Petite promenade en Limousin ; Le pont à l'Age
Le départ se fait de l'étang du Pont à l'Age, il se trouve entre
le village de Folles et de Laurière sur la D 63. En venant de Folles nous trouvons
un panneau d'information nous indiquant l'étang. Ne pas prendre la première direction
du centre de voile mais la seconde information. Nous quittons la D 63 pour
prendre une petite route menant au hameau de Mascroisier et dans le village prendre
une rue sur la gauche descendant vers l'étang. [Le Lac
du Pont à l'Age est une retenue d'eau situé sur l'Ardour Le lac du
Pont à l’Âge se distingue par sa forme sinueuse provoquée par un relief accusé.
Son 
tracé dessine un « serpent d’eau » que souligne la texture boisée des
versants. Le paysage du lac se dévoile par séquences : au détour de chaque
méandre se succèdent des scènes pittoresques, où l’eau occupe une place
centrale et changeante. Il a une superficie de 49 hectares et une grande
richesse faunistique ; son étendue est assez sinueuse. Une plage, ouverte en 1975 est maintenant
fermé. Wikipedia et www.//Folle_lac_du_Pont-al_Age_.pdf] je vous conseil de lire ce dernier site, il est en pdf Mais peut être que dans quelques années (proche) le
lac disparaîtra. J'ai connu ce site grouillant de monde, je m'y suis baigné,
mais voilà tout est 
fini, à cause d'une algue ou d'une bactérie. Demain il n'y
aura peut être plus de lac. Pour le randonneur, je dirais peu importe de ce
promener en bordure de l'eau ou sur les flancs d'une gorge plus ou moins large
et profonde. Voici un extraie du journal local datent de mars 2017. Étant un
site classé depuis 1977 il me semble étonnant qu'on laisse faire ce que le
journal annonce. le site est en bon état, mais
une visite de sécurité de la digue, haute de 11 mètres doit avoir lieu au plus
tôt. Elle peut se faire qu'après vidange ou par des plongeurs spécialisés.
Physiquement aussi, une échelle à poissons doit être construite.
Sanitairement, la baignade, suite à la présence de bactéries, est interdite.
Compte tenu des mesures à prendre pour la rendre à nouveau possible,
assèchement, curage, 
ouverture pendant au moins 5 ans, sans garantie de
résultat, la baignade est définitivement interdite. Quelques années en arrière,
une turbine fournissait du courant à EDF, rendant ainsi ce site viable. Cette
turbine a été détruite partiellement par les intempéries (orage). Elle a été
ensuite vendue par l'ancien conseil syndical. https://www.lepopulaire.fr/lauriere/2017/03/04/le-pont-a-l-age-objet-d-une-reflexion_12307324.html#refresh ] aujourd'hui ou l'on recherche
de l’énergie propre il est étonnant qu’ EDF ne réhabilite pas la centrale
électrique. C'est tout de même moins visible que ces affreux moulins à vent que
l'on veut implanter sur ses montagnes. Un immense parking vide de toute voiture nous attend.
Km Temps Arrêt V/d
V/g Dénivelé
11,5 1h45 0h40
6,5 4,8 266 +
Trace Randogps Le code mobile de cette randonnée est b313555
Descendons vers la plage qui a permis
l'essor du tourisme. Une belle plage de sable, fut ouverte en 1975, je mis
suis baigné, ou mon fils y a fait des pâtés de sable, aujourd'hui un espace rempli
d'herbes. Traversons cette dernière en direction des petits chalets du camping.
Longeons le lac. Nous trouvons un petit sentier balisé en jaune ainsi que le
GRP du Tour des Monts d'Ambazac. Remontons le lac, lac très sinueux. Laissons
un chemin remontant vers le camping. Il est parfois difficile de suivre le
sentier, les balises sont distantes et les nombreux sentiers de pêcheurs,
forment des fourches qui peuvent nous tromper, mais tous ses sentiers
reviennent sur le sentier principal. Le chemin débouche sur un 
autre formant Té
nous prenons à gauche. Sur la droite nous trouvons une mare, nous faisons un
esse et nous prenons à droite. Nous débouchons sur un chemin formant Té nous
prenons à gauche (sur la gauche un beau être avec une lucarne (une branche
revenant et se collant au tronc principal.) Nous arrivons à un carrefour
poursuivons tout droit (sur la gauche le chemin descend sur une langue de sable
bien pratique pour pêcher. Le lac se rétréci et devient un peu plus vaseux de
grandes îles d'herbes ce sont créés, la rivière serpentant au milieu de tout
cela. Remontons toujours la rivière vous aurez peut être la chance de voir des
castors, moi je n'ai vu qu'un arbre abattu par ce castoridae. (On ma confirmé
qu’il y avait été introduit 
des castors.) Le sentier ce voit beaucoup moins dans cette partie de la foret, nous entrons dans une zone très humide. Le sentier fait une sorte de fourche, le balisage continue tout droit mais même après quatre mois de sécheresse il faut se mouiller les pieds, dans la vase et la tourbe, encore cela serait de l’eau clair je le ferais. Ce que je ne comprends pas, c’est que ce le chemin que l’on trouve sur la carte et qui contourne cette tourbière est barré de croix jaune et jaune et rouge. Je ne suis pas le balisage prend le sentier de droite quoi que le balisage continue tout droit, longe la tourbière alimenté par le ruisseau de la foret. Nous trouvons sur la gauche un petit sentier avec quatre bûches jetées dans le ruisseau, nous prenons à gauche et de l’autre coté la branche du sentier sur la gauche redescendant vers le lac, nous reprenons notre itinéraire le long de ce qui reste du lac, il s'est
bien rétréci et envasé. Le chemin fait fourche, le
balisage manque, j’ai perdu les marques du GRP je prends à droite le balisage
jaune, nous prenons un peu de hauteur. Notre sentier débouche sur un chemin un
peu encaissé formant Té nous prenons à gauche et redescendons vers la rivière. Je
me rends compte lorsque je retrouve le balisage que le GRP poursuivait le long
de la rivière. Je me félicite d'avoir pris à droite, car aujourd'hui la prairie
empruntée par le GRP est ceint d'une clôture électrique et je ne pense pas y
avoir vu un passage pour les piétons. C'est un
peut ce que je reproche au Limousin des sentiers mal balisés et un manque
flagrant de faciliter le passage des randonneurs les chemins n'étant pas
toujours sur les cartes et souvent coupés par une culture ou une prairie et
aucun passage aménagé pourtant il nous
faut pas grand-chose juste de quoi passer disons la largeur d'un girobroyeur… Ils
le font bien en Auvergne…. Nous prenons sur la droite le large chemin
et débouchons sur la D 19.
Nous pouvons prendre sur la gauche jusqu'au pont au dessus de l'Ardour [C'est un affluentde la Gartempe, donc un sous-affluent de la Loirepar la Creuse et la Vienne. L'Ardour prend sa source au sud-est de Bénévent-l'Abbaye, sur la commune d'Augères, à l'altitude 450 mètres et à 500 mètres au nord-est du Puy
de Villard (521 m) dans le département de la Creuse, et coule globalement en direction de l'ouest. Après un trajet de
33,5 kilomètres, durant lequel il a alimenté le Lac du Pont à l'Age, il se jette dans la Gartempe entre Folles et Bersac-sur-Rivalier à l'altitude 291 mètres et à moins de
500 mètres au nord-est et en amont du viaduc de Rocherolles. Wikipedia ] revenons sur nos pas et grimpons le long de la
route. Un peut avant le haut de la côte, nous prenons le premier chemin sur la
gauche, (je n’ai pas vu de marque nous indiquant que nous tournions.) Nous
entrons dans le bois de châtaignier, longeons une clôture, traversons un
ruisseau à gué en ce mouillant les pieds. Le 
chemin fait fourche et le balisage à presque disparu. Nous apercevons une balise presque effacé sur un reste de châtaigner faisant cornière nous prenons à gauche, nous longeons un petit muret de pierres. Nous retrouvons le balisage un peu plus loin, nous sommes dans une belle foret de châtaigniers, nous débouchons sur une route bitumée (C5) que nous prenons à droite, Nous retrouvons le balisage du GRP et le jaune. Nous remontons jusqu'au village du Grand Boisgiraud que nous traversons par la rue principale. Nous débouchons sur la D 914 que nous prenons à droite. Nous abandonnons le GRP passant sous le pont de la SNCF et se dirigeant vers Bonnefond et poursuivons le jaune le long de la départementale. Attention cela circule
vite sur cette route et ce n'est pas un piéton qui les ralentit. Au hameau de Boisgiraud les Mines (quatre maisons) (Attention sur la carte OpenSreet de géoportail il y a une erreur il est indiqué Bonnefond à cet endroit, mais ce hameau d’une maison sur la carte se trouve de l’autre coté de la ligne de chemin de fer.) Nous quittons le bitume pour prendre sur la droite un chemin dans les champs. Il fait rapidement fourche devant le bois, nous prenons à gauche le balisage jaune, le long du champ et du bois. Balisage jaune. On voit bien les agriculteurs dans le coin ont une haute estime pour le randonneur, malgré le balisage et le chemin présent sur la carte. Le fer de la charrue à fait disparaître le chemin en bordure du bois. Un ‘’ CHOUX c'est un CHOUX'' il y aura quoi dans ces sillons, deux rangs de blés, de maïs ou toute autres culcures qui pousseront mal ou pas du tout, le bois leur fera de l'ombre, alors pourquoi anéantir ce passage ? Nous retrouvons le chemin à l'entrée de la forêt de châtaignier. Le chemin bien
nettoyé descend doucement dans cette foret de houx, de chênes et de
châtaigniers, heureusement que le balisage est serré, il semblerait que le
passage est récent je ne suis plus sur ma trace, passons un petit pont
traversant le ruisseau du Forgefer, le chemin devient un peu difficile au
niveau des fougères. J’espère qu’au printemps cette partie restera entretenue,
nous retrouvons un beau chemin et le balisage derrière le fourré de fougères.
Au loin nous apercevons les éoliennes situées à une quinzaine de kilomètres
(autour de la Souterraine) nous débouchons sur la D19 que nous prenons à droite.
Prenons la première route à gauche se dirigeant vers la forêt communale de
Laurière, toujours le balisage jaune, nous poursuivons le bitume dans la foret
de Laurière. Je quitte le balisage jaune au panneau d’information je ne descend
pas vers la foret des Gaberaux, je poursuis le bitume ayant vu sur le panneau,
qu’il y avait un village détruit et une fontaine un peu plus loin. Poursuivons
la route dans 
le haut de la grimpette un peu avant la prairie, nous trouvons un chemin sur la droite, le panneau annonçant le village abandonné et détruit de Monsila se trouve en retrait. [La tradition orale fait remonter l’abandon du hameau à la deuxième moitié du XVIIème et en donnant la raison d’une invasion de vipères dans le village, à l’intérieure même des maisons et jusque dans le berceau des nouveaux nés ! La prolifération des reptiles aurait ainsi déterminé les villageois à s’établir en un endroit plus favorable. Ils bâtirent le hameau de Mascroisier. Panneau d’information.] Un chemin devant être la rue
principale entre des murets nous laisse deviner l'existence de quelques maisons. Un chemin mal tracé nous fait revenir sur nos pas. Nous retrouvons un chemin après une épingle à cheveux que nous prenons à gauche et descendons dans un vallon encaissé, nous apercevons une pancarte avec la fontaine de Monsila. Avec les fougères elle est difficile à voir. Après quatre mois de sécheresse il n'y a plus d'eau dans ce trou carré au raz du sol d’une vingtaine de centimètres de profondeur, remplie de ronces, le terrain est tout de même humide, mais pas de quoi alimenter un village, même pas les animaux sauvages. Le
chemin descend, sur la gauche le ruisseau renaît et suinte un peu. Nous retrouvons un chemin formant Té que nous prenons à gauche, nous retrouvons le balisage jaune. Le chemin remonte un peu et contourne le camping du Pont à l'Age, nous débouchons sur le bitume que nous prenons à droite et peu de temps après le chemin de gauche. Nous débouchons sur la route proche de parking, il est vrai que nous pouvons prendre sur la droite et retrouver la voiture, mais je vous propose un petit prolongement. Prenons la route sur la gauche passons un ruisseau nous débouchons route du Mascroisier
que nous prenons à droite en direction de de Saint Sulpice, Laurière et Folles.
Nous débouchons sur la D 63 que nous prenons à droite en direction de Folles.
Nous retrouvons le GRP des Monts d'Ambazac. Nous arrivons à une maison isolée
juste avant la route de La Chassagne, nous prenons le chemin empierré sur la
droite juste à l'angle de la maison. Nous longeons soit la rivière, soit un
trop plein du lac l’eau 
courre sur les cailloux en minuscule cascade. Ne pas prendre la passerelle menant à la digue poursuivre ce large chemin. Nous arrivons au lac
prendre sur la droite. Nous avons une autre vue sur cette étendue d'eau. Le balisage et le chemin suivent la berge, nous retrouvons le bâtiment faisant snack l'été et un peu plus haut le parking.
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