De Château Thierry à la Ferté Gaucher -
Prom 19 Nogent L'Artaud
Circuit en boucle de gare
Oct 2019
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Carte OpenStreet Trace GPS et Topo sans commentaires Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b322746
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Carte VisoRando 
Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
Km Temps Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
23,4 3h30 0h30 6,7 5,9 300 +
Nogent l’Ataud : [Ce toponyme, comme la plupart des Nogent de France vient de novio-,
élément gaulois signifiant « nouveau », et le suffixe-entum
indiquant un village, un habitat ; soit « le nouveau village ».
En 1171, le nom d’Artaud est cité pour la première fois « Artaldus
Camerarius » dans un texte enregistré à Troyes. C‘est un lettré occupant
une fonction officielle à la cour du Comte de Champagne qui se rend
propriétaire d’un domaine près de Nogent. Il est le chambrier d’Henri 1er (dit
Le Libéral), Comte de Champagne, duquel il reçoit « l’avouerie » du
domaine des moines déjà installés, position dominante qu‘il saura utiliser. Entre
1170 et 1180, Artaud s’empare d’une partie de leurs terres pour y faire bâtir
son château, le château de la Source. En 1182, Un procès le condamne à
dédommager les moines de St Germain. En 1195, Artaud meurt. Il serait inhumé
dans l’église Saint-Pierre-d’en-Haut de Chézy-sur-Marne. Ses cinq fils héritent
du domaine de Nogent qu’ils occupent. En 1339, Nogent est confisqué par le roi
de France (Guerre de Cent Ans). L'abbaye est 
partiellement démantelée et les
religieuses. chassées.En 1360, le traité de Brétigny restitue les terres et le château aux Lancastre.
En 1369, nouvelle confisquation par le roi de France qui cède le territoire à Charles III, roi de Navarre, puis au Duc d'Orléans
En 1486, les Orléans cèdent la seigneurie sous le nom de Nogent-sur-Marne à Jean de Louan.
Le 29 mai 1621, Claude et Antoine de Buz acquièrent l'ensemble du domaine, qui sera cédé à Marie Bouhier de Beaumarchais et à son époux Charles de la Vieuville, seigneur de Pavant, outre les fiefs de Saulchery, du Pont et de Montoiselle.
En 1763, leurs héritiers vendent pour la somme de 257 000 livres, la seigneurie à Noël Florimond Huchet, comte de la Bedoyère, Procureur-général au Parlement de Bretagne, capitaine de dragons au régiment de Monsieur, frère du roi. Jusqu'en 1780, Nogent était entouré de murs avec fossés et portes d'entrée. Je vous laisse lire la suite de la très longue histoire de ce village dans ; http://www.auxpaysdemesancetres.com/pages/la-region-picardie/aisne-02/nogent-l-artaud.html#0jQ1J4z0oXkzW0yV.99]
Sortons de la gare et traversons les voies par le passage à niveau pour rejoindre la Grande Rue, et le GR. Sur la gauche nous trouvons une maison qui ma interpellé n'étant pas dans le même style que les autres. Nous prenons sur la gauche la rue Porteneuve, nous passons devant l'église [de taille imposante, date des XIIIème et XVème siècles, elle est classée au titre des Monuments Historiques. Le chœur, les fonds baptismaux et le transept sont du XIIIème siècle. La nef et les bas-côtés
sont du XVème siècle. Au fond de
l’église se trouve le gisant d’Artaud, cinquième fils d’Artaud, religieux et
trésorier de Saint Etienne de Troyes en Champagne, premier seigneur du village.
Cette église a fait l’objet de rites superstitieux en 1688. La Dalle funéraire (gisant)
d’Artaud, trésorier de Saint-Etienne de Troyes, 5ème fils d’Artaud, premier
seigneur de Nogent . Elle date du XIIIème siècle et se trouve dans
l’église du village. Il apparaît tonsuré et revêtu d’une aube. Il porte à la
main droite un livre de comptes et à l’autre main une clé, le bras porte le
manipule. Ces deux premiers attributs sont censés représenter sa charge de
trésorier. Deux anges partiellement brisés soutiennent un coussin sur lequel
repose sa tête. A ses pieds, un dragon. La légende veut que le lendemain des
noces, les jeunes épousées viennent toucher et baiser cette pierre
tombale. Pour faire cesser cette  |
| Le château |
situé un
mètre plus haut que la rue, comme un quai de déchargement. Revenons sur nos pas,
et prenons à gauche la rue Leduc de la Tournelle, puis
encore à gauche la rue des écoles, dans le virage par la grille de la cour de
l'école nous apercevons quelques arches de l'ancienne abbaye [L'abbaye de Nogent-l'Artaud est une abbaye
de Clarisses, dédiée à Saint-Louis, fondée en 1299 par Blanche d'Artois, comtesse de
Champagne et reine
de Navarre. Il en reste d'importants vestiges. Le site est classé Monuments Historiques. Cette abbaye est fondée en 1299 par Blanche, reine de Navarre et
comtesse de Champagne, confirmée et augmentée par sa fille Jeanne, épouse de Philippe le Bel. Les religieuses sont des clarisses de l'Ordre de Saint-François, modifié
par le pape Urbain 
IV en 1264 ; Ce sont des Clarisses urbanistes. Elles sont
cloîtrées. Leur costume consiste en une robe de serge grise, serrée d'un gros
cordon de fil blanc avec nœuds. Pour le chœur ou les cérémonies, elles portent
un manteau comme la robe ; sur la tête, elles ont un voile noir, en forme
de capuce. Pendant la guerre de cent ans, l'abbaye est
partiellement démantelée et les religieuses chassées en 1339. Les Anglais ravagent l’abbaye à plusieurs reprises
en 1422, 1427 et 1452. En 1477, l'abbaye est restaurée et 8 clarisses, venant de l'abbaye Saint Marcel de Paris
s'y réinstallent. D'autres anciennes religieuses reviennent, et le nombre
s’élève à vingt. Elles parviennent à rétablir le couvent, à le relever de ses
ruines, à rebâtir le cloître et la chapelle. En 1634, les religieuses obtiennent d'Urbain III
une bulle prescrivant que l'élection des abbesses aurait lieu
tous les trois ans, avec réélection possible. On parle d'abbesse triennale. En
1670, l'abbesse remet l'abbaye et l'élection de l'abbesse entre les mains du
roi, les religieuses renonçant aux élections. Le 13 février 1790, l'Assemblée constituante prononce
l'abolition des vœux monastiques et la suppression des congrégations
religieuses. Les religieuses qui y vivent encore sont dispersées en 1792.
wikipedia ] Prenons la
rue Depaux, sur la droite, nous débouchons
rue Leduc de la Tournelle que nous prenons à 
gauche nous retrouvons notre
Gr, au carrefour nous prenons la Grande Rue (D11) sur la droite puis à gauche
la rue de la grande montagne, nous longeons le cimetière, la rue monte
fortement et porte bien son nom. De rue nous passons à chemin et entrons en foret. Un peu avant le
haut de la colline le GR tourne sur la droite en longeant l'aqueduc de la Duys. [L'aqueduc de la Dhuis (également écrit Dhuys)
Construit entre 1863 et 1865 pour alimenter Paris en eau potable Longueur : 131,162 km. L'aqueduc est un ouvrage
souterrain, qui capte une partie des eaux de la Dhuis (ou
Dhuys), un petit cours d'eau de la Marne et de l'Aisne d'une
vingtaine de km de long, affluent du Surmelin. La longueur totale de l'aqueduc varie suivant
les sources, entre 129,6 km et 131,162 km. Sa pente est
faible : élevé de 128 m d'altitude à son 
début, il ne descend
que de 20 m à 108 m d'altitude à son extrémité, soit une
pente de 0,10 m/km, suffisante toutefois pour l'écoulement de l'eau par
simple action de la gravité. Son débit moyen est de 22 000 m3/jour. L'ouvrage est, par endroits, constitué d'une
conduite en maçonnerie de 2,20 m de hauteur et 1,80 m de
largeur, sur une emprise au sol de 10 m de large. De nombreuses
parcelles de cette emprise sont la propriété de la ville de Paris. L'exploitation de l'aqueduc est gérée par la
régie Eau de Paris et
le Syndicat des eaux de la Brie.
L'aqueduc est un ouvrage souterrain, qui capte une
partie des eaux de la Dhuis (ou
Dhuys), un petit cours d'eau de la Marne et de l'Aisne d'une
vingtaine de km de long, affluent du Surmelin. La longueur totale de l'aqueduc varie suivant
les sources, entre 129,6 km et 131,162 km. Sa
pente est
faible : élevé de 128 m d'altitude à son début, il ne descend
que de 20 m à 108 m d'altitude à son extrémité, soit une
pente de 0,10 m/km, suffisante toutefois pour l'écoulement de l'eau par
simple action de la gravité. Son débit moyen est de 22 000 m3/jour. L'ouvrage est, par endroits, constitué d'une
conduite en maçonnerie de 2,20 m de hauteur et 1,80 m de
largeur, sur une emprise au sol de 10 m de large. De nombreuses
parcelles de cette emprise sont la propriété de la ville de Paris. L'exploitation de l'aqueduc est gérée par la
régie Eau de Paris et
le Syndicat
des eaux de la Brie.
La prise d'eau de l'aqueduc se situe sur la commune
de Pargny-la-Dhuys,
dans le département de l'Aisne, à 85 kmà
vol d'oiseau à l'est de Paris. L'ouvrage traverse successivement le sud de
l'Aisne, la Seine-et-Marne,
la Seine-Saint-Denis,
avant de parvenir à Paris par la porte de Ménilmontant et
d'aboutir au réservoir de 
pente est
faible : élevé de 128 m d'altitude à son début, il ne descend
que de 20 m à 108 m d'altitude à son extrémité, soit une
pente de 0,10 m/km, suffisante toutefois pour l'écoulement de l'eau par
simple action de la gravité. Son débit moyen est de 22 000 m3/jour. L'ouvrage est, par endroits, constitué d'une
conduite en maçonnerie de 2,20 m de hauteur et 1,80 m de
largeur, sur une emprise au sol de 10 m de large. De nombreuses
parcelles de cette emprise sont la propriété de la ville de Paris. L'exploitation de l'aqueduc est gérée par la
régie Eau de Paris et
le Syndicat
des eaux de la Brie.Ménilmontant. L'aqueduc franchit 21 vallées d'une profondeur comprise entre 20 et 73 m au moyen d'autant de siphons. Son parcours emprunte les plateaux de l'est parisien, se terminant sur le massif de l'Aulnoye et la colline de Belleville. Il fait usage de deux grands siphons : l'un entre Dampmart et Chessy pour franchir la Marne, l'autre entre Rosny-sous-Bois et Le Raincy près du plateau d'Avron. Jusqu'à son franchissement à Chessy, l'aqueduc suit plus ou moins le cours de la Marne, en altitude sur sa rive sud. Après Chessy, l'aqueduc oblique vers le nord avant de se diriger vers l'est et Paris. Wikipedia ] J'ai poursuivi jusqu'au
calvaire. Nous y trouvons une jolie
vue romantique sur la vallée de la Marne,
par cette matinée du début d'automne avec la brume s'élevant paresseusement de
la rivière. Une fois là haut, nous avons le choix, soit de descendre par le
même chemin et de suivre le GR sur la gauche soit de prendre l'autre chemin le
long de la clôture, mais attention par temps très pluvieux à la descente et à la
remontée du ravin, ou nous trouvons l’un des magnifiques siphon de l'aqueduc, n'est
pas évident à traverser, le terrain est très
glissant, la pente est digne d'un chemin de montagne. (Origine du nom de
la colline). Dans le fond un ruisseau a sec en se début d'automne faut dire qu'après
le temps particulièrement sec que nous avons eu, ce n'est pas étonnant.
Heureusement car rien n'est prévu pour 
le traverser. Nous retrouvons le Gr que
nous prenons à gauche. Nous marchons en longeant l'aqueduc, traversons un bois,
après une clairière nous rencontrons un chemin. Quittons le GR, et prenons le chemin
de gauche, longeons la prairie, puis traversons le bois, pour enfin longer sa
lisière et retrouvons le Gr que nous prenons à gauche. Bois et champs se
succèdent avant d'arriver au hameau du Mesnil. Nous longeons deux fermes,
faisons un esse, et arrivons à une intersection. Nous prenons à droite,
longeons une seconde ferme. La route tourne sur la gauche nous quittons le GR et
la route, poursuivons tout droit, longeons des bâtiments agricoles. Traversons
les champs, de chemin nous passons à route,
passons entre une ferme et une maison, au loin un village, laissons une rue sur
la gauche, passons de nouveaux bâtiments ‘’les mousseaux'’, poursuivons la
route, (C1) nous sommes sur du balisage violet. Dans un virage nous laissons une route sur la droite (C4), menant à la
ferme des Fromentières, 
un peu plus loin nous débouchons sur la D55a que nous
prenons à droite. Nous entrons dans le village de Bassevelle. Nous sommes rue
de Nogent L'Artaud, laissons une première rue sur la droite, longeons le
cimetière, prenons la rue de l'église
sur la droite. Faisons une petite halte. Dans
un coin du cimetière nous trouvons la tombe un peu abandonnée d'un soldat
allemand tué lors de la guerre 1870. Vers l'entrée quatre ou cinq tombes de
soldats anglais les deux premières tombe date de la guerre de 1914 les suivantes de
1944. 
Passons l'église. [Elle possède un orgue dont la partie instrumentale
; daté de 1788, restauré en 2000, est le plus tardif de l'Ancien Régime que
l'on trouve en Seine-et-Marne Wikipedia ] poursuivons la rue, de loin
j'ai cru que ce petit village disposait d'une chapelle, mais non, ce n'ai qu'un
clocheton au dessus d'un ancien bâtiment agricole. Nous retrouvons notre
départementale poursuivons tout droit, nous sommes toujours sur un balisage violet.
Au loin nous apercevons un bel arbre, une fois dans le virage, sous le platane,
je vois une belle pierre et un bout de ferraille
[Dans la nuit du 18 au 19 juillet 1944, le bombardier Avro Lancaster B III JB318 DX-L parti de la base de RAF East
Kirkby (Lincolnshire) pour bombarder des installations ferroviaires
à Revigny-sur-Ornain dans la Meuse est
abattu par un chasseur de nuit et s'écrase sur le territoire de la commune
au lieu-
dit la Boue. Le
mémorial est composé d'une pierre meulière extraite du sous-sol de la commune. Elle
a été dressée et porte des morceaux du Lancaster et deux plaques de bronze
vieilli qui rappellent l'évènement et les noms des sept membres d'équipage. Ce
mémorial a été inauguré le 18 juillet 1999 en présence des familles anglaises
et du mitrailleur arrière, Leonard Manning » Wikipedia ]. Passons
le hameau de ‘’La Boue’’, nous arrivons à un carrefour ou nous rencontrons la D
55e laissons la direction de
Pavant sur la droite et dirigeons nous vers Boiteront, petit Bassevelle et les Maillots balisage
mauve. Nous passons le Petit Basseville
et longeons un immense parking devant le foyer 
communale. Nous arrivons en vue du
hameau des Maillots et nous apercevons au milieu des pavillons un pilonne avec
une plateforme. Cela m’a fait penser au refuge que l'on trouve à Noirmoutier au
passage du Gois. Ensuite j'ai pensé à un ancien support électrique (genre
transformateur ) après quelques recherches c'est un : [ Phare aéronautique. Une curiosité locale, ce phare construit en
1929 au hameau des Maillots servit de repère de navigation aérien à vue, de
nuit ou par temps 
brumeux durant la Seconde Guerre mondiale. Constitué d'un pylône en ciment, haut
de 10 mètres, il est composé d'une plateforme accueillant une source de
lumière alimentée par acétylène, néon ou électricité. L'éclat de cette lumière
était entrecoupé suivant le type de phare, transmettant ainsi un code morse
permettant au pilote d'identifier sa localisation mais aussi la direction. Le
phare est toujours présent malgré sa vétusté due au climat et au manque
d'entretien ; il est possible néanmoins de le découvrir et d'y grimper
lors des Journées du Patrimoine. En France, ils furent, dans un premier
temps, destinés à l'Aéropostale et les premières lignes aériennes régulières
(Londres-Paris). Ancêtres des moyens de radionavigation actuels, ils étaient
allumés peu de temps avant le passage de l'avion, par un habitant local
(instituteur, garde-champêtre, meunier) qui en recevait la demande par la Poste
ou Télégramme. Wikipedia ] C’est affreux, mais historique. Nous prenons la rue de
droite, (rue de La Verdure), en direction du cabaret rouge. Nous avons changer de couleurs de balisage du violet,
nous voilà au jaune. Nous arrivons au hameau de la verdure. Traversons les
quelques maisons et arrivons dans le virage de la route, devant une maison un
peu isolée du reste du hameau avec un garage. Devant le garage un 
chemin que
nous prenons sur la droite, c'est également le balisage jaune mais je n'ai pas
vue tout de suite les traits. Nous passons un verger de noyers. Le chemin
débouche sur une route (C7) que nous prenons à droite, nous arrivons à un
carrefour avec une autre route formant Té (D55e) nous prenons à gauche (On
retrouve le balisage mauve). Nous arrivons au hameau de la Noue Brayer. A
l'entrée du hameau un grand espace permettant à un bus de se retourner. Je
suppose que c'est pour le bus scolaire, à moins que ce ne soit pour les camions
de betteraves ou 
tracteurs avec leur remorques. Vue la taille du hameau, je ne
suis pas certain que nous trouvions beaucoup d'enfants n'y de personnes à
transporter vers une gare. La route tourne sur la droite, c'est la route de
Pavant, nous retrouvons les champs, coupons un ru. 
chemin est mauvais, il ressemble à un pierrier
de montagne, attention à vos chevilles. Nous débouchons sur l'aqueduc de la
Dhuys, prenons à droite et traversons l'étroit petit pont au dessus du ravin,
nous retrouvons le GR 14. Nous arrivons à l'intersection avec la D 82, quittons
le Gr pour suivre sur la gauche le balisage jaune. Le chemin fait fourche, nous
prenons à droite. Nous entrons dans Pavant par la rue de Grousy, débouchons rue
de l'église que nous prenons à gauche. [À
l'époque des 
Gaulois, Pavant était sous l'autorité de la tribu des Meldi. Quand
Rome conquit la Gaule, le village passa à la province de Belgique. À l'époque
mérovingienne, Pavant est compris dans la Neustrie puis au diocèse de Soissons.
Pavant est rattaché au royaume de France lors du traité de Verdun en 843. À
l'époque féodale, le village appartient au comté de Champagne. Au début du
règne de Louis XIV, Charles Ier de La Vieuville fait
édifier un château classique sous la conduite de l'architecte Louis Le Vau, avec un salon central de plan ovale,
comme au château de Meudon,
au château du Raincy ou
au château de Vaux-le-Vicomte.
Les ruines de cette construction sont toujours conservées sous un champ voisin
immédiat 
du village. Charles Cornette, vivant au début du xxe siècle,
a consacré sa vie à écrire l'Histoire du village. Une fontaine porte son nom.
Wikipedia ] Le village est doté d'un ancien pigeonnier et de fontaines artistiques
en pierre meulières toutes fleuris. Prenons à gauche la rue de la cabine, puis à
droite la rue jean Jaures (D86) elle fait un esse, droite – gauche puis nous
prenons sur notre gauche la place du Général de Gaulle face à nous, derrière
des grilles une belle fontaine et le pigeonnier, si l'on continue la rue qui
devient du 14 juillet 1789, nous 
avons une ancienne usine de boutons. Revenons sur nos pas et prenons le chemin de
la ferme, rue séparée par une barrière. En bout du bâtiment remonter sur la
droite vers la rue du clos des Forges (j'ai sauter la barrière, ne voulant pas
faire le tour.) Que nous prenons à droite,
nous remontons jusqu'à la rue Jean de La Fontaine que nous prenons à
gauche. Nous trouvons plusieurs fontaines dans cet rue. Nous prenons sur la
droite la rue Bruneau, et remontons jusqu'aux vignes, nous retrouvons un balisage
jaune. Quittons la route et poursuivons en traversant les vignes. Dans le haut nous
retrouvons l'aqueduc. (Un chemin sur la gauche, fait
patte d'oie avec le balisage
jaune, Il permet de couper quelque peu le balisage avant de retrouver
l'aqueduc, mais il n'est pas entretenu. Suivons le chemin au dessus de
l'aqueduc sur la gauche, coupons la route menant au réservoir d'eau, et
poursuivons en face. Nous rencontrons une nouvelle route et apercevons le Gr.
Quittons l’aqueduc et prenons la route sur la gauche (route les Graviers), elle
devient route des Gravelles et nous entrons dans Nogent 
l'Artaud. Nous arrivons
à un carrefour à trois rues, avec un
chemin intra muros. Prenons face à nous la ruelle de la Chênée, nous débouchons
rue Gallien que nous prenons à droite, nous débouchons Grand Rue que nous suivons
à gauche jusqu'à la gare. 
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire