Son but, décrire les difficultés, l'histoire du lieu que je traverse. les temps & la vitesse. Des photos. 3 types de randos. 1) la familiale, 9 à 12 km la 1/2 journée. 2) La Randonnée d’une journée (20 à 30 km) en boucle, ou de gare en gare. 3) L'itinérante de 5 jours. Une carte aérienne de présentation. L'accès à une carte IGN. L'accès à la trace GPS et au topo sans commentaires. La possibilité de copier la trace sur votre mobile. Bonne Promenade
A l'origine cette balade faisait partie du groupe de promenade appelé GR 111 de Milly à Saint Michel sur Orge. Avec comme départ la gare de Fontainebleau. Déjà le titre ne collait pas. Pour rejoindre Milly il utilisait le GR 111E. Aujourd'hui les GR 111 doivent être supprimés et remplacés par plusieurs boucles.
Je profite d'une mise à jour du blog pour modifier mes articles.
Les quatre promenades hors de l'Essonne rejoigne le groupe de promenade de la Foret de Fontainebleau. Les 13 promenades du GR 111 conserverons leurs titres, et il sera ajouté 7 promenades portant comme titre ; Promenades en Essonne
Trace Ranogps Le code mobile de cette randonnée est b176416
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Carte VisoRando Cliquez sur le
rectangle à coté du numéro
Le départ se
trouve à la gare de Fontainebleau, si vous venez de Paris en train. sortir et remontez la
rue d’accès au parking des bus. Traversez la rue et le pont pour longer la
ligne de chemin de fer et la maison forestière de la porte aux vaches.
Pour ceux venant de Montereau en train. Sortir de la gare se
diriger vers le café et gravir les escaliers. Traverser la rue et le pont pour
longer la ligne de chemin de fer et la maison forestière de la porte
aux vaches. Suivons la route bitumée de Gaston Bonnier. Nous prenons le premier chemin sur la gauche,
Fontaine Dorly
route Baudrillard qui grimpe vers le fort des Moulins. Nous rencontrons
le sentier bleu N° 2 que nous prenons à droite . Au milieu du chemin nous
trouvons un vieux chêne formant giratoire, haut perché il subsiste le fléchage
de cet ancien GR qui permettait de rejoindre la gare de Bois le Roi, par le sentier des fontaines, la tour Denecourt, le cassepot, la solle, un peu du cuvier, les mont de fay, le canon et enfin Bois le Roi.
Fontaine Désirée
Je regrette cette suppression (comme les autres en foret) ce balisage montrait de magnifiques paysages, On y trouvait un peut d'histoire local avec le sentier des fontaines, la tour. Au Cassepot des rochers aux formes bizarres ou en équilibres sur des socles plus minces ou en mille feuilles on passait des chaos rocheux au calcaire de Beauce. Des pins aux hêtres et aux chênes. Poursuivons par le sentier bleu sur la droite. Nous passons devant les Fontaines
Dorly, Désiré (Prénoms des filles d’un forestier qui à bien aidé Denecourt) et
du Touring club, nous avons de beaux points de vues sur l’est de la foret.
Fontaine du Touring club
Nous
passons une partie du sentier en flanc de colline récemment stabilisé à la
"Denecourt" par des pavés renforçants et stabilisants le sable entre les racines qui filait vers la pente avec les intempéries et les VTT voir quelques marcheurs voulant éviter ce passage peut confortable.
C’est tout de même plus jolie qu’un platelage en bois. Malheureusement des
inconscients ont fait basculer quelques bordures (pavé trop petit) dans la
pente. Poursuivons par une descente et un sentier serpentant sur le flanc de la "dune de sable" (SVP
ne coupez pas cela déstabilise le sable qui ne tient que par la fine couche d'humus noir sur le dessus.) Nous entamons un large virage et arrivons au carrefour de la Tour
Denecourt, traversons la route Jean bart et poursuivons le sentier bleu situé
entre les deux routes bitumées (interdite à la circulation.) Après une patte
d’oie ou nous prenons la branche de droite, nous grimpons sur un chemin
stabilisé en pavé pour déboucher sur la ligne de crête rocheuse.
Prenons à
droite le sentier bleu, passons sous une roche formant dolmen et nous arrivons
à la tour Denecourt.[Construite en 1851 par Claude-François Denecourt, la tour est inaugurée le par Napoléon III et l'impératrice Eugénie. Écroulée en 1878 à la suite d'un tremblement de terre, elle fut rebâtie par Claude-Charles Colinet grâce à une souscription publique (wikipédia). Pour plus de détail voir : http://randosacaudos.blogspot.fr/2016/06/des-randos-pour-ouvrir-les-yeux-2.html (station 4 du glossaire) & http://archives.seine-et-marne.fr/claude-francois-denecourt-1788-1875] Belle vue sur l’ensemble de la foret. Redescendons les quelques marches. Sur cette esplanade nous
trouvons plusieurs départs de sentiers, il faut prendre le sentier bleu N°2 en
direction du sentier 2-3 et de la croix d’Augas. On contourne simplement la fin
du « môle » rocheux et repartons coté nord sur cette crête. A l’autre
extrémité nous arrivons à l’intersection
des sentiers 2 et 3 laissons la branche du sentier bleu tournant à gauche et
poursuivons en descendant les quelques rochers par le sentier 3-2, nous coupons
la D116 poursuivons en face soit par la route renforcé par du silex de la Vallée de la Solle, soit
par le sentier bleu qui suit à quelques mètres cette même route. Nous arrivons
à un carrefour et rencontrons dans l'angle formé par la route de la vallée de la solle et celle des points de vues du rocher cassepot le sentier bleu N° 3 que nous prenons à droite,
il grimpe vers le
Parfois nous rencontrons d'anciennes traces
rocher en forme de mille feuilles (roche feuilletée) situé sur le bord du
plateau. Poursuivons le sentier bleu. Nous passons devant des rochers en
équilibres semblant donner raison à la théorie que la mer à façonnée les
rochers, on a vraiment l’impression que les vagues sont venues usées la base
de ses derniers. Nous arrivons au point de vue ou nous apercevons sur la gauche les
antennes de Saint assise [Les Antennes de Sainte Assise. Son antenne
était portée par 11 mâts de 250 mètres et 5 mats de 180 mètres. À son
inauguration en 1921, l'émetteur était le plus puissant au monde et balayait
une zone s'étalant entre les Amériques et le Japon. En novembre
1921, y fut réalisé la première retransmission radiophonique française.
Par la suite, le site a été un centre d'expérimentation pour la télévision.
Réquisitionné
par la Kriegsmarine en 1941 pour permettre les communications entre Berlin et
les U-Boots. Paradoxalement, Sainte-Assise n'a pas souffert des bombardements
alliés et toutes les antennes ont survécu.
Le 1er
janvier 1954, les PTT reprirent ces installations.
En 1991, une
partie de la station est vendue par France Télécom à la Marine nationale, Centre
de transmissions marine (CTM) de Sainte-Assise, pour les communications
non-confidentielles avec les sous-marins. Le site, inauguré en 1998, est devenu
un terrain militaire surveillé par une compagnie de fusiliers-marins.
Un mat de
250 mètres non relié à l'antenne reste la propriété de Globecast, filiale
de France Telecom qui est désormais le propriétaire du téléport de
Sainte-Assise. Il sert de support à de multiples antennes et émetteurs (GSM,
satellites...). De plus une partie du site héberge station de liaison
vidéo/audio avec les satellites de France-Telecom.
En décembre
2000, 3 mats inutilisés de 180 mètres ont été détruits.] Nous apercevons également les bâtiments les plus hauts de Melun et s’il fait beau ou légèrement
brumeux face à nous les torchères de la raffinerie de Grampuits. Nous abandonnons
le
Mon seul repère pour la Rte Des Graviers
sentier bleu pour prendre la large route tournante des points de vue du
Rocher Cassepot. Ensuite ce n’est pas très simple à expliqué les routes
ressemblant à des sentiers et même sur la carte les chemins n’existent plus. Il faut grossir à l’extrême la carte pour retrouver les chemins "cavaliers" traversant le cassepot . A croire que l’on voudrait qu’ils disparaissent.
Juste avant un large virage à gauche nous trouvons un sentier dans les fougères
sur la droite (si vous arrivez au point de vue du sport avecla vue sur l’hippodrome vous avez louper le
sentier.) prenons le. Un peut plus loin nous trouvons un sentier qui descend sur
la gauche c’était la route Des Graviers (En deux mots sur le dictionnaire de la foret en un seul sur la carte. On a vraiment l’impression que l’on ne veut
plus de cette route c'est dommage ce passage est très jolie. Le seul repère éphémère que j’ai, c’est un arbre dont le
tronc à poussé horizontalement. Si vous arrivez à l’intersection des sentiers 3
et 14 c’est que vous l’avez loupé. Le sentier descend dans les rochers et les
fougères, coupe le sentier bleu N° 3 poursuit sa descente, malheureusement nous
ne retrouvons que peut de trace de peinture pour nous aider (une seul dans
cette descente) Dans le bas le sentier est un peut mieux tracé. Nous débouchons
au carrefour de la route Fouilloux et de la Vallée de la Solle, poursuivons
par le chemin face à nous (sans nom) même sur la carte sauf si on la met en plan mais c'est toujours la route Des Graviers. Traversons la D 606
poursuivons en face toujours la route des graviers. Attention nous entrons dans une zone en réserve biologique
intégrale…N’y entrez pas par grand
vent, il y a toujours un risque. (Enfin cela
Panneau éphémère pour la Tempête du siècle
dépend : Dans une réserve biologique il est interdit de s'y promener. De ce coté, on laisse
pourrir les arbres pour la science... Mais de l’autre coté, vers l’hippodrome, on
a coupé de magnifiques hêtres, fort majestueux, Principe de précaution pour la sécurisation
de la clôture de l’hippodrome ? Pour certain arbres c’est étonnant, car ils étaient loin des
bâtiments. Pour la sécurisation, des promeneurs parcourant le sentier jaune du Conseille Générale ... longeant la réserve biologique ?
Peut être. Car on à supprimé ce magnifique GR et on à repris une partie de ce
chemin par un balisage jaune faisant le tour de hippodrome.
Revenons à notre
balade. Par grand vent, prendre la route goudronner de l’hippodrome.
Il y avait de quoi graver cette tragédie
Après
avoir passé la barrière de sécurité de la D606 nous suivons le sentier face à nous, (ancienne route Des Graviers devenue sentier)
franchissons quelques arbres au sol. Nous débouchons sur un chemin plus ou
moins tracé que nous prenons à gauche (notre sentier est encore bien marqué au sol)
puis nous l’abandonnons pour suivre le sentier sur la droite pour l'instant on ne grimpe pas sur les hauteurs de la solle. Pas facile par ici
dans l’herbe, le chemin est un peut moins tracé. Nous longeons la route bitumée,
débouchons sur un chemin (route Buffon) que nous prenons à droite (le chemin se poursuivait au niveau du bivouac, mais ce n’est pas facile le chemin se perd, les ronces et le houx nous piquent de trop.) Il est plus simple de traverser ce dernier, mais il faut se baisser pour passer sous les barrières et de l'autre coté ce n'est pas beaucoup mieux. Il est donc plus simple de prendre la route Buffon jusqu'au bitume face à la tour permettant au caméraman de filmer les courses hippiques. prenons la route à gauche. Nous trouvons le balisage jaune que nous suivons. Prendre sur la gauche
Mare à Dagneau
le chemin juste avant la maison forestière, nous longeons la clôture et retrouvons un sentier passant derrière cette dernière. Nous longeons le grillage, puis l’hippodrome.
Nous grimpons légèrement et constatons le désastre. Tout ses beaux hêtres
abattus par l’homme pour rien, ils pourrissent sur place. C’est bien triste.
Nous abandonnons la route de la vallée de la solle et le balisage jaune pour
prendre sur notre gauche la route de la Reine Amélie. Nous arrivons à un
carrefour, prenons à droite la route formant un angle droit. Au carrefour
suivant nous abandonnons la route de la reine Amélie pour prendre sur la droite
la route de l’Union.
On a certainement plus le droit
Ce chemin fait un virage sur la droite. Nous laissons le
chemin de gauche. Nous arrivons au carrefour ou nous rencontrons de nouveau le
sentier jaune et la route de la Vallée de la Solle, nous prenons cette dernière
sur la gauche et grimpons les hauteurs de la solle coupons le sentier bleu et la
route des ligueurs. Poursuivons en face par la route Lebel qui est également le
nouveau sentier bleu N° 5. Nous le quittons lorsqu’il tourne à droite,
continuons tout droit et coupons la route Henri Chapu puis la route des Monts Saint Pères et le balisage bleu. Nous descendons pour arriver au carrefour avec la
route du Luxembourg. Nous retrouvons le balisage bleu. Prenons le chemin face à
nous qui est également le sentier bleu.
De graver pour l'éternité la Tempête
Quittons le bleu lorsqu’il tourne à
gauche, poursuivons tout droit le chemin qui grimpe en serpentant dans les
rochers, nous débouchons sur la plus ancienne branche du sentier bleu N° 5 (En effet Denecourt ou ses successeurs avaient réalisés
plusieurs circuits dans le Cuvier Chatillon. Une grande partie étant devenue
réserve biologique les sentiers ont été abandonnés. Longtemps une seule branche
du sentier n’a subsisté, allant de Belle Croix au carrefour de l’épine. Le
changement de statue du secteur à permit de réaliser une boucle à ce sentier,
malheureusement en empruntant la route Mory de Neuflieux qui est droite et morne et n'est qu’une infime partie des sentiers historiques.Il aurait, mais ce n’est qu’un avis personnel
revoir la totalité du circuit en empruntant la trace des sentiers historiques.
Je les ai recherché et m'y suis promené, ils n’ont rien à voir avec ce qui a été créé, ils sont beaucoup plus jolies.)
Mais l'on ale droit de percer et dénaturer
Prenons le sentier bleu sur la gauche (laissons le balisage orange pour les
cavaliers partir tout droit.) Ensuite ce n’est pas facile à expliquer ou l’on
quitte le balisage (je me suis trompé) en effet j’avais souvenance que le
chemin menant à la mare à Dagneau était mieux marqué au sol. Malheureusement on
ne le voit plus. Le départ de ce chemin est un peut plus loin que le rocher
ayant une forme bizarre (pour moi il ressemble à
une bottine du Moyen Age [un pied très allongé]) Comme nous sommes sur un
plateau rocheux le chemin sur la droite ne se voit pas beaucoup. Merci GPS.
Nous voila (peut être) sur le chemin
Notre merveilleuse sylve
(qui ne porte pas de nom (peut être la continuité de la routes des ragots ou celui de Christine (Christine de suède)) il serpente sur
ce plateau plus ou moins marécageux. Nous trouvons une pancarte nous informant
des dégâts de la tempête de 1999 et ….Malheureusement c’est de la tôle galva peinte. La peinture n’a pas
tenue. [ Du temps de Denecourt une catastrophe de ce genre (cette tempête à
traversée la France en laissant un couloir dévasté, et occasionnant des dégâts considérables.)]A une autre
époque un forestier aurait gravé sur un rocher : En 1999 les arbres furent
dévastés par une tempête. Cette pancarte était utile pour informer
Denecours ou sont tes pavés?
le
randonneur des raisons de ses arbres enchevêtrés au sol. Étant en réserve
biologique dirigé le pin et le boulot à pourri sur place, le Balisage du GR étant existant, il fallait rappeler les raisons
de ce paysage cataclysmique et l'impossibilité de poursuivre dans ce vaste couloir dévasté. En 1999 ou en 2000 hors de question de transcrire aux règles des réserves ce n'est pas comme quelques années plus tard en bordure de l'hippodrome. [C’est certainement la difficulté d’emprunter ce
chemin et la suppression du GR qui fait qu’aujourd’hui le départ est difficile
à trouver. Les jeunes ne peuvent comprendre, les arbres sont
pourris, la nature reprend sa place doucement, ce n’est pas des pancartes dont
la peinture s’écaillent qui laisserons l’histoire locale à nos enfants. Au pied
de la pancarte des rochers permettraient cette gravure. Pardon j’ai oublié que nous étions dans une
foret d’exception et que bientôt nous n’auront même plus le droit de fouler
son sol. Il est certain qu'a d'autres époques un forestier aurait gravé sur le rocher le souvenir de ce désastre et le nombre d'arbres abattus comme on le retrouve pour le gel de 1870 au rocher d'Avon ou de l'incendie de 1876 au grand Mont Chauvet cela rappelle que la foret est vivante...] Le chemin serpente sur un terrain un peu marécageux, il part un peu à
gauche par une sente, avant de revenir sur la droite et contourne la mare Dagneau. (Ce n'est pas tout à fait la trace de l'ancien GR mais la plus visible) [[Déformation de Dagnan isidor 1794-1873 paysagiste qui travailla à
Fontainebleau] Ensuite le chemin devient visible et nous débouchons sur un carrefour et
prenons la route en biais sur la gauche (route tournante du Cuvier Chatillon.)
Nous rencontrons le GR 1 à la route des Monts de Fay. [Voilà nous avons terminé la première partie de
l’ancien GR menant de la gare de Fontainebleau à Bois le Roi. En prenant à droite nous
regagnons la gare de Bois le Roi par le tracé du nouveau GR.Cette partie à
également été modifiée comme si les rochers étaient interdits aux randonneurs.
En effet l’ancien tracé passait par le rocher canon. Nous le ferons lors de notre dernière étapes (Etape 23) ce que j'ai appelé un peut pompeusement retour du GR 111 mais cela ressemble plus à une balade en Essonne et en foret pous les deux dernières étapes. Je reviendrais par un itinéraire complet et à part sur ce GR que j'affectionnais. Comme je l'écris dans l'étape 23 en traversant le rocher canon il est difficile de réaliser des recherches de balisage et une rando, j'ai donc privilégié la rando.] Revenons à notre itinéraire
suivons le GR et le TMF tout droit, mais resté attentif brusquement le GR
tourne à gauche, descend et surplombe une ancienne carrière de grès. Nous
serpentons dans les rochers. Coupons la belle route de Bellevue en stabilisé calcaire,
poursuivons en face dans les rochers. Pas facile cette partie. Nous débouchons
sur un plateau. Le GR est un peut plus facile à suivre. Nous descendons vers le
carrefour de l’épine par la route de la solitude. Traversons la D 607 par le
tunnel et prenons sur la droite du parking la route des artistes. Abandonnons
le GR et le sentier bleu pour prendre sur la gauche la route Théodore Rousseau
(Nous empruntons par ce chemin l’ancien GR. Le nouveau GR1 contourne les
rochers. A Fontainebleau les grands randonneurs empruntant le balisage blanc & rouge sont interdits de rochers …) Nous
arrivons dans une parcelle grillagé que nous traversons grâce à un
trou d’homme réalisé dans le grillage. De l’autre coté nous débouchons par le
même procédé au carrefour Félix Herbet. [Félix Herbet : Dictionnaire Historique et Artistique de la Forêt de Fontainebleau.Avant internet il fut l'une de mes bibles (papier) pour mes promenades. Je tire toute les explications sur les noms des routes de cette ouvrage que l'on trouve aujourd'hui sur le net.] Nous prenons en face la route de la
solitude jusqu'à la rencontre du sentier bleu N° 6 que nous prenons à droite,
nous passons dans les rochers jusqu'à la caverne des brigands. Ensuite j’aime pas
ce qui à été réalisé pour stabiliser le terrain. A la place d’utiliser des pavés
pour stabiliser le sable (un travail à la Denecourt) on a réalisé un immense escalier en palette. Comme il casse les jambes des randonneurs et promeneurs en ''marche forcée" pour facilité une digestion devenue difficile après un bon resto en ville, ils s’éparpillent à droite et à gauche et crée de nouveaux ravinements. On a
pitonné un grillage sur les rochers. Mal attaché, mal entretenu, mal fait ; il fait sale.
Ce platelage et ce grillage qui bat de l’aile n’est pas digne d’une foret
d’exception et fait plutôt penser à un parc d’attraction sur le déclin. Que
doivent penser nos touristes en voyant ce désastre car ici le dimanche c’est un
défilé permanent entre la caverne des brigands et le resto du bas Bréau et Barbizonnais.)
Attention juste avant le second platelage, nous quittons avec joie ce
désastreux paysage pour prendre à gauche le chemin descendant dans les rochers.
Nous traversons une zone de varappe et le chemin est un peu plus difficile à
trouvé mais toute les traces se rassemble en un seul sentier. Dans le bas il faut
franchir les barrières en bois et passé sous les arbres plus que centenaire, que l’on
n’a pas sut renouveler. Vestige de l’époque des peintres de Barbizon. Fragile
par leur ages ils sont dangereux par la chute de leur branches, alors pour le principe de
précaution on empêche le touriste de passer. (Il ne faut pas trop jeter la pierre à l'office des forets responsable en cas d'accident. J'ai assisté un jour sans vent à la chute d'une grosse branche. Lorsque vous entendez craquer, le temps de lever la tête et de trouver l'arbre il est trop tard.... la branche est à terre (dans mon cas) ou sur votre tête.) Éloignons nous rapidement de ses aménagements en
traversant la route de Sully et en prenant en face la route des gorges
d’Apremont. Nous retrouvons le GR 1 au carrefour avec
la route des ventes Alexandre que nous prenons à gauche.Nous grimpons vers la crête de cette dune. Un
aménagement en palette peut sembler nous aider dans cette grimpette, les marches n’étant pas aux dimensions du pas des marcheurs, une piste est en train de ce créer à coté. Pas de problèmes on créera un second escalier à coté.
Nous voilà en haut. Nous rencontrons le sentier bleu N°6 que nous prenons à
gauche suivons le chemin de crête, passons au point de vue ou nous apercevons
le cuvier. Le sentier descend et nous arrivons au carrefour André Billy. Nous
abandonnons le bleu prenons sur la droite le TMF et le GR 1 par la route du
Puits au Géant, nous grimpons les Monts Girard (plus facilement que la platière
des gorges.) Au carrefour des Monts Girard nous prenons à droite la route du
Fourneau David. Nous passons un carrefour et au second nous prenons à droite la
route des trois frères. (C’est le tracé de l’ancien GR1, je ne comprends pas les
raisons de ce changement. Ce terrain n'est pas raviné et ne le risque pas puisque nous sommes sur du calcaire. Il arrive au même endroit...) Nous traversons puis descendonsune belle hêtraie, coupons la D 409 (route de
Fontainebleau à Arbonne.) et prenons sur la gauche la route du Monastère que
nous suivrons jusqu'à Franchard. Nous passons devant l’ancien monastère, [Cet endroit attira depuis fort longtemps des cénobites. La première chapelle était sous le vocable de saint Alexis de Rome († v.411), puis sous celui de la Vierge. Le premier ermite fut assassiné vers 1180, le second également, entre 1180 et 1194. Un troisième du nom de Guillaume, chanoine régulier de l'église Saint-Euverte d'Orléans s'y installa, sans tenir compte de l'avis opposé de son ami Étienne de Garlande (v.1070-1150), abbé de l'abbaye Sainte-Geneviève de Paris. Il fit venir d'autres religieux et bientôt l'ermitage devint monastère. En 1197, le roi de France Philippe Auguste
(1165-1223), exige que soit entretenu deux religieux chargés de prier
pour le roi et confirme la propriété de cet ermitage à l'abbaye de
Saint-Euverte d'Orléans. Guillaume qui est prêtre, y célèbre
l'Eucharistie et reçoit des dons. Après sa mort, il est remplacé par le
frère Richard et en 1209 l'ermitage devient un prieuré. Un siècle s'écoula, dans le calme des prières, puis survint la guerre de Cent Ans
qui vit la destruction du monastère. Les moines cachèrent selon la
légende, leur trésor dans la forêt. Le prieuré est détruit en 1354 et sera reconstruit au XVe siècle. Ce n'est qu'après plusieurs meurtres, dont le dernier en 1712 qu'un arrêt du Conseil de la Régence en date du
ordonna la démolition des bâtiments. C'est à cette époque que fut
découvert dans les caves du prieuré des coffres contenant du tissu qui
tomba en poussière à l'ouverture de ceux-ci. Il ne reste plus
aujourd'hui qu'un pan de mur de cet ermitage, le long duquel sera
construite la maison forestière. Ces vestiges furent inscrits à
l'inventaire des monuments historiques le . En 1731 l'abbé Pierre Guilbert décrit ce lieu de la façon suivante:« Les
peintures affreuses que les historiens ont faites de la Thébaïde, les
antres obscurs qu'ils ont décrits, et les profondes cavernes qu'ils ont
représentées, ne paraîtront toujours que des crayons imaginaires à qui
n'aura visité le surprenant désert de Franchard ».
C'est à la suite de cela qu'est construite la première maison du garde forestier sous Louis XV En 1813 pour les commodités du garde forestier l'administration fait creuser un puits à 66 mètres de profondeur, mais celui-ci ne donnera jamais beaucoup d'eau et il sera fermé en 1904. extraie wikipédia] sur
notre gauche nous retrouvons le GR 1 et la route du Fourneau David c’est
également le sentier bleu N°7. Le chemin est bordé de hêtres ou de charmes
tortueux. Nous coupons à nouveau la D 409 et prenons le chemin de droite balisé
en bleu. Au carrefour Cossé Brissac nous
ne prenons pas le balisage bleu 7-6 (route de la roche qui pleure) et
poursuivons à droite le balisage bleu N°7 par la route du Puits au Géant. Le
balisage abandonne la route pour traverser une parcelle récemment libéré de son
grillage. Nous côtoyons une futaie d’une quarantaine d’année. Coupons la route
ronde (D301) poursuivons en face et nous débouchons sur la route goudronnée (interdite
à la circulation) du château que nous prenons à droite. Après avoir coupé la
route de la Tillaie nous quittons le bitume pour prendre sur la gauche la route
de la fosse à râteau. Passons par le tunnel du carrefour de Paris (D607)
poursuivons par la route Paul (bitumé) puis à gauche la route du Gros Fouteau
(bitumé) abandonnons sans regret le bitume et le balisage 4-5 pour prendre sur
la droite la route du Nid de l’Aigle. Attention nous entrons dans la réserve
biologique du Gros Fouteau. Tous ses beaux hêtres (beaucoup dépérissant) sont
condamnés à mourir sur place et à pourrir au sol. Par grand vent ne pas prendre
cet itinéraire. Par fort
vent au carrefour Louis Philippe poursuivre la route paulet au carrefour de la butte aux aires
abandonner le balisage bleu pour prendre sur la gauche la route du même nom.
Nous arrivons à la maison forestière des huit routes nous rencontrons le GR nous
poursuivons par ce dernier. Au carrefour nous prenons à droite la route du
Mont Ussy qui est également le balisage rouge et blanc. Couper la D 606 au
feu tricolore de la chapelle Notre Dame du Bon secours[En1661 Le sieur Dauberon, capitaine du Grand
Condé, venait rejoindre la cour à Fontainebleau, fin novembre. En descendant le
chemin de Melun, son cheval s’emballa et son éperon fut pris dans l’étrier. Le
cavalier, traîné sur plusieurs dizaines de mètres jusqu’à l’emplacement de la
chapelle actuelle, invoqua Notre-Dame. Son cheval, miraculeusement, s’arrêta
net. Le gentilhomme fut relevé sain et sauf ! Il fit placer une image de
sa protectrice sur le tronc d’un grand chêne, là où son cheval s’était arrêté 1690 La première chapelle Notre-Dame du
Bon-Secours dite chapelle de la Bonne Dame est construite sur l’initiative du
curé Maurice Faure et un pèlerinage est instauré.
et poursuivons
le GR jusqu’à la gare fin de notre boucle. (Balisage jaune sur la carte. Ne figure pas sur la trace GPS.)
Par temps
calme nous pouvons longer la réserve biologique en prenant la route du nid de
l’aigle coupons la route des Fosses Rouge puis de la Fontaine et nous trouvons
sur la droite la route du Mont Ussy.
Nous
avons le choixsuivant le temps imparti
pour votre balade ou votre fatigue.
Choix 1
: Prendre à droite la route du Mont Ussy. Un
peut plus loin on rencontre le balisage du GR que nous suivons jusqu'à la gare.
C’est tout plat, c’est rapide. (Balisage orange puis jaune sur la carte. Ne figure pas sur la trace GPS.)
(C’est
l’itinéraire que j’ai fais, ayant après la gare 4km à réaliser pour retrouver
ma voiture. J’avais un autre repérage à faire.)
Le choix 2
le plus long mais le plus jolie. Traverser le Mont Ussy la croix du calvaire et
le fort des moulins. C’est rocheux mais c’est beau.
Choix
2 : Poursuivre la route du nid de l’aigle jusqu'à la rencontre du sentier
bleu N°1 que l’on prend à gauche. (sur la carte j'ai évité cette première rencontre avec le bleu, j'ai poursuivi la route du nid de l'aigle jusqu'à le rencontre une nouvelle fois des marques bleu que l'on prend à droite) Suivre ce sentier se trouvent dans un premier
temps sans beaucoup de rocher, puis nous serpentons à flanc de colline dans les
rochers. Le sentier fait un brusque virage à gauche et grimpe sur le plateau,
nous arrivons à un point de vue, il est un peut difficile de retrouver le
balisage (sauf s’il à été refais en un peu plus serré). En fait il faut plus ou
moins suivre le bord de ce plateau pour trouver le sentier partant dans les
rochers. Il serpente, passe devant une gravure (voir Ouvrir les yeux 2 ,
Puis une
Vierge peinte sur un rocher(station 29 du même site) Nous coupons la route de la Butte aux
aires, poursuivons en face (attention à ne pas suivre la trace bleu 1-1
descendant plus ou moins le long du bitume sauf si vous êtes fatigué. Ce
balisage rejoint le GR qu’il est possible de prendre sur la gauche. Il vous
mènera directement à la gare.) Poursuivons le sentier bleu en direction de la
croix d’Augas(station 27 du même site), passons sur le pont et prenons le sentier bleu 1/3 sur la droite
juste avant le restaurant. Il descend dans ‘’un chantier’’ d’une ancienne
carrière. Il n’est pas nécessaire de faire la boucle sur la gauche passant
devant l’ancienne caverne d’Augas poursuivre le chemin tout droit. Un peut plus
loin nous retrouvons le bleu 1-3. Nous arrivons sur un plateau comportant un nœud
de sentiers. Pas facile de s’y retrouver. Même avec les pancartes. Il faut
prendre le sentier bleu N°2en direction
du Calvaire (Ne pas prendre la branche partant sur la tour Denecourt) Nous
arrivons au point de vue de la croix du calvaire. Le sentier fait une boucle,
longe la route, puis tourne sur la droite pour suivre la route de la Reine
Amélie
le sentier tourne à gauche traverse la route
bitumée interdite à la circulation. Nous débouchons entre des rochers sur
l’autre branche du sentier bleu N° 2 que nous prenons à droite Nous passons
devant les stations18 - 17 de la rando
pour ouvrir les yeux 2, (http://randosacaudos.blogspot.fr/2016/06/des-randos-pour-ouvrir-les-yeux-2.html) poursuivons le bleu qui descend directement à la gare.Nous débouchons entre des rochers sur
l’autre branche du sentier bleu N° 2 que nous prenons à droite Nous passons
devant les stations18 - 17 Foucher Careil et Némorosa de la rando
pour ouvrir les yeux 2, poursuivons le bleu qui descend directement à la gare.
Foucher Careil
médaillon Foucher de Careil : Dû au sculpteur Ernest Dubois et inauguré le 25 mai 1907, en
l’honneur de ce sénateur qui avaitproposé en 1876, l'extension des
réserves artistiques de la forêt de Fontainebleau. Sénateur de Seine-et-Marne
sous la IIIe République, écrivain et philosophe, Foucher de Careil (1826-1891),
siégeait au centre gauche de la Chambre haute. Il proposa d'augmenter de 1000
hectares la série artistique placée en dehors de tout aménagement. (Devenue réserve biologique) http://www.fontainebleau-photo.com/2012/12/balade-le-long-du-sentier-denecourt-n2.html
Némorosa la Reine des Bois
Némorosa
Ce médaillon en fonte, scellé en 1849, est l'œuvre du
sculpteur Adam-Salomon. Ce profil féminin perpétue une légende médiévale
inventée de toutes pièces par le poète et menuisier Alexis Durand et publiée
dans le guide Denecourt de 1849. Vous trouverez la légende dans ; http://randosacaudos.blogspot.fr/2016/06/des-randos-pour-ouvrir-les-yeux-2.html en fin d'article du Glossaire station 18
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