jeudi 2 août 2018

Randonnée Le Plus Loin Possible GR 7 & 36 Etape 1040 La Bastide Rouairoux - Les Prades (Pradelles)

Randonnée Le Plus Loin Possible Etape 1040 La Bastide Rouairoux - Les Prades (Pradelles)


 
Le code mobile de cette randonnée est b311397
 
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vendredi 25 mai

Labastide Rouairoux Prades (Pradelles Cabardes)

Km      Temps      Arret      V/d      V/g      deniv      altit max
33,1      6:55         1:30       4,8        4, 1       1129            1209

Vous venez de comprendre que je ne m'arrête pas à Labastide, en route vers le Pays Cathare avec Carcassonne comme Point final de cette rando, et le départ de mes péripéties prochaine .
A l'origine il n'était pas prévu un nombre de kilomètres aussi élevés, ce parcours était un peut ardu mais pas autant. C'est le fait de ne pas avoir trouvé à Cabardes quelque chose d'autre que le gîte communale, le seul souci c'est qu'il n'y a pas de commerces et je ne voulais pas transporter la nourriture depuis Labastide.
 
Etant logé au centre du village je descends la rue Carnot, passe devant le musée et traversons la rivière le Thoré, [De 63,7 km de longueur, le Thoré prend sa source dans la Montagne noire en Haut-Languedoc commune de Verreries-de-Moussans Hérault et il arrose la ville de Mazamet avant de se jette dans l'Agout entre les communes de Castres et de Navès dans le département du Tarn. Wikipedia
Extraie La Dépêche du Midi
Le Thoré, fut voici quelques années déclaré « rivière la plus polluée de France ». C'était au temps de la grande épopée du délainage, de la mégisserie et du textile, 
 lorsque la production se moquait des règles élémentaires d'environnement. A cette époque là, on versait tout dans la rivière, le temps et les éléments se chargeaient de faire disparaître les outrages de la pollution.
Aujourd'hui, on est bien loin de cette glorieuse épopée industrielle, pourtant le Thoré subit encore régulièrement les assauts des pollueurs. A Labastide-Rouairoux, on connaît bien les problèmes de pollution du Thoré. Le président de la société de pêche commente: « L'eau noire, ce n'est pas compliqué! C'est le résultat des usines qui déversent leurs eaux dans la rivière. C'est un problème ancien et connu de tout le monde, nous avons déjà alerté les pouvoirs publics, mais rien n'y fait ». Ainsi, le Thoré est depuis des décennies chroniquement 
pollué en toute impunité. A la gêne olfactive, viennent s'ajouter les ravages du milieu aquatique. Et ces derniers ne sont pas toujours le fait des industriels, puisque la plupart des collectivités locales de la vallée ne sont toujours pas dotées de stations d'épuration. Robert ROSSIGNOL https://www.ladepeche.fr/article/2000/10/03/79970-le-thore-n-en-finit-pas-de-broyer-du-noir.html ]  Nous prenons la rue Lafargue située derrière la rivière sur notre gauche, c'est le Gr. Puis l'on prend à droite la rue de la place du 8 mai, ensuite on passe sous un pont, puis l'on grimpe entre des maisons, un chemin qui n'est pas facile et qui n'existe pas sur les cartes, nous débouchons le long d'un stade (sur la carte il est noté Fon de Santé) on prend à droite, puis à gauche, on grimpe encore pour arriver dans la foret et 

l'on retrouve une allée forestière se nommant de Salés à Labastide. Je souffle en regardant le paysage et je me rends compte que je ne suis pas sur ma trace. Trop tard j'ai déjà fait pas mal sur cette piste, je ne fais pas demi tour et je suis les balises. Cela me fait un peu peur car le chemin s'éloigne de l'ancienne trace. Le balisage n'est pas mauvais, mais les seules pancartes que je trouve sont celles de la vallée du Thoré, et et du balisage jaune des maitres verriers.  [La vallée du Thoré occupe un profond sillon entre la Montagne Noire et le plateau d'Angles. Les deux massifs qui l'encadrent sont formés de gneiss, coupé de bandes schisteuses, traversé par places d'amas de granite. Ils ont été séparés l'un de 
l'autre par un affaissement … https://scholar.google.com/scholar?client=tablet-android-samsung&um=1&ie=UTF-8&lr&q=related:DndrWhTDJo5WYM:scholar.google.com/] Après la prairie, nous arrivons à une fourche avec une croix, nous quittons le chemin de Salés à Labastide pour prendre le large chemin de droite se nommant de Salles. Malheureusement sur ma carte je n'ai rien de tout cela et sur le terrain non plus c'est bien dommage. Après la 
arrivée à Salès

monté nous restons à flanc de colline, aux rares fenêtres que nous laisse les branches d'arbres, nous avons une vue sur cette vallée. Le chemin serpente fait fourche dans un virage, nous prenons à droite, le chemin forestier traverse une zone plantée de sapin. Nous quittons le grand chemin pour en prendre un autre sur la droite suivant la ligne de crête de la foret de Beson, nous trouvons une information nous indiquant chemin de Beson et des maitres 
 verriers ainsi que le balisage rouge et blanc mais aucune pancartes nous indiquent que nous sommes sur le GR 7. Le sentier coupe à plusieurs reprises une route forestière serpentant pour que les véhicules puissent gravir la montagne sans trop de soucis. Nous passons un premier ruisseau et notre chemin grimpe fortement. Enfin je trouve une pancarte du GR 7 avec la direction de Sales. Nous passons une carcasse de voiture brulée, le chemin est presque plan. Nous arrivons à une fourche le chemin descend sur la droite et il manque le balisage blanc et rouge c'est le balisage jaune qui nous dit de continuer tout droit, et de ne pas descendre, c'est bien après que nous retrouvons une balise appartenant au GR. Nous arrivons en vue du village de Dressou que nous ne traverserons pas, nous prenons l'allée forestière sur la gauche. La route fait fourche et nous ne prenons pas le chemin qui monte sur la gauche, cette fois ci le chemin est bien balisé c'est un beau chemin bordé de hêtres. Nous passons un ruisseau et nous grimpons à nouveau. Dans un virage nous débouchons sur une belle route forestière, sur un arbre nous trouvons la parcelle 85. Malheureusement la parcelle est martelée et le balisage risque de disparaitre  sous la hache des bucherons. ''Je sais très bien qu'aujourd'hui on utilise plus cette outil, mais je trouve la formulation très belle. Nous débouchons sur un large chemin gravillonné formant Té et je suis perdu je n'ai pas vu la croix sur un arbre. Je prends à gauche, nous sommes toujours sur un GR, nous longeons une clôture avec une cabane dans les arbres, je rencontre également un panneau forestier me disant que nous sommes dans la foret du haut Agout. 

Cela me semble bizarre les traces sont vieilles et un peut effacées, j'ai l'impression de revenir en arrière. En regardant mon GPS je me rends compte que je suis sur l'ancienne trace et je me suis trompé de direction. Je fais demi tour. Mes doutes sont  confirmer je me suis bien trompé je n'avais pas vu la croix sur l'arbre, au carrefour il ne fallait pas prendre à gauche mais à droite et nous sommes enfin sur la trace du GR7 qui se trouve sur la carte. Nous passons un ruisseau à gué, pas facile, les pierres sont glissantes. La foret fait place à la prairie et j'aperçois deux maisons que je prends pour Sales en bordure
d'une route. Nous débouchons sur la D 182 que nous prenons à droite. Au carrefour prenons à gauche la D920, passons devant les deux maisons de Passot. Nous trouvons des panneaux d'informations routiers nous indiquant Carcassonne-Mazamet -Lespinassière. Mais également des pancartes de rando avec Labastide 2h00 (bus), Roc de Peyromaux 2h15, le col deTriby 5hh00. On grimpe un peu, la route fait une fourche en angle aigu sur la droite, c'est un panneaux en bois ''fait maison'' qui indique Sales. le Gr suit la rue de droite puis quitte cette dernière pour prendre un chemin sur la gauche. Nous traversons le village avec sa drôle d'église, poursuivons la rue principale, des jeunes retapent des maisons, Dans les années 60 ont aurait appelé cela des hippys. Dommage fauteuils et canapés trainent dehors au milieu des déchets de construction, nous passons un enclos avec deux énormes cochons noir. Ceux là au moins on sait qu'ils ne sont pas nourri au antibiotiques. Nous arrivons à une fourche, sur la droite part le sentier jaune des carrières de Sales, nous poursuivons le GR 7 sur la gauche. Nous passons la dernière maison isolé et prenons le chemin de droite, le chemin fait patte d'oie nous prenons celui de gauche, et arrivons dans une foret privée face au numéro 31. Le chemin passe sous les hêtres et les sapins. C'était peut être le village de Farail... je l'ai attendu longtemps ce village ce parcours me semblait interminable il faut dire qu'ici le GR 7 à été dévié, il ne part plus sur la droite mais suit la rue principale jusqu' à cette patte d'oie et cette foret privée. Nous longeons des prairies et des bois, la route fait fourche nous laissons le beau chemin de droite et poursuivons sur la gauche, traversons la foret. Nous descendons légèrement, et sommes toujours à flanc de colline. Nous arrivons devant de nouvelles maisons un panneau de bois nous annonce ''Lebrat'', que nous ne traversons pas, nous prenons un chemin herbeux sur la droite et contournons le village. Bois et prés se succèdent. Attention le chemin tourne à gauche en angle aigu, si l'on se trompe des clôtures nous rappellent que nous ne pouvons pas aller plus loin. Le chemin devient un ruisseau, puis nous traversons le ruisseau qui déborde un peu en ce mois de mai un peu trop pluvieux, on laisse un chemin sur la droite et nous arrivons à ''Le Baylé'' que nous contournons. Je suis perdu comme je n'ai sur ma carte que l'ancien tracé j,attends toujours de traverser Farail. Nous ne traversons pas le village, à la croix le chemin herbeux remonte en angle aigu sur la droite,  puis s'enfonce s'enfonce dans un profond fossé bordé de hêtres tortueux. Bois et prairies se succèdent. On rencontre même des vaches, et j'entendais un bruit de moteur, avec la présence des vaches je pensais 

trouver un nouveau village, mais ce bruit de moteur ce sont les éoliennes, voilà pourquoi le GR à été dévié, l'ancien tracé devait le parc. Nous débouchons sur la piste des éoliennes que nous prenons à gauche nous avons retrouvé la trace du GR qui se trouve sur la carte, nous sommes également sur le balisage jaune. Nous passons une seconde carcasse de voitures. Au carrefour nous quittons un balisage jaune pour en retrouver un autre ce nommant ''fontaine des trois Evêques'', nous avons également le GRP et le balisage rouge VTT. Poursuivons notre large allée carrossable et arrivons à la fontaine des trois Evêques ; C'est une borne en granit marquant la "frontière" entre l’Hérault, l'Aude, Le Gard.
[Les habitants de la région et les randonneurs connaissent bien cette pierre triangulaire plantée près de la fontaine des trois évêques et qui servait déjà au Moyen Âge à marquer les limites des diocèses de Lavaur, Vabre, Narbonne et St-Pons. Elle se dressait jusqu'à il y a quelques années encore près du réservoir d'eau dit de la « fontaine des trois évêques », en bordure du chemin forestier entre le col de Salettes et le roc de Peyremaux.
Ce lieu emblématique représente à lui seul une page de l'histoire de la Montagne Noire. Géographiquement, La fontaine des trois évêques est la source de l'Argent Double, la rivière qui coule vers Lespinassière puis Citou et Caunes Mineervois : un réservoir d'eau y a été bâti plus récemment pour constituer une réserve en cas d'incendie de forêt. Situé sur le territoire communal de Sauveterre, il marque aussi le point de rencontre de trois départements : le Tarn, l'Aude et l'Hérault. C'est pourquoi Claude Cabrol, maire de Sauveterre et ses conseillers ont souhaité rendre son aspect originel à ce lieu. Voici quelques jours, aidé de l'employé municipal, Claude Cabrol s'est rendu sur place afin de redresser la pierre triangulaire et d'y replacer la sphère qui la surmontait et qui avait elle aussi disparu, donnant une nouvelle vie à ce lieu empreint 
Roc de Peyremaux

d'histoire. la dépêche du midi https://www.ladepeche.fr/article/2009/04/28/598497-sauveterre-pierre-fontaine-trois-eveques-retrouve-place.html] le point d'eau étant à coté ainsi qu'un réservoir pouvant servir pour les incendies. Poursuivons cette route forestière sans difficultés dans un bois de sapin en pleine exploitation. Nous passons une fourche et arrivons à un point de vue avec un panneau d'information sur la montagne et la flore ainsi qu'une légende .... [Autrefois les montagnes cachaient deux géants. L'un d'entre eux vivait à La faune sur le sommet du Montalet, l'autre au Roc de Peyremaux à Albine. CES géants malicieux 
s'amusait à s'envoyer de loin des signaux d’amitié. Mais un jour, on ne sait pourquoi, la discorde éclata. Fâchés, il se lancèrent d'énormes  rochers, qui en tombant les uns sur les autres formèrent deux tas de pierres, sous lesquels les deux géants vivent désormais ensevelis]. A une patte d'oie notre route est barrée par des grosses pierres afin d'éviter aux véhicules de circuler sous les pâles des éoliennes. Aucun balisage nous dit qu'il faut 


tourner à gauche, le poteau mal placé ou déplacé ne nous guide pas beaucoup. A la seconde fourche toute proche nous prenons également à gauche. Au carrefour en X nous prenons le chemin de gauche montant légèrement dans la foret Nous arrivons au roc de Peyremaux roche dépassant le sommet des arbres. Sur sa droite vous apercevez deux antennes, c'est le sommet du pic de Nore. Pic que j'attends depuis longtemps, avec ses 1200m, je pensais qu'il me servirais de phare durant cette promenade. cacher derrière les
arbres nous ne le verrons qu'au dernier moment. A la fourche après la piste forestière de la Fage nous poursuivons notre route forestière tout droit. Le balisage à du être déplacé car à la fourche suivante nous quittons notre belle piste pour prendre sur la droite le chemin avec des balises locales portant le nom du roc de de Peyremaux, aujourd'hui nous passons au pied des roches. Un petit sentier sur la 
Enfin les antennes du pic de Nore
droite nous fait traverser un bois de hêtres tortueux avant de gravir la roche pour admirer le paysage nous sommes à1008m. Revenons sur nos pas. Nous retrouvons le chemin forestier de Peyremaux que nous prenons à droite. Des panneaux d'informations nous dit que le refuge de Peyremaux est à 800m, que le Portail de Nore est à 6 km (c'est ici que je quitte le GR 7 pour le 36), sentier jaune de Peyremaux et le vert de Castant.  Au carrefour suivant, sur le panneau d'information la flèche indiquant Le GR7 en direction de Sales est mal placé elle indique plutôt le 

chemin du refuge. Nous entrons dans la foret communale de Castan.  Nous arrivons à un carrefour en forme de Té, poursuivons tout droit. Nous passons un carrefour avec des panneaux d'informations ou nous prenons à droite la direction de Portail de Nore, Faufrancou et Mazamet. Après un coude sur la gauche ou nous trouvons un panneau d'information demandant aux piétons de respecter les pistes de skie de fond. (Je découvre qu'il peut y avoir de la neige si bas en altitude dans le sud. 

Hier soir, j'ai appris que le 15 mai de cette année les randonneurs patassaient dans la neige jusqu'a midi...) Nous débouchons au portail de Nore sur la route bitumé D87. C'est ici que je quitte le Gr 7 pour prendre le Gr 36. Nous trouvons des panneaux d'informations mais rien sur le GR 36. Cela change, autant le 7 est bien tracé avec des balises neuves, autant le 36 il faut les chercher. Mon GPS m'indique qu'il ne faut pas prendre la route mais le chemin sur sa droite bordé par une clôture. Nous montons au pic de Nore. Dans les bruyères il reste quelques jonquilles en fleurs. En Ile de France ce fut cette année entre le 15 février et le 10 mai que nous en avons eu. face à nous ce sommet en forme de dôme couvert de bruyère surmonté d'un pilonne ressemblant à une fusée, et des antennes. Le chemin fait fourche, une fourche qui ne se voie pas tellement la piste est humide. Nous prenons à gauche en franchissant la clôture électrique. 

    
  
Traversons la lande, Au sommet nous trouvons enfin une pancarte avec noté le GR 36. Sur la droite le sommet et son point de vue à 360°. Malheureusement la brume et les nuages nous couvrent l'horizon et les Pyrénées  qui me sont encore cette année invisibles. Deux tables d'orientations permettent de se situer.  après les points de vues du moins les deux tables d'orientations nous retournons au GR36, on nous dit que Pradelles est à 6 km, la descente du chemin n'est pas facile, ce dernier est pavé de mauvaises intensions avec des cailloux plats glissant les uns sur les autres à chaque pas. Attention aux chevilles, on approche les trente kilomètres et la fatigue commence à ce faire sentir. Il est
 parfois possible de marcher dans la bruyère  mais comme tout le monde le fait, même les chevaux et les VTT, cela ne durera pas, les bruyères vont disparaitre par le piétinement et la terre ne sera plus soutenue. Attention de ce côté  sous le pic, le réseau Orange ne passe pas. Vous avez 5 barres mais mon téléphone ne reconnait pas mes numéros. Pour retrouver un réseau durable il faut attendre le pas de Montserrat de l'autre coté de
la vallée. Au parc éolien que l'on voit en face, il ne faut plus bouger pour entendre quelques mots. Dommage que l'on ne se serve pas des Moulins à vent comme support d'antenne, au moins ils serviraient à quelque chose d'utile. Nous coupons à deux reprises la D 87 et arrivons dans un virage avec des rochers, le balisage n'est pas très bien fait, nous dominons le village de Pradelles. Ce n'ai pas la fin de mon 
étape le gîte communale est peut être bien, mais il n'y a pas de commerces, n'y de restaurant dans le village, j'ai poussé quatre kilomètres de plus pour trouver un gîte avec table d'hôtes. Il faut bien dire que lorsque j'avais fait ma liste j'avais quelques choix qui se sont révélés infructueux au moment de confirmer ma venue. Heureusement qu'hier et avant-hier c’étaient des journées de repos… le chemin devient enfin confortable, nous traversons une zone humide puis le torrent du Cuin. Après le coude nous entrons dans Pradelles. A la fourche nous 
prenons à droite la rue des Barris, mais je pense que si nous avions pris a gauche la rue du pas de l'eau c'était pareille. poursuivons le GR. Nous passons devant le gîte et la mairie, faisons un coude sur la gauche pour passer devant l'église, par la place de la tour poursuivons les marques blanche et rouge. Sur une petite place un camion épicerie. Pas grand monde à ce commerce de passage. Je ne verrais que ses personnes. Nous coupons la D 112 et poursuivons par la rue de Pijoula jusqu'au petit lac. Nous quittons le GR 36 prenons sur la droite le chemin au dessus du barrage. Normalement 
c'est un chemin balisé mais je n'ai rien vu. Passons entre le camping et la buvette (il me semble me souvenir que mon hôte ma dit qu'il y aurait peut être  en saison des nuitées, et que la buvette pouvait préparer des déjeuners, mais l'on est plus à quelques centaines de mètres. ) traversons le parking en passant derrière  la buvette, et prenons l'allée  sur la gauche un chemin longeant le mini golf. Nous revenons un peu sur l'aire de stationnement, prenons à droite et descendons le chemin herbeux et boueux. Normalement le chemin est balisé mais personne n'a du l'utiliser depuis l'année dernière. 

Nous arrivons à un ruisseau que nous ne traversons pas le chemin tourne sur la droite. Des traces de quad me dit qu'il débouche quelque part. Le chemin s'améliore un peu, nous longeons un mur suintant, nous devons être au niveau des trois lacs que nous ne verrons pas, ils sont trop haut. Nous arrivons au village des Jouys. Notre chemin débouche  dans la rue de la métairie basse. Nous longeons un hangar et des jardins, la rue fait fourche nous prenons à gauche, laissons toute les rues sur notre droite et prenons à gauche toujours la rue de la métairie basse, nous débouchons  sur la D9 (route du mas) que l'on prend 
 

 














 

sur la gauche. Si vous avez choisi le gîte de la sorcière, il n'est pas nécessaire de sonner  au beau portail du gîte  équestre. Très  belle propriété, mais ce n'est pas ici. Poursuivez la route et vous passerez devant trois chalets certain recouvre un mobile home. Ce n'est pas encore là. Poursuivez quelques mètres et vous trouverez enfin une maison tout en long. Sur la carte il est écrit Prades. Votre hôte et hôtesse son Belge mais pas côté  francophone. Ce sont des gens charmant, intarissable malgré  les difficultés qu'il rencontre en français. J'ai été ravi de dormir et manger chez eux. Merveilleux repas. Je n'en parle jamais, mais ces cinq jours on été gastronomique, je pensais perdre un peut de poids avec les quatre milles mètres de dénivelé positif. Je n'ai rien perdu.

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