Aujourd'hui nous partons en dans le Nord de la Seine et Marne et plus précisément autour de la rivière Marne ; La Ferté Sous Jouarre – Trilport par la foret du Montceau
Promenade ouverte de Gare en Gare
Janvier 2019
En agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Le code mobile de cette randonnée est b313568
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Carte VisoRando
Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
KM Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
KM Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
29 5h30 0h30 5,3
4,8 430 +
Vieille Gatelier fondent la Société du Bois de la Barre.
sur la droite le Boulevard de Turenne (D80). Nous arrivons sur une esplanade herbeuse avec une
petite aire de jeux traversons là pour rejoindre la petite allée en bordure de la Marne que nous prenons à droite [longue de 514 km située à l'est du bassin parisien. C'est le principal affluent de la Seine : elle prend sa source sur le plateau de Langres, à Balesmes-sur-Marne(Haute-Marne) et se jette dans la Seine entre Charenton-le-Pont et Alfortville (Val-de-Marne). La Marne est classée navigable et canalisée sur
183 kmdepuis Épernay jusqu'à son confluent. Ses écluses présentent un gabarit de 45 m sur 7,80 m. Elle est connectée à
l'Aisne par le Canal de l'Aisne à la Marne qui arrose Reims, et indirectement, par l'intermédiaire du Canal latéral à la Marne, au Rhin par le Canal de la Marne au Rhin et à la Saône par le Canal de la Marne à la Saône, tous au gabarit Freycinet. Plusieurs canaux ont été mis en service
meuliers et tombe sous le contrôle des grands négociants. (Une meule coûte le prix d’une maison. En 1835 la ville compte 23 sociétés dont les plus grandes emploient près de 600 ouvriers et exploitent des milliers de meules chaque année aux quatre coins du monde. En 1849, l’arrivée du chemin de fer provoque un bouleversement dans l’implantation des entreprises les nouvelles sociétés se construisent à proximité des rails.] Lorsque nous apercevons le pont nous remontons vers la D80 et la sortie du parc predre la D80 sur la gauche puis traverser la Marne par le pont, nous arrivons place du Memorial [le mémorial en hommage aux poilus et à nos alliés les Anglais de 1914. Un arc de cercle de 225 km entre Brie et Argonne. En cette année de centenaire on parle beaucoup de Verdun. Là-bas ce fut terrible et aujourd’hui on dit que ce n’était pour rien, que ce n’était qu’un objectif psychologique des militaires et du gouvernement, on oublie les deux batailles de la Marne (1914 & 1918), les taxis de Paris réquisitionnés pour transporter les soldats sur la ligne de front de la bataille de l’Ourcq et des deux Morins. [Le 5 septembre 1914
près d’un million de soldats français et leurs alliés britanniques, combattants vaincus des
Inauguré le 4
novembre 1928 à la mémoire de 3 888 soldats du corps expéditionnaire
britannique disparus sans tombe connue entre août et octobre 1914, en
particulier durant la première bataille de la Marne. Le 5 septembre 1914, près
d’un million de
soldats français et leurs alliés britanniques, combattants
vaincus des batailles meurtrières aux frontières, harassés par une retraite
épuisante, font résolument volte-face et reprennent l’offensive. Ce sera la
première bataille de la Marne, une victoire au prix de sept jours de combats
acharnés sur une ligne de front de plus de 200 kilomètres,
brisant la ruée allemande, protégeant Paris et sauvant la France de l’invasion.
La Ferté-sous-Jouarre fut un des théâtres de ces combats. Le dimanche 4
novembre 1928 eut lieu l’inauguration du mémorial, en présence du maréchal
Foch, de Maxime Weygand, George Milne et William Pulteney. Cet imposant
monument porte, gravé dans la pierre, 3 888 noms d’officiers et de soldats
tombés lors de cette bataille, en septembre 1914. Ces hommes appartenaient aux
forces expéditionnaires britanniques. Ce monument, œuvre du sculpteur George
Hartley Goldsmith, a été élevé par le gouvernement du Royaume-Uni en bordure de
Marne, sur un terrain offert par mademoiselle Fizeau, descendante d'Hippolyte
Fizeau (qui fut membre de la Royal Society). Wikipédia] traverser et prendre sur la
droite l'avenue Franklin Roosevelt, nous retrouvons le Gr 11 et un balisage jaune. Franchissons le Petit Morin et prenons sur la gauche la rue du Petit Pays. Petite rue qui serpente à la fourche nous prenons à gauche la rue du Déversoir (GR) et débouchons rue du Petit Condetz que nous prenons à gauche. Nous arrivons à une fourche et au déversoir du Petit Morin à l'endroit ou il se divise en deux. Sur la gauche au milieu du Pont nous
avons une borne royale avec une fleur de Lys à
l’intérieure [Les bornes ont placées
au 18e siècle le long de la route royale de Meaux à Trilport, également appelée
"route d'Allemagne". Une autre borne de route royale se trouve
aujourd'hui à Meaux, dans le jardin du musée Bossuet : contrairement à celle étudiée
ici, cette deuxième borne a été déplacée ; elle se trouvait jadis à l'angle de
la rue Croix-Saint-Loup et de l'avenue du Maréchal Joffre, le long de la route
de Melun à Villers-Cotterets via Meaux. (Attention
j’ai copié le topo sur internet ne trouvant pas une explication générale sur
les bornes. Ce topo me semblait intéressant
Trilport n’étant pas loin. Mais on en trouve également à Fontainebleau.) http://inventaire.iledefrance.fr/dossier/borne-routiere/6f9b6c2a-91c7-4e39-a448-93b27d184971
droite l'avenue Franklin Roosevelt, nous retrouvons le Gr 11 et un balisage jaune. Franchissons le Petit Morin et prenons sur la gauche la rue du Petit Pays. Petite rue qui serpente à la fourche nous prenons à gauche la rue du Déversoir (GR) et débouchons rue du Petit Condetz que nous prenons à gauche. Nous arrivons à une fourche et au déversoir du Petit Morin à l'endroit ou il se divise en deux. Sur la gauche au milieu du Pont nous
Il semble qu’au XVIIème
siècle, on utilisait parfois une unité de mesure appelée « lieue
kilométrique » qui valait exactement 4 km. Peut-être que ces bornes
avaient été placées toutes les 1/2 lieues kilométriques ? http://blog.deluxe.fr/nouvelles-de-la-gastronomie/curiosite-d619-77.html]
revenir sur ses pas. Prendre à droite
en direction du silos à grains. Devant le silo le chemin fait fourche nous
abandonnons le GR 11 et les balisages, poursuivons à
gauche la route vers le
Moulin de Comporté. Au moulin (nous trouvons un pigeonnier). Nous trouvons un
balisage jaune nous abandonnons la route et prenons à droite le chemin et le
balisage jaune. Nous grimpons, et arrivons a une intersection de chemin jaune,
nous poursuivons en face poursuivons notre grimpette, le chemin fait fourche
poursuivons tout droit, passons l'aqueduc de la Dhuys, le chemin devient
stabilisé, nous arrivons à Jouarre et débouchons dans un virage entre les rues
de la Fontaine et de Comporté.
Après avoir quitté le balisage jaune nous prenons la rue Comporté après un petit esse droite gauche. Nous coupons la rue Petit Huet (D 402). [La ville est située sur un plateau à 150 m d'altitude. Avec 4 219 hectares, c'est en termes de superficie la seconde commune de Seine- et-Marne après celle de Fontainebleau. La racine toponymique de Jouarre renvoie sans doute à une ancienne occupation celte, peut-être le gaulois duro, "porte" d'où "forteresse", ou divoduro, "forteresse divine"".Domus Dei de Jotro - Jouerre-en-Brie - Juere - Jouarre-Balleau et Courcelles. Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Jouarre-la-Montagne. l’essor jotrancien est à rechercher dans la première moitié du VIIe siècle, lorsque saint Adon fonde à cet endroit une abbaye, encore en
activité à
l’heure actuelle. Les invasions normandes du IXe siècle,
les dégradations de la guerre de Cent Ans au XVe siècle,
la Révolution française, autant d’événements majeurs qui ont touché cette
commune. Mais le patrimoine local est resté intact, et si chaque époque a
laissé sa trace, c’est pour mieux révéler ce qui avait été fait antérieurement…
Ainsi Jouarre reste l’une des rares communes de la région à conserver autant de
vestiges des temps révolus. Joyau du patrimoine et de l’art mérovingien, les
cryptes de Jouarre demeurent un ensemble unique en Europe de par leur
conservation et de par leur âge. En 1915, les bâtiments de l'abbaye de Jouarre
sont réquisitionnés pour servir d'hôpital militaire à l'arrière du front.
wikipédia] (Une traversée plus complète de Jouarre est faite dans la
promenade 3). Poursuivons
en face ruelle
Bicêtre, nous débouchons rue Cécile Dumez que nous prenons à
gauche, devenant ou continuant à se nommer Bicêtre, laissons les rues
périphériques, nous retrouvons le balisage jaune. La rue fait fourche nous
prenons à droite la rue de la Grange Gruyer, nous nous dirigeons vers la
déchetterie, traversons cette zone industrielle. Au carrefour avec la croix
nous quittons le bitume pour prendre en face le chemin dans les champs,
(balisage jaune sur un petit poteau.) Il débouche sur un chemin formant Té nous
prenons à droite et nous arrivons sur la D 114p que nous prenons peu de temps à
gauche, puis le premier chemin sur la gauche.

Nous sommes sur un PR jaune, en Seine et Marne pas un poteau dans les champs pour vous indiquer le chemin, alors que dans l'Essonne non seulement on a des poteaux mais en plus les informations telles que le numéro, le nom du circuit et la direction, c'est bien pratique pour se repérer sur la carte. Le chemin tourne sur la droite, laissons un chemin sur la gauche. Nous débouchons sur une route que nous prenons à droite, puis nous retrouvons la D 114p que nous prenons à droite. Nous entrons dans le village des Corbiers par la rue de signets (D 114p) au milieu du hameau nous prenons à gauche la rue de la Grande Trouée, laissons la rue des faussées sur la droite et lorsque la route tourne sur la gauche, nous abandonnons le balisage jaune pour continuer tout droit, la rue des prés qui devient rapidement chemin entre les prairies. Nous arrivons à l'aqueduc de la Dhuys que nous suivons sur la gauche.

[Construit
sous le Second Empire (Napoléon III) afin d’alimenter Paris en eau potable, il
sert aujourd’hui à fournir en eau le parc Disneyland Paris et l’est de la
région parisienne. Son point de départ se trouve à Pargny-la-Dhuys dans
l’Aisne. Il franchit 21 vallées d’une profondeur comprise entre 20 et 73 m, et
traverse le sud du département de l’Aisne, la Seine-et-Marne, la
Seine-Saint-Denis sur 132 km avant d’aboutir à Paris, au réservoir de
Ménilmontant. http://visit.pariswhatelse.fr/fr/aqueduc-de-la-dhuis
Après avoir quitté le balisage jaune nous prenons la rue Comporté après un petit esse droite gauche. Nous coupons la rue Petit Huet (D 402). [La ville est située sur un plateau à 150 m d'altitude. Avec 4 219 hectares, c'est en termes de superficie la seconde commune de Seine- et-Marne après celle de Fontainebleau. La racine toponymique de Jouarre renvoie sans doute à une ancienne occupation celte, peut-être le gaulois duro, "porte" d'où "forteresse", ou divoduro, "forteresse divine"".Domus Dei de Jotro - Jouerre-en-Brie - Juere - Jouarre-Balleau et Courcelles. Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Jouarre-la-Montagne. l’essor jotrancien est à rechercher dans la première moitié du VIIe siècle, lorsque saint Adon fonde à cet endroit une abbaye, encore en
Nous sommes sur un PR jaune, en Seine et Marne pas un poteau dans les champs pour vous indiquer le chemin, alors que dans l'Essonne non seulement on a des poteaux mais en plus les informations telles que le numéro, le nom du circuit et la direction, c'est bien pratique pour se repérer sur la carte. Le chemin tourne sur la droite, laissons un chemin sur la gauche. Nous débouchons sur une route que nous prenons à droite, puis nous retrouvons la D 114p que nous prenons à droite. Nous entrons dans le village des Corbiers par la rue de signets (D 114p) au milieu du hameau nous prenons à gauche la rue de la Grande Trouée, laissons la rue des faussées sur la droite et lorsque la route tourne sur la gauche, nous abandonnons le balisage jaune pour continuer tout droit, la rue des prés qui devient rapidement chemin entre les prairies. Nous arrivons à l'aqueduc de la Dhuys que nous suivons sur la gauche.
Au début du XIXe siècle, outre les puits et les
citernes, Paris n'est alimentée en eau essentiellement que par les eaux de
Belleville et du Pré-Saint-Gervais et l'aqueduc de Rungis. La construction du
canal de l'Ourcq, entre 1802 et 1822, permet d'assurer un apport d'eau
important, à défaut d'être d'une qualité adéquate. Le premier puits artésien de
la ville est foré en 1841. Le très fort accroissement de la population
parisienne nécessite toutefois d'entreprendre de nouveaux travaux. En 1854,
avec l'appui de Napoléon III, le préfet Georges Eugène Haussmann et le
directeur du service des eaux Eugène Belgrand font approuver un programme
d'alimentation en eau par le conseil municipal de Paris. L'aqueduc de la Dhuis
est le premier ouvrage à être construit. Le décret du 4 mars 1862 le déclare
l'utilité publique. Les travaux divisés en deux lots débutent à la fin juin
1863. Le chantier est rapidement réalisé : l'eau est introduit dans l'aqueduc
le 2 août 1865. La distribution régulière commence le 1er octobre suivant,
alimentant le réservoir de Ménilmontant. La réalisation de l'aqueduc de la
Dhuis coûte 18 millions de francs de
l'époque, incluant l'achat des chutes des
usines de la Dhuys et l'acquisition des sources et des usines du Surmelin. Construit entre 1863 et 1865 pour alimenter
Paris en eau potable à partir de la Dhuis, il parcourt 130 km presque à
l'horizontale. L'aqueduc est un ouvrage souterrain, qui capte une partie des
eaux de la Dhuis (ou Dhuys), un petit cours d'eau de la Marne et de l'Aisne d'une
vingtaine de km de long, affluent du Surmelin. La longueur totale de l'aqueduc
varie suivant les sources, entre 129,6 km et 131,162 km. Sa pente est faible :
élevé de 128 m d'altitude à son début, il ne descend que de 20 m à 108 m
d'altitude à son extrémité, soit une pente de 0,10 m/km, suffisante toutefois
pour l'écoulement de l'eau par simple action de la gravité. Son débit moyen est
de 22 000 m3/jour. L'ouvrage est, par endroits, constitué d'une conduite en
maçonnerie de 2,20 m de hauteur et 1,80 m de largeur, sur une emprise au sol de
10 m de large. De nombreuses parcelles de cette emprise sont la propriété de la
ville de Paris. La prise d'eau de l'aqueduc se situe sur la commune de
Pargny-la-Dhuys, dans le département de l'Aisne, à 85 km à vol d'oiseau à l'est
de Paris. L'ouvrage traverse successivement le sud de l'Aisne, la
Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis, avant de parvenir à Paris par la porte de
Ménilmontant et d'aboutir au réservoir de Ménilmontant. L'aqueduc franchit 21
vallées d'une profondeur comprise entre 20 et 73 m au moyen d'autant de
siphons. Son parcours emprunte les plateaux de l'est parisien, se terminant sur
le massif de l'Aulnoye et la colline de Belleville. Il fait usage de deux
grands siphons : l'un entre Dampmart et Chessy pour franchir la Marne, l'autre
entre Rosny-sous-Bois et Le Raincy près du plateau d'Avron. Jusqu'à son
franchissement à Chessy,
l'aqueduc suit plus ou moins le cours de la Marne, en
altitude sur sa rive sud. Après Chessy, l'aqueduc oblique vers le nord avant de
se diriger vers l'est et Paris. Au total, l'aqueduc franchit les 59 communes.
L'aqueduc de la Dhuis comporte, en général tous les 500 m, des regards de
visite fermés à clé permettant le contrôle de l'ouvrage6. À l'extérieur, les
regards sont de petits édicules de béton ou de maçonnerie comportant une porte
métallique peinte en vert. Sont également présents sur le parcours des points
hectométriques, bornes indiquant la distance en hectomètres depuis la prise
d'eau à Pargny-la-Dhuys. Le dernier se situe à Paris en face du 10 avenue de la
Porte-de-Ménilmontant et porte l'indication « 1308 », soit 130,8 km. Pont et
cabanon de maintenance abritant un regard et une vanne sur l'une des conduites
forcées.
Passage en Siphon |
En 1889, la quantité d'eau distribuée annuellement s'élève en moyenne à 66 millions de m3 pour un prix de 0,113 F/m3. En 1896, les réservoirs du nord parisiens desservent les quart iers hauts de Montmartre, Belleville et Passy.
Le trajet de l'aqueduc est une destination
populaire. À l'instar des bords de Marne, plusieurs guinguettes sont créées sur
son parcours, alors même que l'eau n'est pas apparente. Actuellement, l'aqueduc
de la Dhuis alimente en eau potable le parc d'attraction Disneyland Paris à
Marne-la-Vallée. Seule une petite partie parvient jusqu'à Paris. Je l’ai déjà
écrit et à chaque fois que je lis ses lignes cela m’écœure… Prendre de l’eau
potable pour alimenter un parc d’attraction, alors qu’à longueur d’année on
nous bassine sur le manque d’eau… Il y avait pourtant une autre solution ;
utiliser l’eau de la Marne ou du Grand Morin qui ne coule pas trop loin de là.
La traiter pour qu’elle soit sans danger, et laisser l’eau ‘’propre’’ aux
parisiens.
inscrit à l'ordre du jour du conseil des 17 et 18 octobre 2011 l'éventualité de céder l'aqueduc de la Dhuis à la société Placoplatre, au moins les sections situées sur les communes d'Annet-sur-Marne, Claye-Souilly, Villevaudé et Le Pin, afin de faciliter l'extraction du gypse souterrain par une exploitation à ciel ouvert. À la suite de la motion de censure déposée par la fédération Île-de-France Environnement, la mairie de Paris a d'abord décliné l'offre de Placoplatre avant de renoncer au projet de cession. En juillet 2015, la section de Pargny-la-Dhuys à Chessy est vendue à l'intercommunalité du Val d'Europe. wikipédia]. Nous sommes sur le GR 11. Juste avant un virage à angle aigu sur la gauche nous
Poursuivons l'aqueduc et les GR plus un (nous trouvons une balise isolé de saint Jacques de Compostelle du chemin Reims Paris) traversons un bois, puis après avoir longé et traversé un ru (ou un Fossé ) nous prenons à droite la route (C3) de la choquette (nom de la ferme se trouvant plus haut) afin de réaliser le détour indispensables pour traverser l'autoroute. (je ne me suis pas risqué à suivre l'aqueduc. Le passage est peut-être étroit voir interdit aux publics par des grillages.) Nous arrivons à Montretout et prenons à gauche la rue de Sibut. Laissons après la sortie du village une voie sur la gauche et descendons vers l’autoroute que nous franchissons. Après la voie express nous retrouvons l'aqueduc la route fait fourche (C6) la rue de gauche menant à Arpentigny. Poursuivons nos balisages sur la droite, coupons une route, bois et champs se succèdent, nous coupons la route de la côte fleuries menant au village des deux jumeaux
Passage sur un petit pont |
Pas très large le tablier |
Si ce trajet devient
impossible à l'écluse il faut rejoindre la D 603, après un virage et une
antenne relais, nous prenons à droite la D 17E.

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