Randonnée Le Plus Loin Possible Etape 1039 La Roque - La Bastide Rouairoux
Carte IGN Trace GPX et topo sans commentaires Carte Randogps
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jeudi 24 mai 2018
km Temps Arret V/d V/g deni Alti maxi
19,1 3:50 0:40 5
4,2 228 + 1032
La partie avant du gîte |
L'Arn |
cela va me permettre de bien me reposer.
Le Gr a été dévié, c'est mon hôte qui à proposé ce changement. A
l'origine, enfin sur les cartes non mis à jour de l'IGN, le Gr 7 ne passait pas
par ici. Il passait au col de Cabarétou ou on trouve un abri certainement une
maison forestière. En acceptant de faire gîte mon hôte a peut être
négocié ce changement d'itinéraire. Nous
contournons l'étang par un chemin très herbeux, tout de suite après il tourne en angle aigu sur la gauche et suis la rivière. Ensuite, nous avons un passage très humide à franchir avant de traverser l'Arn. Je ne me suis pas mouillé les pieds, mais le passage à gué n'est pas facile. Dans le cas ou la rivière est grosse il me semble impossible de traverser. Regarder la hauteur des dépôts dans les arbustes. On débouche sur une route que l'on prend à droite, nous passons le hameau du Moulinet, résidence des quatre saisons. Gîte de vacances. Nous arrivons au panneau d'information du Moulinet à 912m, si l'on continu la route c’est le GRP qui ce dirige vers Fajole, le Gr7 fait un coude quitte la route, tourne sur la gauche et grimpe dans le bois de la Blanque, en direction de Labatides de Rouairoux à 17,5 km et le col de Thérondels à 5 km. le chemin monte dans une belle foret de sapin et de hêtre. C'est également le VTT 14. Beaucoup de bois aujourd'hui. Il semblerait qu’un chemin à été créé, on ne retrouve pas le chemin sur la carte. A la fourche nous prenons à droite, ensuite nous débouchons sur un chemin forestier parcelle 277 nous prenons à gauche, nous arrivons rapidement à une aire de débardage et poursuivons tout droit. Ce chemin débouche sur un autre (parcelle 276 398 274 397) on prend à droite ou nous retrouvons la route de l'ancien Gr. Sans savoir que le GR avait été déplacé, c'est un peu ce que j'avais tracé, sauf que je prenais un chemin forestier un peu avant La Blanque. Avec une allée forestière à deux traits sur la carte il me semblait que c'était plus sur qu'un seul petit trait noir. Mon hôte m'avais dit ; de La Roque, la seule monté sera au départ dans le bois de la Blanque pour rejoindre les crêtes de la forêt de Somail, mais dans cette foret il y a tout de même quelques belles bosses. A la parcelle 398 nous prenons à droite, c'est également le chemin VTT 14 c'est une route gravillonnée grise. Nous abandonnons le beau chemin forestier (parcelle 394) pour prendre sur la gauche enfin sur la gauche c'est vite dit comme nous sommes dans un virage nous allons tout droit et sur un chemin un peut plus herbeux grimpant un peu dans un sous bois de hêtre. En 2018 la foret est en exploitation j'espère que les arbres comportant les balises resterons sur place. A la fourche nous prenons à gauche. Nous grimpons et en haut de la montée nous avons un virage à droite difficile à négocier sans marques rouge et blanche, c'est un virage droite droite et avec l'exploitation j'ai remarqué quelques troncs avec des balises au sol. Dans la montée si nous ne regardons pas la carte n'y le GPS, ne pensant qu'à respirer on risque de louper le virage et de poursuivre tout droit. Nous passons de la parcelle 392 à 388, le chemin descend sur des cailloux instables, attention aux chevilles et aux chutes, nous traversons un ruisseau à gué, puis grimpons en face sur un chemin aussi difficile que la descente. Nous arrivons aux parcelles 386-388-385 et débouchons sur une allée forestière gravillonnée que nous prenons à gauche nous sommes sur la route forestière de la Blanque. Nous arrivons au col des Thérondels à la hauteur de la D 55. Nous trouvons des panneaux d'informations nous sommes à 400m du village de la Jante. Poursuivons en face. traversons ce parking, ou cet espace de loisir ou nous trouvons une table en pierre brute posée sur quatre autres le chemin est un peut sur la droite mais l'on ne peut pas la louper. Nous sommes sur la route de l'Espinouse, passons une maison forestière ouvert 1936, ne pensez pas y passer la nuit, pas d'eau pas d'électricité de l'herbe jusqu'aux hanches au mois de mai, je suppose que l'été on en a sous les aisselles. Longeons la parcelle 360-362. Nous arrivons vers la fin du plateau et je tombe sur un beau mat maintenu par des haubans d'une centaine de mètres de hauteur. J'ai longtemps cru que c'était pour la météo ou les télécom. Mais non cela
ce rapproche plus de la météo c'est un mat mesurant le vent et surtout le nombre de jours ou le vent à soufflé, pour implanter si cela vaut le coup un beau moulin à vent. On quitte la route à un grand carrefour parcelle 315-354-345-344) et l'on prend à gauche, toujours la route gravillonnée, on a une belle balise sur une belle pierre dressée (genre menhir), c'est également un chemin VTT (rouge), nous passons une petite borne numéroté 17 (je suppose que l'été avec l'herbe et les fougères nous ne
la verrons plus. Poursuivons tout droit aux parcelles 349-346-348 et VTT rouge N°1 & 2 il y a peut être un manque de balisage mais vu le tas de bois de 4m de haut cachant les arbres il ne serait pas étonnant que les marques rouge et blanche soient derrière. Le chemin fait fourche, nous prenons à gauche. Attention à ne pas vous endormir sur cette belle route qui descend un peu, dans un virage on a une borne en grès parcelle 352, nous quittons le chemin forestier pour prendre un
chemin hébreux sur la droite et nous débouchons sur un chemin formant Té parcelles 351-352 sur une route
forestière que nous prenons à droite en angle aigu, nous longeons puis coupons le ruisseau de
Nartaud, en chemin nous rencontrons le balisage
jaune et débouchons sur la D 64 (parcelle 43). Le Gr à été dévié, il ne prend plus la route sur la gauche mais poursuit tout droit la route goudronnée en direction de la Gante, on est également sur le GRP de la haute vallée du Thoré. Peut de temps après nous prenons à gauche un balisage jaune et Gr (sur la carte c'est le chemin du chevreuil.) Nous trouvons des panneaux d'informations, Labastide
[Le plateau du Somail est isolé, d'accès peu aisé, le climat y est rude, la vie est austère. C'est pour cela que cette terre semble avoir traversé les époques et les évènements sans que ceux-ci n'y aient laissé une forte empreinte. Pourtant on trouve sur ces terres difficiles et mystérieuses des vestiges des temps lointains... Le dolmen de la Gante : Ce Domen se situe sur la départementale D64, allant de Labastide-Rouairoux à la Salvetat, en bordure du plateau. Il s'agit de deux dalles de 3 m sur 2 m supportant une troisième d'environ 4 m de diamètre. http://soulie.somail.free.fr/histoire.html] Je
retourne au Gr, (ne pas suivre de suite après le carrefour le chemin local poursuivre la route gravillonnée nous retrouvons notre balisage et le GRP, nous coupons le ruisseau de frescaty. Il est midi passé je fais ma pose déjeuner au calme relatif de l'eau qui courre. Je reprends mon chemin balisé qui ne figure pas sur la carte (ou du moins pas telle que le tracé que nous avons). Après un fort virage à gauche poursuivons le Gr, nous descendons, traversons un autre ruisseau jusqu'à la rencontre d'un large chemin formant Té nous prenons à gauche. Il y a tellement de billes de bois que l'on ne voit pas le balisage (Heureusement que les croix sont là pour
nous empêcher de nous tromper. Le chemin est pratiquement plan et débouche sur un carrefour ou nous trouvons une large route forestière que nous prenons sur la gauche après un virage aigu sur la droite nous descendons en longeant un ruisseau jusqu'à la D 64, nous prenons en face un chemin herbeux retrouvons sur la carte l'ancienne trace du Gr, et un Balisage jaune et VTT 2. Nous débouchons sur un large chemin au niveau de l'arborétum et de la pancarte Castagné, attention à ne pas vous tromper le fléchage est mal fait une flèche nous indique de tourner à
droite mais il faut déjà traverser le chemin ensuite le chemin tourne sur la droite. Nous arrivons à un point de vue sur la vallée. Le poteau d'information à été arraché ; il nous indiquait que le sentier jaune était celui des trois cols, la descente est très raide, nous coupons une route forestière et descendons encore plus raide, coupons en une seconde et poursuivons le GR 7. Après quelques virages en angles aigus nous débouchons à Labastide Rouairoux sur la rue du Castel que nous prenons à droite puis la D 64 à gauche.
Nous débouchons sur la D612 bd Carnot. Il est de bonne heure et c'est la première grande ville que nous rencontrons depuis nôtre départ de Bédarieux. [Le secteur de Labastide-Rouairoux a été occupé avant même la période préhistorique, même si des fouilles archéologiques ont livré peu de traces. Le vestige le plus important est le dolmen de la Gante, classé monument historique, en bordure de la D.64 en direction de La Salvetat sur Agout. a conquête romaine amène, avec sa langue latine et sa culture, de grandes voies de passage dont il subsiste ici et là quelques tronçons empierrés. Notre secteur était concerné par une voie gallo-romaine qui venait de Nimes et allait jusqu’à Vieille-Toulouse. Vers
1166-1167, Raymond V de Toulouse fait construire un chateau fort, au lieu dit appelé aujourd’hui le Castel sur la Serre du Batut. En 1202, il est connu sous le nom de “la bastida de Rovoirosa “car il est bati sur une dépendance de la chatellenie de Rouairoux. Les habitants commencent à se regrouper autour de cette place forte sous la forme d’une bastide dont la charte de fondation date de 1224. La croisade des Albigeois prêchée à partir du concile de Lombers (1165) a dû marquer durablement le pays, même si nous savons peu de choses sur ce qui s’est passé à Labastide même. Les activités? Elles étaient celles d’un
bourg de moyenne montagne utilisant les ressources locales: avec la forêt, on fabrique des sabots, des piquets de vigne (païssels), on utilise le bois pour le chauffage, le mobilier et la construction. Les châtaignes, crues, cuites, bouillies, fumées fournissent un apport important de protéines pour les hommes et les bêtes. Les activités? Elles étaient celles d’un bourg de moyenne montagne
utilisant les ressources locales: avec la forêt, on fabrique des sabots, des piquets de vigne (païssels), on utilise le bois pour le chauffage, le mobilier et la construction. Les châtaignes, crues, cuites, bouillies, fumées fournissent un apport important de protéines pour les hommes et les bêtes.
Et la laine ? Avec le mouton présent en abondance, la qualité des eaux, les savoir-faire séculaires, l’utilisation de la laine est attestée depuis des temps immémoriaux. Les écrits parlent de tisserands dès le XII° siècle en vallée du Thoré sous forme de filage et de tissage artisanal à domicile. Mais filage
et tissage n’étaient pas les seules opérations nécessaires pour produire des draps de qualité. Etaient nécessaires en amont, l’élevage et la sélection, le dégraissage et le lavage des toisons, en aval, le foulage, le catissage, la teinture. Toutes ces opérations donnent naissance à des corps de métier spécialisés. l’arrivée des protestants en Montagne Noire aboutit à la création de vrais centres de production orientés surtout vers la fabrication de draps de laine. Avant la Révolution, on compte 400 ouvriers sur des métiers à tisser manuels. En 1820, la première “mécanique à filature”, d’origine anglaise, est mentionnée sur un plan de Labastide. La manufacture Armengaud, créée
en 1880, abrite aujourd’hui les locaux du Musée départemental du Textile, créée en 1983 et entièrement rénové en 2008. En 1888, le chemin de fer arrive à Labastide-Rouairoux. La dernière vague de constructions sont des ateliers sous verrières au début du XX° siècle. Le savoir-faire des tisserands, la réputation des produits, la qualité des dessins, l’innovation placent les tissus bastidiens au tout premier rang
français. On dit alors “Labastide, c’est l’Elboeuf du sud”. La renommée des tissus “Haute Nouveauté” passe les frontières nationales. En 1944, la commune atteint 3390 habitants. Plus de 2000 ouvriers travaillent dans les 30 usines de la ville, sans compter les ateliers de tissage des façonniers, c’est -à-dire qui travaillent à domicile. Résumé tiré de la documentation trouvé sur le site de la
mairie et écrit par Gérard Bastide, Maire-adjoint à la culture de 2008 à 2014. (janvier 2009) https://www.labastide-rouairoux.fr/un-peu-d-histoire/. J'ai trouvé le village triste, enserré entre ses deux montagnes et cette départementale, colonne vertébrale de la vallée mais qui n'apporte à ce village que des nuisances, il est bien prévu une déviation, mais j'ai bien peur que d'un village à l’agonie, il passe à la désertification. Hors mis les emplois dans ''l'eau'' à la Salvétat et une usine de mise en boite d’œuf de poules, il me semble qu'il n'y a pas grand chose d'autre. Si vous n'allez pas dans la même chambre d'hôtes que moi vous trouverez une épicerie. Sur
notre parcours c'est un point incontournable pour retrouver la civilisation.
Il y passe des bus pour Castre et Mazamet. Ou, de ses villes, la SNCF vous transporte partout.
contournons l'étang par un chemin très herbeux, tout de suite après il tourne en angle aigu sur la gauche et suis la rivière. Ensuite, nous avons un passage très humide à franchir avant de traverser l'Arn. Je ne me suis pas mouillé les pieds, mais le passage à gué n'est pas facile. Dans le cas ou la rivière est grosse il me semble impossible de traverser. Regarder la hauteur des dépôts dans les arbustes. On débouche sur une route que l'on prend à droite, nous passons le hameau du Moulinet, résidence des quatre saisons. Gîte de vacances. Nous arrivons au panneau d'information du Moulinet à 912m, si l'on continu la route c’est le GRP qui ce dirige vers Fajole, le Gr7 fait un coude quitte la route, tourne sur la gauche et grimpe dans le bois de la Blanque, en direction de Labatides de Rouairoux à 17,5 km et le col de Thérondels à 5 km. le chemin monte dans une belle foret de sapin et de hêtre. C'est également le VTT 14. Beaucoup de bois aujourd'hui. Il semblerait qu’un chemin à été créé, on ne retrouve pas le chemin sur la carte. A la fourche nous prenons à droite, ensuite nous débouchons sur un chemin forestier parcelle 277 nous prenons à gauche, nous arrivons rapidement à une aire de débardage et poursuivons tout droit. Ce chemin débouche sur un autre (parcelle 276 398 274 397) on prend à droite ou nous retrouvons la route de l'ancien Gr. Sans savoir que le GR avait été déplacé, c'est un peu ce que j'avais tracé, sauf que je prenais un chemin forestier un peu avant La Blanque. Avec une allée forestière à deux traits sur la carte il me semblait que c'était plus sur qu'un seul petit trait noir. Mon hôte m'avais dit ; de La Roque, la seule monté sera au départ dans le bois de la Blanque pour rejoindre les crêtes de la forêt de Somail, mais dans cette foret il y a tout de même quelques belles bosses. A la parcelle 398 nous prenons à droite, c'est également le chemin VTT 14 c'est une route gravillonnée grise. Nous abandonnons le beau chemin forestier (parcelle 394) pour prendre sur la gauche enfin sur la gauche c'est vite dit comme nous sommes dans un virage nous allons tout droit et sur un chemin un peut plus herbeux grimpant un peu dans un sous bois de hêtre. En 2018 la foret est en exploitation j'espère que les arbres comportant les balises resterons sur place. A la fourche nous prenons à gauche. Nous grimpons et en haut de la montée nous avons un virage à droite difficile à négocier sans marques rouge et blanche, c'est un virage droite droite et avec l'exploitation j'ai remarqué quelques troncs avec des balises au sol. Dans la montée si nous ne regardons pas la carte n'y le GPS, ne pensant qu'à respirer on risque de louper le virage et de poursuivre tout droit. Nous passons de la parcelle 392 à 388, le chemin descend sur des cailloux instables, attention aux chevilles et aux chutes, nous traversons un ruisseau à gué, puis grimpons en face sur un chemin aussi difficile que la descente. Nous arrivons aux parcelles 386-388-385 et débouchons sur une allée forestière gravillonnée que nous prenons à gauche nous sommes sur la route forestière de la Blanque. Nous arrivons au col des Thérondels à la hauteur de la D 55. Nous trouvons des panneaux d'informations nous sommes à 400m du village de la Jante. Poursuivons en face. traversons ce parking, ou cet espace de loisir ou nous trouvons une table en pierre brute posée sur quatre autres le chemin est un peut sur la droite mais l'on ne peut pas la louper. Nous sommes sur la route de l'Espinouse, passons une maison forestière ouvert 1936, ne pensez pas y passer la nuit, pas d'eau pas d'électricité de l'herbe jusqu'aux hanches au mois de mai, je suppose que l'été on en a sous les aisselles. Longeons la parcelle 360-362. Nous arrivons vers la fin du plateau et je tombe sur un beau mat maintenu par des haubans d'une centaine de mètres de hauteur. J'ai longtemps cru que c'était pour la météo ou les télécom. Mais non cela
ce rapproche plus de la météo c'est un mat mesurant le vent et surtout le nombre de jours ou le vent à soufflé, pour implanter si cela vaut le coup un beau moulin à vent. On quitte la route à un grand carrefour parcelle 315-354-345-344) et l'on prend à gauche, toujours la route gravillonnée, on a une belle balise sur une belle pierre dressée (genre menhir), c'est également un chemin VTT (rouge), nous passons une petite borne numéroté 17 (je suppose que l'été avec l'herbe et les fougères nous ne
Ma pierre levée |
jaune et débouchons sur la D 64 (parcelle 43). Le Gr à été dévié, il ne prend plus la route sur la gauche mais poursuit tout droit la route goudronnée en direction de la Gante, on est également sur le GRP de la haute vallée du Thoré. Peut de temps après nous prenons à gauche un balisage jaune et Gr (sur la carte c'est le chemin du chevreuil.) Nous trouvons des panneaux d'informations, Labastide
ce trouve à 5,5 km c'est également un chemin cavalier Tarn à cheval. Le chemin est herbeux il fait fourche prenons à gauche et longeons la route que nous venons de descendre. Nous contournons le calvaire par la gauche (je n'ai rien
trouvé sur internet.)
Nous retrouvons un
chemin avec un panneau nous indiquant sur la gauche à 50m un dolmen. Je quitte le balisage et prends à gauche et trouve en bordure de la départementale, le monument [Le plateau du Somail est isolé, d'accès peu aisé, le climat y est rude, la vie est austère. C'est pour cela que cette terre semble avoir traversé les époques et les évènements sans que ceux-ci n'y aient laissé une forte empreinte. Pourtant on trouve sur ces terres difficiles et mystérieuses des vestiges des temps lointains... Le dolmen de la Gante : Ce Domen se situe sur la départementale D64, allant de Labastide-Rouairoux à la Salvetat, en bordure du plateau. Il s'agit de deux dalles de 3 m sur 2 m supportant une troisième d'environ 4 m de diamètre. http://soulie.somail.free.fr/histoire.html] Je
retourne au Gr, (ne pas suivre de suite après le carrefour le chemin local poursuivre la route gravillonnée nous retrouvons notre balisage et le GRP, nous coupons le ruisseau de frescaty. Il est midi passé je fais ma pose déjeuner au calme relatif de l'eau qui courre. Je reprends mon chemin balisé qui ne figure pas sur la carte (ou du moins pas telle que le tracé que nous avons). Après un fort virage à gauche poursuivons le Gr, nous descendons, traversons un autre ruisseau jusqu'à la rencontre d'un large chemin formant Té nous prenons à gauche. Il y a tellement de billes de bois que l'on ne voit pas le balisage (Heureusement que les croix sont là pour
nous empêcher de nous tromper. Le chemin est pratiquement plan et débouche sur un carrefour ou nous trouvons une large route forestière que nous prenons sur la gauche après un virage aigu sur la droite nous descendons en longeant un ruisseau jusqu'à la D 64, nous prenons en face un chemin herbeux retrouvons sur la carte l'ancienne trace du Gr, et un Balisage jaune et VTT 2. Nous débouchons sur un large chemin au niveau de l'arborétum et de la pancarte Castagné, attention à ne pas vous tromper le fléchage est mal fait une flèche nous indique de tourner à
droite mais il faut déjà traverser le chemin ensuite le chemin tourne sur la droite. Nous arrivons à un point de vue sur la vallée. Le poteau d'information à été arraché ; il nous indiquait que le sentier jaune était celui des trois cols, la descente est très raide, nous coupons une route forestière et descendons encore plus raide, coupons en une seconde et poursuivons le GR 7. Après quelques virages en angles aigus nous débouchons à Labastide Rouairoux sur la rue du Castel que nous prenons à droite puis la D 64 à gauche.
Nous débouchons sur la D612 bd Carnot. Il est de bonne heure et c'est la première grande ville que nous rencontrons depuis nôtre départ de Bédarieux. [Le secteur de Labastide-Rouairoux a été occupé avant même la période préhistorique, même si des fouilles archéologiques ont livré peu de traces. Le vestige le plus important est le dolmen de la Gante, classé monument historique, en bordure de la D.64 en direction de La Salvetat sur Agout. a conquête romaine amène, avec sa langue latine et sa culture, de grandes voies de passage dont il subsiste ici et là quelques tronçons empierrés. Notre secteur était concerné par une voie gallo-romaine qui venait de Nimes et allait jusqu’à Vieille-Toulouse. Vers
1166-1167, Raymond V de Toulouse fait construire un chateau fort, au lieu dit appelé aujourd’hui le Castel sur la Serre du Batut. En 1202, il est connu sous le nom de “la bastida de Rovoirosa “car il est bati sur une dépendance de la chatellenie de Rouairoux. Les habitants commencent à se regrouper autour de cette place forte sous la forme d’une bastide dont la charte de fondation date de 1224. La croisade des Albigeois prêchée à partir du concile de Lombers (1165) a dû marquer durablement le pays, même si nous savons peu de choses sur ce qui s’est passé à Labastide même. Les activités? Elles étaient celles d’un
bourg de moyenne montagne utilisant les ressources locales: avec la forêt, on fabrique des sabots, des piquets de vigne (païssels), on utilise le bois pour le chauffage, le mobilier et la construction. Les châtaignes, crues, cuites, bouillies, fumées fournissent un apport important de protéines pour les hommes et les bêtes. Les activités? Elles étaient celles d’un bourg de moyenne montagne
utilisant les ressources locales: avec la forêt, on fabrique des sabots, des piquets de vigne (païssels), on utilise le bois pour le chauffage, le mobilier et la construction. Les châtaignes, crues, cuites, bouillies, fumées fournissent un apport important de protéines pour les hommes et les bêtes.
Et la laine ? Avec le mouton présent en abondance, la qualité des eaux, les savoir-faire séculaires, l’utilisation de la laine est attestée depuis des temps immémoriaux. Les écrits parlent de tisserands dès le XII° siècle en vallée du Thoré sous forme de filage et de tissage artisanal à domicile. Mais filage
et tissage n’étaient pas les seules opérations nécessaires pour produire des draps de qualité. Etaient nécessaires en amont, l’élevage et la sélection, le dégraissage et le lavage des toisons, en aval, le foulage, le catissage, la teinture. Toutes ces opérations donnent naissance à des corps de métier spécialisés. l’arrivée des protestants en Montagne Noire aboutit à la création de vrais centres de production orientés surtout vers la fabrication de draps de laine. Avant la Révolution, on compte 400 ouvriers sur des métiers à tisser manuels. En 1820, la première “mécanique à filature”, d’origine anglaise, est mentionnée sur un plan de Labastide. La manufacture Armengaud, créée
en 1880, abrite aujourd’hui les locaux du Musée départemental du Textile, créée en 1983 et entièrement rénové en 2008. En 1888, le chemin de fer arrive à Labastide-Rouairoux. La dernière vague de constructions sont des ateliers sous verrières au début du XX° siècle. Le savoir-faire des tisserands, la réputation des produits, la qualité des dessins, l’innovation placent les tissus bastidiens au tout premier rang
français. On dit alors “Labastide, c’est l’Elboeuf du sud”. La renommée des tissus “Haute Nouveauté” passe les frontières nationales. En 1944, la commune atteint 3390 habitants. Plus de 2000 ouvriers travaillent dans les 30 usines de la ville, sans compter les ateliers de tissage des façonniers, c’est -à-dire qui travaillent à domicile. Résumé tiré de la documentation trouvé sur le site de la
mairie et écrit par Gérard Bastide, Maire-adjoint à la culture de 2008 à 2014. (janvier 2009) https://www.labastide-rouairoux.fr/un-peu-d-histoire/. J'ai trouvé le village triste, enserré entre ses deux montagnes et cette départementale, colonne vertébrale de la vallée mais qui n'apporte à ce village que des nuisances, il est bien prévu une déviation, mais j'ai bien peur que d'un village à l’agonie, il passe à la désertification. Hors mis les emplois dans ''l'eau'' à la Salvétat et une usine de mise en boite d’œuf de poules, il me semble qu'il n'y a pas grand chose d'autre. Si vous n'allez pas dans la même chambre d'hôtes que moi vous trouverez une épicerie. Sur
notre parcours c'est un point incontournable pour retrouver la civilisation.
Il y passe des bus pour Castre et Mazamet. Ou, de ses villes, la SNCF vous transporte partout.
À La bastide on peut soit prendre le bus dont voici l'adresse internet permettant d'obtenir les horaires
Le but étant en bus de rejoindre Mazamet, ou Castres Ligne SNCF sur Toulouse
Le but étant en bus de rejoindre Mazamet, ou Castres Ligne SNCF sur Toulouse
Liaison Bus :
Tarn Bus ligne 762 Castres -Mazamet- St Pons
Hérault
Transport, lignes sur St Pons de
Thomières : 214 /303-485 /482-485
Nous y trouvons également un musé du tissage
Nous y trouvons également un musé du tissage
Pour retrouver toute mes randos itinérantes
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html
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