Randonnée Le Plus Loin Possible 2018 GR 532 Etape 71 La Claquette Saulxure
Ligne SNCF Strasbourg - Saint Dié : Schirmech -gare Saulxure, depuis le 1 sept 2018 il n'y a plus de gare à Saulxures, il faut pousser jusqu'à Bourg Bouche ; horraires. [https://cdn.ter.sncf.com/medias/PDF/grand_est/Strasbourg%20Molsheim%20Saales%20St%20Di%C3%A9%20du%2029%20juillet%20au%2026%20ao%C3%BBt%202018_tcm75-202588_tcm75-202233.pdf]Le code mobile de cette randonnée est b311571
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
mercredi 25
juillet
km Temps Arret V/d V/g dénivelé alti max
22 4:43 1:32
4,7 3,5 637 + 898
Nuit difficile le centre d’hébergement se trouve à coté de l'église et ici ce n'est pas comme chez nous les cloches sonnent les heures et en prime les quarts d'heures... ainsi que les matines autour de minuit, c'est celle ci qui mon réveillé, ensuite mon sommeil fut léger et je me souviens d'avoir entendu toute les sonneries dans un demi sommeil.
Je reprends la rue principale D 730, passe devant l'église, ne remercie pas le curé de la nuit qu'il ma fait passer et au carrefour prend la rue des Quelles sur la gauche ou l'on trouve des panneaux d'informations sur des promenades locales (croix bleu, triangle jaune, rond bleu et cercle jaune). Nous allons suivre les chemins locaux pour rejoindre le GR 532. Laissons sur la gauche la rue de Xurpon ou se dirige les ronds jaune et les croix bleu) poursuivons les cercles jaune et bleu. Laissons également sur la gauche la rue de Fraise menant au cimetière. A la fourche se trouvant quelques centaine de mètres plus haut (rue du réservoir) poursuivons tout droit notre rue. Nous quittons la
Claquette pour entrer dans Albet. La rue fait fourche et prenons à droite la rue des chênes. C’est une rue qui monte et je vous préviens tout de suite que depuis le centre ville de la Claquette ) 335m nous ne ferons que monter…monter jusqu’à 900. Le bitume fait place aux chemins forestiers, que vous preniez celui de droite ou de gauche, il se retrouve un peu plus haut, celui de droite étant moins raviné et plus utilisé par les véhicules. La route forestière fait patte d’oie, nous quittons le balisage croix jaune partant tout droit et prenons le chemin de la Baraque du Maire sur la gauche formant un angle aigu et nous commençons ce que je nommerais la vrai grimpette, nous sommes sur les ronds
bleu et nous entrons dans une foret de sapin bordée de hêtre. C'est une belle route forestière un orvet se fait chauffer au soleil, cette après midi il cherchera le frais, il est prévu trente et un degrés. A la fourche nous prenons la branche de droite rond bleu. Nous coupons une route (parcelle ou panneau 30) poursuivons en face. Cela fait un peut plus de trois kilomètres que nous grimpons et nous avons fait 175 m de dénivelé positif. Nous arrivons à une patte d'oie sur la carte (on ne voit pas bien le trait noir couper par le nom de la route), mais sur le terrain c’est un carrefour à quatre chemins. Nous poursuivons tout droit et de nouveau cela grimpe rudement, nous nous trouvons sur la route forestière du rapide de Salm nous poursuivons toujours tout droit et nous sommes à 588m. Nous arrivons à la route forestière de Fréconrupt (parcelle 188), formant patte d’oie avec la notre, nous rencontrons le GR 532 rectangle jaune que nous suivrons durant cette journée, sortons de la foret pour arriver sur le plateau de Salm ou nous trouvons un magnifique gros chêne. [Vers 1650, de nombreux anabaptistes, disciples de Menno Simonsz (d'où le nom de Mennonites) sont chassés de Suisse et se réfugient en Alsace. Jacob Amman se trouve parmi ces protestants d'un nouveau genre. Il est le fondateur du mouvement amish en 1693. En 1712, les Mennonites alsaciens se dispersent à nouveau à cause d'un édit royal. Ils sont à la recherche de lieux isolés, hors du royaume, et quelques familles s'installent dans la vallée de la Bruche. La principauté de Salm-Salm est une enclave entre le duché de Lorraine et l'Alsace. La terre est riche en ressources naturelles : mines de fer, agriculture et forêts. Les Mennonites cherchent à vivre en autarcie afin de ne pas subir les influences qu'ils jugent dangereuses du monde extérieur. Leur foi est fondée sur la stricte observance de la vie de Jésus et mènent une vie simple et très disciplinée. http://www.randoalsacevosges.com/2017/12/le-gros-chene-de-salm.html On raconte que des anabaptistes mennonites plantèrent, dans la clairière ce chêne, en
mémoire de l’exemption de 1793, ce chêne devenu aujourd’hui un superbe bicentenaire. Un panneau d’information est un peut plus complet sur le lieu, En 1793 c’est également la période ou la principauté est rattaché à la France.] [L'anabaptisme est un courant chrétien qui prône un baptême volontaire et conscient. Le mot vient du grec ecclésiastique anabaptizein signifiant « baptiser à nouveau ». Cette pensée est un point essentiel de la Réforme radicale, mais se retrouve aussi parmi les vaudois, les bogomiles et les pauliciens, ainsi que dans l'assemblée des chrétiens apostoliques de Thessalonique au XVIe siècle. Les anabaptistes eux-mêmes considèrent descendre directement de l'Église primitive, sans s'être jamais unis avec l'Église catholique.
Le terme a aussi pris historiquement un sens politique, car ce mouvement s'opposa au pouvoir politique et religieux en place en Rhénanie (théocratie de Münster) et dans le canton de Berne au XVIe siècle. Mais la majorité des anabaptistes ne suivirent pas leurs frères qui usèrent de violence, et aujourd'hui ils constituent l'un des seuls groupes religieux au sein duquel on a toujours prôné la non-violence, mais aussi la non-résistance au nom de l'amour de Dieu et du fait que son royaume n'est pas de ce monde. Voltaire et Tolstoï les citent souvent dans leurs œuvres. Tolstoï ira même jusqu'à largement adopter leurs préceptes et ceux des Quakers, bien qu'au bout d'un cheminement personnel.
Wikipédia] Laissons la route de droite poursuivons jusqu'a la route formant Té avec la notre, nous prenons à gauche et traversons le village qui était une ancienne principauté [La principauté de Salm-Salm forme, à la fin du XVIIIe siècle, un vestige territorial d'une seigneurie autrefois plus vaste nommée Salm-en-Vosges. Elle succède à une région historique plus étendue en 1598 par un long indivis : le comté de Salm du comte Jean IX, devenu, après 1600 par le mariage de sa fille Christine, partie du duché de Lorraine d'une part, et une première principauté de Salm qui désigne commodément l'autre moitié du comté de Salm attribuée au rhingrave Frédéric, comte sauvage du Rhin élevé en 1602 au statut de prince d'Empire d'autre part. La principauté de Salm-Salm n'existe effectivement qu'entre 1751 et 1793. Elle est souveraine bien que les Français disposent d'un droit de libre passage. Après l'annexion ratifiée le 2 mars 1793, la Convention sépare l'ancien territoire princier en deux cantons des Vosges, le canton de Senones et le canton de La Broque (aujourd'hui canton de Mutzig), ce dernier canton complété ultérieurement par l'apport d'autres communes du val de Bruche. La principauté de Salm, depuis 1623, formait un territoire morcelé, imbriqué dans les territoires du comté de Salm dévolu au duc de Lorraine. Elle formait aussi une enclave germanique entre le duché de Lorraine, dépendant de l'Empire, et l'Alsace, partiellement occupée par la France par les traités de 1648. À partir de 1738, par le traité de Vienne, il fut établi par convention entre le roi Louis XV de France et l'empereur Charles VI du Saint-Empire que le duc François III de Lorraine renoncerait à ses États en faveur de l'ex-roi de Pologne Stanislas Leszczyński, beau-père en exil du roi de France. Celui-ci deviendrait duc « viager » de Lorraine et de Bar et à sa mort, la Lorraine et le Barrois seraient rattachés à la France. Nicolas-Léopold craignit qu'à cette occasion, sa principauté ne subisse le même sort. Après de longues négociations, il obtint qu'une convention soit signée le 21 décembre 1751 entre lui-même, Stanislas et Louis XV. Un nouveau partage entre le comté et la principauté y était décidé, sorte de remembrement aboutissant cette fois à deux aires géographiquement bien distinctes. La Lorraine acquit l'ouest du territoire avec Badonviller pour capitale, et les Salm-Salm abandonnaient leurs droits sur la baronnie de Fénétrange. L'essentiel de l'ancien comté, sur la rive gauche de la Plaine, était en revanche attribué en pleine propriété aux princes de Salm-Salm, comprenant une trentaine de localités : le bourg de Senones qui devint capitale de la principauté, Ménil et Saint-Maurice-les-Senones, Vieux-Moulin et les Frénot, Allarmont, Albet, La Broque, Grandfontaine, les forges de Framont, Fréconrupt, Vipucelles et Quevelles, Plaine, Champenay, Diespach, Saulxures, Bénaville et le Palais, La Petite-Raon, Paulay, Raon-sur-Plaine, Celles, Moussey, Belval, Saint-Stail, Grandrupt, Le Vermont et Vexaincourt, soit une population d'environ 10 000 habitants. La principauté couvrait un territoire d'environ 240 kilomètres carrés (20 km sur 12). La principauté de Salm avait réussi à conserver son indépendance politique et économique après les traités de Westphalie qui accordaient au roi de France les possessions
alsaciennes des Habsbourg alors que la partie duché de Lorraine demeurait au Saint-Empire romain germanique. Au même titre que la principauté, la ville de Mulhouse, le comté de Montbéliard avec Riquewihr et le comté de Nassau-Sarrewerden étaient aussi considérés comme des territoires étrangers susceptibles d’être annexés. Les princes de Salm-Salm (princes possessionnés d'Alsace) étaient donc considérés comme seigneurs au service de l’Empire et dont le territoire, enclavé dans les possessions du nouvel État français, constituait pour l'Assemblée constituante un obstacle à l’unification et à la sécurité du sol national. Scrutant avec inquiétude les bouleversements provoqués par la Révolution française, et l'échec de la fuite de la famille royale à Varennes-en-Argonne, le prince Constantin Alexandre prend la sage précaution de se retirer définitivement le 15 août 1791 de Senones, capitale de sa principauté vosgienne et gagne son château d'Anholt en Westphalie. Ce domaine a été acquis en 1647 par le mariage du prince Léopold Philippe Charles de Salm avec l’héritière des comtes d'Anholt, Anna-Maria. La Convention nationale, ayant interdit - plus formellement en 1792 sous peine de mort - la sortie des denrées du territoire national français en temps de guerre, se borne à établir un blocus économique de la principauté et provoque une crise alimentaire dans la principauté. Les pourparlers engagés depuis Anholt par le prince Constantin et par des émissaires de la principauté n’aboutissent point, ouvrant la voie à une procédure d’annexion de l’enclave pour les partisans de la République ou les ennemis de l'ancien ordre religieux au sein des instances représentatives de la principauté. Le conseil municipal de Senones n'a d'autre choix que de voter le rattachement à la République française le 21 février 1793. Le traité, ratifié à Paris par la Convention nationale le 2 mars 1793, précise, non sans cynisme, que la Convention accepte : « le vœu librement émis par le peuple de la ci-devant principauté de Salm … ». Sous l'égide du conventionnel Couthon, l’ancien territoire de la principauté qui compte plus de 12 000 habitants est définitivement incorporé au département des Vosges. Wikipédia]. On a tout de même fait 245m de dénivelé positif et l'on est à 650m d'altitude le tout sur 5 km. Abandonnons le rond jaune qui par sur la droite et suivons la route sur la gauche a l'entrée du village la route fait fourche, prenons à gauche puis laissons toutes les rues sur la droite, nous passons une ancienne maison [Ferme historique
Kupferschmitt ; Au XVIè me siècle du château dépendait deux métairies, Incendié en 1791 elle est rapidement reconstruite par la communauté. Elle possède deux entrées, chez les anabaptistes, étant donné l’ampleur des terres à cultiver et le nombre de tête de bétail, une ferme était exploité par deux couples qui logent séparément sous le même toit. Bien nationale à la révolution, Jacob rachète la ferme en 1800. C’est dans cette maisons que fut reçu les représentant de la Convention en 1793 afin d’obtenir l’exemption de la communauté de service armé. (Extraie de la plaque devant la maison.)] Notre route débouche sur une autre que nous prenons à gauche, balisage rectangle jaune du 532 et un balisage bleu. Nous remontons jusqu'au parking et la maison forestière. Juste avant la maison nous trouvons des informations. Les ruines du château de Salm qui sont à 1h00 et la chatte pendue à 2h30 par les ronds verts. En quittant le bitume nous traversons une route forestière parallèle que nous ne remarquons pas tellement intentionné par les informations. Elle se nomme route des Allemand et on en reparlera plus tard. Nous quittons le bitume pour suivre sur la droite la route forestière que nous abandonnons un peu plus loin pour prendre sur la droite un petit sentier, nous passons au dessus d'un cercle de bétons situé en contre bas, c'est la rotonde de retournement du chemin de fer forestier [L’administration allemande a installe en 1886 le réseau ferré dans l’ensemble du massif du Donon.
La gare s départ est à Schirmeck, nous sommes ici sur une ligne latérale qui relie Granfontaine, le lac du Coucou, et permet de s’approcher du col du Hantz. Cette rotonde est une fosse de pont tournant, sur laquelle les locomotives du train forestier faisaient demi-tour. C’est un train à voie étroite (70 cm de large, en France on l’aurait appelé Decauville, j’en parle un peut dans mes petites rando sur Nemours on utilisait ses voies étroites pour les carrières de sable et de grès) Lorsque la guerre éclate en 1914 le train forestier est utilisé pour assurer le ravitaillement aux troupes, elle agrandie même le réseau. A partir de 1920, jugé non rentable le réseau Salm-Schirmeck est entièrement déferré. Le matériel réemployé sur le réseau forestier d’Abreschwiller et deviendra train
touristique en 1968. (panneau d’info)] le sentier grimpe dur, très dur sur un terrain peut facile. Avez vous pensé à vous badigeonner contre les tiques ? Non alors c'est le moment de le faire et il n'est que grand temps, ce ne sera pas les mêmes chemins qu'hier sur le GR5, au cours de la journée nous allons rencontrer beaucoup d'herbes et de fougères. C'est un sentier éducatif on y apprend l'art de fabriquer du charbon de bois, la géologie et la formation du grès vosgiens. Nous débouchons sur une route que l'on prend sur la gauche sur une dizaine de mètres ou l'on nous dit que le château de Salm est à gauche par le chemin médiéval (se chemin est certainement plus facile que le sentier, mais il vous obligera à faire un aller retour.) Poursuivons le sentier que nous retrouvons sur la droite c'est également le Gr 532 et le balisage vert.
Grès incrusté de galets |
Mine de rien nous voilà après bon nombre de virages au ruine du château
[Le site du Château de Salm est situé dans un remarquable écrin forestier des Vosges gréseuses de la haute vallée de la Bruche. Un chemin médiéval encore partiellement conservé vous y conduira depuis le plateau de Salm. Vous trouverez sur ce site toute l'histoire de la principauté. https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.chateau-de-salm.org/&ved=2ahUKEwjfutXVoNXcAhVRaBoKHX2eC3AQFjAQegQIAhAB&usg=AOvVaw3vW8XN64hX1vArNcKNJRyZ
Château construit au début du XIIIe s. par le comte Henri de Salm, avoué de l’Abbaye de Senones, en ruine depuis le XVIIe s. Il ne subsiste que les vestiges du mur d’enceinte, d’une tour semi-circulaire édifiée en avant de l‘enceinte du château, et une citerne voûtée; site naturel superbe. https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.chateauxfortsalsace.com/fr/chateau/chateau-de-salm/&ved=2ahUKEwjfutXVoNXcAhVRaBoKHX2eC3AQFjARegQIAxAB&usg=AOvVaw0gWsfnEN8skBwOigQ8Qarx
Le château de Salm est élevé entre 1205 et 1225 par Henri III, comte de Salm (de Haute Lorraine), sur le territoire de l'abbaye de Senones dont il est l'avoué. La famille de Salm est en
ce début de xiiie siècle avec les
comtes de Bar (Bar-le-Duc) l'une des plus
puissantes de Lorraine. La dynastie des Salm-Lorraine est issue de la famille
de Luxembourg.
Henri IV, petit-fils du comte bâtisseur,
réorganise les salines de Morhange ainsi que les forges de Framont situées à proximité
du château.
Endetté à la suite d’un conflit familial
et poussé à la défensive par l’évêque de Metz, le comte Henri IV est contraint de vendre au prélat le
château en 1258, qu’il reprend à titre de fief héréditaire.
En 1285, le trouvère lorrain Jacques Bretel passe
plusieurs jours au château où il rencontre Henri IV. Il consigne dans son
œuvre le Tournoi de Chauvency son passage au château.
Le site est le siège d'une occupation
importante tout au long des XIVe et XVe siècles
(activités de fonderie, de métallurgie et de poterie), sans doute à la suite de
l'acquisition par Jean de Salm de la
basse vallée de la Bruche en 1366, de Mutzig à Schirmeck. De gros travaux réalisés autour de 1400 modifient considérablement la
défense du château par la construction d'une épaisse tour bouclier, d'une barbacane et d'une nouvelle porterie. L'ancien mur bouclier est démonté et adapté à de nouvelles exigences fonctionnelles, la basse cour est agrandie, certains de ses murs intérieurs sont peints et ses baies disposent de fenêtres vitrées. La guerre qu’entreprend le duc Charles le Téméraire contre le duc de Lorraine et ses vassaux semble avoir été
fatale au château, lequel est vraisemblablement ruiné en 1475.
basse vallée de la Bruche en 1366, de Mutzig à Schirmeck. De gros travaux réalisés autour de 1400 modifient considérablement la
défense du château par la construction d'une épaisse tour bouclier, d'une barbacane et d'une nouvelle porterie. L'ancien mur bouclier est démonté et adapté à de nouvelles exigences fonctionnelles, la basse cour est agrandie, certains de ses murs intérieurs sont peints et ses baies disposent de fenêtres vitrées. La guerre qu’entreprend le duc Charles le Téméraire contre le duc de Lorraine et ses vassaux semble avoir été
fatale au château, lequel est vraisemblablement ruiné en 1475.
Le château n’est plus reconstruit. Il est
signalé en « ruine » en 1564, en 1577 et encore en 1622. Les Princes de Salm-Salm (de la deuxième dynastie des
Salm en Vosges) et de leurs alliés, viennent visiter la ruine en 1779. Le
prince Constantin Alexandre de Salm-Salm visite le château en 1779 en compagnie du prince de
Hohenlohe-Schillingsfürst, comme en témoigne une inscription sur un bas-relief de la contrescarpe.
Intégrés au territoire allemand par le traité de Francfort en 1870, les vestiges sont classés Monument Historique par l'Administration Impériale
d'Alsace-Lorraine le 6 décembre 1898. La ruine est bombardée par l'artillerie française
pendant les combats de 1914. En 1919 le territoire est rattaché au département
du Bas-Rhin. Wikipedia ] De la plate forme nous avons un beau point de
vue sur le Donon et la vallée de la Bruche. Les ruines sont en restaurations et
nous traversons tout le site qui a été classé. Sur le sentier des pierres sont
numérotées, cela doit faire un moment la peinture est presque effacée. Elles
serviront peut être un jour à rebâtir un mur ou une tour. Traversons les
ruines, et passons devant un jeu du moyen âge. Une pierre carrée comportant un
quadrillage.
Ce doit être un jeu passionnant deux visiteurs y joue. Sur la pierre des anneaux permettent de s'exercer.
Redescendons par le petit sentier en foret pour rejoindre la route
forestière des Seigneurs ou l’on retrouve la pancarte avec la direction du
château. Ici ce n'est pas très simple, la route fait un virage. D'un coté elle
monte et de l'autre elle descend ce n'est ni l'une ni l'autre. Au milieu du
virage sur la droite derrière un fossé nous avons, caché par des herbes le
départ du sentier. j'ai pas mal chercher avant de voir les petites pancartes du
Gr, qui ici est un rectangle jaune et le balisage du local un rond vert. C’est un
sentier peu facile faisant le tour de la tête pelée. Le
sentier devient très herbeux, il débouche sur un chemin formant Té nous prenons
à gauche, nous franchissons des clôtures par des échelles de bois, ce chemin ne
doit pas être souvent utilisé il est rempli d’herbes. Tout de suite derrière le
second escalier nous avons un carrefour en forme de
fourche, sur la gauche on se dirige vers la plaine, et le village des Quelles (rond rouge). Nous continuons tout droit balisage "plus +" bleu, rond rouge, rond vert et rectangle jaune en direction de la chatte fendue, ‘’attention c’est un chemin à tiques’’ c'est à dire ; herbeux avec des branches d’arbrisseaux venant sur le sentier. Nous arrivons sur le site très protégé par de haut grillage de la Chatte Pendue ce n'est plus quatre morceaux bois cloués horizontalement et formant marches, mais un escalier métallique avec palier franchissant la clôture. Nous laissons sur la droite l’étang du coucou. Nous entrons dans la zone protégées par l’escalier. Nous montons toujours plus haut par un petit sentier et nous arrivons enfin à notre point le plus haut sur la carte 900m au
GPS 898 on ne va pas chipoter pour deux mètres. Cela vaut le coup de monter au sommet de la Chatte Pendue (une traduction fantaisiste du patois local : chète pentue = fort à pic). On a une très belle vue sur la montagne, mais qui nous démoralise un peu on s'aperçoit que Salm est juste en bas, on n’a pas avancé d'un pouce. Je dois dire tout de même que cela méritait de monter jusqu’ici et l’on ce rend compte du chemin que l’on a parcouru sur les crête pour revenir pratiquement au même endroit. Redescendons par un sentier herbeux, franchissons l'échelle pour sortir du site protégé
prenons la route forestière longeant le grillage sur quelques mètres puis sur la gauche, mais vu la configuration du terrain cela fait tout droit. C'est un sentier qui descend. Balisage rond vert, "plus +" bleu, rond jaune et bien sur le 532 en rectangle jaune. Nous arrivons à la route forestière de la Cantine, rond jaune et des quatre hêtres 532, le "plus +" bleu et le rond vert. Nous suivons la route forestière des quatre hêtres et entrons dans la réserve
biologique. Le GR ne va pas jusqu’au carrefour, il coupe un peu avant, ce serait pas mal si, des fougères plus haute que moi n’obturaient pas le sentier (je n'ai pas voulu tester l'efficacité de mon produit anti tique). Je pousse jusqu’au carrefour, prend la route de gauche et retrouve le GR et les balisages locaux, un peu plus loin avec des informations ; triangle bleu la
route de Quieux est à une heure, un refuge est à 1h30 rond vert, les hautes loge en suivant les rond bleu et bien sur le 532 rectangle jaune.
C’est une belle route pavées de mauvaise intensions pour nous chevilles et s’il vous plait avec des bordures de trottoir. Je suis étonné et pense être sur une route romaine... Nous nous retrouvons sur la route des Allemands, [Cette route forestière a été construite par des prisonniers polonais et russes durant la Première Guerre Mondiale alors que l'Alsace était allemande. Des bornes de grès rose, mises en place après la victoire allemande de1871, traçaient la nouvelle frontière sur la crête, marquées d'un F pour la France et d'un D pour l'Allemagne. En 1918, après le retour de l'Alsace à la France, l'administration française récompensa ceux qui martelaient le "D" de Deutschland apposé sur une des faces. En 1940, les bornes retrouvaient leur vocation initiale de frontière entre l'Alsace annexée au Reich et la France
occupée. Dès juin 1940, l'Alsace fut annexée par les Allemands et la frontière rétablie sur la ligne de crêtes comme en 1871 après la défaite de Sedan. La frontière était surveillée par des patrouilles allemandes en liaison avec les policiers de la Gestapo en zone occupée. Le territoire du Bas-Rhin se trouvait dès lors dans le Reich allemand comme zone annexée et les Vosges en France, dans la zone occupée par l'armée nazie (zone nord). Cette ligne est actuellement la limite entre les départements du Bas-Rhin (région Alsace) et des Vosges (région Lorraine). Les personnes voulant fuir l'Alsace étaient des prisonniers évadés, soldats ou civils, et surtout des Alsaciens "réfractaires" qui ne voulaient passe soumettre aux exigences de l'administration nazie : service du travail obligatoire, incorporation dans l'armée allemande, adhésion aux principes du parti national-socialiste. Les Alsaciens, considérés comme des citoyens allemands, étaient soumis aux obligations administratives du
Reich et risquaient de sévères sanctions en cas de refus.
Ce doit être un jeu passionnant deux visiteurs y joue. Sur la pierre des anneaux permettent de s'exercer.
Le sentier n'est pas facile |
fourche, sur la gauche on se dirige vers la plaine, et le village des Quelles (rond rouge). Nous continuons tout droit balisage "plus +" bleu, rond rouge, rond vert et rectangle jaune en direction de la chatte fendue, ‘’attention c’est un chemin à tiques’’ c'est à dire ; herbeux avec des branches d’arbrisseaux venant sur le sentier. Nous arrivons sur le site très protégé par de haut grillage de la Chatte Pendue ce n'est plus quatre morceaux bois cloués horizontalement et formant marches, mais un escalier métallique avec palier franchissant la clôture. Nous laissons sur la droite l’étang du coucou. Nous entrons dans la zone protégées par l’escalier. Nous montons toujours plus haut par un petit sentier et nous arrivons enfin à notre point le plus haut sur la carte 900m au
GPS 898 on ne va pas chipoter pour deux mètres. Cela vaut le coup de monter au sommet de la Chatte Pendue (une traduction fantaisiste du patois local : chète pentue = fort à pic). On a une très belle vue sur la montagne, mais qui nous démoralise un peu on s'aperçoit que Salm est juste en bas, on n’a pas avancé d'un pouce. Je dois dire tout de même que cela méritait de monter jusqu’ici et l’on ce rend compte du chemin que l’on a parcouru sur les crête pour revenir pratiquement au même endroit. Redescendons par un sentier herbeux, franchissons l'échelle pour sortir du site protégé
prenons la route forestière longeant le grillage sur quelques mètres puis sur la gauche, mais vu la configuration du terrain cela fait tout droit. C'est un sentier qui descend. Balisage rond vert, "plus +" bleu, rond jaune et bien sur le 532 en rectangle jaune. Nous arrivons à la route forestière de la Cantine, rond jaune et des quatre hêtres 532, le "plus +" bleu et le rond vert. Nous suivons la route forestière des quatre hêtres et entrons dans la réserve
biologique. Le GR ne va pas jusqu’au carrefour, il coupe un peu avant, ce serait pas mal si, des fougères plus haute que moi n’obturaient pas le sentier (je n'ai pas voulu tester l'efficacité de mon produit anti tique). Je pousse jusqu’au carrefour, prend la route de gauche et retrouve le GR et les balisages locaux, un peu plus loin avec des informations ; triangle bleu la
route de Quieux est à une heure, un refuge est à 1h30 rond vert, les hautes loge en suivant les rond bleu et bien sur le 532 rectangle jaune.
C’est une belle route pavées de mauvaise intensions pour nous chevilles et s’il vous plait avec des bordures de trottoir. Je suis étonné et pense être sur une route romaine... Nous nous retrouvons sur la route des Allemands, [Cette route forestière a été construite par des prisonniers polonais et russes durant la Première Guerre Mondiale alors que l'Alsace était allemande. Des bornes de grès rose, mises en place après la victoire allemande de1871, traçaient la nouvelle frontière sur la crête, marquées d'un F pour la France et d'un D pour l'Allemagne. En 1918, après le retour de l'Alsace à la France, l'administration française récompensa ceux qui martelaient le "D" de Deutschland apposé sur une des faces. En 1940, les bornes retrouvaient leur vocation initiale de frontière entre l'Alsace annexée au Reich et la France
occupée. Dès juin 1940, l'Alsace fut annexée par les Allemands et la frontière rétablie sur la ligne de crêtes comme en 1871 après la défaite de Sedan. La frontière était surveillée par des patrouilles allemandes en liaison avec les policiers de la Gestapo en zone occupée. Le territoire du Bas-Rhin se trouvait dès lors dans le Reich allemand comme zone annexée et les Vosges en France, dans la zone occupée par l'armée nazie (zone nord). Cette ligne est actuellement la limite entre les départements du Bas-Rhin (région Alsace) et des Vosges (région Lorraine). Les personnes voulant fuir l'Alsace étaient des prisonniers évadés, soldats ou civils, et surtout des Alsaciens "réfractaires" qui ne voulaient passe soumettre aux exigences de l'administration nazie : service du travail obligatoire, incorporation dans l'armée allemande, adhésion aux principes du parti national-socialiste. Les Alsaciens, considérés comme des citoyens allemands, étaient soumis aux obligations administratives du
Reich et risquaient de sévères sanctions en cas de refus.
Les passeurs prenaient de grands risques, pour eux et leurs familles et si
tant de fugitifs ont pu franchir la frontière, ils le durent au courage de ces
hommes téméraires pour qui la forêt et la montagne n'avaient pas de secret.
L'itinéraire actuel suit en partie le sentier
des passeurs de l'époque entre Salm et Moussey. http://www.souvenir-francais67.fr/comiteschirmeck-sentier%20passeur.htm]
Sur le site du souvenir français de Schirmeck nous trouvons une carte avec le tracé de cette route et souvenez vous, lorsque nous étions à Salm, cette route parallèle à la route bitumée que nous avons coupé juste avant la maison forestière c’est l’une de ses extrémités, l’autre étant à Moussey. Maintenant vous en connaissez l’histoire. Alors n’incriminer pas les ouvriers ou plutôt ses forças pour ses pavés mal joints, elle fut construite durant la période ou l'Alsace et une
partie des Vosges appartenait à l'Allemagne par des prisonniers Polonais et Russe. Le sentier local "croix" bleu nous abandonne en prenant un sentier sur la droite. Sur la carte nous passons devant la plaque des chalets Frientz chalet que je n'ai pas vue. Au carrefour nous abandonnons les points rouges et les points verts, nous prenons à gauche le chemin se dirigeant vers le village ou hameau de Quieux se trouvant à 6,5 km triangle bleu et rectangle jaune pour le 532.
Moi j'aime bien ce style de balisage chaque rando à sa couleur et sa forme de repère. Les sentiers de même couleur et de même signe ne se croisent pas. En plus le repère correspond à un nombre d'heure de rando. Ah ! si l'on avait cela à Fontainebleau ... et en Seine et Marne en générale, que ce serait bien. Remplacer les traits bleu et les trais jaune par des signes et des couleurs. Plus moyen d'hésiter entre tout droit, à droite ou à gauche, on suis son signe et sa couleur. Plus besoin d'être un PRO de la lecture de carte, n'y d'avoir un GPS. Il est vrai que cela retirerait de l'animation dans un groupe ou malheureusement il n'y a pas qu'un lecteur de carte "le responsable de la rando" mais deux ou trois qui bien souvent ne situe pas au même endroit, le lieu ou ils se trouvent... Vous trouverez l'explication de tout ses signes et couleurs à la page Colmar.
La foret s’estompe un peu, ancienne clairière ou une lande non cultivé en bordure de foret. Au loin sur la droite on aperçoit quelques ballots de foin ou de paille. (d'après Base Camp la trace ne passe pas par la route, mais par un sentier dans la parcelle de gauche. Un peu plus loin nous longerons une parcelle engrillagée et je pense que le chemin à été dévié pour cette raison. Un peu plus loin nous retrouverons un sentier, dans la parcelle de foret.) Entre les jeunes arbres, je remarque entre de petits arbres quelques constructions en toile, j'ai pris cela pour des campeurs, mais rien a
voir avec des toiles de tentes, cela ressemble plus à des pièges pour insectes posés par des naturalistes, ce n'est pas cela non plus. Ce sont des œuvres d'art...! Qu'est que cela vient faire là ? La nature est bien trop belle surtout ici sans que l'on vienne la gâcher. J’aurais préféré les naturalistes et leurs pièges à insectes au moins cela était utile. [Le dispositif fait référence au jeu bien connu de forme et de couleur utilisé par les enfants pour se familiariser avec l’espace et les formes géométriques. Heureusement qu’il y a un panneau d’information !!! ] Au carrefour d'autre inepties du même acabit mais en inox sorte
d’épouvantails immondes brillant au soleil. Seule la loco en bois peut faire penser que le secteur possédait un train à voies étroite pour le transport du bois.
Prenons le chemin de gauche chemin forestier des hauts de chaume parcelle 171 poursuivons notre rectangle jaune il descend dans la bruyère ou nous trouvons encore quelques inepties grotesques qui n'a rien a voir avec la nature et pour terminer au carrefour la représentation d'un cerf et son faon en fer forgé au moins eux rappellent la nature. (Je pense que mon tracé n’est pas trop mal. Ayant perdu mes traces et dans mon topo oral rien ne m’indique que je revenais sur mes pas par un angle aigu. Comme c’est parfaitement balisé vous n’aurez pas de problèmes le reste de la trace étant bonne)
Notre sentier rencontre une route forestière que nous prenons à gauche et laissons celle partant sur la droite nous restons à flanc de colline presque en crête. Sur la droite entre les arbres une belle vue sur la vallée, la montagne et au loin la plaine. La plaine vraiment au loin. Il est midi je fais ma pose. Pas longtemps les nuages s'accumulent, l'orage gronde des risées de pluie tombent dans la vallée. Je remballe, et continue cette belle route forestière. Juste avant un virage il est noté déviation et nous quittons notre belle route pour un sentier dans les bruyères et les
myrtilliers. Je regarde ma trace, je regarde ma carte, la déviation est noté et tracé c'est bien la première fois que j'ai une déviation de notée sur une carte ! Ce qui voudrait dire que j'ai tracé un peu au hasard ma route en me repérant à des traces rouge et blanche sur la carte d’ Openstreet. (Attention, suivant les sites on a pas tout a fait les mêmes cartes. J’en ai une très épuré que j’ai trouvé sur internet, et une plus complète sur géoportail en prenant celle du monde.)
De chemin nous passons à sentier dans les herbes, bruyères et myrtilliers, nous changeons de vallée, et débouchons sur un chemin que nous prenons sur la droite sur une vingtaine de mètres puis de nouveau le petit sentier sur la gauche. Nous descendons à flanc de colline avec le ravin à notre gauche grâce aux arbres nous n’avons pas le vertige, mais c’est un petite sentier de montagne avec la haute altitude en moins. Nous
débouchons sur un chemin très herbeux certainement pris par personne, les branches sont sur le chemin, j’ai l’impression d’être dans les Corbières sur l'ancien tracé du GR 36 qui lui, était abandonné depuis plusieurs années. Nous débouchons sur un chemin ou une laie forestière (parcelle 18-7) le sentier continue de descendre vers une allée que nous prenons dans le sens de la descente. Nous débouchons sur un chemin formant Té
nous rencontrons des balises VTT le losange bleu et un cercle bleu prenons la route forestière sur la gauche sur une vingtaine de mètre puis le sentier sur la droite qui au départ est très raviné par l’écoulement des eaux. (Ici je suis certain que ma trace est très simplifié, le sentier doit servir de raccourci.) Nous voilà arrivé au col du Hantz (ancienne frontière).
[Le col est un point de la frontière entre le département des Vosges et le département du Bas-Rhin, ainsi qu'entre leurs régions historiques respectives, la Lorraine et l'Alsace, faisant partie depuis 2016 de la même région administrative du Grand Est. e passage était sans doute connu des Romains, qui l'empruntaient pour transporter le sel de Moyenmoutier vers l'Italie. Certains historiens
soutiennent cependant que ce transport se faisait par le col du Las
(701 m) quelques kilomètres plus au sud.
Entre 1871 et 1918, suite à la défaite française durant la Guerre franco-allemande de 1870, le col se situait à la limite entre l'Alsace-Lorraine (territoire de l'Empire allemand), incluant l'Alsace et l'actuel département de Moselle, et la Lorraine restée française (les actuels département des Vosges, de la Meurthe-et-Moselle et de la Meuse). Un poste de douane fut donc installé sur cette frontière inter-étatique. Le nom de l'auberge se trouvant encore actuellement sur le col en témoigne d'ailleurs : « À l'ancienne frontière ».
Durant les combats du 14 au 19 août 1914,
la 26e brigade, 13e division d'infanterie, 21e corps d'armée, 1re armée reprend le col aux Allemands. Dans le cadre de l'armistice de 1918, l'Alsace-Lorraine et, en particulier, le col du Hantz furent réintégrés à la France. Fin 1944, à l'issue de la Seconde Guerre mondiale, l'occupant allemand, menant une politique de la terre brûlée, déporte un millier de Vosgiens vers les camps de concentration via le col, dont un tiers issu du canton de Senones. Une stèle a été érigée au col en mémoire du millier de déportés issus de la vallée du Rabodeau. Wikipédia] Nous arrivons à la maison forestière.
Traversons la D 424 et prenons presque en face la D 304 en direction de Saales. il faut suivre la route sur 700 m puis quittons le bitume pour un chemin forestier sur la gauche faisant fourche nous poursuivons tout droit, passons la barrière, elle descend légèrement, je rencontre une taupe très affolé soit par ma présence ou de se retrouver en pleine lumière. laissons les allées de droite et de gauche passons une autre barrière nous sommes au carrefour des parcelles 4 &5 nous abandonnons le chemin pour prendre à droite. Une vingtaine de mètres plus loin nous avons une fourche, nous prenons à gauche. Notre chemin débouche sur un autre comportant un petit ruisseau coulant encore fin juillet et son bruit chatoyant m'inspire une pose. il est de bonne heure, avec le tonnerre de midi, j'ai manger rapidement. je
cherche une place un peu confortable sur ses cailloux et commence une sieste à l’ombre, le soleil me rattrape et les cailloux ne me semble plus confortable, je prends la route forestière de la Costelle qui part en biais sur la gauche et qui suis un instant le ruisseau de la Nau. Je fais de nouveau une pose vers le réservoir, et cette fois ci bien à l'ombre et confortablement allongé sur de la mousse, avec
l'intention de reprendre ma sieste la, ou le soleil m'a réveillé, mais c'est le tonnerre encore lui et trois grosses gouttes de pluie qui vont m'en empêcher. Je bâche le sac me disant qu'avec un vent comme
cela et ses grosses gouttes je n'aurais pas le temps de le faire.
Mais c'est pour rien, cela n'a même pas mouillé le sol.
Je rentre dans le petit village de Saulxure par la
rue de Costelle notre chemin s’étant transformé en rue. Je repère mon bar restaurant pour le soir et cherche
mon gîte d'un soir.
Pour retrouver toute mes randos itinérantes
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire