Reprise de ma Randonnée le Plus Loin Possible 2018
Randonnée
Le Plus Loin Possible : RLPT ou Mon Périple est l'espoir de pouvoir
terminer une boucle autour de la France en ne marchant qu'une semaine
par mois
entre mai et août. pourquoi que quatre semaines non accolé ?... Je
n'étais pas sur de tenir plus longtemps. Mes premières étapes ce
faisaient avec couchage sous la toile, trouvant facilement un camping à
chaque étape. je faisais mon maigre repas dans une petite popote.
J'avais peur de manquer... manquer des éléments essentiels à poursuivre
plus en avant. Cinq jours de marche me semblaient un bon compromis me
disant que les réserves que le corps accumule durant toute l'année ne
seront pas épuisées.
Aujourd'hui, ou il me semble que je
pourrais en faire un peu plus, ma famille... Sans raison évidente me
l'interdit. Débuté en 2010 après un problème médical, par petites étapes je
parts pour des randos sur la rive droite de la Seine vers le Havre. Après cette
ville au bout de la terre, je suis remonté plein ''Nord'' vers Dunkerque, puis
plein ''Est'' vers les Vosges.
je comprends rapidement qu'en mai et
juin il fait froid et pluvieux au nord de la Seine et qu'il serait préférable
de ce délocaliser dans le sud, ou, en juillet et août il n'est plus temps aux
longues randonnées sous un soleil de plomb. En 2014 je fais un second départ dans
la ville de Nice, pour me diriger vers ''Ouest'' non pas en suivant les bords
de la méditerranée, mais l'arrière pays niçois, le Verdon, le plateau de
Valensole, le Lubéron, les Alpilles, Cévennes.
Durant
ma convalescence je reprends la marche par petites touches, des randos
faciles avec retour en train en direction de Paris par la rive droite
(GR2) et en direction de la Normandie par les GR 11 et 26 ce qui
deviendra mon départ 3.
Le but c'est qu'un jour les trois circuits se raccordent.
Si cela vous intéresse
Départ 1 ; Rive droite de la Seine ; Ma première étape vers le Havre
Départ 2 ; En route vers la Normandie ; Mes premières étapes vers la Normandie
Départ 3 ; De Nice à Saint Jean Pied de port ; Ma première étape dans le sud
A ce jour, mon parcours s'étire sur 2948 kmSi cela vous intéresse
Départ 1 ; Rive droite de la Seine ; Ma première étape vers le Havre
Départ 2 ; En route vers la Normandie ; Mes premières étapes vers la Normandie
Départ 3 ; De Nice à Saint Jean Pied de port ; Ma première étape dans le sud
Vous retrouverez également la carte de mes étapes en suivant ce lien ; https://www.geoportail.gouv.fr/carte?c=6.411686958907242,43.64142402413532&z=7&l0=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS.SCAN25TOUR::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(1)&d1=1500208(1)&d2=1500211(1)&permalink=yes
Pour ce mois
de Mai, je reprends mon itinéraire ou je l'avais abandonné l'année dernière ; Départ Bédarieux – Arrivée
Carcassonne par les montagnes du Haut Languedoc avec la traversée de la
montagne de l’Espinouse – Gorges de Colombières - Le Caroux – Les monts du
Somail - Le haut Agoût – Le Pic de Nore
Six jours de randonnée – 149 km, mais soyez en pleine forme car c’est 4458 m de dénivelé positif.
Carte IGN Trace IGN et Topo Sans Commentaires Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b311377
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Dimanche 20
Mai
Malgré les grèves
et les travaux sur la ligne nous n'avons eux qu'une dizaine de minutes de
retard à Béziers. Pas de problèmes avec le bus SNCF. L’année dernière j'avais
vu une belle affiche annonçant des trains pour rejoindre Bédarieux. Il
semblerait qu'aujourd'hui cette idée soit oubliée. Avant de me rendre à l'hôtel,
ou l'on m'avait prévenu qu'il ne serait ouvert que vers 16:30, je fais un tour
en ville. Trop fatigué l'année dernière, la gare étant vraiment désaxés du
centre, j’étais resté à attendre le bus à l’ombre d’un grand sapin. C'est un
village en perdition. Les façades manquent d'entretien. Personne dans les rues
mais en ce dimanche il y avait peut être manifestation au stade.
Normalement je ne donne jamais d'avis ni ou mes lieux de couchage, il y a toujours le choix dans les villages ou je fais halte. L'année dernière j'ai fais mes arrêts de gîtes en gîtes et cette année ce fut la même chose, sauf que l'année dernière mes hôtes restaient discret et me servaient comme au restaurant. Cette année c'est également la même chose sauf que de ce coté si de la montagne ils parlent plus que de l'autre coté, et il m'a semblé intéressant de rapporter leur histoire. N'y voyez aucune critique, en bon parisien j'écoute et je crois ce que l'on me dit, même si parfois je trouve qu'il y a beaucoup de médisance.
Randonnée Le Plus Loin Possible 1036
lundi 21 mai
2018
Bédarieux – La Fage (Gorge de Colombières)
km Temps Arret V/d V/g dénivelé hauteur max
23 4:55 1:00 4,5 3,7 980 + 810
Ce matin
petit déj à l'anglaise. Je prends la route de bonne heure. Huit heures du matin
n'a pas sonné. J’ai modifié mon itinéraire au dernier moment. Au lieu de
revenir chercher le Gr 7 un peu plus haut que Villemagne, je décidé de le
rejoindre à Lamalou les bains en passant par Hérépian. Et c'est un sacré raccourci,
on y gagne en dénivelés. Vous me direz on n’est pas à une centaine de mètres près,
mais lorsque l'on sait que l'on va en faire une peu plus de quatre milles en
six jours il est peut être intéressant de prendre ce
raccourci. Mon hôtel étant à mi chemin entre Bédarieux et Hérépian, je n'ai pas envie de revenir en arrière et bien après la gare, pour retrouver la rue conduisant à la voie verte. Dans ce cas autant partir sur l'autre itinéraire. Je longe donc la D 908 jusqu'à Nissergues ou je trouve sur la droite une rue menant à la voie verte que je prends à gauche. Belle allée en sablé qui devait être l'ancienne ligne SNCF en parallèle durant un temps à celle de Béziers et menant à Lamalou. Nous franchissons un pont au dessus de la rivière ‘’la Mare’’ et arrivons à Hérépian, coupons la D 922 poursuivons en face la voie verte, puis traversons la D13 passons le musée de la cloche, et je me rends compte que je me suis trompé, (il aurait fallu que je prenne la D13 sur la droite (avenue des treize vents) puis à gauche l’avenue de l’Escandoune pour retrouver le balisage jaune.) Je passe le pont au dessus du ruisseau de ‘’Pourquié’’ vers le moulin Gué et trouve un petit sentier sur la droite qui me fait revenir un peu en arrière. Je retrouve ma trace, que je prends sur la gauche, c'est un large chemin en ciment. A la sortie du village
nous avons une fourche. sur la droite un chemin pierreux pour les VTT. Nous continuons de grimper tout droit ce chemin cimenté. Le ciment ce termine à un carrefour au trois quart de la côte, ou nous trouvons le balisage jaune. Laissons partir à droite une branche du balisage, et continuons tout droit, l'autre branche qui est également le chemin VTT 4 & 5, le chemin devient empierré. Poursuis en flanc de colline dans un bois de taillis de chêne vert, permettant une vue sur la montagne. Le chemin débouche ‘’au niveau de Lescandoune’’ sur un autre ou l'on rencontre le GR (je suppose que c'est le 7). Cela me surprend ce n'est pas ici que je dois le rencontrer. Et la carte ne m'en indique aucun autre. Je suis ma trace, remonte le chemin sur la droite qui est également le balisage jaune et blanc et rouge. Abandonnons le Gr qui continue de monté, et poursuivons sur la gauche le balisage jaune. Après la grimpette, nous sommes sur un chemin à flanc de
raccourci. Mon hôtel étant à mi chemin entre Bédarieux et Hérépian, je n'ai pas envie de revenir en arrière et bien après la gare, pour retrouver la rue conduisant à la voie verte. Dans ce cas autant partir sur l'autre itinéraire. Je longe donc la D 908 jusqu'à Nissergues ou je trouve sur la droite une rue menant à la voie verte que je prends à gauche. Belle allée en sablé qui devait être l'ancienne ligne SNCF en parallèle durant un temps à celle de Béziers et menant à Lamalou. Nous franchissons un pont au dessus de la rivière ‘’la Mare’’ et arrivons à Hérépian, coupons la D 922 poursuivons en face la voie verte, puis traversons la D13 passons le musée de la cloche, et je me rends compte que je me suis trompé, (il aurait fallu que je prenne la D13 sur la droite (avenue des treize vents) puis à gauche l’avenue de l’Escandoune pour retrouver le balisage jaune.) Je passe le pont au dessus du ruisseau de ‘’Pourquié’’ vers le moulin Gué et trouve un petit sentier sur la droite qui me fait revenir un peu en arrière. Je retrouve ma trace, que je prends sur la gauche, c'est un large chemin en ciment. A la sortie du village
nous avons une fourche. sur la droite un chemin pierreux pour les VTT. Nous continuons de grimper tout droit ce chemin cimenté. Le ciment ce termine à un carrefour au trois quart de la côte, ou nous trouvons le balisage jaune. Laissons partir à droite une branche du balisage, et continuons tout droit, l'autre branche qui est également le chemin VTT 4 & 5, le chemin devient empierré. Poursuis en flanc de colline dans un bois de taillis de chêne vert, permettant une vue sur la montagne. Le chemin débouche ‘’au niveau de Lescandoune’’ sur un autre ou l'on rencontre le GR (je suppose que c'est le 7). Cela me surprend ce n'est pas ici que je dois le rencontrer. Et la carte ne m'en indique aucun autre. Je suis ma trace, remonte le chemin sur la droite qui est également le balisage jaune et blanc et rouge. Abandonnons le Gr qui continue de monté, et poursuivons sur la gauche le balisage jaune. Après la grimpette, nous sommes sur un chemin à flanc de
colline dans les bois et taillis de chênes verts, l'on découvre sur la gauche Lamalou. Ne soyez pas tenté par les raccourcis sur la gauche, ils débouche sur un chemin qui ne nous intéresse pas. Nous débouchons sur un large chemin cimenté que l’on prend à gauche. Nous descendons. Ne vous endormez pas le balisage tourne sur la droite c’est également l’itinéraire VTT 4, il décrit une courbe sur la droite et débouche sur un large chemin faisant fourche que l'on prend sur la gauche, nous trouvons un chemin et les balisages ; jaune et VTT 1-3-4 ou 13 & 4. Le balisage remonte un peu plus haut que sur la carte avant de virer sur la gauche, normalement je devrais retrouver le Gr 7 ici, mais je ne vois aucunes balises rouge et blanches. Nous longeons un ruisseau. Le balisage jaune est bien balisé, sur une petite distance ce dernier ne suit pas la trace de la carte. Nous faisons une fourche aiguë à droite. Nous longeons un ruisseau qui en mai descend en cascade sur les cailloux, passons le calvaire nous étions sur le circuit jaune de Notre Dame de Quapimont, et
débouchons sur la D 22E5, Bd de Mourcairol dans le haut de Lamalou. Nous prenons à gauche, je pensais rencontrer le Gr ici, mais rien, même pas une ancienne trace. Lamalou les bains ville thermale [Située au cœur du Parc Naturel Régional du Haut-Languedoc, la commune de Lamalou les Bains est classée Station de Tourisme depuis le 16 juillet 2014. Elle bénéficie d'une situation géographique privilégiée, à 200 mètres d'altitude, proche à la fois
de la mer, de plaines viticoles et de la moyenne montagne. La station constitue un pôle touristique majeur de par son climat et son patrimoine, que ce soit historique ou naturel.
La
ville est située au confluent du Bitoulet (9,6 km), affluent rive droite
(donc au Nord) du fleuve côtier l'Orb, et de ce même fleuve. Lamalou est la
commune la plus peuplée du canton de Saint-
Gervais-sur-Mare dont elle fait partie. Contrairement à de nombreuses stations thermales, Lamalou-les-Bains n’a pas une origine romaine. Son nom vient tout simplement du ruisseau traversant la cité qui s’appelait Malou ou Betoulet pour devenir aujourd’hui Bitoulet. En 1845, la commune de Villecelle est créée à partir des sections de Villecelle et Bardejean distraites de la commune de Mourcairol (aujourd'hui disparue, voir les Aires). La
paroisse était Saint-Pierre-de-Rhèdes, paroisse mère des églises des Aires, d'Hérépian et du Poujol. Le 9 septembre 1878, Villecelle prend le nom de Lamalou-les-Bains. De nos jours, la rééducation fonctionnelle et le thermalisme occupent une place importante dans la vie de la cité auxquels s’ajoutent le tourisme de pleine nature avec les massifs du Caroux et de l’Espinouse et les nombreuses infrastructures de loisirs, dont notamment son casino. De création récente, Lamalou-
les-Bains ne manque donc pas d’intérêt pour les amateurs de l’architecture du XIXe siècle et de la Belle Époque. En effet, depuis les grands hôtels en passant par les thermes jusqu’au théâtre et au casino, tout l’éclectisme de l’époque y est représenté. Les sources de Lamalou-les-Bains sont apparues à la suite du percement de galeries minières aux XIe et XIIe siècles. La tradition veut qu’un paysan souffrant de douleurs se soit baigné dans la mare boueuse formée par ces eaux et en ait retiré une
sédation appréciable de son mal. En 1947, la ville rachète l'établissement thermal et la « Chaîne thermale du Soleil » le reprend en 1986. La Caisse nationale de Sécurité sociale achète l'établissement thermal de Lamalou-le-Haut en 1954 et le transforme en centre de rééducation pour enfants : l’établissement thermal de Lamalou le Centre est transformé en centre de rééducation pour adultes en 1957 et prend le nom de Bourgès. Plus de 15 sources s'échelonnent le long de la faille
géologique qui traverse le vallon. Les eaux de Lamalou-les-Bains sont utilisées à l'état natif. Les eaux de Lamalou sont de type bicarbonaté calcique et sodique, ferrugineuses, riches en magnésium et en potassium et renfermant du dioxyde de carbone. http://www.lamalou-les-bains.fr/ et wikipédia] Classé ville touristique, mais ils ne sont même pas foutu d’ouvrir un magasin généraliste genre petit casino ou Lidl un lundi de Pentecôte (magasin présent dans la ville en 2018) et pourtant il
y avait du monde qui attendait. Nous arrivons au carrefour ou nous trouvons une représentation d'un temple Grec avec trois vasques ou il y coule de l'eau. (peut être à une époque pour les curistes. Suivons le balisage en franchissant le ruisseau grâce à un pont, longeons l’avenue du docteur Ménard bordé de belles maisons et de platanes, puis à gauche l’avenue Charcot, rue principale. Nous retrouvons le Gr 7 au niveau de la rue Paul cère. Je ne prends pas à droite tout de suite, continuons la rue
principale, passons devant le Théâtre et le Casino puis poursuivons jusqu’au tout petit parc, ou nous trouvons un kiosque ou l’eau devait couler à flot pour soigner les malades. Remontons la rue principale, passons devant le monument Charcot [Jean-Martin Charcot, né à Paris le et mort à Montsauche-les-Settons le , est un neurologue français, professeur d'anatomie pathologique et académicien. Découvreur de la sclérose latérale amyotrophique (SLA), une maladie neurodégénérative à laquelle son nom a été donné dans la littérature médicale francophone, il est le fondateur avec Guillaume Duchenne de la neurologie moderne et l'un des grands promoteurs de la médecine clinique, une figure du positivisme.
Ses travaux sur l'hypnose et l'hystérie, à l'origine de l'École de la Salpêtrière, ont inspiré à la fois Pierre Janet dans ses études de psychopathologie et Sigmund Freud, qui a été brièvement son élève et l'un de ses premiers traducteurs en allemand, en ce qui concerne l'invention de la psychanalyse. Wikipédia] poursuivons jusqu'à la bifurcation du Gr. Ce dernier vient du bas de la ville au lieu du haut comme nous l'indique la carte. Si vous avez été jusqu'au théâtre il faut tourner à gauche dans la rue Paul Cère.
Au premier carrefour nous pouvons aller voir l'église sur la gauche. Revenir sur le Gr et poursuivons notre grimpette. A la clinique centre de rééducation prenons à gauche. Nous sortons de Lamalou, et entrons dans une foret de pin laricio. Le chemin est cimenté nous retrouvons des pancartes du GR7. Chemin bien trop facile malgré la pente on se distraie par cette voie cimenté, et on oublie le balisage qui tournait sur la droite, je m'en rends compte un peu tard, au niveau des réservoirs d’eau et à l’endroit ou le ciment se termine, un peut avant une descente. Heureusement je trouve un petit chemin sur la droite, me permettant de rejoindre le Gr sans faire demi-tour. Si vous avez fait comme moi prenez sur la droite le chemin interdit aux VTT, lorsque l'on rencontre un large chemin nous le prenons à gauche. En premier lieu nous trouvons un
balisage jaune et nous ne nous apercevons pas tout de suite que nous sommes sur le Gr, le balisage étant distant à cet endroit. Nous débouchons sur un chemin forestier que nous prenons à droite et faisons un esse. A la cuve N° 529, ne pas prendre le sentier VTT sur la gauche. Ce secteur mériterait un meilleur balisage, mais prendre le large chemin sur la droite. Nous débouchons sur une route que nous prenons à gauche sur une centaine de mètres puis le chemin sur la droite, ici le GR est bien balisé. Nous coupons à
nouveaux la D 22 E 4 ou 180 E6, il semble que ce soit la même route qui change de N° à la Croix des Baussels, chemin tout dallé de grosses pierres. Nous arrivons de nouveau sur cette route au niveau de la croix des Baussels, à 468m d'altitude, ou sur la droite nous trouvons le Gr 787 qui est également le Jacquaire, (chemin de Fontcaude. La Fresse étant à 1,5 km) que l’on ne retrouve pas sur la carte. Traversons la route. Sur la gauche le GR 787 doit se poursuivre mais il manque la
pancarte et
le chemin n'est pas tracé sur la carte. (GR
787-Tours dans le Pays Haut Languedoc et Vignobles. 30 jours de rando 300 km,
de sentiers.) Poursuivons tout droit le GR 7 (pancarte) vers La Combes à
2km . La foret fut massacrée, sur la droite ce qui laisse apparaitre les murets soutenant les terres. Passons
une maison en ruine et on aperçoit. Le chemin est à
flanc de collines, nous traversons un bois de chênes verts et arrivons à Toreillan, village isolé à flanc de
colline, bien restauré avec un four à pain ressemblant à une petite chapelle.
Le Gr passe au dessus et ne le traverse pas. J'ai fait un détour pour aller voir le four à pain qui par chance est ouvert. Revenons sur notre tracé, on emprunte la route d'accès au village un cour instant, puis la quittons pour prendre un chemin toujours à flanc de colline et bordé d'un mur de grosses pierres.)
Nous traversons une zone de rochers et nous avons une vue sur le village. Village un peut plus grand que le précédant. Nous passons le ruisseau de la Capoulade avec une cascade en fond de vallée, ce qui nous permet de changer de versant. Le balisage est bien fait. Un brusque virage à droite, une bonne grimpette, juste avant la sortie nous prenons un chemin cimenté sur la gauche. Nous débouchons sur la route d'accès au village que nous prenons à gauche, (bêtement, je n’ai pas suivi le balisage pour voir l’église, n’ayant pas sortie la carte je pensais que le GR n’y passait pas.) Le Gr tourne dans les petites rues et passe devant l'église Nous traversons
le
village de Combes par la rue principale du bourg (D 180). Nous passons devant un lavoir mal entretenu, et à la sortie du village
nous prenons à gauche une rue menant à l'arrière des maisons étagées sur la
pente. Ne vous endormez pas sur cette belle route, le Gr tourne brusquement et en angle aigu sur la droite à la dernière
maison . Passons un chalet et des
tables, peut être une buvette. Nous débouchons sur une route que nous prenons à
gauche, et longeons une partie du parcours de santé, poursuivons se chemin bitumé.
Le balisage est bien fait. On tourne brusquement à droite en direction du ''serpent étoilé''. Nous apprendrons plus tard que c'est un circuit 4x4, que les vététistes montent en voiture le plus haut possible et descendent la pente à fond. La route fait un esse droite gauche et redevient herbeuse.
Nous arrivons dans la foret des écrivains Combattants, passons des tables, et empruntons le chemin cimenté entre des stèles et un monument central.
[Fondée en 1919, l’Association des Écrivains Combattants réunit des gens de lettres les plus éminents ayant porté les armes pour la France. Fière d’avoir eu comme membre d’honneur Sir Winston Churchill, et d’avoir compté parmi ses présidents Roland Dorgelès, Claude Farrère, Henry Malherbe, Maurice Genevoix, Jacques Chabannes, Erwan Bergot, elle s’honore que figurent parmi ses lauréats : le Père Bruckberger, le Professeur Jean Bernard, Paul Guth, Maurice Schumann, Pierre Messmer, Louis Weiss… http://www.lesecrivainscombattants.fr/
Gervais-sur-Mare dont elle fait partie. Contrairement à de nombreuses stations thermales, Lamalou-les-Bains n’a pas une origine romaine. Son nom vient tout simplement du ruisseau traversant la cité qui s’appelait Malou ou Betoulet pour devenir aujourd’hui Bitoulet. En 1845, la commune de Villecelle est créée à partir des sections de Villecelle et Bardejean distraites de la commune de Mourcairol (aujourd'hui disparue, voir les Aires). La
paroisse était Saint-Pierre-de-Rhèdes, paroisse mère des églises des Aires, d'Hérépian et du Poujol. Le 9 septembre 1878, Villecelle prend le nom de Lamalou-les-Bains. De nos jours, la rééducation fonctionnelle et le thermalisme occupent une place importante dans la vie de la cité auxquels s’ajoutent le tourisme de pleine nature avec les massifs du Caroux et de l’Espinouse et les nombreuses infrastructures de loisirs, dont notamment son casino. De création récente, Lamalou-
les-Bains ne manque donc pas d’intérêt pour les amateurs de l’architecture du XIXe siècle et de la Belle Époque. En effet, depuis les grands hôtels en passant par les thermes jusqu’au théâtre et au casino, tout l’éclectisme de l’époque y est représenté. Les sources de Lamalou-les-Bains sont apparues à la suite du percement de galeries minières aux XIe et XIIe siècles. La tradition veut qu’un paysan souffrant de douleurs se soit baigné dans la mare boueuse formée par ces eaux et en ait retiré une
sédation appréciable de son mal. En 1947, la ville rachète l'établissement thermal et la « Chaîne thermale du Soleil » le reprend en 1986. La Caisse nationale de Sécurité sociale achète l'établissement thermal de Lamalou-le-Haut en 1954 et le transforme en centre de rééducation pour enfants : l’établissement thermal de Lamalou le Centre est transformé en centre de rééducation pour adultes en 1957 et prend le nom de Bourgès. Plus de 15 sources s'échelonnent le long de la faille
géologique qui traverse le vallon. Les eaux de Lamalou-les-Bains sont utilisées à l'état natif. Les eaux de Lamalou sont de type bicarbonaté calcique et sodique, ferrugineuses, riches en magnésium et en potassium et renfermant du dioxyde de carbone. http://www.lamalou-les-bains.fr/ et wikipédia] Classé ville touristique, mais ils ne sont même pas foutu d’ouvrir un magasin généraliste genre petit casino ou Lidl un lundi de Pentecôte (magasin présent dans la ville en 2018) et pourtant il
y avait du monde qui attendait. Nous arrivons au carrefour ou nous trouvons une représentation d'un temple Grec avec trois vasques ou il y coule de l'eau. (peut être à une époque pour les curistes. Suivons le balisage en franchissant le ruisseau grâce à un pont, longeons l’avenue du docteur Ménard bordé de belles maisons et de platanes, puis à gauche l’avenue Charcot, rue principale. Nous retrouvons le Gr 7 au niveau de la rue Paul cère. Je ne prends pas à droite tout de suite, continuons la rue
principale, passons devant le Théâtre et le Casino puis poursuivons jusqu’au tout petit parc, ou nous trouvons un kiosque ou l’eau devait couler à flot pour soigner les malades. Remontons la rue principale, passons devant le monument Charcot [Jean-Martin Charcot, né à Paris le et mort à Montsauche-les-Settons le , est un neurologue français, professeur d'anatomie pathologique et académicien. Découvreur de la sclérose latérale amyotrophique (SLA), une maladie neurodégénérative à laquelle son nom a été donné dans la littérature médicale francophone, il est le fondateur avec Guillaume Duchenne de la neurologie moderne et l'un des grands promoteurs de la médecine clinique, une figure du positivisme.
Ses travaux sur l'hypnose et l'hystérie, à l'origine de l'École de la Salpêtrière, ont inspiré à la fois Pierre Janet dans ses études de psychopathologie et Sigmund Freud, qui a été brièvement son élève et l'un de ses premiers traducteurs en allemand, en ce qui concerne l'invention de la psychanalyse. Wikipédia] poursuivons jusqu'à la bifurcation du Gr. Ce dernier vient du bas de la ville au lieu du haut comme nous l'indique la carte. Si vous avez été jusqu'au théâtre il faut tourner à gauche dans la rue Paul Cère.
Au premier carrefour nous pouvons aller voir l'église sur la gauche. Revenir sur le Gr et poursuivons notre grimpette. A la clinique centre de rééducation prenons à gauche. Nous sortons de Lamalou, et entrons dans une foret de pin laricio. Le chemin est cimenté nous retrouvons des pancartes du GR7. Chemin bien trop facile malgré la pente on se distraie par cette voie cimenté, et on oublie le balisage qui tournait sur la droite, je m'en rends compte un peu tard, au niveau des réservoirs d’eau et à l’endroit ou le ciment se termine, un peut avant une descente. Heureusement je trouve un petit chemin sur la droite, me permettant de rejoindre le Gr sans faire demi-tour. Si vous avez fait comme moi prenez sur la droite le chemin interdit aux VTT, lorsque l'on rencontre un large chemin nous le prenons à gauche. En premier lieu nous trouvons un
balisage jaune et nous ne nous apercevons pas tout de suite que nous sommes sur le Gr, le balisage étant distant à cet endroit. Nous débouchons sur un chemin forestier que nous prenons à droite et faisons un esse. A la cuve N° 529, ne pas prendre le sentier VTT sur la gauche. Ce secteur mériterait un meilleur balisage, mais prendre le large chemin sur la droite. Nous débouchons sur une route que nous prenons à gauche sur une centaine de mètres puis le chemin sur la droite, ici le GR est bien balisé. Nous coupons à
nouveaux la D 22 E 4 ou 180 E6, il semble que ce soit la même route qui change de N° à la Croix des Baussels, chemin tout dallé de grosses pierres. Nous arrivons de nouveau sur cette route au niveau de la croix des Baussels, à 468m d'altitude, ou sur la droite nous trouvons le Gr 787 qui est également le Jacquaire, (chemin de Fontcaude. La Fresse étant à 1,5 km) que l’on ne retrouve pas sur la carte. Traversons la route. Sur la gauche le GR 787 doit se poursuivre mais il manque la
Toreillan |
Le Gr passe au dessus et ne le traverse pas. J'ai fait un détour pour aller voir le four à pain qui par chance est ouvert. Revenons sur notre tracé, on emprunte la route d'accès au village un cour instant, puis la quittons pour prendre un chemin toujours à flanc de colline et bordé d'un mur de grosses pierres.)
Nous traversons une zone de rochers et nous avons une vue sur le village. Village un peut plus grand que le précédant. Nous passons le ruisseau de la Capoulade avec une cascade en fond de vallée, ce qui nous permet de changer de versant. Le balisage est bien fait. Un brusque virage à droite, une bonne grimpette, juste avant la sortie nous prenons un chemin cimenté sur la gauche. Nous débouchons sur la route d'accès au village que nous prenons à gauche, (bêtement, je n’ai pas suivi le balisage pour voir l’église, n’ayant pas sortie la carte je pensais que le GR n’y passait pas.) Le Gr tourne dans les petites rues et passe devant l'église Nous traversons
Village de Combes |
Le balisage est bien fait. On tourne brusquement à droite en direction du ''serpent étoilé''. Nous apprendrons plus tard que c'est un circuit 4x4, que les vététistes montent en voiture le plus haut possible et descendent la pente à fond. La route fait un esse droite gauche et redevient herbeuse.
Nous arrivons dans la foret des écrivains Combattants, passons des tables, et empruntons le chemin cimenté entre des stèles et un monument central.
[Fondée en 1919, l’Association des Écrivains Combattants réunit des gens de lettres les plus éminents ayant porté les armes pour la France. Fière d’avoir eu comme membre d’honneur Sir Winston Churchill, et d’avoir compté parmi ses présidents Roland Dorgelès, Claude Farrère, Henry Malherbe, Maurice Genevoix, Jacques Chabannes, Erwan Bergot, elle s’honore que figurent parmi ses lauréats : le Père Bruckberger, le Professeur Jean Bernard, Paul Guth, Maurice Schumann, Pierre Messmer, Louis Weiss… http://www.lesecrivainscombattants.fr/
Le
30 septembre 2016 l’Association des écrivains combattants et Le Souvenir
Français ont inauguré des stèles rénovées dans la forêt des écrivains
combattants à Combes dans l’Hérault. Cette
forêt a été créée en 1931, une idée du président de l’Association des écrivains
combattants pour rendre hommage aux écrivains tombés pendant la Grande Guerre.
Ce lieu dans
l’Hérault a été choisi en raison des inondations catastrophiques l’année
précédente dues au déboisement de la région. Pour empêcher que de tels dégâts
se reproduisent, l’association a lancé ce projet de souvenir.
Le projet a été
monté par l’écrivain combattant Emmanuel Bourcier et Francisque Lacarelle, un
pépiniériste a offert 10 000 cèdres à l’Association en souvenir de son camarade
Pierre Rey, écrivain combattant tué durant le conflit.
Le Touring Club a
ensuite entouré la forêt de 150 hectares de cèdres et Les Eaux et Forêts ont
planté 100 hectares de cèdres et pins en 1931.
La Forêt des
écrivains combattants est devenue dès lors le symbole du reboisement de la
France.
En 1938, une
deuxième inauguration a accompagné l’installation d’une table de six mètres de
circonférence en forme de Croix de guerre réalisée par Paul Moreau-Vauthier.
Des allées portant les noms d’écrivains combattants furent également inaugurées
à cette occasion. Au total, la forêt porte la mémoire des 560 écrivains
combattants Morts pour la France en 1914-1918 ainsi que celle des écrivains de
la Seconde Guerre mondiale. Parmi eux figurent Charles Péguy, Alain Fournier et
Antoine de Saint Exupéry. Des écrivains étrangers sont également représentés,
notamment les poètes Alain Seeger (Etats-Unis) et John McCrae (Canada).
En 1952, l’association des écrivains combattants a cédé la forêt à l’Etat qui assure sa gestion grâce à l’Office National des Forêt (ONF).
Avec le temps, les
stèles portant les noms des écrivains combattants se sont dégradées, plusieurs
n’étaient plus lisibles.
En 2010, l’ONF a
lancé une campagne de revalorisation du site. La rénovation de 65 stèles
cofinancée par Le Souvenir Français s’inscrit dans cette politique. http://le-souvenir-francais.fr/non-classe/la-foret-des-ecrivains-combattants/]
Nous traversons ce site qui me fait penser à ce que j’ai vu du coté de Verdun, de l'autre côté nous prenons sur la gauche un chemin bitumé, puis sur la droite un chemin sous les pins et nous trouvons une information ; La Fage est à 1h10. Nous arrivons à la montagne de Conil ou nous avons un beau point de vue. Laissons le chemin forestier et poursuivons la trace du GR, nous débouchons sur une allée forestière que nous prenons à droite (parcelle 7 & 8) au niveau de la citerne réserve d’eau 279, le chemin fait fourche et nous prenons à gauche. On nous dit
que le hameau de La Fange est à 3km et que le refuge des fond Salesse est à 7 km (il serait dommage de penser que l'on aurait pu pousser jusque là. Vous verrez pourquoi dans la prochaine étape.) Traversons le ruisseau de Madale, nous sortons de la foret et grimpons vers un plateau. Nous trouvons un peu plus haut sur la route menant au village portant le même nom que le ruisseau un poteau d'information, nous sommes à 681 m. Laissons le village sur la gauche, nous poursuivons en direction de La Fage est de Douch (à Douch, il y a un gîte communale mais me semble t'il pas de commerces). On coupe également le GRP qui n'existe pas sur la carte. Au niveau d'un cairn, Le chemin débouche sur un autre formant Té nous prenons à droite, et retrouvons un balisage jaune.
Nous traversons ce site qui me fait penser à ce que j’ai vu du coté de Verdun, de l'autre côté nous prenons sur la gauche un chemin bitumé, puis sur la droite un chemin sous les pins et nous trouvons une information ; La Fage est à 1h10. Nous arrivons à la montagne de Conil ou nous avons un beau point de vue. Laissons le chemin forestier et poursuivons la trace du GR, nous débouchons sur une allée forestière que nous prenons à droite (parcelle 7 & 8) au niveau de la citerne réserve d’eau 279, le chemin fait fourche et nous prenons à gauche. On nous dit
que le hameau de La Fange est à 3km et que le refuge des fond Salesse est à 7 km (il serait dommage de penser que l'on aurait pu pousser jusque là. Vous verrez pourquoi dans la prochaine étape.) Traversons le ruisseau de Madale, nous sortons de la foret et grimpons vers un plateau. Nous trouvons un peu plus haut sur la route menant au village portant le même nom que le ruisseau un poteau d'information, nous sommes à 681 m. Laissons le village sur la gauche, nous poursuivons en direction de La Fage est de Douch (à Douch, il y a un gîte communale mais me semble t'il pas de commerces). On coupe également le GRP qui n'existe pas sur la carte. Au niveau d'un cairn, Le chemin débouche sur un autre formant Té nous prenons à droite, et retrouvons un balisage jaune.
Nous débouchons sur un parking. Le GR tourne sur la gauche, emprunte une route fermé par une barrière. Voie Privée desservant quelques maisons. Heureusement que nous avons le GR et un balisage jaune nous indiquant que nous pouvons passer, ainsi que la pancarte Gîte à 300 m les autres écriteaux nous inviteraient à faire demi tour. Nous arrivons au gîte d’étape de La Fage.
Abandonnée pendant un bon moment les touristes, chasseurs, pêcheurs et Trekkeurs avaient pris certaines habitudes que le nouveau propriétaire essaye de réguler à grand coups de panneaux, et de clôtures électriques. Ce n'est pas trop avenant pour un site très touristique. Son gîte et sur le chemin des gorges de Colombières, drainant durant la saison beaucoup de personnes et beaucoup de débordements. Le dortoir n’est pas prêt...
Arrivée au Gîte de La Fage |
Le Gîte vue du sentier de Combières |
Le petit plus de cette rando les gorges de Colombières
Pour retrouver toute mes randos itinérantes
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
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