Poursuite de mes promenades autour de la France Aujourd’hui ; nous mènera en Normandie. Mon étape nous emmènera de Brionne à Montfort sur Risle
Reprise de mon
itinéraire ‘’dit de retour’’. Poursuivre mon entrée en Normandie jusqu’à la mer
et puis vers le Cotentin.
Je reprends
mon itinéraire dans la petite ville de Brionne quatre trains par jour, deux le
matin, un le midi et un en fin d’après midi, faut pas les louper. C’est
incompréhensible, si peut de train sur une ligne transversale relient, Rouen à
Caen sans passer par Paris…
Brionne-Montfort sur Risle
Juillet 2020 -
Etape 2015
Pourquoi une carte aérienne au lieu de la carte IGN ?
L'institue à pour l'instant décidé que les IFRAM permettant d'afficher leur cartes sur les blogs ne fonctionnerait plus avec Edge et Chrome. Ma correspondance avec le SAV de Géoportail ne me laisse pas beaucoup d'espoir d'une amélioration. C'est 25% des recherches pour mon blog. Si vous chercher une rando et que vous obtenez un rectangle gris, comme trace, vous passerez à un autre site, sans savoir que la carte s'affiche sur un autre moteur de recherche. Au fur et à mesure, je remets mon blog à jour avec une carte moins détaillé, mais fonctionnent sur tous les sites. Un lien vous permettra de retrouver une page de réorientation vous permettant d'obtenir la carte sur géoportail. La carte s'ouvrira dans un nouvel onglet. Pour l'instant ce lien fonctionne. Pourquoi faire simple lorsque l'on peu faire compliquer
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Le code mobile de cette randonnée est b300920
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Carte VisoRando
Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
km arret temps
v/d v/g déniveler Niveau d'effort
19,6 3:57
0:45 5,1 4,6
304 m 71ad-N1
mais 476 avec la monté au château
Pour
une reprise c'est un parcours assez vallonné, heureusement qu'il n'y a pas trop
de kilomètres. J'ai failli louper la gare de Brionne, un incident technique a
bloqué ou déréglé l'annonce des gares dans le train. Je descends en catastrophe
à la gare de Brionne... Cela commence bien. J’avais étudié un parcours pensant
rallonger de quatre semaines à cinq semaines mes randos autour de la France,
mais en plus du problème du peu de trains, il y avait un soucie de couchage, il
me semble qu’à l’époque de mes recherches je n’avais rien trouvé dans mes prix
ou alors les gîtes se trouvaient trop loin. Aujourd’hui un petit
hôtel-restaurant a rouvert après des mois de travaux à l’intersection des
chemins du GR 224 rive gauche et du chemin du Mont Saint Michel.
La gare étant excentrée du village je ne le traverse pas, il a été fait dans l’étape précédente. Sortons de la gare par la rue du Générale de Gaulle et prenons à droite la rue Tragin, puis à droite la route de Cormeilles, nous avons un balisage jaune. A première vue on se dit que l’on va faire un grand détour, mais il existe encore un portillon permettant de couper les voies. Avec quatre trains par jour on ne risque pas grand-chose. Traversons la D 438 et poursuivons en face par la D 26 route de Cormeilles, nous trouvons le GR 224 rive gauche. Prenons le chemin des Vignerons sur la droite (route bitumée), puis le chemin de la côte des Vignerons sur la gauche. Si pour les vignes, il n’en reste aucune trace, elles sont remplacées par la foret, par contre la côte est bien là. C’est une bonne mise en jambes. Le chemin est encastré durant la monté dans un profond ravin. Bois et champs se succèdent, ainsi que de petits villages avec quelques maisons en toits de chaumes. Certainement bien trop coûteux le chaume à été remplacé par de l'ardoise sur bon nombre de toitures. Le balisage est parcimoni
eux et n’a pas été refait depuis longtemps, nous sommes également sur un balisage bleu et jaune. Nous enchaînons les collines portant bien leur noms de Côtes, côte aux Reines, les côtes, chemins et routes se succèdent, il faut être attentif, le balisage est ancien et parcimonieux, par économie, de peinture et de temps la balise est parallèle au chemin ou à la route, au lieu d’être perpendiculaire ce qui fait que l’on ne la voit pas de loin. Une première modification de sentier… est annoncé par un panneau. Chouette, c’est ma trace, pour une fois la carte est à jour. Nous débouchons sur une route et poursuivons vers le village. Nous étions chemin de l’espalier qui change de nom et devient route de Savoie. Le GR quitte le bitume pour prendre un chemin sur la droite. Nous débouchons dans une vallée devant deux routes faisant fourche, coupons la première route, traversons le triangle d‘herbe et prenons la seconde route sur la droite en direction de Livet sur Authou. La route fait fourche, laissons face à nous la Route Paul Chauvel et prenons sur la gauche la rue de Brétigny. (Nous retrouvons ici une pancarte indiquant la modif du GR) Nous débouchons rue de la Croix Blanche que nous prenons à gauche, laissons la rue du vieux moulin sur la droite, puis la rue (voie sans issu) de la Querbonnerie sur la gauche. Suivons le GR et la D 38 sur la droite, nous entrons sur Livet sur Authou, [Nichée au fonds du vallon de l'Authou, elle se
situe à l'ouest de la vallée de la Risle. Le nom de la localité est attesté sous la forme Liveth au XIIe siècle. Il s'agit d'une formation toponymique médiévale. Probablement « l'ivaie », c'est-à-dire « lieu ou pousse des ifs ». Wikipédia] Nous y trouvons de belles maisons à pan de bois, mais pas toujours à toit de chaume. Juste avant la mairie bâtiment en brique et pans de bois, nous prenons à droite la route de la Vallée, nous passons un cours d’eau. Sur la gauche nous apercevons au loin un château [Construit au XIXè par Juste Lisch. Architecte français. En 1847, il entre à l’École des beaux-arts de Paris comme élève de l'architecte Léon Vaudoyer. Puis il est dessinateur-concepteur dans des ateliers d'orfèvrerie et de bronze, avant de rejoindre l'atelier d'Henri Labrouste. À sa sortie de l'école en 1852, il est attaché aux travaux de restauration du palais de l'Élysée situé dans la rue du Faubourg-Saint-Honoré dans le 8e arrondisseme
carte la C20 est appelée chemin des Bruyères, sur place de la Coudraie. Coupons la D 137 et prenons en face le chemin de la forge (GR-Balisage bleu et de nouveau un orange.) Nous entrons dans le village de Frémeuse [Le nom de la localité est attesté sous la forme Frainosa en 1164. Du latin tardif Fraxinosa, « lieu où poussent des frênes » Freneuse se situait sur le passage de la voie Gauloise qui allait de Rouen à Lisieux. Placé sous le patronage de saint Ouen, ce village faisait partie de la forêt du Vièvre donnée à Raoult d'Ivry pour avoir tué un ours. Son fils Jean, eut Freneuse dans son lot et il en fit don aux évêques d'Avranches. L'alliance de Mathilde de Freneuse avec Guillaume de la Mare fit passer aux seigneurs de la Mare-Gouvis à Sainte-Opportune, la seigneurie et le
patronage de la paroisse de Freneuse qu'ils possédaient sous la suzeraineté des évêques d'Avranches. En 1541, le fief de Freneuse appartenait à Loyse de Bourbon, duchesse de Montpensier, princesse de la Roche-sur-Yon. Wikipédia]. Coupons la D 699, passons devant l’église, ou nous remarquons juste au dessus de la haie la statue de Saint Ouen sculptée dans une niche du chevet regardant le pèlerin passé. Poursuivons par la rue du Lavoir. Au carrefour suivant, nous arrivons au chemin des Côtes, de l’Orme du Buc, prenons à gauche le chemin des Côtes, à la fourche laissons sur la droite le chemin du Romacon, prenons à gauche. « Je me dis chouette je vais longer la vallée jusqu’à la Risle et je vais éviter les côtes, fausse idée, le chemin remonte brusquement pour traverser le
Bois de la Salle et la Côte il faut la monter, pour redescendre immédiatement après ». Nous longeons de plus ou moins près un ruisseau, nous arrivons aux quelques maisons des Côtes. Laissons le bitume desservir les maisons de droite, poursuivons le chemin tout droit, nous débouchons sur un chemin formant Té. Sur la gauche le petit pont permettant de traverser le ruisseau, remarqué que le gué est pavé et qu’il y a des plots pour traverser le reste du ruisseau, mais ce n’est pas notre chemin, il est trop plat. Nous remontons à droite un chemin un peut raviner. Attention ce passage n’est pas très bien indiqué par le balisage. Dans la monté le chemin fait fourche nous perdons le balisage bleu, poursuivons
à gauche, cela monte fort, nous poursuivons par le GR et des balisages vert et orange. Enfin nous arrivons sur le plateau. A l’orée du bois nous perdons les balisages vert et orange poursuivons dans les champs par le GR. Nous débouchons sur une route que nous prenons à droite, (pas de balisage) sur un poteau une trace presque invisible, ne demande qu’un peut de peinture neuve pour reluire à nouveau. Nous traversons le hameau de quelques maisons de la Richerie, quittons le bitume pour prendre le chemin de droite et à la dernière maison (en 2020). Le chemin fait fourche, nous prenons à gauche, passons un fossé. Nous débouchons sur une route (La Beaularderie) nous faisons un esse gauche-droite, nous traversons le hameau de Mahieux (disons la ferme). Poursuivons le GR, balisage bleu et un nouveau jaune. Nous sortons du hameau, la route tourne sur la gauche puis fait fourche avec un chemin, s’appelant sur certaine carte Le Moulin du Vièvre, quittons le bitume et poursuivons tout droit le chemin
longeant une longère, en lisière du bois. Nous poursuivons entre bois et cultures, arrivé devant des fourches, la première est une patte d’oie inversée poursuivons tout droit, la seconde devant les grillages d’une propriété nous prenons à gauche, nous entrons de nouveau dans la foret en fond de vallée. Le chemin forme Té, le GR fait un esse droite gauche, nous abandonnant le balisage jaune. Nous arrivons au village du Moulin du Vièvre, je touche à la fin et j’en ai plein les bottes. Nous débouchons sur la D 39, route de la Butte à Feu, face à une grosse usine et d’un étang. Je quitte le GR 224 rive gauche pour me rendre à mon gîte d’un soir. Faisons de nouveau un esse droite-gauche et prenons le chemin des Fontenelles, longeant l’étang et l’usine Nestlé, jusqu’à la D 47 que nous prenons à droite. Traversons la Risle [longue de 145 kilomètres, considérée comme le dernier affluent de la Seine qu'elle rejoint en rive gauche au niveau de son estuaire. Le nom de la rivière est mentionné sous les formes fluvius Lirizinus au VIIIe siècle (vie de saint Germer), Risla en 1025 - 1041 (Fauroux 34, 98), Risle en
Audemer (28 kilomètres) voient la Risle incliner son cours dans la direction sud-est - nord-ouest. Dans le premier secteur, la rivière reçoit l'apport de nombreuses sources (source des Fontaines) issues de la nappe de la craie qui alimente enfin le cours d'eau et, surtout, de son principal affluent : la Charentonne qui la rejoint en rive gauche à Serquigny. Le débit augmente fortement atteignant 5,5 m3/s à Beaumontel, puis 10,3 m3/s à Nassandres après sa rencontre avec son tributaire majeur, tandis que la vallée s'élargit avec une largeur de 400 mètres. À partir de Pont-Authou, la pente diminue (de 2 ‰ à 1,4 ‰) renforçant la sinuosité de la rivière qui coule désormais dans une vallée large d'un kilomètre. De nombreux petits affluents, ne dépassant pas les 10 kilomètres de linéaire, viennent renforcer le débit qui atteint les 14 m3/s à Pont-Audemer. La dernière partie du cours ou Risle maritime (16 kilomètres) présente un aspect très différent car la rivière, entre Pont-Audemer et son embouchure par laquelle elle se jette dans la Seine sur le territoire des communes de Berville-sur-Mer et de Saint-Samson-de-la-Roque au terme d'un linéaire de 144,7 kilomètres, est soumise à l'influence des marées. Le cours a été profondément modifié par les aménagements et les chenalisations successives. Quelques affluents secondaires comme la Corbie et le Foulbec ainsi que des ruisseaux viennent renforcer le débit de la rivière. Née sur le rebord septentrional des collines du Perche (dans la région naturelle des Marches normandes), la Risle s'écoule vers le nord à travers le pays d'Ouche avant de séparer le Lieuvin à l'ouest de la plaine du Neubourg et du Roumois à l'est. Dernier affluent de la Seine (rive gauche), qu'elle rejoint dans son estuaire, la Risle, d’un point de vue administratif, est un cours d’eau non domanial à l’exception du secteur allant de Pont-Audemer à l’estuaire de la Seine qui appartient au Domaine public maritime français. Wikipédia] Nous débouchons sur la D 47 que nous prenons à droite, traversons une ancienne ligne de chemin de fer nous sommes sur la carte au pont Joly, zone commerciale de Montfort sur Risle ou nous pouvons nous ravitailler pour le lendemain. Nous buttons sur la D 130. L’hôtel restaurant n’ouvre qu’à 18h00 j’ai une heure trente à perdre (Je modifie la trace pour en faire un itinéraire sans allée et retour. Je n’ai pas grand-chose sur Montfort, pour un village disposant d’un château en ruine. Je n’ai pas trouvé un site ayant l’histoire de cette ville. Je me dirige vers un petit parc en bordure de La Risle ou l’on fait l’hommage à
tours d’angles et la tour éperon dont l’implantation vient clairement s’ajouter dans un dispositif initial plus sommaire. Ces modifications reflètent vraisemblablement les transformations effectuées par Hugues IV évoquées au gré des textes et faisant suite aux nécessités imposées par le conflit avec le roi d’Angleterre. Différents récits ont évoqué deux périodes de construction pour le château. En effet lors de la dernière campagne de l'association C.H.A.M, une archère, transform
Portant le titre de vicomte, l’origine de son nom provenait du lieu-dit de Bassebourg situé sur le canton de Brucourt dans le Pays d’Auge dont il était originaire. Il donna naissance à Hugues Ier de Montfort, dit Hugues à la barbe, qui hérita du domaine. Hugues Ier édifia la forteresse de pierre dans sa première configuration. En 1039, il trouva la mort dans un combat contre Vauquelin de Ferrières à Plasnes près de Bernay.Hugues II qui lui succéda était dévoué au duc Guillaume dont il était le connétable. Il l’accompagna dans la plupart de ses expéditions guerrières.
En 1054, aux côtés de Guillaume, il remporte sur les Français l’éclatante victoire de Mortemer. Hugues II accompagne le duc Guillaume à Hastings en 1066 et se voit gratifié de 114 manoirs répartis sur l’Angleterre. Il reçoit également l’honneur d’Haugley, et se voit confier avec Odon de Bayeux la
Robert Ier, connétable héréditaire, s’illustra aux côtés de Guillaume le Roux, roi d’Angleterre. Sur son ordre, il s’empare de la tour du Mans et s’illustre brillamment à travers d’autres faits d’armes, mais en 1102, il abandonne le duc
de Normandie au siège de Vignat et combat contre lui en 1106 à la bataille de Tinchebray. En l’absence de postérité, le domaine de Montfort revint à son neveu qui prit le nom de Hugues IV. Il participa à la conspiration de la Croix-St-Leufroy en 1122 visant à élever au pouvoir Guillaume Cliton au détriment du roi Henri Ier, il en résulta un fort ressentiment du roi Henri qui assiégea le château en 1124. Le château fut remis entre les mains de Galéran IV de Meulan, beau frère de Hugues de Montfort, qui fut prisonnier du roi jusqu’en 1135.
Pendant 36 ans, Galéran occupa les lieux et fit réparer le château. Cependant Robert II, fils aîné de Hugues IV repris à Galéran en 1153 le château que ce dernier avait accaparé. Robert II possédait les trois honneurs de Coquainvilliers, Orbec et Montfort, 21 chevaliers relevaient de lui pour l’honneur de Montfort, 23 pour l’honneur de Coquainvillers, et 11 pour l’honneur d’Orbec, soit un total de 55 chevaliers ce
qui est considérable à l’époque. Robert II mourut en 1179 et c’est Hugues V qui hérita du titre de sire de Montfort. Il est assez peu question de lui dans l’histoire sauf ce que rapportent les Rôles Normands ainsi que de sa participation au paiement de la rançon de Richard Cœur de Lion en 1195. À la suite de la prise de château Gaillard par le roi de France, le château de Montfort s’inscrivit dans la seconde ligne de défense du duché et devint ainsi une pièce maîtresse. Hugues V, fidèle au duc de Normandie Jean sans Terre reçut de nouvelles faveurs. Mais en 1203, Hugues V disparaît des textes et il est fort probable qu’il perdit la vie lors d’un combat. Le château échut à Hugues de Gournay, qui abandonna Jean Sans Terre en livrant Montfort aux troupes de Philippe Auguste.
De par son importance stratégique, la forteresse fut reprise par le roi d’Angleterre qui la détruisit partiellement démolissant les tours, démantelant les murailles, ruinant les chemins couverts, comblant le puits et démolissant les étages supérieurs du donjon. Aussi, quand les envoyés de Philippe Auguste vinrent
reprendre possession de la forteresse, ils n’y
trouvèrent plus que des ruines… Wikipédia] Il y a encore du boulot pour que les quelques pans de murs nous face vraiment penser que nous sommes face à un fabuleux château. En faisant le tour des ruines nous rencontrons les balisages, jaune et un bleu. Le jaune doit être le circuit patrimoniale, le bleu c’est le chemin itinérant partant de la ville de Chartes et se rendant au Mont Saint Michel. Je me rends conte que le balisage redescend par un autre versant. j’ai eu raison de le suivre, c’est beaucoup moins dure que par les escaliers.

Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html
Détaille
Fiabilité de la trace originale: D (460/37/1/2/-/64)
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Niveau du correctif appliqué à la trace: 5
Distance totale: 23.9 Km
Distance analysée: 23.9 Km
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Distance linéaire: 11.85 Km
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Dénivelée positive accumulée: 301.24 m
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Dénivelée négative accumulée: 321 m
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Altitude maximale: 141.6 m
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Altitude minimale: 31.46 m
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Altitude initiale: 59.3 m
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Altitude finale: 39.6 m
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Pourcentage de montée: 4.95 %
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Pourcentage de descente: 4.6 %
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Dénivelée positive par Km: 12.6 m
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Dénivelée négative par Km: 13.43 m
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niveau d’effort :
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0 à 25 = niveau 1
(facile). aucune difficulté physique particulière.
·
25 à 50 = niveau 2
(assez facile). Les difficultés physiques très limitées.
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50 à 75 = niveau 3 (peu difficile).
L’engagement physique reste raisonnable.
·
75 à 100 = niveau 4
(assez difficile). L’effort soutenu, difficulté physique importante.
100 et plus = niveau 5 (difficile). L’effort est très important. I
faut une réelle préparation physique.
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