au lieu de la carte IGN ?
L'institue à pour l'instant décidé que les IFRAM permettant d'afficher leur cartes sur les blogs ne fonctionnerait plus avec Edge et Chrome. Ma correspondance avec le SAV de Géoportail ne me laisse pas beaucoup d'espoir d'une amélioration. C'est 25% des recherches pour mon blog. Si vous chercher une rando et que vous obtenez un rectangle gris, comme trace, vous passerez à un autre site, sans savoir que la carte s'affiche sur un autre moteur de recherche. Au fur et à mesure, je remets mon blog à jour avec une carte moins détaillé, mais fonctionnent sur tous les sites. Un lien vous permettra de retrouver une page de réorientation vous permettant d'obtenir la carte sur géoportail. La carte s'ouvrira dans un nouvel onglet. Pour l'instant ce lien fonctionne. Pourquoi faire simple lorsque l'on peu faire compliquer
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Carte OpenStreet Trace GPS et Topo sans commentaires Trace Randogps
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Le code mobile de cette randonnée est b301163
Carte VisoRando
Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
De ma
chambre d'hôte situé sur les hauteurs du Petit Hébert, je redescends pour rejoindre
le GR 224. Arrivé à l’église je poursuis mon itinéraire en prenant sur la
gauche le chemin bitumé du Rouge Chevalier. Nous arrivons devant le pignon d’un
hangar, la route tourne sur la gauche et descend, nous arrivons au Val. La route
fait fourche nous prenons à droite et remontons de l’autre coté du Vallon par
la route des Papillons. Nous marchons entre maisons individuelles, granges et
fermes, nous avons une vue étendue sur l’horizon, et les falaises blanches
bordant la Seine. Au pied de la colline le Marais Verdier. Notre route se
termine sur une autre formant Té et s’appelant La Côte Maquaire, nous prenons à
gauche, et perdons le balisage
bleu, partant à droite. Prenons à gauche vers
le sentier des hameaux, après la dernière ferme nous retrouvons un chemin
montant vers la foret. A la fourche poursuivons le chemin tout droit en lisière
de la foret. Nous restons sur la même ligne de niveau et débouchons rue
du Pottier.
Nous trouvons de vieilles pancartes en bois dont la flèche indique
la direction du chemin entre deux grillages et les directions de Saint pierre du
val à 4km et Berville à 5 km. Malheureusement, je ne regarde pas la carte, et ne comprends
pas les vieux panneaux en bois du balisage, m’indiquant Berville tout droit. Sur
mon GPS je dois tourner à droite, je ne grossis pas la carte et prends la route
à droite, pensant que je me détournais pour aller voir le Marais. Je suis tout
étonné de ne pas voir le pressoir. Le bon chemin pour le pressoir c’est de
couper la route suivre le petite sentier c’est d’ailleurs le GR 224 entre les
clôtures, puis prendre à droite la route suivante. Le pressoir étant une bâtisse
dans l’angle de cette route. Je prends donc la route sur la droite et descend vers
le Hameau Pottier. Nous apercevons le marais, les
collines bordant la Seine et
les immeubles situés sur les hauteurs du Havre. Je retrouve à la fourche
suivante le GR et le balisage jaune sans avoir vue la maison du pressoir, j’en
suis étonné en passant devant la ferme du même nom et me dis qu’il doit être
dans l’un des bâtiments et je suis un peu dessus. A la fourche entre la rue du
pottier et du pressoir, nous poursuivons à gauche la rue du pottier. Dans le
virage de la rue face au 721 et du 725 dans un petit renfoncement nous trouvons
après les porches un chemin sur la droite, longeant les clôtures, attention le
balisage est parcimonieux, nous retrouvons les champs, et apercevons au dessus
des arbres le haut des mats et le haubanage du pont de Tancarville. Le chemin
fait fourche, nous prenons à droite, et arrivons
à une patte d’oie inversé poursuivons
à droite, puis de nouveau une fourche faisons un esse gauche-droite et au
carrefour avec un triangle herbeux en son milieu, prenons à droite le chemin de
la Picotière. Le GR semble avoir été refait de ce coté, puis nous prenons un chemin herbeux sur
la gauche entre des clôtures. Pourquoi ce chemin ? pourquoi ne pas avoir
continué la rue du pressoir ? de chemin nous retrouvons le bitume de la
rue du Mont Picot, nous débouchons rue du pressoir que nous prenons à droite et
un peut plus loin la rue sous le bourg sur la droite. Nous débouchons après
avoir longé le parking de l’église sur la D 312. Nous sommes à Conteville. [Histoire ; Herluin, un chevalier, épousa la concubine du duc Robert Ier de
Normandie, Arlette de Falaise, et lui
km temps
arrêt vd vg dénivelé difficulté
29,5 5:45 0:15 5,1 4,9
545+ 87ad-N1
Je ne pensais
pas que la Normandie était aussi vallonnée, c'est un paysage qui me plait bien.
j'ai de la chance, il fait beau, sans faire trop chaud. Dans le sud, il a été
annoncé de grosses chaleurs. Je suis bien en Normandie, même si cela monte un
peu trop à mon goût pour cette année. Je fais le découvreur, mais je le savais
en traçant l'itinéraire, sauf que l'on se dit ; ce n'est pas possible, le
calculateur s'est trompé. Cela rassure.
Vieux pressoir copie d'écran google map |
qu’il donna quelque temps après à Gérard de Fornival, pour le service d’un fief de chevalier. Philippe-Auguste échangea Conteville, en 1210, avec l'abbaye de Jumièges, contre le Pont-de-l'Arche. Saint Louis confirma cet échange en juillet 1246. En 1238, Thomas du Buisson vendit à l’abbaye de Jumièges un manoir qu’il possédait à Conteville, situé entre le chemin de Grestain et le chemin qui conduit à la Vigne. Wikipédia]
novembre 1935, par la CCI qui demande la concession pour sa construction et son exploitation. La décision de sa construction est actée par une loi du 11 décembre 1940, signée par le Maréchal Pétain à Vichy et déclarant le projet d'utilité publique. En novembre 1951, la CCI, maître d'ouvrage, lance un concours international et quatorze groupements d'entreprises remettent leurs projets en août 1952. La maîtrise d’œuvre est confiée aux Ponts et Chaussées du département de la Seine-Maritime. En 1954, la Chambre de commerce et d'industrie, assistée des Ingénieurs des Ponts et Chaussées, choisit le projet qui sera réalisé. Commencé le 16 novembre 1955, le pont a été mis en service le 2 juillet 1959, dans les délais prévus. Jusqu'à la date d'ouverture du pont de Normandie, il a été le
18 mètres. La hauteur libre pour la navigation, ou tirant d'air, est de 50 mètres. Les câbles sont reliés à deux massifs d'ancrage dont le plus lourd pèse 36 000 tonnes et a des dimensions voisines de celles de l'Arc de Triomphe. Des essais en soufflerie ont permis de vérifier la tenue de l'ouvrage à toutes sortes d'oscillations dues au vent. Ce fut un des premiers chantiers de cette importance à se dérouler sans accident mortel. Wikipédia]. Faisons un esse droite gauche et prenons la route de la petite fontaine, nous descendons jusqu’à la petite station d’épuration et prenons à gauche le chemin dans les champs. Nous débouchons sur une nouvelle route que nous prenons à gauche (chemin de la Grande Chaussée) nous sommes toujours sur le GR 224,
également sur un site touristique que j’ai copié ce peu de documentation sur ce village.] Poursuivons la rue du bac, coupons la D 312, poursuivons tout droit, et longeons la mairie par la rue de la Côte Cousin, la route se rétrécie, au carrefour suivant nous prenons à droite l’impasse de la Pannerie (GR, un sentier découverte, un balisage jaune), de rue nous passons à chemin, nous nous dirigeons vers le Mont Courel. Nous avons changé de GR ce n’est plus le 224, mais le 223 – E 9. Grimpons les cinquante deux mètres du mont Courel [Juché sur les
En se retournant
nous apercevons les falaises de silex bordant la Seine sur l’autre rive. Nous
débouchons sur la route de la Côte de L’Epinette, poursuivons tout
droit. Nous arrivons au carrefour et prenons à droite la rue des Quesnots (impasse
des genets sur la carte google map) petite route avec de l’herbe au milieu
desservant des maisons, le bitume se termine au niveau d’une fourche, nous
prenons à gauche, nous sommes sur le GR et un balisage jaune. Nous débouchons
sur le bitume au nouveau d’un carrefour, poursuivons tout droit la route du
phare, toute petite route desservant de belles maisons. Attention après une
maison à toit de chaume nous arrivons sur un triangle de pelouses devant la
haie d’une maison. Le GR part sur la droite, fait un crochet sur un terrain
arboré pour revenir sur la route du phare au niveau d’une fourche, nous
poursuivons en la prenant à gauche) nous passons devant le
phare déséquipé 
de Fatouville [La construction du phare commença en 1839 pour se terminer en 1850. Le Phare de
Fatouville servait à guider les bateaux sur l’estuaire de la Seine. Arrêté en
1907, il est revendu à un particulier en 1921. Il appartient toujours à la même
famille. wikipédia] [Historiquement, ce phare marquait l’entrée de l’estuaire
de la Seine, côté Honfleur. « Construit
sur le plateau à 101 mètres d’altitude, c’était le phare qui se voyait du plus
loin en arrivant au large de l’estuaire, puisqu’il se situe donc à 133 mètres
au-dessus du niveau de la mer », explique Anne Durand, la propriétaire
des lieux. « La première pierre de ce
phare a été posée en 1839 et l’État n’a achevé la construction qu’en 1850.
Il a fonctionné plus d’un demi-siècle
à l’huile de baleine et à l’essence de
colza. Désaffecté en 1907, il n’a jamais été électrifié et a été remplacé par
les bateaux-phares marquant l’entrée du chenal. » nos hôtes peuvent bénéficier
de la vue qu’offre la tour du phare… À condition d’avoir le courage de gravir
les 192 marches. https://www.ouest-france.fr/normandie/fatouville-grestain-27210/le-phare-de-fatouville-s-ouvre-au-public-5707060] Poursuivons la route dans un virage nous
trouvons une patte d’oie inversée poursuivons tout droit, nous arrivons sur une
fourche avec un calvaire nous prenons à droite la route de la Côte de Joble en
direction de l’ancienne Abbaye sur une cinquantaine de mètres et puis le chemin
sur la gauche. Nous descendons dans le bois. Dans le bas nous trouvons une
fourche
prenons à gauche (GR et balisage bleu), c’est l’impasse du val anglais, je fais
un crochet pour voir un lavoir, l’eau par un petit canal rejoint l’étang d’une
belle maison. Nous sommes dans la vallée des sources. Nous débouchons sur un
chemin carrossable avec de l’herbe dans le milieu, les belles maisons à toit de
chaume se succèdent. Nous débouchons sur la D 312 (route de l’estuaire), que
nous prenons à gauche sur quelques dizaines de mètres. A l’abri bus nous prenons
le chemin de gauche (rue du bois de la Vigne) ou (sur certaine carte, si je ne
me trompe pas cela s’appelle le clos du milieu). Ce n’est qu’un peu plus haut,
au niveau de la fourche que cela s’appellerait le bois de la vigne. En comparent les deux cartes ont peut si retrouver avec une
bonne habitude de la lecture de carte ‘’sur le téléphone’’. Il vaut mieux
malgré tout suivre la trace que vous avez copiée.) Nous montons dans le
bocage normand alternance de prairies séparées par des haies d’arbres. Dans la
montée il faut se retourner pour la vue, le Pont de Normandie, L’estuaire, le
havre et la zone industrielle en bordure de la Seine. Nous arrivons à une
fourche inversé avec un îlot en triangle, poursuivons tout droit, traversons un
bois. Nous arrivons à un carrefour avec un petit triangle d’arbre en son milieu
prenons le chemin de gauche (le balisage est sur un poteau ayant quelques
faiblesses). C’est un chemin carrossable en foret, nous arrivons devant quelques
maisons et prenons sur la gauche l’impasse de l’Arglière. C’est un chemin carrossable desservant
quelques maisons. Nous retrouvons les champs et les
prairies. La trace nous fait prendre le premier chemin sur la droite au milieu
des champs, sur les cartes elles portent le nom ; impasse des Poiriers,
puis nous coupons la route de la vieille côte ou sur d’autre carte le haut de
la côte, poursuivons en face par l’impasse des poiriers. De chemin nous passons à bitume. Notre chemin devient impasse aux fleurs. Nous débouchons rue de la
petite côte que nous prenons à gauche. Longeons la D 180 (route
d’Honfleur), puis nous la coupons (pas facile dans une monté avec un virage, peu de
visibilité, c’est une route circulante). Prenons en face la rue du stade. Nous
descendons. Quelques centaines de mètres plus loin, poursuivons à gauche la rue
du La photo n'est pas en rapport avec le texte |
sur la gauche. [À la veille de la Révolution, Louis-Jean-Baptiste de Brévedent est seigneur d'Ablon. En 1809, Ablon s'agrandit par la réunion avec deux autres communes : Crémanville et Ableville. Ablon fut également le siège de la dynamiterie Nobel de 1879 à 1989. Elle cessa son activité après une forte explosion qui tua cinq personnes, dont le directeur de l'usine, et en blessa huit autres le 3 mars 1988. Des vitrines furent brisées jusqu'à Honfleur, située pourtant à plus d'un
surplomb de l'embouchure de la Seine. Il subsiste aujourd'hui de ce deuxième château une seule tour. Église Saint-Pierre-ès-Liens XVe-XVIe siècles. Le château actuel peut-être décrit comme une gentilhommière en briques roses d'époque Louis XVI, au cœur de la campagne normande, entouré d'un parc à l'Anglaise d'une dizaine d'hectares avec cèdre du Liban tricentenaire, pavillon chinois du XIXe siècle, ferme, écuries et pigeonnier du XVe siècle, allée de tilleuls formant une

Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html
Trace : 2020-07-29 FOULBEC- HONFLE.gpx | |||||||||||||||||||
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Niveau d’effort :
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0 à 25 = niveau 1
(facile). aucune difficulté physique particulière.
·
25 à 50 = niveau 2
(assez facile). Les difficultés physiques très limitées.
·
50 à 75 = niveau 3 (peu difficile).
L’engagement physique reste raisonnable.
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75 à 100 = niveau 4
(assez difficile). L’effort soutenu, difficulté physique importante.
100 et plus = niveau 5 (difficile). L’effort est très important. I
faut une réelle préparation physique.
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