lundi 2 mars 2020

Promenade dans le Nord de la Seine et Marne ; Prom 9 ; Isles les Meldeuses – Meaux

Promenade dans le Nord de la Seine et Marne,

Promenade N°9 Isles les Meldeuses – Meaux

Promenade ouverte de Gare en Gare
Janvier 2019
  
  Carte IGN                                       Trace GPS & topo sans commentaires

Trace randogps                                          Le code mobile de cette randonnée est b313571
 
KM     Temps     Arrêt      V/d      V/g     Dénivelé
27        4h30       1h00      5,4       5           219 +

Le départ se fait de la gare D’Isles pour la simple raison que lorsque les trains sont à l’heure ou avec un léger retard et c’est malheureusement la majorité des cas, nous avons que dix minutes d’attentes pour le train partant vers La Ferté Milon. (Dans l’autre sens, suivant l’heure ou nous arrivons à la gare nous risquons une attente beaucoup plus longue du à une fréquence de train toute les heures. A Meaux avec les omnibus la fréquence est de toute les demi heures.)  
Traversons les voies par la D 17E (Route d’Armentière) GR 11 & balisage jaune. Laissons à droite et à gauche le chemin des clos et latéral poursuivons jusqu’à la fourche ou nous prenons sur la droite le chemin (qui est une rue bitumée dans la zone pavillonnaire) se nomment chemin de Saint Jean à Isles et à la seconde fourche nous prenons la rue bitumé se nommant chemin des Bruyères. A la sortie de la zone pavillonnaire nous sommes dans les champs et longeons un bois. Traversons le bois le chemin fait fourche laissons la branche de gauche, et passons devant le château des Bruyères. Château que j’ai pris pour une maison forestière [Il existait à Isles, avant 1789, une seigneurie qui dépendait de l'abbaye de 
Jouarre. Son domaine, vendu le 2 novembre 1790 à un négociant de Lizy, moyennant 64 800 livres, consistait en une ferme et 186 arpents de terre. L'abbaye de Jouarre possédait en outre 15 hectares de terre en deux pièces vendues, le 22 août 1830, à Pierre Bayard, propriétaire du domaine des Bruyères, plus un bois dit de la Motte-l'Abbesse, qui est resté uni à la forêt de Montceaux. Un autre fief de la paroisse, Asnières, appartenait au prieuré Saint-Pierre-Saint-Paul de Reuil, près de La Ferté-sous-Jouarre. Son domaine consistait en une ferme et 358 arpents de terre, pré et bois qui furent vendus le 18 brumaire an V à un négociant 
de Mary-sur-Marne, moyennant 13 008 livres. La paroisse d'Isles-lès-Meldeuses fut réunie à celle d'Armentières-en-Brie en 1790 pour constituer qu'une seule commune. Elle en sera détachée en 1906. Wikipédia] Le chemin fait fourche laissons la route d’accès menant du château à la D 17 partir sur la droite et poursuivons le GR tout droit. Nous avons une alternance de bois et de champs, au loin nous apercevons une carrière. Nous buttons sur le talus de la ligne de chemin de fer que nous suivons sur la gauche, nous faisons un esse jusqu’au passage à niveau. Quittons le GR et traversons la voie unique par les petites portes du vieux passage à niveau, poursuivons le chemin jusqu’au pont SNCF. Nous sommes dans le nœud des lignes ferroviaires Meaux-Château Thiérry et Meaux La ferté Milon. Nous sommes dans la foret de Montceaux et sur un balisage jaune.[ massif forestier de 685 hectares de forêt domaniale, situé en Seine-et-Marne à 7 km à l'est de Meaux. Elle se situe 
essentiellement sur le territoire des communes de Trilport et de Germigny-l'Évêque. La forêt faisait partie intégrante des terres qui ont été cédées par Louis le Pieux à l’Abbaye de Jouarre au sein de l'évéché de Meaux. Henri IV viendra y chasser au moment où il offre le château de Montceaux à sa favorite Gabrielle d’Estrées. À partir de 1691, une capitainerie royale des chasses est créée à Montceaux. Louis XIII y chasse le loup et Louis XVI la traverse lors de sa fuite à Varennes. Devenue Bien National à la Révolution française, la forêt devient domaniale et est aménagée à partir de 1837. Wikipédia.
Ancienne propriété de l'évêché de Meaux, la forêt fut fréquentée par Henri IV et Louis XIII à l'occasion de chasses, avant de devenir domaniale après la Révolution. Nichée dans une boucle de la Marne à 6 km à l'est de Meaux, la forêt domaniale de Montceaux s'étend sur près de 700 ha. Elle est composée principalement de chênes. Classée Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique, elle abrite un riche patrimoine naturel, notamment plusieurs espèces d'oiseaux remarquables (Pic Mar, Pic noir et
Bondrée apivore). L'objectif principal est ici la production de bois d'œuvre de chêne de qualité et l'accueil du public, dans le respect des milieux naturels et des paysages. Les peuplements de gros bois vieillissants, voire dépérissants, doivent être renouvelés. Le Chêne sessile, bien adapté à la majorité des sols, reste l'essence principale. Il est accompagné d'autres essences, comme le Frêne sur les milieux humides ou le Châtaignier sur les sols acides et secs. Gestionnaires de la chasse, les forestiers veillent aussi au maintien de l'équilibre entre la faune et le milieu. http://www1.onf.fr/enforet/montceaux/explorer/decouverte/20130828-133101-774969/@@index.html] Après le pont le chemin fait fourche (parcelles 69-70), nous prenons tout de suite le chemin de gauche et longeons la ligne de chemin de fer, de ce coté les bois sont beaucoup plus jolies. Lorsqu’il fait fourche nous prenons à droite le chemin de Mary. Nous coupons la route Sapajou (parcelles 53-52) ou nous trouvons des thuyas géants.  Dans la monté, nous trouvons le sentier botanique un peut en décalé par rapport à notre chemin il faut faire un esse, on trouve un 

poteau en bois marqué 395 Noisetier écrit en vert. Nous prenons à gauche, (nous trouvons un autre poteau avec un triangle jaune, nous grimpons légèrement, nous passons la bande de pin de Douglas et rencontrons un chemin un peu plus large que nous prenons à gauche. le chemin serpentant dans un bois qui a souffert de la tempête de 1999. [La tempête du 26/12/99 a détruit une partie de la plantation résineuse âgée de 40 ans. En partenariat avec Trilport 62 élèves de CM2 et 23 élèves de CM1, on planté 1100 arbres d’espèces forestières (Erables, Chataigniers, Merisiers…) Panneau d’information] Nous débouchons Route de 

Germigny que nous prenons à gauche, nous retrouvons le GR et le balisage jaune. Nous repassons par deux ponts, les lignes de chemin de fer et cette fois ci par le dessus et poursuivons la route de Saint jean à Germigny, nous arrivons au carrefour des parcelles 36-37-56-57 le GR et le PR jaune tourne à gauche poursuivons tout droit dans la parcelle 37, jusqu’au grand carrefour en étoile du Chêne au Roi, ou nous retrouvons le GR 11, que nous suivons sur la droite par la route de Gèvres (parcelle 40-43). Nous arrivons sur l’axe routier principal traversant la foret, l’ancienne N 3 devenue D 603. Heureusement un terre plein centrale permet de traverser cette deux fois deux voies en deux temps poursuivons en face par la D 19 c’est toujours le GR 11 et le balisage jaune. Nous 
quitterons le bitume après le virage de la route en prenant le chemin sur la gauche, (parcelle 46-47) c’est bien balisé. Nous débouchons sur un chemin formant Té (carrefour avec routes en décalées) que nous prenons à droite c’est la route du cerf renforcé en calcaire, nous montons légèrement. Au carrefour, nous retrouvons l’aqueduc de la Duys que nous suivons sur la gauche, c’est également le GR 11 & balisage jaune. Nous coupons un ru, puis un chemin, l’aqueduc tourne sur la droite et nous trouvons sur la carte un chemin sur la droite que malheureusement je n’ai pas vu. J’ai poursuivi le GR 11, voulant rejoindre le 14 A aux Ambroises. Me rendant compte que je faisais du chemin pour rien, j’ai trouvé une laie forestière me faisant contourner le champ s’appelant Montcoupet, et débouchant sur le chemin que j’ai loupé dans le bois Verdelot (c’est la trace orange sur la carte). Cela me permet en le prenant à droite de rejoindre le GR 14 A. Ma laie forestière n’est pas facile avec ses petites ronces au raz du sol, on fait 

un esse nous apercevons les barrières d’un cabanon. Sortons du bois, longeons la lisière en devinant un chemin qui ne doit pas exister, avant de retrouver le chemin que j’ai loupé dans le bois Verdelot que je prends sur la gauche nous arrivons sur un chemin formant Té que je prends à droite et trouve le GR 14 A & un balisage jaune que je prends à droite nous longeons la lisière. Poursuivons la lisière du bois, jusqu’à un chemin formant Té, nous prenons à droite, sur la carte nous longeons la lisière, sur le terrain si je ne me troupe pas, ce n’est plus un champ, mais une plantation de jeunes bois (vérification sur une photo aérienne une partie du champ est bien planté d’arbre). Nous suivons le chemin jusqu’au cimetière de Montceaux après avoir fait à la patte d’oie un virage sur la gauche. Nous passons un ru et un parking avec des bacs à déchets. Nous débouchons dans le virage de la D 19 que nous prenons à gauche. Face à nous une tour en restauration, nous sommes à Montceaux lès Meaux. Un trottoir protège notre marche. [La commune doit une grande partie de son renom au château qu'elle abrita. Le château de Montceaux, acquis au XVIe siècle par Catherine de Médicis, fut ensuite racheté par Henri IV qui l'offrit à Gabrielle d'Estrées, qu'il fit marquise de Montceaux. À la mort de cette dernière, le roi de France le donna à Marie de Médicis à l'occasion de la naissance de Louis XIII. Plusieurs grands architectes, comme Jacques Androuet du Cerceau, Philibert de l'Orme, le Primatice ou Salomon de Brosse sont intervenus à Montceaux. C'est Claude Mollet qui en a dessiné les jardins à la française. Passé ensuite au prince de Conti, le château fut démoli à la Révolution. Il ne reste que d'imposantes ruines, un pavillon, une chapelle, les bâtiments de l'avant cour transformés en maison bourgeoise et les communs du château. Wikipédia] Nous entrons dans le village par la rue de Lizy (D19) sur la droite juste avant l’église nous trouvons les ruines du château dont une partie est en restauration et malheureusement le vieux château en ruine ne se laisse pas découvrir caché même l’hiver par un rideau d’arbres [Le Château royal de Montceaux les Meaux, classé Monument Historique pour son Parc et ses bâtiments, constitue un haut lieu de l'histoire de France. Le château, qui remonte au XIIe siècle, est admirablement situé et décoré avec magnificence. Il fut assidûment fréquenté par la cour depuis Charles IX jusqu'à Louis XIV devenant l'un des lieux majeurs du pouvoir royal, au cœur de l'histoire de France des XVe et XVIe siècles, notamment par son rôle prépondérant pendant les guerres de religion. Acquis par Henri II, il sera transformé en château royal sous la conduite de Catherine de Médicis. A la mort de cette dernière, il fut racheté par Henri IV pour l’offrir à sa maîtresse Gabrielle d'Estrées qui en devint Marquise, puis il devint la propriété de sa femme Marie de Médicis à l'occasion de la naissance de Louis XIII, ce dernier fréquentant aussi beaucoup Montceaux. Son histoire le fait nommer couramment le "Château des trois reines".
Au-delà de son importance historique, le Château, dont il ne reste malheureusement que ses vestiges imposants, représente d’abord un chef d'œuvre de l'architecture de la Renaissance. Les plus grands artistes de l’époque y contribuèrent, ceux-là même qui travaillèrent au Louvre, à Fontainebleau, au Palais du Luxembourg : Philibert Delorme , Jacques Androuet du Cerceau, du Primatice ou de Salomon de Brosse. Avec Fontainebleau, Montceaux est aussi l’un des derniers vestiges de l’art des jardins français du XVIe siècle. Le dessin des jardins a disparu mais les belles perspectives et « vistas » des terrasses à l’italienne subsistent.
La présence d’imposantes ruines au milieu d’un parc aux arbres donne toujours à Montceaux un charme extraordinaire.
https://www.fondation-patrimoine.org/les-projets/les-ruines-du-chateau-royal-de-montceaux-les-meaux] Revenons vers l’église [il a fallut attendre 200 ans pour enfin la voir construire. Avant 
1889 on utilisait la chapelle du château. Elle fut consacrée en 1895. (Panneau d’information)]. Prenons la rue du château à l’angle du parc une maison avec une tour. Nous sommes toujours sur le GR et le balisage jaune, nous débouchons au rond point avec la rue du Vieux Pavé ou nous trouvons la riche maison Pelissier [construite entre 1890 & 1892 par Raoul Pelissier administrateur des sucreries et raffineries Say (Panneau d’information]. Descendons la rue du Vieux Pavé axe principale du village le reliant à Trileport, laissons la ruelle des Brinches sur la gauche avec son mur d’angle monumental, nous trouvons un peut plus bas l’aqueduc de la Duys que nous prenons sur la gauche. C’est également le GR et le balisage jaune. [Construit sous le Second Empire (Napoléon III) afin d’alimenter Paris en eau potable, il sert aujourd’hui à fournir en eau le parc Disneyland Paris et l’est de la région parisienne. Son point de départ se trouve à Pargny-la-Dhuys dans l’Aisne. Il franchit 21 vallées d’une profondeur comprise entre 20 et 73 m, et traverse le sud du département de l’Aisne, la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis sur 132 km avant d’aboutir à Paris, au réservoir de Ménilmontant. http://visit.pariswhatelse.fr/fr/aqueduc-de-la-dhuis Au début du XIXe siècle, outre les puits et les citernes, Paris n'est alimentée en eau essentiellement que par les eaux de Belleville et du Pré-Saint-Gervais et l'aqueduc de Rungis. La construction du canal de l'Ourcq, entre 1802 et 1822, permet d'assurer un apport d'eau important, à défaut d'être d'une qualité adéquate. Le premier puits artésien de la ville est foré en 1841. Le très fort accroissement de la population parisienne nécessite toutefois d'entreprendre de nouveaux travaux. En 1854, avec l'appui de Napoléon III, le préfet Georges Eugène Haussmann et le directeur du service des eaux Eugène Belgrand font approuver un programme d'alimentation en eau par le conseil municipal de Paris. L'aqueduc de la Dhuis est le premier ouvrage 
 à être construit. Le décret du 4 mars 1862 le déclare l'utilité publique. Les travaux divisés en deux lots débutent à la fin juin 1863. Le chantier est rapidement réalisé : l'eau est introduit dans l'aqueduc le 2 août 1865. La distribution régulière commence le 1er octobre suivant, alimentant le réservoir de Ménilmontant. La réalisation de l'aqueduc de la Dhuis coûte 18 millions de francs de l'époque, incluant l'achat des chutes des usines de la Dhuys et l'acquisition des sources et des usines du Surmelin.  Construit entre 1863 et 1865 pour alimenter Paris en eau potable à partir de la 
Dhuis, il parcourt 130 km presque à l'horizontale. L'aqueduc est un ouvrage souterrain, qui capte une partie des eaux de la Dhuis (ou Dhuys), un petit cours d'eau de la Marne et de l'Aisne d'une vingtaine de km de long, affluent du Surmelin. La longueur totale de l'aqueduc varie suivant les sources, entre 129,6 km et 131,162 km. Sa pente est faible : élevé de 128 m d'altitude à son début, il ne descend que de 20 m à 108 m d'altitude à son extrémité, soit une pente de 0,10 m/km, suffisante toutefois pour l'écoulement de l'eau par simple action de la gravité. Son débit moyen est de 22 000 m3/jour. L'ouvrage est, par endroits, constitué d'une conduite en maçonnerie de 2,20 m de hauteur et 1,80 m de largeur, sur une emprise au sol de 10 m de large. De nombreuses parcelles de cette emprise sont la propriété de la ville de Paris. La prise d'eau de l'aqueduc se situe sur la commune de Pargny-la-Dhuys, dans le département de l'Aisne, à 85 km à vol d'oiseau à l'est de Paris. L'ouvrage traverse successivement le sud de l'Aisne, la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis, avant de parvenir à Paris par la porte de Ménilmontant et d'aboutir au réservoir de Ménilmontant. L'aqueduc franchit 21 vallées d'une profondeur comprise entre 20 et 73 m au moyen d'autant de siphons. Son parcours emprunte les plateaux de l'est parisien, se terminant sur le massif de l'Aulnoye et la colline de Belleville. Il fait usage de deux grands siphons : l'un entre Dampmart et Chessy pour franchir la Marne, l'autre entre Rosny-sous-Bois et Le Raincy près duplateau d'Avron. Jusqu'à son franchissement à Chessy, l'aqueduc suit plus ou moins le cours de la Marne, en altitude sur sa rive sud. Après Chessy, l'aqueduc oblique vers le nord avant de se diriger vers l'est et Paris. Au total, l'aqueduc franchit les 59 communes. L'aqueduc de la Dhuis comporte, en général tous les 500 m, des regards de visite fermés à clé permettant le contrôle de l'ouvrage6. À l'extérieur, les regards sont de petits édicules de béton ou de maçonnerie comportant une porte métallique peinte en vert. Sont également présents sur le parcours des points hectométriques, bornes indiquant la distance en hectomètres depuis la prise d'eau à Pargny-la-Dhuys. Le dernier se situe à Paris en face du 10 avenue de la Porte-de-Ménilmontant et porte l'indication « 1308 », soit 130,8 km. Pont et cabanon de maintenance abritant un regard et une vanne sur l'une des conduites forcées.
En 1889, la quantité d'eau distribuée annuellement s'élève en moyenne à 66 millions de m3 pour un prix de 0,113 F/m3. En 1896, les réservoirs du nord parisiens desservent les quartiers hauts de Montmartre, Belleville et Passy.Le trajet de l'aqueduc est une destination populaire. À l'instar des bords de Marne, plusieurs guinguettes sont créées sur son parcours, alors même que l'eau n'est pas apparente. Actuellement, l'aqueduc de la Dhuis alimente en eau potable le parc d'attraction Disneyland Paris à Marne-la-Vallée. Seule une petite partie parvient jusqu'à Paris. Je l’ai déjà écrit et à chaque fois que je lis ses lignes cela m’écœure… Prendre de l’eau potable pour alimenter un parc d’attraction, alors qu’à longueur d’année on nous bassine sur le manque d’eau… Il y avait pourtant une autre solution ; utiliser l’eau de la Marne ou du Grand Morin qui ne coule pas trop loin de là. La traiter pour qu’elle soit sans danger, et laisser l’eau ‘’propre’’ aux parisiens.
Depuis 2009 l'aqueduc est vide à partir d'Annet-sur-Marne, la galerie ayant été bétonnée par la ville de Paris sur presque 700 mètres.
La ville de Paris inscrit à l'ordre du jour du conseil des 17 et 18 octobre 2011 l'éventualité de céder l'aqueduc de la Dhuis à la société Placoplatre, au moins les sections situées sur les communes d'Annet-sur-Marne, Claye-Souilly, Villevaudé et Le Pin, afin de faciliter l'extraction du gypse souterrain par une exploitation à ciel ouvert. À la suite de la motion de censure déposée par la fédération Île-de-France Environnement, la mairie de Paris a d'abord décliné l'offre de Placoplatre avant de renoncer au projet de cession. En juillet 2015, la section de Pargny-la-Dhuys à Chessy est vendue à l'intercommunalité du Val d'Europe. wikipédia]. Nous 
Avant le Golf un puits perdu au milieu des champs

longeons l’aqueduc, bois et champs se succèdent jusqu’à la D 33 que nous traversons, poursuivons en face le GR 14A jusqu’à la route bitumée des Brinches. Ici la carte n’est pas tout à fait juste. Sur la droite en plus du PR nous avons une branche du GR permettant d’accéder à la gare de Trilport, et surtout une fois que l’on a traversé la route, seul les premiers 200 mètres sont bon, la branche du GR traversant les vergers et se dirigeant vers Blaines n’existe plus, pour la simple raison que le Bois ‘’Le Comte’’ est un Espace naturel sensible INTERDIT au public. Vous me direz que je l’ai bien traversé dans le cycle ‘’De Meaux à la Ferté Milon’’ la promenade Meaux Trilport-Etape 1, (mais je n’en ai pas mis la trace) je l’ai traversé par ignorance ce bois. Les barrières étaient renversées et je cherchais mon chemin les yeux rivés sur mon GPS je n’ai pas vu la bifurcation du rouge & Blanc. Je n’ai vu que celui du 
jaune. Aujourd’hui j’en ai la trace que je mettrais dans l’étape 1 du cycle de promenade se randant à la Ferté Milon. Coupons la route bitumée et remontons vers le plateau en suivant l’aqueduc et le GR, au carrefour, ne pas suivre comme la carte l’indique le chemin de droite, mais poursuivre le GR tout droit longeant la Dhuys dérivée. Nous arrivons à une station de pompage et coupons le Ru des Cygnes, poursuivons dans les champs puis nous 

entamons un virage à gauche en longeant un mur devant contenir la canalisation de l’aqueduc afin de conserver une pente naturelle pour l’écoulement de l’eau. Traversons le bois des Vignes de Velours (On a conservé le nom de la parcelle, mais le vin ne devait pas être le velours de l’estomac comme le disait une publicité de mon époque, pour qu’elle se soit transformée en bois et en champs.) Nous approchons de Saint Fiacre, passons des barrières traversons la route bitumée de Fublaines à Saint Fiacre, longeons les limites du bourg passons le lavoir isolé à la sortie du village. Poursuivons l’aqueduc, bois et champs se succèdent à nouveau, puis nous longeons le golf. Coupons une route menant au parking du golf, poursuivons en face. Nous arrivons à Boutigny. Je perds un peut le balisage. Passons un ru, nous débouchons sur une route que nous prenons à droite sur quelques centaines de mètres pour reprendre à droite un chemin. Je m’imaginais 
 que le balisage passerait par l’église et je ne regardais que le clocher et pas le marquage prenant la rue Henri Adolphe Joly sur la droite et descendant vers le cimetière. Je poursuis tout droit et tombe dans un cul de sac. Fatigué, je ne remonte pas vers l’église, je préfère descendre le chemin, longer et contourner le mur du cimetière par la droite afin de retrouver la rue Joly que je prends à gauche, Nous descendons dans la vallée du ru des Cygnes la route fait fourche, nous prenons à gauche le GR, de bitume nous passons à chemin et longeons de nouveau le golf. Coupons un chemin longeons le ru des Cygnes. Le chemin n’est pas facile en ce bas de coteau, il est boueux, la foret, du moins le bois est moche comme tout ce qui n’est pas entretenu. Ronces, épineux et ligneux arboricoles étouffent tout. Le chemin est raviné et doit certainement se transformer en ruisseau lors de pluies torrentielles. Un balisage jaune passe le petit pont au dessus du ru et remonte vers le village de Vincelles, poursuivons tout droit notre chemin boueux et cet affreux bois. Le chemin monte un peut. Nous passons une pancarte nous interdisant l’accès au bois, mais un nouveau balisage jaune et le GR poursuivent le chemin en fond de vallée. Nous arrivons à un carrefour mal balisé. Heureusement que je reconnais mes barrières en plastique qui aujourd’hui son debout et interdisent l’accès au plateau. Il faut vraiment faire attention au balisage qui tourne à l’équerre sur la gauche. Le chemin tout droit étant plus visible dans cette clairière que l’on aurait tendance à poursuivre tout droit. Nous descendons le coteau, par la ruelle du pont, longeons de plus ou moins loin le ru, le traversons à deux reprises après bien des circonvolutions, puis nous longeons le parcours sportif, pour déboucher dans la rue (chemin du Petit Val) nous abandonnons le GR et le balisage jaune remontant sur la gauche, nous prenons à droite. Nous débouchons rue Georges Dagron que nous prenons un cours moment à droite, nous arrivons au carrefour avec la D 228A (rue Jule Blot) que nous prenons à droite. Lorsqu’elle fait fourche nous prenons à gauche la rue de Marne. Au carrefour formant Té, la rue de la Marne tourne sur la gauche, poursuivons tout droit la route qui deviendra par la suite chemin bas, nous retrouvons le GR. Nous sommes au creux de la colline boisé longeant la Marne. Nous longeons des Bords d’eau et des terrains plus ou moins vagues… Nous empêchant de marcher en bordure e la rivière. Nous retrouvons le bitume et entrons dans Meaux en longeant des dépôts, sur la droite une esplanade herbeuse. Remontons la rue, nous rencontrons la N36 (rue François de Tessan) que nous prenons à droite traversons l’écluse du canal de chalifert puis le canal de Cornillon bras d’eau formant l’ile en amont de la ville de Meaux. Poursuivons par la D 360, jusqu’à la gare.

 

 



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