dimanche 2 février 2020

89 - Petite Promenade Le Vaudoué

Petite promenade en Seine & Marne : Le Vaudoué

Février 2019

C’est une promenade que je souhaitais réaliser depuis longtemps. J’avais découvert ce balisage jaune lors de mes randonnées reliant la Seine à la Loire. Je m’étais dit qu’il serait peut être intéressant de se promener dans ses vallées et bois que je ne connaissais pas.

Pas facile de ce garer dans ce petit village coincé au fin fond de la foret des Trois Pignons. Je n’ai trouvé qu’un petit parking place de Saint Hubert. Le Vaudoué se trouve sur la D 16 reliant Milly la Foret à La Chapelle La Reine.



 Km     Temps      Arrêt      V/d        V/ g        Dénivelé
 17       3h10        15mn     5,4           5               219 +



Carte IGN        Trace GPS et Topo sans Commentaires

Trace sur Randogps.net               Le code mobile de cette randonnée est b313396 
     Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

 Je trouve une place rue de l’hermitage, je remonte vers la place du souvenir et prend la petite ruelle de l’église [Située en bordure du département de Seine-et-Marne et du département de l'Essonne, bordée au nord et à l'est par la forêt de Fontainebleau, Le Vaudoué fait partie du Parc Régional du Gâtinais. La présence de rochers de grès, favorables à la formation de nombreux abris, celles d'un cours d'eau proche, sont des facteurs qui devaient favoriser l'établissement de l'homme sur son territoire. Église Saint-Loup 
(Saint-Leu), début du XIIe siècle.] Faisons le tour de cette dernière, nous sortons place Louis Pasteur que nous prenons à droite puis encore à droite la rue de l’Echelle, passons derrière la place du souvenir avec son puits et son monument du souvenir. Prenons à droite la continuité de la rue de l’Ermitage nous sommes sur le balisage jaune, puis à gauche la rue de la Crotte aux Loups, nous passons devant un beau porche. Nous arrivons à un carrefour nous prenons à droite longeons les prairies d’un centre équestre poursuivons le balisage jaune, laissons sur la gauche l’accès à la ferme équestre et prenons le chemin suivant sur la gauche, coupons un chemin et longeons un bois avec quelques rochers. Après le bois nous sommes dans les champs nous arrivons au carrefour ou

nous prenons à gauche, nous sommes sur le plateau nous nous dirigeons vers une nouvelle ferme équestre, nous longeons sa carrière, puis les manèges et à l’angle du centre nous prenons à droite la fin de la rue de la Crotte aux loups. La rue devient chemin nous sommes sur le balisage jaune du PR de la Vallée de Boissy aux Cailles. Longeons un bois, puis traversons un champ avant de longer la lisière d’un nouveau bois. Pourquoi ne pénétrons nous pas dans ce bois de la vallée de Moque Panier, il ne me semble pas privé ? Je poursuis le PR prenant à droite, en me disant qu’il y avait certainement des raisons que je ne connais pas et qu’il ne se voit pas. Poursuivons la lisière. Au carrefour en forme de Té poursuivons à gauche la lisière, traversons un champ et poursuivons en
longeant toujours la lisière du bois. De nouveau le chemin pénètre dans la foret mais nous faisons un crochet toujours en contournant la corne du bois des arbres sont tombés et le chemin se rétréci dangereusement par un socle de charrue se rapprochant de plus en plus du bois . Au loin nous apercevons le clocher de Toussons. Nous faisons deux coudes à gauches retrouvons l’allée traversant le bois avec des traces de tracteur, il y a bien communication. Poursuivons sur la droite cette belle allée le long de la lisière du bois. Nous abandonnons enfin la lisière du bois et le balisage jaune pour traverser le champ en me dirigeant vers le clocher de l’église et le château d’eau, nous arrivons sur un chemin formant Té (cote 120) que nous prenons à gauche nous sommes d’après la carte Open

Street sur la rue du Repos. Nous arrivons à la croisée de chemin nous laissons le chemin de gauche et prenons celui qui se trouve en biais face à nous. Laissons un chemin sur la droite et nous entrons dans le bois de Champlaid et la vallée Mercier sur la gauche dans la parcelle un chêne en forme de lyre. Nous retrouvons des balises jaune. Dans le bois sur la droite un affleurement de grès avec une cassure net ferment la vallée de Boissy. Dans le bois de la vallée nous apercevons quelques maisons isolées. Nous débouchons sur la voie d’accès aux maisons puis sur la petite route, reliant le Vaudoué à Boissy et se nomment rue de la fontaine de la Fourche. Poursuivons se long ruban de bitume dans la vallée du carrefour, nous rencontrons le GR 1 et 32 que nous suivons un


cour instant, nous poursuivons la route et le balisage jaune dont les marques sont distante. La route nous fait entrée dans Boissy aux Cailles, petit village coincé dans le fond d’une vallée. [Après l'épisode sédimentaire du Stampien pendant lequel s'est déposée une importante couche de sable, se sont déposés des limons qui constituent la couche fertile et cultivée. Au quaternaire la mise 
en place du réseau hydrographique, creuse une profonde vallée et fait apparaître, sur les flancs, des grès provenant de la recristallisation du sable. La structure de cette commune est très particulière. En effet elle est composée pour une part de terres du plateau, en openfield, et pour l'autre part d'une vallée profonde de 50 mètres. La rivière « École » prend maintenant sa source sur la commune du Vaudoué mais elle prenait sa source autrefois à Jacqueville (commune d'Amponville) ou peut être même à la Chapelle-la-Reine et traversait l'emplacement du village actuel de Boissy. La vallée se creuse près du hameau de Marlanval et descend jusqu'au village. Elle continue ensuite jusqu'au Vaudoué. La vallée sèche est déserte ce qui permet à de nombreux animaux sauvages d'y vivre. Cette 
vallée est boisée, sur ses flancs, de son origine jusqu'au Vaudoué, le plateau en revanche ne l'est pas à l'exception de quelques bosquets. Avant 1793, le village s'appelait Boissy-le-Repos. Comme souvent l'origine du nom n'est pas attestée, on trouverait cependant en 1113 l'appellation Bussiacum du nom de personne latin Bussius ou Buccius ou du gallo-roman BUXU (latin buxus) « buis », suivi du suffixe d'origine gauloise -(i)acum, initialement localisant. Le mot de Cailles qui lui a été accolé a la même origine que cailloux. Il s'agit de petites boules de pierre naturellement polies que l'on trouve très fréquemment dans les champs. La commune compte 110 lieux-dits administratifs répertoriés. Wikipédia]. (Malheureusement nous ne verrons pas de ses petits cailloux dans les chemins emprunté aujourd’hui, je me souviens en avoir vue sur le GR 32 lors de la deuxième étape de mon itinéraire de la Seine à la Loire). A la fourche laissons sur la
droite la rue Saint André, poursuivons tout droit la Rue Saint [L'église dédiée à saint Martin est située sur une hauteur en bordure de village, ce qui lui donne l'impression de dominer le village. La légende raconte que saint Martin de Tours se rendant de Boissy à Marlanval fut obligé de passer par un chemin escarpé et en particulier sur une grosse pierre en travers du chemin contre laquelle son cheval butta et frappa la pierre si violemment que la trace de son sabot resta imprimée malgré le dureté du grès. Voyant 
en cet incident la volonté divine, saint Martin fit demi-tour et décida de faire élever une église dans le village plus bas. L'église fut en réalité construite XIe ou XIIe siècle et non pas au Ve siècle. De cette église romane restent l'abside et le chœur, le portail nord est du début du XIIe siècle. Une chapelle a été ajoutée au XVIe siècle, la tour carrée et le clocher au XVIIe siècle. La voûte a été détruite et reconstruite plusieurs fois, le plafond actuel date de 
1955. Dans le clocher une cloche datant de 1733 est appelée « Louise Émilie ». Ce nom est celui de la princesse Louise Émilie de la Tour d'Auvergne, abbesse de l'abbaye royale de dame de Montmartre et dame de Boissy. L'église a été inscrite à l'inventaire des monuments historiques le 18 mars 1926. Une chapelle dite chapelle de Saint Marc, devait se situer à Mainbervilliers à l'embranchement des routes d'Auxy et de Malesherbes. Aujourd'hui disparue, le seul souvenir est une croix, dite croix de Saint Marc, sur le cadastre de 1829. Le passage et la halte à Boissy-aux-Cailles furent jadis une alternative pour les pèlerins se rendant en pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle, entre Paris et Tours, via Orléans (via Turonensis). Wikipédia (je vous laisse lire la suite 
notamment les fouilles archéologiques sur le site wikipédia]. Redescendons la butte et prenons sur la droite l’allée du Souvenir, (ne pas s’occuper des panneaux d’informations des autres promenades.) A la sortie du village je quitte un instant le balisage jaune et le bitume pour prendre un chemin sur la droite et contourne un bois comportant quelques beaux rochers pouvant servir aux gamins du village à une approche de l’escalade, malheureusement ils sont envahis par les ronces. Contournons le bois et nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à droite, nous grimpons au milieu de la vallée, le chemin fait fourche, poursuivons sur la droite le balisage jaune. A la sortie du bois nous débouchons sur une route que nous prenons à gauche, nous entrons
dans Marlanval la rue fait un coude sur la droite et nous trouvons quelques centaine de mètres après, une rue que nous prenons sur la gauche, elle descendant fortement c’est la rue du ‘’Pas Saint Martin’’, de rue nous passons rapidement à chemin. Après la traversée du bois, à la première fourche laissons le chemin de droite. Nous longeons un champ et la lisière du bois, nous sommes toujours sur le balisage jaune qui me semble tout neuf. A la seconde fourche le chemin de gauche laissons le chemin de gauche, nous entrons de nouveau dans le bois et grimpons dans la vallée D’Allain. Le chemin fait une patte d’oie, poursuivons tout droit sans s’occuper des chemins sur la gauche. Nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à gauche nous sommes toujours sur le
balisage jaune. Nous sortons du bois longeons sa lisière puis traversons le champ, pour entrée un peut plus loin dans le bois de Fourche. Bien suivre le large chemin balisé, en 2019 des laies forestières pour l’entretient des parcelles de bois peuvent être confondues avec le chemin. Nous rencontrons en provenance de la gauche le G R 1 & 32. Nous sommes maintenant communs au deux. Nous trouvons des panneaux de direction en plastique. Arrêtons-nous un instant à la chapelle de Fourche ancienne Commanderie des Templiers [La commanderie 
remonte au XIIè et accueillait pour les soigner les lépreux. Maladie que les croisés avaient rapportée d'orient. Après la dissolution de l'ordre du Temple elle fut attribuée en 1320 aux chevaliers de Saint Jean de Jérusalem. Au XVIIè la léproserie devient ermitage, jusqu'a la suppression des ordres religieux en 1790. Fourche tomba dans l'oublie. En 1974 le centre de recherche et de documentation médiévales entrepris la première campagne de fouille. La vierge en majesté est scellée au centre de l'abside de la chapelle des templiers, n'est qu'une 
représentation moderne de ce qui devait existé à l'époque médiévale. Les templier ayant pris la vierge pour patronne.] (résumé des informations trouvé sur place) Photos https://randosacaudos.blogspot.com/2015/04/de-la-seine-la-loire-gr-32-presentation_3.html?view=magazine] Poursuivons le GR et le jaune qui redescend sur le Vaudoué. Nous débouchons sur la route de la Fontaine Fourche, que nous prenons à droite. Nous arrivons place Saint Hubert ou nous retrouvons la rue de l’Ermitage. Martin, nous arrivons de nouveau à une fourche nous prenons à droite toujours la rue Saint Martin pour nous rendre à l’église










 

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