Poursuite de mes promenades autour de la France ; Aujourd’hui nous parcourrons les Pyrénées Audoise, (piémont pyrénéen et le Pays Cathare) de Rennes le château - Quillan
lundi 27 mai
Rennes le
château Quillan
km Temps arret V/d V/g dénivelé
18,5 4h30 0h15 6,1 4 ?
Heureusement
que c'est une petite journée, j'ai le contre coup d'hier, et se fut un tracé
galère. je me suis planté dès le départ.
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Carte OpenStreet Trace GPS & Topo sans commentaires Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b312896
Carte VisoRando Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
les maisons que nous avons aperçu du sentier me permettant de rejoindre ma trace. C'est un chemin bitumé avec des balises VTT, longeant une rivière. Je retrouve ma trace et le balisage. Je prends le sentier balisé de droite et je me retrouve rapidement bloqué par le ruisseau de « Couleurs », mais le pont a disparu. Emporté certainement lors d'inondations, et pas encore remis en place. Les assises sont prêtent mais les trois morceaux de poteau électrique en béton devant servir de pont sont resté la. Manque de moyen ou de temps. Sans
Il faut passer à gué. Heureusement nous n'avons pas besoin de nous déchausser. Le talus de l'autre coté est glissant et pentu. Après le chemin devient une catastrophe. Ce dernier n'est pas entretenu. Normal sans pont peut de personnes l'utilisent. Nous contournons des prairies. Le chemin n'est plus balisé. Nous débouchons sur un large chemin conduisant sur la droite vers Espéraza. Nous prenons à gauche, le chemin grimpe. Il fait fourche dans un virage, et je me plante. Cette fois ci je ne cherche pas à rattraper, je fais demi tour.
Le chemin après avoir desservi des enclos, et des prairies, devient difficile, très herbeux, puis impossible, les branches ont recouvert le chemin. Chemin qui est devenu sentier. Je regrette de ne pas avoir fait quelques kilomètres de plus et avoir pris la route. Ce large chemin qui devait servir de liaison n'est plus utilisé par les engins agricoles et pas nullement entretenu dans ce petit bois que nous traversons. Enfin nous débouchons sur un chemin conduisant à un champ, qui débouche sur un autre chemin débouchant sur un autre donnant accès lui aussi à un
dans la parcelle, il est difficile de se rendre compte si l'on est entre les rangs de vignes ou sur un sentier. A la fin de la parcelle plantée, c'est un beau champ de coquelicots, je suis sur que ce n'est pas pollué mais cela ne me donne pas de chemin. Normal il n'y en a pas sur la carte. Je suis légèrement en hauteur et aperçoit en contre bas un chemin dans une autre vigne. Malheureusement ma position, les taillis, les arbrisseaux me cachent la physionomie du terrain. Je traverse le champ de coquelicots et
De mémoire il me semble qu'elle était clôturée, le chemin n'est plus visible, j'ai suffisamment galérer un peu plus haut, je prends le chemin de gauche mieux tracé qui d'après la carte rejoint une route carrossable. (Le chemin que j'avais choisi lors de l'étude de mon itinéraire se termine dans un bois… j'avais peut être devant mon ordinateur et les photos aériennes estimé que je pouvais gérer ce problème sur place apercevant une ligne de haies reliant les deux chemins.) Je choisi la sécurité. Je prends sur la gauche ce chemin entre les vignes qui débouche
Nous traversons le ruisseau, ce qui me permet de nettoyer mes chaussures et mon pantalon crottées de terre rouge. Nous arrivons à une première intersection, nous continuons tout droit vers Granès, à la seconde intersection, nous prenons à droite, le chemin du Pontet qui est une route. Nous longeons quelques maisons. Nous débouchons sur la D 46 que nous prenons un cours instant sur la droite, nous longeons des étangs ou des marais. Dans le virage de la route nous quittons le bitume, pour prendre un chemin partant face à nous, longeons les vignes du lieu dit ''le Sarrat'', nous débouchons sur la D 146, départementale que l'on prend pour une vicinale. Nous arrivons dans l’un des virages de la D 509, nous trouvons un chemin
[Saint de la Narbonnaise martyrisé au iiie siècle, Ferréol ou Ferriol a donné son nom à un lieu de prières (Sanctus Ferreolus, 1155) qui devint ensuite une cure qui fut longtemps unie au chapitre collégial de Saint-Paul-de-Fenouillet. Le site de cette implantation humaine était loin, au Moyen Age, d’être un désert. Outre la relative proximité de Laval puis de Quillan, les environs immédiats de la communauté étaient occupés par le village et château de Dent (Villa de Dente, 1231) qui sera inhabité dès le début du xvie siècle et dont il ne reste aujourd’hui que quelques substructions perdues sur un mamelon envahi par la végétation. Plus bas dans la vallée, en direction de Saint-Julia, il y
Reprenons
la D 509 un cour instant sur la droite, tout de suite après nous prenons
à gauche un chemin qui est cimenté en son départ s'appellent sur certaine carte '' a luc''.
Après des circonvolutions pour contourner une parcelle, il fait
fourche prenons à droite et nous arrivons après avoir grimpé la colline et
longé des bâtiments agricoles dans le village que nous traversons. Par les rues
des acacias sur la droite, contournons ce qui semble être le château, puis
dirigeons nous vers l’église. Prenons la rue grande sur la gauche, puis la rue
du château puis la rue Barie Daval qui devient le chemin du bac, rue
descendante entre de vieilles maisons et devenant chemin après un départ
cimenté, et puis sentier herbeux, et raviné par endroits. Je pense :
encore un tracé un galère, plus bas cela s'arrange. On serpente tout en
descendant dans la garigue. Nous débouchons sur
un chemin formant Té, nous
prenons à droite,
[Au XIè siècle des culées en maçonnerie sont construites à même la roche, ce qui permis de construire un pont en bois qui dura jusqu'au XVIIè siècle ou il fut remplacer par l'arche arctuelle construite avec des pierres de taille provenant du château. Panneau d'information.]
puis de nouveau sur un chemin formant Té nous prenons à gauche, pour enfin déboucher au carrefour ou nous trouvons une croix. Nous prenons légèrement à droite et retrouvons le bitume au niveau du château de Marserou (trois grosses propriétés bourgeoises totalement isolées. Nous débouchons de nouveau sur la D 509 que nous prenons sur la gauche, après un
virage aigu sur la gauche nous débouchons sur la D 109, ou l'on nous dit que Quillan est a 3 km sur la droite. Heureusement nous ne restons pas très longtemps sur cette route très circulante, nous prenons une route sur la gauche ou je retrouve un balisage jaune. Le balisage quitte la route pour partir sur la gauche avec pour une fois l'indication Quillan non cassé. (Jusqu'à présent toute les informations disposées sur les chemins balisés sont dégradés, a moitié cassé. Inutilisable.) Le chemin ne m'inspire pas, et puis ce n'est pas ma trace, alors je continue la route jusqu’à Quillan. Je loupe le virage de ma ma trace me faisant éviter la départementale 118, tant pis, il est treize heures, je commence à fatigué, j'ai marcher trop vite hier. Dans le virage de la D 118 je poursuis tout droit par la direction du centre ville et la rue de Rhode. Nous arrivons directement sur le vieux pont au dessus de l'Aude et en dessous du château. C'est jolie.
L'Aude à Quillan |
[Au XIè siècle des culées en maçonnerie sont construites à même la roche, ce qui permis de construire un pont en bois qui dura jusqu'au XVIIè siècle ou il fut remplacer par l'arche arctuelle construite avec des pierres de taille provenant du château. Panneau d'information.]
puis de nouveau sur un chemin formant Té nous prenons à gauche, pour enfin déboucher au carrefour ou nous trouvons une croix. Nous prenons légèrement à droite et retrouvons le bitume au niveau du château de Marserou (trois grosses propriétés bourgeoises totalement isolées. Nous débouchons de nouveau sur la D 509 que nous prenons sur la gauche, après un
virage aigu sur la gauche nous débouchons sur la D 109, ou l'on nous dit que Quillan est a 3 km sur la droite. Heureusement nous ne restons pas très longtemps sur cette route très circulante, nous prenons une route sur la gauche ou je retrouve un balisage jaune. Le balisage quitte la route pour partir sur la gauche avec pour une fois l'indication Quillan non cassé. (Jusqu'à présent toute les informations disposées sur les chemins balisés sont dégradés, a moitié cassé. Inutilisable.) Le chemin ne m'inspire pas, et puis ce n'est pas ma trace, alors je continue la route jusqu’à Quillan. Je loupe le virage de ma ma trace me faisant éviter la départementale 118, tant pis, il est treize heures, je commence à fatigué, j'ai marcher trop vite hier. Dans le virage de la D 118 je poursuis tout droit par la direction du centre ville et la rue de Rhode. Nous arrivons directement sur le vieux pont au dessus de l'Aude et en dessous du château. C'est jolie.
Du Xe siècle au XVIe siècle
La cité,
mentionnée dès le Xe siècle, comptait pour seigneurs les archevêques de
Narbonne qui y possédaient un château dès le XIIe siècle. Au XIIe siècle, un
grand quartier neuf sortit de terre sur la rive gauche, apportant à la vieille
cité un dédale de rues, que nous pouvons voir encore aujourd'hui.
Au début du XIVe siècle, fut dressé l'actuel château, surplombant le moulin des archevêques, qui maintenant n'existe plus. La ville s'enferma alors à l'intérieur de remparts et de fossés, mais ces protections ne furent cependant pas suffisantes pour préserver Quillan pendant les Guerres de Religions.
En 1229 un traité de paix marque la fin de la croisade des Albigeois, Quillan devient alors Ville Royale. Deux siècles après, le Roi de France en fit une fortification militaire afin de résister aux invasions aragonaises. Sentinelle veillant sur la frontière avec l'Espagne, le château abritait une garnison. Les vestiges actuels attestent cette fortification. http://www.quillan.fr/fr/decouvrir-quillan/histoire-de-quillan#] Pour une fois il est de

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