Son but, décrire les difficultés, l'histoire du lieu que je traverse. les temps & la vitesse. Des photos. 3 types de randos. 1) la familiale, 9 à 12 km la 1/2 journée. 2) La Randonnée d’une journée (20 à 30 km) en boucle, ou de gare en gare. 3) L'itinérante de 5 jours. Une carte aérienne de présentation. L'accès à une carte IGN. L'accès à la trace GPS et au topo sans commentaires. La possibilité de copier la trace sur votre mobile. Bonne Promenade
km Temps arrêt V/g V/d dénivelé Alti maxi
33 6:42 1:36 4,9 3,9 780+ 1005
Attention
ce n’est pas la trace exacte de passage, mais elle s'en approche au plus
prêt. Mon GPS ne voulant plus communiquer avec
l’ordinateur je n’ai pas récupérer la trace réalisée. J'ai modifié celle
ci pour la rendre la plus exacte possible avec ce qui ma beaucoup
étonné Base Camp de Garming ou l'on retrouve le passage sans grand
détail des GR et mon topo oral. Grace à l' excellent balisage et au GPS
je n'ai eu aucun problèmes d'itinéraires, je vous rappel que sur les
cartes rando de L'IGN pour les Vosges aucun tracés n’existes. Il faut acheter les cartes du club vosgien.
J'ai eu de la chance, le petit dej
était servi à sept heures. Me voilà donc parti par la rue principale, (du
Général De Gaule), je traverse la petite rivière, passe devant la mairie,(au
cœur du village nous trouvons deux balisages locaux partant sur la droite. Plus
tard je me rendrais compte que ce sont des raccourcies au Gr 5) laissons les
rues du Berlot & Brulée sur la droite poursuivons la départementale 96,
puis prenons à droite la rue D’Alsace menant au camping, nous sommes sur le Gr
5 (losange rouge) et le 534. Longeons l'étang et entrons en foret pour rejoindre les deux
croix. A la première fourche prenons le chemin de gauche, il débouche sur un
autre formant patte d’oie. Nous sommes au poteau d'information des Jordy. Nous abandonnons
notre route toute droite partant sur la Croix Guillaume et l’église des
verrières et prenons à gauche le chemin en angle aigu c’est la route forestière
de Basse Jordy. Nous quittons cette belle allée, pour prendre sur la droite
un sentier un peu raviné grimpant dans une foret de hêtre et de chêne. Nous
débouchons sur l'allée forestière que nous prenons à gauche, au carrefour de la
parcelle 34 nous poursuivons tout droit, le chemin menant sur la D 96. Nous
sommes au carrefour des deux Croix. (Deux croix protègent ce carrefour) Le Gr 5 et le GR 534 traversent la départementale et se dirige
vers Albresviller, en 30 mn. Nous le quittons pour prendre à droite la route forestière bitumée des
deux croix se dirigeant vers la croix Guillaume. (C’est un raccourci, nous
retrouverons le GR 5 au carrefour des quatre chemins) A un carrefour nous
rencontrons un panneau d’information (peut être rte de Basse Mann) nous
indiquent St. Quirin à 40 mn en suivant les cercles jaune (vers la mairie de St. Quirin on
trouve un panneau avec les promenades locales.)
Nous passons la pierre à cupule
(grosse cuvette dans un rocher) je n’aurais jamais pris cela pour une cupule, à
Fontainebleau elles sont beaucoup plus petites et toujours par multiple de
trois. La route se termine et nous poursuivons par un chemin forestier. Nous
arrivons à une fourche poursuivons à droite, puis à l'autre carrefour nous
laissons sur la gauche un chemin. Tout droit le chemin menant à la Croix
Guillaume,et prenons à droite vers les Quatre Chemins ou nous retrouvons le
Gr 5 (nous sommes peu loin du col Lendenstein)
poursuivons tout droit (parcelle
55). Nous avons un panneau d’information Belle Roche à 20 mn, puis la
direction de la Croix Simon et du Donon. Nous avons aussi les informations pour
les sentiers locaux cercle rouge et rond bleu. Nous poursuivons par la route
forestière de la Belle Roche. Nous ne la suivons pas longtemps, à la première
fourche nous prenons à droite la route de Belle Roche et à la seconde
prenons toujours à droite la route forestière Lendenstein, on grimpe un peu on
se dirige vers la source Jule qui se trouve à 500m. Laissons un chemin des
Saveux sur la droite.
Nous arrivons à un carrefour (496) nous prenons l'allée gravillonnée
de droite. Je n’ai pas suivi exactement le GR 5, (Oups,
j’ai oublié de dire que le balisage du GR 5 à changé. Nous étions partis avec
un losange et nous avons retrouvé le balisage officiel blanc et rouge. Je suis
tellement habitué à cette forme que je ne me suis pas rendu compte que l’on
avait changé. Il y a tout de même un peu de modernité c’est tout de même un
sentier Européen il n’y a pas de raison de n’en faire qu’a sa tête, même si c’est
bien balisé. Reste maintenant à franchir le pas de mettre les traces des GR sur
les cartes. Je sais cela va être dur... aussi dur que de traverser les Vosges à pied...) je n’ai pas vu la bifurc pris par
le paysage et la trace sur le GPS. A un carrefour je suis étonné de le
retrouver il devait passer par un petit sentier dans la parcelle. Au carrefour de la parcelle 131 nous trouvons sur la droite une espèce de grotte
ou d’auvent je ne me suis pas approché, il y avait trop d’herbe et de ronces. Notre
chemin sur les hauteurs, longe la vallée de la Charmille.
Nous débouchons sur
un chemin formant Té nous prenons à droite sur environ 200 m et à la fourche
nous prenons le chemin de gauche en direction de l'abri de Paul Béchler et le Donon. Nous sommes
sur le chemin de la pierre St. Quirin, nous débouchons dans une grande prairie
avec une cabane d’observation, le matin à l’automne ce doit être un endroit
ou les cerfs et les biches se rassemblent. J’espère que ce n’est pas une cabane
de chasse. Poursuivons notre chemin et nous passons devant la pierre ou fauteuil ( peu
confortable) de St. Quirin que nous trouverons sur le coté droit [Roche erratique sur le chemin de processions de
Vasperviller au Donon. Sans doute vénérée à l’époque celtique, la croix en fit
un objet de vénération chrétienne. L’attribution à St. Quirin remonterait au
XIème siècle lorsque le prieuré fondé en 966 selon la tradition fut doté de
reliques du Saint et confié à l’abbaye de Marmoutier. Doc Club Vosgien de St. Quirin.]
Nous arrivons à abri Paul Bechler (cote 615). C'est toujours
très bien balisé. Ne compter pas vraiment sur cet abri, ou alors juste pour
manger le midi lors d’une petite rando pluvieuse. Il ne comporte rien qu’une
table et des bancs, il est ouvert à tout les vents et je suis sur qu’avec des
rafales de vent la pluie doit passer entre les planches non équarries. Je vous
mets l’adresse d’un site décrivant exactement le contexte. http://www.refuges.info/point/6147
Une seule erreur sur ce site il y a
bien du bois à proximité puisque nous sommes en foret, mais il n’y a pas de
réserve de bois sec et coupé. Un poteau d’information nous dit que la borne
Brignon est à 15mn et le Donon à 2h45. Après l’abri nous arrivons sur la carte
à la cote 615 grande carrefour ou il manque un peu de balises, laissons les
allées forestières sur la gauche. Poursuivons notre allée tout droit sur une
vingtaine de mètres et à la fourche nous prenons le sentier de gauche. Nous arrivons au carrefour de la borne Brignon ou nous trouvons un banc, mais je ne
vois pas de borne, juste une petite sculpture réalisée à la tronçonneuse sur
une souche. A ce carrefour, nous avons plusieurs routes forestières et des
panneaux d’informations. Il faut prendre la direction de Saint Quirin par les promenades local (rond
rouge et une déviation du GR 5 balisé en rouge-blanc-rouge) se trouvant à 2h00 sur une centaine de mètres, pour découvrir une borne d'une
cinquante de centimètres de haut avec un triangle et des cupules sculpter en creux. Revenons à notre banc
et prenons le sentier bien balisé sur
la gauche en direction du Donon. Nous
débouchons sur un chemin formant Té et prenons à droite (c’est plutôt une
fourche.) Dans la monté nous passons la borne de la pierre milliaire, pierre
que l'on ne verrait pas si un poteau du club vosgien ne nous l'indiquait pas. [On utilise souvent le terme "milliaire" pour
qualifier les bornes ou colonnes itinéraires romaines, mais cette appellation
globale n'est pas toujours justifiée: - "milliaire" signifie que ces
bornes indiquaient des distances en "milles" romains (il est probable
qu'il y ait eu une borne tous les milles romains, comme notre bornage moderne; des
bornes étaient aussi disposées en des endroits particuliers: carrefours,
agglomérations, ponts, gués, monuments, frontières provinciales, ...). Mille
pour mille pas; ce qui est curieux quand on se rend compte que le mille romain
mesurait 1.481 mètres. Essayez donc de faire des pas de 1,48 m. !!!
En fait, l'unité de base était un double-pas, ce qui ramène le pas à des
proportions plus raisonnables (0,74 m., valant 2,5 pieds romains), surtout si
l'on souligne que la taille moyenne des hommes de l'époque était inférieure à
celle de nos condisciples. Donc: un mille romain = 1.481 mètres ( 1.478
à 1.482 selon les auteurs, ou selon les mesures )http://archeolyon.araire.org/Bornemil/bornesmil.htmlLe club Vosgien rajoute quelque complément à se
texte mais j’ai trouvé que c’était bien trop long à écrire pour des informations
que l’on ne trouve plus sur place actuellement.] Par moment nous avons
de belles vues sur la vallée en contre bas et comme nous sommes un peu plus haut
que l’autre versant on aperçoit la plaine à l’horizon. Poursuivons le chemin et
nous arrivons à la Croix Simon qui se trouve à un carrefour (parcelle 55) cela
manque un peu de balisage, il faut avancer sur le chemin pour voir une
information ; le col de l’Engin est à 1h et le Donon à 2h00. Sur la droite un
triangle bleu nous emmènerait à la chapelle de Notre Dame de la Délivrance. Laissons
les deux routes forestières sur la gauche et prenons à droite la route qui
grimpe vers le col de l'Engin. En haut de la cote nous arrivons à une patte
d'oie à l’envers, nous retrouvons un balisage avec des ronds rouge. Nous
débouchons sur une large route forestière formant patte d’oie.
[En remontant sur la gauche nous pouvons aller voir le
sac de pierre se trouvant à 500 m. J’ai cru que c’était un amas de pierres un peu
spécifique genre éboulement avec d'énormes rochers amassés les uns sur les autres et je ne mis suis pas intéressé. J’ai lu par la suite que c’était
une borne servant de calibre pour les sacs de grain. On à lu tout à l’heure que
ce lieu perdu servait d’échange et de marcher.] je poursuis tout droit
la route forestière de la Malcôte. Nous débouchons sur la D 145 que nous
prenons à droite, passons le col de l'Engin. [Lors de l'existence de la Principauté de Salm, la borne no 1 de l'abornement de 1753 se trouvait, au col Entre les Donons. La rivière la Plaine, prenant sa source en dessous de ce col, faisait limite entre la principauté et le Duché de Lorraine, au nord. Le Petit Donon se trouvait sur le Duché d'Alsace
appartenant alors au Royaume de France. Côté Alsace, la frontière
plongeait vers le sud rejoignant le ruisseau de la goutte du Marteau,
puis le ruisseau de Framont qui passe à Grandfontaine. Lors de la défaite de 1870, le Petit Donon, comme les autres
sommets environnants, dont le Donon, a subi le sort des département
annexés (Traité de Versailles et Traité de Francfort). Il s'est retrouvé dans le Reichsland. La nouvelle frontière franco-allemande est proche. Wikipédia][Depuis 1870 la frontière entre la France et l'Allemagne se trouve au col du Donon, le Donon, le Petit Donon, ainsi que
d'autres sommets frontaliers, magnifiques observatoires, n'ont fait
l'objet d'aucun aménagement ou retranchements particuliers. À la
déclaration de guerre, quelques faibles détachements (douaniers,
forestiers...) occupaient le col et le secteur, ils n'ont d'ailleurs
opposé qu'une résistance « de principe» face à l'offensive française du ,
cela faisait partie de la stratégie de haut commandement allemand. Les
premiers véritables combats, se dérouleront sur la frontière et dans les
anciens départements français annexés (Reichsland). Suivant le plan
allemand, l'attaque générale avait lieu au Nord, avec 5 armées arrivent
par la Belgique et le Luxembourg.wikipédia] Nous avons un panneau
d’information ; Nous pouvons rejoindre le col du Donon par le rectangle
rouge, le plus bleu 3,5 km, par rectangle rouge et le plus jaune 3,6 km et enfin par
le Temple 4,5 km je suppose que le GR 5 passe par le temple et puis je suis venu
pour grimper sur le Donon. Information importante ; Nous changeons de couleur et de forme de balises. A la place du blanc et rouge se sera un rectangle
rouge, Leur mise aux normes du reste de la France n'a pas duré longtemps. Dommage. Il y a également
une information sur la guerre de 14 en effet le petit Donon. [les
stèles gravées à même la roche nous rappellent qu'ici eurent lieu de
terribles combats les 20 et 21 avril 1914, se soldant par une défaite des troupes Françaises qui tentaient de défendre cette position stratégique.Les pertes subies par les troupes Françaises ont
été chiffrées à 1048 hommes. Du côté Allemand, le nombre des victimes
est sensiblement identique mais les chiffres officiels n'ont jamais été
communiqués. En 1914 ce
sont des croix en bois qui furent plantées sur les tombes des militaires
des deux armées enterrés à la hâte sur les pentes du petit Donon. Ces
croix furent ensuite remplacées par des stèles gravées par un soldat
Allemand.http://mes-photos-57400.over-blog.com/article-21350284.html]
Nous prenons le chemin de la côte de
l’Engin qui se dirige vers le col entre les deux Donons, elle longe un moment
la départementale et commence à s’élever gentiment. Nous passons entre les deux
Donons. Le petit est très dénudé. Nous arrivons au col des Deux Donons, une route
venant de la D145 se termine au parking que nous traversons, passons devant un
abri. Ici nous avons plusieurs chemins, nous ne sommes pas obliger de monter au
Donon pour rejoindre le col. Mais ce serait dommage. Laissons les routes
forestières et prenons le sentier sur la droite c'est toujours le Gr 5 et
nous
grimpons par le versant nord. La vrai grimpette commence, elle n'est pas
facile, c'est un petit sentier tout raviné qui grimpe dure tout de même de 822m
nous passons à 1008 m. En haut un magnifique point de vue, deux tables
d'orientations ou malheureusement on ne voit pas grand chose. Au sommet un
temple romain (enfin presque…) et tout au long de la descente coté sud les
restes de monuments romain. [Le Massif du Donon
constitue avec ses 1009 m d'altitude le point culminant des basses-Vosges, à la
jonction des provinces alsacienne et lorraine. Dès la préhistoire, parce qu'il
est visible de loin, on lui attribue un caractère sacré qui ne le quittera
plus. Sa situation à l'écart des foyers favorise le développement des légendes,
mêlant mythe et réalité. Les Romains, mystérieusement séduits, consacrent le
site à Mercure. Craint par les premiers chrétiens, le Donon aurait, depuis,
présidé à la conception de Victor Hugo. Sous Napoléon III, un pastiche réussi
de temple antique vient couronner le sommet. https://www.tourisme-alsace.com/fr/215000338-Le-Donon-montagne-sacree.html
Le Donon est le plus méridional des
sommets majeurs des Vosgesgréseuses. Si on considère l'ensemble du massif vosgien, c'est
également le deuxième sommet le plus septentrional (après le Rocher de Mutzig)
de plus 1 000 mètres d'altitude. Situé sur le territoire de la
commune de Grandfontaine, dans le département français du Bas-Rhin, au
nord-ouest de Schirmeck et au sud-est de Sarrebourg, il est
riche d'une histoire humaine plusieurs fois millénaire. Le Donon offrant un
point de vue exceptionnel dans toutes les directions, il a été utilisé dès le néolithique plutôt
comme un « refuge » temporaire que comme un habitat permanent, dès le
IIIe millénaire
av. J.-C.. Des haches et marteaux de pierre polie ont été découverts, notamment
lors de travaux forestiers. Il fut l'objet et un lieu de culte, vraisemblablement dès la fin de la protohistoire mais
c'est essentiellement du IIe siècle et IIIe siècle que date le sanctuaire gallo-romain ;
l'essentiel du matériel (bâtiments, sculptures) date de cette époque. Le
sanctuaire comprenait quatre bâtiments de pierre et un en bois. Ce dernier,
circulaire, était situé au voisinage d'un puits (ou citerne). Les bâtiments en
dur étaient en relation avec le culte ; ceux numérotés I et I bis
avaient vraisemblablement des fonctions d'accueil (lieu de rassemblement pour
les fidèles, dépôt de culte, etc.). La fonction de celui numéroté II (non loin
du puits et identifié par des trous de poteaux) n'est pas encore vraiment
déterminée. La construction, qui se situait juste sous la
corniche gréseuse du sommet, avait sans doute une grande importance cultuelle.
Les pierres d'angle des pignons comportaient chacune une tête sculptée. Aux
époques celtes puis
gallo-romaines, plusieurs cultes y furent successivement célébrés : Teutatès, Mercure. Le dieu à l'anguipède est très représenté au Donon
mais, dans l'état actuel des recherches,
aucun n'a été trouvé vers le sommet,
sans doute attribué à Mercure (ce qui est relativement classique à l'époque romaine).
Parmi les stèles retrouvées de Mercure avec le caducée et la
bourse, une seule représente le dieu au cerf. Le Mercure gallo-romain
recouvre en fait, sur le plan régional, un dieu gaulois, un Teutatès, dieu
protecteur du peuple et la communauté. Une inscription, imparfaitement
connue : Mercure Vogesus, indique peut-être que ce dieu au cerf est
une forme de ce Vogesus. Plusieurs inscriptions et dédicaces indiquent
également d'autres objets de célébrations : Taranis, Hécate, Jupiter,
etc. Comme en d'autres lieux, les populations du Moyen Âge se regroupaient, en
dépit de la christianisation, pour se livrer à des cultes et des pratiques
(vénération de rochers, de source, travestissements des hommes et des femmes en
cerfs et en biches, etc.), ce qui était en contradiction avec la nouvelle
religion que répandaient les moines des nombreuses abbayes s'installant dans la
région en ayant pour but l'évangélisation des populations régionales. Dès le XIXe siècle, des trouvailles en matériels protohistoriques avaient
été faites : hache à talon et couteau de l'Âge du bronze,
mais sans grandes précisions de lieu. Au XXe siècle, des tessons (attribuées à l'Âge du bronze) ont
été découverts au sommet, ainsi que des meules plates de l'époque hallstattienne (ce qui démontre une occupation moins temporaire) ;
ces dernières indiquent également une culture de céréales proche du Donon ou
l'apport de grains provenant de zones de production peu éloignées. D'après une
lettre de Léopold Hugo à son fils Victor, celui-ci
aurait été conçu au sommet du Donon. Une plaque gravée, rappelant ce fait, se
trouve apposée sur une roche du sommet, versant Nord-Est : « En ce
lieu le V floréal An IX fut conçu Victor Hugo ». Vérité ou légende ?
La question reste posée. Un bâtiment imitant un temple gréco-romain a été érigé au sommet en 1869 pour abriter jusqu’en 1958
diverses trouvailles archéologiques. Il
est l'œuvre de l'architecte colmarien Louis-Michel Boltz, le docteur Bédel, médecin cantonal, en étant
l'initiateur. Le temple dans sa rusticité présente un caractère indiscutable.Quatre piliers (monolithes de
section carrée), sur deux travées de
profondeur, supportent une lourde toiture de dalles de pierres du type en
« tas de charge ». Une certaine inspiration mégalithique
inspire cette construction. Ce « temple » reste néanmoins l'emblème
de ce lieu. Avant cette construction il s’y trouvait une cheminée géodésique Lors de l'annexion de l'Alsace-Lorraine en 1871,
Bismarck obtint
1 000 hectares de forêts du territoire de Raon-lès-Leau pour
s'assurer le contrôle du sommet stratégique. En 1919, lors du traité de Versailles, ce domaine resta propriété de la commune de Grandfontaine, au grand dam de la commune meurthe-et-mosellane.
Wikipédia]
Il est midi trente je suis au sommet, je fait le point. Depuis le départ nous
avons gravi 681 positif, on est à 1002 d’altitude et nous avons fait 20 km en
4h07 avec 43mn d’arrêt. La monté par la face nord n’est pas facile, elle grimpe
dure sur un sentier bien abîmé par endroit. Je me serais bien posé à l’ombre du
pseudo temple mais les places étaient prises. Je redescends par le
sentier archéologique. Nous passons devant une citerne ou un puits destiner à
récupérer les eaux de pluie. Devant le pylône de télécom se trouve une copie de
huit stèles votives représentant les principaux Dieux vénérés à l’époque, sur un
rocher on trouve également une maquette de l’implantation des principaux
monuments. Des chaises longues ont été installées, celles à l’ombre sont prisent.
La descente n'est pas plus facile que la monté. Ce doit être la route
ancestrale pavée de mauvaises intentions pour nos chevilles. Je m’arrête à
l’ombre au beau milieu de la descente, vu l'heure, je pensais être tranquille
malheureusement tout le monde ne mange pas et ce n’est que des allées et
venues. Je reprends ma descente, on bifurque brusquement à droite, et descendons des marches
immenses, coupons une route forestière bitumée qui ne doit plus être utilisé par
les voitures. Continuons la descente par un chemin pierreux, raviné et
difficile. Nous trouvons plusieurs balisage ; le GR 5, le losange bleu, le plus
bleu, et le plus jaune. (sur la page (article) Colmar vous trouverez une explication sur les balises que nous rencontrons sur ce parcours) Puis nous tournons à gauche le chemin devient un peu
plus facile et traversons de nouveau une route forestière, enfin le chemin
devient descendable. Nous arrivons au col du Donon 727m on y trouve quelques
maisons et un hôtel restaurant ou on pourra y faire le plein d'eau. Nous
prenons sur la gauche la D 392 et avant le virage nous prenons à droite un
sentier qui descend vers Smirmeck, coupons une route forestière goudronnée allant au
bas Donon, poursuivons la descente en face (A partir d’ici,
le parcours ma paru bien long. Comme je n’ai plus ma trace réalisée, je
retransmets mon topo oral mais la trace sur la carte risque de ne pas suivre exactement ce que l'on trouve sur le terrain. il
me semble tout de même qu’elle est juste.) Dans un virage en fond de
vallée on abandonne le chemin forestier pour un sentier sur la gauche il faut
faire attention car ce n’est pas signalé en amont. Nous débouchons sur une
allée forestière formant patte d’oie nous poursuivons à gauche et nous trouvons la marque du GR sur un arbre derrière la barrière.
Nous quittons l’allée forestière pour un sentier sur la gauche, qui tourne sur
la droite et descend rudement. Cette partie n’est pas facile, ravinée par la
pluie, nous trouvons de place en place des tiges en fer dépassant du sentier, c’était
certainement pour retenir des marches en bois qui ont totalement disparues. Certaine
tiges sortent au milieu du sentier. Nous débouchons sur une route. Ma trace me
dit qu’il faut prendre la route sur la droite et une dizaine de mètres plus loin
grimper le talus entre deux maisons. Sur place le tracé fait la même chose mais
en prenant la route sur la gauche. Fatigué, je suis ma trace et me rend compte
que c’est peut être le chemin le plus suivi. Donc descendons la route et
prenons le chemin sur la gauche montant le talus un escalier en pierre nous
aide bien, même s’il manque une marche. En haut nous trouvons un panneau d’information
nous indiquant Schirmeck en longeant la route par la droite derrière la barrière
de sécurité. Nous n’arrivons qu’a Grandfontaine alors que je pense être à Schirmeck,
je commence à me déconcentrer (j’aurais mis mes lunettes j’aurais pu lire sur mon GPS que
ce n’était pas le village si attendu.)
Une souche d’un arbre abattu nous permet
de franchir la barrière de sécurité et de prendre le sentier sur la gauche de
la route grimpant en foret. Les
panneaux d'informations m'indiquent Schirmeck. Nous
débouchons sur une patte d’oie et poursuivons tout droit. Nous quittons le beau
chemin pour prendre un sentier sur la gauche. Nous coupons l’allée forestière
et poursuivons en face le petit sentier qui se trouve parallèle à la grande
allée se trouvant au dessus. Nous coupons plusieurs chemins, comportant des sentiers
locaux avec des croix jaune. Nous continuons tout droit. Sur la droite entre
les arbres nous apercevons des maisons et cette fois si je suis sur d’être
arrivée, mais ce n’est que Vacquenoux. Après un virage sur la droite nous
débouchons sur la route que nous prenons à gauche. Nous arrivons à un virage en
épingle à cheveux que nous prenons sur la droite traversons le haut du village, nous dominons Wackenbach et je suis tout étonné que la route se termine par le
chemin forestier de la Basse Scierie et que ma trace se poursuis en foret. Quittons
la route pour un sentier un peu à flanc de colline que je n’avais pas vue. Ce n’est
pas grave si vous le loupé comme moi lorsque vous serez à proximité de la D 392
remonter d’une vingtaine de mètres l’allée et vous retrouverez le GR sur la
droite. (En reprenant le GR on évite de marcher en bordure de la route.) Nous
suivons la D392 (rue du Donon) sur la gauche et enfin le panneau Schirmeck m’annonce
la fin de ma rando. Enfin c’est ce que je croyais. je longe la départementale de ce village
tentaculaire dans cette vallée de la Brusch. Dans
un premier temps je me dirige vers le centre ville et la gare. Vous trouverez
les horaires avec ce lien. Attention le train ne se dirige pas vers Saint
Quirin mais il peut être utile pour la suite de la rando. [https://cdn.ter.sncf.com/medias/PDF/grand_est/Strasbourg%20Molsheim%20Saales%20St%20Di%C3%A9%20du%2029%20juillet%20au%2026%20ao%C3%BBt%202018_tcm75-202588_tcm75-202233.pdf]
Dans le virage un peu après un super marcher je quitte la
direction du centre ville de Schirmeck
pour suivre sur la
droite la D 126 ( Rue du Repos) en direction de La Broque. Nous longeons la ligne de chemin de fer, à la fourche quittons
la D 126. Poursuivons la rue du repos sur la gauche quittons La Broque pour
traverser le village de Vipucelle,
cela n'en fini pas. Ce n’est
pas possible les traces se sont jointe, j’ai loupé mon gîte et je suis partie
sur l’itinéraire de demain.Nous arrivons à un carrefour, quittons cette rue du
repos, "repos que j’aurais bien mérité" pour prendre sur la gauche la rue de Vipucelle
qui débouche sur la D 261 que je prends à droite (rue du Général De Gaulle)
nous passons un collège. Enfin la
Claquette est annoncée
et la rue devient (du Général Leclerc). Au rond point nous prenons à gauche, passons
une école et l'église par la rue du
générale Leclerc et j'arrive à mon gîte d'un soir. C'est une association qui accueille des touristes mais également en période scolaire des écoles. On peut avoir la pension complète pour une modique
somme, comme en refuge les chambres sont de quatre. Autour vous n’avez que le
boulanger. Si vous n’avez pas pris la pension complète, il faut faire ses couses à
schirmeck, mais il n’y a rien dans les chambres pour faire chauffer et demain vous ne rencontrerez rien pour faire vos courses pour midi.
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