mercredi 2 mai 2018

Randonée en Essonne 5 -Mondeville - Soisy sur Ecole

Retour de lEssonne vers Fontainebleau

L’étape 15 terminait notre itinéraire officiel sur le GR 111. Mes pérégrinations autour de cette demie boucle entre Milly et Saint Michel sur Orge mon fait découvrir une partie du département de l'Essonne que je ne connaissais pas. LEssonne se résumait à mes yeux, aux grands ensembles de Massy-Palaiseau-Evry-Corbeil, ou à dhideux pavillons de banlieues. Jai découvert des champs, des parcs et des balisages locaux bien entretenus, bien balisés dont la Seine et Marne pourrait prendre exemple, et ce qui est rare, nous retrouvons le tracés des balisages locaux sur la carte.
Ma première idée était de revenir sur Fontainebleau en ligne direct, d’où cette balade de Saint Michel sur Orge à d'Etrechy. Je ne voulais pas utiliser, ou le moins possible les GR 1 -  11 & 32 que nous avions déjà fait et en empruntant un maximum de sentiers locaux.
Au fur et a mesure de mes pérégrinations, je me suis rendu compte que je ne rentrais pas en ligne direct sur Fontainebleau mais que je faisais des boucles remplissant le demi cercle constitué par le GR 111. Ce qui devait avoir pour titre Retour vers Fontainebleau et comporter des numéros de 16 à 20 se transforme en Randonnée en Essonne.
  
En Bleu le GR 111
En Rouge touchant le bleu les branches du GR 111 A,B,C & D  et celui que j'ai appelé pompeusement "E" afin de relier la gare de Fontainebleau à Milly
Les circuits en autre couleur sont mes randonnées en Essonne.

Carte, Randonnée N°5 : Mondeville - Soisy sur Ecole
 

Carte IGN    Trace GPX & Topo sans Commentaires  Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b311190 
 
 Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Avril 2017, Randonnée en Essonne N°5 :

Mondeville – Soisy sur Ecole

Le départ se fait de Mondeville. Nous trouvons de la place face à l’église.

KM     Temps     Arret     V/d     V/g     Dénivelé
 31        6h00        0h30      5,2      4,8      452 +

L’une des plus belle rando de ce retour .

Le départ se fait à Mondeville, comme la promenade précédente on trouve à ce garer sur la petite place du village face à l’église.

Nous prenons la D 153 en direction de Chevanne et Champcueil. Nous sortons du village et à la croix Blanche (carrefour en forme d’Y avec une maison isolé au milieu.) Nous prenons la route de droite en direction de Noisement et Champcueil. Nous prenons le chemin sur la droite à la cote ‘’151’’ (deuxième chemin d’après la carte. Au retour j’ai été surpris, certain chemin sont passé sous le socle de la charrue.) Nous coupons un chemin et au carrefour nous poursuivons tout droit en réalité le chemin s’incline sur la gauche et l’on s’approche de la foret départementale des Grands Avaux, le chemin descend légèrement, nous arrivons à un "Y" laissons le chemin de Noise partir dans les champs sur la gauche, poursuivons tout droit dans le
bois, la pente est beaucoup plus prononcée (nous trouvons un balisage orange. Le chemin est profondément ancré dans la Vallée de Chenevière, laissons le chemin de gauche, poursuivons notre descente, longeons une clôture. Nous entrons dans le village de Beauvais par la rue de la Vallée après les premières maisons nous prenons à gauche le chemin de la messe, quittons le balisage orange pour suivre le GR11 on se dirige vers Mondreville et grimpons de nouveau dans les bois des Grands Avaux. Cette rue sans issus se termine par un chemin nous faisant grimper sur la platière du Télégraphe et surprise … Nous sommes à

Fontainebleau du coté de Coquibus vers la mare aux joncs. Rochers, anciennes carrières, sable et bruyère, poursuivons le GR et un balisage bleu. Nous sommes sur le GR 11 que nous suivons jusqu'à la tour du Buisson [Récemment restaurée, la tour du Buisson est située sur les terres d’un domaine appartenant en 1824 à Antoine Louis BRÉGUET, horloger notamment célèbre pour ses 
montres. En 1847, il échoit à la fille de ce dernier, qui épouse le docteur LIONET, passionné d’astronomie. Cette tour a peut-être été construite pour servir d’observatoire.]
 

Après la tour de nous quittons le balisage bleu et Poursuivons le GR  par la large route en stabilisée. A la fourche en forme d'Y quittons le GR, nous retrouvons un balisage bleu que nous prenons sur la droite nous descendons une ancienne route bitumée. Grace à un panneaux en forme d'étoile nous savons que nous sommes sur la route du Buisson bordée de beaux épicéas, nous arrivons au porte de Champcueil [Aux limites du Hurepoix, de la Beauce et du Gâtinais, l’ancien
Chancolia est aujourd’hui un village du Parc Naturel Régional du Gâtinais français. Le territoire compte 1635 hectares et a une altitude moyenne de 80m. Il comprend le village (dit Le Bourg), deux hameaux : Beauvais et Loutteville, les fermes de Malvoisine, Noisement et des Montcelets (aujourd’hui ateliers municipaux) ainsi que l’hôpital Georges Clemenceau et ses abords. Champcueil est également traversé par l’aqueduc de la Vanne qui fournit l’eau de Paris. L’aqueduc de la Vanne, du Loing et du Lunain fut construit de 1867 à 1874 et mesure 173 km de longueur. La rivière captée nait à l’ouest de Troyes. Ses eaux qui alimentent une partie de Paris s’y acheminent par simple gravité et passent sous la colline à environ 60 m sous terre.]
[Comme à Coquibus le bois des Grands Avaux possèdent ses 100 marches, cheminement du village au bois, permettent d’accéder à l’aqueduc.
Le village est aussi doté d’un espace naturel protégé : la forêt départementale des Grands Avaux. Situées entre la Tour du Buisson et le télégraphe, elles sont classées « Espace Naturel Sensible » en raison de l’intérêt botanique du lieu. La mare permanente est située à son extrémité 

Ouest.
Autrefois le propriétaire avait obligation de souffrir que les habitants de Loutteville, Beauvais, Champcueil et autres communes avoisinantes viennent y laver leur linge et mènent boire leurs bestiaux. ..] Nous arrivons au parking, après les panneaux d'informations "balades entre Brie et Gâtinais nous trouvons sur la droite un sentier que nous prenons (balisage bleu) évitant la ville plusieurs virages à angles aigus nous font changer de direction, la 
balisage étant mieux fait qu’à Fontainebleau cela ne pose pas trop de problèmes (balisage face à nous et bien positionné).  Le balisage vient d'être refait (c'est un ancien jaune) dommage ils n'ont pas réutilisés, les entailles dans les arbres qu'ils avaient réalisés pour les précédentes. A moins que le jaune soit en cours de réfection. Nous arrivons à un carrefour, ou l'on cherche un peu son chemin nous devons poursuivre tout droit dans les ronces et les orties. Ici c'est le randonneur qui à marqué le 
chemin, nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à gauche. Nous arrivons devant un espace en bordure de route pouvant servir de parking, nous prenons le chemin de droite puis tout de suite à gauche (attention nous avons une branche du sentier bleu sur la droite remontant vers la platière.) Longeons la route sur la droite en empruntant la belle piste cyclable Longeons les parkings toujours balisage bleu, passons la chaumière du Télégraphe.[ Du télégraphe Chappe, seules
subsistent des ruines. Les pans de murs encore visibles formaient la base d’une tour quadrangulaire de 5,50 mètres de hauteur. Le système de télégraphe aérien de Chappe, dont l’installation débute en 1793, constitue alors le premier système de télégraphie et reste en usage jusqu’au milieu du XIXe siècle. L’établissement de la 1ère ligne télégraphique entre Paris et Lille est terminé en 1794. Celle de Champcueil, placée sur la ligne Paris – Lyon, est en service de 1805 à 1850.
http://www.champcueil.fr/la-commune/il-etait-une-fois-champcueil] dommage mon itinéraire ne me fait pas voir cela à moins que ce soit derrière le restaurant. [j'me fais une petite pub j'ai développé son fonctionnement dans l'article sur les Trois Pignons https://randosacaudos.blogspot.fr/2015/07/50-petite-promenade-en-foret-de.html ]Vraiment l’Essonne me surprend. Face à la chaumière nous prenons sur la gauche le chemin descend, attention nous trouvons plusieurs balisages bleu. Ici nous 
sommes vraiment à Fontainebleau, sable, rochers, chêne tortueux, pins, circuits d'escalade. La foret des Grands Avaux me surprend c’est Fontainebleau en petit et en mieux, des pins, du sable, des rochers et un sous BOIS PROPRE pas de ronces, pas d’orties ou peu , pas de troncs d’arbres ou de branches aux sol, ou peu. Ouah, c’est la foret de Bleau que j’ai connu dans ma jeunesse.[Forêt départementale des Grands Avaux ;
En parcourant les sentiers de ce vaste massif boisé, c’est un sentiment d’évasion et de liberté qui se dégage. Ces 182 hectares d’arbres et de roches, qui se dressent en bordure de la plaine de Champcueil, étonnent le 
promeneur et interpellent ses sens : les points de vue offrent de fantastiques panoramas, et les chaos de grès des paysages pittoresques. Différents vestiges racontent l’histoire du massif : les ruines d’un ancien télégraphe, la tour du Buisson, un menhir et d’anciennes carrières de grès témoignent du riche passé de cet Espace Naturel Sensible. Cette forêt, inscrite
pour partie au réseau européen Natura 2000, est aussi un remarquable réservoir de biodiversité qui abrite une faune et une 
flore exceptionnelle : la succession de milieux ouverts et de vasques gréseuses favorise en effet le développement d’espèces rares et protégées, qui font des Grands Avaux, une forêt à découvrir mais également à respecter...
Superficie :
182 hectares (massif du Duc à l’Est : 74 ha - massif du Buisson
A l’Ouest : 108 ha)
Topographie / géologie : 80 à 140 m d'altitude. Formations géologiques de l'ère tertiaire. Sables et grès de Fontainebleau, calcaire de Beauce.  

 http://www.essonne.fr/fileadmin/patrimoine_naturel/sites-naturels/Champcueil-Foret_des_Grands-Avaux.pdf] Comme quoi il est possible malgré les certifications d’avoir une belle foret. Fontainebleau ferait bien de prendre exemple, le simple promeneur commence à se poser des questions lorsqu’il n’arrive plus à emprunter des chemins encombrés de fougères, de ronces, de raisins d’Amérique, d’orties.  Attention plusieurs virages à angle

droit. Après la zone rocheuse le balisage bleu tourne sur la droite (nous ne poursuivons pas dans la zone sans rochers.

Nous remontons dans les rochers (attention je ne suis pas sur que vous retrouviez votre localisation exacte sur la carte j'espère que mon topo vous y aidera. Le balisage étant très bien fait il n'y a aucun problèmes.) Nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à gauche. Nous arrivons dans une petite clairière entouré de rochers devant être un

 ancien parking nous prenons à droite (toujours balisage bleu). Au trois Frères... Châtaignier à trois branches nous prenons à droite et grimpons dans les rochers. J'ai perdu le balisage bleu dans les rochers, grâce à mon GPS je le retrouve en serpentant entre les rochers. Nous descendons vers un parking et l'on prend à droite. Nous arrivons à une 

      

petite clairière nous prenons à droite (balisage bleu). Au gros pin reposant sur un rocher le sentier tourne complétement à gauche et l'on a l'impression de revenir sur nos pas, après quelques circonvolutions nous grimpons dans les rochers, sur la gauche nous apercevons une petite clairière dans le sable avec un formidable rocher incliné. (Denecourt l’aurait appelé la glissade ou le toboggan du diable ou de gargantua).  A cet endroit nous devons quitter le balisage bleu et rencontrer le GR 11 provenant de la gauche, et faisant un angle aigu. le balisage n’est pas très visible et l’on se rend conte que nous sommes sur le GR lorsque nous sommes sur la platière en direction de Beauvais ce qui n'est pas notre chemin. Si vous avez loupé le GR sur la gauche dès que vous apercevez ce rocher prenez  les nombreux sentiers entre les rochers pour ce retrouver au pied de cette glissoire. La branche du GR que nous devons prendre ce trouve au pied. Rapidement nous sommes au pied du chaos rocheux de nombreux chemins ou fausses piste se rassembles dans le bois le chemin est un peu moins bien balisé et il faut 

faire attention aux marques. Le chemin fait fourche on prend sur la gauche. Nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à gauche. Nous coupons la D 948 poursuivons en face le GR 11, nous nous dirigeons vers 

Dannemois. Nous abandonnons le GR au premier carrefour  et prenons le chemin de droite, (c'est un raccourci. Si vous continuez le GR ce n'est pas grave vous retrouverez la trace un peu plus loin.) Nous passons plusieurs carrefour ou nous poursuivons tout droit nous sortons de la foret pour suivre un chemin plus ou moins facile entre bois et champs. Le chemin n’étant pas très bien entretenu et n’ayant pas beaucoup de passage l’agriculteur à planté un peu prêt des ronces ou des épineux. (Si l’on continu le GR on à pas ce problème et l’on se retrouve au même endroit.) Si vous avez suivi ma trace le chemin à été dévié, il ne passe pas dans le bois mais longe le champ. Pour retrouver le GR il faut prendre à gauche lorque l'on débouche sur le chemin. Au carrefour on rencontre le balisage que l’on prend à droite. (A ce carrefour il y a un piano et d’autres encombrants on constate l’amorce  du chemin qui se perd dans un entrelacs de branches basses.) Nous 

avons trois virages aigus, l’un à droite l’autre à gauche le dernier à droite. Nous sommes sur le GR et dans des bois soit privés ou communaux, de petites parcelles possèdent des cabanons, caravanes, voir au mieux de petites maisons en bois ou en préfabriquées. Cela semble abandonné. Le chemin forme Té nous prenons à gauche, toujours GR et balisage jaune. Nous nous dirigeons vers le tertre blanc. La carte est fausse le 

GR ne passe plus au sommet afin d’éviter le ravinement. A 135m on avait une vue sur les alentours, village, vallée boisée et au fond l’autoroute... La grimpette et la descente était dur, la vue n'est pas transcendante. On y monte plus par respect de la nature, hors mis l’effort physique on y manque rien. Le Tertre blanc n'est plus blanc car devenue boisé. [Les Soiséens connaissent bien le Tertre Blanc (135 m) et son voisin le Tertre 

Noir (138 m), les deux buttes de sable de Fontainebleau qui dominent notre village d’une soixantaine de mètres. Le panorama au sommet du Tertre Blanc est souvent un but de balade sympathique qui offre un coup d’oeil pittoresque sur la vallée de l’Ecole et les forêts avoisinantes . ce patrimoine naturel de 35 hectares environ.

Description technique du Tertre Blanc.


Le Tertre Blanc est une butte de sable siliceux de Fontainebleau couronnée de calcaire d’Etampes, formation géologique datant de 35 millions d’années, période durant laquelle la mer stampienne recouvrait notre région.
Avec le temps et les multiples mouvements de terrain, le Tertre Blanc est devenu une petite colline recouverte d’une végétation faite de landes sableuses et sablo-calcaires, assez densément 

boisées malgré le peu d’eau (bois clair xérophile). La lande acide à bruyères était autrefois une formation maintenue assez basse par la dent du lapin.
Les photos anciennes nous montrent une butte dégagée de végétation , d’où le nom de « Tertre Blanc ». Une sablière était exploitée et le sable y était prélevé régulièrement.
Aujourd’hui, on constate une fermeture naturelle quasi complète du milieu, faute d’exploitation pastorale et d’entretien forestier.

L’érosion des sols pauvres et donc fragiles est accrue par de multiples cheminements tracés par les promeneurs, les cavaliers, les vététistes et les engins motorisés (motos et quads). http://vivreasoisy.free.fr/le_tertre_blanc.html]

      
      
 Il fut donc blanc un jour aujourd’hui couvert de pins comme le tertre noir, il a perdu un peu de sont intérêt touristique les racines maintienne le sable mais la bruyère à pratiquement disparue. Nous débouchons sur un chemin formant Té que l’on prend à gauche nous contournons le tertre noir. Proche de l’orée du bois nous quittons le GR qui tourne à droite et poursuivons le chemin et le balisage jaune, sortons du bois et poursuivons dans les champs par le chemin de Beauvais nous arrivons à soisy sur école [Soisy- 
sur-École, jusqu'au XIe siècle, semble marquer une frontière avancée des possessions de la puissante Maison des comtes d'Anjou, qui va donner à l'Angleterre le rois Plantagenêts. En effet le Gâtinais, dont les limites ont d'ailleurs varié au fil du temps, dépendait des Comtes d'Anjou, sur qui les rois de France n'avaient qu'une suzeraineté très nominale.] et débouchons dans la rue appelé chemin de l’ancien tacot, [Le chemin de fer.
Dès 1866, la commune est informée du début des études pour le chemin de fer de Malesherbes à Melun, en passant par  Milly-la-Forêt. Un embranchement est prévu vers Corbeil-Essonnes et un prolongement vers Meaux. Ce Chemin de fer est destiné à relier transversalement trois grandes lignes en cours de construction : Paris-Orléans, Paris-Bourbonnais et Paris-Lyon.
Le conseil municipal rappelle alors les avantages qui en résulteraient pour Soisy-sur-École et pour les 22 usines situées sur le cours de l'École, ou à proximité, entre Milly-la-Forêt et son embouchure, et demande des détails sur le tracé prévu. En 1870, on constate que ce projet n'a pas abouti et qu'un second projet est étudié, qui relierait  Chartres à  Étampes, puis Étampes à La Ferté-Alais, Dannemois, Courances puis la vallée de l'École vers Melun. Le conseil émet alors le vœu que ce tracé soit modifié et passe par Milly-la-Forêt, Moigny-sur-École, Courances, Dannemois, Soisy-sur-École, Saint-Germain-sur-École, etc...
En août 1873, le conseil municipal confirme son intérêt pour une ligne reliant Milly-la-Forêt à Melun et demande qu'une station soit prévue à Saint-Germain-sur-École...
En mars 1879, il constate que ce projet, de Chartres à Melun, a progressé. Il souligne l'avantage qui en résulterait pour le commerce de Soisy-sur-École vers Paris et cite par exemple l'expédition annuelle de 2000 quintaux de fruits rouges d'une valeur de 40000 à 50000 francs, ou celle de 100000 francs de produits de carrières de grès qui doivent être transportés par la route sur 16 Km, afin d'atteindre la Seine où ils sont chargés sur des chalands. Il mentionne aussi plusieurs marchands de vin en gros, qui importent et exportent chaque année environ 3000 hectolitres de vin. Pour favoriser ce projet, en juin 1881 le conseil offre d'acquérir à sa charge les terrains nécessaires situés sur la commune, toujours à condition que le tracé suive la rive droite de l'École... Mais il ne se passe pas grand chose.
En juillet 1889, on ne parle plus d'un chemin de fer mais d'un Tramway  Magny-en-Vexin à Boissy-Saint-Léger. Le conseil vote le principe d'une subvention de 1000 francs par an pendant 10 ans à condition que le tracé convienne à la commune. Deux mois plus tard, cette subvention est portée à 500 francs pendant 50 ans à condition que le tracé relie notamment Milly-la-Forêt à Corbeil, en passant par Soisy-sur-École... Finalement Le Chemin de Fer de Grande Banlieue CGB est créé et 4 lignes sont mises en chantier, de Corbeil à Milly-la-Forêt, d'Étampes à Maisse, de Bouville à La Ferté-Alais et de Arpajon à Étampes.
Parallèlement un autre projet se réalise, celui du Tramway Sud de Seine et Marne, dit tacot de Barbizon, reliant Corbeil à Melun par Perthes. Pour la ligne qui nous intéresse, des travaux préliminaires commencent en 1900.
Ce Chemin de fer à voie étroite, surnommé le Tacot, fut finalement ouvert le 8 juin 1912. C'était trop tard : après un bon succès initial, le trafic commencera à diminuer dès le lendemain de la Grande Guerre, du fait du développement des transports routiers motorisés. Un peu relancé pendant la seconde guerre mondiale, il sera définitivement interrompu le 1er juillet 1949. La voie sera finalement déclassée le 6 avril 1951. https://fr.geneawiki.com/index.php/91599_-_Soisy-sur-%C3%89cole]
poursuivons en face et débouchons rue de Saint Spire que l’on prend à droite. Entre des maisons nous trouvons un sentier intra muros que nous prenons à gauche. J’espère qu’il restera entretenu… C’est la sent de la Josles. Nous découvrons de petits jardins, soit d’agrément, soit en culture. Il fait un esse entre des clôtures et débouche dans une prairie intérieure ou le chemin disparaît plus ou moins, j’ai eu la chance que les propriétaires ayant des accès de ce coté on fauché un passage pour rejoindre l’entrelacs de sentiers entre les jardins et maison entourant cette prairie. Normalement nous prenions la sent du jardin à Gosse mais je pense que cette sente restera perdu sans un gros entretien, il faudrait couper les branches d’arbres empiétant sur le chemin. Nous retrouvons la sent des ruelles que nous prenons à gauche (Une chance à droite le chemin est bordé d’orties… ) Nous débouchons rue de la croix Bussière que nous prenons à droite, au carrefour nous continuons tout droit par la rue de l’église,  
[Son église Saint-Aignan est datée du Xe siècle. Elle a été restaurée dans les années 1980. Ses vitraux aux couleurs chaudes rendent le lieu spirituel et chaleureux et puis Le presbytère est une bâtisse aux couleurs chatoyantes que l'on a du mal a dater. La façade d'inspiration baroque s'orne de jaune, de bleu, d'ocre et des moulages de coquillage accompagnent les montants des fenêtres et des portes.]
la rue de Montaquoy ou nous retrouvons un balisage jaune (nous l'avions un peu perdu dans le centre de Soisy.) Nous quittons le village pour ses faubourg et la grosse ferme portant le même nom que la rue. [Soisy-sur-École est bordé de petites fermes. Montaquoi est situé sur une butte c'est un petit hameau dans le village même. Composé d'un grand corps de ferme et de maisons adjacentes, il représente un espace hors du temps sauvegardé et apprécié des productions télévisuelles qui l'ont déjà choisi comme toile de fond. wikipédia] [La ferme de Montaquoy, (était un Fief avant le XVIIIe siècle,) semble être la ferme la plus importante de la région. Les fermiers en possédaient La charge de père en fils. La famille legendre, propriétaire des lieux, avait souvent un de ses membres élu comme maire à la tête de la Commune
de Soisy-sur-École. Monsieur Loste, qui fut également maire, reprit la ferme entre 1918 et 1939 et y fit faire d'importants travaux. Dont un porche-château d'eau imposant] Je pense que c’est plutôt l’inverse la rue porte le même nom que cette ferme imposante.  Poursuivons la route, après le calvaire nous prenons le chemin de gauche. Nous sommes sur le balisage jaune. Ne vous laissez pas entrainer par ce chemin menant à une ferme, nous prenons le 
premier chemin sur la gauche et l’on se dirige vers le moulin neuf. Nous débouchons sur une route face au moulin. Enfin en 2017 il devrait s’appeler le moulin en ruine ou presque, lors de mon passage il était en réfection. Il y a du bouleau. Prenons la rue de gauche on à une petite vue sur la rivière l’école [Elle prend sa source non loin du Vaudoué. Elle se jette dans la Seine à Ponthierry après un parcours de 26,7 km wikipédia] Tout de suite au moulin nous prenons à droite contournons le bâtiment passons la rivière ce qui nous donne une vue sur le moulin et sa roue en ruine, poursuivons le chemin et le balisage nous débouchons sur un chemin formant Té quittons le balisage partant à gauche
et prenons à droite. A la station d’épuration nous débouchons sur une route (rue des plantes ou des près) que nous poursuivons tout droit, prenons la première rue à droite (rue du Gué) passons l’école et prenons la rue du moulin à gauche. Nous sommes à Danemois  village ou est enterré Claude François [Ce petit village du sud du département à la frontière avec la Seine-et-Marne, situé au cœur du parc naturel régional du Gâtinais français dans la vallée de l’École fut au XIXe siècle un site important d’extraction du grès. Dans les années 1960, il connaît son heure de gloire lorsque Claude François décide de faire de la propriété comportant le moulin communal sa résidence secondaire. Le petit cimetière du village accueille aujourd’hui entre autres la tombe du chanteur.
Wikipédia] Nous prenons juste avant le musée (ancienne résidence du chanteur)  la rue des meuniers sur la droite (si vous désirez vous rendre au cimetière pour voir la tombe de l’Idole des années 60 & 70, poursuivez la rue du moulin puis à droite la rue de l’église et à droite la rue es Francs Tireurs. [On ne risque pas d’ignorer la tombe de Claude FRANÇOIS (1939-1978) : sa statue se détache nettement dans la partie droite du cimetière et sa tombe est particulièrement fleurie. De plus, il est fort à parier que des fans s’y recueillent : c’est par bus entier que ceux-ci se rendent sur sa tombe, particulièrement à l’approche de 

l’anniversaire de sa mort. Bien que mort à Paris dans des circonstances connues, c’est dans le petit cimetière de Danemois, où il possédait un moulin, qu’il fut inhumé. Aujourd’hui, la commune est un véritable mémorial pour tous les admirateurs de l’artiste. pour beaucoup, c’est un lieu de pèlerinage annuel. Sur sa tombe se trouve également le buste de sa mère. Ce cimetière est devenu un lieu de pèlerinage, tout comme le moulin où vivait l’artiste qui a été transformé en musée. La semaine dernière, près de 200 fans étaient venus rendre hommage à leur idole, décédé le 11 mars 1978. https://www.landrucimetieres.fr/spip/spip.php?article353Pour retrouver  la trace poursuivez la rue jusqu'à la D 948 ou nous trouvons une piste cyclable (sur la carte) que nous prenons à droite juqu’à l’aqueduc de la vanne en sous terrain que l’on prend à gauche.) Dans la rue du moulin nous coupons l’aqueduc de la vanne en sous terrain. On peut prendre à droite en longeant le bâtiment technique de l'aqueduc et nous le suivons cela coupe le détour par la rues des meuniers. Revenons à notre trace et à la rue des meuniers qui grimpe un peut avant de sortir du village. Nous trouvons le chemin de la bonde à droite le long de la dernière maison (en 2017), c’est le Gr 11 nous arrivons dans un espace plus ou moins bien entretenue entre des bornes c’est l’aqueduc de la vanne que nous suivons à gauche toujours le GR [Les aqueducs de la Vanne et du Loing sont deux aqueducs qui acheminent de l’eau potable vers Paris depuis des sources situées en Bourgogne et en Île-de-France jusqu’aux réservoirs de Paris. Ces aqueducs portent le nom des sources des rivières qui les alimentent : la Vanne, un affluent de l’Yonne, et le Loing, un affluent de la Seine.
D’une longueur de 156 km, l’aqueduc de la Vanne, dont la construction a commencé en 1866 et s’est achevée en 1874, est l’œuvre de l’ingénieur Eugène Belgrand qui l’a conçu à la demande du baron 

Haussmann qui souhaitait faire venir l’eau potable de sites éloignés de Paris afin de garantir une alimentation en eau de qualité avec un débit régulier. Construit entre 1897 et 1900 en complément de l’aqueduc de la Vanne, dont il suit le parcours depuis la Forêt de Fontainebleau jusqu’à Paris, l'aqueduc du Loing a une longueur totale moindre : 95 km, mais son débit est plus puissant car son diamètre est plus large et, de plus, il reçoit les eaux de deux aqueducs secondaires : celui de la Voulzie et celui du Lunain.
Les aqueducs de la Vanne et du Loing, ainsi que les aqueducs 
secondaires, sont entièrement gérés par Eau de Paris, qui est la régie municipale chargée de la production et de la distribution de l’eau dans la capitale. Wikipédia mettre adresse blog voir petite promenade N°30] A la D 948 nous quittons le GR et poursuivons tout droit le balisage jaune vers Beauvais, nous entrons de nouveau dans la foret nous suivons toujours l’aqueduc que nous reconnaissons par ses bornes VP (Ville de Paris) et les constructions permettant de visiter les installations. Coupons la D 83 et grimpons de nouveau en foret attention le balisage et le chemin est plutôt sur la gauche (à droite c'est une propriété) nous retrouvons des rochers. Nous trouvons des escaliers en grès comme à Coquibus et les cent et quelques marches [http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/03/41-petite-promenade-en-foret-de.html au sommet un rocher en forme de bilboquet 
comme à Fontainebleau à franchard. Nous étions sur un balisage orange que l'on quitte pour suivre le jaune en direction de Beauvais. Nous longeons des cabanons servant les week-end. Nous longeons des clôtures, le balisage jaune se divise en deux, nous prenons la variante sur la droite. encore un peu de rochers dans cette zone de foret. Ne vous laissez pas embarquer par le chemin nous sommes à une intersection de balisage jaune nous prenons à gauche la variante du balisage jaune 02. Ne pas louper le virage à angle aigu sur la gauche le chemin monte et débouche sur une 
route menant au Hameau de la Padôle que nous prenons à gauche (La carte est fausse certain chemin dans les champs sont passés sous le socle de la charrue) nous débouchons sur une autre route que nous prenons à droite et suivons jusquà Mondeville. (Si la route vous gêne, il est possible lorsque vous êtes sur la route entre la Padôle et Mondeville de prendre face à la ferme isolée le chemin sur la droite, jusqu'à la rencontre du carrefour (cote 151)  prenons à gauche c'est notre chemin du départ. Je n’en ai pas eu le courage et j’ai suivi la route jusqu’au village.)
 

 Vous trouverez la carte de mes randos de la journée à l'adresse suivante. 
Toute mes randos de la journée
 Beaucoup de couleur et pas très clair en foret de Fontainebleau. Je n'ai pas voulu surcharger les traces lorsque je passe plusieurs fois au même endroit. 
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