lundi 2 mars 2020

Promenade Nord Seine et Marne : De Meaux à La Ferté Milon Prom 11 Meaux Trilport

Meaux à la Ferté Milon 

Prom  11 ; Meaux - Trilport

Promenade en boucle , départ gare de Meaux Arrivée gare de Meaux.

KM      TEMPS      ARRÊT      V/d      V/g      Dénivelé
29        5h40         0h30         5,6       5,1           320+



Pour une carte plus lisible                                             Trace GPS & Topo sans commentaires

Trace Randogps                                         Le code mobile de cette randonnée est b313580

Nous sortons de la gare côté gare routière, traversons la rue et dirigeons nous vers la Marne en traversant le parking [Meaux ; Ancienne capitale de la Brie. La commune est installée dans une cuvette, creusée dans le plateau de la Brie par la Marne. La rivière qui traverse la ville forme une courte boucle (partiellement non navigable pour les péniches au vrai centre de Meaux, mais des écluses permettent le passage quotidien de ces péniches à hauteur du jardin Ceccaldi) qui entoure le quartier du Marché, et identifie le centre ville. Le canal de l'Ourcq (qui suit en partie l’ancien lit de la 

Marne, à Meaux : le Brasset) imprime également son tracé sur la ville depuis le xixe siècle. À Meaux, elle est autorisée à la navigation de péniches et autres embarcations motorisées. Meaux possède un port de plaisance et club d'aviron et de Canoë/Kayak dont les embarcations évoluent sur la Marne. Meaux possède également une plage en bord de Marne, la ville étant une des rares à pouvoir se vanter d'avoir, une eau propre à la baignade.
Un méandre de la rivière, beaucoup plus allongé vers le nord en ce temps-là , créait une presqu’île naturelle d’environ 200 hectares de superficie et accessible seulement par une gorge assez étroite au sud. Cette presqu’île formait donc un territoire idéal. La conquête romaine donne un nouvel essor à cette ville que César désigne, en 50 av. J.C., sous le nom de Iatinum. Les gallo-romains transforment la physionomie de la cité, en lui donnant ses premiers grands édifices publics (théâtre, temples, thermes, etc.). A l’extrémité sud de la ville, une citadelle est construite pour le contrôle de la seule voie d’accès terrestre. Les remparts, actuellement visibles le long du boulevard Jean Rose, correspondent au mur nord de celle-ci. Iatinum se trouve à la croisée de deux voies antiques : celles qui relient Châlon à Lutèce (Paris) et Boulogne à Troyes. L’essor de la ville à cette époque s’explique par le fait qu’elle constitue un nœud routier de 
dimension régionale sur les rives de la Marne. Sur les pentes d’une colline dominant le nord-est de la ville, un sanctuaire est construit. Au 4ème siècle de notre ère, la ville est exposée aux invasions barbares qui la détruisent partiellement. L’entrée solennelle d’Henri IV à Meaux, le 1er janvier 1594, met enfin un terme à plusieurs décennies de guerre civile dans la région. Le 17ème siècle est marqué par la présence de Jacques Bénigne Bossuet. Il est âgé de 54 ans lorsqu’il devient évêque de Meaux. Les fonctions qu’il a remplies à la Cour comme 

prédicateur et précepteur du Dauphin, son rôle déterminant dans les conflits théologiques et ses dons d’orateur, lui valent d’être nommé "l’Aigle de Meaux". Résidant régulièrement dans son diocèse, il s’efforce de rétablir le catholicisme dans une région où le protestantisme était solidement implanté. Parallèlement, il soulage autant qu’il peut la misère des habitants, accablés par la détresse du royaume que les guerres et les mauvaises récoltes ont affaibli (à lire : le "Tombeau de Bossuet"). Au 18ème siècle, Meaux compte 4 à 5.000 habitants et connaît une période calme et prospère. La Révolution vient bouleverser les 
règles bien établies de la vie meldoise, avec la confiscation des biens du clergé et la mise en place d’une nouvelle administration. Le 24 juin 1791, Louis XVI et Marie-Antoinette, au retour de Varennes, passent la nuit au Palais Épiscopal.
Quelques dates
1803-1825 - Construction et mise en eau du Canal de l’Ourcq
1806 - Introduction de la culture de la betterave dans les environs de Meaux pour lutter contre le blocus anglais
1814 - Napoléon Ier fait étape à l’Évêque de Meaux pendant la campagne de France
1821 - Louis XVIII autorise par lettres Patentes, la ville à porter les 

armoiries accordées par les précédents rois
1827 - Le Général La Fayette est élu député de l’arrondissement de Meaux
1832 - Le choléra sévit pendant 7 mois, causant 413 décès sur 8537 habitants
1849 - Le Prince-Président, Louis-Napoléon Bonaparte, inaugure la ligne de chemin de fer Paris-Meaux
1852 - Dans un récit publié dans l’Illustration, Gérard de Nerval raconte son voyage à Meaux et la soirée qu’il passe au Café de Mars
1890 - Démolition du Château des Comtes de Champagne, sur l’emplacement duquel, sera construit le nouvel Hôtel de Ville. Travaux de nivellement et construction des quais en bord de Marne.
1900 - Inauguration, le 4 mars, du nouvel Hôtel de Ville
1909 - Le parc aéronautique de Beauval accueille les premiers dirigeables militaires et civils
1910 - Grandes inondations à Meaux. La Marne déborde dans les rues et les maisons des faubourgs
1914 - Bataille de la Marne, du 4 au 13 septembre.
1920 - Incendie des Vieux Moulins de Meaux, le 17 juin. Totalement détruits, ils ne sont pas reconstruits
1932 - Inauguration du Monument Américain
1944 - Arrestation et exécution du Commandant Berge, chef de la résistance à Meaux par la Gestapo.
1955 - Le Corbusier se propose de construire à Meaux une "ville radieuse de 2000 logements"
1964 - Visite officielle du Général de Gaulle, Président de la République, à Meaux.
1986 - Construction de la Cité administrative comprenant entre autres un nouveau Palais de Justice et un Hôtel de Police
2000 -le 4 mars, inauguration de la nouvelle façade rénovée de l’Hôtel de Ville, cent ans jours pour jours après l’inauguration du nouvel hôtel de Ville.
En bout du parking nous trouvons un escalier et les premières marques rouge et blanche nous suivons un chemin en bordure de la Marne [longue de 514 km. C'est le principal affluent de la Seine : elle prend sa 

source sur le plateau de Langres, à Balesmes-sur-Marne(Haute-Marne) et se jette dans la Seine entre Charenton-le-Pont et Alfortville (Val-de-Marne). La Marne est classée navigable et canalisée sur 183 km depuis Épernay jusqu'à son confluent. Ses écluses présentent un gabarit de 45 m sur 7,80 m.
Elle est connectée à l'Aisne par le Canal de l'Aisne à la Marne qui arrose Reims, et indirectement, par l'intermédiaire du Canal latéral à la Marne, au Rhin par le Canal de la Marne au Rhin et à la Saône par le Canal de la Marne à la Saône, tous au gabarit Freycinet.
Plusieurs canaux ont été mis en service pour couper les méandres de la rivière en Seine-et-Marne : le canal Cornillon (à Meaux) et le canal de Chalifert, long de 12,3 kilomètres (entre Meaux et Chalifert). La Marne n'est pas navigable entre Neuilly-sur-Marne et Vaires-sur-Marne, à cause du barrage de Noisiel situé près de l'ancienne chocolaterie Menier. Sur ce tronçon, la navigation passe par le canal de Chelles, parallèle à la rivière et long de 8,5 kmenviron.
La Marne présente la particularité de permettre à un bateau de parcourir intégralement sa vallée, jusqu'à 
passer presque sous sa source par la voûte de Balesmes. Cette source est toute proche de la grotte dans laquelle le rebelle gaulois Sabinus est réputé s'être réfugié en compagnie de sa femme pendant neuf ans, avant d'être capturé par les Romains. En fait la légende qui dit que Sabinus s'est caché dans la grotte qui surplombe la source de la Marne à Balesmes sur Marne, en compagnie de sa femme Éponine n'est étayée par aucun écrit ni trace réelle tangible. D'ailleurs à l'entrée de la grotte on peut y lire cette information en point d'interrogation. Mais il plaît aux Haut-Marnais du sud de perpétuer cette légende à la gloire du rebelle gaulois. Wikipedia] Passons sous les ponts et rejoignons la D 603 quai Victor Hugo. Nous longeons les belles bâtisses de la Caisse d'épargne et derrière celui de la mairie. Nous arrivons au vieux pont du marché [On peut dire sans erreur que la principale curiosité à Meaux, après la Cathédrale St-Etienne, était jusqu'à cette nuit tragique du 16 au 17 juin 1920, un incendie ravagea le groupe de ses vieux moulins, construits sur pilotis, en travers de la Marne. Le testament de Ste Fare nous confirme l’existence d’un ‘farinarius’ sur ce pont du marché, donné par la fondatrice de l’abbaye de Faremoutiers. Il existait donc déjà au VIIe siècle. Connu également sous le nom du ‘pont roide’, il était le seul point de franchissement de la Marne à Meaux dans le prolongement de la voie romaine reliant Troyes.
Au XIIIe siècle, avec l’aménagement du quartier du marché, ce pont dont à chaque extrémité se trouvait une porte que l’on fermait la nuit, isolant ainsi la ville et le marché, est toujours le seul point de passage qui réunit les deux quartiers fortifiés de la cité meldoise de part et d’autre de Aujourd’hui, lorsque la Marne est en étiage, depuis les rives de la rivière, on aperçoit encore les pilotis sur lesquels ils étaient bâtis.  En aval du pont du marché se dressait jadis un deuxième ensemble de moulins appelés les moulins de l’Echelle ou les ‘vieux moulins’. Extraie http://histoirde.over-blog.com/article-les-moulins-du-vieux-pont-107033696.html] Traversons la Marne sur ce pont qui fut achevé en 1540, quittons le GR et poursuivons par la rue du Commandant Berge et entrons dans le Meaux ancestrale, celui de presqu’’ile. Passons devant le bel ouvrage  en fonte du marché couvert. La halle fut construite au XIX ème siècle. Prenons à gauche la rue de Trévise, nous arrivons au pont neuf, prenons à droite en bordure de la Marne le quai Sadi Carnot, nous retrouvons le GR et arrivons au pont Foch. Traversons le large boulevard et dirigeons nous vers l’embouchure du canal de Cornillont coupant le méandre de la Marne entre Villenoy et Meaux ou nous trouvons peut être la base  d’une ancienne tour de fortification. [Ce canal long de 570m remonte au Moyen Âge : il est mentionné en 1235 dans le capitulaire de Thibaut de Champagne conservé à la médiathèque de la ville, d'ailleurs toute proche du canal. La fonction de ce canal était double :
fortifier la presqu'île où se tenait le marché de Meaux ;
permettre le passage aux bateaux, ce qui leur évitait de passer sous le pont principal, encombré de moulins. Pour cela, ce canal a été équipé d'abord de pertuis (ou portes marinières), simples ouvertures ménagées dans des barrages, obturables en l'absence de bateaux.

Au xviie siècle, ces pertuis ont été remplacés par une écluse longue de 44 m. À la fin du xviiie siècle, cette écluse a été agrandie jusqu'à plus de 60 m de long, avec une largeur de sas dépassant 15 m. C'est celle que l'on peut voir actuellement.
Ce canal a été utilisé pour la navigation jusqu'à une époque relativement récente (seconde moitié du xxe siècle), c’est-à-dire largement après l'ouverture du canal de Chalifert qui lui est parallèle dans ses 300 premiers mètres. Le canal a connu une première campagne de restauration en 1995, avec la pose d'une nouvelle porte aval en bois, identique à la précédente tombée en ruine.

Le 21 octobre 2006 vers 17 h, cette même porte fut emportée par la pression de l'eau, arrachant avec elle une partie des quais. Wikipedia]. Le sentier longe l’écluse par le quai Charles Deboeuf jusqu'à la 
rue Cornillon que nous prenons à gauche, passons sur le pont poursuivons la rue jusqu'à la rue de Nanteil que nous prenons à gauche (si les travaux sont terminés il sera peut-être possible de tourner avant.) la rue descend vers la Marne et nous prenons sur la droite le quai Du maréchal Mortier. Nous arrivons à l’embouchure du canal de Chalifert [Le Canal de Chalifert, long de 12,3 kilomètres,permet de couper plusieurs méandres de la Marne afin d'éviter 16 km de navigation supplémentaires : construit entre 1837 – 1845 on creuse le canal latéral à la Marne. Le canal de Chalifert rejoint Meaux à la Marne au niveau de Chalifert . Avant son débouché, il franchit la colline de Chalifert au moyen d’un tunnel de 300 mètres de long. Le tunnel est encadré de 2 écluses. Cet ouvrage, hors les plaisanciers et bateliers est mal connu du public. http://www.planete-tp.com/l-ecluse-et-le-tunnel-de-chalifert-a643.html] montons sur le côté de l’écluse par un petit sentier. Nous débouchons sur la N36 rue Tessan que nous prenons à gauche traversons le pont et prenons sur la gauche la rue du chemin bas. Nous retrouvons les bords de Marne nous sommes toujours sur les GR 14 et 1a. Remontons cette dernière soit par la rue ou le chemin dans la prairie en bordure de la rivière. Sur l'autre rive le petit port et un peut plus loin une construction en béton certainement des années 1960 et la plage. Plage de sable qui doit être fréquenté l’été puisque la ville s’enorgueillie d’avoir une eau propre. La preuve ‘’extraie du journal Sortir’’ [Meaux Plage reprend du service du 7 juillet au 26 août 2018 pour le grand bonheur des petits et des grands. Au programme : baignade gratuite dans la Marne , animations et guinguette pour un été en fête. Et comme la plage et la baignade sont gratuites, on aurait tort de 'en priver !  Meaux Plage revient du 7 juillet au 26 août 2018 pour vous donner un air de vacances. Devenu le rendez-vous estival de nombreux Meldois et des alentours, cet espace est pensé pour que chacun, petits et grands, puisse se délecter de toutes les joies et activités du bord de plage, au sein du Parc naturel du Patis. Les adeptes du farniente pourront, entre deux baignades dans la Marne - surveillée entre 11h et 19h - bronzer sur le sable ou se reposer dans les transats. Pour les plus petits, une pataugeoire et un bac à sable sont à disposition.
https://www.sortiraparis.com/actualites/ete-a-paris/articles/64136-meaux-plage-2018-baignade-gratuite-et-surveillee-dans-la-marne] Les souvenirs de mon enfance me reviennent lorsqu’il était possible de le faire dans la Seine. Arrivé au petit bois nous reprenons la route, toujours les GR et un balisage jaune. La route devient chemin dans un bois longeant le pied de la colline. Nous longeons les clôtures des bords d'eau, bien souvent nous ne verrons pas les bâtisses cachées par des fourrés, et des haies. Long chemin qui débouche rue D'en Bas, nous longeons des aires privées pour très grandes caravanes et quelques maisons construites de briques et de brocs. La rue se poursuit par celle de la Marne, nous débouchons sur la D 228a (rue Jules Blot) à Nanteuil les Meaux, que nous prenons à 


droite. Nous longeons un court instant le ruisseau des cygnes ou à mon avis, vue la couleur de l’eau, cela fait longtemps qu'il n'a pas vu un oiseau. A la fourche, prenons à gauche la rue Dagron en direction du parcours de santé et peu de temps après sur la gauche la rue du Petit val. Nous longeons un parcours sportif. A l’angle de ce dernier nous retrouvons le GR qui se divise en deux, le GR 1 poursuit la rue, le GR 14 tourne sur la gauche et entre dans le bois en longeant l’autre coté du parcours de santé. Nous Montons le coteau, par la ruelle du pont, Longeons de plus ou moins loin le ru du cygne, le traversons à deux reprises après bien des circonvolutions. A mi pente nous arrivons à une sorte de clairière avec un croisement de chemin et des barrières. Gros plots en plastique renversé et poussé sur le coté, plus de trace de GR. Mon GPS 

me dit de poursuivre tout droit, mais il y a les plots renversés. Le balisage jaune part sur la droite. J’hésite. Sur mon GPS je n’ai pas la trace du balisage jaune. Je ne vois pas le balisage du GR. Je suis perdu. Je me convins qu’il manque du balisage et suis ma trace en entrant dans le Bois Le Comte, 
 espace naturel sensible qui est sans le savoir INTERDIT aux PUBLICS. Attention si l’on vous prend dans le bois l’amende est salé. A se carrefour stratégique pas d’interdiction. C’est beaucoup plus loin à la sortie de la foret que je le saurais. J’ai cru que les plots renversés étaient un balisage pour un treck, ou un parcours de vélo. C’est seulement dans la promenade 9 que je trouve le détournement du GR. Le GR prend comme le balisage jaune le chemin de droite. Le chemin n’est pas facile sur ce coteau, il est boueux, la foret, du moins le bois est moche comme tout ce qui n’est pas entretenu. Ronces, épineux et ligneux arboricoles étouffent tout il descend légérement. Le chemin est raviné et doit certainement se transformer en ruisseau lors de pluies torrentielles. Le balisage jaune passe le petit pont sur la droite au dessus du ru et remonte vers le village de Vincelles, poursuivons tout droit notre chemin boueux et cet affreux 

  bois.  Nous passons une pancarte nous interdisant l’accès au bois, mais le balisage jaune et le GR prenait ce chemin en fond de vallée. Le chemin longe le ru des Cygnes, le traverse et remonte le coteau de l’autre coté, coupons un chemin longeons le golf, puis le cimetière nous entrons dans Boutigny par la rue Joly. Laissons la rue Fabre d’Eglantine sur la gauche nous trouvons un peut plus loin la trouée de l’aqueduc de la Dhuis

[Construit entre 1863 et 1865 pour alimenter Paris en eau potable à partir de la Dhuis, il parcourt
130 km presque à l'horizontale. Actuellement, il sert essentiellement à fournir en eau le complexe Disneyland Paris et l'est de l'Île-de-France. L'aqueduc est un ouvrage souterrain, qui capte une partie des eaux de la Dhuis (ou Dhuys), un petit cours d'eau de la Marne et de l'Aisne d'une vingtaine de km de long, affluent du Surmelin. La longueur totale de l'aqueduc varie suivant les sources, entre 129,6 km et 131,162 km.
Sa pente est faible : élevé de 128 m d'altitude à son début, il ne descend que de 20 m à 108 m d'altitude à son extrémité, soit une pente de 0,10 m/km, suffisante toutefois pour l'écoulement de l'eau par simple action de la gravité. Son débit moyen est de 22 000 m3/jour. L'ouvrage est, par endroits, constitué d'une conduite en maçonnerie de 2,20 m de hauteur et 1,80 m de largeur, sur une emprise au sol de 10 m de large. L'aqueduc franchit 21 vallées d'une profondeur comprise entre 20 et 73 m au moyen d'autant de siphons. Son parcours emprunte les plateaux de l'est parisien, se terminant sur le massif de l'Aulnoye et la colline de Belleville. L'aqueduc franchit 21 vallées d'une profondeur comprise entre 20 et 73 m au moyen d'autant de siphons. Son parcours emprunte les plateaux de l'est parisien, se terminant sur le massif de l'Aulnoye et la colline de Belleville. Wikipedia ] Nous le prenons sur la gauche, et débouchons rue de Barrois que nous prenons à gauche sur une centaine de mètres puis de nouveau à gauche la trouée de l’aqueduc. Nous longeons de nouveau le golf. Coupons une route  menant au parking du golf, poursuivons en face. Poursuivons l’aqueduc, bois et champs se succèdent à nouveau. Passons le lavoir isolé à la sortie du village de Saint Fiacre, longeons les limites du bourg. Passons des barrières traversons la route bitumée de Fublaines. Traversons le bois des Vignes de Velours (On a conservé le nom de la parcelle, mais le vin ne devait pas être le velours de l’estomac comme le disait une publicité de mon époque, pour qu’elle se soit transformée en bois et en champs.) Poursuivons dans les champs puis nous entamons un virage à droite en longeant un mur devant contenir la canalisation de l’aqueduc afin de conserver 
une pente naturelle pour l’écoulement de l’eau. Le chemin forme Té nous prenons à gauche et suivons toujours le muret. Coupons le Ru des Cygnes, nous arrivons à une station de pompage, longeons un bois. Nous retrouvons la marque du GR 14 A et arrivons à la route reliant Brinches à Fublaines. Ici le GR fait fourche, à droite le GR 14 A tout droit le diverticule du GR permettant de rejoindre la gare de Trilport. Nous rencontrons également une branche de Saint Jacques de Compostelle (trace qui n’est pas sur la carte.) Prenons le chemin face à nous avec un balisage jaune et le GR accès à la gare de Trilport. Nous arrivons à Trilport et poursuivons par la rue du 
jeu en bordure de la Marne
 Bout Cornet que nous remontons jusqu’à la route Fublaines (D 228a) Poursuivons en face une rue sans issu se terminant par un chemin venant buter sur la Marne longeons la berge sur la droite jusqu’au pont de la D 603, quittons le GR. Nous trouvons un escalier permettant de rejoindre le pont traversons la Marne, Sur le pont nous retrouvons une branche d’un balisage jaune, traversons la D 603. Le balisage jaune prend un chemin sur la droite descendant vers la rivière que nous remontons, passons sous le pont SNCF, longeons la sablière. Nous arrivons à la halte fluviale dont le port nous fait faire un petit détour, passons le moulin de Poincy et poursuivons la berge le long du petit bras de la Marne le long de 
même par ici on trouve des épages

l’île de Françon. Nous arrivons à la courbe de la marne ou je n’ai pas compris pourquoi à la sortie du bois le balisage tournait à gauche, j’ai ici quitté le jaune pour continuer le chemin de Halage, jusqu’au carrefour en triangle. J’ai pris le chemin face à moi, mais l’on peu suivre le balisage jaune sur la droite et le chemin suivant sur la gauche. Je ne l’ai pas fait n’ayant pas vu de balises. A la station d’épuration j’ai pris à droite le chemin rural des grands Prés, on retrouve le balisage jaune. Nous arrivons sur la D 94 le balisage jaune se divise en deux, une branche tourne à droite et l’autre traverse la départementale. Comme dans l’étape 2 nous suivrons le balisage jaune je prends à gauche la D 121 (rue de l’église). Après l’église je prends à gauche la rue du Four qui se poursuit par la rue D’orsoy c’est toujours la D 121. Nous arrivons à la D 405 que je prends à gauche (rue Victor Clairet) en direction de Meaux. Route principale menant à Meaux il y a beaucoup de circulation. Traverser la départementale au passage pour piéton juste avant le pont du canal, après il ne sera plus possible de le faire la route est à deux niveaux avec barrière centrale. Passons le pont au dessus du canal de l’Ourcq (1803-1825 - Construction et mise en eau du Canal de l’Ourcq, j’en reparlerais dans les prochaines promenades) Dans le virage nous trouvons sur la droite 

un chemin qui grimpe perpendiculairement la colline au carrefour prendre le chemin de gauche, sur le plateau nous débouchons sur un chemin que je prends à gauche nous trouvons le GR 1B. Coupons la route de Dampleger et longeons le poste électrique. Une partie du chemin ne sera pas facile à suivre au printemps et l’été, l’agriculteur ayant raboté le chemin jusqu’à la limite de la haie. Avec les herbes et les ronces il nous restera les plantations. Tant pis pour le blé ou les rangs de betterave plantés sur ce qui doit être un chemin. Nous arrivons dans les faubourgs de Meaux et butons sur la D 405 que nous longeons par la gauche par la piste cyclable. Nous arrivons au grand rond point ou sur la droite nous trouvons un passage aménagé nous permettant de traverser la départementale en sécurité. Prenons sur la droite la route en direction de Meaux Centre, contrairement à la carte le balisage ne nous fait pas revenir immédiatement sur nos pas. Nous ne pouvons pas louper sur la gauche le monument américain sur la guerre de 1914 et un peu plus bas le musée. [Le 
monument américain, gage d’amitié des Etats-Unis envers la France fut inauguré le 11 septembre 1932 par Albert Lebrun, président de la République et Edouard Herriot, président du conseil. Petit retour en arrière : La France avait offert en 1886, à l’occasion du centenaire de déclaration d’indépendance américaine, la statue de la Liberté. Plus exactement "La liberté éclairant le monde". Cette statue, sculptée par Bartholdi, avait été offerte en signe d’amitié Franco-américaine. En retour, des mécènes américains ont offert ce cadeau à la France pour rendre hommage aux soldats de la bataille de la Marne. La restauration du monument, due à l’inauguration du musée de la grande Guerre, met en valeur tous les symboles de ce qui reste du champ de bataille de la Marne : 
enchevêtrement des corps, souffrance, abandon…
Il symbolise, sous les traits d’une femme nue, la France se dégageant des ennemis tout en soutenant un de ses fils qui vient de se faire tuer pour elle. Cette femme qui pleure ses morts avec, à ses pieds, le chien qui conduit les âmes vers la mort, le coq représentant la France et le glaive brisé symbolisant la lutte héroïque.
Ciselé dans la pierre du socle, l’ordre du jour de Joffre :
« Au moment où s’engage
Le salut du pays, il importe de rappeler à tous
Que le moment n’est plus de regarder
En arrière ; tous les efforts doivent
Etre employés à attaquer et refouler
L’ennemi ; une troupe qui ne peut plus
Avancer devra coûte que coûte garder
Le terrain conquis et se faire tuer
Sur place plutôt que de reculer. »
  Au dos du socle, sur la partie nord, est gravé, en anglais, l’hommage aux soldats français qui stoppèrent l’ennemi à la bataille de la Marne :
« Ici se font encore entendre
Dans le silence, les voix
Des héroïques fils de France,
Ils ont tout bravé, tout donné, au cours
De longues journées pleines d’embûches
Tandis que les guettait la mort…
Ils ont arrêté le flot d’un désastre imminent
Et leur suprême dévouement
A fait tressaillir le monde. »

Frederick William Mac Monnies, créateur de cette œuvre, disait : « Je voulais quelque chose de colossal pour la bataille de la Marne ».
Il a fallu seulement 18 mois pour ériger ce monument constitué de 220 morceaux pesant chacun de 1 à 6 tonnes.
 C’est en février 1927, que, parmi les différents lieux choisis par les mécènes américains, Meaux l’emporte sur le bois de Vincennes et la Porte Maillot… François de Tessan, député de Meaux, grand ami des Etats-Unis avec qui il entretenait des liens très étroits, n’est sûrement pas étranger dans ce choix. http://varreddes.fr/histo-monument.html

le 17 avril 2010, par Jean-François Copé, député-maire de Meaux et Fréderic Mitterand, ministre de la culture, la première pierre du futur musée de la Grande guerre]. Regagner la route de Varredes, remontons vers le rond point après les arrêts de bus nous trouvons un passage pour piétons traversons la rue et poursuivons en face par une allée pénétrant dans la zone pavillonnaires nous sommes sur le GR. GR qui est mal balisé, hors mis la marque de départ je n’en ai vue qu’une seconde sur ce trajet entre les pavillons. Coupons une première rue (Joseph Maunoury) coupons la seconde (rue du Belvédère) coupons une allée un peu plus large que la notre puis une troisième rue  portant le même nom que la seconde puisqu’elle forme un U. Je retrouve une marque Blanche & Rouge elle ne m’indique pas qu’il faut tourner, ma trace me dit que le GR prend à gauche, la carte me dit que si je continue tout droit je n’ai pas de débouché autre qu’une rue circulaire. Je prends à gauche et descend la Corniche. Dans le bas de chemin je passe à bitume. Je quitte le GR 1b prenant la rue de Chantereine sur la droite, je poursuis cette même route tout droit qui fait rapidement fourche je laisse sur la gauche la rue Graverny et continue tout droit par le chemin de la Champignonnière, nous débouchons sur le canal de l’Ourcq que nous prenons à gauche. J’avais prévu de passer sur le pont pour traverser le canal afin de rejoindre la sente du Bourreau et les jardins familiaux, mais voilà le pont n’est relier à rien et entre le talus et le bord du pont l’espace est bien trop grand pour prendre le risque de sauter [Le 

pont fantôme pourrait servir extraie du Parisien Île-de-France & Oise Seine-et-Marne|Marie Linton| 03 février 2005,

LE PONT ne figure pas sur les nouveaux plans de la ville de Meaux. Situé dans le quartier de la Corniche, à proximité de la route de Varreddes, l'ouvrage qui traverse le canal de l'Ourcq ne sert absolument à rien. Mais cela risque de changer.
Lors du dernier conseil communautaire du Pays de Meaux, les élus des 18 communes membres ont décidé, à l'unanimité, de lancer une grande étude de 300 000 pour remettre en état la structure. Le but : dégager, d'ici à 2008, un nouvel accès vers le centre hospitalier. Le projet comprend l'aménagement du pont et le tracé d'une route en 

prolongement afin d’améliorer l'accès à l'hôpital.  Les études, permettront de définir si le pont peut supporter un tel trafic. Pour ce qui est de la route, nous sommes assez confiants car il n'y a pas de maisons sur le tracé éventuel. Si tout se passe bien, les travaux pourraient commencer en 2007 pour que la voie puisse être inaugurée en 2008.
 
Trente ans après sa construction, le pont aurait enfin trouver un usage. Initialement,
il devait servir de support à la déviation nord de la ville reliant la nationale 3 au carrefour
de la Locomotive. Ce projet était une ineptie totale, qui a coûté près d'un million et demi
de francs de l'époque aux contribuables déclare un conseillé municipale de l’opposition. La déviation aurait traversé le centre-ville avant de déboucher dans le marasme du carrefour de la gare de Meaux ! » Devant la polémique, le projet de rocade a rapidement été abandonné. Mais le pont était déjà là et il n'a pas bougé depuis. Extraie du Parisien février 2005 , mais rien a changé en 2018…
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne/le-pont-fantome-pourrait-servir-03-02-2005-2005670037.php] Longeons 

canal de L'Ourcq
le canal jusqu'à la route de Verreddes (D406) que nous prenons à droite. Longeons le cimetière passons sous le pont de la SNCF et prenons à droite le chemin de Bonneuil, petite allée longent le talus de la voie ferrée. Laissons la rue de Bonneuil sur la gauche poursuivons jusqu'à la rue Jean Jaures que nous prenons à gauche, puis à droite la rue des moines. Coupons l’avenue de la république et prenons en face la rue des Cordeliers, passons une belle maison 1900 sur la gauche. Nous arrivons place Henri IV, faisons le tour de la place et prenons sur la droite la rue du Général Leclerc. Nous entrons dans le vieux Meaux Piétons. Passons le
long de la cathédrale par la rue saint Etienne [On utilisa pour la construction de la cathédrale la pierre de Varreddes. Les travaux commences au XIIe siècle pour s'achever quatre siècles plus tard, au milieu du XVIe siècle. Cette longue attente trouve partiellement son explication avec la guerre de Cent Ans et l'occupation anglaise de la cité. La construction de la cathédrale gothique débuta par le chœur, entre 1175 et 1180. Dès 1198, la veuve du comte de Champagne Henri le Libéral fut inhumée dans la cathédrale, et avant 1200, le déambulatoire, trois chapelles rayonnantes, les doubles bas-côtés du chœur et l'étage des tribunes situé au-dessus des bas-côtés intérieurs étaient construits. Un nouvel architecte édifia le transept et les deux dernières travées de la nef de 1220 à 1235, et déjà en 1235, la chapelle du bas-côté droit de la nef, située au niveau de la dernière travée fut créée. À peine 50 ans après l'édification du chœur, il fallut procéder à sa reconstruction-restauration. En effet, les fondations avaient été mal faites et le chœur primitif, doté de tribunes trop lourdes, était en train de s'affaisser. Le chœur actuel, de style gothique rayonnant, fut érigé entre 1253 et 1278 par Gautier de Vainfroy. Une nouvelle campagne de construction débuta en 1266 et fut financée par Jeanne de Navarre, dernière héritière du comté de Champagne et future épouse de Philippe IV le Bel. La tour droite fut enfin achevée après une longue campagne allant de 1505 à 1540. Quant au portail gauche, il fut achevé avant 1506. Au début du XIXe siècle, plusieurs événements fragilisent un peu plus l'édifice. La foudre tombe sur la cathédrale le 29 août 1808, détruisant une 
partie de l'orgue, la porte d'entrée et une tourelle. Le 28 mars 1814, l'explosion d'un magasin de poudre voisin la fragilise un peu plus. Une longue restauration a lieu de 1839 à 1894. Le pourtour du chœur est refait ainsi que les arcs-boutants de la nef. La troisième travée de la nef élevée dans le style flamboyant est modifiée pour ressembler aux autres travées, selon le principe des restaurateurs du XIXe siècle qui prônait l'unité de style, quitte à altérer les monuments. Wikipédia] Poursuivons par la rue Saint Rémy, nous débouchons Cours de l’Arquebuse longeant les voies ferrées, que nous prenons à gauche. Nous débouchons sur la D 603 que nous traversons pour rejoindre la gare.  
 



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