jeudi 2 août 2018

Randonnée Le Plus Loin Possible 2018 GR 36 Etape 1041 Pradelles - Carcassonne

Randonnée Le Plus Loin Possible Etape 1041 Les Prades (Pradelles) - Carcassonne

  
  Carte IGN    Trace GPX et topo sans commentaires      Trace Randogps    

Le code mobile de cette randonnée est b311402

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samedi 26 mai 2018


Pradelles Carcassonne Gr 36

Attention 200 m sous le Pic de Nore le Réseau Orange ne passe pas. Vous aurez 5 barres mais mon téléphone ne reconnait pas mes numéros. Pour retrouver un réseau durable il faut attendre le Pas de Montserrat. Au parc éolien il ne faut plus bouger pour entrevoir quelques mots. Dommage que l'on ne se serve pas des Moulins à vent comme support d'antenne. Au moins ils serviraient à quelque chose d'utile

Km      Temps      Arret      V/d      V/g     Déni       Alti maxi
29,1      5:30         1:10        5,3      4,4       534 +          865

Je quitte mon gite avec beaucoup de difficultés, mon hôte est très bavard. Cela ma fait plaisir j'ai eu un petit dej anglais. Je fais honneur au plat. Pour midi je n'ai pas grand-chose. Le reste d'hier de la salade de pâtes avec un demi œuf et quelques gâteaux. Je ne suis pas parti du coté de Jouys comme je l'avais prévu sur mon GPS pour retrouver le GR 36. J'ai suivi la D 9 vers la montagne des éoliennes, au carrefour j'ai pris la petite route à gauche. On rencontre le premier balisage jaune en provenance de la gauche, ne 
pas prendre le chemin de droite, poursuivre tout droit la départementale, c'est au chemin suivant que nous prenons à droite, le balisage ne se voit pas. le chemin monte dans un ruisseau, des travaux tente de le canaliser pour éviter qu'il ne déborde sur la route. En juillet et aout cela devrait être sec. Le chemin un peu herbeux monte vers les éoliennes. nous débouchons sur un chemin forestier desservant les moulins à vent. Nous trouvons un panneau 

d'information pour la descente, (LCDP en direction des Jouys, du lac Pradelles alt 854m, il me semble qu'il n'est balisé que dans un sens). Prenons à gauche, et passons entre deux éoliennes et nous arrivons à un carrefour, des panneaux donnent la direction des moulins à vent N°15-13-16 . Nous prenons à gauche le chemin est balisé de jaune. Nous arrivons (Parcelle 17) et trouvons une intersection avec un petit chemin, sur la gauche et un balisage 
jaune, sur la droite rien, pas même l'amorce d'un chemin, que des pattes de moutons. Nous trouvons une tige ''électrifiée'' servant de portillon, afin d'éviter aux bestiaux de sortir. Ma trace passe par là. Dans l'herbe rase on devine un chemin, il tourne sur la gauche devient un peut plus visible et descend dans le taillis. Le chemin devient celui des vaches ou des ovins le terrain devient humide, on traverse un ruisseau, il devient tellement humide qu'il faut chercher un caillou ou mettre le pied si l'on ne veut pas s'enfoncer jusqu'au 
     

genoux. Ne pas prendre le chemin qui descend dans la gorge, nous devons remonter, et l'on ne trouve plus de sentier. A travers le maquis je remonte vers les éoliennes me disant que je retrouverais le large chemin parallèle à ma trace. A mi pente je trouve un beau sentier, propre, longeant le flanc de la montagne et balisé de surcroît en jaune. Il fallait certainement le prendre, soit un peu plus loin sur la route des éoliennes, soit ne pas descendre si bas après le portillon électrique, mais je n'ai pas vu de
 balises. Le chemin à flanc de colline nous fait découvrir la petite vallée à notre droite, puis débouche sur la voie romaine que nous prenons à droite. Le large chemin qui ne ressemble pas encore à une voie romaine est à couvert dans la foret de pin, on longe les dernières éoliennes et le paysage s'ouvre devant nous. Nous arrivons au Pas de Montserra, on abandonne le  balisage jaune et poursuivons le 

              

Gr 36 tout droit. Nous passons un rocher creusé sur une vingtaine de mètres regardez bien au sol vous remarquerez deux saignées ce sont des passages des roues. Sur le site il est écrit que ce sont les roues de charrettes qui ont marquées de leur empruntes la roche, je trouve qu'il est plus romantique de dire que ce sont les roues des chars romain. Nous sommes sur une ancienne voie romaine. [Mais est-elle vraiment romaine cette route ? je n'ai 
pas étudié à fond les textes trouvé sur internet. Quatre routes menant à de grandes villes, ont été répertoriées comme Romaine autour de Carcassonne d'autre appelé ''vicinale'' servaient de liaisons pour acheminer les productions vers des villes plus habité http://auderomaine.e-monsite.com/. j'ai trouvé également que cela pouvait être la route du sel sur un site internet que je n'ai pas noté, mais l'un n’empêche pas l'autre.] Nous 
sommes sur une crête face à nous les vallées, d'un coté on devine les remparts de Carcassonne, c'est peut être un mirage, ou j'ai beaucoup d'imagination pour voir d’où je suis des fortifications. Au milieu la montagne, de l'autre la plaine vers Castres et Toulouse. C'est magnifique, dommage il y a de la brume.  Un peu plus loin nous remarquerons une autre série de traces, dans les rochers. Entre les 

deux traces gravées dans la pierre, je me demande comment les chars et charrettes pouvaient passer, le chemin me paressant pas très large et l'on ne peut pas se croiser (en char ou charrette). La végétation est un peu rabougrie par ici, principalement du genet et de la bruyère, on en comprend mieux la raison lorsque l'on subi ce vent d'Autant, un vent qui ne s'arrête pas, il souffle en continu avec des 

bourrasques plus fortes, la végétation reste courbée à longueur de journée. [Le vent d'autan est un vent soufflant dans le sud/sud-ouest de la France, en provenance du sud-est/sud-sud-est, affectant la partie orientale du bassin aquitain et le sud-ouest du Massif central. On dit de lui, dans les régions où il sévit — c'est-à-dire principalement le Languedoc 
en région Occitanie —, qu'il peut rendre fou. Il est en ce lieu l'opposé du vent nommé tramontane. Autan provenant de l'ancien provençal auta issu du latin altanus qui signifie « vent de la haute mer » Mais ou est la mer ? lorsque l'on en est si loin ? en regardant la carte peut être que c'est lui. En tout cas j'ai du vent, et il ne me quittera que lorsque je serais en ville.


[Les zones où il est le plus fréquent et robuste sont l'ouest de l'Aude, le sud du Tarn, le nord de la Haute-Garonne, mais il souffle également régulièrement dans le reste du Tarn, l'ouest de l'Aveyron, l'est du Tarn-et-Garonne, le Lot, le nord-est du Lot-et-Garonne, le sud-est de la Dordogne, le sud-est de la Corrèze ainsi que le sud-ouest du Cantal. Dans l'ensemble des zones précitées, l'autan est présent sur les hauteurs exposées, ainsi que sur les causses et 
plateaux, et enfin dans les vallées encaissées où il se renforce naturellement (par effet Venturi) et peut se révéler très turbulent. Wikipédia] L' avantage de ce vent qui doit souffler régulièrement au vue de la végétation rabougrie c'est d'avoir une vue sur la montagne noir et les pleines sur la droite, ainsi que sur notre gauche. Cette dernière et celle qui m'intéresse le plus. je crois deviner en son centre la masse des remparts de Carcassonne, et puis au fond tout au fond dans la brume et les nuages la chaine des Pyrénées. 
Trassanel

J'aperçois des tâches un peu plus claire que les nuages, ils dessinent le relief, je me dis c'est de la neige. En 2018, aucun massif n'a manqué de neige et elle tombait encore début mai. Notre chemin devient une belle route qui descend légèrement, nous arrivons à une fourche, quittons ce beau chemin pour prendre à gauche un chemin un peut plus caillouteux. Ne pas se diriger vers l'antenne de Télécommunication. Nous débouchons sur une route en ciment que l'on prend sur la gauche. Nous débouche dans le petit village de Trassanel par la rue Victor Hugo. Nous descendons jusqu'à la fontaine François 
Mitterant le Gr prend de suite à droite, je pousse un peu pour voir la chapelle et le lavoir, dommage il est moderne avec des bacs en ciment. Revenons sur nos pas prenons la rue Antoine Armagnac, nous descendons dans une impasse passons au dessus de jardins privés, puis des bosquets de chênes vert nous continuons de descendre. Nous arrivons sur un chemin formant Té un peut plus large que nous prenons à droite. Attentions à la fourche nous prenons le chemin de gauche et longeons un muret. Nous passons le ruisseau de la Combe de Randou (à sec). Autant dans la montagne les jours précèdent, l'eau était vive et courait sur les rochers autant ici elle paraisse au soleil et s'évapore dans les cailloux. Nous changeons de versant. Nous passons une ruine, puis débouchons sur une voie carrossable et poursuivons par la D 511que nous prenons à droite (comme on est dans un virage on continue tout droit.) Nous  
  
Marmonières
arrivons à Marmonières. (bus ; il faut pousser jusqu’à Limousis attention dans ce sens nous trouvons qu'un bus l'après midi http://cities.reseaudesvilles.fr/cities/156/documents/9k4a7hmsl1rvrm.pdf d'après l'horaire il vient jusqu'au hameau) De haut nous apercevons une tour (le pigeonnier) mais l'on ne passera pas a coté, malgré les contours que le GR nous fait faire dans le village. Nous entrons dans le village par la rue de la Condamine (D511) j'ai du perdre à un moment le GR j'ai pris à droite la rue du pigeonnier (pigeonnier que je n'ai pas vue) j'ai pris cette rue à gauche puis j'ai retrouvé la D 511 avec la rue du 
lieu dit de la Marmorières, nous laissons de coté la route menant aux grottes de Limousis, et poursuivons la D 511 que nous abandonnons à la fourche suivante pour prendre la route sur la gauche route devenant chemin. Au loin Carcassonne ne se distingue pas mieux, mais le vent doit chasser les nuage et j'aperçois un peu mieux les taches blanche de la neige sur les flancs de la montagne. Nous arrivons à Sallèles Cabardès. Ici aussi il me semble que l'on virevolte dans le village. Nous arrivons à une fourche prenons à gauche la rue du Lavoir après le virage 

nous prenons à gauche une petite rue qui s’élargit par la suite, nous arrivons sur la D 1611 que nous prenons à gauche (rue de la Condamine qui deviendra un peu plus loin rue de Peyre-Male) nous longeons le ruisseau de la Ceizé. La route nous emmène au pont au dessus de la Ceizé, aujourd'hui bien trop haut pour le filet d'eau qui ruisselle dessous. Nous nous trouvons à l'intersection de deux routes. Laissons la D 111 face à 
nous partant en direction de Carcassonne pour passer sur le pont  à notre gauche et prenons la D 111 en direction de Villeneuve en Minervois. Nous longeons des vignes, passons le cimetière puis prenons à droite la rue bitumée devant les conteneurs à verres et à papiers. Fatigué je suis moins attentif et n'est pas vu la bifurcation, je rattrape par le chemin suivant qui rejoint le balisage en passant derrière la station d'épuration. Poursuivons notre descente par un chemin enclavé dans un ravin, on passe un magnifique pont sur les trois ou quatre litres d'eau coulant dessous. C'est également une intersection des promenades jaune du Minervois-Combardes. Passons le pont et poursuivons le Gr. Nous arrivons dans la foret domaniale de Villegly. Foret, foret rabougris, cela ressemble 
                      
 plus à un maquis, qu'aux belles forets que nous avons traversées ses jours passés. Sur la carte nous voyons un étang mais nous en sommes loin. Je me fiait à cela pour mon changement de direction et nous débouchons sur une route. Plus de balisage, j'ai beau chercher aucun poteau m'indique la direction. Ma trace et la carte me dit de prendre à droite. le balisage ce fait rare. Plus une trace, sur cette route bitumée toute plate, dans la brume la chaine des Pyrénées se dessine. traversons la foret de Conques sur Orbiel. Ce n'est qu'en arrivant à ''l'usine de la Matte'' centre du sicom que j'aperçois
une balise. Nous poursuivons à gauche en laissant en face le chemin menant au château de La Vernède. Laissons la route menant au château sur la droite, poursuivons la route (de la mate) au carrefour avec la route de Curé, nous retrouvons un balisage blanc et rouge ressent. Doit y avoir un nouveau tracé et l'IGN est encore à la ramasse. Faudrait peut être que les arpenteurs des temps modernes circulent un peut plus sur nos beaux chemins de France au lieu de mettre à jour la carte en regardant des photos aériennes et satellites. Le mieux serait de tenir à jour et au fil de l'eau leur cartes, lorsque les associations et les particuliers leur indiquent les erreurs et 
Conques sur Orbiel
omissions... Nous arrivons à Conques sur Orbiel par la rue de la montagne Noire, passons de petits immeubles grimpons légèrement, sur la petite place belle vue sur la montagne noire, nous redescendons, passons rue Fabre d'Eglantine. [Le toponyme de Conques sur Orbiel vient du latin concha qui signifie "coquille", mais qui désigne, métaphoriquement, une baie, une vallée en cuvette, un méandre de rivière. En latin du Moyen-âge,concha prit, par extension, le sens de "creux dans lequel coule un cours d'eau". Dans les anciens textes, le cours d'eau qui arrose Conques est appelé Olibegium en l'an 794, Oliveti en 844, Olvei en 1262. L'endroit est mentionné sous le nom de Villa de Conchis dans un manuscrit de 1248. L'appellation "sur Orbiel" a été ajoutée au toponyme en 1962.
       
Le village n’apparaît, avec certitude, dans les 
sources écrites, qu’au début du XIIe siècle. En effet, un certain Adhémar de Conchas (Conques), figure comme témoin dans deux actes de 1134 et 1151, concernant les vicomtes de Carcassonne.

 Au milieu du XIIIe siècle, le castrum et la seigneurie de Conques, détenus en fief par Pierre de Conchis, appartenaient au Roi de France qui les possédait en paréage avec l’abbé de Lagrasse. Des travaux de fortification du village furent entrepris à cette époque.

  Au XVe siècle, Rodrigues de Villendras, capitaine espagnol et chef des « écorcheurs », pilla et brûla Conques.

  En l’année 1789, la population atteignait déjà 1537 habitants. Prospère, florissante avec ses moulins, ses manufactures de draps qui ont fait la fortune des négociants de la région carcassonnaise au XVIIe et XVIIIe siècles.

 Du Moyen Age restent les vestiges des fortifications, les portes, les fossés remplacés aujourd’hui par les routes départementales. Au centre du village, le Château fort, l’église et les ruelles étroites du vieux Priourat qui raconte l’histoire de Conques à qui sait voir, déchiffrer et écouter la voix lointaine du tocsin qui annonçait les drames, les victoires, les joies, les souffrances des hommes.
C’est dans les ruines de ce prieuré que l’on a retrouvé un cachet en bronze, sans aucun doute le sceau du prieuré. Ce sceau appartenait à Mr Alibert, juge de paix à Conques.
Le premier sceau de la commune de Conques remonte à l’annnée 1303, pendant la Charte d’adhésion des villes de la Sénéchaussée de Carcassonne réunies à Montpellier, au jugement du Pape Boniface VIII. Il représente une marmite à trois pieds et à deux anses-chaudières (conque). Au dessus, une fleur de lys dite médiévale ou de St Louis. Une inscription «S’ CONSOLS D CONCA» ceinture le sceau.  

En 1696, le Trésor royal est à sec. Un Edit de Louis XIV ordonna que les princes, gens d’épée, de robe, gens des villes franches, ecclésiastiques, 

serait tenus de faire enregistrer leurs armes contre un droit de vingt livres.  
  Les armoiries de Conques sont octroyées en 1703, par ordonnance rendue le 20 décembre 1703 par le roi Louis XIV : «gueule à trois conques d’argent posées 2 et 1». Deux représentations en seront faites. L’une avec des escargots (fronton ouest de la mairie, construite en 1887), l’autre avec des marmites renversées (vitrail central supérieur de la nef de l’église Saint-Michel, placé lors de la reconstruction du toit en 1754).  
L’Armorial des communes de l’Aude reprend le dessin et la description des ‘trois conques’, représentant des ‘escargots marins’.
 L’actuel blason est-il une version moderne des armoiries ?
La copie de l’ordonnance affichée dans la salle des mariages, indique que ces armoiries sont bien celles attribuées à la communauté des habitants de


 Conques. Toutefois, ce document n’a pu être authentifié officiellement.  
Aujourd’hui encore, le mystère persiste sur l’origine de la version actuelle du blason de la commune. http://www.conques-sur-orbiel.fr/fr/information/81094/tourisme] charment village, je ne suis pas sur d'avoir suivi la trace mais cette fois ci c'est volontaire, les restes du château et les remparts servant de soutènement ou de façade des d'habitations, son église, les trois porches successifs devant rendre difficilement prenable cette ville fortifiée. il est autour de midi, c'est le seul village avec des commerces que je rencontrerais avant Carcassonne. Je quitte à tord le Gr et prend l'ancien tracé sur la D 201. A la sortie de Conques le GR ne passe pas tout de suite L'Orbiel il prend la D 101 rue de Barbes en direction de Villalier. Revenons
à l'ancien itinéraire. La départementale 201 est peut fréquentable pour un piéton, les bas cotés ont de l'herbes jusqu'aux hanches, même un samedi à treize heures il y a beaucoup de voitures et il est difficile de se garer sur des bas coté non entretenue. Si l'IGN avait mis sa carte jour, je ne serais certainement pas passé par là, quoi que je n'en suis pas si sur le parcours fait déjà 29 km et je n'ai pas suivi le GR partant vers le canal du midi. Etape trop longue pour une fin de parcours, ou pas assez pour coucher à Conques, et c'est dommage. En suivant l'ancien tracé nous arrivons à un peut plus de 34 km. Aujourd'hui je préconiserais le couchage à Conques et le lendemain la visite de Carcassonne avant de rentrer sur Paris (ou ailleurs). Je n'ai pas réussi à répartir mes couchages mieux que je ne l'ai fais. Si l'étape des Bourdils est très dur, les autres étapes mériteraient un peu plus, mais je n'ai pas trouvé de couchage. Je quitte la trace à Meynière pour me rendre à Carcassonne avec un kilométrage décent, mais ce n'est pas la voie qu'il 
faut prendre. Infernale cette départementale, c'est long, bien trop long ce bout de bitume. Nous arrivons dans les faubourgs de Carcassonne je passe le rond point, (carrefour de Bezons) et prend la D 118 en direction de Carcassonne,  une petite piste cyclable me permet de marcher avec un peu plus de sécurité. Au pont rouge, j'emprunte le canal et la voie verte, mais je ne sors pas ma carte et me fit qu'à mon GPS.   Normalement je retrouvais le GR 36 mais pas un balisage. Au 
écluses du Fresquel je me rends compte que le canal du midi tourne à gauche et que ma trace continue tout droit alors je prend la passerelle pour retrouver la D118. j'aurais regardé la carte voir même je me serais intéressé un peut plus au gps plutôt qu'à ma trace je me serais rendu compte que le canal passe devant la gare... trace de Gr ou pas. Donc me voila sur cette Départementale qui n'en fini pas de traverser des zones commerciales. C'est un rien moche, il fait chaud, fini la petite fraicheur des sommets. Ici cela tape, étouffant. 

De rond point en rond point nous passons de la D118 à la D 149, nous sommes sur les hauteurs de Grazaille et entre les immeubles, j’aperçois les remparts de Carcassonne. Fin de cette première étape.






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